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Revue de Génie Industriel

ISSN 1313-8871 http://www.revue-genie-industriel.info

Teneurs en composés phénoliques de 10 plantes médicinales employées dans la tradithérapie de l’hypertension artérielle, une pathologie émergente en Côte d’Ivoire

Alain Hugues Olivier N’Guessan, Camille Evelyne Dago Déliko, Janat Akhanovna Mamyrbékova-Békro *, Yves-Alain Békro

Laboratoire de Chimie Bio Organique et de Substances Naturelles, Université Abobo-Adjamé, Abidjan, Côte d’Ivoire

*Auteur correspondant : e-mail: bekro2001@yahoo.fr

Révisé et accepté : le 30 novembre 2011 / Disponible sur Internet : le 26 décembre 2011

Résumé

La présente étude est axée sur 10 plantes hypotensives de Côte d’Ivoire dont les teneurs en composés phénoliques totaux ont été déterminées par dosage spectrophotométrique. Les résultats y afférents ont montré que les feuilles de Ocimum gratissimum sont les plus riches en phénols totaux (7818,66±265,05 µg EAG/g), flavonoïdes totaux (18,02±4,78%) et en aglycones flavoniques (0,73±0,17 mg/g). En ce qui concerne les anthocyanes, la teneur la plus forte a été observée dans les feuilles de Fagara macrophylla (1,07±0,03 mg/g).

Abstract

The present survey is centered on 10 hypotensive plants of Côte d’Ivoire of which the content in total phenolic compounds has been determined by spectrophotometric dosage. The results there pertaining showed that the leaves of Ocimum gratissimum are the richest in total phenols (7818,66±265,05 µg EAG/g), total flavonoides (18,02±4,78 %) and in flavonic aglycone (0,73±0,17 mg/g). With regard to the anthocyanes, the strongest content has been observed in the leaves of Fagar macrophylla (1,07±0,03 mg/g).

Mots-clés : plantes hypotensives, composés phénoliques, dosage spectrophotométrique, Côte d’Ivoire

Keywords: hypotensive plants, phenolic compounds, spectrophotometric dosage, Côte d’Ivoire

Introduction

En Afrique, l’usage des plantes à des fines thérapeutiques était connu par nos ancêtres et par nos parents de façon empirique [1]. Cependant, l’on ignorait les métabolites secondaires contenus dans ces plantes médicinales. Plusieurs investigations chimiques ont été réalisées pour apporter une approche scientifique à l’usage qui est faite d’elles dans la médecine traditionnelle. Cela a donc abouti à la découverte de plusieurs classes de métabolites secondaires dont les plus étudiées actuellement sont les composés phénoliques reconnus comme de bons antioxydants par excellence [2].

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Les polyphénols constituent une famille de molécules largement présente dans le règne végétal [3]. Ils sont caractérisés comme l’indique le nom, par la présence de plusieurs groupements phénoliques associés en structures plus ou moins complexes généralement à masse moléculaire élevée. Ces composés sont le produit du métabolisme secondaire des plantes. Leur rôle d’antioxydants naturels dans les plantes est dû à leurs propriétés redox qui leur permettent d’agir soit comme des agents réducteurs (donneurs d’hydrogène), piégeurs de l’oxygène singulet (1O2) ou des chélateurs de métaux [4, 5].

Grâce à leurs effets bénéfiques sur la santé, les études sur les polyphénols connaissent une importance croissante. En effet, ils interviennent dans la prévention et le traitement des maladies liées au stress oxydatif tel que les cancers, la cataracte, l’athérosclérose, le diabète, l’hypertension artérielle, les maladies neurodégénératives, l’arthrite [6- 8].

Le but du présent travail est centré sur la quantification par spectrophotométrie de constituants phénoliques contenus dans 10 plantes ethno médicinales de Côte d’Ivoire largement utilisées en médecine folklorique pour traiter l’hypertension artérielle.

