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Furi-Bernhard Ursula

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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Ursula Furi-Bernhard Cantatrice suisse au Festival d'Opéra d'Avenches La cuis'me ÏolandPierrox

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Première rencontre avec mes lecteurs

Nouvelle morphologie,

nouvelle philosophie

pour «F ri bourg Illustré»

Depuis quelques mois un vent de changement souffle sur «Fribourg Illustré». A son passage, il laisse le parfum d'une jeune femme dont le devoir s'avère par son art déli¬ cat de nous éclairer sur le paysage local, économique et culturel. La nouvelle âme, rédactrice en chef de «Fribourg Illustré», est un mélange bien dosé d'une muse grecque et de rigueur helvétique. Ij>rsqu 'on la ren¬ contre pour la première fois, notre at¬ tention se focalise sur sa physionomie distinguée. De plus, elle possède un profond regard qui fait luire sur son visage une lumière pure. A la fois tor¬ rentueuse et disciplinée, elle écoute «Vaujourd'hui» et enregistre «le de¬ main». Egalement elle incarne une personnalité hors de la médiocrité, ainsi qu 'une présence orchestrée par la bonté, l'intelligence et la beauté.

Vanessa Nobel, âgée de 26 ans, est en quelques mots une jeune dynamique et passionnée rédactrice. Originaire de St. Margrethen (SG) et domiciliée depuis sa plus tendre enfance à Estavayer-le-Lac, elle a accompli ses études dans la petite cité médiévale à la Rose. Vous la découvrirez et saurez l'apprécier au fil de vos lectures, car tout d'abord elle sait donner et aimer ses amis et les personnes qu 'elle fré¬ quente.

Rencontre avec cette toute récente journaliste, qui vous dévoile la pro¬ fondeur de ses convictions...

D. Chalazia-Juker - Quel a été le cataly¬ seur de votre intérêt passionné pour le journalisme? Et quel est votre parcours? V. Nobel - Après avoir débuté des études en lettres, j'ai totalement changé de direction. En effet, j'ai entrepris des études en Faculté de droit à Fribourg et, par la même occasion, j'ai suivi des cours en «Communications so¬ ciales» afin d'obtenir le diplôme en journa¬ lisme. Et c'est à cet instant précisément que

s'est révélé mon profond intérêt pour ce mé¬ tier. De plus, grâce aux professeurs, qui sont pour la plupart des journalistes profession¬ nels, j'ai appris à connaître et à aimer ce mé¬ tier.

- Pourquoi avoir précisément choisi la presse écrite?

- J'ai choisi la presse écrite car, selon ma propre philosophie de penser et de voir les choses, le support écrit représente quelque chose d'extrêmement profond et d'intempo¬ rel. En effet, dès ma plus tendre enfance j'ai toujours aimé «écrire» à mes proches et à mes amis, que ce soit à Noël, à Pâques ou lors de grandes occasions. Toutefois les autres médias ne me désintéressent pas! - Que représente pour vous le titre de «ré¬ dactrice en chef» de «Fribourg Illustré»? Et quels sont vos pro jets?

- En premier lieu, c'est très flatteur, mais cela implique beaucoup de responsabilités, étant donné que «Fribourg Illustré» est une revue régionale. Il faut savoir gérer et con¬ trôler de nombreux secteurs tels que le ni¬ veau rédactionnel, la gestion de la revue, la coordination, le graphisme, etc. Mes projets sont multiples. Tout d'abord je recherche à rajeunir et à dynamiser le magazine par l'in¬ troduction de nouvelles rubriques telles que «l'évasion et la découverte de nouveaux ho¬ rizons», «l'art culinaire», la culture en géné¬ ral, sans oublier l'actualité régionale du can¬ ton de Fribourg présentée sous forme de portraits, interviews et bien d'autres ma¬ nières encore, mais tout cela toujours traité sous un angle des plus respectables. - Quelles sont les qualités indispensables que vous privilégiez dans la vie en géné¬ ral?

- Selon mes propres convictions idéalistes, je privilégie avant toute chose la franchise, la justice et l'authenticité. Il est vrai que j'aime la sincérité des personnes et la pureté de la vie; l'artifice ne fait pas partie de mon mode de vie!

PHOTO ERIC' C'IJHNNHT - Diirreninatt aimait vivre à Neuchâtel. Il a affirmé: «Mon pays est cet endroit où le nom des montagnes a besoin de plusieurs langues pour le dire». Et vous, pourquoi avoir choisi Fribourg?

- Même si mes origines sont suisses aléma¬ niques, une des périodes les plus construc- tives de ma vie a été réalisée dans le canton de Fribourg. En effet, mes études primaires et secondaires ont été accomplies à Esta- vayer-le-lac et, par la suite, ma maturité et l'Université m'ont liées encore plus profon¬ dément avec la capitale historique que sym¬ bolise Fribourg. Une ville que j'ai découver¬ te et que j'aime, du fait de la pluralité de ses richesses culturelles, humaines et linguis¬ tiques.

- Oscar Wilde a dit: «Je peux résister à tout sauf à la tentation» Qu'en pensez- vous?

- Pour ma part, je ne résiste pas à la tentation de découvrir et de conquérir le monde! - A propos de voyages, Nicolas Bouvier a affirmé: «On voyage pour faire appa¬ raître le monde». Selon vous, est-ce vrai? - Je rejoins pleinement l'avis de ce grand écrivain-photographe. En effet, je pense que la géographie doit être vécue pour faire émerger toute la beauté du monde par la dé¬ couverte de ses populations, de ses particu¬ larités émouvantes et touchantes qu'elle émane!

Propos recueillis par Dimitra Chalazia-Juker

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Sommaire

H

ILLUSTRE N° 13/14 - 17 juillet 1998

13 Fête nationale

Le 1er Août, journée attendue par de nombreux Helvètes.

14 Regards sur...

Fête cantonale de gymnastique 1998.

17 Veveyse

Un nouveau préfet.

19 Animaux

Le sort des animaux et de la nature est de plus en plus alarmant. Que faire? Après le tragi-comique épisode du gypaète barbu, voici celui du lynx. Un animal de plus en plus rare que les ligues de protection de la nature sont ravies de voir réintégrer notre territoi¬ re.

28 Folklore

Assemblée générale annuelle de la Fédération fribourgeoise du costume et des coutumes.

32 Hors les murs

«La Berra», Le Landeron-Crissier.

35 Art

Le Musée de l'Abbatiale de Payerne présente jusqu'à la fin août la peintu¬ re ombrienne, originaire d'un des plus grands foyers sur le plan artistique en Italie. Couleurs, charme et senti¬ ments...

37 Sport

L'Ecole de boxe a fêté ses 40 ans.

38 Beauté

Le visage et le corps d'une femme doivent être soignés. Spray enso¬ leillant, crème nourrissante bio pour le visage ou encore un soin total lèvres sont les favoris de l'été.

PHOTO ESTEE LAUDF.R

21 Education ECDD

40 Portrait

Roland Ding, aventurier.

42 Grenadiers

En Italie, les Grenadiers fribourgeois ont gagné la bataille de Marengo.

47 Automobile

Essai de la nouvelle Saab 9-5.

Couverture: L'art à l'unisson.

Art vocal au Festival d'Avenches, art culinaire chez Roland Pierroz et art pic¬ tural au Musée de l'Abbatiale de Payerne, tout est réuni pour que les amoureux d'art, de gastronomie et de culture se régalent tout au long de l'été. PHOTO URSULA: FRANÇOIS GRIBI PHOTO PIERROZ: P.-M. DELESSERT PHOTO ART SACRÉ: MUSÉE DE PAYERNE

Rubriques 3 Première rencontre

avec mes lecteurs 6 Gastronomie 9 Tourisme U Flash 15 Patois

18 Châtel-St-Denis 20 Index des salles 22 Labyrinthe Aventure 26 Opéra 27 Roman 30 Motos 36 A ne pas manquer 39 Art de vivre 41 Cuisine 45 Culture 48 Hommage à... 5» BFU-BPA-UPI

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ILLUSTRE Gastronomie Roland Pierroz,

chef de renom et cuisinier

du Verbier Festival Academy

Situé dans les amples lacets du Grand-Saint- Bernard, Verbier, sous un soleil omniprésent, abrite le restaurant-hôtel «Ro- salp», un splendide et cha¬ leureux chalet. L'hôtel, composé de 25 chambres vastes, claires et toutes for¬ tement personnalisées, a le charme discret d'une vil¬ légiature de montagne. Quant à la cuisine, Roland Pierroz, élu «Cuisinier de l'année» en 1992, harmo¬ nise une gastronomie mo¬ derne influencée par les saveurs des pays méditer¬ ranéens, avec les meilleurs crus venus d'Europe. Rencontre de «Fribourg Illustré» avec ce maestro de la cuisine créative, où l'expression des arômes naît dans la simple juxta¬ position des produits, le plus souvent sans l'artifice des sauces.

