Lorsque
ie
suis revenu au sens du réel, il étqit apryyé sur un coude et me regardaiten silence.
ll
m'a fait pelYr à une peinturç^quej'Eçis
vae eans je rysaisfigl
musée, oit un homme se pèlpchait'sur',le befcèçu de son\ enJlfntfui
vgialt ae nûitù.l/
cr$is l+i avoir souri et att11111 ,toæn" .?rryr. la m.ie,rtne. §7sdite, ipiTlnis sÿ We danùhon clu/ four tui
Série
le
Papy
qui
rit
El
Grande
n'2
Auteur Robert Faurd, philosophe de la vie, de la liberté et de la vérité
"je te ctais, sabùe aussi q\ïi
t"
airirc tetleme"nt beire et naturàk que j,ai eu màn plaisir en mêm{ rcmps que toi".Nous soflrmes restés un moment côte à côte sans dire un
mot,
puisil
m'a pris dans ses bras et cmbrassée voluptueusement. Sa main est partie à la découverte de mon corps,il
ne s'est pas attardé sur mes seins eti'est
aprèsune faible
résistancede ma
part
qu'elleest
arrivée entre mes cuisses. Cen'était pas la première
fois
qu'un garçon me caressait là.raimais
ce momenttrouble de
mini-üol,
ce
momentoù le
garçonne
savait pas sij'allais
medébattre,
hurleq
le gifler ou si
ce
gesteétait
le
préludeà
ma
défaite. Engénéral,
le
premier instant d'excitation passé,je
devenais insensibleet
cela devenait trèsvite
désagréable.Mais,
aveclui
c'etaitdiffirent,
c,était mêmetrès
agréable.J'ai
eu
subitementun
sentimentde
gêneen
pensantà
maculotte qui devait être mouillée et
je
lui aidit
:- Je dois être toute trempée. Laisse
moi
!
j'ai honte...-
Non
!
c'estufl
grand honneurpour
moi
sij'en
suis I'auteur.Tu
ne crains rien... laisse moi faire...j'ai
enüe de te donner encore du plaisir.Il
caressait lentement et en douceur sur ma culotte dont le tissus étaitmince
commeune
peau.
Les
autres garçons que
j'avais
connus
étaienttoujours pressés.
une
copine m'avaitdit
que son frèrelui
avait raconté que les gars faisaient ça aux filles pour les chauffer et ensuite les baiseq mais nonpour leur faire
plaisir.Lui,
avait tellementde
délicatesse, de lenteuret
desensualité que
je
savais que c'étaitle
contraire. J'étais sur une autre planète,curieusernent j'avais I'impression d'avoir déjà vécu ces moments. plus
iard,
eny
repensant,je
me suis souvenu d'un de mes fantasmes de petitefille,
danslequel un prince surprenait une belle jeune
fille
endormie et laréveillaii
avec des gestes et des baisers d'une tendresse infinie.Au
bout
d'un moment, sâ maina
glissé lentement sous maculotte
etlorsque son
doigt
s'est présenté à I'entrée de monpetit puit
encore inviolé à cejour
par un homme,j'ai
eu peur qu'il ne me blesse etlui
aidit
: "attention !je
suis encoreüerge...".
Il
a semblé surpris, puis répondu.- Avec mon
doig,
ça ne risque rien,il
n'est pas plus gros qu'un tampa(. - Commenttu
sais, sije
met des tampax ?-
Toutes les filles mettent des tampons maintenant, pourquoitu
seraisdiftrente
? Mais ne t'inquiètes pas, le doigt est le plus merveilleux instrumentde I'homme,
il
sait au millimètre près s'il peut passerou
non.Tu
ne risques rien en ce qui concerne taürginité
anatomique.- Merci de m'en informer docteur...
Le
silencenous
a
enveloppéà
nouveauet
seulesa
main
semblait vivanteLe plaisir est venu, proche de celui que j'obtenais en me caressant, mais sans fantasme, seulement en
me
concentrântsur
sesdoigts
qui
semblaient doués devie
et d'intelligence.Il
faisait une sorte de pasdi
danse à certainsendroits
et
repartait, prenait
un
appui
et
repartait provoquer
d'autres sensations surur
autre point qui semblait I'attendre. pendant mon orgasme,il
m'a
accompagné avec beaucoupde
délicatesseet
aprèsil
a pris
dans sa paume de maintout
mon sexe, comme s'il avait recueilli etvoulait
protéger un oiseau tombé du nid.EL
GRANDE
02I1 a rompu
le
silence aubout
de quelques minutespour
proposer deboire une goutte de champagne. J'avais la gorge sèche et ai accepté avec joie.
