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The malaria situation is not improving and the data available13 are in all probability an underestimate o f the true situation

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Academic year: 2022

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Wkiy Epukm Rec No. 48-3 rwi-mher J9g2 - 373 - Relevéépiàém. hebd.* N ° 4 8 - 3 décembre 1982

sera prepared against A/Texas/1/77 (H3N2) or A/Bangkok/1/79 (H3N2), or equally well with both. O f the H1N1 strains investigated, 70% were o f the A/Eogland/330/80 (H1N1) variant, 13% were doser to A/India/6263 (H1N1), 9% were similar to A/Brazil/11/78 (H1N1) anda very few were A/USSR/90/77 (H lN l)-like. Almost all influenza B viruses investigated were similar to B/Singapore/222/79 but a few o f the older variants, more closely related to B/Hong Kong/5/72, were also found.

The malaria situation is not improving and the data available13 are in all probability an underestimate o f the true situation. Many coun­

tries do not report all the malarious areas and in some the case detection activities have been reduced drastically. For those countries which have been freed from malaria but which are still receptive, there is therefore a continued risk of malaria being reintroduced as an endemic disease if effective surveillance activities are not main­

tained.

There is also a serious and continued risk for the non-immune person to be mfected when travelling in malarious countries. Some states have mentioned the attention being given to this important travel-related health problem. Providing advice on malaria prophy­

laxis is a joint responsibility of the countries o f origin and destination of the traveller. Unfortunately this advice is not as simple as the average traveller believes it should be. The risk can be quite area- specific, but very often unfortunately, neither the traveller, his travel agent nor his medical adviser can relate, with any precision, the pos­

sible risks to a given area. The picture is further complicated if parasite resistance to anti-malanal drugs is involved.

Poliomyelitis was notified in 1981 by 118 countries representing 78% of the world population14. The total of33 870 cases is certainly an underestimate of the true incidence but still represents a very heavy toll in human terms. The total number o f reported cases for those 114 countries for which data are available for both years declined by 7%

between 1980 and 1981. However, poliomyelitis shows evidence of secular variation in transmission, at least within regions, and it would be unwise therefore to make too much of such short-term changes. It is believed that a clearer and more reliable picture will emerge as the number and quality of national expanded programmes on immuni­

zation develop.

It is again stressed that travellers from countries with a low inci­

dence of poliomyelitis should ensure that they have had a complete course of immunization and, if necessary, booster doses within an appropriate period.

Louse-borne typhus and louse-borne relapsing fever have not been of any concern with respect to international travel for many years.

These diseases are a problem m relatively confined areas in a very limited number of countries in Africa and South America.

The Committee on International Surveillance of Communicable Diseases has stressed that the prompt reporting o f significant out­

breaks of any communicable disease irrespective o f whether it is on any particular list or not is the best foundation for international con­

trol. True cooperation through open and rapid interchange o f infor- mauon is possible only when national health administrations have confidence in their ability to detect a disease situation and control it. It is how quickly the problem is identified and the appropriate control measures implemented which is vital and this reflects the calibre of the national epidemiological service.

The Health Situation and Trend Assessment Programme o f the Seventh General Programme o f Work is intended to serve this cause. 11

11 See No. 2S, pp. 209-213, No. 31. Tables 1 and 2. p. 234-235; No. 32, Table 3, p p 244-246; No. 33. Table 4, pp. 251-253 ; No. 34. Table 5, pp. 258-26!. No. 35. Map, p 268-269

“ S eeN o 4 0 ,pp 305-310.

saient en présence des sérums dirigés contre A/Texas/1/77 (H3N2) ou A/Bangkok/1/79 (H3N2), ou réagissaient également bien en présence de l’un et l’autre variant Parmi les souches H1N1 examinées, 70%

étaient des souches du variant A/England/330/80 (H1N1), 13%

étaient plus proches de A/India/6263 (H 1N 1), 9% étaient analogues à A/Bra2il/11/78 (H1N1) et un tout petit nombre était semblable à A/USSR/90/77 (H1N1). Presque tous les virus grippaux B examinés étaient analogues à B/Smgapore/222/79, mais on a aussi trouvé quel­

ques variants plus anciens, plus proches de B/Hong-Kong/5/72.

