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Depuis près de 15 ans, l Institut océanographique aide les jeunes et les adultes à

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Academic year: 2022

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D

epuis près de 15 ans, l’Institut océanographique aide les jeunes et les adultes à mieux connaître les métiers et les formations en rapport avec la mer. Il organise des rencontres entre le public et les formateurs et édite des ouvrages décrivant l’ensemble du dispositif français d’enseignement dans ce domaine spécialisé qu’est le monde de la mer.

Ce fascicule s’inscrit dans une nouvelle série thématique qui fait suite au Guide des formations, édité depuis 1992 et diffusé à plus de 10 000 exemplaires. Les formations étant de plus en plus nombreuses et les passerelles de plus en plus souples, notamment avec la mise en place du LMD (Licence-Master-Doctorat) et la formation continue obligatoire, il est difficile de faire un inventaire complet de toutes celles qui permettent d’accéder aux métiers de la mer. Les listes ne sont pas exhaustives et malgré toute l’attention portée à la réalisation de cet ouvrage, des erreurs ont pu s’y glisser, car les informations disponibles changent assez souvent. Nous vous remercions de nous signaler celles que vous pourriez constater, pour nous permettre de les corriger dans les éditions futures.

Par ailleurs, d’autres métiers, dits transversaux, permettent de travailler dans des organismes, associations, ou autres structures qui abordent ce domaine : secrétaire, bibliothécaire ou documentaliste, journaliste, traducteur, guide, animateur, agent technique ou de maintenance, etc. Ne négligez pas de vous renseigner sur les formations qui y conduisent, et de tenter votre chance en précisant dans votre lettre de motivation votre goût pour la mer et pour les formes de vie si différentes qui s’y côtoient.

En espérant que ce document répondra au plus grand nombre d’entre vous, nous vous en souhaitons bonne lecture.

* Certaines spécialités ne sont pas abordées ici, lorsque les professionnels du secteur fournissent des renseignements très complets : la Fédération des industries nautiques (FIN) édite en ligne un annuaire qui traite aussi bien les formations initiales que les formations continues (www.fin.fr) en construction navale et nautisme, le site de l’enseignement agricole (www.educagri.fr.) les métiers de la pêche et de l’aquaculture… Et n’oubliez pas les carrières de la Marine nationale (www.defense.gouv.fr/sites/marine/).

Avant-propos Avant-propos

© Ifremer/ Muriot

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L’océanographie

3

La vie de l’océanographe 3

Les disciplines 4

Les niveaux d’étude

5

Technicien 5

Ingénieur 8

Chercheur 8

La formation continue 9

Les thèmes d’étude

11

La biologie marine 11

La chimie marine 14

La physique 16

Géologie et géosciences 17

Carnet d’adresses

22

Les organismes de recherche 22

Les universités 23

Laboratoires 32

Sites internet 32

Sommaire Sommaire

Le Nautile

© Ifremer

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A

L

’océanographie n’est pas une science au sens habituel du terme. Elle se caractérise par sa pluridisciplinarité, que renforce l’unicité des plates- formes logistiques, navires océanographiques, les submersibles habités et robots. En juillet 1968, la communauté scientifique française a défini la recherche océanographique « comme l’application conjointe de plusieurs disciplines, appartenant à des sciences différentes, à la connaissance des phénomènes qui se déroulent dans le milieu océanique, à ses frontières (avec l’atmosphère, le continent et les fonds marins) et dans son substrat ». Nous retiendrons que c’est l’ensemble des disciplines scientifiques spécialisées dans l’étude de l’océan, que l’on regroupe en quatre grands domaines, l’océanographie physique, l’océanographie chimique, l’océanographie biologique et l’océanographie géologique.

Avant de choisir une formation, il faut donc réfléchir à la discipline dans laquelle vous aimeriez travailler ! Est-ce l’observation et la compréhension de la vie en mer ? Est-ce l’étude de la faune et la flore marine ? Si c’est le cas, il faut choisir des études de biologie. Est-ce l’étude des reliefs sous-marins et de leur constitution ? Mieux vaut alors vous orienter vers la géologie. Vous rêvez de concevoir des robots pour aller sous l’eau ? Ce sera la robotique ou l’électronique…

On peut accéder aux métiers de l’océanographie, soit par des formations courtes (bac+2 ou bac+3) en devenant technicien, soit par des études plus longues (bac+5 ou bac+8) pour être ingénieur ou chercheur, avec une spécialisation à partir de bac+4 ou bac+5.

La pratique de l’océanographie nécessite de nombreuses compétences et qualités. Même si l’océanographe passe peu de temps en mer, il doit avoir une grande habileté physique et technique, une aptitude à travailler en équipe ainsi que la maîtrise de l’anglais. En effet, les chercheurs spécialisés dans leur domaine se regroupent, la plupart du temps, pour travailler sur un projet commun et préparent ensemble les campagnes en mer. De retour au laboratoire, ils traitent les données recueillies et publient les résultats de leurs travaux. Il faut avoir le goût de la recherche et de l’expérimentation, et une grande aisance rédactionnelle. Devenir océanographe nécessite une réelle et très forte motivation ; il faut faire preuve d’une grande ténacité, car les débouchés sont peu nombreux et les places rares…

Les techniciens ont plus de chances de trouver un emploi, même dans un dommaine différent : ils ont toujours une formation de base (maîtrise de la technicité des appareils, formation en électronique, informatique, instrumentation…) qui leur donne accès à des laboratoires moins spécialisés. Il en est de même pour les ingénieurs. Quant aux chercheurs, ils ont, à la fin de leur doctorat, en moyenne 1 chance sur 10 de trouver un emploi dans ce domaine.

Le salaire des océanographes du secteur public suit des grilles qui varient en fonction du statut des organismes, établissements publics à caractère scientifique et technique (EPST) comme les universités, le CNRS ou l’IRD et établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) comme l’Ifremer : depuis 2 300 euros de brut mensuel à 1 500 euros de brut mensuel pour un débutant. Les techniciens commencent à 1 200-1 400 euros. Dans le privé, les salaires peuvent être plus élevés, mais la sécurité de l’emploi n’est pas la même.

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A 4

Les disciplines

La biologie marine – S’attache à la biologie des organismes marins. Elle est centrée sur le fonctionnement des organismes (physiologie et écophysiologie, génétique et phylogénie, etc.) et considère le niveau d’organisation de l’individu.

L’océanographie biologique – Centrée sur l’étude des relations entre les populations et les communautés et les facteurs physiques et chimiques du milieu environnant. Elle considère des niveaux d’organisation supra-individuels (populations, communautés, écosystèmes, biosphère).

La chimie marine – Envisage l’océan sous l’aspect de la composition de l’eau de mer (salinité, teneurs en sels nutritifs, en éléments polluants). La biogéochimie, qui étudie les cycles de la matière vivante (carbone, azote, phosphore) forme un lien avec l’océanographie biologique.

La physique – Étudie les mouvements de l’eau de mer (dynamique) sous l’effet des vents et de la force de Coriolis et les caractéristiques physicochimiques permettant de reconnaître une même masse d’eau (température, salinité, pression, densité). Un aspect important concerne le couplage de l’océan avec l’atmosphère, que l’on appelle parfois l’océano-météorologie.

La géologie marine – Étudie la partie de la planète recouverte par la mer c’est-à-dire les fonds océaniques, leur nature sédimentaire, leur morphologie, leur structure ainsi que les processus qui ont modelé leur forme présente et passée.

La géophysique marine – Avec les techniques géophysiques (gravimétrie, magnétisme, sismique), la géophysique s’intéresse à l’origine et à la dynamique des fonds marins et aux processus qui prennent place entre croûte océanique et croûte continentale dans le cadre de la théorie de la tectonique des plaques. Avec l’apport de la géologie, elle aborde les questions de risques naturels, de ressources énergétiques et minérales.

Le terme géosciences marines recouvre la géologie et la géophysique marines. On distingue l’océanographie biologique (ou écologie marine) et la biologie marine (ou biologie des organismes marins) ; la microbiologie est abordée sous les deux points de vue. La biogéochimie constitue un trait d’union moderne entre l’océanographie chimique et l’océanographie biologique.

