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Comparaison des réactions (α, 2 α) et (α, αt) sur 19F à 60,2 MeV

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(1)

HAL Id: jpa-00207235

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00207235

Submitted on 1 Jan 1972

HAL

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Comparaison des réactions (α, 2 α) et (α, αt) sur 19F à 60,2 MeV

M. Chevallier, P. Gaillard, J.-Y. Grossiord, M. Gusakow, J.-R. Pizzi, C. Ruhla

To cite this version:

M. Chevallier, P. Gaillard, J.-Y. Grossiord, M. Gusakow, J.-R. Pizzi, et al.. Comparaison des réac- tions (α, 2

α) et (α, αt) sur 19F à 60,2 MeV. Journal de Physique, 1972, 33 (2-3), pp.177-181.

�10.1051/jphys:01972003302-3017700�. �jpa-00207235�

(2)

COMPARAISON DES RÉACTIONS (03B1, 2 03B1) ET (03B1, 03B1t)

SUR 19F A 60,2 MeV

M.

CHEVALLIER,

P.

GAILLARD,

J. Y.

GROSSIORD,

M.

GUSAKOW,

J. R. PIZZI et C. RUHLA

Institut de

Physique Nucléaire,

Université Claude Bernard de

Lyon 43,

Boulevard du

11-Novembre-1918, 69,

Villeurbanne Institut National de

Physique

Nucléaire et de

Physique

des Particules

(Reçu

le 22

septembre 1971)

Résumé. 2014 Les réactions (03B1, 2 03B1) et (03B1, 03B1t) sur 19F ont été étudiées à 60,2 MeV, en vue de

comparer les probabilités d’existence de sous-structures alpha et triton dans 19F. Ces réactions, supposées se produire par un mécanisme de diffusion quasi élastique, ont été interprétées par la PWIA.

Abstract. 2014 (03B1, 2 03B1) and (03B1, 03B1t) reactions on 19F have been studied at 60.2 MeV in order to compare the alpha and triton clustering probabilities in 19F. These reactions, supposed to be pro-

duced by a quasi elastic scattering mechanism, were analysed in PWIA.

Classification Physics Abstracts :

12.37

Généralement, 19F

est considéré comme pouvant être

représenté,

dans un modèle

d’agrégats,

par une

structure 160

+ t aussi bien dans son état fondamental que dans ses états de faible excitation à

parité positive,

tandis que ses niveaux faiblement excités à

parité négative

sont

représentés

par une

structure 15N

+ a

[1].

Cependant,

cette idée sur la structure de l’état

fondamental de 19F se heurte à des difficultés:

ainsi,

dans le cadre du modèle des

couches,

ce noyau se décrit mal de

façon simple [2].

Pour rendre compte des

propriétés

de son état

fondamental,

il faut intro-

duire un

mélange important

des

configurations (d 5/2)2

s,z et

(s,/ [3]. Enfin,

du

point

de vue éner-

gétique,

la structure

160

+ t

(liée

à

11,7 MeV)

est

beaucoup

moins favorisée que la structure 15N + ce

(liée

à

4,0 MeV).

Ceci nous a

conduit,

afin de comparer les struc-

tures 160

+ t

et 15

N + a de l’état fondamental

de 19F,

à étudier les réactions de diffusion

quasi élastique (a, at)

et

(a,

2

a)

sur ce noyau.

I.

Dispositif expérimental.

- Ces

expériences

ont

été réalisées à une

énergie

incidente de

60,2

±

0,2

MeV

au

cyclotron

à

énergie

variable de l’I. S. N. Grenoble.

La cible était constituée de

polytétrafluoréthylène (téflon),

d’une

épaisseur

de

2,7 mg . cm-2.

Dans l’étude

de la réaction

19F(ex,

2

a)15N,

les

particules alpha

émises étaient détectées par deux

télescopes identiques,

constitués d’une

jonction

dE de 50 ym et d’une

jonc-

tion E de 1 000 gm, ces détecteurs étant à barrière de surface. Pour détecter les tritons de la réaction

19F(a, at)160,

l’un des

télescopes comprenait

un

détecteur à barrière de surface AE de 300 J.1m et une

jonction

silicium-lithium de 3 mm, refroidie par effet Peltier.

Nous avons utilisé une

géométrie

de détection

symétrique

et

coplanaire.

Un

diaphragme

circulaire

placé

devant chacun des

télescopes

définissait un

angle

solide de détection de 4 x 10-4 stéradian.

Le schéma

électronique, classique

quant à sa

conception,

est

représenté

sur la

figure

1. Les coïnci-

dences étaient assurées par un convertisseur temps-

amplitude,

la résolution obtenue étant d’environ 10 ns

(temps

très inférieur à la

période

de la

radiofréquence

du

cyclotron).

