Scientifique
universitd
8
Mai
rg4s
Guelma
Facurt;d
cres
Mathd'matiques et de l'Irrformatiqu:e et des
Slciences
de la
Matidre
D6partement de
N{athdrnLartiques
iPr6sent6 en vue
ffiffi"n
dtudiptonne
de
Master Acad6migue en
Mathr6matic;rues
Option
:
Math6martiques
apptiquries
Par:
M"rr"
ABDrroUl
lmane
Intitul6
piriqe
eqr
: Dr
HA|MLAOUI
t\.Hamicl
PRESID]ENT
RAPPOIiTTETI,EXAMII\{ATI|]
Devant
lejury
Dr.
BADRAOUT Satah
Dr.
HAMLAOUI
A,.Hamid
Dr. DEBOUCH
AmrarProll
MC,{
MCA.
Uni'v-Guelma
Univ-Guelma
Univ'-Guelma
Je
p16:,;id
Remerciement
tout d'abortd
i
remercierALLAH qui m'a donrr6 le courager, la sant6, et la volont6 pour rdaliger ce modeste travail tout au long de mes ann6es d'6tudes.LAOUI A.lilamid, que je remercie de m'avoir inspir6 lc' cftoix de ce sujet, pour son
ement et ppur ses pr6cieux et judicieux conseils qu'il n'ia cess;6 de me prodiguer
tout au long de ce tra'vail.
honor6 que Prof BEDARAOUI Salah, ait accept6 de rarpporter mon travail et de
n jury de M6moire, je le remercie pour ses conseils et ses pr6cieuses remarque. mercie Dr DEBOUCH Amar d'avoir acceptd d'elxaminer nrc,n tTavail, je suis tres
heureux de le voir participer a mon jury.
ments vont 6galement a torus mes enseignants det I'univr:rsit6 de Guelma qui
m'ont aide pendant mes ann6es d'6tud,e.
tous qeux qui ont particip6 de loin ou det prds
i
la r(ralis;ation de ce travail.ehAYl
9
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matidres
toriqueTh
1"
Inl;
1.1 3 3 .1 .2 .3 8 8I
10 .1 .2 .3 12t2
L2 13 14 15 15 L7 19t9
19 2T 22 23 23 27 27de
tla{e
fondhnientaux Espa(eC'(0),
r
:
0, 1, ..., oo EspageD'(CI)
Espa{es des fonctions Lebesgue-int6grables
tC de
4(0)
dans les espaces fonda.rnentanxCo:rvdlution des
fonctiors
R6guJarisation....
Tbon{ature
de
['unit6
butiorfs
ion et propriet6s Ol6mentaires .
1.1
Exer$pies dedistributions
1.2
Lirnite
dedistribution
1.3
Restdictionet support
desdistributions
ivationL dbsdistributions
2.L
Distrfbution
r6gulidre2.2
SuiteFet
s6ries de distri'butions2.3
Disrtflbution
a suPPort born6D€finition
'LN
.D 27:i3
4to ,t0 *0r {5 45; 5.2.'t
Convolution,der solurti.on
forrdamentale
ion de Lapkrce
.1
Solution fondarnentale d.ela
chaleur(l
Int
duction
l){otre pre,rnidre dans ce m6moitr:,
€tait
d'6ctlaircir les liens entre des obietsmat;hil
rnatiqu,ers
, sitrilaires, d
savair les foncl;ioru de(]reen
(Green puirs Riemann),les sohrrtbi 6l6rnentaires des op6rateurs
(Hadarnarrl),
et
les so.lutions fondanrrentalesdr;s
iels
(Schwartz).
La
taciie
parfit vite sortir du
cadle d'rur
m6moire c[e Iv4a^ster Ies prdlinrinaires semblent interminables, et, nous nous sommes conte.nt6s cl'u,nblef
ra
historique,
del'introduction
des ingr6dients essentiielsd
ra
cc,mprrSherxion dud6linition finale
adrnise dela
soluticn
fon<lamentelk:cl'rrr
op6rateur,et
de sonsujet,
ck:a4rplicatbi
dtx
exemples de probldrnes relevant; des 6quietionisaux
d6.riv6es partiellt,scknsiq plus usit6es.
11,,1
torirque
L,er, th6crn:i
distributions a
prouv6,
aujould'hui,
son imp6r'ieuser n6cessit6, clans 1'6t1deaux
d6riv6espartieiles.
En
1975,R
-8.Browcls:
alffirma: 'En
consid.6r:mtdes 6qu
ies appli de I'analyse fonctionnelle dans les 6quations
au;
d€riv6es p,artie,lleset
cleu:sI'a,nalys,e ier, la th6orie des
distributions
s'avdre comme le t;oru:nant le plusimportant,.
Les
pour le
d6veloppementde cette th6orie,
Asavcir,
le,calcul
op6rationnel ded6riv&ls gdndralis6es
et
les srolutions g6n6ralis6es des iiquatiorLs dilf6rentiellesr, Iller,avisi<leles trans de
]lorlrier
g6n6ralis6es,la
rffonctionlrdelta def)irac, et
d'autres
foncticnsient cl'utilisation
fr6quente,jusqu'en
1950, qua,ncl l.e p'remie,r xnonographe sundistribtitions
fut
publi6 par
L.
Schwart:2. Depuis Lors, les math6maticiens e;hs'attel)rer*
A,utiiiser
lesdir;tributions
{lou fonctjlons 1g6.n6rali.s6es) clans le.turs larles
les protilAmes des math6,rna,tiques appliquOes
et
d,a lau physiqne thL6orique.te
hist;orique, J.e dGveloppement de l'arralyse fonicl;ior:melle cr:rntm(lnga avec ,at,}L6orie 6g:alm.
<le fonr:
ique
(i.,e.,non-distributionnelle)
du
calcul variationncl
et
der; 6qrrationsintl!
(190(i), d6veloppala
th6orie des espaces foncticnnels abstreuits el;du
concept,
qui
est
unefonction
A, 'valeu's r6e.1J.es, d6finiesul'
un
€spr616s de fonctiorrs(1'enserrr des fonctions admissibles).
Il
s'attendait,
A,I'aide <1u. r:alcul variiationnel, dtrou-ition
de la diff6rentielle d'une fonctiorurelle (qui es1; tuLe int6grale variationnelle), e eus$€) un extr6mum erl unpoint
critique. Hilbert
(1912), motiv6 F,ar la th6r:riecle Fleclholm,
trouva
une &privalence entre les 6qrrer,ti.ons int,6rgrak:s et les sys-d'6cluations alg6briques d, u:reir:finit6
d'inconnuex.