FI - Vous possédez des ori¬ gines italiennes; se ressen¬ tent-elles dans votre cuisine? R. Pierroz - Oui, très certaine¬ ment. Ma mère, Anita Pierroz, excellente cuisinière, m'a trans¬ mis l'art de la cuisine goûteuse et méditerranéenne de son Ita¬ lie natale à base essentielle¬ ment d'huile d'olive, de toma¬ te et de poivron.

- Parlez-nous des origines du «Rosalp»?

- En 1944, précisément, mes parents Roger et Anita Pierroz sont venus passer quelques jours de vacances avec des amis à Verbier. A cet instant ma mère tomba amoureuse du

lieu en question et persuada ainsi mon père, pâtissier de profession à Martigny, d'ou¬ vrir une pâtisserie-tea-room à Verbier. Ainsi l'histoire du Rosalp est née en 1946, date où le chalet fut construit et inauguré. En 1956 la famille Pierroz décida d'agrandir le chalet pour en faire une pen¬ sion familiale et un restaurant. A cette époque, la cuisine si¬ gnée Anita Pierroz était déjà fort reconnue grâce à son ri¬ sotto, ses antipasti, son pot-au- feu à l'italienne et bien d'autres spécialités. En 1958, et cela pendant deux ans, je suis parti faire mon apprentis¬ sage de cuisinier au Beau- Rivage Palace à Lausanne- Ouchy. Et, finalement, après de multiples stages à l'étran¬ ger, en 1961 j'ai rejoint mes parents au Rosalp à Verbier, endroit qui s'est agrandi et transformé jusqu'à aujour¬ d'hui grâce à la précieuse aide de mon épouse Mimi et de ma fille Valérie.

- Vos inspirations culinaires, comment les puisez-vous?

- J'arbore une technique assez particulière. En fait, je possède partout à la maison et au res¬ taurant des petits cartons de couleur, où je dessine mes nou¬ veaux plats. Le concept de mes recettes s'inscrit dans un che¬ minement classique: dessins, idées cumulées, réalisation, donc les idées arrivent à n'im¬ porte quel moment de la jour¬ née. Ce système permet ainsi de créer des plats qui s'adap¬ tent fort bien aux saisons. - Vous êtes également prési¬ dent suisse des Relais Ch⬠teaux. Qu'est-ce que cela si¬ gnifie pour vous?

- La Revue suisse des Relais Châteaux représente une som¬ me importante de travail, ce¬ pendant je suis remarquable¬ ment bien aidé et secondé par un brillant collaborateur, An¬ dré Piatti, qui s'occupe du do¬ maine publicitaire, de la re¬ cherche des documents et de bien d'autres secteurs encore ayant trait à cette revue. Et, fi¬ nalement, le fait de m'investir dans cette tâche m'a apporté énormément de contacts avec

Roland Pierroz, à la fois passion¬ né de cuisine et amoureux des grands crus.

PHOTOS P. M. DELESSERT d'autres cuisiniers étrangers, ce qui m'a permis de m'enri- chir non pas au niveau pécu¬ niaire, mais plutôt culturelle- ment.

- Hans Stucky, récemment décédé, a honoré par son art pendant plus de 35 ans la grande cuisine gastrono¬ mique. Que représentait-il à vos yeux?

- Hans Stucky était non seule¬ ment un grand cuisinier, mais surtout un ami très cher. Pas¬ sionné d'opéra et de musique classique, notamment des airs de Wagner, il symbolisait avant tout un homme extrême¬ ment cultivé et surtout d'ex¬ ception.

- Vous êtes le cuisinier offi¬ ciel du Verbier Festival Aca¬ demy. Parlez-nous un peu de cette soirée exclusive du 20 juillet?

- Le repas du 20 juillet pro¬ chain, intitulé «Festival des Muses», sera particulier. En effet, l'idée se présente de la manière suivante: on désire as¬ socier la musique à la cuisine, c'est-à-dire que «je vais créer un menu et les musiciens joue¬ ront un morceau de musique en fonction de l'inspiration que leur procurera mes mets». Propos recueillis par Vanessa Nobel Pierroz Rosalp Verbier Tél. 027/771 63 23

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Tortelloni niçoise de Roland Pierroz

Pour 6 personnes 18 lasagnes vertes fraîches (15 x 15 cm) Pour la farce 150 g de séré 25 g de poivron rouge 25 g de poivron jaune 25 g de poivron vert 25 g d'aubergine 1 œuf huile d'olive

sel et poivre du moulin

Pour la présentation 5-6 c.s. d'huile d'olive extra-vierge 6-8 feuilles de basilic 12 olives de Nice 3 gousses d'ail parmigiano reggiano Mise en place

1. Coupez les morceaux de poivron rouge, vert et jau¬ ne, ainsi que d'aubergine en carrés de 8 mm et faites-les cuire à l'eau salée, en les gardant fermes. Egouttez- les, puis faites-les rapide¬ ment sauter à l'huile d'oli¬ ve et égouttez-les sur du papier de cuisine.

2. Débattez l'œuf dans un bol. Amenez une casserole d'eau à ébullition, versez-y l'œuf battu à travers un chinois, il va immédiatement coaguler. Versez alors le contenu de la casserole dans l'évier à tra¬ vers une passoire, dans la¬ quelle vous récupérerez l'œuf «filé» coagulé. 3. Mélangez les légumes avec

le séré et l'œuf filé. Assai¬ sonnez.

4. Placez un carré de pâte sur la planche. Déposez une cuillerée de farce juste en avant de la diagonale, re¬ pliez la pâte en triangle, égalisez les bords au cou¬ teau, puis collez ensemble les deux extrémités du triangle. Procédez de même pour les autres tortelloni. Gardez-les en attente sur un plat légèrement fariné, cou¬ verts avec du papier film ou un linge humide.

5. Hachez le basilic. Pelez les gousses d'ail et coupez-les en lamelles verticales. Gar¬ dez-les séparément au frais dans du papier film. Cuisson et finitions

1. Faites frire les lamelles d'ail et égouttez-les sur du papier de cuisine.

2. Versez 5 c. s. d'huile d'oli¬ ve dans une petite cassero¬ le, salez, ajoutez le basilic haché et faites chauffer doucement.

3. Faites cuire les tortelloni à la vapeur.

Présentation

Dressez trois tortelloni au centre de chaque assiette chau¬ de. Nappez-les avec une petite cuillerée d'huile au basilic. Râpez quelques flocons de parmesan dessus et décorez avec les olives de Nice et les lamelles d'ail frites.

Le vin accompagnant ce plat: Humagne blanc barriqué de Mabillard-Fuchs à Venthône.

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TELEVERBIER encourage la pratique du VTT Nouveau: transport des vélos et des parapentes gratuit, à condi¬ tion bien sûr que le pilote ait acquis son propre titre de transport. Verbier dispose d'un très vaste réseau d'itinéraires VTT, ouvert à tous les niveaux et à tous les genres:

- montées de petits ou grands dénivelés - cross-country

- descentes agréables sur de spacieuses routes de montagne. TV SA sécurise le parcours de descente permanent des Ruinettes jusqu'à Médran, accessible aux VTT de descente et aux snow cross, et assume l'entretien du parcours de même que son ouverture et sa fermeture quotidiennes.

Au départ de Médran, forfaits de location des snow cross in¬ cluant les remontées mécaniques pour une utilisation à la demi- journée ou lors de 1, 5 ou 10 courses.

