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Etude pédologique pour la délimitation d une zone humide alluviale Torrent du Bonrieu à Saint-Jean-de- Maurienne

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Academic year: 2022

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Etude pédologique pour la délimitation d’une zone humide alluviale

Torrent du Bonrieu à Saint-Jean-de-

Maurienne

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Table des matières

1 Présentation ... 3

1.1 Contexte et objectif de l’étude ... 3

1.2 Présentation du projet ... 3

2 Critères de définition d’une zone humide ... 5

2.1 Le critère relatif à la végétation hygrophile ... 5

2.2 Le critère relatif aux sols hydromorphes ... 5

3 Délimitation de la zone humide ... 6

3.1 Contexte géologique ... 6

3.2 Investigations géotechniques ... 7

3.3 Définition et délimitation du lit majeur ... 7

3.4 Sondages pédologiques ... 10

4 Conclusion ... 14

Figure 1 : Localisation des travaux projetés par Saint-Jean-de-Maurienne (Abest, 2016) ... 3

Figure 2 : Secteur des travaux d’aménagement du Bonrieu (Abest, 2016) ... 4

Figure 3 : explication du contexte géologique du torrent du Bonrieu – vu de l’est, depuis la route menant à Montdenis (source : www.géol-alp.com) ... 6

Figure 4 : secteur amont : définition du lit mineur ... 7

Figure 5 : zone amont : lit mineur du Bonrieu ... 8

Figure 6 : zone médiane : lit mineur du Bonrieu ... 8

Figure 7 : zone aval 1 : lit mineur du Bonrieu ... 9

Figure 8 : zone aval 2 : lit mineur du Bonrieu ... 9

Figure 9 : Classes d’hydromorphie (GEPPA 1981 ; modifié) ... 10

Figure 10 : Zone amont : localisation des investigations ... 11

Figure 11 : Zone aval : localisation des investigations ... 11

Figure 12 : Zone de dépôt des matériaux : localisation des investigations ... 12

Tableau 1 : récapitulatif des sondages à la tarière manuelle ... 13

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1 Présentation

1.1 Contexte et objectif de l’étude

Des travaux de sécurisation sont souhaités par la ville de Saint-Jean-de-Maurienne vis-à-vis du torrent du Bonrieu. Les relevés des habitats le long du torrent montrent la présence d’habitats humides, impactés par les travaux. Afin de préciser la limite des zones humides alluviales, le Syndicat du Pays de Maurienne a réalisé le 25 janvier 2018 des investigations pédologiques pour connaître la surface de zone humide impactée par les travaux.

Figure 1 : Localisation des travaux projetés par Saint-Jean-de-Maurienne (Abest, 2016)

1.2 Présentation du projet

La partie du torrent qui fait l’objet de travaux s’étend depuis le lieu-dit les Rippes jusqu’à sa confluence avec l’Arvan.

Les travaux se divisent en trois types :

 L’aménagement du Bonrieu,

 Le remplacement du pont Désogus,

 L’aménagement d’une aire de pétanque avec les matériaux excédentaires.

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La zone de travaux d’aménagement du Bonrieu est divisée en trois secteurs :

 Secteur amont : entre la digue des Rippes et le pont Stycsinsky,

 Secteur médian : entre le pont Stycsinsky et le pont Desogus,

 Secteur aval : en aval du pont Desogus jusqu’à la confluence avec l’Arvan.

Figure 2 : Secteur des travaux d’aménagement du Bonrieu (Abest, 2016)

Pour la partie amont, les travaux vont consister à élargir le lit mineur, à créer un remblai derrière la digue des Rippes et à la prolonger.

Pour la partie médiane, des gabions seront remplacés, une protection en enrochements libres installée en pied de berge, le pont Désogus sera remplacé, le lit en amont du pont sera curé et la berge en rive gauche sera rehaussée.

Pour la partie aval, une banquette en rive gauche sera supprimée, des enrochements libres seront installés ainsi qu’un merlon devant l’ancienne protection. Un chenal d’écoulement secondaire sera mis en place et le lit sera progressivement élargit jusqu’à la confluence.