La situation du paludisme ne s’améliore pas et, selon toute proba­

bilité, les données recueillies13 sous-estiment la réalité. De nombreux pays envoient des rapports qui ne couvrent pas toutes les zones impa­

ludées et, dans d’autres, les activités de dépistage ont parfois été for­

tement réduites. Si l’on ne maintient pas une surveillance efficace, il existe un risque réel de réintroduction du paludisme sous forme endémique dans des pays qui ont été libérés de la maladie mais y sont encore réceptifs.

En outre, les personnes non immunisées sont exposées à un risque grave et permanent d’infection quand elles voyagent dans des pays impaludés. Certains pays ont fait savoir qu’ils se préoccupaient de cet important problème de santé lié aux voyages. Informer et conseiller les voyageurs internationaux est une responsabilité qui incombe à la fois aux pays d’origine et aux pays de destination, mais ce n’est mal­

heureusement pas aussi simple que le croient la plupart des intéressés.

Le risque peut être limité à une région précise mais, très souvent hélas, ni le voyageur, m son agence de voyages, ni son conseiller médical ne peuvent fournir une appréciation exacte des risques possibles dans une région donnée. Les choses se compliquent encore s’il existe une résistance du parasite aux médicaments antipaludiques.

En 1981, un total de 33 870 cas de poliomyélite a été notifié par 118 pays représentant 78% de la population mondiale.14 Il s’agit certaine­

ment d’une sous-estimation mais cela ne représente pas moins un lourd tribut en souffrance humaine. Entre 1980 et 1981, le nombre total des cas signalés par les 114 pays pour lesquels on dispose de données concernant ces deux années a diminué de 7%. Il semble toutefois, selon certains indices, que la transmission de la poliomyé­

lite soit soumise à des vanations séculaires, au moms à l'intérieur des régions, et il serait donc imprudent d’accorder trop d’importance à une évolution à si court terme. Il semble que l’on devrait obtenir un tableau plus clair et plus fiable au fur et à mesure qu’augmentent le nombre et la qualité des programmes élargis nationaux de vaccina­

tion.

Il convient de réaffirmer que les voyageurs en provenance de régions à faible incidence de la poliomyélite devraient s’assurer qu’ils ont reçu une vaccination complète et, si nécessaire, des doses de rappel dans des délais appropriés.

Le typhus à poux et la fièvre récurrente à poux ne présentent pas d’importance sur le plan des voyages internationaux depuis de nom­

breuses années. Ces maladies posent un problème dans certaines zones relativement limitées de quelques pays d’Afrique et d’Améri­

que du Sud.

Le Comité de la surveillance internationale des maladies transmis­

sibles a souligné que la prompte notification des poussées importantes d’une maladie transmissible, qu’elle figure ou non sur telle ou telle liste, constitue le meilleur point de départ pour la lutte engagée contre elle, sur un plan international. Une véritable coopération par un échange d’informations ouvert et rapide n’est possible que si les administrations sanitaires nationales ont confiance en leur aptitude à dépister une maladie et à l’endiguer. C est la rapidité avec laquelle le problème est identifié et les mesures de lutte appropriées sont prises qui est essentielle et qui donne la mesure du service épidémiologique national.

C est cette cause que doit servir le Programme d’appréciation de la situation sanitaire et de ses tendances inscrit dans le septième Pro­

gramme général de travail.

« Voir N ° 28, pp. 209-213; N° 31, Tableaux 1 el 2, p 234-235 ; N ° 32, Tableau 3, pp.

244-246; N ° 33, Tableau 4, p p 251-253; N° 34, Tableau S, p p 258-261; N» 35. Cane, p.

268-269.

“ Voir N» 40, pp. 305-310.

