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Texte intégral

(1)

Page 1 sur 11

Agrégation Interne 1999 Corrigé des Exercices

d’induction & RT

Exo n°1 :

1. La figure montre que toutes les forces élémentaires dF sont colinéaires & de même sens. En supposant que toute la longueur du fil de la bobine est dans l’entrefer, on a : F Bl.i(t). On en déduit l’équation mécanique avec la relation fondamentale de la dynamique projetée sur l’axe

Ox

:

) ( .i t Bl fv dt kx

mdv soit : fv kx Bl.i(t) (M) dt

mdv , le signe + de la

force de Laplace traduisant un fonctionnement en moteur.

2. On est dans le cas de Lorentz, d’où calcul par le champ électromoteur : EmvB. La figure montre que ce champ est en opposition sur le courant

i

(conformément au fonctionnement en moteur), puis

) ( . .dl Blv t E

e

C m

. On en déduit l’équation électrique par la loi de Pouillet : )

E ( ) ( . ).

( Blv t

dt L di i R r

E o o . On établit le bilan de puissances par la combinaison habituelle :

) ( ).

( . )

( : ) ( ) M

( 2 Bli t v t

dt kxdx dt fv

t dv mv t

v

) ( ).

( . )

( ).

( ) ( . : ) ( ) E

( 2 Blv t i t

dt t di i L i R r t i E t

i o o

. On élimine le terme commun de couplage

) ( ).

( .i t v t

Bl & on obtient le bilan sous la forme classique :

dt RP pertes dW

fournie P

P ( )





2 2 2 2 2

2 1 2

1 2

. 1 ).

( ) (

. mv L i kx

dt v d f i R r t i

E o o , donc Pfournie(RP) E.i(t) car le circuit est alimenté en permanence par le générateur

E

, Ppertes R.i2 f.v2 traduisant les pertes électriques par effet Joule & les pertes mécaniques dues aux frottements, & 2 2 2

2 1 2

1 2

1mv L i kx

W o qui représente

l’énergie stockée par le système, sous forme d’énergie cinétique de translation, d’énergie magnétique dans l’inductance & d’énergie potentielle élastique dans le ressort.

3. En régime forcé sinusoïdal : j dt

d ,  j1d’où on déduit, en introduisant les grandeurs complexes E, I & V que : jm.V f.V k j1V Bl.I (M) & de même :

) E ( . . ).

(r R I jL I BlV

E     . Par élimination de la vitesse, on obtient :

(2)

k

m j f I Bl Bl

V . d’où :

k

m j f

l jL B

R r I

E . ( o) o ² ² en reportant dans l’équation

électrique (E). Il en résulte que l’impédance mécanique est donnée par la relation :

m m

m R jL

m k j f

l

z B² ²

, d’où on déduit que : 2 2

²

²

k

m f

f l Rm B

, & que :

 

 

2

2 ( / )

) / (

²

²

 

f m k

k m l

Lm B .

4. Avec les notations de l’énoncé, on obtient : 2 1

A

Rm & 2

1

A

Lm , où

est une fonction de la pulsation

. Il résulte des expressions précédentes que

est sans dimension, & que

A

est homogène à une résistance.

5 & 6. Le numérateur de

R

m étant constant, cette quantité sera maximale si le dénominateur est minimal donc pour 0, soit pour

 = 

o, pulsation propre correspondant à la résonance. Alors RmaxA. Si 0 , ,Rm 0 ,Lm0, & si 0 , ,Rm0 ,Lm0.

Pour o ,Lm0. La bande passante est définie, selon l’énoncé, par : 2

) 2

( Rmax A

R

BPm   

 d’où : 2(1ou 2)1, où

1 &

2 sont les frontières de la bande passante, ce qui conduit à l’équation du second degré : 2 22o 0, avec

m f

2

, dont les

racines sont : ²o2 . Il en résulte que la largeur de la bande passante vaut : Q

m f o

2 1 2 , avec

m

o k

& Q mf o facteur de qualité. On a donc : 1

) ( , 1 )

(1   2 

 , d’où :

) 2 ( 2, )

( 1 2 A

A L

Lm m , d’où les courbes :

7. On a pour le moment la représentation de la courbe décrite par M en coordonnées paramétriques, & il s’agit de passer en coordonnées cartésiennes, donc d’éliminer le paramètre

. Soit :

(3)

Page 3 sur 11 X

Y Y A

A L X

Rm m

, 1 ²

²

1 & on reporte dans

X

:

/ (

1 Y X

X A

, d’où :

2 2 2

2

2

A

A Y

X , équation d’un cercle de rayon 2

A & de centre

,0 2

A appelé cercle de Kennely. On a placé sur la courbe les valeurs remarquables de la pulsation.

