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Termes de référence. Evaluation finale DGD DGD PROGRAMME QUINQUENNAL BELGIQUE

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Academic year: 2022

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Termes de référence Evaluation finale DGD

DGD PROGRAMME QUINQUENNAL 2017-2021 BELGIQUE

« Nord et Sud, petits et grands, engageons-nous pour le respect des droits humains »

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SOMMAIRE

Partie I : Contexte de l’évaluation ... 3

1. Description de Geomoun ... 3

2. Description du programme ... 3

Partie II : Les enjeux de l’évaluation ... 8

1. Objectifs et objets de l’évaluation ... 8

Partie III : Contenu, méthodologie et profil ... 13

1. Questions évaluatives... 13

2. Orientation méthodologique ... 15

3. Profil de l’évaluateu.ric.e ... 15

Partie IV : Timing, pilotage et livrables attendus ... 16

1. Timing (Le calendrier de l’évaluation) ... 16

2. Pilotage de l’évaluation : comité de pilotage, personne de référence (…) ... 16

3. Livrables et qualités attendus ... 17

Partie V : propositions financières ... 18

Parties VI : Contenu de l’offre et délai ... 18

1. Contenu spécifique de l’offre technique ... 18

2. Critères de sélection/ d’attribution ... 19

3. Délai de dépôt des offres et personnes de contact ... 20

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Partie I : Contexte de l’évaluation

1. Description de Geomoun

Créée en 2000, Geomoun soutient des projets d’initiative locale en Haïti et au Pérou axés sur les droits de l’enfant au travers du développement communautaire. En Belgique, Geomoun encourage le droit à la participation des enfants au travers de projets favorisant la réflexion, l’ouverture, l’expression et l’action porteuse d’amélioration.

Vision : Geomoun croit que l’amélioration des droits de l’enfant est possible grâce au développement social, économique, culturel et environnemental de leur communauté, par le biais de projets correspondant aux besoins réels des bénéficiaires.

Au Sud, GEOMOUN s’engage, au travers de ses projets, à:

 Encourager les initiatives de la société civile et des acteurs étatiques visant la protection des enfants particulièrement vulnérables (enfants en situation de rue, issus de la migration, de milieux socio-économiques très défavorisés, en conflit avec la loi).

 Soutenir les initiatives visant l’éducation (de base et professionnelle) des enfants, des jeunes et de leurs parents, avec une attention particulière à l’éducation des filles.

 Appuyer le développement communautaire pour le respect des droits de leurs enfants. Favoriser le droit à la participation des enfants et les encourager à prendre une part citoyenne active au sein de leur communauté.

Au Nord, GEOMOUN s’engage, au travers de ses projets, à :

 Promouvoir la paix entre les peuples par une meilleure connaissance de l’Autre et promouvoir l’interculturalité grâce à l’échange, le contact direct avec l’Autre, l’usage de la philosophie pour enfant

 Faire connaître davantage les richesses des pays du Sud en termes de savoir-être et savoir-faire.

 Promouvoir le droit à la participation des enfants, tout en les mettant en relation avec des enfants du Sud autour d’un projet citoyen commun.

2. Description du programme

Le programme de GEO O vise à renforcer le droit à la participation des enfants, filles et garçons, afin qu’ils puissent exercer leur droit à être acteurs de changement.

Un changement de mentalité des adultes est nécessaire pour organiser la prise en compte des réflexions et des idées créatives des enfants : dans la façon dont les adultes et les médias présentent le monde aux enfants et dans les structures organisationnelles des écoles et des communes.

Les Objectifs de Développement Durable témoignent de l’importance d’une prise de conscience et d’action collective tant au Sud qu’ici pour, ensemble, éradiquer la pauvreté , protéger la planète et garantir les mêmes droits pour tous. Le projet prévoit une interrelation constante entre les écoles belges

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et les écoles « du Sud » qui souhaitent améliorer le droit à la participation et l’initiative cito enne des enfants.

La sensibilisation éveille l’esprit critique, les relations ord/Sud suscitent l’émotion de la rencontre et la curiosité , l’accompagnement d’actions concrètes encourage l’engagement pour un monde plus juste et solidaire, la création d’un Réseau International des Enfants qui S’engagent (RIEE) soutient cette force collective de changement.

Le programme prévoit des activités qui tiennent compte des réalités de terrain des acteurs ciblés ;

 Formation continue de professeurs et mise à disposition d’outils pédagogiques spécifiques au droit à la participation,

 Accompagnement de projets en classe (émissions de radio avec regard croisé /S sur une thématique de cito enneté mondiale (cfr www.lesondenfants.be ),

 « Leçons d’enfants » ord/Sud,

 Accompagnement de directeurs du fondamental pour une organisation structurelle du droit à la participation dans l’école,

 Plaidoyers auprès des médias et des pouvoirs publics pour favoriser le roit à la participation

 Création du Réseau International des Enfants qui s’Engagent ayant notamment pour objectif de promouvoir les initiatives réalisées par les enfants.