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2 Critères de définition d’une zone humide

Les documents utilisés pour la définition des zones humides sont :

 L’arrêté du 24 juin 2008 (modifié par l’arrêté du 1er octobre 2009) précisant les critères de définition et de délimitation des zones humides en application des articles L. 214-7-1 et R.211- 108 du code de l’environnement,

 La note technique du 26 juin 2017 relative à la caractérisation des zones humides,

 Le guide d’identification et de délimitation des sols des zones humides du ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie (avril 2013).

2.1 Le critère relatif à la végétation hygrophile

Les éléments de définition des zones humides selon le critère « végétation » sont de deux natures :

 L’identification d’espèces végétales hygrophiles inféodées aux zones humides (iris, carex, joncs…)

 La présence d’habitats naturels caractéristiques de zones humides, tel que réalisé le long du Bonrieu.

La liste des espèces végétales inféodées aux zones humides est issue de l’annexe 1 de l’arrêté du 24 juin 2008 ainsi que la liste des habitats caractéristiques des zones humides.

2.2 Le critère relatif aux sols hydromorphes

Le conseil d’Etat a considéré dans un arrêté récent (CE, 22 février 2017, n°386325) « qu’une zone humide ne peut être caractérisée, lorsque de la végétation y existe, que par la présence simultanée de sols habituellement inondés ou gorgés d’eau et, pendant au moins une partie de l’année, de plantes hygrophiles ». Il considère en conséquence que les deux critères pédologique et botanique sont, en présence de végétation « cumulatifs ».

Deux hypothèses peuvent se présenter (selon la note du 26 juin 2017) :

 Cas 1 : en présence d’une végétation spontanée, une zone humide est caractérisée, conformément aux dispositions législative et réglementaire interprétées par l’arrêt précité du Conseil d’Etat, à la fois si les sols présentent les caractéristiques de telles zones (habituellement inondés ou gorgés d’eau), et si sont présentes, pendant au moins une partie de l’année, des plantes hygrophiles. Il convient, pour vérifier si ce double critère est rempli, de se référer aux caractères et méthodes réglementaires mentionnés aux annexes I et II de l’arrêté du 24 juin 2008.

 Cas 2 : en l’absence de végétation, liée à des conditions naturelles ou anthropiques, ou en présence d’une végétation dite « non spontanée », une zone humide est caractérisée par le seul critère pédologique, selon les caractères et méthodes réglementaires mentionnés à l’annexe I de l’arrêté du 24 juin 2008.

Pour la délimitation des zones humides le long du Bonrieu, nous sommes dans le 1er cas.

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3 Délimitation de la zone humide

3.1 Contexte géologique

Le Bonrieu est un affluent rive gauche de l’Arvan, ce dernier draine un vaste bassin versant fermé au sud par les massifs des Grandes Rousses et des Aiguilles d’Arves.

Selon l’extrait suivant du site GEOL-ALP, par Maurice GIDON : « la partie ancienne de Saint-Jean-de- Maurienne était bâtie au débouché aval des gorges de l'Arvan sur des pentes douces qui sont celles d'un vaste cône de déjections. Mais, contrairement à ce que l'on attendrait, ce cône n'a pas été édifié par l'Arvan : il résulte de la coalescence des apports de ses affluents de rive gauche, qui descendent des pentes sud-orientales du massif du grand Chatelard (Saint-Pancrace, Jarrier). La prééminence de ces apports alluviaux sur ceux de l'Arvan résulte de ce que ces pentes sont parcourues de ravines qui affouillent activement et efficacement les terrains tendres (schistes argileux et calcschistes) du Jurassique moyen de la zone dauphinoise. »

Figure 3 : explication du contexte géologique du torrent du Bonrieu – vu de l’est, depuis la route menant à Montdenis (source : www.géol-alp.com)

Les terrains notés Aal sur la figure ci-dessus, sont des terrains de l’aalénien, contenant des schistes noirs silico-alumineux, très peu calcaire, à nodule très durs, noirs, siliceux et pyriteux (extrait de la notice de la carte géologique 1/50 000 de Saint Jean de Maurienne – BRGM). Ils affleurent surtout à partir de la crête reliant l'Ouillon au Grand-Châtelard et dans tout le bassin de Jarrier—Villarembert, sur le bassin versant du Bonrieu.

La zone d’étude est située sur le cône de déjection de ces torrents, formé en partie par des schistes noirs.