Exo n°2 :

1. Force de Laplace élémentaire : dF i.dlB. Sur les côtés horizontaux, les deux vecteurs du produit vectoriel sont colinéaires, donc il ne reste que les forces sur les côtés verticaux. Le champ B étant constant, elles ont le même module FiBb, & en ce qui concerne leur direction, on se reporte à la figure. On en déduit le sens de rotation du cadre, & on vérifie que le couple résultant  a bien le sens du vecteur unitairek. Les bras de levier sont identiques, donc le couple résultant vaut iBab,

& donc on en déduit que : GabB.

2. On est dans le cas de Lorentz, & la méthode du champ électromoteur sera plus commode que l’utilisation du flux coupé (car le flux magnétique à travers le cadre est toujours nul !). Soit :

B v

Em  , puis

C mdl E

e

. . Les orientations des vitesses sont données par les vecteurs forces de la figure. Il en résulte que : sur les côtés horizontaux, le champ Em est orthogonal au cadre, & donc sa circulation est nulle, alors que sur les côtés verticaux, Em est porté par le cadre, & de sens opposé au courant

i,

conformément à la loi de Lenz (car la machine est un moteur). En norme, on a :

a B vB Em

2 , la circulation se réduit aux côtés verticaux, donc : e 2.Em.b, & donc on obtient : eG., résultat cohérent avec  G.i, traduisant que la conversion d’énergie sur le transducteur est idéale.

3.

e

est une fcem, d’où l’équation électrique (E) : ER.iG.. Pour un système en rotation, l’équation mécanique est donnée par le théorème du moment cinétique, soit (M) : Gi

dt

Jd . , le signe traduisant un couple moteur.

(4)

4. On élimine le courant : o

dt d R

G GE dt

Jd

, où l’on a posé

² G

RJ

(constante de temps), &

G E

o

(valeur en régime permanent). Compte tenu des conditions initiales, on a

0 ) 0 ( ) 0

(

, car c’est une grandeur continue, d’où : (t)o

1et/

. En reportant dans (E), on obtient :   . (1 /)  /

)

( o t e t

R E R

e G

t E

i . Interprétation des valeurs asymptotiques : à

t = 0

,

est nul, donc

e

aussi, dans le circuit il ne reste que

E

&

R,

d’où la valeur initiale du courant. Pour

t ->

, 

croit & tend vers

E/G,

donc

e

tend vers

E,

&

i

tend vers 0.

AN : le RP est atteint à

10

-3 près si o avec la même précision, donc si eT1/ 103, donc pour :

s 10 2,76

10 . 4 . 910 , 6 . 9 ,

6 2 4

1

T .

5. On effectue les combinaisons homogènes à des puissances

(E)*i

&

(M)*,

soit : i

G Ri

Ei ² . & Gi dt

J d . , & on élimine le terme de couplage

Gi

:

²

2

² 1 .

. J

dt i d R i

E . On reconnaît une équation de la forme :

dt dE

pertes fournie P

P .

Le système reçoit en permanence la puissance

E.i,

ne peut stocker d’énergie que sous forme cinétique de rotation, & l’effet Joule est la seule cause de pertes.

6. Seule l’équation mécanique est modifiée & devient (M’) : GiF dt

J d . On élimine encore le

courant : F R

G GE dt

J d , ce qui peut s’écrire aussi : o

dt

d '

'

, où l’on a posé :

G FR RJ

' ² (le régime transitoire est plus bref, le couple résistant permet d’atteindre le régime permanent plus vite) & o G FR o

R

GE

' ² (la vitesse limite en régime permanent est plus faible, à cause du couple résistant). Avec les mêmes conditions initiales, on aura donc :

1 / '

' )

(

t o e t loi du même type qu’avant, & pour le courant : )

1 ' ( )

1 ( ) '

( / '

'

/

 

 

  o t o e t

R G R E R

e G

t E

i le courant ne s’annule plus en régime permanent,

mais tend vers la valeur :

FR G

GR EFR R

G iRP E o

 

 

²

' , d’où les courbes.

AN : d’après le calcul de la question 4 : 2,51s

10 . 10 10

10 . 4 . 9 10 , 6 ' . 9 ,

6 2 4 4

2

T .

7. On effectue les combinaisons homogènes à des puissances (E)*i & (M’)*, soit : EiRi²G.i

& GiF² dt

J d , & on élimine le terme de couplage

Gi.

Il vient :

 

²

2

² 1 .

