S. KALISCHER.— Ueber die Frage, ob bei der Condensation von Wasserdampf eine Electricitätserregung stattfinde (Sur la question de savoir si la condensation de la vapeur d'eau peut être une source d'électricité) ; Wied. Ann., t. XX, p. 614; 1883

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Submitted on 1 Jan 1884

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S. KALISCHER.- Ueber die Frage, ob bei der Condensation von Wasserdampf eine

Electricitätserregung stattfinde (Sur la question de savoir si la condensation de la vapeur d’eau peut être une source d’électricité) ; Wied. Ann., t. XX, p. 614;

1883

Ch. Gomien

To cite this version:

Ch. Gomien. S. KALISCHER.- Ueber die Frage, ob bei der Condensation von Wasserdampf eine

Electricitätserregung stattfinde (Sur la question de savoir si la condensation de la vapeur d’eau peut

être une source d’électricité) ; Wied. Ann., t. XX, p. 614; 1883. J. Phys. Theor. Appl., 1884, 3 (1),

pp.219-220. �10.1051/jphystap:018840030021902�. �jpa-00238225�

219 Les expériences ^ont porté ^sur des corps ^très nombreux, ^entre

autres, le chlore, ^le brome, l’iode, ^l’acide sulfureux, l’hydrogène sulfuré, le sulfure et le chlorure de carbone, ^le peroxyde ^de chlore, ^{l’alun de} chrome, ^le mica, l’argent, l’or, ^le spath ^d’Islande.

G. FOUSSEREAU.

ABNEY et FESTING. - Atmospheric absorption in the infra-red of the solar spectrum (Absorption atmosphérique ^{de la} partie infra-rouge ^du spectre ^so- laire); Proceedings of ^the Royal Society, ^vol. XXXV, p. 80; ^1883.

En photographiant ^le spectre ^solaire infra-rouge dans diffèrentes conditions atmosphériques, ^les auteurs ont reconnu que si l’air

est à peu près ^saturé d’humidité, ^le spectre ^est entièrement couvert

d’une bande noire à partir de Y == 8330. L’intensité et l’étendue de

cette bande diminuent avec l’humidité. Par un temps ^{très sec}

l’absorption ^{ne se} produit guère que de Y ⁼⁼ 9420 ^{à Y -} 9800. ^Aune grande altitude, par ^{un vent} froid du nord-est, ^cette dernière ab-

sorption disparaît ^{à son tour} presque entièrement. On rend aux

spectres ^des jours ^secs l’apparemce ^des spectres appartenant ^{à des}

jours plus ^ou moins humides en plaçant ^{en avant} de la fente du spectroscope ^une épaisseur ^d’eau liquide convenablement déter- minée. L’aspect ^des photographies peut ^donner une mesure de I’hLlmidité atmosphérique. G. FOUSSEREAU.

S. KALISCHER.2014 Ueber die Frage, ^{ob bei} der Condensation ^von Wasserdampf

eine Electricitätserregung stattfinde (Sur ^la question de savoir si la condensa- tion de la vapeur d’eau peut ^être une source d’électricité) ; ^Wied. Ann., ^t. XX, p. 614; ^1883.

L’auteur a placé ^douze grands ^{vases de verre} recouverts de feuilles d’étain et remplis ^de glace ^{sur une} plaque de tôle étamée reposant ^{sur une} épaisse plaque ^{de verre; le tout était} placé ^dans

une grande ^caisse métallique isolée dont le couvercle était formé par ^une tôle permettant l’accès de l’air. Un fil entouré d’un tube de laiton isolé reliait la plaque ^{de tôle à une des} paires de dua- drants dBm électromètre de Kirchhoff dont l’autre communiquait

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018840030021902

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avec le sol. La vapeur d’eau de l’atlnosplure ^se condensait au contact des vases.

Les déviations observées furent du même ordre de grandeur,

que les ^vases fussent vides ou pleins ^de glace ; ^{elles se} produi- saient, ^{tantôt dans un sens, tantôt dans un autre.}

On n’obtint pas de iiieilleurs résultats en comprimant ^{de l’air à}

l’aide d’une _pompe isolée dans ^un vase de verre semblable à l’oeu’

électrique ^{et reliant la} tige métallique pénétrant ^à l’intérieur avec

l’électrométre. Pendant la détente, ^la précipitation de la vapeur

ne fut accompagnée ^{d’aucune déviation de} l’aiguille.

On ne peut donc pas affirmer que la condensation ^{de la va-} peur d’eau soit ^une des sources de 1"électricité atmosphérique.

CH. GOMIEN.

M. BELLATI.

Intorno ad un nuovo e simplicissimo elettrodinamometro per correnti assai deboli (Nouvel électrodynamomètre ^très simple pour les ^courants de faible intensité) ; Atti del R. Istituto veneto, ^6e série, ^t. I, ^1883.

Substituons à J’aiguille ^d’un galvanomètre ^{à réflexion un} petit cylindre ^{de fer} doux, suspendu bifilairernent dans une direction

perpendiculaire ^{au méridien} magnétique, ^{et inclinons à 45° de ce}

méridien la bobine verticale dans laquelle passent ^{les courants a} étudier. On reconnaît aisément que ^{le sens de la} déviation du fer doux est indépendant ^{de la direction du courant. En effet, Faction}

terrestre est sensiblement nulle, puisque ^{le fer doux reste sensi-}

blement perpendiculaire ^{au méridien} magnétique, ^{et son aimanta-}

tion changeant ^de sens avec la direction du courant, l’action

électromagnétique ^conserve toujours ^{le même} signe, ^{comme l’action} électrodynamique ^dans l’électrodynamomètre.

A ^un cylindre ^{de fer} doux, ^{on substitue avec} avantage ^{un fais-}

ceau de fil de fer doux bien recuit de oll, 15 ^de diamètre et de

17m ^de long. ^{Les courants} produits par le téléphone ^{de Siemens}

soit quand ^on parle ^à voix basse à son embouchure, ^soit quand

on crie à om, ^{5o de distance de} l’instrument, produisent ^{une dévia-}

tion appréciable ^{du nouvel} électrodynamomètre. Le son d’une trompette appliquée ^{à la même} embouchure produit ^{une déviation}

de quelques ^{dizaines de} degrés ^{de l’échelle. E. BOUTY.}