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Texte intégral

(1)

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----

4

(2)

TAli1H; TÉS,

SANS FEU NI LIEU.

Tout le monde à Paris se souvient en- coré du brillant mariage de M. André, l'un des plus riches banquiers de cette ca- pitale, avec Mite de V... fille unique de l'un des principaux seigneurs de la cotir;

mais tout le inonde n'a pas connu l'étrange et charmant épisode qui a marqué les fê- tes dont cet hi, men a été accompagné.

C'était le matin du mariage. Les équi- pages de M. André l'attendaient dans la cour de son hôtel , et lui-même attendait ses témoins dans un salon doré du haut en bas, lorsqu'un valet de chambre annonça les tailleurs (le monsieur.

Dix tailleurs entrèrent en effet portant chacun sous le bras un gros paquet, et ne

pouvant se regarder sans rire. Ces pa- quets contenaient 50 costumes de ramo- neurs savoyards ; tailles variées de huit à

quatorze ans , qu'ils déposèrent sur les brillants fauteuils du salon. M. André exa- mina en connaisseur cette collection de gi- lets, de vestes et de culottes de bure, se déclara satisfait et distribua deux mille francs aux tailleurs, qui se retirèrent avec un air stupéfait.

Après les tailleurs vinrent les chapeliers avec 50 bonnets, puis les chemisiers avec 50 chemises, puis les sabotiers avec 50 pai- res de sabots, puis enfin les luthiers avec

50 vielles. Tous s'en allèrent grandement payés, mais plus ébahis les tins que les autres, et se demandant si c'était une ga-

geure ou une mystification.

M. André lit alors venir tous ses gar- çons de bureau et leur dit : Vous allez vous répandre dans tous les quartiers de Paris, et vous inviterez à liner chez moi tous les

ramoneurs que vous rencontrerez. Vous hronieltrer un louis à tous ceux qui accep- teront, et quand vous en aurez50, vois les amènerez ici. Vous trouverez dans ma salle de bain tout ce qu'il faudra pour les débarbouiller des pieds à la tête. Cette opération finie, vous leur ferez prendre ces costumes, chacun suivant sa taille; puis ils

se mettront à table dans ce salon , tandis que nos autres convives dîneront dans la

salle contiguë.

Les garçons de bureau restèrent aba- sourdis, se firent répéter l'ordre pour s'as- surer que ce n'était pas un rève, et s'en allèrent l'exécuter sans y rien comprendre.

C'était une des matinées les plus rudes de l'hiver. La gelée avait succédé à la neige,

un pâle soleil éclairait le verglas sans le dissoudre ; il faisait un temps à mettre le feu à toutes les cheminées, en un mot un vrai temps de ramoneurs. Les messagers n'eurent pas de peine à trouver nos Sa- voyards criant à tue, tête

Haut en bas! haut en bas!

Ramonez-ci, ramonez-Ih

La cheminée du haut en bas!

D'autres chantaient sur les toits les chansons (le leur pays. D'autres balayaient la neige en criant au moindre passant : Un petit sou, mon colonel, mon général, mon prince, mon empereur ! etc. , jusqu'à ce que le petit sou les fit taire ; car nul ne tonnait et n'exerce mieux que le Savoyard

la puissance de l'importunité.

Figurez-vous donc la surprise de nos gamins, lorsqu'au lieu de leur donner un sou, on leur promit un louis à la seule con- dition de venir faire un dîner de noces !

La bonne nouvelle vola de cheminée en cheminée comme une dépêche télégraphi- que; en moins de deux heures on eût à . peine rencontré un Savoyard dans les rues;

toutes les cheminées qui comptaient sur

eux ce jour-là. furent menacées d'incendie.

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N'ayant que l'embarras du choix, les émis- tour d'une table couverte des mets les plus g

saines du banquier prirent bravement les exquis, et avaient parfaitement oublié l'ap- plus noirs, les plus sales et les plus dé- parition des ramoneurs. Tout-à-coup les guenillés , et quand ils firent lent- entrée deux battants d'une grande porte s'écar- dans le brillant hôtel de M. André, on eût Lent ; le salon s'ouvre, illuminé comme la dit le palais de Jupiter envahi par les for- salle, garni comme elle d'un banquet spleu-

gerons (le Vulcain. Le contraste fut d'au- Bide, et comme elle rempli d'une foule de tant plus frappant que nos mirmidons se joyeux convives.... On eût dit une déco- rencontrèrent avec la file d'équipages qui ration de théàtre ou le coup de baguette

ramenaient le cortége nuptial du Luxera- d'une fée.

bourg. D'un côté les livrées d'or et d'ar- A la vue de cette double noce tout le gent, les habits de soie et de velours, les monde poussa un cri de surprise, excepté dentelles et les bijoux, les dandys les plus M. André et sa femme, qui échangèrent élégants et les plus jolies femmes de l'a- un sourire d'intelligence. Mais il fallut ris; de l'autre les visages noircis de suie bientôt en croire ses yeux en même temps et de fumée, les cheveux en broussailles, que ses oreilles, et reconnaître les affreux les haillons sur des corps demi-nus. petits Savoyards changés en marmots les

Pendant que les brillants convives dé- plus jolis du monde, tous en veste neuve, tournaient les yeux de cet

. étrange specta- en sabots neufs, en bonnets neufs, tous dan- cle, en se demandant ce qu'il signifiait, saut et chantant au son de leurs vielles

M. André fixa sur les Savoyards un long neuves, et s'apprêtant ainsi à manger dans regard mélancolique et sembla se dire à l'argent et à boire dans le cristal. C'était lui-même : Le bonheur est-il ici, ou bien comme une vision de la Savoye, telle que est-il là ?... Il est ici , murmurèrent ses la représentent les poëtes et les peintres ; lèvres en se posant sur la main de sa char- il n'y manquait que les cabanes fumantes mante épouse; et il l'introduisit dans son et les monts couronnés de neige. D'une palais comme une reine , non sans faire main Al. André serra celle de sa femme, signe à ses gens d'avoir soin des ramoneurs. et de l'autre il cacha ses yeux pleins de

Une heure après un ruisseau noir coin- larmes.

me de l'encre traversait la cour de l'hôtel n Mes amis, di-il à ses riches invités, pour se perdre dans l'égoût de la rue. pardonnez-moi cette- fantaisie. Me trou- C'était le savonnage des 50 Savoyards, qui vaut aujourd'hui le plus heureux des hont- sortaient au même instant du bain, d'au- mes, j'ai voulu faire partager mati bou- tant plus blonds et plus blancs qu'ils avaient heur aux plus malheureux..,

fait littéralement peau neuve, et que celle- Cette noble explication fut applaudie ci voyait pour la première Pois l'air et le par tous; mais ou soupçonna qu'elle ne soleil. On eût dit une troupe d'affreux soulevait qu'un coin du voile, et, en al. - démons convertis en Chérubins, ou en tendant le dénouement de la scène, petits

Amours. et grands dînèrent à qui mieux mieux.