TV SA apporte son soutien logistique et financier au comité d'organisation des Championnats suisses de descente et de dual slalom VTT.

Tous les jeudis, du 9 juillet au 20 août, rendez-vous avec les premiers rayons du soleil au sommet du Mont-Fort, lever du soleil en musique, puis petit déjeuner copieux au restaurant des Gentianes, Fr. 42.- forfaitaire. Il en coûtera Fr. 12.- aux titulaires d'un abonnement de libre-parcours, d'un forfait annuel ou de sai¬ son d'été 4 Vallées/Mont-Fort. A noter la possibilité offerte, après le petit déjeuner, d'effectuer une randonnée accompagnée à l'al¬ page de la Chaux, Fr. 10.-.

Le nombre de journées à Fr. 10.- (dix francs!) est doublé cet été 98!

Les dates prévues sont: les samedis 18 et dimanche 19 juillet et les samedi 15 et dimanche 16 août 1998.

Tous les mardis du 7 juillet au 25 août 98 vous est proposée une excursion mêlant les plaisirs de l'aquarelle, de la rencontre et des sens. Les mardis «Agri-Culture» prévoient une randonnée facile depuis les hauts de Savoleyres jusqu'en un lieu panora¬ mique où notre guide et artiste Andrée-Noëlle Filliez initie les par¬ ticipants à l'aquarelle. Forfait de Fr. 25.- par personne, compre¬ nant le transport en remontées mécaniques, le pique-nique, le cours d'aquarelle et le matériel nécessaire à ce cours.

Parcours de descente VTT et Dual Slalom ouverts en per¬ manence. Transport des vélos gratuit. Forfaits de location Snow

Cross ou VTT

Information: Téléverbier S.A. tel: 027/775 25 11

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Tourisme ILLUSTRE

La station valaisan- ne de Verbier se situe à 1500 m d'altitu¬ de, au cœur de la magni¬ fique chaîne des Alpes. Im station s'étend sur un haut plateau orienté sud-ouest, qui bénéficie d'un ensoleillement ex¬ ceptionnel: elle se com¬ pose exclusivement de constructions de style chalet qui lui ont permis de conserver le charme d'un grand village al¬ pin. Son offre touris¬ tique comprend environ 15 000 lits, répartis entre hôtels, chalets et appar¬ tements de vacances.

Verbi 1er

PHOTO OFFICE DU TOURISME DE VERBIER

Verbier est mondialement ré¬ putée comme destination de sports d'hiver. En effet, elle forme le centre d'un des plus grands domaines skiables au monde, les 4 Vallées: un ré¬ seau moderne de 100 installa¬ tions de remontées et plus de 400 km de pistes reliant les domaines skiables des stations de Verbier, La Tzoumaz, Nen- daz, Veysonnaz et Thyon/Les Collons, qui offre des possibi¬ lités presque illimitées aux amateurs de sports de glisse de tous niveaux. Le point culmi¬ nant du domaine skiable est le glacier du Mont-Fort, à 3330 m d'altitude; il garantit des conditions d'enneigement ex¬ ceptionnelles été comme hiver et offre un des plus beaux points de vue sur toute la chaî¬ ne des Alpes, du Cervin au Mont-Blanc. Quant aux ama¬ teurs de poudre, ils trouvent de nombreux itinéraires et cou¬ loirs de poudreuse à proximité des installations et peuvent également se faire déposer en hélicoptère sur des pentes vierges.

Verbier est une station qui plaît grâce à ses multiples fa¬ cettes, en été également, lorsque l'offre se place sous le signe du sport et de la culture. Cinq ans de vie

pour le Verbier Festival En cinq ans d'existence, le Verbier Festival & Academy est devenu l'un des points forts de la saison des festivals

associe sports

et culture

en Suisse. Du 17 juillet au 2 août prochain, il propose un programme de dix-sept jours comprenant plus de quarante concerts, spectacles et ateliers de musique, danse et théâtre. L'atmosphère particulière et conviviale de ce festival est un cadre propice à la création et aux échanges entre quelques- uns des plus grands artistes du moment et de jeunes talents à découvrir.

Le Verbier Festival & Acade¬ my fête son cinquième anni¬ versaire en compagnie de l'Orchestre Symphonique du Curtis Institute, dirigé par An¬ tonio Pappano et Maxim Ven- gerov, ainsi que de nombreux musiciens renommés comme Yuri Bashmet, Yefim Bronf¬ man, Sarah Chang, Barbara Hendricks, Lynn Harrel, Ev- geny Kissin, Mischa Maisky, Kurt Masur, Vadim Repin, Pe¬ ter Schreier, Yuri Temirkanov, Maxim Vengerov et bien d'autres encore.

De plus, le Verbier Festival & Academy se distingue par un programme d'activités origi¬ nales: des randonnées cultu¬ relles, des concerts en plein air et une soirée exceptionnelle au Rosalp, «Le Festin des

Muses», où le célèbre cuisi¬ nier Roland Pierroz et une pa¬ lette de musiciens de renom se donnent la réplique.

Bien entendu Verbier et le val de Bagnes ont plus d'un atout à jouer pour ravir leurs hôtes durant la saison estivale: le Musée «Espace Alpin» du Hameau de Verbier, une forge traditionnelle et un ancien moulin en état de marche, ain¬ si que le barrage de Mauvoi- sin, le plus haut d'Europe. A proximité, le visiteur trouve de nombreux buts d'excursion, comme la Fondation (iiianad- da à Martigny, qui présente une exposition de Gaugin, et l'Hospice du Grand-Saint- Bernard et ses fameux chiens. De plus, la riche palette d'ac¬ tivités sportives prouve que les sports et la culture se complètent harmonieusement: alpinisme, aventure et fun, équitation, escalade, golf, pa- rapente, randonnée pédestre, ski et snowboard, VTT. Ainsi, si vous aimez le sport et la cul¬ ture, rendez-vous en juillet à Verbier, afin de satisfaire vos appétits estivaux!

Vanessa Nobel et Office du tourisme de Verbier

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Vers

les plus beaux sommets

Flash

11 ILLUSTRE

Ôue vous soyez alpi¬ niste chevronné ou montagnard débutant, les guides du bureau de «La Fantastique» - Ecole de ski et d'alpinisme à Verbier, sont prêts à vous faire dé¬ couvrir de nouveaux hori¬ zons, à vous emmener sur les plus beaux et plus pres¬ tigieux sommets des Alpes. Le bureau des guides «La Fan¬ tastique» vous propose de multiples activités, telles que l'initiation ou le perfectionne¬ ment à l'escalade sur glace ou rocher. Tout l'été des courses collectives au Petit-Combin, Aiguilles du Tour ou Rosa- blanche, ou alors des grandes courses: Grand-Combin, Mont- Blanc, Cervin, etc...

Pour les moins téméraires, des randonnées à la découverte de la flore et de la faune du val de Bagnes et des Alpes. Pour ceux ou celles qui n'ont pas peur de se mouiller, du canyoning et pourquoi pas un vol biplace en parapente, soit depuis les hauts de Verbier, soit depuis un som¬ met que vous aurez gravi à la sueur de votre front... ! Egalement des randonnées sur plusieurs jours, le Tour des Combins, le Grand-Paradis, les Chemins des Walser ainsi que des randonnées en Corse. Renseignements: Tél. 027/771 41 41 Fax 027/771 42 41 E-mail: lafantastique @ verbier. ch Publireportage LA FANTASTIQUE

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1er Août

il ILLUSTRE

La Fête nationale, c 'est aussi les cors des Alpes.

photos G. HD

Les Beautés «f*

de la Patrie Je n'aimerais pas faire le dis¬

cours du 1er Août. Naguère tout était simple. On disait que nous habitions un beau pays, prospère, pacifique et toujours prêt à aider les autres. On rap¬ pelait que toutes ces vertus ve¬ naient de nos ancêtres et que notre mission était de suivre leurs traces. Quant aux enne¬ mis perfides qui nous mena¬ çaient, ils devaient savoir que notre armée, forte et détermi¬ née, était prête à les recevoir. Tout a changé. Les orateurs d'aujourd'hui nous parlent de chômage, de fusions, de mon¬ dialisation, de déficits ef¬ frayants et d'économies dras¬ tiques, de drogue, de vilaines banques et d'autres sujets dé¬ sastreux. Et nos chants ne par¬ lent plus d'admiration ni de fi¬ délité, ces deux piliers du patriotisme.