. J

dt F d

i R i

E . On reconnaît une équation de la forme classique :

dt dE

pertes fournie P

P , où : Pfournie E.i (inchangée), ²

2

1

J

E (inchangée) &

Joule R

pertes Ri F

P

P .² , le second terme correspondant aux pertes mécaniques dues

au couple résistant.

(5)

Page 5 sur 11

8. On retrouve la première équation mécanique (le système est toujours un moteur) (M) : Gi dt

J d . La nouvelle équation électrique s’écrit (E’) : G

dt Ldi i R

E . . On tire

i

de l’équation mécanique :

dt d G

i J G

dt d G L J dt d G R J

E ²

² . Sous forme standard, on obtient :

G E LJ G LJ

G dt d L R dt

d ² ²

²

²

, ce qui s’écrit aussi : o o o

dt d dt

d

² ²

² 2

² , où l’on a posé :

L R

2

,

LJ

o G²

2

, & toujours

G

o E

, solution en régime permanent à laquelle s’ajoute la solution en régime transitoire, solution de l’équation homogène associée : 2 0

²

² ²

dt o

d dt

d .

9. On cherche une solution de la forme ert, ce qui conduit à l’équation caractéristique classique : 0

. 2

² r2o

r , dont les solutions sont : r ²2o . Suivant les valeurs relatives de

& de

o

,

on obtient les régimes apériodique (

 > 

o), critique (

 = 

o), & oscillant amorti (

<

o).

AN : 5s 1

2

10

, 24 5s1 10

. 4 . 1

10

o & on est donc dans le cas du régime critique, & la solution s’écrit : (t)o A.et(1t). Il faut déterminer les deux constantes d’intégration A &

par les conditions initiales : (0) 0 & (0)0 dt

d (système à l’arrêt). Soit : 0oAAo. On calcule : Ae

(1 t)

dt

d t

. A

t

= 0, il vient : 0 A() o, d’où la solution définitive : (t)o

1et

1t

 

.

Exo n°3 :

1.Sur le primaire, le générateur est

u

1, alors que sur le secondaire c’est la fem induite

dt M di1

 , d’où :

dt M di dt L di i R

u1 11 1 1 2 :

) 1 E

(    , (E2): 1 2 2 2 2 u2

dt L di i dt R

M di   

2. Dans le transformateur parfait, il n’y a aucune perte, donc : R1R20 (pas de pertes Joule), pas de pertes magnétiques donc la perméabilité

µ

du circuit magnétique est infinie, d’où 0

B

H & les lignes de champ ne sortent pas du matériau, donc le flux à travers une section droite est conservé :

cste

 . En introduisant les flux à travers les bobinages primaire & secondaire :

2 1 1 1

1N L iMi

 & 2N2L2i2Mi1, il reste : dt

N d dt

u d  

1 1

: 1

) 1 E

( ,

dt N d dt

u d  

2 2

: 2

) E2

( , d’où on déduit la loi des tensions :

N m N u

u  

1 2 1

2 . Le théorème d’Ampère sur la ligne de champ moyenne donne :

LC

i N i N I dl

H. int 11 2 2

d’où, avec

H = 0

ii m1

1 2 

 . On en déduit le rendement de la conversion

de puissance : 1

1 1

2 2 1

2  

u i

i u P

P , logique puisqu’il n’y a pas de pertes.

(6)

3. L’impédance d’entrée vérifie :

² .

) / (

2 2 1

1

m Z i m

m u i

Ze uu



 , car

2 2

i

Zuu impédance de charge du secondaire. Sur la maille primaire : 1 1 2 E Z ( m.i2)

m i u

Z E

ugg   gg  , soit aussi :

g Eg

s g

g m Z

i Z u

i m Z E m

u . ². ²

2 0 2 2

2 



. Une impédance ramenée au primaire est donc divisée par

m²,

alors qu’une impédance ramenée au secondaire est multipliée par

.

4. Régime sinusoïdal forcé, avec j dt

d , & en introduisant les grandeurs complexes U1,U2,I1,I2

avec le secondaire en court- circuit (u2

= 0

) :

1 1

2

1

: 1

) 1 E

( UI RjL   jMI , (E2): jMI1

R2jL2

I20. En éliminant le courant

secondaire :

2 1 2

1 1 1 2 1

2 2 ² ²

jL R jL M R I U jL I

R

I jM & on en déduit :

m m

m R jL

jL R Z M

2 2

²

² donc :

²

²

²

22 22

2

L R R M

Rm ,

²

²

²

22 22

2

R L

L M Lm D’après la question précédente :