Cependant l'heure du festin était venue. Les petits surtout se dédommagèrent en Mille feux jaillissant de l'or et du bronze une heure de tous les jours de jeûne qui éclairaient l'hôtel. Après avoir traversé les avaient déjà marqué leur courte vie. Les appartements des époux, enrichis de tout viandes succulentes, les fins gibiers, les ce que peut rêver le goût d'un millionnai- ragoûts exquis , les fruits exotiques et

re, les convives venaient (le se r: uýgrr au- utèume les vins de tous les crus trouvèrent

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ir qui parler. Surveillés toutefois par les 4-

valets, pas un n'abusa de l'abondance, et tous avaient à peu près leur raison, quand

M. André se leva au milieu du plus pro- fond silence.

« Eh bien, mes enfants, demanda t -il aux ramoneurs, ai je atteint mou but? êtes- vous heureux :'

Les enfants répondirent par des trépi- gnements et des cris de joie qui ne pou- vaient laisser aucun doute. - Nous nous

sommes amusés pour toute notre vie », s'écria l'un des plus grands, qui ne croyait

pas dire une chose aussi triste. -« Nol, pas pour toute votre vie , reprit le ban- quier; car vous pouvez aussi être heureux par vous-mêmes , et faire à votre tour le bonheur des autres, si le bonheur est dans la richesse. Je vais vous le prouver en

vous contant une histoire qui vous appren- dra comment les ramoneurs deviennent

millionnaires. »

A ce mot électrique les cent petites oreil- les se dressèrent comme celles des jeunes chevaux prêts à courir au combat.

« Oui, mes amis ! poursuivit M. André, il ne tient qu'à vous d'avoir aussi un grand hôtel, des salons dorés, de fringants équi- pages, et de (liner chaque jour comme vous venez de le faire. Ecoutez l'histoire d'un Savoyard que j'ai connu plus misé-

rable que vous tous. Cette leçon vaut bien tin gala de noces.

« C'était donc un petit ramoneur de vo- tre âge. On-le nommait Sans-`eu-ni-lieu,

parce qu'il n'avait plus de père, plus de mère, plus d'asile. Les gens de son vil- lage lui donnèrent une raclette et des ge- nouillères , une cage et un épervier, lui mirent un pain sous le bras et un bâton à la main, lui montrèrent la France à l'ho- rison et lui dirent : Marche à la grâce de

Dieu. Sans feu ni lieu partit assez content, perdit de vue son clocher, ménagea son pain, le partagea avec son oiseau ; mais

en trouva bientôt la lin. Il vécut alors (le village en village, chantant pour un sou, dansant pour deux, ramonant une chemi- née pour un peu de soupe, et couchant avec les vaches , ou à la belle étoile. Il avait fait ainsi plus de cent lieues, quand il fut surpris par la neige an milieu d'une grande forêt. Il eut beau marcher, mar- cher tant qu'il ent des jambes , il ne put arriver aux habitations. La neige s'amon- cela devant lui ; la faim se joignit à la Fa-

tigue ; il n'avait mangé depuis trois jours que quelques racines. Bref, il se crut aban- donné de Dieu

, il posa son émouchet à terre, se laissa tomber au pied d'un arbre, cacha ses mains glacées dans sa poitrine et s'évanouit d'inanition. C'en était fait de Sans feu ui lieu. La neige tombait toujours et commençait à l'ensevelir , lorsqu'une douleur aiguë le réveille un instant. C'é-

tait sou épervier qui le mordait à l'oreille.

Il croit que son oiseau veut le manger, et cette terreur le ranime ; niais quelle est sa surprise en voyant suspendu au bec de l'animal un quartier de lièvre rôti, tout

fumant et tout doré' L'émouchet allamé, sorti de sa cage , avait été le dérober au

festin de quelque charbonnier. Vous jugez du régal de l'enfant et de l'oiseau. Sans-

feu-ni-lieu vit qu'il ne fallait jamais déses- pérer de la Providence; il la remercia à deux genoux, jura de s'aider comme Dieu

l'aidait, et d'arriver à tout par la patience.

Il arriva d'abord à la ville voisine, où il travailla si bien qu'il gagna une vielle.

Avec cette vielle il gagna un habit neuf et entra joyeusement à Lyon. Il y trouva un maître qui ne l'écorcha pas trop. 1l mit de côté vingt francs, avec lesquels il apprit à lire ,à écrire et à compter. Or

un jour qu'il ramonait chez un bourgeois, il voit un garçon de seize ans pleurant à chaudes larmes, parce qu'il ne pouvait faire

un calcul que lui avait demandé son père.

Le ramoneur laisse-là la raclette, fait le

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çalcal en cinq minutes et va chanter sur le toit. Mais en descendant il trouve le bourgeois qui avait tout découvert. Celui- ci le regarde des pieds à la tète et lui de-

mande: Combien gagnes-tu par mois'--

De dix à trente francs , sans compter la vielle. - Eh bien ! tu gagneras cent francs, si tu veux travailler chez moi. Le lende-

main Sans-feu-ni-lieu avait un bel habit et une jolie chambre ; il entrait chez le bour- geois, 'qui était un grand mécanicien.

Quand il eut dix huit ans, ses appointemens furent doublés. Bientôt il perfectionna une machine inventée par son maître, et celui- ci lui fit cadeau du brevet d'invention, qui

lui rapporta cinquante mille francs. Puis, à la mort du père, il s'associa au fils, et tous deux réalisèrent cent mille écus. Vous enviez déjà le ramoneur, mes amis! Eh

bien ! la faillite d'un confrère le ruina , et il se retrouva encore sans feu ni lien.

Savez-vous ce qu'il lit alors ? Il remonta à la source de sa fortune, il devint sans

rougir ouvrier mécanicien , et si boa ou- vrier qu'il redevint maître, et qu'au lien de cinq cent mille francs il gagna un million.

C'est avec cette somme qu'il viol à Paris.

Aujourd'hui il a décuplé sou trillion, il est un des premiers banquiers de Paris ;

mais il n'a oublié ni sou origine , ni ses malheurs.... et la preuve , mes enfants ! c'est qu'il vous a invités à sa noce pour

vous raconter son histoire; car Sans-feu- ni-lieu s'appelle aujourd'hui M. André; il vient de mettre le comble à son bonheur en épousant la fille du Marquis de V. ,-

Et je m'associe au sentiment qui l'a en- gagé à vous réunir ici, ,ýs écria noblement son épouse en lui tendant ses deux mains.

Cette confidence publique , (lui n'était point nouvelle pour l'épouse et pour les intimes de NI. André, avait été faite par lui avec tant de dignité et de bon goût que ses plus fiers convives se glorifièrent d'em-

brasser l'ancien ramoneur, et que la voix

des Pairs de France se confondit dans une même et commune acclamation avec celle des Savoyards.