Sa rccherche Ie rnena rrers de carr,3 int6grable, et les suites au carr6 sommabJe, <1ui leur so,:nt atisoci6*s. Lrls espacestbert
el;ia th6orie des6quatio
s int6grales devinrent sipprificatils da:rs les a,nn6,esd.eveloppe,ment de
la
m6can.iqrre quanti,clue, quarrdvon
Neurr:Larrn (1927) 6tataaxiomatique des espaces de
llilbert
s6pa::ables. Ses recherthesrfurent
pr6c6cl6,r:sp{}l UII{} axiornatique, des €spa,c€$
I?
deBanach dans les 6<1uatio.rui intOgrales, due d r/(lr un€l de sortr: <lr;s 1;trrnes i les fon<: :1.920, JRiesz ( t:r 932), rrr.aine, lfuirent lFIilbert, tionnel te,rfd rebstraitL'un
<les plus grands compl6ments e cetravail,
firt; .[apublication, per
Banar:hth6orie des espaces lin6aires. Cependanr[, la pluprart des rech€:rchesi dans ce dr>
, pl.us
tard,
dans les arur,6es 1960, lor:sque les r6sul1;ats, les phrs int6ressanbsdans
la
th6orie des espaces norrn6s.La
th6orie, iles op6raterurs funt6graux, tlesur bs travaux
deMurry
(.1935)et
devon
Neurn.arur (1935), ent;raina, alols, l.e d6ve clela
th6onie des op6ra1;euls.En ll. Sobolev, dans ses recherches sur'les .E.D.P, comnrenqa l'utiLlisation des
fcrnc-fonctions g6n6ralis6es. -L'absence
d'un
fondement rigoureux dela
foncl;ionrl:ita
cik:ac,
et
une
incompr6hensionde
la th6olie
des espurceriduals,
fut
causede
re-ddvelcppernent de
la
th6orier des fonctio,ns g6n6ra,1is,3es. Cependa,rLt,ia
th6oriela dualit6 des espaces n'est pas, d elle seule, A I'origi:re de la th€orie des
distri.bn-rbions de:
.
I-,'espaceCf,
ainsi que I'a,nalyse frrnctiomrelk; arranc6e,fulent
6galem,ertt,tlr6orie abstraite
des op6reiteurs, appli.qu6eaux
cpr6::ate.urs r:liff6r:entiels? cotl-:nut desisatigns. En
1927et
1930, von Neumann ddvekippala
th6orie des op6rateurs .nr0II da.ns les espaces deHilbert,
et
prouvale
th6ordmr: spectralpour
le,s op6rateurs iar:to-ar:1j Fliedrich.s (1934), trourra une m6thodepour'6tendle
un opd:rateur syrn6triqre, et; consbmisit l'e.xtension aut,c-adjointe d,e cet op6r'a1;eu:: (trliedr:ichs, L939). Phrs
l;arrd, en,
,
il
prouva l'6quivalence entre les exten:sions faib,leet
forte,
d.etout
op6rat;eurrilff
u
ler
cx'dre, A coefficients de classe C1.f,es
th€oriers
cleSobolev
(
fonctions
)
et
Schwartz
(distributions)
sont
llesfoncleinrents
de
trath6orie
mrocl-diffdrentiels.
Bim
que SoboJ"evet
Schnrart:z aient ,(:tend.u le conc:eptelrte
<le foncr
et
certaines op6rations classiques sru les jfonctionrs dun
domaine plus 1arge, rafm le probliirne de Cauchy, les aubres math6maticiensr rntilis,brent di'rerses g6n6ralis,a-tirons des fonctionnelles lin6aires continues surlln
icertain espace fonctionnel, Il:s op6rattrn:nta
:r.1)82).ioints, et la convergence dans cet espace de foncl;i,crLs. 'On
dit
quettlJobolev
irr-,
dams sie trTh6orie desDistributions
(19150), cl6finit uuLesolution
fondarnerrllale (l"uncliff(rentiel
Jl,
relative
d un point
{,
comme, rurt;distribu.tion
ut
telle
qrre)|,(dt)
=,= masseunit6
aupoint
{.
Sitr"
estl'arljoi:rt
de I'op6rateurtr,
aJ.ors l:r solutior:L <leI'ilquatii
-(u)
:
g) , pourtoute
g
e D,
est donndepar
u({)
== uii(rp). Sil,
estii
coefficienbsconsta,n
tr,''
:
t4lisolutio:r fondaurentale relati'i'e A
{
peut 6tre d6durite dle la solutiLon fondamentaletive d I'origine, par une simple
translation,
La
th(krr:iel rnoderr:re derssolutiorm
d6pend essentiellement
de
la
distribution
r5.(]n
se rlerma,nde c;ornn:ent le fonctions de Green,introcluit
il
y
a
longtemps, err .[828, peur George Gree:n, dr:rdirts
son scr'lutio:ns I'onctiont\.*u(n,ti
I'(quad.ret
coilsb ) ltvecbutbions,
mais
Schwarl;z
cr€a la th6orie
deridjistribul;ionsi" (Liitzerr,
des probldnles
aux limites en
6lectr:ostatique, cle'irint sigpificertifpour ltx
,{)
e
Cl3(ft\{{})
,d6finiepar:
u(r,€)
:
Fh*,7(r,),
ot1€
ff(CI)
, v6rifia,rrt0
,pour'tr €
fr\
{{}.
n
d6finib donc, sansla
nomrmrer:, Ia fonc{;ion de Greenporr
Laplac,e, au
facteur
*
pter.
C'estRiernann
(1.ti513159)qui
lr-ri donna le nrrnr,t
la
forrction de Green du prc'bldme hyperboiique tr1iu):
u.w -- m(u,**
ur)
.:
6initiales de
n, et
ff
sur AQ.Il
prouva que:.
Quand les solut.ions fondarnLentales s,rn.t s,ltunisesi d de,s conditiormaru
lirril. elles sont, souvent, appel6es fionctions de Green, bien que la disl;inction entre })s{lt)ux, 1,'i
'un auteul
dI'autre.En
s'int,3ressant aupotentiel
dl.ectrique "[/ dans une r6gion{1 ,
t
confront6 dl'6quation
AV
-
0 dans f,) , avec des rlor:m6es su:r Of,),Il
trouvrelaf[r.'r:
--
'uL*(;))df,
-
--[unlo(*
-
m,u)rtr+
u(H
+
n'Ir,,)dtip()ur
A
zurr6e 1€r, cl(ifiniti rrot.ion (:lrsrnen ( 1 e32)I,l'(r,
{,f sicrlutioi:r hl.per Itie:marr:n lbrrne u*(r,, oti U''{r'
-- 6or, I)anrssol
Ie
cas sicr,it, le < lecherci'6qua,tion des ondes dans j?2
et
.R3.d€finition
dtune solution fiondamentale ntest
alpp:rrue
avant :t918.
Cetteintroduisit,
dansstn liwe, trois
objett;inrpo'rtarts, rlui
sont:
(L)
la
'un
proh,l0mebien pos6;
(2)
La dEfiniti(n
d'une
solrntion 6l:nnentaire;(3)
['a
fitrie
d'ture int6grale divergente.
Pal
exem.p'le, e.n d€fi:rirssantla
solutic,n de 1'6quationelliptique
Au
1-A(r,y)u*-F
B(r,y)uo
-l'C(r,U)'tr':0,
Hadamardcomrno solution 6lementaire, la fonction de Green: tl*(ir, €)
:
l'"I(r.{i)
logi;i*i
+U
et,W
sont
des fonction-sr6gulidres.
Un
autre
€ixeruple est' son choix der Jaire U
log[(r
-
€o)(fy-
r/0)]*
]F
,ot s
,:
(r,
'y) et ,f:
({o, r7,r'), pourl'6quaticn
:
.L(u)
-
Irau*
Au*
-f BW
* Cu:
0
.
I)ans les cleux cas, U' estla
fonction
c[e I'op6ra1;euladjoint,
i.e:
U
v€rifieL-(U),:
0
.
Cr: qrriAtabiit
unerelation
entl:e de Gre,:net
rie Riema,nn.En
consid6ranLtl'6quation
g,3n6rale ,lans.B"
, d6fiLntie\' 1.. 6'u
-r.