On emploie également le terme océanologie, qui englobe l’ensemble des activités humaines en rapport avec l’océan : recherche, prospection, exploitation et gestion des ressources, navigation, tourisme, etc.

L’océanographie

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A

Technicien

Après un bac général S ou technologique (STI1, STL2, STPA3, STAE4) vous devez obtenir un DUT5, un BTS6 ou un BTSA7. Il n’existe en France que deux organismes qui proposent une formation de technicien supérieur de la mer dans le domaine de l’océanographie : – Intechmer, qui propose le diplôme de technicien supérieur de la mer (DTSM) ; – l’université du Littoral qui propose le Diplôme d’études universitaires scientifiques et techniques (DEUST) Technicien de la mer et du littoral.

Intechmer : BP 324 – 50103 Cherbourg cedex Tél. : 02 33 88 73 33 – Web : www.intechmer.cnam.fr Mél. : scolarite-intechmer@cnam.fr

Université du Littoral : Centre de gestion universitaire (CGU) 50 rue Ferdinand-Buisson – BP 699, 62228 Calais cedex

Tél. : 03 21 46 36 00 – Web : www.univ-littoral.fr

Si vous ne pouvez pas intégrer ces formations, vous pouvez faire un autre bac+2, plus généraliste, et faire des stages dans des laboratoires ou organismes du domaine marin pour vous spécialiser. Entre la biologie, la physique, la chimie ou la géologie, vous avez plusieurs choix possibles.

Le DUT et le BTS s’obtiennent après un baccalauréat ou l’équivalent d’une formation de niveau IV8, un diplôme d’accès aux études universitaires (DAEU), ou, après validation des diplômes, expériences professionnelles ou acquis personnels, les études se déroulent soit en formation initiale à temps plein sur une durée de quatre semestres, soit en apprentissage, soit encore en formation continue. Le DUT est suivi en Institut universitaire technologique (IUT) alors que le BTS se fait dans un lycée et les BTSA dans les lycées agricoles. Les techniciens supérieurs intègrent soit le secteur industriel, soit un laboratoire de recherche public ou privé, soit des bureaux d’étude. Ils sont souvent les proches collaborateurs des ingénieurs et des chercheurs.

Le DUT Chimie ou Génie chimique – Génie des procédés permet de devenir agent de maîtrise, technicien de production, chef de poste en fabrication, ou technicien supérieur en recherche-développement ou en bureau d’étude et ingénierie dans le domaine de la chimie, parapharmacie, pétrochimie…

1. Sciences et technologies industrielles 2. Sciences et technologies de laboratoire 3. Sciences et technologies du produit agroalimentaire 4. Sciences et technologies de l’agronomie et de l’environnement 5. Diplôme universitaire de technologie

6. Brevet de technicien supérieur

7. Brevet de technicien supérieur agricole 8. Niveau IV : niveau de qualification professionnel correspond au niveau bac et brevet de technicien

Les niveaux d’étude

Les niveaux

d’étude

Le Pourquoi pas ?

© Ifremer/O. Dugornay

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A 6

Le DUT Génie biologique option Analyses biologiques et biochimiques permet de travailler dans les laboratoires de contrôle (pharmaceutiques, cosmétiques, alimentaires, environnementaux), la recherche (laboratoires universitaires, CNRS, INSERM, Institut Pasteur), les bio-industries (pharmaceutique, cosmétique, agroalimentaire)…

Le DUT Génie biologique option Génie de l’environnement forme aux problèmes techniques liés à la physicochimie et à la biologie des milieux et aux pollutions de l’air, des eaux et des sols, à la gestion des déchets ainsi qu’à l’analyse des systèmes vivants et de leurs interactions avec les milieux naturels ou modifiés (écosystèmes urbains, industriels, ruraux).

Le DUT Mesures physiques permet d’intégrer de nombreux secteurs de l’industrie, de la recherche et des services (aéronautique, spatial, électronique, optique, matériaux, biomédical, environnement) et de s’adapter aux nouvelles technologies.

Le DUT Science et génie des matériaux forme aux besoins industriels actuels et propose une large palette de débouchés dans de nombreux secteurs d’activité : construction navale, aéronautique, emballage, automobile, travaux publics, bâtiment, électroménager, loisirs, vêtements, chaussures, matériels électriques et électroniques…

Le BTS Bioanalyses et contrôles remplace le BTS Biochimiste. Les débouchés se situent dans l’industrie : chimie, industrie pharmaceutique, agroalimentaire (contrôle qualité dans des laiteries, des fabriques de conserves), industrie cosmétique…

Le BTS Biotechnologie forme aux techniques des processus biologiques à des fins industrielles, comme l’utilisation de bactéries pour dépolluer l’eau… La biotechnologie ne crée pas beaucoup d’emplois dans la recherche. Le secteur industriel de la microbiologie, de la fabrication de pesticides ou d’engrais est plus porteur.

Le BTS Chimiste propose des débouchés variés dans de nombreuses branches industrielles et dans des laboratoires de recherche (élaboration de nouveaux médicaments par exemple), de contrôle ou de production (organisation du travail des opérateurs, suivi de la fabrication). Cette formation polyvalente s’insère dans des secteurs aussi divers que la métallurgie, la chimie, la pharmacie, l’industrie agroalimentaire, nucléaire, textile, pétrolière ou automobile.

Le BTS Géologie appliquée est préparé dans un seul établissement, à Nancy. Il forme des techniciens de terrain chargés de mener des études de prospection en surface et en sous-sol pour le compte d’organismes publics ou de sociétés privées. Les débouchés se situent dans les entreprises de travaux publics, dans le secteur de l’équipement, les Ponts et Chaussées, où les techniciens font de la reconnaissance de site avant la construction de routes, de ponts ou d’ouvrages spécifiques… De nombreux postes sont à pourvoir à l’étranger, principalement dans le secteur privé des industries pétrolières ou des laboratoires.

Les niveaux d’étude

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A

Les niveaux d’étude

Lycée Henri-Loritz

29, rue des Jardiniers – CS 4218, 54042 Nancy cedex Tél. : 03 83 36 75 42

Le BTS Géomètre topographe forme aux relevés de mesures sur le terrain, au traitement informatique de ces données et à l’élaboration des plans. Les cabinets privés de géomètres experts, les services techniques des collectivités locales, les bureaux d’étude des entreprises de travaux publics, les services du cadastre et l’Institut géographique national (IGN) sont des employeurs potentiels.

Le BTS Techniques physiques pour l’industrie et le laboratoire forme aux mesures physiques : température, débit, pression, mesures électriques… Le technicien exerce dans des laboratoires de contrôle, des bureaux d’étude, des services qualité, maintenance ou d’assistance à la clientèle. L’industrie automobile, aéronautique, la chimie et la production d’énergie sont des employeurs potentiels.

Le BTS Métiers de l’eau forme à la maîtrise de la distribution, l’assainissement et l’épuration de l’eau. Les missions sont variées : conduite et régulation des installations, réglage des équipements, exploitation des réseaux de distribution et d’assainissement, maintenance… Ce BTS est en concurrence avec le BTSA gestion et maîtrise de l’eau. Les diplômés intègrent les stations d’épuration des eaux usées des collectivités locales, les sociétés spécialisées productrices ou distributrices d’eau potable, les bureaux d’études.

Le BTSA Gestion et protection de la nature propose deux options : Gestion des espaces naturels ou Animation nature. Cette filière forme des techniciens qui sont appelés à gérer un espace naturel, à en préserver et en restaurer la richesse écologique. Ils sont fréquemment amenés à animer des opérations de sensibilisation et d’information de la population, à organiser des séances de formation de groupes d’agriculteurs, de techniciens travaillant sur le terrain… Les débouchés sont principalement dans des structures de type parcs naturels régionaux où les techniciens exercent en tant que chargés de mission. Au sein d’une équipe, le technicien supérieur est également gestionnaire d’un espace défini qu’il doit aménager et mettre en valeur écologiquement, économiquement et culturellement.