" Et maintenant, ºnes amis! reprit le banquier, il faut que je vous montre, avant de vous congédier, les instruments de ma fortune; vous jugerez par vos yeux qu'ils sont à la portée de chacun de vous. Tout le ºnonde le suivit dans son cabinet. Il ouvrit son coffre-fort de bronze, divisé en deux compartiments. Voici mes mil- lions, dit-il, et voilà ce qui les a produits.

--On vit dans le haut trente portefeuilles gonflés de billets (le banque,. et dans le bas un pauvre costume de ramoneur, un émouchet empaillé , une vielle et des sa- bots, puis des outils de mécanique, des limes, des marteaux, des compas et des instruments de précision , tous rangés et entretenus par M. André lui - viême. -

« Joignez à cela, dit-il, deux autres outils

admirables, la PERSÉVÉRANCE et l'ÉCONOaMIE, et vous élèverez comme moi votre fortu-

ne, dont voici la première pierre.. - En même temps il remit à chaque enfant un louis et nu livret de cinq cents francs sur la caisse d'épargne : et après une nouvelle exécution des danses de leur pays, nos cinquante Savoyards se retirèrent en

criant : Vive M. André !

Depuis ce jour tous se . sont montrés di- gnes de leur bonne fortune. Les uns font un commerce, les autres ont un état, plu- sieurs enfin sont entrés garçons de bureau chez le banquier , pour y apprendre de

plus près comment les ramoneurs devien- nent millionnaires.

Singulier calcul.

On sait assez que, pour des particu- liers, la passion du jeu n'est que trop souvent une source de ruine ; mais pour

un pays, pour une ville , pour une loca-

lité quelconque , le jeu est-il également

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d

nuisible et dommageable'-' Peut-il et doit- il être envisagé comme un mal public s

Non assurément, réponde a t-on, ar- gent perdu au jeu est sans doute une

perte réelle pour le particulier ; mais il ne peut être une perte pour le public ; ce que l'un a perdu , l'autre l'a gagné ; en- sorte que la somme , fût-elle énorme , la ville , le village , le pays où elle a été jouée

, n'en seront ni plus ni moins riches qu'auparavant. »

Je comprends qu'il n'en est pas des va- leurs perdues au jeu comme de celles que

l'inondation engloutit ou (lue l'incendie consume; il ne semble point que la somme

de la richesse nationale puisse en être di- minuée. Mais en réalité? _ est-il exacte-

ment et rigoureusement vrai que la so- ciété n'y ait rien perdu ? et que la perte essayée au jeu par le particulier soit plei- nement compensée par le gain de son ad-

versaire ?

Bien des gens le nient formellement , et fondent leur opinion sur ce calcul ci.

lis conviennent bien que l'argent perdu dans une partie de jeu n'a fait que changer de maitre, que passer d'une main dans une autre ; mais ils soutiennent que , même dans ce cas là , le gagnant aura moins gagné que le perdant n'aura perdu.

Supposons, disent-ils, deux joueurs possédant chacun 100 louis d'or, et que l'un d'eux en perde 50. L'argent n'a pas été diminué

, sans doute

, puisque 150 et 50 reviennent toujours à 200. - Mais le perdant , arrivé avec 100 louis d'or

, et s'en retournant avec 50, a perdu la moitié de son avoir. Et le gagnant! a-t il doublé

le sien ?.. Point du tout, il ne l'a augmenté que d'un tiers; de 100 il l'a porté à 150 - ensorte que tout bien considéré, il a moins gagné que l'autre n'a perdu.

Ce calcul , lecteur

, pourra vous parai- tre, au moins, bien singulier, bien bi- zarre; cependant il s'appuyc sur une cou-

sidération qui , pour être morale et non matérielle

, n'en a pas moins sa réalité ; - considération

, que je vous engage à ne pas repousser sans un mûr examen ; c'est que « la même somme d'argent procure

» beaucoup moins de satisfaction à celui n qui l'a gagnée au jeu , que de chagrin

à celui qui l'a perdue. D'où je tire pour conclusion , que le jeu amènera ton - jours dans toute société , une diminution

de contentement, c'est-à-dire, de bon- heur.

Réconciliuliont irnPi évase.

Deux anglais, le sergent John et le soldat Valentin , servaient dans la mème compagnie ; et l'on aurait cherché en vain dans le régiment, peut - être même dans

toute l'armée, deux ennemis aussi implaca- bles, qui se détestassent aussi cordialement.

Le sergent avait de fréquentes occasions de vexer et de tourmenter le simple sol-

dat, et l'on peut lui rendre le témoignage qu'il n'en négligeait aucune; le pauvre Va- lentin supportait tout, sans pouvoir ren- dre à son supérieur le mal pour le mal ; mais on l'entendait souvent répéter que si le jour de la vengeance pouvait jamais arriver pour lui, ce serait le plus beau jour de sa vie.

Cependant une guerre éclate , le régi- ment est envoyé en Flandres, et employé au siége d'une ville occupée par les Fran- çais. Certain jour , une division dont ce régiment faisait partie , fut commandée

pour un assaut ; et elle n'était déjà plus loin des remparts, lorsque les Français pré- vinrent l'attaque, par une sortie si vigou- reuse

, que les Anglais furent forcés de plier, et de se retirer en désordre. Le sergent John renversé par une grave bles- sure à la jambe , et voyant arriver sur

lui de la cavalerie , jette de tous les côtés

des regards effrayés ; niais entre tous les

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T

fuyards qui passent à sa portée , il n'en reconnaît qu'un seul.... et c'est son en- nemi !« Valentin! s'écrie-t il d'une voix désespérée

,, me laisseras-tu 'écraser sous les pieds des chevaux ?

Le soldat se retourne... impossible à lui de résister à cet appel; il accourt , charge John sur ses épaules, le dérobe à la cavalerie qui arrivait sur lui , et au mo-

ment où il le déposait en lieu sùr; il tombe lui-même frappé par un boulet.

Que dut maintenant éprouver le ser- gent John ? Couché sur le cadavre de l'en- nemi cent fois outragé qui venait de se sacrifier pour lui sauver la vie... rien ne

put l'en détacher. 11 meurt de regret et de douleur, au bout de deux jours, serrant encore dans ses bras le corps du généreux Valentin.

-Oh ! pourquoi ces deux coeurs d'hommes ne s'étaient-ils pas reconnus, appréciés, réconciliés quelques années plus

tôt!

Le Comnzunisnze.

Mais qu'est-ce donc que ce commu- nisme dont on parle tant aujourd'hui, et

toi-même qu'entends tu par là ?» Cette question s'adressait à un brave ouvrier qui se trouvant dans un cabaret, (par hasard, sans doute

, et contre son ordinaire) , cherchait à prémunir ses camarades con- tre le poison des doctrines du jour. Le bon homme n'avait pas étudié la philoso-

phie , et ne s'était jamais beaucoup exercé dans l'art de définir. - Aussi cette inter- pellation parut-elle d'abord l'embarrasser;

il se tait, réfléchit un instant, puis s'écrie:

R Je vais vous le montrer.