\-
Bu#
+
,Cu:
f
,
il
trouva
lzl r;c,ltLtion dlemenrbaire sorxl ,Jaift1
""'Ar"A*o'
n?,
I
u(1'5L"po*
n
imrpaire
)
T(,'t)-T
\
-.,| +{%-
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}'logf
(",
€) p'our rz paire\
f(c,t;)-z-sont deri fonctions holomorph,es, ii valeur <1orur6e en
{
, etf
(r,
till: l(r,
U, €0, t?o) '= rla):0
, estI'dquation du
cone caract6ristique nonla1,, A sornrnet aupoint
{.
, ce;tte solution se
r6duit
,4,i;h
+
r"(r)
,ot
? e Ctili0)
(vue p.Lushaut).
Il
es&,,
prouv€
que a*(r,
f)
,
d6finie
plus haut,
est
la
formra
g6nr6rale de, ilade
l'6quation
rdusecond
ordre
elllillt;irtrue. Cepenrdant,
darusla solution
€lemientaire
u*1,n,{)ntest pas une solul;ion
fonrda-elle ne
v6rilie
pas
.L(z*'):
d ,
pour
une diistbributiort'dr*.
tQuoiqu'il en de solution 6lementaire d'.Hadarnard, a 6t6 un r:6el p'rogrds '1i;',ers le traitem.eritdistribut
el des op6rateru:s.d, ou fonction
deDirac,
est Ieprinr:ipal
ob.le:t r6r'6lateur de I'incoh6renr:e des t.ravaux scientifiques del'6poque.
Sa d6finit;ic,n. comme rfilasse) ou cha:rge,ltr.tnctu,e
6t6
utilisAe dans
tous
cestravaux,
sansrigur:ur :m.ath6rnatique.
pt15
srr3srn6ca,lLique quarrtique, concr:mant une anaiogie tnbr:e les varii:r,blet O't.t61es
l*
(1926),la ddfinit
cornme6tant
une:fonction (,irnpropre)vilrifiant:
d(r)
'= 3,
*t
_.f A{,"
}
d,r
:
1
,
aver une
multitude
cl,a p,r,opri6t6s ii.nclururt
d
et
sese:
I
I
cl6rivfus,
side
(11 tr.:1En
,a1;J
At -oo Dirac]. FI
f
(*]
E(,
-
()
rc* -oo-
/({)
,
*
_i.f1'}
6'(*
-
€)
d*
-
-/'({;)
.Si<m
ubi
,
dans lrestravaux
deMaxwell
sru
lasmutip0leri
l:,Mi:M#68;-d6tant
la
distri-tnrtion
electriquesdu
multitrrole,ori
M,i, estla
,charge,de
la
particule
i
et lii
tttr""
drD d.e cetteparticule),
deFourier
qui
n€r:esr;ite, entre autr€r, loexistence<le
limites,
'P+&*!corrrmeti* *99 :
r6tr
- {)
(""
nobatio:n moderne), deHearrSr-,
qui
obtielt,
pax exemple,le
potentiel 6lectriQlt)
,0rlun point
fi
,
d
l'insta.rrt1;
,dfiri
oo
,f
f,
sincharge plac6e
au point
€
d'rrn
cable de longuetu
l' ,
comrne:
d(r
-
€)
:
sin';"{;
, e.t d.'autres expressionsincluant jusqu'd la
tlansforrrr6e de Fourier',
la
forrction d.elta a connu, avant 1-945, quatre dr3finitions, a, savoiir:(t
'lt(
:-*H(r),
[Heavyside];(ii)
5(r): jgg/,,,ru
5
==Ef*
po'ur
certaiines;ti
oo
,fForuier,Kirchhoff, Heaviside,Jordan
et
Paulil;
(iii)
5(r)
: 0
pour n
'*
O:
1
lDirac,
Heavisidel;(iv)
f tb)
d("
- il d*:
/(€)
fFourie:r, Heavisid,e, d6fin.itionsont trouve
f"*:*f;ncation
dansla
ttLfui:ie d.es d-istrilcutions.Co
2.1
Lemrrre
ment(,t
En On :2.1..1si
elsi
elAi
==itrr:
2
pts
de
base
pac€|s
fondarnentamx
L
(pr€,lhni,naire) Soi,t{l
un otwert
nort, vide dansW,
attnrs 'il er;isteun
recowne-de
dl lsar des ouuerts relat'iuernents compacts tels qu,eDi
Cai+{@o:0}.
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et
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C
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est comlpact. 3'.r1,
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C'(f,I)
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/ : fl -r
C,
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lD"
f
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(
r
et
K
esturl
compact cle O.Don.c, convergerrce da,ns
C({l)
se d6.fi:ritpar:
unesuite
(/,)r
c
C'(n)
converge ri/ers rl]tef
e
C''{Q}
ssi: Vor€
N', l"l
S
r
,et
pour tout
c'mps61
.K
de
fl,
la
srniteI.D" 7"1 vers
DoJ,
uniform6ment;sur
K.
2.2
{YtA)
estun
espaee de. Fr1chet.(ud':
e.u.t, Iocalement conuere, s€po,r4, d base dEnombrable d,e,. ao'is,inages, et comptet).il
suffi.t demontrer
que C'(CIt) aclmet unefarniile
drinombrable de semi-nonne"sil
est complet.'j
:
6j
orl lescrr3 sont d6finies dan*s le
lemme.
Alo:rsirk;,-][ff
est une famirte de serni-nonnes corrtinues surC"(f,})
puisque:VK
de0, ljo
e
N
tel
que JTc
Kio,
d'ori
Px,,",(.f)1
Px,on,(f)
,et,
d'aurtremt
identiquerA {P3}
or) prart {J:lI
C
{Px,^}.
Remarquonsqlre
sur
C*(Q),
{Pxo,-}
PiU)
=lD"f
(")1.
Mon que
C"liQ)
est complet.Soit
r
Vrt,rrn;,
;
(f")
suite de Cauchy dansr3(fl),
cdd,VK
compract de CI, Ve>
0,1n6 tel
que estPx{f"
-'
f*)
:
su!
lf"(*)
-
}'*,(r)l
<
e ; donc(/"(,r))
est de Cauchy dansC
,quit€I{
d'ori 33r(r)
:
)ryf"p),
Vr € I{,
cequi
d6finit;la
fo:nction/
sur
K ,
et
la
d.
fn
ve,rsjf
est uniformesur
K,
cdd/,"
--+/
diurs C(O).sup
l/(r)l
engendre la topologie de la convergence r:onrpacte surC(fl)
: classiqrre!) KK
la
corlergence uniforme surK
entraine queVi.
e:!"=
PL.Ct:ti dzi
;
(f")
suite
de Cauchy dansC'(f,))
signifie que pc,urtout
rr fix6,
lcl
(
r,
l;a est de Cauchy da,nsC(fl),
doncDofn
'l*f-
dzursO(fl).
: f
,,et
urontronsque.f"
:
D"f
,par
r6clre1ce,sur
lrrl.
f^- f
darrs C(CI),donc
fa:
Dof
:
f
.que
pom
l*1: *<
r,
onait
/"
:
Dof.
P*,*(f)
-
sup
sup lal<mn eKEn
con(P*(,f)
On saiSoit r
sui.te(I)"
Poso:nslal
:o
alors
f*:
fr;(D*f*)
-
h,(f"):
**n"f
:
Do'f
:,/,,',donc,va,
lal
llr,
D"frr--+
.D*f
f,)), ce,quisignilie
euefn
+ /
dans C"(CI)."2.1.2
:D6flni
Sir
bests.
dans C]').),.