En partenariat avec :

1. Entraide & Fraternité

Entraide & Fraternité travaille aussi le roit à la Participation en créant des outils pédagogiques et en formant et coachant des enseignants en Wallonie. Les activités qu’Entraide & Fraternité réalise en Belgique, rencontrent les mêmes objectifs que les nôtres. Pendant la réalisation de notre programme, Entraide & Fraternité participe à la création du Réseau des Enfants qui s’Engagent favorisant l’inscription de ses classes animées. Lorsque des synergies sont possibles entre les activités des 2 ONG, elles sont tentées.

2. Carrefour Jeunesse Afrique

Carrefour Jeunesse est notre partenaire au Bénin. Il assure les animations auprès des enfants dans les écoles, l'accompagnement des enseignants et directeurs d'école. Il participe à une adaptation des outils pédagogiques utilisés en Belgique pour une utilisation dans leur réalité. Carrefour Jeunesse Afrique participe également à la réalisation d'une recherche-action sur l'intérêt et l'impact du droit à la participation des enfants en Afrique de l'Ouest.

3. Visions Solidaires

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Visions Solidaires est notre partenaire au Togo. Il assure les animations auprès des enfants dans les écoles, l’accompagnement des enseignants et directeurs d’école. Il participe à l'adaptation des outils pédagogiques utilisés en Belgique pour une utilisation dans leur réalité. Visions Solidaires réalise aussi une recherche-action sur l’intérêt et l’impact du roit à la Participation des enfants en Afrique de l’Ouest.

4. Le Resedh

Le RESEDH est notre partenaire en Haïti. Il assure les animations auprès des enfants dans les écoles, l’accompagnement des enseignants et directeurs d’école. Il participe à l’adaptation des outils pédagogiques utilisés en Belgique pour une utilisation dans leur réalité.

Théorie du changement associée à la Belgique

Le schéma de la TOC repris ci-dessous, découle d’une réflexion menée entre nos collaboratrices expérimentées accompagnées d'une consultante externe. Ce schéma doit se lire de droite à gauche selon la logique suivante : si nous voulons que le droit à la participation des enfants ciblés par le programme soit renforcé et que les enfants développe un engagement citoyen, il faut que les adultes qui en sont responsables à différents niveaux (parents, enseignants actuels et futurs, direction d'école, responsables communaux, médias,...) assument davantage leurs responsabilités pour prendre en compte les besoins élémentaires des enfants (prestation directe), leur protection et leur droit à la participation.

Cette logique peut sembler évidente mais se heurte à la réalité du terrain.

Le monde en pleine mutation dans lequel nous vivons nous plonge au quotidien dans un paradoxe : d’un c té la peur de l’Autre sur lequel les partis d’extrême droite refoulent tous nos maux (attentats, crise économique, résultats des élections fédérales 2019,...) et de l’autre, l’émergence d’embr ons d’initiatives cito ennes et l’engouement d’une partie de la population pour une transition qui souhaite s’engager vers une société davantage respectueuse de tous et de la planète. Dans un monde que la presse nous montre si morose, nous pensons important de remettre en cause cette vision désenchantée de l’humain et la vision pessimiste des motivations humaines. ous voulons tenir compte de cette situation en travaillant l’esprit critique des enfants sur les valeurs d’ouverture et de solidarité et les encourager dans des actions porteuses de changement positif afin qu’ils puissent grandir dans la confiance, base essentielle de toute transformation sociale. C’est résolument dans cet « optimisme stratégique » que s’inscrit notre programme.

Comment dès lors renforcer le droit à la participation des enfants pour qu’ils puissent prendre en main leur rôle de citoyen et acteur du monde qui les entoure? Le schéma développe les changements nécessaires au niveau des acteurs clés du programme. Tous ces acteurs sont indispensables pour une prise en charge complète et durable des enfants. Cette approche systémique se base sur les hypothèses suivantes :

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1. ous pensons que la recherche d’un monde meilleur doit passer par le mouvement collectif (ACC Belgique, p76)

2. Il faut montrer aux enfants un monde en devenir et faire le choix d’un optimisme stratégique puisque le pessimisme est auto-réalisateur (voir JC. Guillebaud, « Un autre monde est possible ») 3. Le sentiment d’empathie des enfants doit être cultivé avant qu’il ne se fane.

4. ous pensons qu’on apprend mieux en étant en action. ous cro ons en la force et l’enthousiasme des enfants à se mettre en action et qu’ils doivent être plus stimulés.