Je
pensaisqu'il
nÿ
avait
pas
d'inconvénientà
m'étourdir
un
peu,
j'etais persuadée qu'avec luije
ne risquais rien, mais une petitevoix
commençait de se faire entendre, qui disait: "c'est peut-êtrelui
quetu
attendais... c'est peut-être lejour...
s'il en profite, c'est qu'il auraton
consentement etil
faut bien unjour
devenir unewaie
femme".Il
a
débouché une bouteillequi
attendait la bonne occasion aufrigo
et nous en avons bu deux coupes: une pour lasoifet
une
pour le
plaisir.
Il
a
semblé réfléchirun
momentet dit
le
sourire aux lèvres:- Tu as déjà caressé un homme ?
J'at été
un
peu mal à I'aisepour
répondre, mais aveclui
je
ne voulaispas tricher.
-
Oui
I
C'estune copine
qui m'y
a
poussé.Elle était
la
fille
d'un médecin.Il
lui
avait
conseilléde
le
faire
lorsque les gars deüennent tropentreprenant. Après ils sont moins agressifs et acceptent mieux d'être frustrés
d'un rapport
sexuel.Les
premièresfois,
je
gardais des gants. Ensuite,je
n'avais aucune gêne à lestripoter
à main nue.- Pourquoi tu ne I'as pas fait avec moi ?
-
Je
n'y
ai
pas
pensé.Tu
n'asprovoqué
en moi
aucunréflexe
dedéfense, j'étais bien et ne voulais pas rompre le charme.
A
un moment,j'ai
eu envie dete
toucher, d'avoirun
contact plusétroit
etje
me
suis pelotonnée danston
bras et danston
cou, mais plus bas,non
!
cela
aurait été déplacé, tellement j'étais en communion avectoi.
Maintenant, sifu
ne me trouves pastrop
osée pour une üerge, j'aimeraimoi
aussite
toucher, maisje
ne sais si j'aurai ta délicatesse de geste.-
Je
sr.lis certain quetu
I'as.Ton
contact ne m'a inspiré que
de
la douceur,un
momentpriülégié
dansle
temps,tu
ne peux que
àonner la même chose.une
question peut-être indiscrète, maistu
n'es pas obligée de répondre. tu
m'asdit
quetu
tripotais
les garspour t'en
débarrasser, mais avais-tu aussi du plaisir à le faire ?-
Je pense queoui
! Mais peu importe... toi,j'ai
enüe dete
caresser et pas de te branler. J'ai envie de te faire plaisir, cofirme tu m'as fait plaisir.Non
pas pour te rendre ce que tu viens de me faire, mais parce quej'ai
enüe de tetoucher cofllme
tu
I'asfait. si
tu
ne m'en avais pas parlé,je
n'aurai pas osé lefaire, de peur que
tu
me prennes pour... pour ce queje
ne suis pas. Tu viensde me libérer,
je
sens queje
deviens une femme.Tout
semble simple avectoi...
je
suis bien...Le champagne me rendait loquace...
-
Parfait
! Tu
esà
I'aise avecmoi,
commeje
Ie
suis avectoi.
ca
nes'explique pas,
il y
a des gens avecqui
ça marche et d'autre avecqui
c'est lecontraire.
Pour moi, I'amour entre hommes et femmes est unjeu,
beaucouptrichent parce qu'ils ne vivent pas
le
présent.Veux-tu
üvre
le
présent avecmoi en jouant ?
-
Bien sûr !
j'ai
toujours
penséà
un
jeu,
maisles
garçons quej'ai
rencontré étaient de sortes de techniciens, ils ne jouaient pas, ils suivaient une
sorte
de
programmation
:
bouche,
seins,
sexe, avec
un
sérieux
quim'indisposait et me bloquait rapidement.
- Excellente analyse... Je vais te proposer de réaliser un des fantasmes sur lequel tourne la libido des femmes.