On que
supp/
:
{r
€
f}:
/{r)
+A}.
Mruri
la
norrrreet du produit
desfonctions,
et
dela
multipiicatior:.
par un
scala,ir:e,D'(rt)
alg6bre(topp,f
'!
Csupp/
n
suppg);
c'est auss.iun
mqrduleunitaire
sur.l',annecrr,u
c,"(a).
,
,*(lfr)
senote
t(fr)
et
s'appelle espace des fortctions d'essai,ou
fonctjionsD'(C))
2.I
On, noteD'({7)
I'ensemble des foncti,ons de clo$seC'(A)
tt, support compa:,ct1.
(Eremple
type) /,rl,,)
: { fr
lol>rl. ce i-lcl- pour lnl<1
oti
lrl
:
Jd
+...
+
r':f; et_I
T:t"F
dr
l'€,lCment standard de
D(IR")
,anr elle u1ri,f'e:_f
1
€
D(SL"),
0t{*)
2
0,
Vr
€
W,
supp
01:
B(0,
l.)
et"l
0{r)ttr:7.
$|.4
O, on a!,6finit
0"(n):
*et(:),
alors0, €
,(R'),
9")
0,6(0,
e) et
[o"{u)ar
: t
]Rfl
Poztr sup)l?
de
D'(10)Soit
K"pact
de{t
et
Di*:
{f
e
C'(fl)
:
supp/
C
K},
eilorsD'(fl):
llnD|(0)
,:ri '6tend 5, tous les compacts der CI.hl
Dkil
munjLnaturellernent de
ler,topologie
induite
pa:r cr;llede
C'(fi|), cdd:
unesuite
(l
C
D}(f))
convergevers
/
,lans
Dfr(O) ssi: Vo,.
l*l
<
",
(D"f
,,)
convergev'ers D'o unifonnriment
sur K.
2.9 D'k({l)
estun
esI}ace'Ce Fr€.chet.
fcK.
.Rema
2.!
Er'v pr"en'ant K.i:6j
,oil'
lesui
sont d6fi'ni's ala"ns l'e lemm'e' on' a:.
D't
:
-u
tl(-(f))
)
c
Dftr*,(ft)
Enr
rtrue D'[g.Dk
En
d.efl,
,"(cr)
restrit.ll
u
vri
0 danr,ly-r11r)
,D'(f,r,), IN(ii)
En suiteryo(fl)
c
c''(CI) et
c'(ft)
estun
espace de Frachert. 11sufit
donc dLe remaxctuerest fenn6
dansc'(f,I)
,car
si
f
est
limite
d.'uTlesuite
(/,,,)
c
Dir(fl),
on
a, une
suite
(f*)
c D'(t})
converge vers/
clansD"(f,}),
ssi,:l fil
com;pa'ctdans
D[(ft).
(/r,*) converge vers
/
des
Epplications linEaires
sur
D'(fl)
2,4
,JoitX
un
espCI,ce aectori,el topologique(e.a.t,,1, Iocalement conuete,elilll
:x
une
appli,cati,anli,neni,re.
Alors,T
est continue
stti, vK
compact ded|,
Iade
T
d,,D[(f])
est conti,nue.?
cont.inue.nces:
(i)
La topologie deO'i(0)
ne d6pend pas de ku suite de ctimpacts(K3), .l
€ ogierde.D'(f))
est plus fine que celleinduite
par
C"(f,t)'
:
(i)
Soit
r
la
topologie d6furie pa,r(Kr)
et
r'
!a, topologie d6finie .par une au'trepacts
({)
te}s que
X,
C:
Kr4
et
f} c
-U-fir, Alors I'injection
canorri<1uet
Ia, d,eDi,
(fl)
esf
id"entr,qae d, celle i'nd,ui'tepar
L)ia",rr({l)'En
uenceila
topologie naturelle deD'(Q)
est la lin:iI;e incluctivestricte
destop'olo
gies dtr,(fl),
et
c'est
Ia
seulequi
enLfait
urr
espacede Ifo'5chet'
Rappelons que pourcette
ie,(I
estun
voisinage de {} dansr'([]),
ssiu
n
tlj(Q)
voisinage de0
dansD?j(f,lr),
j€N'
En
soit
I/
un voisinage de 0 da,rLsX,
aiors?-1(V)
vcrisina,ge de 0 da,nsD'(0),
rJc'ncde
0
dansD'(fl)
telque
LLc
T-I{V),
or
Vj,
'ttri':
11nDki(f,I)
voisinag,e de(fl),
d'c,rirlj
c
T-r(V)
n
Dk,!ft)
:
f;LV)
ori 7r1='Tln;r.(n)
=*
4
co:ntinuer, 'Vj'lnv ,
soit
V
u1voisinage
d.e {} dansX
qtti
est lo<xulerme'ntcorlexe,
alors on peutcorlvexe. On a
f;t(V)
voisinagede
0
dansl)ir,
(fl),
V7
e
N,
'tt
T;r(\') :
i,
:
(D''{
r)
*
(,D'(fl),
r')
est
contimrecar
v
K
compact die0,
si
v
est rrn
voisinager:l:
0(fl),"'), y
n J)i.(0)
est
trn
voisinagede 0 pour
r'
et'-I(V
r'lI)k(O)'t
-v
n Di;,,(( est un voisinage de 0pour
r
car surDk({l),les
deml to,pologies sonrb confondlues (les voJ.si de 0 sont dGfinispar
les boules{f
I
P*,*(f)
.:
t}).
(A)
* r/(fl)
continue <+V
.Kcompart
def,),
I
:I'fr(O)
-*
C'(fr)
continue'; ce,qrri est car la topologie de
Dio(Q)
estcele induite
par: .la topologie rleC"(()).
des
fonctions
Lebmgue-int6grabl:s
iSoit
p
,2 p*
rc.
(-)n d6furit l'espace Cp(:ft):
{/
rnesurable srur'{}
:f
lf
(r)le
dr
l
oo} munic,
,de
la
1vo(/):ff1/(")loarli
CJ
sip
, On d6i&nit l'espaceC*(Cl)
cornme 6tant I'esembk: des fonctiorrs esr;entiellementf,|.
On
dit
que/ ' ft
--+C
est
essentiellementbom€e
sur
0
si
=lM
>
0t 1;el(ii)
;
: born6e,s quel/(
inf{M
L'i
2.2
2.2.L
Soient/
f*g(
I
M,
pp sul
f).
.C""(CI) estnruni
dela
semi-nonrie:li*(/):
"ti.3,tol/(r)l
:
,l/(r)l
:3M
ppsur
{t}
tria,n1rylaire
polu
les
semi-normesI{p, 1
<
.Pi!
oo,
s'appellein6galitd
de Le norn,bre qv6rifiant
i
*
i
'=
1 estclit
conjugu6 htr'rtnLonique <lep'
de Htrlder
s'6crit:
ffl(/'g)
<
Ifr(/)
'Nr(S)
oi.f
€ l'.u, g
Q[q.
ensite
de D(O) dans
les
espaces fcrndamentanrx
vol'ution
des
fonctions
€ ll,"(nR").