5. Pour encourager l’action, elle doit être valorisée (diffusée, partagée).

6. Il faut travailler sur le s stème autour de l’enfant pour arriver à un changement durable :

7. Le contexte scolaire est le milieu adéquat pour renforcer la citoyenneté active des enfants.

8. L’expérience « Le son d’Enfants » réalisée avant le lancement de ce programme démontre que le ord peut favoriser le droit à l’expression du Sud et que le Sud peut être un modèle en termes d’engagement citoyen.

9. Il n’ a pas assez d’exemples d’initiatives cito ennes à montrer aux enfants ( e l’opinion exprimée à l’action concrète, ICEF 2014)

10. ous pensons que le projet peut être capitalisé et développé plus largement par l’échange de bonnes pratiques inspirant d’autres acteurs et réseaux locaux.

11. Faire de l’éducation au développement nécessite une vision d’ensemble des enjeux de société.

Les actions concrètes dans le monde enseignant du fondamental relatives à la mise en œuvre du DP sont encore timides et nécessitent d’être renforcées. (L’éducation aux droits de l’enfant dans la formation initiale des enseignants de l’enseignement primaire en Belgique, ICEF 2016).

Une colonne du schéma dresse la liste des partenaires belges et internationaux qui viennent appuyer la création des conditions favorables au P et l’EC des enfants. Enfin, la TOC précise le rôle de Geomoun.

En suivant le programme, au terme de 5 ans, les impacts sont les suivants :

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1. Le Droit à la Participation (DP) des enfants est renforcé.

2. L'Engagement Citoyen (EC) des enfants est renforcé.

3. Les enfants grandissent davantage dans un esprit de tolérance, d'ouverture, de créativité et d'empathie dans une dimension mondiale.

4. Les enfants prennent confiance dans la force collective de changement.

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Partie II : Les enjeux de l’évaluation

1. Objectifs et objets de l’évaluation

L'évaluation externe finale analyse le programme dans son ensemble : une évaluation systématique et objective du programme complété par les mécanismes utilisés pour mettre en œuvre le programme et les résultats obtenus. Elle doit également fournir des conclusions et des recommandations pratiques aux parties prenantes, au bénéfice de la population cible. L'évaluation externe finale servira principalement à rendre des comptes aux donateurs, mais aussi à apprendre.

La DGD exige que tous les critères du CAD (Comité d'aide au développement de l'OCDE) soient évalués, en mettant particulièrement l'accent sur l'impact, la durabilité et l'efficacité, ainsi que sur la contribution au CSC.

Les objectifs de l’évaluation :

a. Evaluer la performance globale du projet et ses résultats au regard des objectifs initiaux et des actions réalisées depuis son démarrage et proposer des recommandations pour que le projet atteigne ses effets attendus sur la base de ses performances actuelles.

b. Evaluer l'approche suivie pour réaliser la Recherche-Action sur la légitimité du projet et de son approche au Sud.

c. Pour chacun des quatre résultats, anal ser le niveau d’exécution et évaluer la pertinence, l’efficacité et l’efficience, ainsi que la viabilité/durabilité du dispositif global mis en place par le projet, mais aussi des stratégies et des activités mises en place. Pour chacun des quatre résultats, l'approche sera également évaluée d'un point de vue respect des genres et de l'environnement.

d. Tirer finalement des enseignements et recommandations pour les acteurs impliqués - Sur la stratégie d’intervention

- Sur le dispositif de mise en œuvre (institutionnel et organisationnel) - Sur les méthodes d’intervention

e. Evaluer les outils de suivi du programme et la communication entre Geomoun et le terrain (tant en Belgique que dans les pays partenaires du projet : le Bénin et le Togo)

f. Emettre des recommandations pour consolider les acquis et améliorer les activités et si besoin, réviser la stratégie de mise en œuvre des activités et recadrer les interventions en tenant compte des remarques de l’évaluation

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L'objectif de la redevabilité envers la DGD est l'objectif principal d'une évaluation de fin de programme.

Cependant, nous souhaitons inclure des points d'apprentissage, notamment autour des éléments à inclure dans le futur programme. Sur la base de cette analyse et en tenant compte des inputs (rapports, auto-évaluation annuelle et avis des acteurs sociaux impliqués), l'évaluateu.ric.e formulera des conclusions et des recommandations qui pourront guider le succès des actions futures des institutions qui mettent en œuvre le projet.

Public cible de l’évaluation

Les bénéficiaires directs : les élèves de 12 à 14 ans, leurs professeurs et les directeurs d'école En ce qui concerne les bénéficiaires indirects, le programme vise un changement de mentalité plus large au niveau du public belge (1ère ligne) et des médias et décideurs politiques (2ième ligne) sur la mise en pratique du droit à la participation des enfants et leur capacité à être acteur de changement.

Champs de l’évaluation

Zone d’intervention

 Dans les bureaux de Geomoun en Belgique, à Louvain-la-Neuve.

