• Aucun résultat trouvé

Solutions du Contrôle n˚6

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Solutions du Contrôle n˚6"

Copied!
2
0
0

Texte intégral

(1)

Solutions du Contrôle n˚6 page 1 de 2

Solutions du Contrôle n˚6

I) 5 points

1. a) In+1−In= Z 1

0

xn(x−1)f(x)dx(linéarité, factorisation).

Sur [0; 1],xn >0, x−160, f(x)>0, donc xn(x−1)f(x)60, donc d’après la règle sur le signe d’une intégrale,In+1−In60(puisque0<1). DoncI est décroissante.

b) I est positive d’après la règle sur le signe d’une intégrale car xnf(x)>0 et 0 <1 I est décroissante et minorée par 0, donc elle est convergente vers une limite L>0.

2. a) On réduit au même dénominateur, on identifie, on résout un système.

On trouve a=1

2, b=−1

4, c= 1 4 b)

Z 1 0

x2

2x+ 1 dx=

ax2

2 +bx+c

2ln(2x+ 1) 1

0

=· · ·= ln(3) 8 c) I1=

Z 1 0

xln(2x+ 1)dx= x2

2 ln(2x+ 1) 1

0

− Z 1

0

x2

2x+ 1 dx=

= ln(3)

2 −ln(3)

8 =3 ln(3) 8

II) 6 points

L’idée est la même que dans les exercices I.1, I.2, I.3 de la feuille "Calculs d’aires, encadrements"

1. f(g(x)) = ln(ex−1 + 1) = ln(ex) =xpour toutx >0 g(f(x)) = 1

2 eln(2x+1)−1

= 1

2(2x+ 1−1) =xpour toutx >0.

f et g sont donc deux fonctions réciproques, donc leurs courbes sont symétriques par rapport à la première bissectrice du repère y=x.

2.

1 1

g f

0

3.

ln(3) 1| ln(3)

1–

g f

Z 1 0

f(x)dx 0

ln(3) 1| ln(3)

1–

g f

Z ln(3) 0

g(x)dx 0

L’aire cherchée (en gris) donne par symétrie l’aire de la région limitée par la courbe deg, la droitey= 1 et les droitesx= 0etx=f(1) = ln(3).

L’aire sous la courbe de g sur [0; ln(3)] (en bleu) est la complémentaire de l’aire grise dans un rectangle de baseln(3)et de hauteur 1. Donc :

Z 1 0

f(x)dx = ln(3)× 1 − Z ln(3)

0

g(x)dx = ln(3)− 1

2[ex−x]ln(3)0 = · · · = 3 ln(3)

2 −1 4. On pose

(2)

Solutions du Contrôle n˚6 page 2 de 2 u0(x) = 1,u(x) =x(astuce possible : poseru(x) =x+1

2) v(x) = ln(2x+ 1),v0(x) = 2

2x+ 1 Donc

Z 1 0

f(x)dx= [xln(2x+ 1)]10− Z 1

0

2x 2x+ 1 dx.

Pour calculer la nouvelle intégrale, on linéarise l’expression en faisant apparaître 2x+ 1au numérateur (voir exemple n˚19 de la feuille sur les primitives) :

2x

2x+ 1 =2x+ 1−1

2x+ 1 = 1− 1 2x+ 1. Donc

Z 1 0

2x

2x+ 1 dx=

x−1

2ln(|2x+ 1|) 1

0

=· · ·=−ln(3) 2 + 1 Donc

Z 1 0

f(x)dx= ln(3) + ln(3)

2 −1 = 3 ln(3) 2 −1

Autre méthode : on pourrait d’abord retrouver une primitive de ln(x) par parties comme dans le cours :xln(x)−xpuis l’appliquer à la composée ln(2x+ 1).

III) 4 points

1. L’univers est l’ensemble des combinaisons de 3 lettres.

Un tirage favorable contient une voyelle et deux consonnes.

La probabilité estv= 6

1 20

2 26

3

=· · ·= 57

130 ≈0,44 2. a) Quelle est la probabilité de gagner au moins 2 points ?

SoitX la variable aléatoire égale au nombre de points gagnés.

On est dans les conditions d’application de la loi binomiale :

– Dans une partie, on ne s’intéresse qu’à un événement (succès) : gagner un point, de probabilitév.

– On répète 5 fois la même expérience de manière indépendante (avec remise).

– X représente le nombre de succès Il s’agit de la loi binomialeB(5, v).

On demandeP(X>2). Avec le complémentaire : P(X>2) = 1−P(X= 0)−P(X = 1)

D’après les formules de la loi binomiale : P(X= 0) =

5 0

v0(1−v)5= (1−v)5 et P(X= 1) =

5 1

v1(1−v)4= 5v(1−v)4

DoncP(X >2) = 1−(1−v)5−5v(1−v)4=· · · ≈0,726 b) Le gain moyen est l’espéranceE(X) = 5v=57

26 ≈2,2 points.

IV) Spécialité. 5 points

A B

D C

E G

F •Ω

1. Démontrer qu’il existe une unique similitude directesdu plan telle que s(D) = F ets(B) = D.

D6=Bet F6=D, donc d’après un théorème il existe une unique similitude directe sdu plan telle ques(D) = F ets(B) = D.

2. On se propose de préciser les éléments caractéristiques de la similitude directes.

a) Déterminer le rapportket l’angle θde la similitude directes.

k= F D DB =1

2 θ=−−→

DB,−−→

F D

= π 2

b) En choisissant un repère orthonormal direct A;−−→

AB,−−→ AD

donner l’écriture com- plexe de cette similitude.

z0 =az+b aveca= 1

2eiπ/2=1 2i

On détermineb en résolvants(D) =F :b=1 2i z0 =1

2iz+1 2i

c) Déterminer le centreΩde la similitude directes.

ω= b

1−a =· · ·=−1 5 +2

5i

3. s◦sest une similitude directe (composée de deux similitudes directes) de rapport 1

2×1 2 = 1

4 et d’angle π 2 +π

2 =π.

C’est donc une homothétie de rapport−1

4, et commeΩest invariant pars, le centre des◦sestΩ.

Références

Documents relatifs

Afin de simplifier les calculs et permettre l'utilisation du petit ordinateur tout en gardant une approche réaliste, la loi de distribution de l'élément aléatoire, loi utilisée pour

Nous appelons &#34;pause&#34; au cours d’une suite d’épreuves, une séquence d’épreuves successives sans occurrence, entre deux épreuves avec occurrence.. Une pause

Si on obtient un nombre pair, alors on tire une boule dans une urne contenant 4 boules avec les lettres F, Ê, T et E.. Si on tire un E (accentué ou non) on gagne le

Somme des probabilités des branches issues d’un noeud doit être égale à 1 Pour calculer la probabilité d’un chemin :S. On multiplie les probabilités des

On répète cette épreuve de manière indépendante deux fois, et on compte le nombre Y de succès... On considère l’épreuve qui consiste à étudier

On répète n = 20 fois cette expérience de manière indépendante, et on s’intéresse au nombre X

Cet algorithme demande une valeur de N puis fait l’expérience

On répète n = 20 fois cette expérience de manière indépendante, et on s’intéresse au nombre X de succès.. On suppose que la suite v converge vers un