Leproduit
convolutif
de/
etg
est d6:Flipar:
poujt' c.€
R",
:
.[f k)S(a
-
r]dn
lorsque I'int6grale existe.IR4
(i')
f
*9:9*f
ttl)
f
*g(a):
{
,,ot}
a-$qpp.S:{tt'-t:1:<isupgt
f
I{a-sr.qp f)n*pp s
(i,ii)
nrpp(f
*s)
c
tw,pj-+
suw-g
(i)
(/
*,g)(a):
I
f
@)s(a-
n)dn:
!
f
(CI,- x)gt1v)'l(-1)"ld',q
RN R@
(o):
tft"-n)s(r)dn
lRrr,rI
En
-
\.'r':T€
(iit
J'oi@
lr}nVj
e
N,t. donc supp{it^',
or; tEn
clenteetl
alieu pour
tous lesr
tels
queJ(a
- r)'
gl'.*)*{i,
donc a,-
x:€supp,f
etd'ori
r
r=(a-supp
/)n
supp g,d'ori
(ii).
o
t'
supp,f+
supp g, alors(a-
supp/)n
supp g == tfi =>f
*9(a)
:
0'2.2.2
lsoii
(e3) unesriite positive tendant
rrers0 (par
exempll
,?.i:=
#),
ott
dCfinitla
suite(tlr')5esr
(B:)i.nl
(lR')
p*
03fu):
1t1"er({',1ori
d1 est 1'6l6ment standard deD
(lFl") .La
suite suit,: ragularisarrte,et
elle v6rifi.e: Ai
@))
0,
\lr
€
.R'n; suppgi
'= l3(0,ei)
et1.
2.2 sait
/
e
rf"(re|,
h
J'onctionfi:
"f
*
gi
s'altTtellela
r€,gulari,s6e d,e f ,2.6
\ff
€
Ct"(R"),
fi
€
C""(R")
et le
suppori
dt:,fi
est
contenu' darut un 'ordreei
du support def.
ll
l/i(r)l
,=ll!(r)ri@-t)dil<
f
l/(t)l'lTi@-t)latr<c
_{
l/(it)ldt'<
m
In"
I B{r,e;)
E(o'ei)r)
est bien dAfinie,Vr
€ IR'
eh on a:Lebesgue:
rf&)li"lfutg#at:-[f$)#("_t)d1:.=f*Htx:}.Etpirrt6currence,
fi""
"4.-o
a
lRiueD"(;f
x0i):f
x(D"|i),
Vcv€N^
+
fi€C"'(lR*)'
C
supp.f*
supp0i
: {r
€
lR'o :d(r,supp
f)
3
eiI,
:
Soit
A >
0et
A6:
(0, .., (1,A,
0,'..0) €
R',
alors:lget*e
:
x*$f
t 71e i b+^;-9-o
i {z-t)o,
^i)-d;(v)l
a
I
: l*fell
ltuit='l
<
pr(gr)
(
oo,d'ot,
d'apr6sr [e th,Sordme de la, convergenceYt1'aor; t
P
2.7
,SiJ
e
C.(R")
(resperti,uementD'(R'),
frrlBl"),
t"(R")/ ,
alors(/i)r.^'
cnnaerge uers J' C' (1R"), {resp e*tiu ementr'
{ R'),
Cp(lR),
fp (R.) J':
(a)
Soj.t/
e C'(lR").
Le m6me raisonnement qrre <lansla
d6rnonsl;ra1;ion p:r6c6'dorme:
vc
€ NI',
lol
1r, pofi: D'{f
*0i.1
:,
D'uf * di. Donc.il
su-ffit desi/
€
C(R"),
fi
convergeversf
cla.nsC(lR').
SlojLta€R*e;b
/
c
C'(IR') ralors):
Jf
@-
r)0/r)d,r-
f(olf si@)ar:
!lf
("-
r)-
f{a\ei(n"td'n pourtout
lRn IRn IRn
-(l0mParilt rmemerrt
donc
(b)
f
iavuq
,de 1R", sup
l/3(a)
-
/(a)l
S sup
lf
("
-
t)
-
f (a)l
,
3- 0
cat,f
estunifo'r-a€K'
' .
tr,EK,lnl(ei
3+ooinue su.r
le
compactKr'
converge vers
/
dans C(lR").(R'),
Vj
€
NI, suppfi
C
R\
voisinage compactd'oxlre
1 <leK
==sllFP/
;; onCr(,(lR")
+ fi
- /
d*t
l)"(R").
(R'),
1lp
<
m;
alors Ve),0,
1,4
compact de IR"tq: {
lf
(*)lo d,r<
(f;',tn Rn--A:l
'f(r)pour
re
A
,arors/e
o.(re*)et.^./eriJ
-f)<3
[
0pourre
R"-A
i,
alorsii - i
dansD"(lR')
donc'(o)1"
s
(::p
|tf,
-
r)
-
ikilf
.
f;f +
No(ii
-
i',t.
t
l$l<Ej
S
Nr(ii- i)
+
NoG-/)
<
;
*i :'.
2.8
t(fi)
estpartout
d'ense dans)
pour
sa t'opologi,e,Yr
:0,
..trc.)
pour
sa topologi,e, Vp) l,
1tf x.
(iil,r
)
pour
sa topologi,e, Yp2
7, p
* x.
En
le casf,):
IR"fait I'objet
de Iaproposition
pr6ctulerate.lR"'. Soit; J _.: J
j
-+ (c) .f Soitt.
-.
JJ -"lf,t.-l
No(ii
(tv
j(")
== (i,) (i,i,)D'(f,}),
supp/(u),
:re
f,l0,
r€nR*-fl
ei<d(
)
, (orLa:
limcj
:0),
J+e
Donc --+
/
dansD'(fl).
(ii)
r(o)
D'(fi)
est pa,rtout dense aanslp(fl)
(et
le(fl)]l
pout
Ft' x,
(on I'adrnel;) et(ft),
atorsD(fl)
est dense dansIp(f,}).
2.2.3
nciature
2.9
lioi,tK
un umpact
deJR',
F
un ferwr'd delR"
telqueK
{\
F
:
A. Alo'rs(i)
't)€
D(llf')
kIIe
que:f : K c
f),
alors
/
est
la
rest:riction
de
f
e
D'(lR")
,:r)et
ii -- /
a*r*
,l)'(R')
avecsupp
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K",
c il
dds queP
Soit Pos<
iFe
D'an iP(o) En '0:1
En
La
'pa,ftout Soit SUP]P Pourvr
),:(di)
v
sur un, voi,sinage d,e F.(i,ii)
I
sur u,n aoi,si,nage deK.
En
K
et
F
ferrn6sdisjoints
+
d(K,
F\
:
*.]tt.rl, -
lyl == d>
0'*
*
u
==F(0,e),
ators(K
+u
+
U)n (F
+
u
*Lr)
:
tlfonctiorL
indicatrice
deK
*
Lf+tJ
et
9"telle
que sr:pp6":
[/
et
!,#":
LSoit
e:
X*d",
alors 0S
V(r)
(
1et
tF:0
sur
F
+Lf
+U
)
car
s'uppVc
supex+
s-uWE:
K +
U+
U
+Ll
:
Voe
K+U,
a-(K +l/+U))-U
-[/,drorLc,
1(r)d"(a
- r)d,r: I
0"(a- *)d,*: f
A,,(y)dy: [0"(a)da
:
I.
