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The Physical Review ; - T. XIX; octobre, novembre, décembre 1904; t. XX

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(1)

HAL Id: jpa-00241143

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Submitted on 1 Jan 1906

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The Physical Review ; - T. XIX; octobre, novembre, décembre 1904; t. XX

L. Houllevigue

To cite this version:

L. Houllevigue. The Physical Review ; - T. XIX; octobre, novembre, décembre 1904; t. XX. J. Phys.

Theor. Appl., 1906, 5 (1), pp.610-628. �10.1051/jphystap:019060050061001�. �jpa-00241143�

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cycles d’hB -t t t -i- et la i’tcquence, en tenant compte des courants de Foucault. )1. ~laJelung élimine ceux-ci et par suite n’obtient qu’une

mesure de l’intluence de ces courants sur les cycles d’hystérésis.

1B1. LA MOTTE.

11. I > ’ ~T(~l~t-~hl. 2013B.’ti.-hU~m~zn.lcrArh~t: 11llcxi>ii etr~Iitrulll~.~neti~r·lu’r;ln

1 ml IJI ~11’ 3~1t 11« >titi ,iti>n ju lllt’111011’n : H0tlt’B.iilll dt’s >ji1 , .1 ti>>iii:iyii>- tijii>s -ur un fil" - P. lUî8.

Correction d’erreurs typographiques.

~1. L A >i u ~r .i 1: .

THE PHYSICAL REVIEW ;

T. XIX; octobre, novembre, décembre 1904; t. XX.

~1’ B11)BEH et HL’UGESS. 2013 The telnpel’ature uf the arc tTeUlpt’l’lltllre de l’arc). - Il. 2H-25~.

Étude comparative à l’aide des pyromètres optiques de BVanner, d’Ilulborn et de Le Châtelier. Le tableau suivant résume les résul- tats obtenus par les auteurs et par de précédents expérimentateurs.

On a marqué d’un astérisque (*) les températures de l’arc considéré

comme un corps noir.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019060050061001

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611

lill Ni ¡ r ’ 1 ) ,,- ’" E (’ t If B L r, - T,-’; . ’d n 11 p () n l’ :t rh 0 n

il l , t! ¡ .’ 1 lIt Il’ [l ¡ t!’ II Ji ) t ’l’a t 1 1 - l r Li t’ 1 d e carbo- nique auBoi"in’~e’t~)~t~mpcraturct.n!.iquc.2013t 1

Lorsqu’on transmet à l’acide carbonique enferme dans un piézo-

mètre de Cailletet les vibrations d’un diapason par lïIltprn1t’.dinire du mercure, les isotliermes sont lu~lili~’« : lu volume cruit avec la

fréquence de la vibration.

T.B YL( ~li. - The L’olnpal’i....on of sinall indlll 1 1!1’ ,.. , it hl~h fr,’quencies Comparaison de f«til>1>, indlll’B:U}C(’’’’. ~t fi>cjii 11~, , 1,*vt,(-s . - p, ~13-280.

Emploi d’une I11éthode de résonance qui permet en nu’ [n- temps

de déterminer la période. Des inductances voisines de 10 -7 sont mesurées avec une erreur relative voisine de 6 0, 0.

III~.l’I~. - 81>iiie j>li , ,1.;il PI"I" l’tles of current bearint; tll:lttf’l’

(Propriétés de la matlc:re ll’aB ers,’l’ l’nI’ un (’()tIrant, - p, ~(’)t-:!~:!.

Un courant de 1.000 ampères par centillll’tI’11 wchrt~ Il’a1tt’re pas de 2 millièmes de sa valeur le coefficient 1°>1;1,t 1> 1 1 . dn enivre.

U11 courant de 2.~(W)anipet’cs l~~lr‘ m’rltirl’tlv’ carré ne produit

pas une variation de 2° dans la ten1pératul’tl de fu",i{lll 1> l’l’tain.

GHA r, - .1n autOl1lalÏc COlllllll1tatol’ allt! ~ahanClI1J(’tf)r 1,,j~ fnr 11I{’a’Bll’in~

perïudicall~· recul’rillg pl1CIlOIllf’llil 11.,iiiiiiiitiil>iii’- inl,ri>iijiieui aut>iiiiilijiie pour courants intehrmy~tl~’. - 1, 4"3-4t>1

B rH 1 TI:. - ...;. e n s i t i B’ e 1111) B" i Il

( G al B" 8. nUI n è t r e sensible à bobine nx’t’tk- 2013i’..".-"J.