L'admiration pour la beauté de nos paysages a suscité des pages d'un romantisme éche- velé. On a célébré à qui mieux mieux nos lacs, toujours calmes et purs, nos montagnes

et leurs glaciers, nos pâturages et

leurs chalets, nos forêts pro¬ fondes, nos frais vallons et leurs torrents bondissants. On incluait dans cette dévotion les armaillis, les bergères, les pay¬ sans, les vignerons, les chas¬ seurs de chamois... La Suisse était le pays des modestes chaumières, des pâtres pai¬ sibles et des aigles royaux pla¬ nant au-dessus d'abîmes verti¬ gineux. La patrie était rustique et sublime.

La fidélité consistait à perpé¬ tuer des souvenirs sacrés, le Pacte, le Griitli, Morgarten, symboles de la volonté d'indé¬ pendance du peuple suisse. Nos ancêtres les Waldstaetten inspiraient une égale piété fi¬ liale aux enfants de Lucerne et aux petits Tessinois et Gene¬ vois qui étaient pourtant, avec d'autres, les héritiers d'une histoire sans accent allemand. On voyait marcher du même pas glorieux les grands hommes d'ici et de là-bas, Guillaume Tell avec Davel,

Winkelried avec la Mère Royaume! Les hommes politiques aimaient à se référer à ces héros qui avaient excité la bravoure des soldats confé¬ dérés. Nos chants retentis¬ saient du bruit des tambours et des canons. La patrie était hé¬ roïque et militaire.

Presque d'un coup, toute cette imagerie disparut. On avait abusé trop longtemps des chromos et des hymnes. On s'avisa que les bergères étaient devenues hôtesses de l'air ou coiffeuses, que les lacs d'azur étaient pollués. Les foules dé¬ boulent sur les glaciers, ce qui les fait paraître moins su¬ blimes. On aspire à la paix plutôt qu'à des victoires. Et le peuple des bergers se révèle assoiffé de voyages exotiques! Bref, l'air du temps a changé. Adieu donc, petites fleurs et Alpes de neige! Disparaissez avec les glaneuses et les fau¬ cilles, qui n'existent plus que dans les musées (je parle des faucilles!) Il faut vivre avec son temps.

Malheu¬ reusement, les restaurants tournant au sommet des mon¬ tagnes, les téléphériques et les hors-bord, les moissonneuses- batteuses et les autoroutes n'ont pas trouvé de chantres à leur mesure. La tenue léopard n'inspire pas les poètes épiques (s'il en reste) et miss Suisse, malgré ses mérites, n'arrive pas à passer pour une héroïne nationale. Nos arrière- petits-neveux ne pourront donc pas se moquer de nos chants et des valeurs ridicules qui nous avaient fait vibrer. La Suisse moderne ne suscite aucun enthousiasme patrio¬ tique.

Mais qu'à cela ne tienne! Sou¬ haitons-nous tout de même un «bon 1er Août», avec des dra¬ peaux, des lampions, des feux de joie, quelques paroles bien senties et des morceaux de fanfare. Après quoi, dans la douce nuit d'été, sous les étoi¬ les qu'on espère nombreuses et favorables, nous chante¬ rons: «Sur nos monts quand le soleil...»

(14)

il ILLUSTRE

Regards sur.

Une prestation d'ensemble «Mère et enfant».

La grand-messe de la gymnastique est ter¬ minée, la fête était belle, surtout avec un soleil qui s'était pris pour Apollon à 35 degrés minimum! Les athlètes, eux, se sont dé¬ passés et maintenant que barres fixes, cheval d'ar¬ çon, tremplin sont retour¬ nés dans leur abri, chacun s'est donné rendez-vous pour la prochaine fête can¬ tonale en 2004.

Fête cantonale

de gymnastique 1998

Soleil et chaleur,

deux invités sans billets...

Quelle sera alors la ville orga¬ nisatrice?... Le président du comité d'organisation, André Liaudat, ne s'aventure pas à faire des pronostics. Probable¬ ment un chef-lieu comme Bul¬ le, Morat ou Estavayer-le-Lac, en raison des infrastructures à prévoir. L'avenir en décidera. Seule certitude, la fête aura

lieu, car elle est devenue un rendez-vous incontournable dans le calendrier sportif de notre canton.

Sport de compétition, la gym¬ nastique représente une école de dépassement de soi qui la met à part parmi les activités physiques de concours. L'am¬ biance sur les stades pendant

ces trois jours était à la cama¬ raderie, au plaisir de se retrou¬ ver avec un même tic-tac au fond du cœur. Certains gym¬ nastes auront sans doute été déçus de leurs performances ou des notes attribuées, mais le vrai sport c'est d'accepter les décisions des juges. Lors du final, la prestation «Mère et

enfant», parfois «Père et en¬ fant», a particulièrement tou¬ ché les spectateurs qui ont ap¬ plaudi ces tandems de générations, prometteurs fort sympathiques. A la fin de la cérémonie de clôture, le grou¬ pe Frisport-Handicap se vit re¬ mettre, par l'intermédiaire de son président Hans Liechti, un chèque de Fr. 5000.-, offert par l'Association cantonale. Dernier acte officiel de la fête

1998, la remise de la bannière revenue dans la capitale après avoir passé six ans à Charmey. Fribourg-Ancienne, Freibur- gia, les sociétés organisatrices et surtout les quelque 3000 gymnastes ont tout fait pour que la fête soit réussie. Elle l'a été... Vive la prochaine en 2004!

Texte et photos: J.S.B.

iwî \ ".jgwta?

Remise de la bannière cantonale à André Liaudat. président du co¬ mité d'organisation.

(15)

Lè patêjan d'Intrè-No a la Montanye dè Velâlou Le patê d'intche-no BU ILLUSTRE

Lè patêjan dè l'amikale Intrè-No dè Friboua è di j'alintoua ke l'an na bal'aktivitâ èpardzemalâye to dou Ion dè l'an chè chon rètrovâ la demindze 28 dè jouin po pachâ inthinbyo na dzornâ a la Montanye dè Velâlou, yô ke chè tràvè la baraka dou «ski-club» dè Velâlou. Le prèjidan Dzojè Oberson ke chè abadâ a la bèka dou dzoua, l'è j'ou pyantâ dutrè j'èkritô dè gran de la route po ke lè minbro dè l'amikale trovichan lou tsemin. Lè premi, hou ke l'an pouêre dè pâ trovâ prou pyèthe, arouvon dza dèvan dji j'àrè. Achtou ke chon trè ou katro dè là, chè beton a dzuyi i kârtè. N'a rin dè tin a pêdre. Pu i arouvon lè j'on apri lè j'ôtro tantyè i j'arè dè goutâ. N'in d'à mimamin k'arouvon outre le dumidzoua. Pè vê ondz'àrè l'è le momin dè l'apèrô. Le rèchponchâbyo dou vindâdzo chô lè demi dè byan. Fô dècharâ on bokon la gardyèta dèvan dè medji la tsanbèta. Kan chin vin lè j'àrè dè goutâ chè tiron ti pri de la trâbya. Tsakon chô dè chon cha kotyè mouâchè dè tsanbèta, dè bakon, on linju, na choucheche ou duvè, de la chalârda i pre-dè-têra, i fan- fiyoulè è medzon to chin avoui on grô tayon dè pan. Pu, po to chin tsouhi avô, on vêro dè rodzo è po fourni na bouna tacha dè nê avoui on vêrelè dè gota. Du goutâ, lè j'inradji chè rèbeton a dzuyi i kârtè. On'ou chtek de na pâ, thinkanta dè l'ôtra, than in fathe, match a la trâbya dêrê. On chè krêrè ou kaba- rè na demindze du la mècha. Ma n'in d'à achebin dè hou k'âmon grapiyi pè lè patchi è rôdâ pè lè dzà. Adon, na kobya dè hou patêjan ch'inmodè po le Dzubyà in pachin pè le tsalè de la Montanye dè Velâlou. la dzà dou rèvê, la fontanna a Katiyon por arouvâ a ha monchtra toua a la bèka dou Dzubyà. On kou lé, n'a tyè a grapiyi lè 2(X) j'ègrâ por arouvâ chu la premire louye de la toua. Kemin du le Molèjon, du lé hô l'univê chè vê. Pè bi tin, on vê de na pâ la pyanna tantyè a la tsêna dou Jura è dè l'ôtra pâ, la rintse di montanyè de la Grevire, le Molèjon pu ehe le tin lè prou hyâ, gayâ totè lè hôtè dè l'Oberland è de la Chavouê avoui le Mon-Byan, la pye hôta dè l'Europe.

