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Nettoyage de la maçonnerie en brique

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Academic year: 2021

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Digeste de la construction au Canada, 1978-07

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Nettoyage de la maçonnerie en brique

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Digeste de la Construction au Canada

Division des recherches en construction, Conseil national de

recherches Canada

CBD 194F

Nettoyage de la maçonnerie en

brique

Publié à l'origine en juillet 1978 T. Ritchie

Veuillez noter

Cette publication fait partie d'une série qui a cessé de paraître et qui est archivée en tant que référence historique. Pour savoir si l'information contenue est toujours applicable aux pratiques de construction actuelles, les lecteurs doivent prendre conseil auprès d'experts techniques et juridiques.

Les murs de brique doivent être nettoyés à plusieurs reprises, le premier nettoyage étant effectué avant la mise en service des bâtiments. Il faut d'abord enlever les poussières et les saletés résultant des travaux de construction, ainsi que le mortier éclaboussé sur les briques au moment de la mise en oeuvre de la maçonnerie. Il faut parfois prévoir un deuxième nettoyage pour enlever les traces d'efflorescence. Puisque le mortier doit être mouillé pour la pose des briques, ces dernières deviennent humides et à mesure qu'elles sèchent, l'humidité, contenant divers sels dissous provenant du mortier et des briques, atteint la surface du mur et s'évapore en laissant un dépôt de sels prenant généralement la forme d'une couche blanche sur les briques.

Le moment du prochain nettoyage varie selon le degré de pollution auquel le bâtiment est exposé. Une maison de ferme en brique, par exemple, peut garder son aspect original pendant plus d'un siècle à cause de l'atmosphère relativement non polluée dans laquelle elle se trouve. Par contre, les murs de brique d'un bâtiment situé dans une zone industrielle où l'atmosphère est très polluée peuvent déjà être salis après dix ans. Le présent Digest fournit des renseignements fondamentaux sur les méthodes de nettoyage des murs de brique et donne un aperçu de quelques problèmes qui pourraient surgir.

Pollution atmosphérique

Parmi les nombreux agents atmosphériques qui contribuent le plus à la détérioration de la maçonnerie en brique, les produits de la combustion du charbon se classent au premier rang. L'auteur londonien John Evelyn écrivait il y a trois siècles, «cette fumée nuisible . . . qui dépose une croûte ou un manteau de suie sur tout ce qu'elle touche . . . qui obscurcit nos églises ... qui prête à nos palais un air de vieillesse . . . (et) qui tache et contamine tout ce qui est exposé.» Bien que les vieux bâtiments des villes canadiennes aient probablement été exposés à une atmosphère semblable à celle du vieux Londres, la fumée de charbon est un agent polluant

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beaucoup moins important qu'autrefois. Il n'en demeure pas moins que les bâtiments des villes modernes sont exposés à des matières dérivées de la combustion du charbon et d'autres combustibles et susceptibles de salir la maçonnerie en brique.

La combustion du charbon dégage dans l'air des matières telles que la suie, les substances goudronneuses, les poussières, divers vapeurs et gaz (y compris le monoxyde et le bioxyde de carbone), la vapeur d'eau, l'anhydride sulfureux et des oxydes d'azote, ainsi que des composés organiques, plus particulièrement des hydrocarbures. La combustion d'autres combustibles tels le pétrole et le gaz naturel dégage également de la suie et des vapeurs et des gaz comprenant de l'anhydride sulfureux, l'ammoniaque, le méthane et l'acétylène, ainsi que des matières organiques.

Les particules entraînées par la combustion de combustibles et par des procédés industriels tels que le traitement calorifique des matériaux peuvent demeurer longtemps en suspension dans l'air si elles n'ont pas adhéré à un mur. Les retombées de poussières dans la région industrielle de Windsor, en Ontario permettent de déterminer à quel point l'air est contaminé par ces substances. Dans cette ville, les retombées de poussières moyennes durant la saison de combustion sont de l'ordre de 92 tonnes/mille² (32.2 t/km²) par mois, et atteignent jusqu'à tonnes (70.1 t/km²). Par contre, les retombées de poussières naturelles, le sable emporté par le vent, les particules de terre, le pollen et la végétation ne comptent que pour 5 tonnes/mille² par mois (1.7 t/km²).