Matériels et méthodes

Matériel végétal

Le choix des plantes a été guidé par les enquêtes ethnobotaniques réalisées en Côte d’Ivoire par Adjanohoun et Aké-Assi [9], Tra Bi et al. [10] et N’guessan et al. [11].

Les drogues sont essentiellement composées d’organes (feuilles, tige et écorce) des 10 plantes hypotensives. Elles ont été toutes récoltées en juin 2010 dans la forêt de l’Université Abobo-Adjamé, sauf les feuilles de Blighia unijugata qui ont été récoltées au Centre National de Floristique (CNF) de l’Université de Cocody et les feuilles et l’écorce de Fagara macrophylla à Azaguié dans le département d’Agboville en Côte d’Ivoire. Les espèces végétales ont été identifiées conformément aux herbiers disponibles au CNF par les botanistes dudit centre. Leurs organes échantillonnés ont été séchés sous climatisation permanente pendant une semaine, puis pulvérisés à l’aide d’un broyeur électrique (Marque RETSCH, Type SM 100) aux fins d’obtenir de fines poudres.

Extraction

15 g de poudre fine ont été macérés dans 3×100 mL de MeOH à 80 % (v / v) pendant 24 h sous agitation permanente. Après filtration, les filtrats hydrométhanoliques sont conservés au réfrigérateur pendant 48 h, puis filtrés sur Büchner et enfin concentrés sous pression réduite à 40°C à l’aide d’un évaporateur rotatif aux fins d’obtenir 13 extraits (F1-F13) qui ont été utilisés pour les différents dosages.

Dosage des polyphénols totaux

Le dosage des polyphénols totaux dans F1-F13 a été effectué selon la méthode de Singleton et Rossi [12] avec quelques légères modifications. À 1 mL d’extrait dilué au 1/10ème sont ajoutés 1,5 mL d’une solution de Na2CO3 à 17 % (m / v) et 0,5 mL de réactif de Folin-Ciocalteu 0,5 N. L’ensemble est incubé à 37°C pendant 30 min, l’absorbance est mesurée à 720 nm contre un blanc sans extrait pris comme référence.

La teneur en polyphénols totaux a été déterminée par l’étalon réalisé avec différentes concentrations d’acide gallique. Les résultats sont exprimés en µg équivalent d’acide gallique (EAG) par gramme de matière sèche.

Dosage des flavonoïdes totaux

Le dosage des flavonoïdes totaux a été fait selon la méthode modifiée de Hariri et al.

[13]. 0,4 mL d’extrait sont ajustés à 2 mL avec MeOH à 80 % (v/v), puis dilué au 1/20ème et mélangés à 100 µL de réactif de Neu. L’absorbance est déterminée à 404 nm et comparée à celle du quercétol pris comme standard (0,05 mg/mL) traité avec la même quantité de réactif. Le pourcentage des flavonoïdes totaux est alors calculé en équivalent quercétol (EQ) selon la formule suivante :

(3)

%) (en C x

A

D x A F x

ext q

ext

100

05 ,

= 0

(1)

Aext : Absorption de l’extrait ; Aq : Absorption du quercétol ;

Cext : Concentration de l’extrait en matériel végétal soit 10 mg/mL.

Dosage des aglycones et des anthocyanes

0,5 g de matériel végétal sont introduits dans des erlenmeyers, en présence de 40 mL de HCl (2N) à la température ambiante. Après quelques minutes de contact, les erlenmeyers sont placés pendant 40 min au bain-marie bouillant. Après refroidissemnent, les anthocyanes, les flavonols et flavones sont extraits selon la méthode de Lebreton et al. [13].

Pour les anthocyanes, la phase aqueuse acide est soumise 3 fois avec 6,5 mL de n-BuOH qui extrait les anthocyanidols dont la couleur est rouge. Pour les aglycones flavoniques, la phase aqueuse acide est reprise 3 fois par 30 mL d’éther éthylique. Le solvant des extraits obtenus de couleur jaune, est évaporé sous une hotte ventilée, puis les résidus sont repris dans 10 mL d’EtOH à 96 % (v/v).

