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Errata - Covalence dans les structures élémentaires et composés AB. I. Théorème de Leman, Thorpe et Weaire

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00208170

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00208170

Submitted on 1 Jan 1974

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Errata - Covalence dans les structures élémentaires et composés AB. I. Théorème de Leman, Thorpe et Weaire

J. Friedel, M. Lannoo

To cite this version:

J. Friedel, M. Lannoo. Errata - Covalence dans les structures élémentaires et composés AB.

I. Théorème de Leman, Thorpe et Weaire. Journal de Physique, 1974, 35 (5), pp.465-466.

�10.1051/jphys:01974003505046500�. �jpa-00208170�

(2)

ERRATA

Covalence dans les structures élémentaires et

composés

AB.

I. Théorème de

Leman, Thorpe

et Weaire

par

J. FRIEDEL et M.

LANNOO,

J.

Physique,

34

(1973)

115.

1. - Le théorème de Bloch

Floquet

n’est

appli-

cable que si la

topologie

des liaisons est conservée

dans

l’opération

de translation Ti = i + t. Il faut en

effet que, dans cette

opération,

la

propriété

d’« être

voisin » se conserve. Partant d’un site

il

on peut ainsi définir ses voisins

il,

...,

puis

les voisins de ses

voisins

ii...

etc., et

faire

une corrélation un pour un des

sites j

de son environnement

proche

avec les

sites j

+ t de l’environnement de i + t, ce

qui

définit T

localement.

Mais cette corrélation n’est

plus univoque

à

grande

distance si par

exemple i

est sur un anneau à 6 liai-

sons tandis

que i

+ t est sur un anneau à 5 liaisons.

Dans le cas

général,

et en

particulier

pour un

amorphe,

le théorème de Bloch

Floquet

n’est donc

pas

valable,

et la démonstration du théorème de

Thorpe

et Weaire doit se faire

directement,

par

exemple

comme dans la référence

[1].

Le théorème de Bloch

Floquet

n’est finalement

valable dans

l’approximation

des liaisons

fortes,

que dans deux cas :

a)

structures cristallines

parfaites

et

indéfinies ; b)

certaines structures cristallines

imparfaites,

les défauts de structure conservent la

topologie

des

liaisons. Ainsi les structures

cubique

à faces centrées et

hexagonale

compacte ont la même

topologie

en

bande s, si on se limite aux

intégrales

de transfert entre

premiers

voisins : le théorème de Bloch

Floquet s’applique

alors en bande s à des structures CFC

ou HC

qui

contiennent des fautes

d’empilement

ou des

plans

de macles

classiques, parallèles

aux

plans denses ;

il

exprime

le fait que les électrons ne sont pas diffusés par ces défauts dans

l’approximation

considérée. Il en sera de

même,

en bande

sp3

avec

premiers

voisins

seulement,

pour les fautes

d’empi-

lement et les

plans

de macle

correspondants

en

structure

cubique

diamant ou en structure

hexago-

nale

compacte.

Dans tous ces cas, et dans

l’approxi-

mation

considérée,

ces défauts, ont des

énergies

nulles

et ne

participent

pas à la résistivité

électrique.

II. - Le

raisonnement,

concernant les bandes

larges

sp des composés AB

(p.

118), et consistant à

, / , /

n’est pas correct.

L’équation (16)

doit en effet être

remplacée

par :

e ayant les mêmes variations que pour le

système

covalent

correspondant,

c’est-à-dire

Pour les valeurs extrêmes de B, les limites des bandes sp sont

et

On constate que deux des limites sont

égales

aux

énergies

des, bandes

plates, qui

ne sont donc pas détachées des bandes

larges.

De

plus

comme

e’ > 0, (E.l)

montre

qu’une

bande

d’énergie

interdite s’ouvre à la fois dans la bande dé valence et de conduction.

Une démonstration

rapide

de ceci peut s’obtenir par la méthode de la référence

[1].

Pour ceci on peut

reprendre (14)

sous la forme

On peut, par

exemple, remplacer

ai,j dans la pre- mière

équation (E. 4)

par sa valeur déduite de la seconde et ensuite sommer sur J. Ceci permet d’abou- tir aux deux

équations

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01974003505046500

(3)

466

Remplaçant

maintenant

chaque Si,

dans la pre-

mière

équation (E. 5)

par sa valeur déduite de la

seconde,

on obtient :

la somme sur i" s’effectuant sur les seconds voisins de i. La relation

correspondante

pour le covalent est

En

identifiant,

on

a

En combinant ceci avec les deux dernières

équa-

tions

(E. 5)

on aboutit facilement au résultat énoncé

en (E. 1).

Remerciements. - Nous tenons à remercier les Drs

Eggarter

et Ducastelle

qui

nous ont fait remarquer

ces erreurs.

[1] LANNOO, M., J. Physique, 34 (1973) 868.

Détection

optique

de la résonance

électronique

de l’exciton

autopiégé

dans les

halogénures alcalins ;

observation d’un croisement de niveaux par

A.

WASIELA,

G. ASCARELLI et Y. MERLE D’AUBIGNÉ

J.

Physique,

34

(1973) suppl.

C9

Dans cet article il convient de noter :

Page

C9-125

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