Autres raisons justifiant le nettoyage de la maçonnerie en brique

Outre la pollution atmosphérique, il existe de nombreux autres facteurs qui rendent essentiel le nettoyage de la maçonnerie: les taches causées par les métaux employés avec la brique, particulièrement le fer et le cuivre, et la croissance de lichens, de mousse et autre végétation. Le nettoyage peut aussi être nécessaire pour enlever l'efflorescence formée par un excès d'humidité résultant d'une condition locale inhabituelle, par exemple, de l'eau provenant d'une gouttière défectueuse ou de l'humidité montant du sol en contact avec le mur.

La maçonnerie en brique qui a été peinte peut plus tard perdre son attrait esthétique. Du goudron et du bitume renversés accidentellement pendant les travaux de réparation du toit, des murs salis à la suite d'actes de vandalisme et la décoloration des murs de brique des vieux bâtiments causée par les substances goudronneuses qui se forment dans les cheminées mises en oeuvre dans ces murs, (et qui pénètrent éventuellement dans la brique) constituent d'autres motifs pour le nettoyage de la brique.

Points importants

Les matières ordinairement employées pour nettoyer la maçonnerie en brique sont très corrosives et souvent toxiques. Il peut être nécessaire d'employer des appareils spéciaux pour les appliquer et de se vêtir d'une combinaison protectrice durant l'application. De plus, il faut penser à protéger les autres parties du bâtiment, les bâtiments environnants et les arbres et arbustes. Voilà pourquoi il est ordinairement préférable de confier le nettoyage des murs de brique à des spécialistes. L'expérience de ces derniers et l'utilisation d'appareils convenables comptent pour beaucoup dans la réussite du travail. Cependant, si un particulier tente de nettoyer un mur en brique, il doit suivre attentivement les directives fournies avec les matériaux à employer.

Dans la plupart des bâtiments, les briques sont faites d'argile cuite ou d'argile litée, mais de nombreux bâtiments sont construits en briques silico-calcaires (silicate de calcium) et en béton. Les solutions acides pour le nettoyage et qui n'ont aucun effet sur les briques d'argile pourraient endommager les autres; il faut donc réduire l'acidité des solutions dans ce cas. Décapage au sable

L'intérêt croissant porté aux vieux immeubles a entraîné la mise en oeuvre de nombreux projets de nettoyage et de restauration au cours desquels le décapage au sable a été employé. Un jet d'air projetant du sable est dirigé vers un mur à une pression telle que les grains de

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sable tiennent lieu d'abrasif. Cette méthode est très efficace pour le nettoyage des saletés et des poussières, mais elle entraîne aussi la désagrégation des briques et du mortier. Ces matériaux, surtout dans les vieux immeubles, sont assez tendres et sont donc facilement érodés sous l'impact des grains de sable. Il en résulte ordinairement des piqûres profondes dans la brique et le mortier, ce qui en modifie l'aspect original. La surface des briques est désagrégée, révèlant les gros nodules du matériau à l'intérieur de la brique ainsi que les «plis» qui résultent du moulage de l'argile. Les briques sont non seulement souvent altérées, mais leur résistance aux intempéries est réduite. Le décapage au sable a été tellement nocif dans le cas de plusieurs bâtiments que la maçonnerie en brique a été endommagée de façon permanente. Il faut donc éviter d'employer cette méthode de nettoyage, sauf si la maçonnerie à nettoyer est composée de briques suffisamment denses et d'un mortier suffisamment dur pour ne pas être désagrégés par le jet de sable.

Essai de nettoyage

Avant de choisir la méthode à employer ou même de faire nettoyer la maçonnerie en brique, il est préférable de nettoyer une petite surface du mur en vue d'évaluer l'efficacité de la méthode et de déterminer l'apparence de la brique après le nettoyage. La surface d'essai doit être peu en évidence au cas où l'on déciderait de ne pas continuer le nettoyage. Les résultats peuvent indiquer non seulement l'efficacité de la méthode de nettoyage mais aussi tout effet nuisible qu'elle pourrait avoir sur les briques et le mortier. Si après le nettoyage, on mouille le mur et on le laisse bien sécher, toute trace de contamination par efflorescence avec le matériau de nettoyage sera aussi révélée.