Dosage des anthocyanes

Le dosage des anthocyanes se fait en balayant le spectre de 480 à 600 nm et en retenant l’absorbance maximale. La teneur est calculée selon la formule proposée par Lebreton et al. [14].

m D x V x x M A T

anthocyanes

x

ext

ε

= α

(2)

α : Facteur de correction (égal à 6) du rendement de la transformation des proanthocyanes (de l’ordre de 17 %) ;

A : Absorbance à la longueur d’onde d’absorption maximale ; ε : Coefficient d’absorption molaire du cyanidol (=34700) ; M : Masse molaire du leucocyanidol (=306) ;

V : Volume de la solution butanolique ; D : Facteur de dilution ;

m : Masse de matière sèche du matériel végétal hydrolysé.

Dosage des aglycones flavoniques

Le dosage différentiel des flavones et des flavonols est effectué en se basant sur les propriétés chélatantes de AlCl3 à 1 % (m / v) en solution dans EtOH à 96 % (v / v). Après un repos de 10 min, le spectre est balayé de 380 à 460 nm, et l’absorbance maximale est retenue. L’absorbance du pic différentiel contre un blanc ne contenant pas de AlCl3 est proportionnelle à la concentration de l’échantillon en aglycones flavoniques. La teneur en aglycones exprimée en équivalent de quercétol (en mg/g) est calculée selon la formule suivante [15] :

) / ( en mg g m

D x V x x M T

aglycones

A

ext

= ε

(3)

Aext : Absorbance du pic différentiel ;

ε : Coefficient d’absorption molaire du quercétol (=23000) ;

(4)

V : Volume de la solution éthanolique d’aglycones ; D : Facteur de dilution ;

m : Masse de matière sèche de matériel végétal hydrolysé.

Résultats et Discussion

Teneur en phénols totaux

La teneur en phénols totaux dans les extraits bruts (F1-F13) varie entre 3493,17±255,43 et 7818,66±265,05 µg EAG/g de matière sèche (Figure 1). Les résultats montrent que tous les organes étudiés sont riches en polyphénols. En effet, les feuilles de O. gratissimum sont les plus riches en polyphénols (7818,66±265,05 µg EAG/g), suivies des feuilles de A. cordifolia (7011,57±939,99 µg EAG/g) et de T. guinéensis (6677,39±452,01 µg EAG/g). Les résultats que nous avons obtenus avec les feuilles de O. gratissimum montrent une différence relative avec ceux de Akinmoladun et al. [16]

qui ont montré une teneur en polyphénols de l’ordre de 5,68±0,06 mg EAG/g. Cette différence pourrait être liée au dosage du réactif de Folin-Ciocalteu, aux facteurs biogénétiques et environnementaux et au type de spectrophotographe utilisé.

Aussi, constatons-nous que les feuilles de S. monostachyus et P. pinnata contiennent des proportions plus élevées de polyphénols respectivement 6488,22±2181,52 µg EAG/g et 4741,64±821,13 µg EAG/g que les tiges de ces mêmes plantes (respectivement 4962,33±821,13 µg EAG/g et 4325,48±132,86 µg EAG/g). De même, les feuilles de F. macrophylla sont plus riches en polyphénols (5996,41±321,57 µg EAG/g) que l’écorce de cette plante (3493,17±255,43 µg EAG/g). La répartition inégale des polyphénols dans les différents organes d’une plante a été rapportée par plusieurs auteurs [17,18].