Le BTSA Productions aquacoles forme des techniciens aptes à maîtriser une production aquacole dans son intégralité : choix des espèces, éclosion, transformation.

Les diplômés sont aussi capables d’analyser un marché et de faire évoluer leur production en rapport avec celui-ci. Ils font la liaison entre les instituts de recherche et les producteurs. Le technicien aquacole est souvent responsable d’une exploitation.

Attentif à l’environnement, il est aussi conseiller auprès des aquaculteurs, des bureaux d’étude spécialisés.

Le BTSA Analyses agricoles biologiques et biotechnologies (ANABIOTECH) intervient dans des structures diverses : services vétérinaires, laboratoire d’analyses médicales, industries agroalimentaires, industrie pharmaceutique ou encore laboratoires de recherche et de développement avec pour mission de veiller à la qualité des produits ou des matériaux en respectant scrupuleusement l’hygiène et la sécurité des biens et des personnes. Les laboratoires au sein des industries ou les prestataires de services dans des établissements publics constituent la majorité des employeurs.

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A 8

Une fois acquis votre brevet de technicien, vous pouvez poursuivre vos études, soit en faisant une année complémentaire souvent proposée dans les IUT pour atteindre le niveau bac+3, soit en réintégrant un cursus universitaire en licence ; après une bonne formation de technicien, ce dernier parcours n’est pas conseillé, car vos compétences techniques ne seraient pas conservées et vous auriez certainement davantage de difficultés à trouver un emploi par la suite. Intégrer une école d’ingénieur est plus souhaitable si vous tenez à poursuivre vos études.

Ingénieur

Il n’existe pas à proprement parler d’école d’ingénieur spécialisée en océanographie, sauf à l’université de Toulon, en ingénierie marine et à l’EIA-Tech de Sophia-Antipolis (cf. Chimie et physique). Mais beaucoup de diplômes d’ingénieur permettent de travailler dans le domaine des sciences de la mer.

Comme pour le niveau technicien, il faut choisir sa branche : biologie, chimie, physique ou géologie. Certains de ces diplômes d’ingénieurs ont une spécialisation en dernière année qui peut amener à exercer une profession en rapport avec la mer (agronomie ou vétérinaire, génie de l’eau ou génie de l’environnement, télédétection, électronique, physique, chimie…).

Pour intégrer les écoles d’ingénieurs, tout comme les grandes écoles, la voie royale consiste à passer son baccalauréat, puis à suivre deux années de classes préparatoires.

Ces formations, assurées dans certains lycées, sont d’un niveau correspondant au premier cycle de l’enseignement supérieur et ont pour fonction d’accroître le niveau des connaissances des bacheliers dans différents champs disciplinaires.

Après l’obtention d’un diplôme d’ingénieur, vous pouvez poursuivre vos études en préparant un doctorat si vous voulez devenir chercheur, ou bien chercher un emploi.

Les débouchés sont nombreux car si vous n’arrivez pas à intégrer un laboratoire ou une entreprise du domaine de la mer, il vous sera toujours possible de trouver une activité dans un secteur moins spécialisé.

Chercheur

Pour devenir océanographe, il faut de préférence un bac S. À ceux qui n’ont pas de formation scientifique, les universités proposent le DAEU, Diplôme d’accès aux études universitaires, option sciences qui permet par la suite d’intégrer le cursus normal scientifique.

Le système d’harmonisation européenne LMD (Licence-Master-Doctorat) mis en place en 2004 divise le parcours universitaire en trois niveaux de diplômes : la licence, à bac+3, le master à bac+5 et le doctorat à bac+8. Ces derniers (DEA et DESS) sont répertoriés par domaine, mention et spécialités. La plupart des licences n’ayant pas de spécialité (bien que des unités d’enseignement en options permettent une initiation au milieu marin), vous commencerez une spécialisation en océanographie à partir de la première ou seconde année du master.

Pour les sciences de la mer, il faut privilégier la branche Sciences avec les mentions suivantes : chimie, physique, biologie, sciences de la terre et environnement.

À partir du master, vous pourrez trouver des spécialisations dans ces universités : Aix-Marseille II, Bordeaux I, Brest, Caen, La Rochelle, Lille I, Paris VI, Perpignan et Toulon. Vous trouverez dans la suite le détail des formations par matière.

Les niveaux d’étude

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A

Les niveaux d’étude

La formation continue

Vous trouverez auprès des organismes publics ou privés spécialisés davantage de renseignements sur la formation continue. Consulter en particulier le site internet du ministère du Travail (www.travail.gouv.fr), ou les antennes régionales des organismes suivants : ANPE9, APEC10, AFPA11, CARIF12, ONISEP13, Missions locales et Permanences d’accueil d’information et d’orientation…

La reconversion

Si vous souhaitez une reconversion dans le domaine de la mer sans rapport avec vos diplômes initiaux, nous vous conseillons d’opter pour des formations de technicien en vous reportant aux DUT et BTS, qui donnent souvent la possibilité d’une formation par alternance ou continue. Attention, l’accès à ces filières imposent souvent d’être titulaire d’un baccalauréat scientifique ou à défaut un DAEU option science, que l’on peut obtenir dans toutes les universités.

Les universités ont aussi un service de formation permanente qui décline en formation continue la plupart des diplômes dispensés par celles-ci. Le plus simple est de se renseigner auprès des services concernés (cf. « Carnet d’adresses »).

Avant de vous lancer dans un projet long et parfois coûteux, n’oubliez pas que par le biais d’autres métiers, dits transversaux, pour lesquels vous seriez déjà formé, il est possible de travailler dans des organismes, associations, ou structures proches de la mer : secrétaire, bibliothécaire ou documentaliste, journaliste, traducteur, guide, animateur, agent technique ou de maintenance…

La validation des acquis et de l’expérience (VAE)

Toute personne engagée dans la vie active depuis au moins trois ans peut faire reconnaître ses compétences professionnelles par l’obtention d’un diplôme sans suivre de formation et sans passer d’examen. Quand le jury de validation des acquis ne peut accorder la totalité de la certification, les unités manquantes sont accessibles de diverses manières, notamment par une autre expérience professionnelle soit par la formation. Cela permet de poursuivre des études par une formation conduisant à l’obtention d’un diplôme plus élevé. Des points relais locaux (PRC) dont la liste se trouve sur le site du ministère du Travail renseignent sur les possibilités (www.travail.gouv.fr) ou, à défaut, les organismes d’information et d’orientation locaux.

Les formations spécialisées

Elles sont souvent destinées à des professionnels déjà formés qui veulent acquérir une formation complémentaire sur une technologie innovante ou un domaine très particulier. Dispensées par les écoles d’ingénieur ou autres organismes de pointe, elles durent quelques jours.

Liste des principaux organismes de formation permanente en France pouvant vous aider à définir votre projet professionnel

Centre national d’enseignement à distance (CNED) Tél. : 05 49 49 94 94 – Web : www.cned.fr

9. Agence nationale pour l’emploi 10. Association pour l’emploi des cadres 11. Association nationale pour la formation des adultes 12. Centre d’animation et de ressources de l’information sur la formation 13. Office national d’information sur les enseignements et les professions

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A 10

Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) 292, rue Saint-Martin – 75141 Paris cedex 03

Tél. : 01 40 27 20 00 – Web : www.cnam.fr

Groupements d’établissements publics locaux d’enseignement (GRETA)

Web : www.education.gouv.fr/fp/greta.htm

Délégations académiques à la formation continue

Aix-Marseille : 04 42 93 88 60 Martinique : 05 96 70 50 09

Amiens : 03 22 82 39 00 Montpellier : 04 67 15 82 82

Besançon : 03 81 65 74 66 Nancy-Metz : 03 83 55 06 58

Bordeaux : 05 56 84 41 00 Nantes : 02 51 86 30 33

Caen : 02 31 30 15 40 Nice : 04 93 53 82 22

Clermont-Ferrand : 04 73 99 35 53 Orléans-Tours : 02 38 77 89 20

Corse : 04 95 51 74 74 Paris : 01 44 62 40 40

Créteil : 01 49 81 65 10 Poitiers : 05 49 54 70 00

Dijon : 03 80 54 09 60 Reims : 03 26 61 65 65

Grenoble : 04 76 23 42 34 Rennes : 02 99 25 11 60

Guadeloupe : 05 90 21 65 13 La Réunion : 02 62 29 78 30

Guyane : 05 94 25 63 69 Rouen : 02 32 82 32 00

Lille : 03 20 15 62 93 Strasbourg : 03 88 23 36 00

Limoges : 05 55 11 41 15 Toulouse : 05 61 17 73 08

Lyon : 04 72 19 80 80 Versailles : 01 30 83 48 85

Les niveaux d’étude

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A

La biologie marine

La biologie marine consiste de moins en moins à partir en lointaines missions pour étudier espèces animales ou végétales. Les programmes de recherche actuels interviennent dans des domaines variés, dont l’halieutique et l’aquaculture et mettent en œuvre plusieurs disciplines fondamentales allant de la biologie moléculaire à l’écologie en passant par la biochimie et la physiologie.