Là-dessus, il ôte sa blouse , l'étend sur une table

, demande des ciseaux, et vous la dépèce en quinze ou vingt morceaux qu'il distribue aux assistans. Comprenez-

» vous? b ajoute-t-il ,. quelque vieille et P usée que fût ma blouse , elle m'était en-

core utile , elle me rendait à peu près les mêmes services qu'une neuve et me valait encore quelques francs. Que vaut maintenant pour chacun de vous la

» pièce dont je l'ai gratifié ? Assurément , pas deux liards. »

Eh bien ! nies amis , voilà l'oeuvre du

» communisme ! Il veut enlever an parti.

. culier un bien qui lui était utile ,à lui et à ses voisins , parce qu'il était entier et formait un tout, puis il le divise

pour en gratifier le public, en morceaux qui n'ont plus aucune valeur.

Anecdote.

Un peintre avait été chargé par un ri-

che amateur de lui faire un tableau re- présentant deux plaideurs dont le procès vient d'être jugé. L'artiste qui savait par expérience ce que valent et ce que coû-

tent les procès , et qui d'ailleurs avait une tournure d'esprit assez originale , s'a- visa de représenter l'un des plaideurs en chemise et l'autre entièrement nu. -

Que veut donc dire cela P» demande l'amateur.

-« Eh Monsieur ! comment ne le devinez-vous pasP Le plaideur

il que j'ai représenté tout nu, est celui qui

»a perdu sa cause, et qui ne possède

» plus rien , comme vous voyez. - Quant

»à l'autre à qui l'on a donné gain de cause, P il n'est pas aussi é plaindre ; il lui reste

» encore une chemise..

Agriculture.

Application de la cendre de

tourbe aux prairies.

Je m'entretenais un jour avec un riche bernois , qui , de simple tisserand devenu marchand de toile très-accrédité,

fréquente depuis long-temps les foires de

Neuchâtel pour y vendre ses marchan-

(8)

R

dises, et s'est acquis dans son canton un domaine qu'il accroit chaque année.

Notre conversation tomba sur l'aricnl-

ture, et il me raconta comment il faisait valoir ses terres. D'après les conseils d'un riche propriétaire qu'il connaissait, il fit usage dans ses prés naturels et artificiels

de la cendre de tourbe , et il obtint pour résultat des récoltes en foin doubles et tri-

ples de celles qu'il faisait auparavant dans -les mêmes terres. Encouragé par cet

exemple j'en voulus faire l'essai , et le moyen m'a si bien réussi que je ne puis que le conseiller à mon tour à nos cultiva-

teurs

, qui ne savent que faire de leur cen- dre et la jettent pour s'en débarrasser sur leur fumier ou dans leur rahlon. Voici la manière (le s'en servir. A la lin de l'hi- ver, lorsque la dernière neige couvre en- core la terre d'une couche légère , on sème sur les prés la cendre (le tourbe comme le gypse ; la neige en se fondant la

fuit pénétrer jusqu'à la racine des plantes, et en développe la végétation à tel point qu'elles poussent beaucoup plus de tiges , et que chacune d'elles s'élève beaucoup

plus haut, d'où il résulte que la récolte en est considérablement augmentée , et que cet accroissement se perpétue pendant

plusieurs années. Je lis ºuon I, re; nier es- sai sur une pièce de cin: l quart;; de pose,, ensemencés depuis trois ans d'une espar-

cette qui m'avait mal réussi , ensuite que j'en avais à peine retire deux chars a un

cheval de foin et nu demi char de regain;

or je puis affirmer que pendant les trois ou quatre ans qui suivirent l'emploi de la cendre de tourbe, j'ai recueilli sur la même pièce chaque année au moins quatre chars de foin et un de regain , quoique je n'y en aie semé qu'une seule fois, et que mon esparcette s'est maintenue plusieurs années au delà de sa durée ordinaire. Cet essai m'ayant si bien réussi j'appliquai la cendre de tourbe à la plupart de mes au-

tres prés; et leur reniement a été si con sidérable que j'en ai obtenu en moyenne jusqu'à six et sept toises de foin et regain par an à la ýose , de telle sorte qu'en dou.

blant mon bétail j'ai pu vendre du foin an lieu d'en acheter. Cependant je dois le dire

, la cendre de tourbe ne produit pas les tnémes effets sur toutes les terres ; il en est, surtout dans les parties basses du

vignoble

, où elle est demeurée presque inutile. On pourrait craindre que la cen.

dre de tourbe n'épuisût la terre , en lui faisant pousser pi os de foin, et qu'elle n'ea devint moins propre à donner de riches moissons ; mais je puis assurer que le con- traire m'est arrivé

, et que depuis que j'en ai fait usage, les récoltes de mes champs

se sont accrues au point que durant trois années consécutives j'en ai retiré par pose de 52 à 55 émines de froncent

, 80 d'orge et plus de 9 00 d'avoine; bien est il vrai que mes fourages a", aut doublé j'ai eu du fumier en plus grande quantité pour en- graisser mes champs. Ces expériences, qui n'ont rien d'exagéré, doivent, ce semble, engager les agriculteurs à essayer si la cendre de tourbe convient à leurs prairies.

Cet essai leur coûtera bien peu , et , s'il réussit , sera d'autant plus utile qne: 'l'u.

sage de la tourbe tend a se généraliser chaque année davantage , ei que nul ne songe à tirer parti dc ses t'esidus.

UN L'ÇLIUCH. %TELO. S.

_ý: - -

(9)

CONTENANT

des Observations astronomiques sur chaque mois. Le cours du Soleil

et de la Lune. Les principales foires de la Suisse, d'Allemagne, de France, de Savoye, etc. Enfin, un recueil d'histoires et d'auecdo- tes accompannéei de planches. Pouï l'AN ný EiIiàCB ,

Par AN roi NE SOUCI , Astronome et Historiograhlie.

Couipril éclésiaslique.

Nombre d'or.

... q ('%c1c wýlaira, ' .. t2

Indicttoa romaina. q Lcttrn dominicale E.

L'epui, la création du monde ... 58oo p, ýl, ", lenouv. cal. 269

(? t' ýý'rAZ Tt; atr5.

Mars.

- tý Juin.

tý Soptcgnbre. 17 Ilé- ccmbre.

F. pactc.. ., ý1ý'III

Entra Noci 185o et le('urèîue 185t il ya

éi Scié i, iin, is ct 4 jours.

FF°rEs MoBmr.

s.

Septuagésime 16 Févr.

Mardi gras 4 Mais.

LQà Cendres 5 Mars.

Pâques

.. 90 Avril Les Rogations 25 Mai Ascension.

.. 29 Mai Pcntec6te.