K+U+U
a-K*U-U
Uuence: Si
K
est un compact dieil
ouvert deIR',
3{
e,D(R")
telque 0<
iFS
1 et voisinage compact deK.
On I'appelle fonction plateausur
,kl.ier,
siK
:
fri,
ators -{r/,r3} suite <le fonctions da:nsDt(fl)
,
te,.lles q'ue 03
zl,'53
.Let
tp, surun
voisinage compact de tl3.{ fr'
}
s'onrrelle suite tranqua,rr--he'E
DaruslR,
v(r)
:
ITt(t+i)
-
0{t-f;)dtutirifi,etF
e D(R),0
<
{i
<
[-2,21
etfi
:1
sur
1-i,
l].
DoncV
est unefonctirtn
platenusur
[-1,
1].2.lO
D({l)
estpartout
d,en:se dan^sC'({l),
Vr,=, Cl,.., oc.En
On sait queD(f))
est dense d.ansD'({-l).
Il
suffit
donc clemontrer
qrueD'(0)
est dans C'(CI).C'(fl)
ebsoit {d7} ,ttu
suite tranquantesur
fl.
'i:
rltiJ' la
tranqu6e de/,
alors:supp
1/rrl
supp.f
C Oj*1
+ fi
€ D'tfi) et
fi:'.f
sur
{-)r'.compact
Kde0, lioeNtei
queK c}io"t fi -,f :0
surK.
,fj
converge vers/
dans C"(CI).2.3
2.3.1
Soit 1
de
l'unit6
he.r
url
recouwement ouverl; defl
C
IR".On
appellepa,rtition
del'unit6,
sut> recouvreulent1,
unesuite
{ou}4.;
de fonctions, irulex6epar
le rn6me enserntrbd'indic,es
(1)
oo€
C*(f))
et supp e4C
ni,,Vi
€
"f(2)
a6(r)
)
0,
Vr
€
f,) etVi e J
tout
c,cmpactK
defl,
seulun notrbre
fini
des tr4 IL€ s'arurule pas (326e J
telque Yi')
i's,
arlr
:
0)(a)
Vr
e
f),
!rc;(n)
:1.
2.!!
Pour tout
rercuwement1
:
{u1}rct
drlf)r,
i,t!, eri,ste une parti,ti,ora 'de,ltunit€,
{
ias subordonnde d,1.Soit B ==
{f,l,;h.s
le recouwementhabituel
de f,} tel. qlue f,lo:
0,
f)1{-
Oa11,Vi
}
b:
f,h
t;t
.Q-
Qe-
f,)r-rAlo:r:s
est
conrpactdans
Q
et
Q
<l
u!*4,
donc
fri;
€, Nitel
que
4
c-
tjrul
sous
J-:rt)cou ouvert
fini
de .F)extrait
de 7.r
I
ui
=,uf
n
(f,Ji11-
0,;-r)
IL
V,'>2,
I1i1na
Alors tJ'iC tl';
IU;IEi<"t
estun
recouwenlent ouvert defl,
plus .fin quefi
etI
catUj
C
zf, eto
est Localementfili.
Pour
,
{U;}
recouvleS,
donc Y:r€
Fi,1
i
e
{1,2,...,
rli}
telque
r
e
U}
+
fe*
)
0telq
e
B*(7) c
B*(e*)
cu;.
'r,c,loB,(\),
1mi€
Ntelque
4
cArap|'f)
,(oo ef
:t,,r)
)]r.*.",,,
est un recouwement ouvertfini
de -F] et chaqueB(*f ,ef)
est contemuewLr!.
e
t(A)
telque Vr,.n=
1 surE(zf
,*)
"t
suPP fe,*,':
B(r$,ef)
{*1,...,4'o} *t
O:
u?**u,
alorsCI.
f:.tp;e1:rtf
,$}l
ille
r/:
{gr,*
e
A}
est localementfinie,
car:3p
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$tr telquer e
Fe;A
==('{t:
'U
Mr\U(
U iFl 'Ep+Zoo
u
Mi.l*ol
:o)I*, (
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p-t 2,
pi,1"(r):
0 carI
i=r
VLx
(l
{$ c
{16*1-
{l*z
C- f}a-..1-
Opi3 un
noutbrefini
de pe.x telles queV*@)
A
:
{rLr, ..,rTt
, r!2, ..,rT
, . .. ,r}
, ..., nlf;" l(]!:
WLt, &O:
0, Aj
: Lmt
et
Si{ti-t I
k:L cdd:+0
,...]
d*, sc,rtequ'on
ait
u-rr seul inclice,k
1
ai,
()n Posex:k:
:xf-ou-t{B(r
dans auSoit
rSoit
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"-I'fu
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frl,r..rJlp7r11y1o:fiY r...)
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@i,tf)):
UB(zr,er)
i.,j
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-
k-
CI;-1, cddd
:
{Pr}*.w.
,b@)
:
E-p*(t)
somme finir: et,lr*(*)
: ffi,
on obti,ent lapartition
de I'runit6tr€S{
"2.4
ppeJls
sur le dual
.E e.v.l;.
E'
sotrdual topologique
(espacede
applications linSaires continuessur
,D A 'nileurstE
i
de deux topologies: faibleet forte
E*(
u"(
parbie de
E]
norm€, alors
E"
est norm6 pa"r'la noflne:)
est ddliniepar la
farnille de semi-normes{p,(/)
:
l/(.")l
,
r
€
E,
f
e
E'}
est ddfinie
par la
farnille
de semi-normes{ppr(f,f ,= nrp
l/(")l
oiLM
est ure
ilfil
-ilJ il -ip
l/(r)l
:
Pep,s(f)
:
,,i]il,l/(")l
:
ilp$#
rSi
.
E''.E'
E
e.u,r
Le,s o Lesr
Les n.-l tlne qus6r.
plet.oEC
eE
reflexifsi
J
est un isomorphismeet
un hom6ornorphiLsme deE
durs
(E'")'"rtE+E,
par
|urJectLortr
l;.ejt6:p
i
ou
.f,l1:Hr1]y:11r)=ff,*)E
e.'u de di,m fini,e+
E
refi,erifcon4tlet
1
E
non r4fi,eri,fsi
.E
C
F,
alors
F'
c
E'
et
en cons6quence,pour'les
espaces lbnctiorurels,suite <f injections continues::
der
D'(Q)
s'appellent lesdistributuions
surf).
de,
D"(f,|)
s'appellent lesdistributions d'ordre
r
riur f).de,
D'"(fl)
s'appellent les mesures de radonsur
fl.
La
tt.fonctiontt de Di,rac6
d4fi,ni,esur
D"(Q)
rnesure, d,onc
un
cas parti,culier d,e di-stri,buti,on.p(a)
estIaa
sui,tp, 11.t,
\lt,vj
,butipn
ip
duale
fqlbteszr
D'"(fl)
s'appelle topologie d,eIu
mnuergence uague,md:
uneD'"(fit)
fnnuerge uaguement uersune
nzesurep,
dansD'"(CI)
ssi(Fi,V)
o_i,"€ir"(fl).
(O"(O)
'*
D"(O))
Soi,t
I
€
,t.(O),
alorsT7
dLf,ni,e par (71,,p):
f
f
(r)p(r)d,r
estune
C
Le
3.1
Cln estI'
est la l c{efl.
zbro,("t
-r
(A?i,
istributions
it;ion
et
propriet6s
6l6rnentaires
, toute forme lin6aire continue sru
D(0,).