 Dans les écoles où le trajet « Le Son d'Enfants » a été réalisé en Belgique au Togo et au Bénin (Comme stipulé plus loin, les évaluations concernant des actions prises dans les pa s à l'extérieur de la Belgique pourront se faire via Sk pe/Zoom….)

 Dans les provinces dans lesquelles se trouvent les écoles participantes (BW et Hainaut).

 Dans les radios où les émissions ont été réalisées.

Outcomes

L’objectif spécifique du projet est : « Le Droit à la Participation et l'Engagement Citoyen des enfants (filles et garçons) sont renforcés »

Résultat 1 : Des professionnels du monde enseignant et associatif (Nord et Sud) sont sensibilisés, formés et se mobilisent en faveur du Droit à la Participation.

R1A1- Diffuser des outils pédagogiques spécifiques au roit à la Participation.

R1A2 - Prendre contact avec les institutions de formations/informations des enseignants (IFC, ALC, SeGEC), et présenter les outils pédagogiques spécifiques au roit à la Participation.

R1A3 - Organiser des séances de formations des (futurs) enseignants à l’utilisation des outils.

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R1A4 - Coacher des enseignants sur la bonne pratique des différentes activités liées au roit à la Participation des enfants.

R1A5 - Effectuer des animations « Le Son d’Enfants » en classe avec la présence et la collaboration active des enseignants.

R1A6 - Réfléchir avec l’enseignant à la mise en place d’un dispositif dans la classe et/ou l’école pour favoriser le roit à la Participation.

R1A7 - Rencontrer des directions d’école dans le but d’aider l’école à mettre en place un dispositif dans l’établissement pour favoriser le roit à la Participation.

R1A - Tenir à jour et suivre la base de données des enseignants/écoles suivant les formations et/ou participants aux animations.

R1A10 - Présenter les différents outils et projets lies au roit à la Participation des Enfants dans les écoles normales.

R1A11 - Evaluer les processus mis en cours.

R1A13 - Participer à la réalisation du catalogue d’outils « La solidarité internationale en classe » avec Iles de Paix et d’autres AC G.

Résultat 2 : Des élèves (filles et garçons) de Belgique et de pays en développement sont sensibilisés au DP, s'engagent dans des actions citoyennes et échangent leurs expériences.

R2A1 - Effectuer des animations en classe (Nord et Sud) en vue de réaliser une émission de radio « Le son d’enfants » sur un sujet cito en.

R2A2 - Effectuer des animations en classes (Nord et Sud) en vue de réaliser des capsules sonores « Leçons d’enfants » d’information sur des sujets citoyens.

R2A3 - Inscrire des classes sur le Réseau International des Enfants qui s’Engagent. (Les classes peuvent avoir participé aux animations Le Son d’Enfants ou Leçons d’Enfants, ou avoir utilisé les outils de roit à la Participation en classe).

R2A4 - Créer le RIEE

R2A5 - Créer le site web du Réseau international des Enfants qui s’Engagent.

R2A6 - Gérer le contenu du site web.

R2A7 - Faire la promotion du Réseau des Enfants qui s’engagent (outils de communication et d’identification)

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R2A8 - Susciter l’inscription et la participation des groupes d’enfants (classes et/ou écoles) au Réseau International des Enfants qui s’Engagent.

R2A9 - Organiser et faire la promotion de la arche des Enfants qui s’Engagent

R2A11 - Amorcer un lien entre le Réseau International des Enfants qui s’Engagent et un conseil communal des enfants (idem R4A3).

R2A12 - Evaluer les processus mis en cours

Résultat 3 : Davantage d'adultes sont sensibilisés au DP des enfants et prennent connaissance des initiatives citoyennes des enfants des pays du Nord et du Sud.

R3A1 - Créer et gérer une base de données média.

R3A2 - Organiser une conférence de presse pour présenter le programme lié au roit à la Participation des enfants.

R3A3 - Suivre la revue de presse liée à nos initiatives cito ennes.

R3A4 - Contacter, rencontrer les journalistes/médias et négocier de la visibilité sur les différents projets liés au Droit à la Participation des enfants.

R3A5 - Convaincre les écoles participantes à rela er et faire la promotion de leurs initiatives au sein de l’école, des parents et des communes.

R3A6 - Créer et suivre un fichier des diffusions des activités au départ des écoles.

R3A7 - Réaliser une recherche action sur la légitimité du projet et de son approche au Nord et au Sud et mise en commun des conclusions + publication

R3A9 - Participer à l’étude collective sur l’impact EC S en milieu scolaire (ACO EV) via la communication des résultats de la recherche-action.

Résultat 4 : Davantage de décideurs politiques et d'institutions sont sensibilisés, conscientisés et prennent des décisions qui encouragent la participation des enfants. Ils relaient, via leurs canaux, nos outils et démarches pédagogiques.