Din ha dzà dou rèvê dou Dzubyà, lè piti fri, lè hôtè j'êrbè, è totè chouârtè dè pyantè l'y fojenon. Lè hyuvè l'y chon hôtè è balè, lè foyu pechin è cholido. Ch'on chô di chindê on chè pê din lè fiàdzè è la byantsèta è a la bouna chè- jon on l'y travè di frêyè, di j'anpè è di grejalè. L'y a achebin di bithè chèrvâd- zè: di chevreuil, di renâ, di tachon, kotyè lêvrè è pu prà dè pouê-thinyâ. Bin chur ke dè dzoua, chuto ch'on è in binda è k'on fâ de la chèta on'in vê rin dè hou bèthètè.

Ma, rèvinyin vê nouthrè patêjan ke chon in fitha. Outre le dumidzoua, n'in d'à dè hou ke, benéje dè lou rètrovâ, mênon l'andyèta è lè j'ôtro dzuyon adi i kârtè tantyè i j'àrè dè rintrâ po marin- dâ. Pu hou ke trâvon ke le dzoua l'è j'ou tru kour, ch'inmodon vê le prèji¬ dan bin vê on'ôtro minbro de la cho- chiètâ po fourni la vèya in tsantin in patê dèvan na tacha dè nê è de la bon- beniche.

Ti lè j'an a la fin dè jouin lè patêjan d'Intrè-No dè Friboua chè rèdzouyon dè lou rètrovâ po na bala dzornâ a la Montanye dè Velâlou.

Albert Bovigny

Rèchponchâbyo dè ha pâdze: Albert Bovigny

Rte de Schiffenen 15, 1700 F ri bourg

Lexique vindâdzo dècharâ tayon vêrelè bèka louye hyuva fiàdzè byantsèta tachon pouê-thinyâ Lè patêjan d'Intrè-No a la Montanye dè Velâlou.

salle à boire désaltérer tranche petit verre pointe tribune épicéa fougères chèvrefeuille blaireau sanglier

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Nouveau préfet et nouvelles idées dans le district de la Veveyse Michel Chevalley, quarante-six ans, domicilié et originaire d'Attalens, élu récemment préfet du district de la Ve¬ veyse, s'efforce de garder le bien-être de ses hôtes et de ses habitants. Ancien instituteur et conseiller en didactique à Lausanne, passionné par la culture et les domaines sociaux, il re¬ cherche avant toute chose à rester lui-même, soit à conserver une certaine simplicité, malgré son ré¬ cent statut.

Rencontre de «Fribourg Illustré avec ce représen¬ tant du Conseil d'Etat dans le plus petit district du can¬ ton de Fribourg.

FI - Depuis quand avez-vous été nommé préfet du district de la Veveyse?

M. Chevalley - J'exerce la fonction de représentant du Conseil d'Etat dans ce district depuis précisément le 1er avril dernier.

- Parlez-nous de vos princi¬ pales responsabilités en tant que préfet de la Veveyse? - Premièrement je symbolise le représentant du Conseil d'Etat dans le district de la Veveyse. En fait mes missions sont d'ordres multiples: veiller au bien-être des habitants du dis¬ trict et surtout à ce que l'appli¬ cation des lois soit respectée. - Comment vivez-vous votre récent statut de préfet, et quelles sont vos activités? - Plutôt bien, car j'exerce un métier qui me plaît et qui est passionnant. Quant à mes acti¬ vités, si nombreuses et variées, il m'est difficile de toutes les nommer au cours de notre en¬ tretien. Mon premier rôle est de représenter de manière res¬ pectable au Conseil d'Etat le plus petit district du canton de Fribourg.

- Quels sont pour l'avenir les projets qui vous tiennent à cœur?

- Dans un premier temps je re¬ cherche à ce que le service de

'Tel: 026 436 20 20/y Marly XV Pour votre mariage — Venez admirer devis nos catalogues sans engagement. Veveyse m ILLUSTRE la population à la préfecture soit rapide et parfait. Egale¬ ment, vous le savez tout com¬ me moi, un district s'accom¬ mode mal des disparités, donc il faut avancer de front avec tous les secteurs, ceci dans le but de tendre vers un harmo¬ nieux développement du dis¬ trict. Et, finalement, je recher¬ che à montrer une identité forte du district de la Veveyse, car je redoute beaucoup le phénomè¬ ne de la «centralisation». - Existe-t-il un problème qui, récemment, vous a préoccu¬ pé?

- Oui, très certainement. Dans le district un problème fonda¬ mental me préoccupe particu¬ lièrement. Ce grand problème s'avère être celui de l'hôpital de Châtel-St-Denis. En fait, on cherche à supprimer des sec¬ teurs de cet hôpital, qui devien-

Michel Chevalley, grand érudit et psychologue à la fois, fut nommé en avril dernier préfet du district de la Veveyse.

dra un Centre de traitement et de réadaptation (CTR), fournis¬ sant ainsi une complémentarité au principal centre hospitalier de Riaz. A ceci s'ajoutent d'autres problèmes, tels que l'agriculture (la Veveyse est une région fortement agricole) ou encore le domaine de la cen¬ tralisation (problème de conser¬ ver son identité) qui inquiètent de plus en plus les gens de la ré¬ gion.

• Quelle conclusion souhai¬ tez-vous apporter à cet entre¬ tien?

- Je pourrais m'exposer sur un grand nombre de choses. Ce¬ pendant je tiens à insister en particulier sur un point impor¬ tant: «Pour moi, l'identité du district a toute sa raison d'être et je forme mes vœux pour qu'elle se renforce.» De plus, mon principal souhait tend à ce que l'on retrouve une structure plus simple et plus modeste du district, afin de parvenir à un épanouissement sans logique financière.

Propos recueillis par Vanessa Nobel

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ILLUSTRE Notre région La Veveyse,

un district convivial

La Veveyse se situe à l'extrême sud du canton de Fribourg et est le plus petit district. Celui- ci s'étend sur une surface de 134,3 km2 pour 12000 habitants répartis en 15 communes. Les forêts oc¬ cupent une surface impor¬ tante avec 45 km2, alors que les surfaces agricoles utiles utilisent 78,5 km2. La Veveyse se veut être un dis¬ trict très ouvert sur l'extérieur. Sa position, le long de l'auto¬ route A12, renforce cet état, ce qui parfois porte à confusion. Par ici on pense que l'on est en Gruyère, alors qu'ailleurs on croit que c'est encore le can¬ ton de Vaud, en prolongement de la Riviera.

Le développement économi¬ que du district, et plus particu¬ lièrement de son chef-lieu Châtel-St-Denis, a été dopé dès 1983, année du raccorde¬ ment du district à l'A 12. Aujourd'hui encore on assiste régulièrement à l'implantation

Châtel-St-Denis, chef-lieu de la Veveyse.

PHOTO OFFICE DU TOURISME DE CHÂTEL-ST-DENIS, LES PACCOTS

de nouvelles entreprises. Là aussi la proximité de l'Arc lé- manique est un atout.

Le pôle touristique du district est la station des Paccots. Elle s'inscrit en complément avec d'autres communes telles que Semsales, Granges et Atta- lens.