La recherche en biologie marine au sens strict propose très peu de débouchés. Elle s’occupe, en général, d’accroître les connaissances biologiques et physiologiques de base sur les espèces d’intérêt économique en vue d’une meilleure maîtrise des cycles biologiques : reproduction, nutrition, croissance et adaptation au milieu marin.

Nous conseillons aux futurs biologistes d’étudier plutôt la biochimie, la biologie moléculaire ou la biologie cellulaire pour intégrer des entreprises à fort potentiel économique qui travaillent dans le domaine de la mer (agroalimentaire, cosmétologie, industries pharmaceutiques, traitement des eaux ou des pollutions, toxicologie).

Les formations courtes

DEUST Technicien de la mer et du littoral (bac+2) option Valorisation des produits agricoles

Université du littoral : Centre de gestion universitaire (CGU) 50, rue Ferdinand-Buisson – BP 699, 62228 Calais cedex Tél. : 03 21 46 36 00 – Web : www.univ-littoral.fr Diplôme de Technicien supérieur de la mer (bac+2) option Génie biologique et productions marines

Intechmer – BP 324, 50103 Cherbourg cedex – Tél. : 02 33 88 73 33 Web : www.intechmer.cnam.fr – Mél. : scolarite-intechmer@cnam.fr

Les thèmes d’étude

Les thèmes

d’étude

Le Nautile© Ifremer

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A 12

Les thèmes d’étude

DU Biologie littorale (bac+3) Université de Caen

Unité mixte de recherche INRA/UCBN Écophysiologie végétale et agronomie BP 5186, 14032 Caen cedex

Web : www.unicaen.fr/unicaen/service/suio/documents/DUBiologieLittorale.doc

Les formations universitaires

Master d’océanographie, spécialité Océanographie et biogéochimie r ou spécialité Biologie et écologie marine r

Université de la Méditerranée, Aix-Marseille II – Centre d’océanologie de Marseille Campus de Luminy – Case 901 – 163, avenue de Luminy, 13288 Marseille cedex 09 Web : www.com.univ-mrs.fr/enseignement/Accueilmast.html

Mél. : oceano@com.univ-mrs.fr

Master Sciences du vivant et de la santé, mention Biologie fondamentale et appliquée, spécialité Exploitation des ressources vivantes côtières p

Université de Caen – Institut de biologie fondamentale et appliquée Laboratoire de Biologie et biotechnologies marines

Esplanade de la Paix – 14032 Caen cedex Web : www.unicaen.fr/unicaen/ufr/ibfa

Master Sciences et technologie, mention Sciences de l’univers,

environnement, écologie, spécialité Océanographie et environnements marins Université Pierre-et-Marie-Curie, Paris VI

Bât. A, étage 4, porte 425, BC 6 4, place Jussieu – 75252 Paris cedex 5

Web : www.obs-vlfr.fr/enseignement – Mél. : oceanobio@snv.jussieu.fr Master Sciences et technologies, mention Écologie fonctionnelle : des molécules aux populations (UE14 Interactions du vivant et milieu marin au deuxième semestre et UE optionnelle Écosystèmes coralliens au 3e semestre) Master Sciences et technologies, mention Environnements méditerranéens r ou mention Environnement et développement durable p ou mention Phytoressources p

Université de Perpignan – Faculté des Sciences 52, avenue Paul-Alduy – 66860 Perpignan cedex Tél. : 04 68 66 20 00

Web : www.univ-perp.fr – Mél. : facscien@gestion.univ-perp.fr

Master Sciences et technologies, mention Écologie fonctionnelle : des molécules aux populations (UE Interactions du vivant et milieu marin au deuxième semestre et UE optionnelle Écosystèmes coralliens au 3e semestre) Master Environnement et espaces littoraux, mention Biologie, spécialité Exploitation durable des écosystèmes littoraux r ou spécialité Génie des anthroposystèmes littoraux p

Université de La Rochelle

Pôle sciences et technologie – Département de Biologie Avenue Michel-Crépeau – 17026 La Rochelle cedex Tél. : 05 46 45 82 25 – Web : www.univ-lr.fr/formations

14. Unité d’enseignement.

r Spécialité recherche pour poursuivre par un doctorat.

p Spécialité professionnelle permettant l’accès au monde du travail.

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A

Les thèmes d’étude

Master Sciences et technologies, mention Environnement, spécialité

Biodiversité, paléontologie, océanologie biologique, ou spécialité Gestion de la biodiversité et des écosystèmes continentaux et côtiers p.

Université des Sciences et technologies de Lille

Cité scientifique – Bât SN3 – 59655 Villeneuve-d’Ascq cedex Tél. : 03 20 43 43 43 – Web : ustl1.univ-lille1.fr

Master Sciences de la mer et du littoral, mention Sciences biologiques

marines r ou mention Économie des ressources marine et de l’environnement littoral r p

Institut universitaire européen de la mer – Technopôle Brest-Iroise Place Nicolas-Copernic – 29280 Plouzané

Tél. : 02 98 49 86 00 – Web : www.univ-brest.fr – Mél. : scolarite-iuem@univ-brest.fr Master Sciences et technologies, mention Sciences de la vie et de la terre, spécialité Environnement et gestion de la biodiversité

Formation concernant les impacts anthropiques sur les milieux aquatiques et marins, les méthodes pour les évaluer, les recherches pour les réduire

École pratique des hautes études – Bureau de la scolarité 46, rue de Lille – 75007 Paris

Tél. : 01 53 63 61 33 – Web : www.ephe.sorbonne.fr/mastersvt/accueil.htm

Les formations d’ingénieur

Les écoles d’ingénieur qui permettent d’accéder à des professions en rapport avec la biologie marine sont les écoles d’agronomie et d’agriculture. Les prépas agro-BCPST (biologie, chimie, physique et sciences de la Terre) préparent essentiellement à l’entrée aux Écoles nationales supérieures agronomiques (ENSA, INA PG) ainsi qu’aux Écoles nationales d’ingénieur des travaux agricoles (ENITA). Par ailleurs, ces prépas sont également utiles pour d’autres écoles d’ingénieurs recrutant sur les épreuves du concours ENSA. Nous vous invitons à vous renseigner directement auprès de conseillers d’orientations ou des écoles choisies.