1~~tBl111’ tllt"oriqll’B d(’~ c’c)rll~ltl011~ d,’ f’lllt’titllllll’l1lt’ld d,.:-; galvano-

mètres du type a’.~r5ulmt~l. C~urulifi~~rm ~i’~~tal~lm~t~rtl~~rlt d’un gal-

vanomètre simple et robuste ii,,iiii tlllt1 ""l’fl:-..ilJiIJtll >li,.tive de 560 mégohms pour arm résistanl’I’ 1~~ Itlll I,I!III"" et III}B’ j>>i~i«1, 1>

1,3 seconde. L’emploi d’un miroir ~’ par-, il>iil ll’~ m~ruitu~rl~ d éta- blissement sont t i n d i q U llt ’ ", ,¡ { , ( . l’ ( t il ~ l’ t t 1 }t l , ’ III t’ (l la sensibilité.

Un pri-’:fn¡’ ’t l’t’t~c’B1c)Il tcatal~’ pt’l’llll.t dl’ 1>iil>1>r la dt.tlt’xit’Il Itori- Z 0 n t ale l’ Il l’ minant t Il ’ .... j L ’ 1 1 1 l" l ’ Illt ’ Il t..., B" t ’ r t Il ïJ U x. Elit i Il, aru’ ~.’xcc~l- lente stabilité peut être 1’.ii1> d’llllLl ~rl~f~~~I~~lmr1 a t1"tteur.

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t-t tK’BBE. 2013 Test of t1e liquid air plant at Wesleyan L’niveraity (Installation pour la liquéfaction tle l’air‘. - P. 33U-343.

Liquéfacteur du type Hampson ; production moyenne d’air liquide :

439 centimètres cubes par cheval-heure.

1,’ ~Y - An automatic putential re~utator (né~lllatl’l1r Hllt011latique de poientiel . - t’. 3~-3~6.

Deux plateaux, dont un muni de pointes, sont reliés aux deux pôles d’une macliine statique ; leur distance est réglée par les actions

antagonistes d’un ressort et de l’attraction électrostatique. Ce dispo-

sitif donne de très bons résultats pour des potentiels de l’ordre de 5.00() volts.

CHAY. - On the production of ozone in the Siemens ~enerator : -. and on an impr"ved ccnstructh’n of this apparatus ’Modification du générateur d’ozone

de Siemens P. 3 i i-3Eis.

I.es conditions favorables à un bon rendement sont: un bon isole- ment, - l’emploi d’oxygène sec, - l’emploi de décharges aussi brusques que possible.

, (~()()DBYI:-B et 1l.i~l~IVI.I,. - Tlie electrical rontlu(’tivily of vern, dilue hydro-

clloric and nitru (I(’1d solutions Conductibilité de solutions étendues d’acides

ddoJ’]¡ydrique et azotique). - P. 369-386.

t

Les valeurs obtenues pour la conductibilité sont inférieures de 1 0,~0 à celles données par hollrauscll.

BRADU 1" t HALE. 2013 The distribution of température in an air liyuefinr of thé sin;.:k-l’ir"l1it type .Distribution des températures dans un liquefach-nr d’air Hamp-on . 2013 1>. :~-3n.’,.

Les variations de température sont extrêmement rapides de part

et d’autre du robinet de détente.

1BICIIOLLS et MEHUITT. 2013 ~tl1dies of 11111111ll"Cl’llce

(Etudes sur la lun~inescence~. - Il. 396-l2t.

Les auteurs soumettent à une étude quantitative le phénomène

(5)

613 découvert par Burke (influence de la fluorescence sur le pouvoi r

absorbant .

Le pouvoir absorbant éveillé par la ihiure~cence ne croit pas pr>-

portionnellement à cette dernière, mais tend vers L113 maximum.

De plus, l’effet est variable avec la longueur d’onde, avec uii maxi-

mum au voisinage de 5~0 ~.~. pour les substances étudiées.