L’identification des

particules

détectées

était faite de manière

analogique,

selon la méthode

proposée

par

Goulding et

al.

[4].

Les

signaux énergie

totale des deux voies étaient convertis sous forme

numérique

en 256 canaux par deux convertisseurs

analogiques-digitaux.

Ils étaient ensuite stockés dans

un bloc mémoire de 4 096 mots.

Lorsque

ce dernier

était

plein,

son contenu était transféré dans un ordi- nateur PDP 9. Les événements étaient alors traités

en temps différé

après

avoir été stockés sur bande

magnétique. Parallèlement,

un autre bloc

mémoire,

utilisé en 64 x 64 canaux,

permettait

de visualiser le spectre

biparamétrique,

assurant ainsi un contrôle

continu de

l’expérience.

La

figure

2 montre, à titre

d’exemple,

un spectre

biparamétrique

obtenu lors de l’étude de la réaction

19F(a, at)160.

II.

Rappel théorique.

-

L’analyse théorique

d’une

réaction de diffusion

quasi élastique A(a, ab)

B est

habituellement faite en utilisant

l’approximation

de

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01972003302-3017700

(3)

178

FIG. 1. - Schéma électronique.

FIG. 2 - Spectre biparamétrique de la réaction 19F(cx, at) pour le couple d’angles 01 = - (J2 = 32°.

l’impulsion

en ondes

planes.

Dans ce cas, si l’on

suppose les

particules

sans

spin,

la section efficace peut se mettre sous la forme :

Neff

est le nombre effectif

d’agrégats

b dans le noyau

cible. Il peut être calculé à

partir

d’un modèle théo-

rique (modèle

des couches par

exemple)

ou on peut le considérer comme un

paramètre

dont la valeur est déduite des résultats

expérimentaux.

est un fac-

teur

cinématique d’espace

des

phases. p(q)

est la dis-

tribution en

quantité

de mouvement de

l’agrégat

b

dans le noyau

cible ;

c’est le carré de la transformée de Fourier de la fonction d’onde

qui

décrit le mouve-

ment relatif des

agrégats

b et B dans le noyau A. Si l’on choisit une forme

analytique

pour cette fonction

d’onde,

la formule

(1)

permet,

après

un

ajustage

par la méthode des moindres

carrés,

de déduire

Neff

et

d’obtenir des informations

spectroscopiques

concer-

nant la structure du noyau cible.

Dans les calculs que nous avons

effectués,

nous

avons choisi deux formes

possibles

pour cette fonction d’onde :

a)

Nous supposons d’abord que le noyau cible est décrit par un modèle des couches avec un

potentiel

d’oscillateur

harmonique.

Le mouvement relatif des

agrégats

b et B est

également

décrit par une fonction

d’oscillateur

harmonique

dont les nombres quan-

tiques

N et L peuvent être déduits des lois de conser- vation de

l’énergie,

du moment

angulaire

et de la

parité.

Dans le cas de la

décomposition

de 19F en

lsNg.S

+ a, nous obtenons N =

3,

L = 1 alors que pour la

décomposition

de 19F en

160g.s

+ t, nous

avons N =

3,

L = 0.

Cependant,

le

paramètre

du

potentiel

d’oscillateur

harmonique qui

décrit le mou-

vement relatif des

agrégats

est considéré comme un

paramètre ajustable,

dont la valeur est déduite de la

comparaison

des résultats

expérimentaux

avec la

formule

(1).

On peut définir ainsi un coefficient d’isolement x =

filot,

a est le

paramètre

du

potentiel

d’oscillateur

harmonique

du modèle des couches

décrivant les noyaux et

agrégats.

Ce

paramètre

x est

compris

entre 0 et 1. Si sa valeur est voisine de

0,

cela

signifie

que l’on est en

présence

d’un modèle en

agrégats

nettement caractérisé.

Si,

au

contraire,

la

valeur de x est voisine de

1,

cela

signifie

que la distance

inter-agrégats

devient

comparable

aux dimensions

de ces

agrégats

et que le modèle des

agrégats rejoint

le modèle des couches.

b)

Dans une deuxième

forme,

nous supposons

que la

probabilité

d’existence

d’agrégats

est nulle

lorsque

la distance

inter-agrégats

est inférieure à

Re

=

1,5 Al

+

A2 ) fm,

Al

et

A2

sont les nombres de masse des deux

agrégats,

leur mouvement

relatif,

pour r

> R,,,

étant décrit par une fonction de Hankel

sphérique.

(dujdQ)a,b

est la section efficace de diffusion

(a, b) prise

hors de la couche

d’énergie.