R4A1 - Prendre contact et participer à des réunions avec les institutions de formations/informations des enseignants (IFC, ALC, SeGEC) afin qu’elles donnent plus de considération au roit à la Participation dans l’exécution de leurs missions.

R4A2 - Participer à 1 réunion/semestre de la plateforme roits de l’Enfant et le groupe GPS Scolaire pour partager les expériences et les pratiques de chacun.

R4A3 - Amorcer un lien entre le Réseau International des Enfants qui s’Engagent et un conseil communal des enfants (idem op cit R2A11)

R4A4 - Inciter les écoles à inviter les échevins de leur commune lors de la réalisation des émissions de radio et/ou lors de la réalisation des initiatives citoyennes.

R4A5 - Organiser une « arche des Enfants qui s’engagent » dans différents pays et coordination des acteurs (Nord, Sud, Ecole, Commune...)

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Partie-prenantes - Acteurs impliqués : Carrefour Jeunesse Afrique (CJA):

Adresse, téléphone, e-mail :

Rue Carrefour Jeunesse BP 305-Comé Bénin Tel : +229 95 81 63 78

Sylvestre.dossa@carrefourjeunesse.com

Personne de contact : Sylvestre Dossa, Directeur – Responsable projet LSDE : Serge Metonou Cakpo - caserdj1er@gmail.com

Carrefour Jeunesse Afrique est un centre parascolaire/association de jeunesse créé en 2011.

Soucieux de la qualité de l’éducation donnée aux enfants, la mission de CJA est d’offrir aux enfants et aux jeunes une éducation alternative. Il est important de montrer que d’autres méthodes, moins formelles, existent et sont essentielles pour l’éducation des jeunes, en parallèle avec le cursus scolaire. Pour se faire, les activités de CJA s’articulent autour de trois grands projets : les activités éducatives, le renforcement des initiatives locales et les échanges interculturels. L’objectif global de ces trois projets étant de renforcer et de diversifier le programme éducatif actuel pour les enfants et les jeunes.

Visions Solidaires

Adresse, téléphone, e-mail : 14BP173 Lomé TOGO Tel : +228 91991523

E-mail : prog.solidaires@gmail.com

Personne de contact : Jean-Gilbert, directeur opérationnel VS.

Visions Solidaires est une association d’éducation à la cito enneté et de solidarité active créée en 2008. Elle est agréée comme association à but non lucratif auprès du ministère togolais. A travers ses actions Visions Solidaires vise trois objectifs :

 Promouvoir la solidarité, la paix et l’engagement cito en par l’éducation populaire.

 Mobiliser la société pour la mise en œuvre de projets de solidarité afin de lutter contre la pauvreté et la discrimination sociale.

 Interpeller les autorités politiques et administratives sur les questions liées au développement, à la solidarité et à la paix dans le monde.

Resedh Jacmel

Tel : +509 3600 5766

E-mail : jethoresedh@geomoun.org

Personnes de contact : Jetho Pierre Paul, directeur Resedh. Responsable LSDE : Macula Jean- Marie : daliamacoollove@yahoo.fr

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Partie III : Contenu, méthodologie et profil

1. Questions évaluatives

Critères généraux de base

Pour aborder ces critères classiques quelques premières questions peuvent être suggérées.

Celles-ci seront précisées et étoffées durant la phase de préparation sur base notamment de l’anal se documentaire et de premières interviews avec les représentants de Geomoun. Voici à titre d’exemple quelques questions possibles :

Pertinence :

 Quelle est la pertinence de l’outcome, compte tenu d’éventuels changements qui se sont produits dans le contexte externe (pa s/partenaire/etc.) ou à l’intérieur de l’organisation (globale et/ou au niveau du pa s, en matière de RH, de l’institutionnel et/ou des finances) ? Dans quelle mesure ces changements ont-ils eu un effet sur la pertinence de l’intervention et comment ont-ils été gérés ? Les actions du projet ont-elles été adaptées en fonction de l’évolution du contexte d’intervention (politique, sécuritaire, sanitaire) ?

 Les stratégies d’appui se fondent-elles sur une analyse précise ? Quelles sont les principales hypothèses sur lesquelles sont construites les interventions ?

 Comment les interventions s’intègrent-elles dans les stratégies nationales ou locales ? Comment tiennent-elles compte des spécificités du contexte au fil du temps?

 Les stratégies d’intervention (dont la recherche-action) sont-elles pertinentes ? Ont-elles un impact sur les comportements des publics-ciblés ? Quelle est la pertinence de la stratégie d’intervention liant les partenaires belges et Sud dans tous les objectifs des projets ?

 Les risques ont-ils été clairement identifiés au départ ?

 Comment les thèmes transversaux (genre et environnement) sont-ils pris en compte ?

Efficience :

 Les résultats et la qualité des activités sont-ils en concordance avec les efforts prestés ?