La tluorescence parait due il une modification du corps Huores- cent éveillée par la radiation active et qui disparait ~lo~lltacunl~.~nt ;

ce qui tend à le prouver, c’est que la conduclibililt’ rh-ctrique d’une

solution fluorescente s’accroît quand on 1 illumine; laccru)~’ n~’nt de conductibilité a atteint 1,1 % pour les solutions alc’n’tiquas

d’éosine.

L’effet commence et cesse en même temps que la fluorescence; il

est de même sens que celui qui correspumirait à une élévation de température, et ne se manifeste pas avec les substances dépourvues

de fluorescence.

V’AID~TEIt et lU liil,1;8. -- Hndiatlon pyrHm-trB-

(Nlesure rle~ hautes températures puur I~=. i~;t1 1,ti>ii, , - 1) ’1:2~-i’>1,

Les lois de Stefan et de iilien et les pyromètres f>ii1>, ...,B11’ l’ap- plication de ces lois f p~~romètres Ilolborn, ~’~’anner, Féry, Le Chàtelier) donnent des résultats concordants ~~llWlll~~llll pIn.:; hantes températures, et peuvent, par suite, demni’ 1IIIe t,>li>11> th’rm"

métrique.

MAHTMAN. 2013 A lillutatioli 111 thé tise of tl1,’ Wann. PYI’(’ll1t.tt’"

(LiulÎtalioll ;’1 l’elllploi du -le~ BB’illlllt1r - P. ¡’,,! 1,".

L’instrument donne de bons résultats 1>1,jii’ "n af miie la i,adi~itioi) de larges surfaces, mais de mauvais lorsqu’on 1’ij>j>lijii. ii titi til fin incandescent; l’erreur, qui peut alors atteindre a11 0, 0, est attribuée à un effet de diffraction.

il, B l ,1 } ’B. - Th’’ t’ ’Ill 11 i 11 IÏ U 1 J l’of, -fi" >. if n v 1 P (1 r ; 1 a ortrvf~~1 ~arf~ce J"’fI"lfill .l,’ i ¡¡It’UI wu !lt’ ¡’tl"1 1’11B11111 - 1>, t ’Í,

Dans un vase en verre contenant (h 1 eau et sa vapeur, sont fixt,~s ver-

ticalement trois tubes capillaic~t~, ~1~. 1 II! ,~)s 1> diamètre, fermera leur

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614

bout inférieur et contenant de l’eau à des niveaux variables : le tout

est mis à l’abri des variations de température. Si la théorie de lord Kelvin est exacte, les niveaux dans ces trois tubes doivent varier

jmqn’à la valeur qu’ils atteindraient si les tubes étaient ouverts à 1 extrémité qui plonge dans le liquide du vase. De fait, les variations du niveau, suivies au cathétomètre, sont bien dans le sens prévu par la théorie ; mais leur lenteur est extrême : la vitesse la plus g rande

observée a été de 4 centimètres dans une année. Il semble, d’après cela, que dans un nuage les grosses gouttes se forment, non par

évaporation, mais par réunion des petites gouttes.

It _1 B t~_~ f,I,. - On trie coefficient of expansion of quartz

~

(Coefticient de dilatation du quartz). - P. 10-37.

La méthode employée est celle de Fizeau et de Benoît. Les expé- riences, peu nombreuses au-dessous de 100°, ont été poussées jusqu’à 500°. Entre 01 et 1001, elles sont en complet accord avec les .

formules données par Benoît et par Scheel. Vers 4801, elles mani- festent un accroissement rapide du coefficient de dilatation, en

accord avec la modification indiquée par Mallard et Le Clxàtelier, et qui se produit d’une façon continue entre 400 et 6001.

AYRES. 2013 Coefficients of linear expansion at low températures (Coefficients de dilatation aux basses températures). - P. 38-51.

Étude des dilatations de fils d’aluminiulll et d’argent entre 0

et - 1850.

SI1EA!0152H. 2013 Note of coefficients of expansion at low température (Coefficients de dilatation à basse température). --- P. ~i-u3.

J:LBlL:’-i. - Electric double refraction in carbon disulphide at low potentials t Phénomène de Kerr dans le sulfure de carbone pour de faibles différences de

potentiel). - P. 54-61.

La biréfringence produite par un champ électrique est proportion-

nelle au carré du champ. Cette loi est en défaut, d’après l’auteur,

pour les différences de potentiel inférieures à 200 volts par milli- mètre. La biréfringence est alors proportionnelle à une puissance

du champ inférieure au carré.