Une

approximation

usuelle consiste à la

remplacer

par la section efficace de diffusion

(a, b) prise

sur la couche

d’énergie.

De

récentes

expériences

ont montré la validité de cette

approximation

et ont

permis

de

préciser

que cette

section efhcace devait être

prise

à

l’énergie

relative

des

particules

a et b

après

réaction

[5].

(4)

III. Résultats

expérimentaux.

-

a)

MÉTHODE

D’ANALYSE DES RÉSULTATS. - Pour l’étude de la réac- tion

(a, 2 a)

nous avons utilisé les deux méthodes

d’analyse

dites en distribution

angulaire

et en distri-

bution en

énergie [6].

La

première

méthode permet

d’explorer

le spectre en

quantité

de mouvement, la diffusion

(a, a)

s’effectuant

toujours

à 90° CM.

L’énergie

relative des a

émis,

fonction de

0,

varie

alors fortement

(de

12 à 26 MeV pour la réaction que

nous avons

étudiée). Or,

les

approximations

faites

pour obtenir la formule

(1)

supposent que les sections efficaces varient peu. Ce n’est donc pas le cas

ici,

et

l’on peut s’attendre à ce que nos résultats obtenus par cette méthode

d’analyse s’interprètent

mal à l’aide de

la formule

(1).

Dans la deuxième

méthode,

par contre,

l’énergie

relative des deux

particules

émises ainsi que

l’angle

de leur diffusion dans leur

système

du centre

de masse évoluent très peu, et par

conséquent,

la

section efficace de diffusion varie

également

très peu.

Ainsi, dans le cas de la réaction

(oc,

2

a), lorsque

q varie de 0 à

150 MeV/c, (JCM

varie de 89° 9 à

89° 2, ECM

varie de

26,15

à

26,05

MeV et la section efficace de diffusion

élastique (a, a)

varie de 132 à 125 mb.

Pour l’étude de la réaction

19F(a, IXt)160,

étant

donné que nous connaissons très mal la section efficace de diffusion

(a, t)

à ces

énergies,

nous n’avons utilisé que la deuxième méthode

d’analyse qui

minimise

l’influence de ce facteur.

b)

RÉACTION

19F(a,

2

ot)"N.

- La

figure

3b montre

les résultats obtenus en distribution

angulaire.

Ceux-ci

ne

présentent

pas de minimum net pour q = 0 comme

FIG. 3a. - Section efficace expérimentale de diffusion (a-a).

Ces sections efficaces sont des moyennes obtenues à partir des

résultats de Darriulat [7] pour tenir compte de nos conditions expérimentales.

FIG. 3b. - Section efficace de la réaction (a, 2 a) obtenue par la méthode « distribution angulaire ».

on

pourrait

le supposer d’un état L = 1. On constate d’autre part que les sections efficaces aux

grands angles

sont

plus

faibles que les sections efficaces aux

petits angles.

Ces résultats sont assez semblables à ceux

qui

avaient été obtenus lors de l’étude de la réaction

’Li(a,

2

a) t

à 55 MeV

[6].

Sur la

figure 3a,

nous avons

représenté

la section efficace de diffusion

(a, oc)

en

considérant

l’énergie

relative des 2

particules

émises

après réaction, d’après

les mesures de Darriulat

[7].

On remarque que la distribution

angulaire expéri-

mentale reflète l’allure de cette section

efficace,

mais

cependant

d’une manière moins

marquée

que lors de

l’étude des réactions

(a,

2

a)

sur des noyaux

plus légers [5].

Il ne nous a pas été

possible d’interpréter

théori-

quement ces résultats

expérimentaux

à

partir

de la

formule

(1).

La

figure

4

représente

les résultats obtenus par l’ana-

lyse

en distribution en

énergie, pour 01

= -

02

= 43°.

FIG. 4. - Section efficace de la réaction 19F(a, 2 a) : distribution

en énergie. La courbe en trait plein est le résultat d’un calcul fait

avec la formule (1) en supposant que la fonction d’onde qui décrit le mouvement relatif est une fonction d’oscillateur harmonique.

On peut remarquer dans ce cas 1 a

présence

d’un mini-

mum pour q = 0. Sur cette même

figure,

nous avons

également représenté

la courbe calculée

d’après

la

formule

(1),

en choisissant une fonction d’oscillateur

harmonique

pour décrire le mouvement relatif du

coeur et de

l’agrégat

oc. Des résultats similaires sont obtenus en

choisissant,

pour décrire ce mouvement

relatif,

une fonction de Hankel

sphérique.

Cette

analyse

nous a

permis

d’obtenir le

paramètre

d’isole-

ment x ainsi que

Neff,

dont les valeurs sont

reportées

dans le tableau I.

c)

RÉACTION

19F(a, at)"O.