La saison hivernale a fait les beaux jours du développement touristique de la région. Main¬ tenant, avec les régulières dif¬ ficultés d'enneigement ren¬ contrées les années passées, il est nécessaire de trouver des activités complémentaires et diversifiées. Aussi, nous avons vu la réalisation d'une patinoi¬ re, la promotion du ski de ran¬ donnée et de la raquette à nei¬ ge.

Les installations de Semsales et de Rathvel s'inscrivent en complémentarité.

Le tourisme estival semble être celui qui offre le plus de possi¬ bilités d'expansion. L'offre y est déjà bien présente. La ran¬ donnée pédestre constitue un moyen idéal d'aller à la décou¬ verte des cimes, de sites natu¬ rels de grande valeur, de bu¬ vettes d'alpage ou de curiosités touristiques réparties sur l'en¬ semble du district. Un guide touristique recouvre l'ensemble de ces curiosités. Avec l'avène¬ ment du VTT, en collaboration avec la Riviera, des parcours

balisés sont à l'étude, et seront présentés sur une carte. Des manifestations ponc¬ tuelles telles que le carnaval, les marchés estivaux, la désal- pe, etc. complètent l'offre tou¬ ristique.

En bref, bienvenue en Vevey¬ se, terre facile d'accès, où il fait bon vivre un jour, plu¬ sieurs jours dans les hôtels ou en appartement de vacances ou alors pour y habiter.

Eugène Grandjean FORAGE ET SCIAGE DE BÉTON ARMÉ Y. Rollinet 1617 Tatroz Tél. 021/947 44 04 026/912 46 46 Fax 021/947 52 92 ^ENTREPRISE nTFracheboiïd Auberge de la Croix-Fédérale 1609 ST-MARTIN (FR) Tél. 021/907 71 94 - 907 73 56 M. Maillard-Clerc Fermé le dimanche soir et le mardi

Menu du jour

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Eclats de rire Un humble curé de campagne arrive au paradis.

- Oh! dit-il, ébloui, à saint Pierre, c'est vraiment trop d'avoir prévu pour moi un tel comité d'accueil!

- En fait, répond saint Pierre, ce n'est pas vous que ces anges s'apprêtaient à fêter mais un évêque.

- Je comprends. C'est une question de hiérarchie.

- C'est surtout, dit saint Pierre, une question de rareté. Des curés, ici, nous en avons des milliers, mais rien n'est plus rare que d'y voir arriver un évêque. Encore en retard ce matin! Comment expliquez-vous cela? demande un chef à son employé.

- Eh bien, j'ai rêvé que je regardais un match de foot et que l'arbitre avait déci¬ dé de jouer les prolongations. Je ne pou¬ vais quand même pas partir avant la fin. Un juge à un inculpé:

- Avouez, il y a plus de dix témoins qui vous ont vu!

- Et moi, je peux vous amener plus de cent témoins qui n'ont rien vu!

Je lis dans le journal, dit une femme à son mari, que Venise s'enfonce lente¬ ment dans les eaux.

- Si jamais on passe un week-end à l'hôtel dans cette ville, fait le mari, véri¬ fions bien qu'ils ne nous aient pas refilé des chambres au rez-de-chaussée. Une jeune fille, venant tout juste de sor¬ tir du couvent où elle a été élevée, refu¬ se énergiquement le prétendant athée que lui proposent ses parents.

- Enfin, maman, dit-elle, je ne peux quand même pas accorder ma main à un homme qui ne croit pas que l'enfer existe.

- Rassure-toi, ma chérie, dit sa mère. Quand il aura vécu quelque temps entre nous deux, il ne tardera pas à changer d'avis.

Dans votre cas, dit le docteur, je ne vois qu'un remède: le changement. Il vous faut modifier votre façon de vivre dans tous les domaines: changez vos ho¬ raires, changez votre mode de nourritu¬ re, changez vos amis...

- Vous m'avez convaincu, répond le pa¬ tient. Et je vais même commencer tout de suite par changer de médecin!

Le lynx, cet indésirable Etant membre de la SPA et du WWF, le sort des animaux et de la nature me préoccupe beaucoup. Sans être une extrémiste, il y a quand même des événements qui me révoltent, mais que j'essaie de comprendre, bien que n'ayant pas la science infuse.

Après le tragi-comique épi¬ sode du gypaète barbu, su¬ perbe rapace réinséré dans nos montagnes et abattu comme un vulgaire pigeon par un chasseur myope ou ignare, vient «l'affaire» du lynx. Les ligues de protection pour la nature sont ravies de voir cet éminent félin réintégrer notre ter¬ ritoire. Dieu qu'il est beau et fier, ce félidé, témoin d'une liberté et d'une indépendance farouche. Bien entendu, comme tout carnivo¬ re qui se respecte, il tue des proies pour se nourrir. Lorsqu'il ne trouve plus sa pitan¬ ce dans nos vertes prairies, il lui arrive (ô sacrilège!) de piquer dans l'assiette de ses voisins, c'est-à-dire les paysans, les ber¬ gers et tous les surveillants de la gent do¬ mestique.

Ces derniers lui reprochent (coupable, levez-vous!) d'égorger sauvagement leurs moutons (moutons qui finiront, faut-il le préciser, de toute façon à l'abattoir le plus proche).

Viennent en renfort les chasseurs, dignes représentants de saint Hubert, qui voient dans le lynx l'indésirable qui vient leur enlever le pain de la bouche.

Je n'ai ni les compétences et je n'oserais m'accorder le droit de faire la morale à ces messieurs. Juste un souvenir qui me revient en mémoire: la chaîne alimentaire. Dieu, dans son infinie intelligence, l'a créée pour nourrir chaque créature ter-

Animaux

BU ILLUSTRE

it.

restre et éliminé les éléments les plus faibles. Par contre, je n'ai pas souvenance qu'il ait créé le fusil.

Donc, Messieurs, si vous laissiez la nature faire son travail sans y entrer avec vos armes et vos chiens de chasse, je pense qu'il n'y aurait pas de mauvaise cohabita¬ tion entre les animaux et vous. Sachez re¬ connaître le génie dans ces créatures ani¬ males, bienvenue au loup, si tu reviens chez nous, et laissez-les vivre en paix. Trouvez-vous d'autres loisirs un peu plus instructifs que de tirer sur tout ce qui bouge et ainsi vous n'aurez non seulement pas de crime sur la conscience, mais en plus vous aurez la joie de montrer à vos petits-enfants la beauté de ces animaux qui ne doivent pas disparaître par la bêtise humaine.

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INDEX DES SALLES - PAYS GOURMAND Exclusivité

FRIBOURG ILLUSTRÉ A = Assemblées et conférences B = Banquets de sociétés C = Congrès - Concerts - Théâtre E = Expositions N = Repas de noces S = Séminaires LIEU

RAISON SOCIALE TEL. FAX FERMETURE!NBRE PLACES I JOUR DE I SALLE CODE SPECIALITES DU JOUR MENU

GLANE

■romont

1 Restaurant de la Poularde It. 026/652 27 21 1 |F. 026/652 14 72 | - 1 10 à 240 places [A-B-C- | N-S I Spécialités de saison Oui 1

■SIVIRIEZ

[Auberge du Lion-d'Or IT. 026/656 13 311 |F. 026/656 16 621 Lundi I 30 à 250 places 1A-B-C- [ E-N-S I Spécialités de saison, [menu traditionnel et gastronomique Oui 1

VEVEYSE ILECRET

IHôtel de la Croix-Fédérale |T. 026/918 5142 | F.- Lundi | Jusqu'à 300 places | Jambon de campagne Oui

GRUYERE

■CHARMEY

Jllôtel Cailler T. 026/927 62 62 F. 026/927 62 63 - Jusqu'à 260 places A - B - C - E-N-S Suggestions gastronomiques Oui I |CRÉSUZ

Hôtel du Vieux-Chalet T. 026/927 12 86 F. - sauf juillet-août Mardi, Jusqu'à 250 places A-B- C-N Tournedos Vieux-Chalet | Oui P ECHARLENS

Auberge de la Croix-Verte F. 026/915 17 70 T. 026/915 15 15 Dimanche soir et lundi 120 places A-B- N-S Cuisses de grenouilles Spécialités de saison Oui P GRUYÈRES