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615

TRI>Xi"lifilJ>,11. - in thp dlfferentiaI trRn"rormer Sur le -litrut-enti~-1 - I’. ~5-76.

Il s’agit de l’appareil réalisé par 1 f,} t’t par DuaiiL> et 1.orj. sous la

forme d’un téléphone sur la bobine duquel sont enroltlt’,,,,, 1., tils

identiqmes ; deux courants alternatifs identiques env’~~ 1 ~ T~. t’~~s

deux enroulements s’équilibrent exactement. rllall- ,lH1ne résonne si on produit entre ces couiants une différence ti ~I~t~-~t.ak’ 1 111

de pliase. L’appareil est approprié à la comparaison des indul tances

avec une sensibilité de .. ~ L’auteur étudie les conditions de

.>

fonctionnement de cet instrument.

FE~.BEH et H1TCIl’IYEIL - TI1P heat of B’npnrization of liquit1 ail’

jclialeiir dl’ v~lu~t‘is~ttioll ~le l’air Iltillidl’ , - p, 11-8..

La chaleur de vaporisation est de 61 t calories par gramme pour

l’oxygène et de 4f),2 calories pour l’azote ; mais le mélange des deux liquides n’a pas la claleur de vaporisatiorl qu’m pourrait déduire de

sa composition centésimale.

RAND.BLL, - Tlie K->~-fti>1.iit nf or nidd’I :d if-. Îriti~’:d tf’lllpI’1’1t1ll’f’

(Coefficient de tlilW;itlotl du lllCkel a 5a tmulm·IFitnrt’ t’lltyul~’ . -- P. ~ t-h".

Harrison avait signalé une dilatation anormale du nickel en fils,

entre 365 et 3701. En opérant par la métlode de Fizeau sur un

cylindre de nickel pur, l’auteur n’a constaté aucune trace de cette

anomalie. 1

IIÈBB. - Tlie volocity of soullll 1 La vitesse du son). - P.88-99.

La méthode emplov 1"C, ~llg~B’l" t’ par Michels"l1, 1‘tii~osc sur l’em-

ploi de deux paraboloïdes coaxiaux. Une source sonoi ’’ >,t placée au foyer de l’un d’eux, en même temps qu’un promu r téléphone; un

second téléphone, placé sur le même circuit que 1> premier, est placé

au foyer dl second para b B .] 1 l " d , ’ F [1 d,’ 1.] a B . d 1 ¡f ,t’ dl’ Il ’B i, ’ Il l t . par a b 0-

loïde dans la direction de son axe, on observe une série de maxima et de minima alternatifs dans le courant téléphonique, qui per- mettent de déterminer la longueur d’onde.

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616

La moyenne des déterminations a donné, pour la vitesse du son

ramenée à zéro, 331’~,8, à un millième près.

CIIILD. - The arc in a Inagnetic field

~1.’arc dans un champ magnétique,. - P. lui)- 112.

La différence de potentiel entre deux points situés de part et

d’autre de l’arc se modifie quand on produit un champ magnétique.

Cet effets diffère du phénomène de ilall ; il peut s’expliquer en admet-

tant que les ions positifs se meuvent plus vite que les négatifs.

BEHIJEX D.~N’IS. - Theory of the electruileless ring-discharge (Théorie lie la décharge annulaire sans électrodes,,. - Il. 129-1.’)0.

L’auteur, qui ne paraît pas avoir connaissance des travaux de I~1. Bouty, se propose, suivant sa propre expression, de déterminer l’intensité électrique minimum, en volts par centimètre, qui est

nécessaire pour déterminer la décharge annulaire sans électrodes

dans les gaz à différentes pressions. La décharge oscillante d’un condensateur traverse six tours de fil placés autour d’un ballon sphérique contenant le gaz étudié et y provoque 1"effluve.

Une théorie des phénomènes est développée d’après les idées de

’l’uxi’nsend.

TAYLOR. 2013 The comparison of inductances Nvitli great précision (Comparaison prccisc des inductances~. 2013 P. illi-159.

Étant donnés deux circuits de résistances J’ t et Î’2 parcourus par des courants alternatifs i, et il, on établit l’équilibre de ili~-1 et de i.~t-, 2 2 à l’aide d’un potentiomètre; on peut alors juger, n à l’aide d’un téléphone, de l’égalité de deux inductances introduites dans les deux circuits.