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3.2 Investigations géotechniques

Dans le cadre d’une étude géotechnique préalable aux travaux, 6 sondages à la pelle mécaniques ont été réalisés en 2015 ainsi que deux panneaux électriques. La localisation de ces sondages est présentée sur les figures 10 à 12.

Sur l’ensemble des sondages, une seule venue d’eau a été observée en fond de sondage sur TP1, à 3.4 m de profondeur, dans la partie amont de la zone d’étude. Les autres sondages ont été réalisés de 2.4 à 3.2 m de profondeur.

Les résultats des panneaux électriques, réalisés sur le secteur amont et le secteur aval, le long du Bonrieu, ne montrent qu’un seul niveau d’eau vers 6 m de profondeur par rapport au terrain naturel pour le secteur amont.

Ces résultats montrent l’absence d’un niveau d’eau de surface sur l’ensemble de la zone d’étude : le long du Bonrieu et sur la zone de dépôt des matériaux excédentaires (futur terrain de pétanque).

3.3 Définition et délimitation du lit majeur

Le lit mineur, pris au sens du SDAGE 2016-2021, est défini de la façon suivante : « le lit mineur est un espace fluvial, formé d’un chenal unique ou de chenaux multiples et de bancs de sables ou galets, recouverts par les eaux coulant à pleins bords avant débordement ». Sur la base de cette définition et à partir de la carte topographique du secteur, le lit mineur du Bonrieu a été défini.

Figure 4 : secteur amont : définition du lit mineur

(8)

Figure 5 : zone amont : lit mineur du Bonrieu

Figure 6 : zone médiane : lit mineur du Bonrieu

N

(9)

Figure 7 : zone aval 1 : lit mineur du Bonrieu

(10)

Le Bonrieu est un torrent, avec une pente moyenne de 7.5 % sur son cône de déjection. Il est réputé pour former facilement des laves torrentielles boueuses qui ont déjà causé des dégâts importants. La morphologie du torrent a beaucoup évolué sur le dernier siècle. Aujourd’hui le lit s’est encaissé d’environ 2 m par rapport à l’ancien lit.

Les bancs de sédiments sans végétation et la végétation des alluvions torrentielles présents dans le lit du Bonrieu se retrouvent fréquemment recouverts par les eaux voir les sédiments et remobilisés par les crues ou les laves torrentielles du Bonrieu. Ces habitats humides localisés dans le lit mineur du Bonrieu ne sont pas considérés comme des zones humides et donc ne relèvent pas de la réglementation zone humide.

3.4 Sondages pédologiques

L’engorgement des sols par l’eau peut se révéler dans la morphologie des sols sous forme de traces qui perdurent dans le temps appelées « traits d’hydromorphie ». Les sols de zones humides se caractérisent généralement ainsi par la présence d’un ou plusieurs traits d’hydromorphie suivants :

 Des traits rédoxiques, qui résultent d’engorgements temporaires par l’eau avec pour conséquence principale des alternances d’oxydation et de réduction, qui se traduit par la présence de traces d’hydromorphie,

 Des horizons réductiques, qui résultent d’engorgements permanents ou quasi permanents, qui induisent un manque d’oxygène dans le sol et rcéent un mielieu réducteur riche en fer réduit, qui induit une couleur bleu-vert au sol,

 Des horizons histiques, qui sont entièrement constitués de matières organiques (par exemple sol de tourbière) et formés en milieu saturé par la présence d’eau durant des périodes prolongées (plus de six mois dans l’année).

La figure ci-dessous illustre les types de sols considérés comme zone humide (ZH) et ceux qui ne le sont pas.

Figure 9 : Classes d’hydromorphie (GEPPA 1981 ; modifié)

(11)

Figure 10 : Zone amont : localisation des investigations

N

N

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Figure 12 : Zone de dépôt des matériaux : localisation des investigations

Les investigations pédologiques ont été réalisées le 25 janvier 2018, à la fin d’un mois de janvier ayant eu une pluviométrie importante (241.4 mm à Jarrier selon le site infoclimat). Des précipitations ont eu lieu quelques jours avant la réalisation des sondages, du 15 au 22 janvier, pour un cumul de 122 mm.