On peut se renseigner au sujet d'une méthode de nettoyage particulière en s'adressant à des compagnies de nettoyage et en examinant dans la plus grande mesure possible des bâtiments nettoyés au moyen de cette méthode.

Il est souvent nécessaire d'utiliser plusieurs méthodes de nettoyage avant de trouver la plus convenable, à cause des divers types de saletés qui se forment sur la maçonnerie en brique et des différentes propriétés des briques et du mortier. Les méthodes qui figurent ci-dessous sont ordinairement efficaces pour le nettoyage de certains types de saletés et de taches.

Nettoyage suivant la construction

La première étape consiste à nettoyer le plus de taches de mortier et de saletés possible à l'aide d'un grattoir, d'un ciseau ou d'une brosse métallique. Les taches qui restent doivent être enlevées en appliquant une solution d'acide muriatique (chlorhydrique, de qualité technique). La solution ne doit pas être d'une proportion supérieure à une partie d'acide pour neuf parties d'eau, puisqu'une concentration plus forte pourrait endommager le mortier et tacher certaines briques. Il faut nettoyer le mur par petites sections d'environ 10 à 20 pi² (0.9 à 1.8 m²) à la fois. Après avoir bien mouillé la surface à nettoyer, on peut appliquer la solution sur les briques à l'aide d'une brosse de fibres. Après 5 ou 10 mn, il faut bien rincer le mur avec de l'eau propre.

Nettoyage de l'efflorescence

Comme l'efflorescence prend souvent la forme de cristaux fins et fibreux sur la surface des briques, on peut en enlever la plus grande partie à l'aide d'une brosse. Si le résultat n'est pas satisfaisant, il faut laver le mur à l'eau, le frotter avec une brosse et le rincer de nouveau. Si l'apparence du mur n'est pas encore satisfaisante, il faut suivre la méthode employée pour le nettoyage suivant la construction, soit l'application d'une solution d'acide muriatique d'une proportion de 1 pour 9 sur le mur bien mouillé, suivie d'un rinçage à l'eau.

Si un mur est construit depuis plusieurs années et qu'il commence à présenter des traces d'efflorescence, cette condition est généralement produite par une humidité excessive et devrait être corrigée avant le nettoyage du mur.

Il se forme quelques fois sur la surface des briques une efflorescence verte à cause de certains sels de vanadium dans l'argile employée dans la fabrication des briques. Une telle efflorescence

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peut être enlevée en brossant les briques avec une solution d'hydroxyde de sodium mélangée dans une proportion de 12 oz par pinte d'eau (300 g/L). Le traitement lui-même peut produire un dépôt de sel blanc sur le mur qui peut être nettoyé à l'eau trois jours après l'application de la solution de nettoyage.

Nettoyage des taches de rouille

Les taches de rouille brunes produites par le fer ou l'acier encastré dans la maçonnerie ou placé tout près de façon que l'eau s'écoule sur la maçonnerie en provenance du métal, peuvent ordinairement être enlevées en appliquant une solution d'acide oxalique et d'eau (d'une proportion de 1 pour 10 en poids; 1 lb/gal ou 100 g/L) à laquelle a été ajouté 1/2 lb de difluorure d'ammonium/gal (50 g/L). Si la tache est profonde, la solution doit être appliquée à chaud et l'application répétée au besoin. Dans les cas extrêmes, il peut être nécessaire d'appliquer sur la brique un cataplasme qui maintient la solution en contact avec la brique et qui aspire la tache. Ce cataplasme peut se composer de citrate de sodium, de glycérine et d'eau, dans des proportions de 1 pour 7 pour 6, et former une pâte épaisse additionnée d'une substance telle la chaux et laissé sur la surface tachée pendant plusieurs jours avant d'être enlevé à l'aide d'une brosse.

Taches provenant du cuivre et du bronze

Les taches d'un vert bleuâtre qui révèlent la présence d'eau s'écoulant des solins en cuivre et des éléments en bronze peuvent être enlevées en appliquant un cataplasme préparé avec une partie de chlorure d'ammonium (sel ammoniac) pour quatre parties de talc ou de terre d'infusoires à laquelle on a ajouté de l'ammoniaque domestique. La pâte est appliquée aux briques, et lorsqu'elle est sèche, elle est enlevée à l'aide d'une brosse.