Hostellerie St-Georges T. 026/921 83 00 F. 026/921 83 39 Ferm. annuelle déc.-fév. Dimanche soir et lundi 200 places A-B-C- E-N-S Suggestions gastronomiques Non MORLON

Café Gruyérien T. 026/912 71 58 F. 026/912 16 84 Mardi Accès chaise roulante 10 à 120 places A-B- N-S Filet de sandre du lac Oui SÂLES

Hôtel de la Couronne T. 026/917 81 12 F. - Lundi Jusqu'à 250 places A-B- N-S Petit menu gastronomique Oui VUADENS

Chalet des Colombettes T. 026/919 60 63 F. 026/919 60 69 - 10 à 200 places A-B-C- E-N-S Buffet au fd des saisons dès 35 fr. Fondue 10 fr. - Pizza dès 5 fr. Oui

FARVAGNY

Restaurant du Lion-d'Or T. 026/411 11 30 F. 026/411 11 45 Mercredi 60 à 5(K) places A-B-C- E-N-S

Steak sur ardoise

Baisse de prix Oui LOSSY

Café-Restaurant Le Sarrazin T. 026/475 12 44 F. 026/475 42 44 - 100 places A-B- N-S Fondue bourguignonne à volonté sur demande Oui MARLY

Hôtel-Rest. Croix-Blanche T. 026/439 93 53 F. 026/439 93 50 - 10 à 140 places A-B-C- E-N-S

Buffet (campagnard) dès 35 fr.

Service traiteur - Crevettes à l'espagnol Oui TREYVAUX

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Education ILLUSTRE Ecole cantonale

de Degré Dipl ôme

(ECDD)

Séance finale à l'Aula Magna de l'Université

m m entièrement, les 484 élèves MS de l'école et leurs profes¬ seurs étaient invités à Vaula de l'Université pour une joyeuse re¬ mise de prix et diplômes, parmi ceux-ci cent-huitante-cinq jeunes quittaient l'école pour mettre un terme à leurs études. Autant dire que la fête n 'était pas triste et que si les vitres n 'ont pas tremblé, c 'est qu 'elles étaient particulièrement résistantes!

Après avoir félicité professeurs et élèves de leur engagement, le directeur Jean- François Comment tint à remercier la pré¬ sidente du Grand Conseil, Irmgard Jungo, ainsi que les députés pour le crédit de trente-cinq millions destiné à la construc¬ tion du nouveau bâtiment. Il souligna le bien-fondé de cette dépense cantonale qui évitera aux professeurs et collaborateurs de se transformer de plus en plus souvent en spécialistes de l'étayage et du replâtra¬ ge pour boucher des trous toujours plus nombreux. Cette construction doit être l'occasion de repenser les systèmes d'en¬ seignement. de moderniser les règlements

et peut-être aussi de «ravaler... la façade du directeur». En un mot, de dépoussiérer des méthodes dont les bases ont vingt-six ans de bons et loyaux services. Mais avant toute chose, et pour que le projet ne se transforme pas en «châteaux en Espagne», Jean-François Comment re¬ commanda à chacun d'aller voter le 25 novembre prochain, le fameux crédit étant soumis au référendum obligatoire. La réa¬ lisation viendra après. Elle sera belle si chacun s'y met...

Texte et photo: J.S.B.

(22)

C> , est en presence de plusieurs centaines de personnali¬ tés du monde de la poli¬ tique, de l'économie, du tourisme, du sport et de la culture qu 'a été inau¬ guré, le 12 juin dernier, à Evionnaz, entre St-Mau- rice et Martigny, ce qui constitue désormais le plus grand labyrinthe du monde. L 'événement - salué officiellement par Nicolas Mettait, prési¬ dent de commune, Ber¬ nard Comby, conseiller national et le conseiller d 'Iitat Jean-Jacques Rey- lïellet, délégué du Con¬ seil d'Etat - a permis aux j initiateurs de cette réali¬ sation unique en son genre, six cousins de la famille Carron, d'arbo¬ rer une forme... olym¬ pique!

Evionnaz:

à la découverte

du plus grand labyrinthe

du monde

L'histoire et l'origine du labyrinthe

A l'origine du projet d'Evion- naz, à même de révolutionner positivement le paysage touris¬ tique de toute la région concer¬ née, on trouve une famille ori¬ ginaire de Fully, incarnant à elle seule l'esprit d'entreprise des Valaisans: les Carron, plus précisément Jean-Pierre et Mi¬ chel, Christian, Daniel, Xavier et Gérard, les deux premiers cités étant les fils de Robert et

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les quatre derniers nommés ceux de Marcel, authentiques pionniers de l'agriculture et de l'horticulture valaisannes. A la tête de la société «Horti- plante SA», à laquelle on doit notamment la fraise des mon¬ tagnes, sur les lianes de Trient, le clan Carron caressait depuis pas mal de temps déjà l'idée de perpétuer l'esprit précur¬ seur des ancêtres, tout en fai¬ sant œuvre de diversification économique.

Le site

C'est sur ce terreau fertile qu'a peu à peu pris naissance le projet de «Labyrinthe Aventu¬ re». Durant plus de deux ans, le dossier a fait l'objet de mul¬ tiples analyses et investiga¬ tions, d'enquêtes et études complémentaires. Plusieurs localisations ont été recensées puis passées au peigne fin de la critique. En fin de compte, le choix d'Evionnaz a été pri¬ vilégié, favorisé notamment

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par l'accueil positif réservé au projet, tant de la part des auto¬ rités et des élus que de la po¬ pulation.

Plus de 15 000 thuyas! Aujourd'hui, le résultat est là: une réalisation qui - bien que n'étant pas encore au stade des finitions et de la pousse défini¬ tive - témoigne à la fois du savoir-faire professionnel de la famille Carron et d'une réel¬ le vision prospective des loi¬ sirs du troisième millénaire. Réalisé de manière très natu¬ relle - avec plus de 15000 thuyas et pas moins de 16 es¬ pèces d'arbres différentes sur l'ensemble du site! - le «Laby¬ rinthe Aventure» d'Evionnaz constitue une «destination fa¬ mille» par excellence, en ap¬ portant un complément actif bienvenu à l'offre touristique parfois trop contemplative de notre pays. Dessiné avec art, le contour du labyrinthe restitue la forme du Valais et ses val¬ lées.

100 000 francs de lots et de prix

Le circuit, accessible à toutes et à tous (y compris handica¬ pés. poussettes) est conçu comme un véritable parcours- découverte, permettant de ga¬ gner des trésors, mais aussi de pratiquer des activités à carac¬ tère plus didactique, favorisant la découverte des différentes

régions du pays ou l'identifi¬ cation des sites retenus par la candidature Sion 2006 - Swit¬ zerland aux Jeux olympiques. Au total, ce sont plus de 100000 francs qui seront re¬ distribués aux visiteurs sous forme de prix et de lots pour la seule période allant de juin à octobre de cette année. L'itiné¬ raire, d'une longueur totale de 3 km, est agréablement ponc¬ tué - pour les plus jeunes et les plus hardis - d'obstacles et d'épreuves, de manière à ce que chacun puisse y prendre le plaisir attendu.

Investissement

de 2,2 millions de francs Par son ampleur et sa concep¬ tion, le «Labyrinthe Aventure» constitue une attraction d'en¬ vergure en soi.

Son principe a toutefois été étudié de manière à ce qu'il puisse également s'enrichir d'animations futures ou constituer un cadre idéal pour des activités particulières, par exemple pour des classes, des entreprises ou des groupes. Le labyrinthe est bien sûr assorti d'une vaste infrastructure d'accueil, avec places de parc, zone de restauration et bu¬ vettes (300 places), aire de dé¬ tente pour enfants et même pour les compagnons à quatre pattes.

L'ensemble de la réalisation représente un investissement de l'ordre de 2,2 millions de francs suisses. Plus de la moi¬ tié de ce montant provient de fonds propres de la famille Carron, le solde de partenaires suisses. L'aménagement du

«Labyrinthe Aventure» a four¬ ni également du travail à plu¬ sieurs entreprises de la région, tandis qu'une dizaine de pos¬ tes de travail nouveaux ont été créés. Et la formule plaît, croyez-moi! Plus de 10000 vi¬ siteurs avaient déjà découvert le «Labyrinthe Aventure» quin¬ ze jours seulement après son ouverture.