Annex I States Reporting on the Functioning of the International Health Regulations for the period 1 January-31 December 1981 Annexe 1. Etats ayant fourni des renseignements sur le fonctionnement du Règlement sanitaire international pour la période

1er janvier-31 décembre 1981 Angola

Argentina — Argentine Australia — Australie Austria — Autriche B ah ra m — Bahreïn Barbados — Barbade Belgium — Belgique Bolivia — Bolivie Botswana Brazil — Brésil Bulgaria — Bulgarie Burma — Birmanie

Burundi P an arla

Central African Republic — République centrafricaine

Clule - Chili Congo Costa Rica Cyprus — Chypre Denmark — Danemark Dominica — Dominique Dominican Republic — République

dominicaine

Ecuador — Equateur Egypt — Egypte B Salvador Ethiopia — Ethiopie Fiji — Fidji France Gabon

Gambia — Gambie

Germany, Federal Republic o f — Allemagne, République fédérale d’

Ghana

(2)

Wkiy Eputem. Jtec. No. 4 8 - 3 December 1982 - 374 - Rdeweptdim .hebd.:tia 4 8 - 3 décembre 1982

Greece — Grèce Grenada — Grenade Guatemala

Guinea-Bissau — Guinée-Bissau Hungary — Hongrie

India — Inde Iran Iraq

Ireland — Irlande Israel — Israel Italy — Italie Jamaica — Jamaïque Japan — Japon Jordan — Jordanie Kenya

Kuwait — Koweït Lebanon — Liban Liberia — Libéria Luxembourg Malaysia — Malaysie Mauritius — Maurice Mall

Mexico — Mexique Monaco

Morocco — Maroc Nepal — Népal Netherlands — Pays-Bas New Zealand — Nouvelle-Zélande Niger

Nigeria — Nigéna Norway — Norvège Oman

Pakistan Paraguay Philippines Portugal Qatar Samoa

Saudi Arabia — Arabie Saoudite Senegal — Sénégal

Seychelles Sierra Leone Singapore — Singapour Solomon Islands — lies Salomon Spam — Espagne

Sweden — Suède Switzerland — Suisse

Syrian Arab Republic — République arabe syrienne

Togo Tonga

Turkey — Turquie Union o f Soviet Socialist

Republics — Union des Républiques socialistes soviétiques

Umted Kingdom o f Great Britain and Northern Ireland — Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord Umted Repubhc o f Cameroon — République-

Unie du Cameroun

Umted Repubhc o f Tanzania — République- Urne de Tanzanie

Umted States o f America — Etats-Unis d’Amérique Venezuela — Vénézuéla Yemen — Yémen Yugoslavia — Yougoslavie Zaire — Zaire

Zambia — Zambie Zimbabwe

Annex II

WHO EPIDEMIOLOGICAL INFORMATION SERVICE TO MEMBER STATES

Under Article 2 of its Constitution and Article 11 o f the Interna­

tional Health Regulations (1969), WHO is required to inform Mem­

ber States promptly o f the occurrence o f communicable diseases of international importance.

Information received at WHO Headquarters is made available by means of the Automatic Telex Reply Service and the Weekly Epide­

miological Record The six WHO Regional Offices which are m con­

tinuous contact with Member States and Headquarters ensure that communicable disease information of international importance witlun a region is conveyed to health administrations in the most appropriate manner.

Automatic Telex Reply Service

To inform Member States promptly of the occurrence o f commu­

nicable diseases of international importance, an Automatic Telex Reply Service (ATRS) operating from WHO Headquarters, Geneva, was established on 11 December 1972.

There is an independent telex machine with its own call installed at WHO Headquarters. The epidemiological information received each day is recorded on punched tape and fed into the machine for auto­

matic transmission to any national health administration calling the appropriate telex number. As soon as the message is ended the machine is ready to transmit to the next caller.

Each Friday, important information received during the week and intended for publication in the Weekly Epidemiological Record is summarized and fed into the machine for automatic transmission.

This enables national health administrations to obtain the informa­

tion well before the Weekly Epidemiological Record teaches them.

Call Procedure

The automatic telex reply service is available 24 hours a day. The information can be obtained simply by calling telex No. 28150 in Geneva, exchanging identification codes, and composing the symbol ZCZC followed by the symbol ENGL for a reply in English or the symbol FRAN for a reply m French. The message is then transmitted automatically to the caller. It is important that this procedure is fol­

lowed exactly and that the operator waits without any other action after composing ENGL or FRAN. Failure to do this will interrupt the automatic response. The end o f the message is indicated by the sym­

bol NNNN. The operator making the call should then exchange iden­

tification codes once more and terminate the communication.