.8 Juin La Trinité 15 Juin La Fête-Dieu i9 Juiu 1èi, ne fidéral 21 Sc p.

Premier Din: auche de i'aticnt 5o l'oaemb.

Entre la Pentecôte

l'avent 2*Dinianches

et

ý. 't't'` 11.1.1

(10)

7/5

1 Mors. 1 i llercre

'2 Jeudi

3 Vendre 4 Samedi

5 6 7 8 9 to

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1.

Lundi 11lardi Nlercre Jeudi

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12! ?'-'! ' 13 Lundi

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20 Lundi 21 Mardi 22 blcrcre

23 Jeudi

94 Yeudre ý5 Saýiýeýli

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2^7 Lnndi 28 Mardi 2c1 Mercre 3e) Jeudi Si Fendre

JANVIER. A, 1

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s Abel. 12

s Isaac. Csnev. 24

s Tite, évéq. 6

_Lever du sol. 7 h. 47 m.

s Siméon. M )8 s Lucien, m. »Ill,

sA ppollin. -9"9*-W 23 .iJ s Julien y l'hos. ffe, 5

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s Hygin, pape

p, , o Lever du sol. .7h. 4ým..

's Satyre âir, 13

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s Félix.

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s Maure. 0 24

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schaire t]eS. P. ý g Lever dm sol. 7 h. 40 m

s SrOpjce. 24

s Agnès ý mart. 29

sR aimond. iL%

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s Tinnothée c, Ki 6

LPVerdu snl. 7 h. 33 m.

s Yolicnt'he 2 s Jean Chrisos. t

s Charlemaýttý ýý 97

s Fr. de Sales rýx gfv, serein

s Martine, rmart. d x, d ý.

s Pierre lSolasg. ýS (ý ý, place. humide

LUNAISONS.

Nouvelle lune le 2, à àth. sM.

av. m. produit ut) vent froid.

Premier quart le io, à 'è Il. 5o M.

apr. mi, amène le soleil.

Pleine lune le 17, à5h. JO m.

ap. m. par un ciel serein, svbseurcit

visible wnt.

Dernier quart.

le 24 >à 8h. 45 ni.

av. mi. amène de la neige.

JANVI ER, vient delanu. s, à qui les Romano-

consacraient le weinier jour de

'année.

Le 20. du mois le soleil entrera au signe. du Ver- seau.

Du .t jus- qu'au 3 Jacn"

vier les jour.

of il cru de 64 'ni- autel

lllrtrchà aux Bestiaux du mois dQ Janvier 1851.

Berne 7 chés qus ctiçvanz 4

Gýýsaýnnry, c.

I, I loudon

, c. Vaud b Petef

, c. Vaud. 9i Vsºucg 1 1. j, 8. et 25 Orbe

, c. Vand 27 J'verdn, e. Naud 28 7orle c. Acnch. mar- Morgtc. Vaud 2 L'tryerne c. Vaud 2

~ -, ý,

d e. Les ri- clair

11 h. 12 ni.

av. V.

Q21t

Q ys

,d.. froid

1

ourla. clu sol. 4 Ii, 15 M.

r13 j.

- ches sont appari- ciux qui tion du ®,

d` savent vent

n 4h. 5om. ap. dt).

borner leurs clair

Couch. tjë sol. 4 h. 53 m C. . froid

désirs appa" i- rets! ri leurs tins , ý>Jý facultés. du (.

. 5h. ioni. _' Qn. frais

Çoucla. du sol. 4 h. 43 m.

1{ lettons S'é-

0 1.

C%l! 6- Gý"ýli'Clt cun et ceo-

CP lý. teux d ý"

'à8 li. 45 ni av. , rn.

chaýuý

CUlG(-I1.

CIL!

sol 471..

55

in.

chose toIil'l)ilioil de

ci sa neige d g, neigeux

1

(11)

: 12

Fonts du muas de Jativr ae 1851.

Aarbourge. Argovie 13 Aeschi canton de Berne 14

Ail en Savoye 2

Albeuvccanton Fribourg 13 Altkirch ( lit. Rhin 23

Attorf c. Uri 30

Auibérieua( Ain) 17

Appenzell 8

Arinthod (Jura) 23 Baden canton d'Argovie 28 Bauma c. Zurich 15 Belfort h. rhin 6

Berne 7

Blatnont (Doubs) 6 Bletterans (Jura ) 27 Boltigen c. Berne 14 Brigue canton du Valais 17 Rulach c. Zurich 14 Bulle canton de Fribourg 9 Büsingen (Baden) 16 Coire c. Grisons 2 Clerval ( Doubs) 14 Dannemarie h. Rltin 7

Delle h. rhin 20

Eglisau c. Zurich 8 Eilg c. Zurich 15 Ettiswyl e. Lucerne 2.9 Faucogncy haute Scorie 2 Fribourg en Suisse 4 Gessetrai canton de Berne 3 Girotvagny h. rhin 14 Grenoble ( Isère) 22 llanz canton des Grisons 14

Klingnau e. Argovie 7 Knouau canton Zurich 6 Küblis c. Grisons 17

Lagnieu (Ain) 22

Laufenburg c. Argovie 17 Lons-le-Saunier (Jura ) 15 Masseraua h, rlris 20 Mcgève en Savoye 3 Mcllingen canton Argovie 20 Meyenberg c. Argovie 25

Montrnclian 27

Mont sur Vaud 20

Morges c. de Vaud a Morteau ( Doubs) 21 Neu-Brisach h. rhin 17 Neustadt forêt noire 20 Nidau canton de Berne 28

Olion c. Vaud 10

Olten c. Soleùre 27 Orgelet (Jura ) 24

Passavant. lô

Port sur Saone ( Doubs) 30 Porentrui c. Berne. 20 Rapperschwil c. S. Gall. 99

Rheims. 11

Rheinfelden c. Argov. 29

Rornalé 31

Romont canton Fribdurg 14

Ronchand 22

Rougemont c. Vaud 17 St. Amour ( Jura )3

M. (; laude ýJur. 1 ) 13 Ste. Ursanne c. Berne 13

SaI ins 30

ScliafTliàusen 7

Schietsch c. Grisgns 2

Schwitz 27

Sernpaclt canton Lucern, 2 Siveriez c. Fribourg 20

Soleure 21

Stein am Rliein c. Sch. 29 Sursee canton Lucerne 13 Tagninge en Savoye 7

Unterséen canton B. 3 29 Utzuach canton St. Gall 21 Versoix canton Genève 14 Vevey c. Vaud 21 Winterthur c. Zurich 30 Yverdon C. Vaud 28 Zôtlügen C. Argovie 6

- Nous avons deux ordres de personnes dans la

société, les médecins et les cuisiftirrs, dont les un. sý travaillent sans case à conserver notre santé et les autres à la détruire, avec cette dilféreuce que lee

derniers sont bien plus sûh'. s de leur fuit que le. s

premiers. DIDEROT.