L'ensemble desdistributions
D'
muni
des lois usuelles:(p)
:
('Tr,vj
*
(Tr,,g) ,,Tr,
'72e
D'({I}, g
€
r(f})
:
(Tr,,\p)
:
)
(ft,
p)
,
,\
e
C,D(fr)
-'
C
une forme lin6aire.)
eYI(
compact dansfl,
]
c>
0et
frn
€
N
tencluelF,V)l
S."'pk,,n(g),
(*)
p)
:
srrp
lD"v@)|.
D(0)
estmlni
de toutes
les topologies induit;es pa^r: les espaces fonctionmelssa topologie
propre
, qui est la plus fine etla
se,ulepour
laquelle il. est com;plet,incl1c:ti.ye stricte des topologi'es de
D6(fl)
,oi
K
p,aircicurt' l'e'nsernble des comprar:tsuence, 1ne forme
lin6aire
?
sur't(CI)
est t;c,fi;inue ssi elle est continue enrelatiur (*).
les de
distribut:ions
,f e f!,"(g)
engendre urledistribution
7i
ilen.tifiee
d,.f
,pal la
fonmulef
(r)qfu:)dr:
(f,v) ,
Yp
€
])(CI).ulier, les espaces
C'(0)
(r
e
N),
fp(ft)
(p>
0) sont <les espaces dedistributions.
, 6l6ments cle
D'"{(-})
sont desdistributions.
Soi1,
T€,
ori En 6tudi6s,It.1.1
1.) Torrr\Tt,pl
En
I;€.S rX.,S, de 2) La,,
pax:
(d,3)
LellTr,g
rfs dtarrt 4) Si (T,f
v,)5)
l,e(f
6', E1 =t=t Alo:rs Alo.rs fcnction Yg'e,En
,si
/(0)
:
0, cAdf(r)
:,
r'
g(r),alors
/d
=' t0Reci uement,
montrons
quesi
unt;distribution
?
v6rilie
r7l
:
0,
alors?
:
cdi
orf ,C'est t tante.En
V9
e
D(0),
\*T,p)
:
\T,ryt|
:0.
Posons€
l)(fi),
p(0)
:
0]
et
Ez:
1,,p€
t(CI),
9(0)
I
0]
0):EreEz
et -Ez sc,nt der-rx suppl6mentaires topologiques dans ,D((}). En posant tp2
€
E2 ,}a.D(fr),
telque,pr(0)r:
1,On
a:),
p(nl:
p(0)
+
r[9'ftr)dt:
]p2(0)
*
rpt@]
€
Ez*
E1,oi
.\
==p(0).
deDirac
dd6fuie par
d((,r):
p(0)
et
6"(tp) ==tp(r)
qu'on note abusivementd(p)
:,
f
6(r)9@)d,r
:
p(0) et
(6*, p1:
f 6(t
-
,n')tp(n\dr: p(o),
Voe fl.
nO
ibution
de rnasse,potentiel,
ou matidre en g6n6ral:, d.6finie par:[g@)l(r)ds
,pour
uner6partition
sur une courlbef,
de densit6l.indaire.l(r),
fd.'arc;
ou
\Ts,p)
:
f
,p{x)p{*)dA
,,pour
rm.€r6partition
sur une surlla,:es
superficielle
p(r),
d'6l6ment, d'ave d'4.D'(0)
e,tJ
e
C'"(fl),
leproduit
f
T
at
r,ure distributio:a, d€finiepar':
\f
T,V)
:
uit
d'lme fonction
continue,f p*
la
masse de .D'irac ,est unedistribution
(5,
f
v,):
/(0)p(0)
+
"f d ==/(0)d
€ JJ(ft),
V:
l9z*
nqr
ori.\
€ C
d6composition r:rLique'V):
\T,ipr
* rgz):
\\T,ytr)
*
\rT,9t)
:
I
(7,pz)
:
\7,9r)
g{at)fix6e, 6l6rnent g6n6rateur
de
82, ona:
{?,
Vz}: (l
=+{rT,V}:
C
(A;,p} que d n'est pas rmedistributiori
r6gulidre, cAd 1lf
€
th"(fi)
telq.
,P):Jf@)e@)tu.
Ena
*rrppo*oo, le contraire, ciicl
-.f
e
t,1,"({t)
tq
(d,gl
:
I
J'@)p(r)dr
==p(0).
[7
d'oii
d'oii
?z 6)lim
l' e+O'(,d'
a convet:gence domin6e de Lebesgue;or
<p(0):
s'-'1,corrtradiction-ibution'r
valeurprincipale
(de Cauchy)d"
*"
I
osi
lrl >e
ion
p(r)
: { -"2
'
on a:t
eP=t,Psi lrl
<
e)dr: _f
f
(r)t$efu)d,r:0
B(0'e) 7)1(rpzl,
f
!Y'(rldr:
lill
"1"
e\D)
d't
existe car:;--opt1>"'
-oo +ooIt4
-ooD'
Exem
tion,
on, 0 soi,t {J",,7
,pou'r DeLa
r,ryasse de Di,rac 5 a 6t6, dEfini,e covnrle la li,'m>i,te de Ia d,ensi,t€. tle r4partii"ti'on rne,sse,de
phrcen
phn
concenty'Ee au uoi,si,nage al,e I'o'rigi,ne. PIus pr€c'is€,rnent, sui,te d,e foncti,ons positi,ues telles quelirn
supl.f,(t)l
:0
et fim
i
f*@)d,t:
(rp.[
La
,up] est
singulidre,
"at
fi
f e lt.(R)
teJle ,queup]
:
Tf,
puisqr-reavec la fonction
j
sur iR*et
j: n'est int6grable sur i&{tcllrt voisinage de 0. Parcon-tle,
la
bution
upf
peut Otre considdr6e comme lalimite,
Iors;qur: e --+ 0 ,des distributio:ns(, I
f
(*):
I
*
n"*
i"l
>'u
[
0pour
lrl
<: egiln6rale,-on montre que
toute
distribution
sin.guJidre est limiLe dedistrit>
:
I
*a*+
trydr+rp(o)'fupf*).
lrlle
-e
-€le
|
1.1
|:
0et
|/$3(9).d,rl
:
ll$v'
ft
r)d,t)
d,rl<
2e p1(<p)<
oo,l-E
I
l-.0
| utions,3.1.2
de
distribution
U*ne su
L)
c
D'
6r) converge vers unedistributionT e
t'(l())
ssjrvg
€
D(fi),
(7.,
g)
convergevers (11',
Il
s' la convergence simple dans le clual cleD
,et on sait queD'
muni de la topologie faible r: est cornplet. Danst'"(f,)),
on parle dela
conrnelgenrce vag1e des mesuresi.f,"
"l$sinri.r
n'ed,ste pas entant
que
fonctiort,
r,rya'i,s entant
quedi'strib'u-+co
sinn,r
:
O, car, d,'apr€s Ie th\orcrne de Reimann Lebesgue,lim
/
sinnr
9(r)dr
:
?**j"o
,
on sa.ituur,
1i1y|.IYr@\rlr:
p(0),
Yp
€ D
..