Les formations continues

Diplôme d’université Biologie et écologie sous-marine – substrat rocheux (bac+3)

Stage (2 fois 10 jours), accessible en formation initiale ou continue Université de Rennes I – Service formation continue

4, rue Kléber – 35000 Rennes – Tél. : 02 23 23 39 50 Web : sfc.univ-rennes1.fr/environnement/index.html ou museum.univ-rennes1.fr/diplome-universitaire

Module d’enseignement écologie générale marine (tout public)

Module d’enseignement écologie marine méditerranéenne et/ou de structure et fonctionnement de l’écosystème corallien (public ayant des notions de biologie marine)

École pratique des hautes études (EPHE) 52, avenue Paul-Alduy – 66860 Perpignan cedex Tél. : 04 68 66 20 55

Web : www.univ-perp.fr/ephe/index.htm – Mél. : ephe@univ-perp.fr

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A 14

Les thèmes d’étude

Unités d’enseignement en biologie marine

Université Pierre-et-Marie-Curie, Paris VI – Service Enseignement Station Biologique

Place Georges-Teissier – BP 74, 29680 Roscoff cedex

Tél. : 02 98 29 23 16 – Web : www.sb-roscoff.fr – Mél. : houbin@sb-roscoff.fr

Les stations zoologiques marines de Banyuls-sur-Mer et Villefranche-sur-Mer, qui appartiennent aussi à l’université Pierre-et-Marie-Curie, proposent l’été des sessions de formation en biologie marine accessibles à partir de bac+3.

www.obs-banyuls.fr/enseignement ou www.obs-vlfr.fr/enseignement

La station de Biologie marine du Muséum national d’histoire naturelle et du Collège de France organise également des stages spécialisés.

BP 225 – 29182 Concarneau cedex – Web : www.mnhn.fr/mnhn/conc/index3.htm

La chimie marine

Les chercheurs chimistes spécialistes du milieu marin travaillent sur la mise au point de techniques d’analyse d’éléments (métaux traces, CO2, azote…) de l’eau de mer, leur quantification, leur rôle et leur dynamique. Les postes, même dans les grands organismes publics de recherche (IFREMER, CNRS, laboratoires d’universités…) sont comptés.

Le secteur industriel de la pétrochimie, de l’agroalimentaire, de la pharmacologie et de la cosmétique propose des débouchés bien réels. L’ingénieur chimiste intervient de la conception des produits jusqu’à leur commercialisation, alors que le technicien chimiste, qui réalise expériences et analyses, participe à l’élaboration de nouvelles molécules. Les débouchés dans la chimie marine sont plutôt dans la transformation des produits de la mer (algues, poissons, molécules extraites d’invertébrés, etc.) en produits industriels à valeur marchande.

Les formations courtes

DEUST Technicien de la mer et du littoral (bac+2), option Aménagement, environnement, littoral, Valorisation des produits agricoles

ou Valorisation des produits de la mer

Université du littoral –Centre de gestion universitaire (CGU) 50, rue Ferdinand-Buisson – BP 699, 62228 Calais cedex Tél. : 03 21 46 36 00 – Web : www.univ-littoral.fr Diplôme Technicien supérieur de la mer option Génie de l’environnement marin Intechmer – BP 324, 50103 Cherbourg cedex

Tél. : 02 33 88 73 33 – Web : www.intechmer.cnam.fr Mél. : scolarite-intechmer@cnam.fr

Les formations universitaires

Master d’océanographie, spécialité Océanographie et biogéochimie r Université de la Méditerranée, Aix-Marseille II – Centre d’océanologie de Marseille Campus de Luminy – Case 901 – 163, avenue de Luminy, 13288 Marseille cedex 09 Web : www.com.univ-mrs.fr/enseignement/Accueilmast.html

Mél. : oceano@com.univ-mrs.fr

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A

Les thèmes d’étude

Master Sciences de la mer et du littoral, mention Sciences chimiques de l’environnement marin r

Institut universitaire européen de la mer – Technopôle Brest-Iroise Place Nicolas-Copernic, 29280 Plouzané

Tél. : 02 98 49 86 00 – Web : www.univ-brest.fr – Mél. : scolarite-iuem@univ-brest.fr Master Sciences et technologies, mention Terre, océan, aménagement,

environnement, spécialité Environnement, océanographie littorale et hauturière r

Université de Bordeaux I – UFR des Sciences de la terre et de la mer Département de géologie et d’océanographie

Avenue des Facultés, 33405 Talence cedex

Tél. : 05 56 84 88 49 – Web : www.cribx1.u-bordeaux.fr

Master Sciences et technologie, mention Sciences de l’univers,

environnement, écologie, spécialité Océanographie et environnements marins Université Paris VI

Bât. A, étage 4, porte 425, BC 6 – 4, place Jussieu – 75252 Paris cedex 5 Web : www.obs-vlfr.fr/oem – Mél. : oceanobio@snv.jussieu.fr

Master Sciences et technologies, mention Sciences de la mer,

environnement, systèmes, spécialité Chimie réactionnelle et modélisation en environnement r

Université du Sud Toulon-Var – UFR de sciences et techniques Bât U – BP 20132, 83957 La Garde cedex

Tél. : 04 94 14 20 00 – Web : www.univ-tln.fr

Master Sciences de l’univers, mention Eau, sols et environnement, spécialité Hydrologie, hydrochimie, sols, environnement r

Université Paul Sabatier – Bât 3TP1 – Service de la scolarité PCA 118, route de Narbonne, 31062 Toulouse cedex 4

Tél. : 05 61 55 66 11

Web. : www.obs-mip.fr/mastersdu – Mél. : apca15@adm.ups-tlse.fr

Les formations d’ingénieur

De nombreuses écoles d’ingénieurs sont spécialisées dans la chimie : les Écoles nationales supérieures de chimie (ENSC) à Clermont-Ferrand, Lille, Paris, Rennes, l’École nationale supérieure de chimie et de physique (ENSCP) à Bordeaux, les Écoles nationales supérieures d’ingénieur de Chimie (ENSIC) de Montpellier et Mulhouse, l’École supérieure de physique et chimie industrielles (ESPCI) de la ville de Paris, l’École nationale supérieure des industries chimiques (ENSIC) de Nancy, l’École nationale supérieure d’ingénieur de génie chimique (ENSIGC) de Toulouse…

Une école privée propose une formation spécifique en sciences marines niveau ingénieur :

CERAM Sophia-Antipolis

EAI Tech – Service Marketing & Communication

60, rue Dostoïevski – BP 085, 06902 Sophia-Antipolis cedex

Tél. : 08 20 42 44 44 – Web : www.ceram.edu – Mél. : info-eai@ceram.fr

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A 16

Les thèmes d’étude

La physique

La physique se décline en spécialités comme l’acoustique, l’optique, la mécanique des fluides qui peuvent toutes s’appliquer aux milieux marin et sous-marin. Les débouchés de la recherche fondamentale sont limités, mais dans le secteur industriel les opportunités sont plus nombreuses. La Marine nationale et le Service hydrographique et océanographique de la marine (SHOM) sont demandeurs, mais préfèrent former leurs techniciens et ingénieurs dans leurs propres écoles.

Bureau d’information sur les carrières de la Marine (BICM) 15, rue Laborde – BP 17, 00317 Armées

Tél. : 08 10 50 15 01 – www.defense.gouv.fr/sites/marine

Les formations courtes

Diplôme de Technicien supérieur de la mer, option Génie de l’environnement marin (bac+2, niveau III15)

Bachelor océanographe, Prospection du domaine marin (bac+3, niveau II16) Intechmer

BP 324 – 50103 Cherbourg cedex Tél. : 02 33 88 73 33

Web : www.intechmer.cnam.fr – Mél. : scolarite-intechmer@cnam.fr

Les formations d’ingénieur

Comme pour les autres disciplines, les écoles d’ingénieurs spécialisées en physique dispensent de bonnes formations de base pour l’océanographie physique.

L’Institut des sciences de l’ingénieur de Toulon et du Var (ISITV) propose une spécialité en ingénierie marine : offshore pétrolier et non pétrolier, génie côtier, robotique sous-marine, télédétection, etc., à partir des sciences de base indispensables à la description et à la connaissance du milieu marin (hydrodynamique, océanographie physique, mécanique des sols, résistance des matériaux).