Au total, 14 sondages à la tarière manuelle ont été réalisés ainsi que 2 profils de berge. Ils ont été répartis dans les zones d’impacts prévisibles du projet sur les habitats humides. 6 sondages à la pelle mécanique ont été réalisés en juillet 2015 pour des investigations géotechniques, leurs résultats ont été pris en compte. Les cartes ci-dessous présentent la localisation de ces investigations. Lorsqu’un refus a été rencontré rapidement, un deuxième sondage a été réalisé à proximité (environ 10 m) du premier, le sondage s’appelle alors Sxbis.

Le tableau page suivante récapitule les résultats des sondages à la tarière manuelle. L’annexe 1 présente les coupes pédologiques des sondages ainsi que des photographies réalisées pour chaque sondage.

L’annexe 2 présente les profils de berges.

De nombreux sondages n’ont pu excéder les 60 cm de profondeur en raison de la nature caillouteuse du sol. Certains sondages n’ont pu être rattachés à la nomenclature des classes d’hydromorphie du GEPPA.

Rappelons que les sondages ont été réalisés sur un cône de déjection issu des torrents rive gauche de l’Arvan, qui s’écoulent sur un sol principalement composé de schistes noirs. Les sols rencontrés sont très homogènes, ils révèlent un premier horizon de surface riche en matière organique puis un horizon généralement limoneux, gris bleuté, dans lequel quasiment systématiquement de nombreux schistes noirs ont été observés.

Aucun niveau d’eau n’a été observé dans chacun des sondages, ainsi qu’aucun sol de type réductique ou histique. Aucun des sols sondés ne présentent un caractère humide d’après le type de sol, selon le GEPPA.

N

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Seul le profil S13bis présente quelques traces d’hydromorphie non marquées, ce qui ne traduit pas un caractère humide.

Deux profils de berge ont pu être relevés sur site, pour compléter les sondages : aucune trace d’hydromorphie n’a été relevée, sur une hauteur de 1 m à 1,5 m ni aucun niveau d’eau ni aucun sol de type réductique ou histique.

Tableau 1 : récapitulatif des sondages à la tarière manuelle

N° de sondage

Profondeur atteinte (cm)

Description des traits d’hydromorphie Statut humide d’après le type de sols (GEPPA,

1981)

S1 90 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie Non humide (classe ≤III) S2 80 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie Non humide (classe ≤III) S3 60 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie Non humide (classe ≤III) S4 90 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie Non humide (classe ≤III) S5 40 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie indéterminé S5bis 40 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie indéterminé

S6 80 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie Non humide (classe ≤III) S7 30 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie indéterminé S7bis 60 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie Non humide (classe ≤III)

S8 40 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie indéterminé S8bis 50 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie Non humide (classe ≤III)

S9 60 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie Non humide (classe ≤III) S10 30 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie indéterminé S10bis 50 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie Non humide (classe ≤III) S10ter 80 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie Non humide (classe ≤III)

S11 40 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie indéterminé S12 80 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie Non humide (classe ≤III) S13 40 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie indéterminé S13bis 150 Rares traces d’hydromorphie en dessous de 50

cm Non humide (classe IIIa)

S14 60 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie Non humide (classe ≤III) S14bis 80 Refus de tarière – pas de trace d’hydromorphie Non humide (classe ≤III)

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4 Conclusion

La pente relativement importante du Bonrieu sur le site d’étude et son caractère encaissé font qu’il n’est pas propice à accueillir des zones humides alluviales.

Les sondages pédologiques réalisés le 25 janvier 2018, après une période pluvieuse, n’ont pas rencontré de sol de type réductique ou histique. Quelques traces d’hydromorphie ont été observées au niveau de la zone de dépôt des matériaux sans pour autant montrer un sol de zone humide. Aucun niveau d’eau n’a été observé dans les sondages, malgré la forte pluviométrie du mois de janvier. Aucun sol de zone humide selon le GEPPA n’a été observé.

Les niveaux d’eaux observés en 2015 lors des sondages à la pelle mécanique et sur le panneau électrique amont montrent qu’il apparait entre 3 et 6 m de profondeur par rapport au terrain naturel, ce qui confirme l’absence de zone humide le long du Bonrieu et sur la zone de stockage des matériaux.

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