 Quels sont les résultats déjà obtenus ?

 Les résultats planifiés (comme décrits dans le document de projet de départ) ont-ils été obtenus à des coûts (financiers, humains, ...) raisonnables et acceptables ?

 Quelle est l’efficience des responsables de l’intervention (animatrices, structures et procédures d’organisation) ?

 Compte tenu de l’objectif général centré sur les thématiques de l’enfance, du renforcement du droit à la participation, du genre et de l'environnement, différents moyens peuvent être utilisés. A-t-on choisi les plus efficients ?

Efficacité :

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 Les valeurs-cibles pour l’an 5 des indicateurs de l’outcome et des indicateurs des 4 résultats ont- elles été atteintes, voire dépassées ? Si pas, quelles en sont les raisons ?

 Les sources de vérification prévues pour ces indicateurs étaient-elles adéquates ?

 Les activités ont-elles contribué à la réalisation des objectifs spécifiques définis au départ ? Les résultats obtenus garantissent-ils la réalisation future de ces objectifs ?

 L’action engagée débouchera-t-elle, pour le public-cible, sur un renforcement concret du droit à la participation en vue d’un meilleur engagement des enfants ? La voix des enfants sera t-elle mieux prise en compte ? Leur engagement sera t-il réel ?

 Le déroulement du processus se fait-il à un rythme adéquat ? Est-il possible de l’accélérer ou faut-il le ralentir pour en améliorer l’efficacité ?

 Quels sont les principaux obstacles qui ont empêché la réalisation de certains objectifs, qui ont empêché la mise en œuvre des changements ? Avons-nous à faire à une théorie du changement défaillante ou à d’éventuels échecs de mise en œuvre ?

 Y a-t-il eu des changements dans les objectifs ?

 Y a-t-il eu des résultats inattendus, des effets ricochets ? Sont-ils positifs ou négatifs ? Impact :

 En quoi l’atteinte de l’objectif spécifique du projet contribue-t-elle partiellement à son objectif global ? Comment ? En quoi la situation a-t-elle évolué au cours du temps et quelle a été la contribution de la réalisation des objectifs du projet d’intervention sur ces changements ?

 Dans quelle mesure des changements et/ou évolutions sont-ils liés aux mo ens mis en œuvre dans les interventions ?

 Quels sont les effets potentiellement transformateurs de l’intervention ? Quels sont les effets sociaux, environnementaux et économiques à plus long terme ou à une plus vaste échelle que ceux évalués sous le critère d’efficacité ?

 Quel est l’impact généré par la stratégie d’intervention axée sur l’inter-relation et action des partenaires belges et Sud tout au long des projets ?

Durabilité :

 Les autorités et le public ciblé ont-ils les capacités d’assurer la durabilité des réalisations produites dans le cadre du projet ? es mécanismes d’appropriation sont-ils mis en place ?

 Le contexte (politique, socioculturel, institutionnel, économique…) dans les zones d’intervention peut-il avoir un impact sur la durabilité ?

 Quelles sont les conditions mises en place pour maintenir à long terme les changements de comportement et les acquis ?

 Quels mécanismes concrets sont mis en place pour transférer les acquis des projets vers d’autres acteurs (institutions, bénéficiaires, …) ? Y a-t-il une stratégie spécifique de « remise » ou de sortie, développée avec les associations partenaires locales, leur permettant de lancer des initiatives indépendantes ?

Cohérence

 Dans quelle mesure la logique d'intervention du programme était-elle compatible avec les normes et standards locaux, nationaux et internationaux pertinents pour le secteur d'intervention ?

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 Les complémentarités et les synergies avec d'autres acteurs de la coopération belge au développement ont-elles apporté une valeur ajoutée ?

Genre et environnement :

 Les interventions intègrent-elles correctement le respect du genre et de l'environnement ?

 Quelles sont les actions concrètes que l'organisation et ses associations partenaires peuvent mettre en place pour un meilleur respect du genre et de l'environnement ?

Questions plus spécifiques d’évaluation.

Les questions de l’évaluation doivent permettre à GEOMOUN de tirer les leçons de cette expérience, afin d’améliorer l’efficacité de son travail actuel. Chacune des réponses à ces questions expliqueront

« Si oui, pourquoi, si non pourquoi et pistes d’amélioration à proposer ».

 Communication :

La communication entre les associations partenaires et Geomoun est-elle suffisante et satisfaisante ?

 Valorisation du partenariat

Visions Solidaires, Carrefour Jeunesse et Geomoun sont-ils satisfaits de la relation de partenariat ? 2. Orientation méthodologique

La méthodologie sera développée par le consultant.e lors de sa réponse à l’appel d’offre.

Toutefois, il est suggéré aux candidats d’articuler leur démarche autour des éléments suivants :

- Approche participative. Les compétences de l’évaluateu.ric.e en termes de méthodologie participative seront une plus-value. La méthodologie doit détailler la/les méthodologies utilisées dans ce cadre.