-meN*

(12)

s+

i

ý-. .. -

Iýýýoýs. FEVßIEPº. 21oK )

1 Samedi 's Baigide. Ignace A, 15

i 4 5 Lundi 5.

4 1lIardi 5 ; Mercre

F Jeý_idi ý l'c"ndre Y Surnedi

6.

q

Io Lundi ai Hardi

19 D terere 15 Jeudi

14 Vendre i5 Samedi

7.

16'

7 Lundi 18 Mardi 1q Mercre 20 Jeudi 21 Vendre 22 Samedi

8.

13

9li Lundi 25 Mellal

26 117ercre ''i Jeudi

28 Vendre

1

Lever du sol. 7 Il- 25 nz.

s Blaise

s Véronique ,o

s Agathe. a

s Dorothée. 14

s tlélèe 26

s Salonion y

Lever du sol, 'h ibm.

s Ahpolineée, 22 s Scholastique »5

s Séverin, abbé. fk 18

s Damien )fs 2

s Jonas Cast. býP- i7 s Valentin, mart. M 2 s Faustin, m-tirt. Ir Lever du sol. 7 h. 4 M.

sJul&

s Sylvain éveq,

sSinléonzévéqurý%

s l3oniface. év, ýÉt 1,, s Constantin Ck-

s Léonore 15

ýRS 9dI

Lever dù snl. 6 h. 52 s Josué

s Victor s Nestor s Saris

s Leander

Lî,

e

®bh3uw. av.

(. 'uueh. du sul. 5 h. ým vent ý

ý. J

pci'

f. orage

(7 i1QO

&)naent le ciel doux

kCotu h. d« sol. 5 h. 15 na.

q s3 nz uv. rn. tcur- sernit in- billon

juste s'il de neige ,P-. humide

5. ,, []

r Cl lb. Serein

Couch. du

isol. 5 h. 25m.

11E. Min. UV.

. exlaaussail (ira- nos Prières. geux

d; C, p $"

Q iý. Reklons neige p t". nos pas- neige 1,011.6n,. ap. vei, t

Couch. (lu sol. 5 [e. 5G ne.

siuns, ue clair

m.

11

24 6 vs

21 Il f.

é! ouf 24, beau

fans yoiut. d }'ý ýd'

t! 18

A, 0

m

12

Lc,

y, 1I5oJ9.

Ncnn" lune le 1, fi h. °o in.

av. rn. , lu"oduit une tic ihx lnvr- ble et de i'uraýe.

PrcYnier quart.

le g, eyb. à5 : n.

av. M., amène de la neigé?. 1

Mine

. lune le I hr ýJ ll. ýti m.

aR. m" pioiinit un , temps clrxtl{r r: 1b1.1

Dcruier quart.

Icýý.: ý ioL tinr.

: ýp tn. }, uz ifi'e l'aie!

FÉVRIER

fientde Februa- re , qui signifie

faire dis expia- tions.

Le 19, le soleil fera son entrée aux

signe des Pois., ons

Depuis le à

au i8 jvvrier

les jours- urrl cru de 93 mi-

nutes.

illarchéa aux Bestiaux du nains de Fevri4, r 1851.

1

Berne

41 ché au; chevaux t. i Noiu&,

n,

c. Vaud 3

l'evey, e. Vaud 25

1

G'o onay, c. Vaud i 31 8.1 5.2 i. j Onde , c. Vaud 2+I Yverdon, c. Vaud i5 J le, c. N,; ucb. mar-l Morges, c. Vaud 5, Payerne, C. Vaud t

(13)

ý

_Z

Fahrs da mois de Üfývaie-R l$rIZ.

: larata afi Htý"icon rt (Doubs) 2', Aarberg c j3crrý 03 Ilrrisau C. Appens. ý

-ippeuzell 5 llanz a. (4riwlns G

Arlxsis Jura a4 Laferté t1ö

. 1ulleux Doubs 8 Lujgnau ç. $crne e6

Ayenches c. Vaud 7 Langres. t5

Ilauma c. Zurich rrl Lausanne c. Vaud 8 ßeif'ort h. rhin 5 Lenabourg c. d'As:. 6 Ilellinzone c Tesbin 5 Liechtensteig s. Gal 3

Benfeldep 24 Liestal c. Basle 12 Thann h. rbin u4

Berne 4 Lons-le-Saunier 1.5 Thiengen 3

Berthoud c" Berne a7 LSraeh. d. de Bade 19 Unterhallau Schaf. 3

Besançon Doutes â Lrwe: rne 94 Vesoul le e7

Bienne c. Berne ( Martiguv ts. Vatàis 24 et tous les samedis Bicchofiell c. Thur. j7 Meyenfeld C. Gris. 5 jusqu'à l'Ascension

Blamout (Doubs) 4 Mettmenstettenc. Z. 6 VlusenSallazeuSav, 4 Bot" (Ain) 5

Bi"erngàrten c. Arg. a4 Bragg c. Argovie ii Bulle c. Fribourg 13 Buren c. Berne 26 Châlons s. Saone 28

Châteaud'Oex c. V. 6 (launiqnt sur Fi-an:

en Savoye 6 Ctairvaus (Jura) 20

Clerval Doubs il Collnnge ( Ain) 15 Coire e. Grisons 6 Delémont C. Berne ta Delle h. rh in 17 Diessenhofen e. Th. 3

Dôle 6

Echallens c. Vaud 27 Eglisau c. Zurich 4

Escherrz c. Tburg. 21 Éstavayer

c. Frib. 1g Etiswyl c. Luc. 88 Faucogney( h. S. ) 6 Fribourg jen Suisse ai Gicnv (. Tura' ro

Montbéliard Doubs to

Montbozon 3

Monthey, c. Valais t Morges c. Vaud 26

Neuchâtel 26

Ontiens c. Vaud ;5 Oabe a Vaud go Orgelet (Jura) 84 Ornans (Doubs) 18

Oyzelley 26

Paverne c. Vaud 13 Pfaffenhofen !t Pfeffikon c. Zurich (t

Poligny 13

Pontarlier Doubs 15 Porentrui c. Berne tý7

Rolle c. Vaud aA RO-Ont c- Frib. Q5

Rue c. Fribourg 5 Ruffachli. rliin '4 S. Amour (Jura) 3

S. Claude. rs

S Triphon c. Vaud aà Samoens (Savoie)

Schwellbrun c. A. Lt

Giromagny h. rh. i1 Seewen e, Soleure s6 Grandvillard h. r. ià Semis c. Grisons 6

Greenchen c. Sol. ii SeignelégieraBern 3 Gruningen c. Zur. +7 Seillères 6

Gruyère c. Frib. 85 Sidwald c St. Gall 37 Haguenau b. rh. 4 Tervai le Château 11

Waldenbourec. B. ai Wald. Jiut ( forêt n. )5 Wangen c. lierne o3 Weinfelden Turg. 26

Wyi c. St. Gall a1 Zw-eisimmen c. Bern 5

On écrit (le Lonrk"es, le 16 Juin 1849;

dit le Journal des D bats :

Les gigantesques tubes qui composeront le pont sur le détroit de Menai, entre la ville de Caernarvon (Angleterre) et l'lle d'Anglesey, et qui doit servir de viaduc au chemin de fer des comtés de l'Est.. seront mis en place le 19 de ce mois. Cette opé- ration sera dirigée par M. Stephenson, qui a inventé ce pont tubulaire , et qui a fait fabriquer sous ses yeux les tubes qui le formeront.