Taches de peinture

Les taches de peinture sur la maçonnerie en brique peuvent être enlevées en appliquant un décapant commercial qui amollit et décolle la peinture de façon à pouvoir la gratter ou l'enlever sous pression par un jet d'eau. La peinture peut aussi être amollie à l'aide d'un pistolet à chaleur, d'une lampe à propane ou d'une lampe à souder puis grattée. On peut quelques fois brûler la peinture en la réduisant en cendres et en l'enlevant à l'aide d'une brosse métallique. La plupart des décapants contiennent des matières toxiques cependant, et on peut en ressentir l'effet nocif non seulement en respirant leurs vapeurs mais aussi en absorbant ces matières par la peau. Leur haut degré d'inflammabilité présente aussi un risque d'incendie. Il est donc très dangereux de les employer à l'intérieur, par exemple en décapant un foyer à feu ouvert, à cause du manque de ventilation et du risque d'incendie. Même le produit du décapage peut présenter un risque si la peinture utilisée contient du plomb.

Taches sur les foyers à feu ouvert dues à la fumée et à la suie

Les taches causées par la fumée sur les briques de foyers à feu ouvert peuvent quelques fois être nettoyées au savon et à l'eau; si cette méthode n'est pas efficace, il faut les frotter avec une poudre décapante commerciale qui contient un décolorant et bien rincer la surface nettoyée. Dans les cas plus difficiles, il faudra peut-être employer un cataplasme de talc ou de chaux avec du trichloréthylène comme agent actif. Il peut être enduit sur les briques tachées et enlevé à l'aide d'une brosse lorsqu'il est sec. Un tel cataplasme doit être employé avec soin et seulement dans des endroits bien ventilés à cause de la toxicité de l'agent actif.

Nettoyage des croissances végétales

Les mousses, les lichens, les vignes et les plantes grimpantes sont nuisibles à la maçonnerie en brique, particulièrement les vignes dont les racines peuvent éventuellement causer la défaillance et la pourriture des joints de mortier. On peut tuer ces plantes par l'application de sulfamate d'ammonium ou d'une solution de silico-fluorure de zinc ou de magnésie dans l'eau dans une proportion de 1 pour 40. On peut aussi employer une herbicide commercial en suivant les directives du fabricant.

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Taches de bitume et de goudron

La plus grande partie des taches doit être enlevée en grattant et le reste, en appliquant un cataplasme préparé avec du talc ou de la chaux et un solvant tel le xylène, le toluène, le trichloréthylène ou des matières minérales. Le cataplasme peut être enlevé au moyen d'une brosse lorsqu'il est sec. Il est souvent nécessaire d'appliquer un deuxième cataplasme, mais il faut l'utiliser avec soin à cause de la toxicité des solvants.

Conséquences du nettoyage

Le but principal du nettoyage de la maçonnerie en brique consiste généralement à en améliorer l'apparence, mais il arrive souvent qu'on réussisse à découvrir des défauts à réparer, tels des fissures et des matériaux en décomposition. Il est préférable d'effectuer des réparations lorsqu'un mur est propre, particulièrement si l'on désire bien harmoniser la couleur de l'ancienne brique à celle de la brique restaurée.

La maçonnerie en brique nettoyée doit subir un traitement d'étanchéité en vue de préserver son apparence et d'augmenter sa durabilité uniquement si un problème se pose et qu'il n'y a aucune autre solution efficace.

Conclusions

Le nettoyage de maçonnerie en brique à intervalles réguliers constitue une méthode efficace pour augmenter sa durabilité, et il est souvent profitable d'établir un calendrier de nettoyage. Pour garder la maçonnerie en bon état, il suffit généralement de la nettoyer à l'eau tous les deux ou trois ans et de la brosser légèrement. Il existe divers matériaux et méthodes de nettoyage, mais lors du choix, il faut prendre en considération non seulement l'efficacité de la méthode, mais aussi les risques et les réactions défavorables qu'elle pourrait présenter.

Références

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