Figure 1. Teneurs en composés phénoliques des 13 organes végétaux

F1 : Feuilles de Solenostemon monostachyus F2 : Tige de Solenostemon monostachyus F3 : Feuilles de Trema guinéensis F4 : Feuilles de Morinda lucida F5 : Feuilles de Sida acuta F6 : Feuilles de Paullinia pinnata F7 :

Tige de P. pinnata F8 : Feuilles de Ocimum gratissimum F9 : Feuilles de Blighia unijugata F10 : Feuilles de Vernonia colorata F11 : Feuilles de Alchornea cordifolia F12 : Écorce de Fagara macrophylla F13 : Feuilles de

F. macrophylla

Teneur en flavonoïdes

Au vu de la Figure 2, nous notons que la teneur en flavonoïdes totaux varie d’une drogue végétale à une autre. Les feuilles de O. gratissimum enregistre la plus forte teneur (17,61±4,78 %), suivies des feuilles de A. cordifolia (14,31±3,84 %) et de V. colorata (12,95±1,97 %). Les tiges de P. pinnata sont les moins riches en flavonoïdes totaux (2,40±0,93 %). On constate que les flavonoïdes sont moins abondants dans les tiges de

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P. pinnata (2,40±0,93 %) et dans l’écorce de F. macrophylla (3,66±2,34 %) que dans les feuilles de ces deux plantes (avec respectivement 3,43±1,14 % et 9,61±2,19 %). Cette inégale répartition des flavonoïdes pourrait s’expliquer par le faite que les feuilles sont plus exposées à l’ensoleillement solaire que les autres organes de la plante. En effet, les flavonoïdes assurent la protection des tissus de la plante contre les effets nocifs du rayonnement solaire [18]. D’après Kouakou-Sirantsi et al. [19], les feuilles de A. cordifolia contiennent 5,2 % de flavonoïdes totaux. Nous pouvons dire que ce résultat est inférieur à ce que nous avons obtenu pour les mêmes organes (14,31±3,84 %). Cette large différence trouverait d’une part, une explication dans la méthode d’extraction et d’autre part, dans la qualité utilisée d quercétol pour le dosage des flavonoïdes.

Figure 2. Teneurs en flavonoïdes totaux des 13 organes végétaux.

Anthocyanes

Le dosage des anthocyanes présenté dans la Figure 3 révèle que les feuilles de F. macrophylla sont les plus riches en anthocyanes (1,07±0,03 mg/g) avec une teneur 2 fois supérieure à celles des feuilles de S. acuta (0,56±0,04 mg/g) de M. lucida (0,5±0,007 mg/g) et nettement supérieure à celle des autres organes étudiés.

Figure 3. Teneur en anthocyanes des 13 organes végétaux.

Aglycones flavoniques

Pour les différentes teneurs en aglycones flavoniques, les valeurs les plus élevées sont observées avec les feuilles de O. gratissimum (0,73±0,17 mg/g). A. cordifiolia

(6)

(0,54±0,04 mg/g) et de S. acuta (0,41±0,11 mg/g). Les teneurs les moins élevées sont celles des tiges de P. pinnata (0,04±0,08 mg/g) de l’écorce de F. macrophylla (0,009±0,04 mg/g) et des tiges de S. monostachyus (0,06±0,09 mg/g).

Figure 4. Teneur en aglycones des 13 organes végétaux.

Conclusion

Les résultats du dosage des polyphénols ont montré que les organes des plantes étudiées contiennent tous des polyphénols. Les teneurs les plus importantes sont observées dans les feuilles de O. gratissimum que dans les autres organes. Le dosage des anthocyanes a révélé que les feuilles de F. macrophylla ont une quantité en anthocyanes largement élevée que les autres organes végétaux. Cette étude pourrait apporter une justification aux divers usages qui sont faites des plantes dans la médecine traditionnelle notamment dans le traitement de l’hypertension artérielle. Toutefois, une étude des différents constituants phénoliques pourrait caractériser de façon plus précise l’activité biologique des différentes drogues.

Remerciements

Nous remercions le professeur AKÉ-ASSI Laurent du Centre National Floristique (CNF) de l’Université de Cocody pour l’identification de nos plantes.

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