Un grand nombre d'ingénieurs étrangers sont déjà arrivés en Angleterre pour voir

le nouveau genre de viaduc, qui, s'il ré- pond à son but, ce qui est encore problé.

matique, sera sans contredit une des plus hardies conceptions qui aient été faites

dans les temps modernes.

Pour se faire une idée des énormes di-*

mensions des tubes du viaduc en question, il suffira de se rappeler que dernièrement on a donné dans l'un d'eux un concert pu- blic où se trouvaient à kur aise environ douze cents personnes.

1

l

(14)

111 Mois. MARS. pe;

. 1- ý

ý

I. U. NAISOtiS.

11 Samedi s Aubin 23 11'e pas par-

9. Lever du snt. 6 fi. 4o m. Coucher du soi. 5 Ia. 46 m

3 Simp. =5 lér clair Nouvelle dune

5 Lundi Marin = 17

qb

1 11.43 nt. av. claiº le 3, àth. 413 M.

4 1llardl s Ad

21l

froia{

av. it ý. ro-

ire

ni.

dûeroid

5 Mercre s Eus

,, 11 de ses amis fratt: .

6 Jeudi s Fridolin rz 23

' Qd ý3" Premict`

quart.

7 Vendre s Thomas d A4. `, le ºo, à gh. 15 M.

8 Sý. medi s Jonathan 0* i8 Q. a vec é'o- veut ap. m, roéluitdos

b '

10. Lever rlû so% 6 h. 26m. t; auzýi. alýi sul. 5h . 56 rn. tour S. dé º teige

9 40 AI. » 1 Ci Y_ bt'ouillard

10 Lundi s Francoisé

14

9 1i. 13 m. ' Pieine lune le 11 Mardi s (. tznibert

.

28 0"1-, ge , tourbillon

17, à "h. 4; +m.

;1 Pr. ni. ßrntate de

12 Mercre il cést rte pi2s de neige la ueige ou de la

13 Jeudi Nice{ºhore, éý. « 26 a ?ý, Qý. pluie 151u e.

i4 Vendre s Mathilde ; -rétnee 1o neige

15 Samedi s Longin 25 faire humide Deºýr R Haut.

11. da'e sol. 6 h. 15 m: Couch. du sp1. G h. 5 na, le e1i, àt tº. i º m.

16 -r' s Hirib. ý. iP 10' plu- -'

aP' rrmi. Paït Qouil et beau.

t7 Lundi = 25 1b 47'r11. ar. vieux

8 I11 d' Gâbriél an h % 1"ô ý

ar i

1 s , .t

t 9 111ercre 20 Jeudi

iýS 25

s Joachim qu

10

d' b" doux

[] ý. le sien do'uX MARS,

était

21 Vendre s Benoiï, abbe. cïs

, con, acrc au dieu

Illars rar ßomu-

22

Samedi s 11Tico1@s de hlueu 7 É] ý?. ll

fc'aut

. - lus. C"etait le-pre-

t*. Lever du sol. 5 b. 5q riz . Couch. du sol. G h. 14 m. n""r mais de l'an-

25 s The. " U 20 tlésagréa- née martiale.

Le 20

de e e m' 24 Lundi s Siméôn 9 h. 54t tn. ap. ')le le sokil fera son .

25 Mardi ig 15 Ur ý :-Dý.

entrée au

signe du

26 111erçre s César. N. b. déC tla 2 Qb. , 11euu Bélier.

27

Jeudi s Lydie ick 9 c C, Du i att 31

2$ Vendre s Ruppert j1'ý% 20 dý-. avoir týe: " Wa de ce mais les

29 Samedi

s Eustache »É» 2 Pdme doucit jours onterai de

13. Lever du aol. 3 k. 45 rn. Couch . du sol. 6 h. 24 m. 1sà mïnute9.

3o r sQuxiriu 14 d d. pour avoir np ari-

51 Lundi s 8albine 26 rlu , t; orit tior, J. 0..

dljarc%tes aux Bestiaux cAc gaois de Mars 1851.

Berne :4ý. ocle c. Neuch. mar- Marges c. Vaud 5. Payeme, C. Vaud 6 Cossonay c. Vaud

&3

+

ché aux chevaux iI

li? oudon,

c. Vaud 3ý Yevty,

, c. Vaud.

ýýi

Lausanne, 8I8, i 5,22 et sg. Orbe c. Vaud 3t Yverdon, c Vaud 24

1

1

(15)

tS

A ai berg c. Berne aq Aarbourg c. Arg. 1,9 Abbcvillers Dbs. 4 18 Aigle canton Vaud a2 Aigucbel! e en Sav. 6 Altkirch b. Rhin 1e13

et a7 alto>; f C. Uri 27 Arubérieux Ain tg Anet c. Berne. tg

A ppeuzell 26

Artivangen c. Berne 13 Aubolrne c. Z'autl t$

Avçnches c. Vaud 14

Ballon tq

Belfort h. Rhin 3

l3cieove s

Berchýier c. Vaud 14 Be: thoud c. Berne 1z7 fier c. Vaud 27

! sienne e- lierne 6 Illamout Doubs 6 Bulzano Tyrol 2+

Bonneville Savoye 1-t Bons

en Savoye 3 Bourg, ( Ain) 4 Breitenbach

c. Sol. td Carr, 7el b. Rhin 4 Carouge

c. Genève 43 ('erlier

c. Berne 5

('iiamp1gui 27

Chancv C. l, elrLVe 26 ('11 itel St. Danse 5

Chaurrergi 1g,

CItdussin 1O

Chaux (le fonda ,1 (`he, rre-Thonea 5 ('liiètre4 c. crib. 27 Clerval Doubs 11 Cluses en Savoye i6

Coligni Ain 18

Cià11ar h. rhin 12 Coucizq

c. Vaud 7 Coppet

C. Vaud 26 Caortaillod

c. Neuob 11 ( sonai Vaud 13 Cio, urrendlin c. Bel- 17 Courte.

nlaiche c. 8 17

, Fýires du mois de 31 Axs 1851.

Delémont c. Berne t9 Iklle h Rhin t?