- Nous avons effectué

uniquement

une

analyse

en distribution en

énergie (01 = - O2

=

32°)

car la section efficace

(a, t) qui

est mal connue, peut alors être considérée comme

(5)

180

TABLEAU 1

constante. La valeur de cette section

efficace,

déter- minée

expérimentalement

à 14 MeV dans le

système

du laboratoire et à

Ocm

= 840

8,

est de 30

mb/sd [8].

Par

ailleurs,

les sections efficaces de diffusion

(a, 3He)

obtenues à 18 MeV

[8]

et à 43 MeV

[9]

sont

pratique-

ment

égales.

Nous avons

supposé

que la section efficace

(a, t)

variait aussi peu avec

l’énergie

et avons

adopté

une valeur de 30

mb/sr

à notre

énergie.

La

figure

5 montre les résultats

expérimentaux

ainsi

que la courbe calculée

d’après

la formule

(1).

Ici

FIG. 5. - Section efficace de la réaction 19F(a, at) : distribution

en énergie. La courbe en trait plein est le résultat d’un calcul fait

avec la formule (1) en supposant que la fonction d’onde qui décrit

le mouvement relatif des deux agrégats est une fonction de Hankel.

encore, le choix de la forme

analytique

de la fonction d’onde du mouvement relatif

parmi

les deux formes

proposées

n’a eu aucune influence sur la courbe

calculée. Les informations

spectroscopiques

obtenues

(x

et

Neff)

sont

reportées

dans le tableau I.

J)

NORMALISATION DE LA FONCTION D’ONDE DU MOUVEMENT RELATIF. - La valeur de

Neff dépend

bien

entendu de la normalisation de

p(q).

Il faut remarquer que cette

fonction, représentée figure

6 dans le cas

d’une

description

du mouvement relatif par un

potentiel

d’oscillateur

harmonique

N =

3, L

=

1, présente

des rebondissements dont la réalité

physique

est discu-

table. En

effet,

dans le cas du

potentiel

d’oscillateur

harmonique,

ce

potentiel

est

infini,

ce

qui

n’est pas réaliste. Dans le cas de la

description

du mouvement

relatif par une fonction de Hankel

sphérique,

c’est la

FIG. 6. - Distribution en quantité de mouvement de l’agrégat oc lorsque l’on suppose que le mouvement relatif des deux agrégats (L = 1) est décrit par une fonction d’oscillateur harmonique.

présence

d’un rayon de coupure

qui, après

transfor-

mation de

Fourier,

introduit des composantes de

grandes fréquences qui

n’ont pas

plus

de réalité

physique.

Il nous a donc paru intéressant d’éliminer ces

composantes en normalisant la fonction

p(q)

non

pas entre 0 et l’infini dans

l’espace

des q, mais entre 0 et le

premier

minimum. Dans ces

conditions,

les

valeurs obtenues pour

Neff

sont très différentes et

nous avons

également reporté

dans le tableau 1 ces

nouvelles valeurs.

En

conclusion,

en observant le tableau

I,

on peut

constater d’une part que le

paramètre

d’isolement est

voisin de

1,

ce

qui signifie

donc que les

agrégats

ne sont

pas nettement caractérisés dans le noyau

19F,

d’autre

part, que les valeurs obtenues pour

Neff

sont faibles.

Nous ne pensons pas que l’on

puisse

accorder une

grande signification

à ces valeurs

qui

sont, nous le

rappelons,

obtenues à

partir

d’un traitement en ondes

planes. Cependant,

nous pouvons, en comparant les valeurs obtenues pour la

structure 15Ngs

+ a et pour

la structure

l6Ogs

+ t, constater que cette dernière structure n’est en tous cas, pas

plus importante

que la

première.

Nous pouvons

rappeler

à ce propos une difficulté attachée à ce type

d’analyse,

et provenant du fait que les états

représentant

les diverses

configu-

rations en

agrégats

ne sont pas

orthogonaux

entre

eux. Dans le cas où le modèle des couches

s’applique parfaitement,

ces états ont même un recouvrement total

[10].

La valeur

proche

de 1 que nous avons

obtenue pour le

paramètre

d’isolement

indiquant

que

nous nous trouvons dans ce cas, il est

possible

que les valeurs voisines

(dans

la limite des

précisions d’origine expérimentale

ou dues à la méthode

d’analyse utilisée)

de

Neff

pour les 2 types de sous-structures

puissent

être

expliquées

par ce fait.

Remerciements. - Les auteurs

expriment

leur gra- titude à

l’égard

du Directeur et du Personnel de l’I. S. N. de Grenoble pour leur accueil.

(6)

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application of the « cluster » model to nuclear

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