L’Institut des sciences de l’ingénieur de Toulon et du Var – ISITV Avenue Pompidou – BP 56, 83162 La Valette cedex

Tél. : 04 94 14 25 50 – Web. : isitv.univ-tln.fr

Une école privée propose une formation spécifique en Sciences marines niveau ingénieur

CERAM Sophia-Antipolis

EAI Tech – Service Marketing & Communication

60 rue Dostoïevski – BP 085, 06902 Sophia-Antipolis cedex

Tél. : 08 20 42 44 44 – Web : www.ceram.edu – Mél. : info-eai@ceram.fr

Les formations universitaires

Master d’océanographie, spécialité Océanographie physique, puis spécialité Océanographie physique et météorologie côtière r

Université de la Méditerranée, Aix-Marseille II Centre d’océanologie de Marseille

Campus de Luminy Case 901 – 163, avenue de Luminy, 13288 Marseille cedex 09 Web : www.com.univ-mrs.fr/enseignement/Accueilmast.html

Mél. : oceano@com.univ-mrs.fr

15. Niveau professionnel correspondant bac+2 16. Niveau professionnel correspondant bac+3 ou bac+4

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A

Les thèmes d’étude

Master Sciences de la mer et du littoral, mention Physique et mécanique des milieux continus : fluides, matériaux, structures, terre, océan, atmosphère, spécialité Géophysique marine r ou spécialité Physique océan-atmosphère r Master Sciences de la mer et du littoral, mention Géosciences Océans r Institut universitaire européen de la mer

Technopôle Brest-Iroise

Place Nicolas Copernic, 29280 Plouzané

Tél. : 02 98 49 86 00 – Web : www.univ-brest.fr – Mél. : scolarite-iuem@univ-brest.fr Master Sciences et technologie, mention Sciences de l’Univers,

environnement, écologie, spécialité Océan, atmosphère, climat et télédétection

Université Paris VI – Laboratoire de météorologie dynamique Tour 45-55, case 099 – 4 place Jussieu, 75252 Paris cedex 5 Web : www.aero.jussieu.fr/enseignement/EDSE

Master Sciences et technologies, mention Sciences de la mer, Environnement, systèmes, spécialité Physique et sondages de l’environnement puis spécialité Océanographie physique et météorologie côtière r ou spécialité Mesures, instrumentation surveillance sol atmosphère Océan p

Université du Sud Toulon-Var – UFR de sciences et techniques Bât U – BP 20132 – 83957 La Garde cedex

Tél. : 04 94 14 20 00 – Web : www.univ-tln.fr

Master Sciences de l’univers, mention Sciences de l’atmosphère et

océanographie, spécialité Océan, atmosphère et surfaces continentales r ou spécialité Techniques spatiales et instrumentation p

Master Sciences de l’univers, mention Eau, sols et environnement, spécialité Hydrologie, hydrochimie, sols, environnement r

Master Sciences de la terre, spécialité Ingénierie de l’environnement p Master Sciences de l’univers

Université Paul Sabatier – Bât 3TP1 – Service de la scolarité PCA 118, route de Narbonne – 31062 Toulouse cedex 4

Tél. : 05 61 55 66 11

Web. : www.obs-mip.fr/mastersdu – Mél. : apca15@adm.ups-tlse.fr

Les formations continues

Météorologie marine, théorie et applications du GPS, conception de mouillage…

ENSIETA – Formations continues et spécifiques 2, rue François-Verny, 29806 Brest cedex 9 Web : www.ensieta.fr

Géologie et géosciences

Les universités proposent des filières classiques en Sciences de la terre et de l’univers.

Nous mentionnerons ici celles qui permettent d’accéder plus facilement aux troisièmes cycles d’océanographie. Le géologue étudie les constituants solides de l’écorce terrestre, ainsi que les liquides et les gaz qu’elle contient. Le géophysicien applique les principes

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A 18

Les thèmes d’étude

et les méthodes de la physique à l’étude du sous-sol et du globe terrestre. Il localise et étudie la formation des tremblements de terre, évalue les nappes de pétrole, de gaz ou d’eau afin d’améliorer leur exploitation. Son domaine le plus connu reste la sismologie, qui consiste à étudier les tremblements de terre qui secouent notre planète pour en comprendre les mécanismes. Le géomagnétisme s’intéresse au champ magnétique de la terre, présent partout sur la planète, en profondeur, en surface et dans l’atmosphère.

La géologie et les géosciences marines offrent peu d’emplois hormis la prospection pétrolière au sein de multinationales. L’hydrologie et l’hydrogéologie (recherche de l’eau douce) en proposent un peu plus.

Les formations courtes

Deust Technicien de la mer et du littoral (bac+2), option Aménagement, environnement, littoral

Université du Littoral-Côte-d’Opale – Centre universitaire de la Mi-Voix, Bât. H. Poincaré – 50, rue Ferdinand-Buisson – BP 699, 62228 Calais cedex Web : www.univ-littoral.fr

Bachelor océanographe Prospection du domaine marin (bac+3, niveau II) Intechmer : BP 324 – 50103 Cherbourg cedex

Tél. : 02 33 88 73 33

Web : www.intechmer.cnam.fr – Mél. : scolarite-intechmer@cnam.fr DEUST Géosciences appliquées

Université de La Nouvelle Calédonie – Site de Nouville-Banian BP 4477, 98847 Nouméa cedex

Web : www.univ-nc.nc – Mél. : allenbac@univ-nc.nc

Les formations d’ingénieur

Une école dans le domaine des géosciences propose des formations liées à la ressource, traitement, gestion de l’eau, aux matières premières minérales et énergétiques, à la géotechnique, au génie civil, et à l’aménagement du sol et du sous-sol.

École nationale supérieure de géologie (ENSG)

Rue du Doyen-Marcel-Roubault – BP 40, 54501 Vandœuvre-les-Nancy Web : www.ensg.inpl-nancy.fr

L’école spécialisée dans la recherche pétrolière propose à de jeunes diplômes ou des professionnels des spécialisations sur l’exploration, l’exploitation des gisements notamment en offshore.

École des pétroles et des moteurs de l’Institut français du pétrole 2332, avenue Napoléon-Bonaparte – 92852 Rueil-Malmaison cedex Web : www.ifp.fr – Mél. : info-ifp-school@ifp.fr

Certaines écoles polytechniques proposent des filières dans le domaine de la géologie et des géosciences

Géotechnique à Polytech’ Grenoble – polytech.ujf-grenoble.fr ; Géotechnique Génie Civil à Polytech’ Lille – www.polytech-lille.fr ;

Génie civil et environnement à Polytech’ Orléans – www.univ-orleans.fr/

polytech ;

Génie de l’aménagement à Polytech’ Tours – www.polytech.univ-tours.fr.

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A

Les thèmes d’étude

L’école nationale supérieure des mines de Paris propose des spécialisations en géoenvironnement

60, boulevard Saint-Michel 75272 Paris cedex 06 Web : www.ensmp.fr

L’école de physique du globe de Strasbourg et l’Institut de physique du globe de Paris forment des géophysiciens.

École de physique du globe

5, rue René-Descartes – 67084 Strasbourg cedex Tél. : 03 90 24 03 53 – Web : eost.u-strasbg.fr/ecole Institut de physique du globe

4, place Jussieu – 75005 Paris

Tél. : 01 44 27 36 12 – Web : www.ipgp.jussieu.fr – Mél. : scol-master@ipgp.jussieu.fr

Les formations universitaires

Master d’océanographie, spécialité Océanographie physique et météorologie côtière r

Université de la Méditerranée, Aix-Marseille II Centre d’océanologie de Marseille Campus de Luminy

Case 901 – 163, avenue de Luminy – 13288 Marseille cedex 09 Web : www.com.univ-mrs.fr/enseignement/Accueilmast.html Mél. : oceano@com.univ-mrs.fr

Master Sciences de la mer et du littoral, mention Physique et mécanique des milieux continus : fluides, matériaux, structures, terre, océan, atmosphère, spécialité Géophysique marine r

Master Sciences de la mer et du littoral, mention Géosciences Océans r Institut universitaire européen de la mer – Technopôle Brest-Iroise