Nll,’ 1>I iNII iI,1.. - _>n tlie Jun>inous effi~ienc>. of tiie K-arl>on tilaiiiPnt :B11.B1)1::’B11 BLL. - On the luminous efflciency of - carton f11111l1pnt

!!e)t’)t’))tr!itiuniineuxduntaniciitdecarhoMR.2013P.ihttlG~.

Le rendement optique d’une lampe à incandescence serait O,():2t),

ce qui dunnurait 2.1JO° pour la température absolue du tilamcnt considère conime un corps noir; sa température enective doit être

plus basse, en raison de son émission sélective.

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617

1li:~c D!~~~’ELL. - Circular -lichroi!%m in natiii,al i-~-t.,ttor

{Dichroïsme en solutionns (louées du poiin-oir ru ta tflll’t’ n:¡ t 1I r. - 1 .

1/auteur reprend le travail de Nl. Cottnn en utilisant le pnlari-

seur elliptique à penombre de Brace, qui permet de clr3iv-lt~n une

différence d’absorption de 1 U. i UUU entre les deux circulaires. Ses

expériences ont porté sur le tartrate de potassium et de chrome, le

tartrate de cuivre, le tartrate de cobalt ammoniacal, le Il1rdate de cuivre, le tartrate de nickel.

EDDI’, - The eIectrlilllilL:’llf’tic tl1cllry nii1 tlie Yl’lucit,B" .,f li;,1>t

(Théorie électromagnétique (-t le la 1(JIIlIt’n’), - p, 9,~.i-_~1:~.

Les expériences de Brace, Morley et ~li1ls ont eu pour objectif de

constater par des mesures directes la variation de vitesse de la lumière dans le sulfure de carbone, quand on produit un clamp magnétique dans le sens de sa propagation ; elles ont 1>iiii1 illi

résultat négatif pour la lumière polarisée rectilignement : unis. pour des rayons polarisés circulairement, on a pu constater une différence d’une ou plusieurs longueurs d’onde entre les deux circulaires inverses.

Ce résultat est d’accord avec la théorie élémentaire de la proparia- tion d’un mouvement vibratoire, mais non avec celle de llaBB 1 llnd, qui i

attribue à 1"effet Ilall la rotation du plan de polarisation 1;iii, le liquide actif.

On peut encore aborder le même prolUème en adoptant 1’~ vu’s

de Lorcnz; si on suppose que les ions chargés ont un mouvi nx-nt t

orlital, le calcul montre que le clianip magnétique doit dill1iJIBl1 r-

la vitesse d’un rayon polarisé rectilignement; il doit l’a(r!"ttr’ . ;1B1

contraire, si les ions clargés ont un n10nvenlt>nt df) translation tc~,~rm-

versal au champ. L’expérience permettrait dune 1> d~~ci~lf’1‘ ntn’ h - deux hypotlèses, si la petitesse de l’effet ne le rendait pas in~ ’,~ 1 1 . par les moyens dont on dispose actuellement.

PjmC~. 2013 Experiiiients on résonance m BB 1! f>les! teiegi~aj>1>s cir.’Bllts

Résonance en télégraphie til - p, 22U-2~1.

Étude des conditions de résonance lorsqu’on fait varier la forme et la disposition des antennes d’émissiun et de r,«j>ti>11.

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618

COBLKXTZ. 2013 Water of constitution and of crystallization (Eau ~1~~ ~--n,titution et -1, cristallisation . - P. ù’,2-2’ ~.

Le spectre d’absorption de l’eau consiste en de larges bandes aux

environs de 1 , ti :J., 3 jx, 4,7 ;J. et 6Or ces bandes ne se retrouvent pas dans les micas, la hiotite, la brucite, qui renferment pourtant I120

dans leur constltlttlUil 5 elles figurent, au contraire, dans la "lH’ trie

d’absorption de la sélénite. L’étude spectrale fournit donc un nou- veau moyen de différencier l’eau de constitution et l’eau de cristalli- sation.

!~YBT~B. 2013 1ïlPrlHod~.n(unicnl potentials

1’.>[uiiliel l1;L’l’UleJ(l~ n,lllllllllL’, - P. 2~9-26’7.