- Entretiens individuels avec les autorités locales, les équipes du projet, les partenaires du projet et autres acteurs du programme.

- Focus groups avec les bénéficiaires 3. Profil de l’évaluateu.ric.e

Cette évaluation sera conduite en Belgique, par un.e consultant.e.e international.e ou national.e indépendant.e. Pour l'évaluation des activités réalisées dans les pays partenaires, des sessions Skype seront prévues. La personne idéale devra avoir les connaissances et caractéristiques suivantes :

 Solide expérience en gestion de projets en ECMS, essentiellement en Belgique.

 Expertise en renforcement organisationnel

 Compétences et expérience forte en ingénierie, suivi-évaluation et gestion de projet

 Capacité à travailler rapidement et de manière autonome

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 Expertise confirmée dans le domaine du genre et l’égalité de genre

 Bonne connaissance des pratiques et exigences contractuelles des bailleurs

 Bonne capacité d’écoute, de communication, d’animation et de leadership.

Partie IV : Timing, pilotage et livrables attendus

1. Timing (Le calendrier de l’évaluation)

L’évaluation se déroulera début 2022, avec les échéances suivantes : 2eme quinzaine de novembre

2021

Diffusion des TDR et sélection du candidat

Au plus tard le 20 décembre 2021 Finalisation du contrat (signature), transmission de la documentation complémentaire par Geomoun, discussion sur les modalités pratiques

Entre le 10 et le 20 janvier 2022 Réunion de cadrage avec les chargées de projet 1ere quinzaine de février 2022 Démarrage de la mission de terrain

Au plus tard 10 mars 2022 Restitution orale en fin de mission de terrain

Fin mars 2022 Remise du rapport provisoire

Au plus tard le 30 avril 2022 Remise du rapport final

Calendrier indicatif de la mission en Belgique Lancement de l’évaluation et cadrage : ½ jour Analyse documentaire : 3 jours

Récolte des données auprès des personnes ressources, focus group : 3,5 jours Restitution du rapport provisoire et finalisation rapport : 2 jours

Total du nombre de jours indicatifs : 9 jours

2. Pilotage de l’évaluation : comité de pilotage, personne de référence (…)

n Comité de Pilotage (CoPil) sera organisé afin d’assurer l’accompagnement de toutes les étapes du processus évaluatif et la validation de tous les livrables. Il sera constitué des personnes suivantes :

 Cécile Nuyt, directrice de Geomoun

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 Nathalie Delbar, Coordinatrice des projets «Belgique»

3. Livrables et qualités attendus

Les produits attendus dans le cadre de cette évaluation seront rédigés en français et sont les suivants :

 Une note de cadrage, présentée quelques jours avant le démarrage de l’évaluation, relatera les premières investigations effectuées par l’évaluateu.ric.e (-trice) à partir des lectures documentaires et des entretiens avec Geomoun. Elle présentera les questions et hypothèses appu ant le travail sur le terrain, ainsi que la méthodologie d’évaluation proposée pour les phases suivantes de l’évaluation.

En fin d’évaluation, le(s) consultant.e(s) devra soumettre un rapport final provisoire d’évaluation ne dépassant pas 30 pages (en accord avec les exigences de qualité précises par le CoPil), la base de données, ainsi qu’un résumé ne dépassant pas 3 pages afin d’être accessible par le plus grand nombre d’interlocuteurs. Ces 3 documents devront être rédigés en français. Les résultats de l’évaluation et les recommandations constituent le cœur de la s nthèse et doivent être présentés dans un langage clair et accessible à tous.

Le résumé devra comprendre :

- Une présentation du programme évalué en quelques lignes ;

- ne présentation des objectifs et enjeux autour de l’évaluation en quelques lignes ; - Les résultats de l’évaluation de manière s nthétique ;

- Les recommandations organisées de manière hiérarchique et reliées aux conclusions (présentation sous forme de tableau préconisée).

Le CoPil procèdera ensuite aux révisions finales du rapport provisoire et le renverra à l’évaluateu.ric.e(s) pour finalisation de tous les livrables, qui seront soumis à une validation finale par le Copil. Enfin, une réunion de présentation du rapport final sera réalisée, en utilisant un support de présentation visuel des résultats et recommandations finales.

Un rapport final (30 pages maximum) en français et incluant :

- n résumé exécutif reprenant les résultats clés de l’étude ; - La méthodologie et les limites de l’évaluation ;

- L’anal se des conclusions (organisée en fonction des objectifs de l’évaluation) ; - Les recommandations sur la base des éléments récoltés

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- Les annexes, y compris les outils de recherche, la liste des personnes enquêtées, les termes de référence de l’étude, entre autres

La qualité du rapport d’évaluation sera analysée au regard des critères suivants :

- Le rapport dépasse la description et procède d’une véritable anal se critique issue d’un croisement de données fiables et vérifiées (données quantitatives et qualitatives représentatives et exploitables).