The cost o f hiring and operating the telex machine is borne by the Organization. The cost o f die calls, which is moderate, is borne by the callers.

Health administrations are reminded that if, under special circum­

stances, they should require additional information, they can contact WHO Headquarters (Global Epidemiological Surveillance and Health Situation Assessment) either by telephone (Geneva 91 32 58 during office hours and 912111 at any time), by telegram (EPIDNA- TIONS GENEVA), or by telex No. 27821. It is important not to confuse this number with the ATRS number. Using the ATRS num­

ber for the normal transmission o f messages may result in the delay or non-receipt o f the message.

Annexe I I

SERVICE OMS D’INFORMATION ÉPIDÉMIOLOGIQUE POUR LES ÉTATS MEMBRES

Aux termes de l’article 2 de sa Constitution et de l’article 11 du Réglement sanitaire intemauonal (1969), l’OMS doit informer rapi­

dement les Etats Membres des cas de maladies transmissibles d’im­

portance internationale.

L’mformation reçue au Siège de l’OMS est diffiisée par le Service automatique de réponse par télex et par le Relevé épidémiologique hebdomadaire. Les six Bureaux régionaux de l’OMS, qui sont en contact permanent avec les Etats Membres et avec le Siège, veillent à ce que l’information sur les maladies transmissibles d’importance internationale à l'intérieur d’une région soit transmise dans les meil­

leures conditions aux administrations sanitaires.

Service automatique de réponse par télex

Pour informer promptement les Etats Membres de l’appantion de cas de maladies transmissibles d’importance internationale. l’OMS assure depuis le 11 décembre 1972 à son Siège, à Genève, un service automatique de réponse par télex (SART).

Un télescripteur indépendant, ayant son propre numéro d’appel, est installé au Siège. Les données épidémiologiques reçues quotidienne­

ment sont introduites dans l’appareil sous la forme d’une bande per­

forée et peuvent être automatiquement transmises à toute adminis­

tration sanitaire nationale qui appelle le numéro indiqué. Une fois le message achevé, l’appareil est à nouveau prêt pour une autre trans­

mission.

Tous les vendredis, les renseignements importants reçus pendant la semaine et destinés à être publiés dans le Relevé épidémiologique hebdomadaire sont récapitulés et introduits dans l’appareil qui peut alors les transmettre automatiquement Les administrations sanitai­

res nationales ont ainsi la possibilité d’avoir ces renseignements bien avant que le Relevé épidémiologique hebdomadaire ne leur parvien­

ne.

Processus d’appel

Le service automatique de réponse par télex fonctionne vingt-qua­

tre heures sur vingt-quatre. 11 suffit d’appeler le numéro de télex 28150 à Genève, de faire les échanges d'indicatifs et de composer sur le clavier le code ZCZC suivi d’un second code ENGL pour obtenir une réponse en anglais, ou du code FRAN pour une réponse en français. Le texte est automatiquement transmis au demandeur. Il importe de procéder exactement comme indiqué ci-dessus et d’attendre, sans nen faire d’autre, après avoir composé ENGL ou FRAN, smon la trans­

mission automatique se trouvera interrompue. La fin du message est indiquée par NNNN. L’opérateur appelant fait ensuite un nouvel échange d’indicatifs et coupe la communication.

Les frais de location et de fonctionnement du téléscripteur sont supportés par l’Organisation. Les frais d’appel, modiques, sont à la charge des utilisateurs.

Rappelons que si, dans des circonstances spéciales, des administra­

tions sanitaires avaient besoin de renseignements supplémentaires s’ajoutant à ceux que fournit le service automatique de réponse, elles peuvent téléphoner au Siège de l’OMS (Surveillance épidémiologique et Appréciation de la Situation sanitaire dans le Monde. Genève 91 32 58 pendant les heures de bureau et 91 2111 à tout moment), lui télégraphier (EPIDNATIONS GENÈVE), ou appeler par télex le N°

27821. Il est important de ne pas confondre ce dernier numéro avec celui du SART. Quand le numéro du SART est utilisé pour la trans­

mission d ’un message ordinaire, ce message nsque d’être retardé et même de ne pas être reçu.

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