Application du potentiel thermodynamique à .un fluide défini par

l’équation de Van der ~N’aals.

COLE. - T1e ttiain, of thermoelectric receivers for electr ic BY8.ves

(Noinbre de vibrations d’un récepteur therrnoélectrique d’ondes hertziennes)-

P. 2G8-2 i ~.

Quand un récepteur tliermoélectrique linéaire est accouplé à un

excitateur de 11ighi, les courbes d’interférence montrent la longueur

d’onde caractéristique du récepteur; cette longueur est 2,52 fois

celle du récepteur, ce qui est d’accord avec la tliéurie de Mac Donald,

tandis qu’ellc devrait être double dans les idées de Poincaré.

COBLENTZ. - Infra-red absorption spectra

(Spectres d’absorption dans l’infra-rouge’,. - P. 2 i3-~91 et p. 33 ï-3f>3.

Le spectre d’absorption, dans l’infra-rouge, de t:~5 composés organiques, a été étudié, jusqu’à 15 ;~., à l’aide d’un radiomctre et de deux spectroscopes à miroirs et à prisme de sel gemme. De cE~tte étude se dégagent les résultats suivants :

1° 1,e spectre d’absorption n’est pas le même pour les composés isotiïériques; il dépend donc de la structure de la molécule. Au con-

traire, les composés ste’wW oc~ui~lues, comme la dextro et la lévopinine,

ont le même spectre, ce qui montre que la configuration de la molé-

(11)

619

cule, c’est-à-dire 1 arrangement des atome5 dans l’espace, est sans

action ;

On n’a pas observé, comme le voudrait la 1 >1 d Kun ~ -

placement des maxima avec le pc

-

.’111a1I’E’, sauf avec le~ _dl pour la bande située entre 3,1 u. et

Les spectres ne sont pas modifias par une variation de tempé-

rature de ~U° ;

Certaines bandes, COI11111t1I1~~~ a de nombreux compotés, pa- raissent indiquer la présence de quelq Ill’ il ¡ I! (, Il III ’,’ dU commun a

ces eomposés ; c’est ce que résume le tableau suivant :

HULL. - The elimination of ~a~ action in e’qwriBlJ0nt-; on liulit prp"’’’’"J’e

(Elilnination de l’etl’r:t giié lfins les B’BP ’l’l"~lll’t’., la y’c.’S~l~~n ~i~ radJatltJl1 - P. 2!)?-?~l~J.

Si on emploie, pour recevoir la radiation, une lame de verre d’une

minceur extrême, ses deux faces s’écliatiffent également, et l’effet

gaz est négligeable.

P 1 IIII;""’():B,. - Tlie torque betWl’f’Il tilt’ tBB11 .«il, tif tlll al,,,.,IIII.’

ii~tiiioiiicter (Couple de torsion des 1>ubiiiL o 1111 "]eclrodBlIrlI11II¡¡,. B1’ -

I>. 300-31 t.

Calcul du couple de torsion ; application à 1°étal>lissenieiit duti

électrodynamomètre absolu.

rcnK 2013(~nth" >

(’jii~~’ite de Ja Sv .~=1

Mesure de la force électromotrice et de la rési~t~n~’t’ app 11’(’IltL’ a

00, 18* et 50°.

(12)

620

HARTMAX. 2013 TIe (’BInduction l""ses from carbon filaments when heated to incandescence in .1111 el’è fi t~ t... ¡’... He frl’ id issenlent par les gaz (les filaments de carbone incandescents . - Il. 312-33~.

Une lampe à incandescence est remplie successivement d’hydro- gène, d’azote, d oxyde de carbone, d’acide carbonique ; on mesure l’énergie consommée par cette lampe à différents régimes.

DE FOIIEST-Il.~1,NlElt. - An optical détermination of tlie zero point in the telescope-mirror-scale mpthod Détermination du zéro dans les mesures angu- laires par la méthode de 1>uggen1.>rf . - Il. :J33-:J36.

On utilise un second miroir placé sur l’échelle graduée.

CIIILD. - Tlie electric arc in a vacuum

(L’arc électrique dans le vide). - P. 364-318.