²

2

m

RmR donc

2 2 22

22

²

²

² ²

M L M

L

m R car en principe on a :

 2

2 L

R car le secondaire est essentiellement inductif. Alors :

2

2 ²

² L

M m

Lm L  . Dans le cas du

couplage parfait, on a :

1 2 1

2 2

1

² ² 1

² N

m N L m L L L

K   M     car l’inductance est proportionnelle au carré du nombre de spires. Il en résulte que : Lm L1, & la réactance du primaire est annulée (relèvement du facteur de puissance). La puissance dissipée dans

R

m vaut :

1 2 12 12

)

( m

m m

m R R

U R I

R  

P , maxi pour

1 2 2 1 1

R R N R N

Rm    , condition réalisable avec un auto - transformateur. Alors

2 2

2 1

4 1

1 1 1

12 g

m R

U U R

U P

P d’où le rendement

2

1

.

Exo n°4 :

1. Les champs magnétiques sont proportionnels aux courants : Bka.ikuk, & on associe à chaque vecteur plan (vecteur unitaire ou champ magnétique) un nombre complexe. Les racines cubiques de l’unité correspondent aux vecteurs unitaires, & on exprime les sinus contenus dans les courants au moyen des formules d’Euler, ce qui donne : BB1B2 B3, soit :

 

3

) 4 3 ( 4 3)

( 4 3

) 2 3 ( 2 3)

( 2

. .

1 2 .

2 ej t e j t ej t e j t e j ej t e j t e j

j

B aI soit aussi :

( 2)

3 4 3

4

2 2 3 2

2 1 3

1 1 2 1

2





j t j j j t j t aI e j t

j e e aI

e e

j e

B aI & on a donc un

champ tournant à la vitesse angulaire

, de module constant.

2. Dès qu’on établit le système de courants, le champ B tourne, donc l’angle

N,B

dépend du temps, le flux à travers la bobine aussi, d’où création d’une fem induite, d’un courant induit, donc de forces de Laplace motrices qui font tourner la bobine.

(7)

Page 7 sur 11

3. On a :

N,B

 

t N,B

0 (')t(')t. On en déduit :

 

t N N BdS NBS t e ddt Um t

C S

' sin

' cos

. .

) (

) (

, où

représente le

flux à travers une spire, & où on a posé : UmNBS

'

valeur maximale de la fem alternative, qui n’est différente de zéro que si ', d’où le nom de moteur asynchrone. Au synchronisme, il n’y a plus de mouvement relatif, donc plus d’induction. En passant en complexes :

e Umej t i i Imej t

e Im ( )' , Im ( )' . La loi d’Ohm donne :

'

R jL e z

i e car j

'

dt

d . Avec

 

' 0 arctan  

R

L , on obtient :

 

 

I t

t

i( ) msin ' , où l’on a posé  

'2

²

²

'

L R

Im NBS .

4. La norme du champ magnétique étant uniforme, on peut écrire, comme pour un dipôle magnétique, que : B(t) NSi(t)Bsin't

M , soit finalement :

 

 

  





(t) NSBIm sin 't .sin 't . En utilisant (définition de la puissance active) que 2

) cos cos(

.

cos 

t t , on obtient la valeur moyenne du couple moteur :

 

 

² ' 1 ²

2

' )

(

2 2

R R L

NBS

en utilisant cos 11tan² . 5. On pose

'

g appelé glissement. C’est la vitesse angulaire relative sans dimension, avec

g = 0

au synchronisme, &

g = 1

à l’arrêt.

On pose aussi

R

Q L, qui est le facteur de qualité (sans dimension) de la bobine à 50 Hz. Le rotor étant essentiellement inductif, on doit avoir

Q² >> 1

. Alors on peut écrire :

²

² ) 1

( Q g

g o Qg

, où l’on a posé

L NBS

o 2

 (

 .

* Si

g Qo

' 0 1, , couple moteur à l’arrêt ;

* Si 'g0,0, le couple moteur s’annule au synchronisme ;

* Si g0, & donc il existe un maximum. On a :

) / 1

( Qg

Qg

o

maxi si le dénominateur est

mini, donc pour 0gm Q1 1, donc dans le domaine du fonctionnement en moteur. Alors L

o NBS 4

)² (

max 2 

 , indépendant de R. La puissance est donnée par :

²

² 1

) 1 ) (

1 (

' Q g

g g o Qg

P & donc s’annule pour

g = 1

(moteur à l’arrêt) & pour

g = 0

(synchronisme) : donc il existe un maximum. Il faut dériver : calcul pénible qui conduit à





²

1 g Q

g m . Alors Pmax maxgm.

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