Place Nicolas-Copernic – 29280 Plouzané

Tél. : 02 98 49 86 00 – Web : www.univ-brest.fr – Mél. : scolarite-iuem@univ-brest.fr Master Environnement et espaces littoraux, mention Sciences de la terre, spécialité Géomatériaux – Eau r, o-habilité avec l’université de Poitiers Université de La Rochelle – Pôle Sciences et Technologie

Département Sciences de la terre

Avenue Michel-Crépeau – 17026 La Rochelle cedex 1 Tél. : 05 46 45 82 86 – Web : www.univ-lr.fr/formations

Master Sciences et technologies, mention Géosciences, environnement et biodiversité, génie côtier, spécialité Géosciences r ou spécialité Génie côtier r p ou spécialité Environnement et biodiversité p

Université de Caen-Basse-Normandie – Département Sciences de la terre Boulevard du Maréchal-Juin – 14032 Caen cedex

Tél. : 02 31 56 73 10 – Web : www.unicaen.fr – Mél. : sciences@unicaen.fr Master Sciences de l’univers, mention Sciences de la terre, spécialité Ingénierie de l’environnement p

Master Sciences de l’univers, mention Sciences de l’atmosphère et

océanographie, spécialité Océan, atmosphère et surfaces continentales r ou spécialité Techniques spatiales et instrumentation p

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A 20

Les thèmes d’étude

118, route de Narbonne – 31062 Toulouse cedex 4 Tél. : 05 61 55 66 11 – Web. : www.obs-mip.fr/mastersdu Mél. : apca15@adm.ups-tlse.fr

Master mention Sciences de la terre, de l’univers et de l’environnement, spécialité Océan, atmosphère, hydrologie r

Université Joseph-Fourier Grenoble I – Institut Dolomieu 15, rue Maurice-Gignoux – 38031 Grenoble

Tél. : 04 56 52 01 66 – Web : www.obs.ujf-grenoble.fr

Master Sciences, technologies et santé, mention Sciences et gestion de la terre, spécialité Dynamique des systèmes géologiques et aléas r ou spécialité Aménagement et géoingénierie p ou spécialité Gestions, environnement et développement durable p

Université de Nice Sophia-Antipolis – UFR Sciences Avenue Joseph Vallot, 06108 Nice cedex 2

Tél. : 04 92 07 68 68 – Web : www.unice.fr

Master Sciences et technologies, mention Biologie, géosciences,

agroressources, environnement, spécialité Terre, eau, environnement r ou spécialité Géosciences et hydrosciences appliqués p ou spécialité

Bioressources aquatiques en environnement méditerranéen et tropical p ou spécialité Gestion des littoraux et des mers p

Université des sciences et techniques du Languedoc Montpellier II – UFR Sciences place Eugène-Bataillon, 34095 Montpellier cedex 5

Web : www.ufr.univ-montp2.fr

Master Sciences et Technologies mention Environnement, spécialité Géosciences des milieux sédimentaires r ou spécialité Géosciences de l’environnement p

Université des sciences et technologies de Lille – Cité Scientifique 59655 Villeneuve-d’Ascq cedex

Web : ustl1.univ-lille1.fr

Master mention Sciences de la Terre, spécialité Physique et chimie de la Terre et des planètes ou spécialité Paléontologie, sédimentologie, paléoenvironnement

Université Claude-Bernard, Lyon 1 – UFR Sciences de la Terre 43, boulevard du 11-Novembre-1918, 69622 Villeurbanne cedex Tél. : 04 72 44 84 85

Web. : www.ens-lyon.fr/DSVT/MST/ – Mél. : scolst@adm.univ-lyon1.fr Master Sciences et technologies, mention Sciences de l’univers, environnement, écologie, spécialité Environnements continentaux et hydrosciences, co-habilité avec l’INA-PG, l’École nationale des sciences géographiques, ENSCP, Université de Paris I, VII, X, l’université de Toulouse III, le MNHN, l’École des Mines de Paris et l’École nationale du génie rural, des eaux et forêts

Université Pierre-et-Marie-Curie, Paris VI 4, place Jussieu – Case postale 115 75252 Paris cedex 05

Web : www.master.sduee.upmc.fr/specialites/ec/ec.htm

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A

Les thèmes d’étude

Master Sciences et technologies, mention Sciences de l’univers,

environnement, écologie, spécialité Télédétection appliquée aux problèmes d’environnement p ou spécialité Systèmes d’information géographique p ou spécialité Hydrologie-Hydrogéologie r ou spécialité Environnement et archéologie r ou spécialité Géosciences, hydrosciences, géomatériaux Université Pierre-et-Marie-Curie, Paris VI – UFR Sciences de la Terre

4, place Jussieu, 75252 Paris cedex 05

L’enseignement des géosciences marines s’effectue à l’Observatoire océanologique de Villefranche-sur-Mer

Master mention Sciences de la terre et de l’univers, spécialité Environnements sédimentaires et volcaniques r ou spécialité Hydrologie, hydrogéologie et sols r

Université Paris-Sud – Faculté des Sciences d’Orsay Bâtiment 504 – 91405 Orsay cedex

Web : www.u-psud.fr/Orsay/Formations.nsf

Master mention Géo-hydrosystèmes et environnement, spécialité Flux organiques et minéraux dans les environnements actuels et passés r ou spécialité Géo-hydrosystèmes continentaux en Europe p

Université François-Rabelais

3, rue des Tanneurs, 37041 Tours cedex Web : www.univ-tours.fr

Master Sciences et technologies, mention Environnements méditerranéens, spécialité Environnement et développement durable p

Université de Perpignan – Faculté des Sciences 52, avenue Paul-Alduy, 66860 Perpignan cedex

Web : www.univ-perp.fr – Mél. : facscien@gestion.univ-perp.fr

La formation continue

École nationale supérieure de géologie

rue du Doyen-Marcel-Roubault – BP 40, 54501 Vandœuvre-les-Nancy Web : www.ensg.inpl-nancy.fr

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A 22

Les organismes de recherche

Les organismes de recherche en océanographie sont peu nombreux, et l’IFREMER

est le seul spécialisé dans le domaine marin. Le CNRS, l’INSU, et l’IRD possèdent des laboratoires dédiés à certaines disciplines de l’océanographie. Ces organismes possèdent de nombreuses antennes.

Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (IFREMER) 155, rue Jean-Jacques Rousseau, 92138 Issy-les-Moulineaux cedex Tél. : 01 46 48 21 00 – Web : www.ifremer.fr

Établissement public à caractère industriel et commercial, placé sous la tutelle conjointe des ministères chargés de la Recherche, de l’Agriculture et de la Pêche, de l’Équipement, des Transports et du Logement, et de l’Environnement.

Ses missions : connaître, évaluer et mettre en valeur les ressources des océans, permettre leur exploitation durable, améliorer les méthodes de surveillance, de prévision d’évolution de protection et de mise en valeur du milieu marin et côtier, favoriser le développement économique du monde maritime.

L’Ifremer est présent dans 26 implantations réparties sur tout le littoral métropolitain et dans les DOM TOM. Il est structuré en cinq centres (Boulogne, Brest, Nantes, Toulon et Tahiti) et une vingtaine de stations rattachées à ceux-ci.

Institut national des sciences de l’univers (INSU) 3, rue Michel-Ange – BP 287, 75766 Paris cedex 16 Web : www.insu.fr

L’INSU coordonne les recherches d’ampleur nationale et internationale en astronomie, en Sciences de la Terre, de l’océan et de l’espace au sein des établissements publics relevant de l’éducation nationale, et du CNRS, plus particulièrement de son département des Sciences de l’univers. Il possède une division océan-atmosphère.

Centre national de la recherche scientifique (CNRS) 3, rue Michel-Ange – BP 287, 75766 Paris cedex 16 Web : www.cnrs.fr

Établissement public à caractère scientifique et technologique, placé sous la tutelle du Ministre chargé de la Recherche. Sa mission : produire du savoir et mettre celui-ci au service de la société.