1 sinnr
que
hm -
----'-*
-
6n+co?T :X
n-elr,l>a
a
)
0. Alors
Jggfi
:
t.
bype de suites
(/")
est tr6s g6n6ral dans les applications1)
f",t*)'
(
J
r
si,lrl
\
|
0
s'rlrl
t€
s
:
fte--f,
-n2tZl<*
l>*
2)
l"(
3) J"(
Alorsoil0
"
l,i
et
:l
l*oc'l{,'
<e(
s.l-.3i
Soit
[,,'1)'(U)
Onry.24-e2
+s
q"-
ii:*"{
f"(r)e@)d's:
rt(0),
ve
e D(R)'
au. cas on
p(0)
:
0
,en lernplaga,nt, au besoin,p(r)
par
9(u)
est continue, prenons atel
quelp(t)
-
p(0)l <
6:,Vr
tel
quelrl
"
f,{n)d,r <
M
,car
-liry
Jf"fu}dx:\.
o n*F-a
m sup
/'(r)l :
0, alors-
ns,
Yn')
nn,-
e(0))
<< d,, Iv"t e T Jn aloo
Ilf
f"@)v,tr)drl
<
e >(l(r).p(r)arl
<
ev,
'
n1,
l|"t-t.lo"-
tl
...
(rld,*-
e(0)l
= l",i*(r),p(r)dr|
+?"f*(*)lp(,,)
-ee(o)ldr+l<p('o)l
li/'rl")a"
-
tl
M
+
l(p(0)l)
*
j5g
[*f"(r)v(u)dr:
rp(O):
alrpr;.ricrtion
et support
des
distributions
ouvert
,1efl
et
"
e
D'(CI). La restriction
de?
d'
lI
estla distritrution
TIu
€pw
\Tlu,V|:
\T,V),
p
c D(U).
T
e
D'(tl)
estnulle sur
U
si T f u:
0, cddsi
(?,p)
:
0Vp
e Ll(U),
€
,'(n)
urrerdistribution
nulllesur
chraqueSoit
j€r
unefamilte d'ouverts
de f,)et T
4t.
En
n4, cdd
or(
est nulle
sur
[/
:
Hror.
Soit {ora} rure
partition
del'rurit6
sur U.Vg
€e
Dtai,t
+
lT,arv)
:0,
Vi
D(CI),
*
:
+ou,
et' suPP(ootd
c
/\
:(T,Doog):t(T,a4p\:0
\i/ipelle
gn'il n'y
a qu,un nombrefini
de termes6.n5
,se.t1be solnme. etLa de tous
lm
ouverts clefl
,sur lesqueisT
est nulle, s'appr:lleI'ouvert
d'armulationcle
T,
et compl6tnentairele
support de?.
A
dit,
si
r
e
suppT
alors?
n'est nulle
dans aur:un. vc'isinageouvert
der
, et,sirgf
, alo.rsI
tr/
voisinage der
telqueTf
y:A'
1)
ntptrtd:
i0)
car,
si}
(
suPPV,
\5,9)
:0
q)!
upp
f
.=
I
,ott
f
est une fonc.tdon, alorssuppT|
C
I,
car:
VV
e
D(f))'
slte'upp Vl
,e):
If
k)eb)d,r:o
,lgf)srrypT:0,
alors \7,9',1:0
du
recollement desmorceaux: si
{fli}ie"r
est rrn lre'cou.vTementouvert
defil
,et{Tiliirt
famille
de d.istributions telles que4
e
D'(fti)
,r:tv'i,
i
e
J
avec fl6nfJli
+
alors
3)
fhi, A, Tol En D(CI),Doup
L
{ri,
j€J alor"sr Soil;L{ru,
.i(t
et
<le4lnnn,or.
Alors
1T
e
D'(ft)
telle
queTln,:l'i'
Soit
{a3}95.7nII€
partition
de
I'unit6
C*
subonlonn6ea
{Ai}
,alorsVie
6ieJ
,i*
"u,r tm nombre
fini
cie f,).; rencontre le support, r:ourpact cie cp. On pose {?, 9r)
:
)
D'(fl)
car
suppaip CAi.
D(f,'u), avec f,);
nfri
*
0.Alors
su'ltpaip
C
{^t,;flfl;
et
tT,d :|)\Ti,ai(P)
:
:
\Tr,)ioid
:
\Tr,e)
_T,
:].2
iva.tion
des
distributions
$.2.1
Sioit
f
strib,ution
r6guli6re
-(f))
,ccrrnmentd6finir
&ft
Upartir
deTv?
)
:
;*:r@)d'n:
-f
r
Ho*:
-
(+,#)
(r,#*,.e)
:
-
(r#,,#)
:
(r',
#fr)
ett8.1
So,if?
e
D'(C))
eta
€N".
CorDrrue I'op€rat'i(lf1:, t1)'''
(-t1t"tp'*t
est lin€tt'ire<:t
D
d,arusD,,
alors Ia foncti,onne.fie.D*T
est une d,istributi,on sur f,) E:t'i' estd€filn'i'e
Ttar Ia
ft
f
(-1)l*, {
r.Do4d,r:
(-t;l"l
{T,D'p),
vip
t:
t(ft)
):
J
DoT
'Pdr:
, -,
-l
3.t
cette
d,Efi,niti,on est conforme d,la
d'Ef'ni,tia'n cltt'ssi'que d'e Iu' dEriaEet'ce
on a
Lwque,
si,/
e
C'(CI),
sa
dEri'u€'eD"f
, l"l
S
r
{nL
sens desdistribu-ttons, {nJffi sa, d'Eri'u€e classi"que.
C'
nt,
entant
que d;istributi,on,f
possdd,e d,es d,6ri,u(xts sueeessi'ues de to'us les orahe's,interuer,tir
l'ord,re d,ed,€rtuation.
Cesont
d,es forzcti'onsqui
coi'ncidentaua:
r!'es d,Eria€&s def ,
lorsqu,elles eri,slient, et d,es d,i,stri,butittns s"i,nguliires lorsquef
vt"est plus FYEche:h,,
et
on Sa'i't O ::=i "f (s') c&,0,T!,
l{'(r)
== .-(g(cxr+7'
H
foncti,a,n d,e rhparti,tion d,'une d,i,stri,buti,on d,e ma,sse (de trtrobabi,li'tE), consti't'uEe'par
e
unit|
plac*e
d,l'ori,gi,ne.
La
d,ensi,tE d,e Tnaase(ou
d,e probab'ili't€) Eta'nl la diri,utitzla
foncti,on d,erhpartition,
ott, aoit que 5joue
Ie "r6letle
cette d'ensti't6"
Pou'r
tes6lectri
H
est Iafoncti,on
tt|chelon u,nit6tt et6
ttl't'mpulsi'a"n uni't6tl3.6
D*t'i,u€es d,es foncti'ons d"isconti'nuesfoncti,on continue et d,6ri'uable, sauf au poi'nt ir =r o't oil'
f {n)
possideun
saut +1_
/(rz-).
Vr
e
R".
Ert,tar*
que distribt:t'tiort,(t'11,p)
:
-e(0)):
p(0):6(P)
--'!
\
( t
tla;
) 0
estd|ri'uable
suriR'* etLa
.foncti,onde
He'auisi'd,eH{r)
:
I
O "nr
<
0 *cr: ' .[-tr@]e'(r)d,r
:
--f
9'(r)dr
:
0( rulsi,r<a .
, f,(n\
: {
r\*/
'
,
al,orsfi
est cont'inue', et on a:I ft"l-osir>a
/,(r)
+
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-
a)
cdd,f'(u):
Ji(t)'
Yr
I
a:Tf,r,
^drt'
*,.Mais
entant
que d;i'stri'buti'on'r,