On prend les différences de potentiel entre les charbons -~-et - et

une électrode auxiliaire placée au centre de l’arc. Quand la pression

du gaz diminue de 200 millimètres à 0~m,09, la chute de potentiel

entre la cathode et l’électrode auxiliaire reste presqne invariable

(15~-13") ; mais celle qui existe entre l’anode et cette même électrode

baisse de 21i à 5 volts. Si l’arc jaillit entre des tiges de cuivre ou de fer, la chute de potentiel autour de l’anode ou de la cathode est

indépendante de la pression.

Dans une troisième série d’expériences, l’arc est produit entre

une anode en graphite et une catliode en métal fondu ; on constate

une relation entre la chute de potentiel à la cathode et la tempéra-

ture de fusion.

D’autres expériences, faites dans l’hydrogène à des pressions variables, donnent des résultats analogues, mais moins marqués.

SKINNEII. - ’rhe evolution of hy ~lro;en from the cathode aml its absorption by the anode in the gases (Emission cathodique et absorption anodtquc de l’hydrogène dans les gaz). - P. 1-15.

Les expériences de ce très intéressant mémoire sont faites à l’aide d’un tube contenant une anode unique et une catliode-revolver for-

(13)

621 mée de di~. métaux dinerents pouvant être S11L...t tli.-... 1’1111 .1 ’Idl’è. Le

courant électrique est fuurni par une bat uula-

teurs, et le tube est en relation avec une trompe et uni tube-eiectrode dont la catliode, formée d un alliages de sodium et de potassium.

peut absorler l’azote, l’oxygène et 1 1m-~II‘4 ~~r=1~~~. )11 opère soit ili- de

1’liélium pur, soit sur des mélanges d hélium et d hydrogène.

On constate d abord que tous les métaux, lorsqu’ils sont cathode, dégagent de ii l’exception lt> i,illi,l:~’~’ 1 ~ ( . d i 11111 - P ( ) ta"" .., i Il m

et du mercure distillé dans le vide. ~ldl"" l’anode al>s >i,1>,> 1>1.iit>t cet

hydrogène, de sorte qu’au bout de quelque temps ,’l’ gaI acquiert

une pression fixe.

Au début et tant que la cathode est assez riche en hydrogène, ce

gaz se dégage seul et dans lrr proportion ~.~or~lue t~~w 1(( Ilu ~~~~ h’nr-jr Iiyl,

et l’absorption par l’anode obéit a la même loi. PlI! "" tard c,au bout de 2 à 5 minutes avec un courant de 2 microamj> >1>, , 1’,>iiiissiun

d’hyarogène devient moindre que celle voulue parla 1 > 1 : c ,’...,l qu’alors

sans doute le métal de la cathode commence lui-même à être projeté.

Et bien qu’il existe une proportion considérable d’iuns positifs

libres en face de la cathode, ils ne déclrargent pas celle-ci tant

qu’elle fournit assez d hydrogène pour porter le courant électrique.

HUDSON. 2013 .%.ppli~,-ation of the hypnth..-..¡.... of tis;>1;,1 ne tu thé ireezinu of water an1 of dilue solution. L) jh ’ 1 unsillérée comue un c"rps dl"’’’’ "1’" ,

application à la congélation -le I fy m ..t les sululions étend Ble..; . - p, itJ-2ù

Rôntgen a émis 1 hypothèse que la glace possède une solubilité

définie dans l’eau, et aussi une concentration d’équilibre detime. 1"’S

deux quantités variant séparément avec la température. Cette hypo-

thèse entraîne comme conséquence que le point t de congélation de

l’eau pure est la température pour la(lulllle la solubilité est é~"ale à

la concentration d équilibre. On peut montrer, ~1~~ pla~. 1 III t’ 1 a con-

centratian de la glace est moindre dans mie ~ohition ’illt’ !ans l’eau pure, d’où il résulte que lessolutl0I1’· ont 11111’lllld ~lm l’llIl~t.LtlltJl1 plus bas que celui de 1’t~ati; on trouB iii,;1. dan- .>tt. lilB Ea~ ~t ~1~~~~~. la for-

I T~ a ~~~ .

1 ., l l

mule connue ~1 =

tUUU [’ ~ liiitiii, 1,1 t>iiij>ii.;itii1-> lii 1l1.tB.lIlJUIll

de densité doit être plus basse pour 1--, """lltll’}J1"" (pu p’au l’eau pure.

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