Le CNRS est implanté sur l’ensemble du territoire national, et exerce son activité dans tous les champs de la connaissance, en s’appuyant sur 1 260 unités de recherche et de service, dont certaines en océanographie, climatologie, environnement…

Institut de recherche et de développement (IRD) 213, rue La Fayette – 75480 PARIS cedex 10

Tél. : 01 48 03 77 77 – Web : www.ird.fr

Carnet

d’adresses Carnet

d’adresses

Le Nautile

© Ifremer

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A

Établissement public français à caractère scientifique et technologique, placé sous la double tutelle des ministères chargés de la Recherche et de la Coopération.

Ses missions : conduire des programmes scientifiques centrés sur les relations entre l’homme et son environnement dans les pays du Sud, dans l’objectif de contribuer à leur développement. Plusieurs laboratoires ou programmes de recherche sont liés au domaine marin.

Les universités

Les universités, notamment celles qui proposent des formations en océanographie, comme certaines écoles d’ingénieurs, possèdent des laboratoires de recherche ou des stations marines rattachées où vous pourrez postuler pour des stages ou un éventuel emploi.

Dans la liste qui suit, les universités sont classées par ordre alphabétique de leur académie de rattachement. Quand les coordonnées des services d’information et d’orientation et de la formation continue ne sont pas précisées, leur adresse postale correspond à l’adresse générale de l’université. Certaines universités ne sont pas spécialisées en sciences et technologie, mais peuvent avoir des formations transversales intéressantes.

Académie Aix-Marseille

Il existe un portail internet commun aux trois universités d’Aix-Marseille : www.aixmarseille-universite.fr

Université de Provence, Aix-Marseille I

Sciences ; Lettres ; Sciences Humaines – 3, place Victor Hugo, 13331 Marseille cedex 3 Tél. : 04 91 10 60 00 – Web : www.up.univ-mrs.fr

Service commun universitaire d’information et d’orientation (SCUIO) : 04 42 95 32 23 Service commun universitaire de formation (SCUFUP) : 04 42 95 31 29

Centre de télé-enseignement de sciences (CTES) : 04 91 10 67 96 Formation continue et éducation permanente (FCUP) : 04 91 10 64 33 Université de la Méditerranée, Aix-Marseille II

Santé ; Sciences ; Sciences de l’Homme de la Société et des Techniques Jardin du Pharo – 58, boulevard Charles-Livon, 13284 Marseille cedex 07 Tél. : 04 91 39 65 00 – Web : www.mediterranee.univ-mrs.fr

Service commun universitaire d’information et d’orientation (SCUIO) Service universitaire de formation tout au long de la vie (SUFA) Université Paul Cézanne, Aix-Marseille III

Droit ; Économie ; Sciences

3, avenue Robert-Schumann, 13628 Aix-en-Provence cedex 01

Tél. : 04 42 17 28 00 – Web : www.univ.u-3mrs.fr – Mél. : info.scuio@univ.u-3mrs.fr SCUIO : 1, allée Bastide-des-Cyprès, 13100 Aix-en-Provence

Université d’Avignon et des Pays du Vaucluse

Sciences humaines et sociales ; Sciences et technologies ; Droit

Site universitaire Sainte-Marthe – 74, rue Louis-Pasteur, 84029 Avignon cedex 01 Tél. : 04 90 16 25 00 – Web : www.univ-avignon.fr – Mél. : cuio@univ-avignon.fr

Académie d’Amiens

Université Picardie Jules-Verne

Chemin du Thil – 80025 Amiens cedex 1 – Tél. : 03 22 82 72 72 – Web : www.u-picardie.fr Bureau universitaire d’information et d’orientation : Résidence Les Portes de l’Université - 11, rue des Francs Mûriers – BP 2716, 80027 Amiens cedex 1

Tél. : 03 22 82 64 00 – Mél. : buio@u-picardie.fr Université de Technologie de Compiègne

BP 60319, 60206 Compiègne cedex – Tél. : 03 44 23 44 23 – Web : www.utc.fr

Carnet d’adresses

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A 24

Carnet d’adresses

Académie des Antilles-Guyane

Université des Antilles-Guyane

BP 250, 97157 Pointe-à-Pitre cedex – Tél. : 05 90 91 99 46 – Web : www.univ-ag.fr

Service commun universitaire d’information, d’orientation et d’aide à l’insertion professionnelle des étudiants (SCUIO-IP) : Tél. : 05 90 93 86 24 – Mél. : scuio@univ-ag.fr

Service d’éducation permanente et de la formation continue (SEPFC) Tél. : 05 90 21 61 70 – Mél. : Formation. Continue@univ-ag.fr

Académie de Besançon

Université de Franche-Comté, Besançon 1, rue Goudimel, 25030 Besançon cedex

Tél. : 03 81 66 66 66 – Web : www.univ-fcomte.fr Université de Technologie, Belfort-Montbeliard

90010 Belfort cedex – Tél. : 03 84 58 33 00 (site de Belfort) – Web : www.utbm.fr Tél. : 03 84 58 30 00 (site de Sévenans)

Académie de Bordeaux

Le pôle universitaire de Bordeaux a créé un portail :

www.poleuniv.u-bordeaux.fr – Mél. : pole@poleuniv.u-bordeaux.fr Université Bordeaux I

Sciences et technologies – 351, cours de la Libération, 33405 Talence cedex Tél. : 05 40 00 60 00 – Web : www.u-bordeaux1.fr

Espace information orientation emploi (EIOE) – Tél. : 05 40 00 63 71 – Mél. : eioe@eioe.u-bordeaux1.fr Université Victor Segalen, Bordeaux II

Sciences de la vie, de l’homme et de la santé – 146, rue Léo-Saignat, 33076 Bordeaux cedex Tél. : 05 57 57 10 10 – Web : www.u-bordeaux2.fr

SUIO – Web : www.suio.u-bordeaux2.fr

Site Carreire : 146, rue Léo-Saignat – 33076 Bordeaux cedex Tél. : 05 57 57 13 81 – Mél. : scuio@u-bordeaux2.fr

Site Victoire : 3 ter, place de la Victoire, 33076 Bordeaux cedex Tél. : 05 57 57 18 04 – Mél. : claude.terrier@u-bordeaux2.fr Université Michel de Montaigne, Bordeaux III

Lettres ; Langues ; Carrières sociales ; Information et communication ; Sciences humaines ; Environnement ; Aménagement

Domaine universitaire – 33607 Pessac cedex – Tél. : 05 57 12 44 44 – Web : www.u-bordeaux3.fr SUIO : Tél. : 05 57 12 45 00 – Mél. : SUIO@u-bordeaux3.fr

Département enseignement à distance (EAD) : ead@u-bordeaux3.fr Département formation continue : formation.continue@u-bordeaux3.fr Université Montesquieu, Bordeaux IV

Droit ; Sciences sociales et politiques ; Sciences économiques et de gestion

Avenue Léon-Duguit – 33608 Pessac cedex – Tél. : 05 56 84 85 86 – Web : www.u-bordeaux4.fr SCUIO : scuio@u-bordeaux4.fr

Service formation continue – 35, place Pey-Berland – 33076 Bordeaux cedex Tél. : 05 56 01 81 49 – Mél. : fcbx4@u-bordeaux4.fr

Université de Pau et des Pays de l’Adour

BP 576 – 64012 Pau Université cedex – Tél. : 05 59 40 70 00 – Web : www.univ-pau.fr/

SCUIO Pau : Bâtiment de la Présidence – BP 540 – 64012 Pau cedex Tél. : 05 59 40 70 90 – Mél. : scuio@univ-pau.fr

SCUIO Bayonne : Maison de l’Étudiant – 77, rue Bourgneuf, 64100 Bayonne Tél. : 05 59 57 41 61 – Mél. : scuiobay@univ-pau.fr

Académie de Caen

Université De Caen

Esplanade de la Paix – 14032 Caen cedex – Tél. : 02 31 56 55 00 – Web : www.unicaen.fr SUIO : Tél. : 02 31 56 55 12 – Mél. : suio@unicaen.fr

Service universitaire de formation continue et d’éducation permanente : 02 31 56 58 94 Centre de Télé-Enseignement : 02 31 56 59 04

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