Jean-Charles Kollros «Labyrinthe Aventure» Evionnaz

Ouvert toux les jours, jusqu 'à fin septembre de h 30 à l'J h et en octobre de 10 h à IS h, non-stop Tél. 027/767 14 14 Fax 027/767 30 14 Internet: www.labyrinthes.ch Email: Info®labyrinthes.ch M LAUSANNE _ SI0N^ V 1 « sortie St-Maurice sortie 3 km //^ t Gare

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Pascal Fornachon,

président des commerçants

de la petite cité romaine

d'Avenches Avenches iffl ILLUSTRE le Considérant que commerce est un créneau prédominant dans l'économie helvétique et que sa promotion suscite une attention particulière, «Fribourg Illustré» a ren¬ contré pour ses lecteurs Pascal Fornachon, prési¬ dent de l'Association des commerçants d'Avenches (SCAI), qui, avec son sa¬ voir-faire et sa gentillesse, nous a reçus les bras ou¬ verts dans sa petite entre¬ prise de revêtements de sols «Décors 2000» à Avenches. En l'espace de quelques instants nous avons pu fai¬ re le point sur la situation économique relativement positive, qui a encore beau¬ coup d'efforts à fournir, tant sur le plan des initia¬ tives que sur celui des pro¬ jets et de l'avenir des com¬

merçants.

D'origine neuchâteloise, il a travaillé pendant un bon nombre d'années dans le canton de Neuchâtel, avant de venir s'installer à Avenches. Pascal Forna¬ chon, père de famille, est un homme passionné par son métier. Il y a quelques années, il a travaillé pour la Maison Hasler Tapis à Neuchâtel et à Zurich. Au¬ jourd'hui, et cela depuis 1990, il exerce toujours la même profession à son propre compte.

FI - Quel rôle joue le prési¬ dent d'une telle association? P. Fornachon - Depuis quatre ans que j'en suis président (mon prédécesseur était Ro¬ land Maspoli), mes rôles pri¬ mordiaux sont d'assurer l'ani¬ mation perpétuelle de la cité (Marché folklorique, Rock aux Arènes, etc.) et de veiller au bon fonctionnement de la vie commerçante.

- Combien de membres compte votre association? - En tout, actifs et passifs, elle compte environ 90 commer¬ çants. Les actifs sont une bon¬ ne cinquantaine, en grande partie des cafetiers-restaura- teurs.

- Les commerçants d'Aven¬ ches sont-ils conscients de l'importance du Festival Aventicum Opéra?

- Oui, très certainement. En fait le Festival d'Opéra d'Avenches est surtout profi¬ table économiquement aux hôteliers-restaurateurs. Ce¬ pendant je crois que tous les commerçants sont conscients que ce festival, plus grande manifestation de l'année, amè¬ ne du tourisme et de l'anima¬ tion dans la cité romaine. - Entretenez-vous de bonnes relations avec les sociétés de développement de la région et l'Office du tourisme d'Avenches?

- Oui. En fait les contacts sont très enrichissants entre notre

Pascal Fornachon, patron de l'entreprise Décors 2000, à Aven¬ ches.

association et l'Office du tou¬ risme d'Avenches. Avec la Société de développement du Vully, nous travaillons en étroite collaboration pour l'animation de la région. En effet elle organise, et cela pendant six semaines annuel¬ lement, des attractions et ser-

vices tout particu¬ liers pour Avenches.

Propos recueillis par Vanessa Nobel

Programme succinct du 1er Août 1998 à Avenches,

organisé par la Table Ronde

Après-midi

Dès 14 h 30 Course à pied en faveur de la Fondation Theodora

17 h 30 Résultats

Soirée

19 h 00 Départ du cortège de la place de l'Hôtel- de-Ville

19 h 30 Début du repas

Animations en tout genre jusqu'à 21 h 15 21 h 15 Partie officielle, avec notamment l'allo¬

cution de M. le curé d'Avenches 21 h 55 Grand feu d'artifice

22 h 15 Allumage du feu du 1er Août par le vain¬ queur de la tombola

23 h 00 Début du bal avec l'orchestre Riviera et sa chanteuse Alica

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m ILLUSTRE

Art

lyrique Opéra d'Avenches

Ursula Füri-B ernhard

interprète Liù

da ns le d rame

lyrique

«Tu ran dot»

Ë J rsula Fiiri-Bernhard, V/ Bernoise d'origine, âgée actuellement de 36 ans, a accompli ses études musicales au Conservatoi¬ re de Zurich auprès de Ka¬ thrin Graf, ainsi qu'au Conservatoire de Berne avec Elisabeth Glauser. Par la suite, en 1994, elle obtint le Prix «Edouard Tschumi» pour le meilleur diplôme de soliste. Outre l'oratorio, la musique de chambre et le Lied, elle chante également des airs d'opérette et de music-hall. Rencontre exclusive de «Fribourg Illustré» avec la talentueuse et prometteuse cantatrice à Avenches, lieu où elle s'est déjà produite en 1996 pour le «Re¬ quiem» de Verdi.

FI - Ursula Fiiri-Bernhard, vous avez interprété, les 3, 4 et 10 juillet derniers, Liù dans le drame lyrique «Tu- randot» de Puccini. Quelle sensation ou satisfaction vous a procurée un tel rôle? U. Fiiri-Bernhard - Dans un premier temps, je dirais qu'in¬ carner Liù dans «Turandot» représente quelque chose de fascinant et d'extraordinaire, car la musique de Puccini est parfaite. En second plan, ce drame lyrique joué sur scène correspond exactement à mon état d'âme actuel et cela revêt un caractère primordial. - Quand avez-vous su que vous deviendriez cantatrice? - En fait, dès mon plus jeune âge j'ai toujours été inspirée par la musique en général. En¬ fant, je jouais déjà du piano.

Ursula Fiiri-Bernhard, à la fois jeune maman de deux fillettes et

cantatrice de charme.

PHOTO PETER FRIEDLI

de la flûte, de la contrebasse et d'autres instruments à la mai¬ son. Ensuite, lors de mes études à l'Ecole normale, mon professeur de musique m'a proposé de prendre des cours, car il pensait que je possédais une voix particulière et d'ave¬ nir. Et c'est ainsi que ma car¬ rière de cantatrice a commen¬ cé...

- Avez-vous des maîtres qui, dans votre carrière, vous ont particulièrement inspirée? - Oui, certainement. En fait, ce sont deux femmes et profes- seures à la fois qui m'ont ins¬ pirée tout au long de ma car¬ rière et qui me conseillent encore régulièrement. La pre¬ mière se nomme Kathrin Graf. Elle m'aide à prendre cer¬ taines décisions sur des réper¬ toires d'influence d'école al¬ lemande. Et la seconde est Elisabeth Glauser, qui chante également des concerts d'opé¬ ra dans un répertoire d'ordre plutôt italien. Les deux sont des femmes de caractère re¬ marquables et précieuses à mes yeux.

- Votre vocation s'est-elle transmise de génération en génération?

- Non, pas exactement, car mes parents étaient agricul¬ teurs de profession. Cependant j'avais toujours un penchant pour la musique et je l'ai exer¬ cée dans un premier temps en tant que hobby.

- Quels rôles particuliers rê- vez-vous d'interpréter sur scène?

- C'est très difficile à dire, car il en existe énormément. Néanmoins je rêve d'incarner des personnages à caractère fort, tels que «Carmen» ou «La Bohême» de Puccini ou encore «Rosekavalier», et bien sûr tout le répertoire de Verdi, qui s'avère surprenant et d'une extrême beauté.

- Parlez-nous de quelques- uns de vos projets?

- Mes prochains engagements me conduiront tout d'abord à Berne pour «Otello» de Verdi et «Yolanthe» de Tchaïkovski. Ensuite, en 1999, est program¬ mé à Genève «Rheingold» de Wagner et encore bien d'autres surprises!

Propos recueillis par Vanessa Nobel

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