- Le rapport analyse les forces et faiblesses soulevées au regard du contexte d’intervention.

- Le rapport formule des recommandations réalistes par rapport au contexte de l’intervention, des parties prenantes et des organisations (ressources financières, humaines, matérielles, …).

- Prise en compte dans l’évaluation de la théorie du changement de l’organisation et de l’adéquation des mo ens et stratégies mis en œuvre pour arriver.

- La neutralité du rapport : les conclusions doivent être présentées de façon neutre et impartiale.

- Le rapport est écrit dans un langage clair, adapté aux utilisateurs finaux de l’évaluation.

Communication du rapport d’évaluation

- La s nthèse du rapport et des recommandations sera présenté au CA et à l’AG de Geomoun.

Partie V : propositions financières

Les propositions financières des experts, pour cette évaluation, devront s’inscrire sous un plafond de 750

* 9 jours, 6750 € TTC et distingueront les dépenses forfaitaires (honoraires) des dépenses à justifier (déplacements, etc.), pour un temps d’expertise estimé à 9 jours.

Tous les autres coûts – quel que soit leur nature – que les experts auront à couvrir pour mener à bien cette évaluation, resteront à leur charge.

En cas de binôme, il est demandé aux évaluateu.ric.es·trices, dans leur offre, de préciser la répartition des jours de travail entre les deux évaluateu.ric.es·trices aux différentes phases de l’évaluation (en lien avec la proposition méthodologique).

Parties VI : Contenu de l’offre et délai

1. Contenu spécifique de l’offre technique

Le dossier de candidature devra obligatoirement comporter les deux éléments suivants :

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Une proposition technique composée de :

- Une note explicative sur la compréhension des termes de référence (1 page max) ;

- ne présentation de l’approche méthodologique et de l’organisation de la consultation envisagées (2 pages max) ;

- En cas de consultance à distance, les termes de référence devront être revus et la méthodologie adaptée. Le.la soumissionnaire est invité à décrire son approche si ce contexte devait être celui de l’évaluation.

- Un calendrier indicatif pour la réalisation des activités de la consultation (2 pages max).

- La proposition méthodologique et technique ne devra pas dépasser 5 pages, hors CV et expériences.

- Un curriculum vitae (formation, qualifications, expérience dans les domaines susmentionnés, liste des principales publications) ;

- es références professionnelles appu ées par les attestations de bonne fin d’exécution pour des missions similaires ;

Une offre financière dans laquelle on trouve les éléments suivants : - Le montant total/somme forfaitaire globale ;

Afin d'aider Geomoun dans la comparaison des offres, chaque proposition financière comprendra également une ventilation détaillée du montant forfaitaire, incluant les honoraires du/de la consultant.e(e) (indemnités journalières X nombre de jours ouvrables prévus) ;

- Les différents coûts opérationnels (transport, communication, etc.), - Les prix unitaires, globaux et totaux sont présentés TTC en Euros €.

- L’autorité contractante effectue les paiements dans la même monnaie que celle indiquée dans l’offre.

Indépendamment de la monnaie spécifiée pour le paiement, le risque de change n’est pas assumé par l’autorité contractante.

- Les offres doivent être datées et signées ; 2. Critères de sélection/ d’attribution

Les offres seront anal sées par le comité de pilotage sur base des éléments d’évaluation suivants :

* Qualité du contenu de la proposition : 40%

- Objectifs clairs et lisibles avec une méthodologie proposée en adéquation avec les résultats attendus ; - n plan d’action et un timing clair et faisable.

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* Expertise et expérience des consultant.es (CV) : 40%

- Expériences, connaissances en lien avec la thématique et objet de l’évaluation : du team leader et de l’équipe ;

- Connaissances sur les contextes des régions/pays à évaluer ;

- Expériences prouvées sur les méthodologies d’anal se et de restitution ; - Disponibilité et indépendances des évaluateu.ric.es.

* Budget : 20%

- Un budget clair sur base également des ressources humaines allouées 3. Délai de dépôt des offres et personnes de contact

Les candidat·e·s devront soumettre un dossier de candidature comprenant une offre technique et une offre financière.

Les offres des évaluateu.ric.es·trices sont à adresser au plus tard pour le 30 novembre 2021, uniquement par courrier électronique, à cecile@geomoun.org et nathalie@geomoun.org

Chaque candidat.e qui aura introduit une offre dans les délais, recevra un retour sur l’acceptation ou non de son offre avant le 10/12/2021.

Les consultant.e·e·s seront informé·e·s de la décision finale avant le 15 décembre 2021 et le contrat signé au plus tard 20/12/2021.

Références

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