Elig e. Zurich ta Erlenbach c. Berne t1 Erstein (bas rGiu. ) q, 3

Faucogney h. S. 4i Fenin c Neuch. 4 Ferrette b. R. 11 a(i Fet. terntbalen c. Z. sG Flatvyi c. S. Gail 12 Fontaines c. Neu1: h. 18 Frauenfeld c. Th. 3

Frihonrg en 13risg. 5 Frick c. Argovie 3 Gaillard en Savoye 21 Gais C. Appenzell ti Gebweiler (Il. Rh.; 24 Gelterkintlen c. Ba 5 Gex Ain à et 25

Giroulagny h. Rh. 11 Go"s,: u C. St. Gall 3 Gran(I. on Vand t9

Granvillard h. Rh. :tt I-Iahsbeinl h, rhin 1o

Horgen C. zurich 1-5 Hundw 1-c. Appen. 4 fluthivi C. Berne la Ilanc C. Grisons 48 Jougne Doubs 17

Kliugnau r.. A-rgoy. 1"9 Koelliken c. Argov. tq Kuhn c. Argoeio r't C. Zurich ý9 T. lguiezl "Ain) 17

l a+nq leron c. N. cucAtl o Landser Il. à hin 12 Ia Sarraz c. 'Vaud 11 Laufen l; crue 3

Levier 1.3

Lisniéres c. Neuch yt Loche c. Neuchâtel }. 6 Lons-le-Saunier 1: r 1liailleue4i e.. i; ernÉ 13

Marignat. 'J7

; V]bssevaux h Rhin .t Mirccourt 1 o, ges 3 Mortb: aiard Doubsio Montfaucon c. Ber 23

S T. npicin 3

S. Tiivier de C. 2i S. Ursanne e.. Berne 3 Salanclies ei-Sav. 3 Sclia(Ihauscn it

Schinznach r. Arg. ti Schlettstadt ;, b. R. ) 4

Schwitz 17

Seengen Argovie 11 Scewis c. Grisons 4 Selongey c. d'or 17 Sierre c. Valais 3 Signau c. Berne 15 Sion c. Valais 1

Soleure 1c

Sta fa c. Zurich 2'7 Stein am Rhein a6 S'ilz (h. rhin) 19 Summiswald e. B. 14

Tagninge 6

Tassenières 28

Thun e. Berne 8 Travers c. News. Io Ueberlingen lac de

Constance lu

Unterseen c. Berne 5 Utznach c. S. G. º ! 19 Vercel (Doubs) 7

et tous lesSamedis jusqu'à l'Ascension.

Verrieresc. Neuch. 3i Vilmergen c. Arg. 22 Villerfarlai 20 Vil4isau r. Lucerne 3 . Watdlshut f. n. 26

Wegenstctten c. A. 17

\Veiningcn c. Zur. â Wilchingen c. Sch 31 Zof ragen c. Argov. 4

Zurzach c. Arg. 1 Zwcisimmen Berne 27

Monbozon les lundis the carême.

'Montmélian a6

Montrior d en Sav 3 Morat c. Fribourg la

. Moi tcau ( Doubs) 4 Motiers-travers 13 Mouflon C. Vaud 5 Mulhiusen h. Ithin 4 blunstere. L. ucet-ne 6 Munster G T. li. r.. 12 Pieu-Br"isach. tg Neusta,. tt f. noire. 3t Ncuvevillee. Berne 26 Nklau c. Berne t8

Nieýlersept h. Rein 5

Nyons. Vand 6

Olten C- Soleure 17

O. -champs. 20

Orgelet Jura 24 Ornans Dou-b5 18 Petite; Chiettes 10 Pontarrier Doubs 27 Pont de Roide 3

Pont du Bourg 17 Porentrui c. Berne 17 Port sur Saone(I)' )26

Pull c. -Vaud 20 ßaggatz c. S. Gall a4

It altos 7

Rcgcosbcrr c. Zur. 18 IteiclaRisee e. Lue. 17

«tomaiulnôtier c. V. 28 Rtte. c., Fribourg t2 Sok-ingen e. Arg. 6 Saillatrs Drame 18

S z% tnour .4

SA +tbin c. Neuch. 26 S. Blaize C. Neuch. 3

. iaude 12

S. Genis 92

S. Jalicu en Sav. 6

AD: eilee

(16)

26

IV Mois.

i Nlardi

s I%Iercre 3 Jeudi

4 Vendre 5 Samedi

4.

6

7 Lundi 8 dardi

rilercre

Io Jeudi

t Vendre 12 Samedi

15.

15

14 Lundi 15 ?NI ardi 16M. ercre 17 Jeudi

18 Vendre i9 Samedi

16.

20

ai Lundi 22 Mardi

s3 Mercre i4 Jeudi

15 Vendre 26 Samedi

17

Lundi sq : Mardi Ju ýIercre

1

1 lierne

Gb. tisonay, C. Väod

"r01 c1kcraua5 13 14 9. VI A) ý rru. s[u1Re, Vaud ,i2! : irurges, c. Vaud 2

AVRIL. e; 1

MIN

-... ý... _... ý -- ... [Ch

ý^^l'

s Lisier 1,1

ý. 1 uul ý, 20 "'''

s Eugène ý; 3

s 1sidore, My, 2l 15

sChristiuu ,, 2ô

Lever du F-ol. 5 h. 52 in.

s 'Sixte, C»

s Alexluctrýi

11

027

s 1'roclºore º>ý ii

s .

D1oIilsllls

ee

24

s Rzechiel e, 6

s Léon , Pape. e. 20 s Jules 1. Pupe. eý

Lever du vt. 5/,. i8 .n

s 3. za" lrl Tihurce

s OlynilSe ja

s Daniel ck 5

s R. ocl, cýê i8

s Ap. e 2

s Sévère. Léon

a

15

Lever du sol. 5h7m.

L* 28 sAnsel. gý

s Soter et Cajus g-

1]

z' , M5

s Albert.

17

29

s Amélie: m; io

Lever du sul. 4h 55 nt.

s AnasI. x 22

s Vital , Wart. ffe 4

sßobert ?ý; 17

s siaisnioud, in. p. lwt sg

Pleine tune le , 5, à i1 h. 3 in.

tir in. produit lie beaux jours de

priutetn p9.

Dernier

quart.

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2J ,à7l!. !2 (j

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av

ni

produit

(lu

vent et de la

l)i111ý.

AV ftIL vient d'A ýrire qui si-

l; nitle ouvrir. tes ý, erules el 1"ýs hlaný

tes commer)cent à ouvrir le-seiude la

terre.

Le L*o de ce mois le soleil en- trera au signe du

taureau.

L )epuis te i ju. cqu'au 3o

, lvril les ji ur. s oJCt cru d(3 1(14

neinst. (a, i.

Marchés taux Bestiaux glu rt)is d'i1 vril 1851.

ýý

t1 Lor: fe, c, Itiruc. tnarch. auxl ryTutulnn, c. Vâud 1 11 Payerne, C. Vdud

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7h. oiii a(º.

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tre dans les sagrLa-

C`l 4, b1e

Couch. (la tiol 6 h. 33 in

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