Jeudi 18 Janvier 1894·.

Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le j o u r n a l .

Huitième Année. — N

0

6.

P r i x d u n u m é r o 10 c e n t i m e s

Jeudi 18 Janvier 1894·.

B u r e a u x : R u e d e la S e r r e , 2 7 .

5 O N N E M E N T S Un un : Six jnoia Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3j>—

Union postale » 12»— » 6;>—

On s'abonne à tous les bureaux de poste

Paraissant le Jeudi et le Dimanche à la Ghaux-de-Fonds

A N N O N C E S

Provenant de la Suisse 20 et. la ligne

» de l'étranger 25 » » » Minimum d'une annonce 50 cent.

Les annon ^ s se paient d'avance.

Organe de la Société intercantonale des Industries du Jura, des Chambres rie commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels.

N O U V E A U X A B O N N É S Les personnes auxquelles nous avons adressé la Fédération hor- legère dès le I

0

'' janvier, et qui ne refuseront pas le présent numéro, seront considérées comme aboûnés nouveaux.

Nous les prions de bien vouloir faire bon accueil au rembourse- ment, que nous prendrons p a r la poste, du premier semestre 1894.

L'ADMINISTRATION.

Fabricants d'horlogerie suisses voyageant l'Allemagne

L a deuxième et dernière liste des signataires de l'engagement de voyager l'Allemagne sans stock de montre.*, sera publiée dans le numéro

du jeudi 25 janvier 1894, de la Fédération horlo- ger*.

MM. les fabricants d'horlogerie intéressés voudiont bien réclamer la formule d'adhésion au bureau de la Chambre cantonale — rue de la Serre 27 — assez à temps, pour qu'elle puisse être retournée, signée, au secrétariat, pour le 24 courant à midi.

Secrétariat général de la Chambre.

lui outre,' M. Henri Thalmann, membre de la Commission municipale du Commerce et de l'Industrie, nous entretiendra de l'exten- sion des communications téléphoniques de

Bienne avec les localités voisines, et spéciale- ment avec les centres horlogers. C'est une question qui intéressera chacun.

Bienne, le 12 janvier 1894.

Société des fabricant.·; d'horlogerie

<î chefs d'ateliers de Sienne et environs.

Communiqué

Nous rappelons à nos fabricants, chefs d'a- teliers et négociants en horlogerie que, dans s a session du 22 courant, le Grand Conseil est appelé à discuter une importante motion de notre honorable député Sl. Fritz Rcymond.

Cette motion touche aux intérêts vitaux de notre principale industrie, qu'elle veut doter d'une Chambre de commerce et d'industrie, institution qui tend d'éminents services par- tout ou elle fonctionne, notamment dans le canton de Xeuchàtel.

T o u s ceux qui y sont intéressés voudront bien donner une m a r q u e de sympathie à notre dévoué membre du Grand Conseil et l'appuyer d'une manière effective en se rendant en grand nombre à l'assemblée du mercredi 17 courant, à 8 1Z2 heures du soir, à l'hôtel du Bielerhof, afin de s'entendre sur la meilleure marche à suivre.

Coopération et socialisme

Un économiste français, M. Ernest Brelay, publie sous ce titre une étude dans laquelle le socialisme et ses ten- dances sont fort mal arrangés, comme nos lecteurs le liront.

I

Vecole nouvelle et l'avenir coopératif. — Le ca- pital subordonné au travail. — Le régime de l'abnégation. — La coopération et les intermédiaires. — Les petits ruisseaux socialistes et leurs embouchures. — L'in- fini n:a sociale et ses remèdes.

Certains amis trop zélés de la coopé- ration, appartenant à une école économi- que qui prend le titre de « Nouvelle », ont prophétisé, depuis quelques années, l'avènement... passablement éloigné du collectivisme, comme devant être le ré- sultat naturel et presque fatal de l'achat, de la vente et de la production en com- mun par les associations populaires.

Pour nous qui sommes, de vieille date, un fidèle ami, un sobre partisan de la coopération et qui croyons avoir toujours donné de bous conseils à ses adeptes, rien n'est moins vraisemblable que la réalisation de ce rêve ambitieux.

Mais nous ne nous dissimulons pas que le socialisme, en beaucoup d'endroits, pénètre dans les institutions coopérati- ves ; y présente !"individualisme comme une sorte de crime; prétend, par des moyens qu'il déduit le moins clairement possible, subordonner le capital au tra- vail, faire salarier le premier par le der-

nier à un taux quelconque, où la de- mande n'aura, rien à voir; en un mot,, substituer à la volonté des intéressés un- régime de désintéressement, imposé par des dirigeants revêtus d'une autorité de droit social ou divin.

Par contre, en notre qualité d'ancien négociant et d'esprit terre à terre, nous avons toujours dit et répété... rabâché, si l'on veut... qu'aucun homme éclairé ne consent à travailler pour le person- nage imaginaire... ou trop réel, qu'en France on appelle le roi. de Prusse. Cha- cun a raison de vouloir conserver sa personne dont l'extension est la famille,, d'acquérir du bien par le travail et l'é- pargne, et — sans protester le moins dit monde contre la fraternité, la solidarité, ni même la vieille charité, de leur assi- gner une place qui ne soit pas prépon- dérante; parce que telles sont les lois de la nature et que rien ne prévaut con- tre celles-ci.

Les coopérateurs doivent être de loyaux commerçants, légitimement désireux de garder pour eux, sous Végide du droit commun et moyennant une très bonne administration, les bénéfices qui revien- draient à des intermédiaires qu'ils con- sidèrent, à tort ou à raison, comme su- perflus ou parasites.

Nous reviendrons bientôt sur ce sujet

à propos de la marche de la coopération

française, de la législation que l'on pré-

pare à celle-ci, de ses rapports nouveaux

avec des syndicats libéraux ou protec-

tionnistes ; nous nous montrerons sym-

pathiques à de nombreuses sociétés dont

les efforts méritent d'être encouragés et

souvent admirés; mais nous crierons à

tous : laissez à la porte tout socialisme,

qu'il vienne de la rue, du forum ou mô-

me de l'église ; car si vous lui laissez

prendre un pied chez vous, il passera

bientôt du ton sentimental au ton impé-

rieux, de la requête à la revendication,

22 LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE de celle-ci à la violence et enfin à l'ex-

propriation.

Nous connaissons un grand nombre de socialistes d'une admirable pureté de conscience ; seulement ils restent tous à mi-chemin, tout au plus, d'un raisonne- ment logique ; de sorte que, sans s'en douter, ils^constituent, en matière sociale, les filets d'eau qui deviennent ruisseaux, rivières, torrents, et aboutissent à la mer collectiviste où tout se noie : capital, tra- vail et bon sens.

Alors, il n'y a plus de place que pour ce que Voltaire appelait « le despotisme de la canaille »; le désordre fomenté et poussé au paroxisme par l'ignorance et la brutalité multiples, anonymes, irres- ponsables ; la bombe projetée au hasard, tuant et détruisant sans choix, sans mo- tif, ni prétexte avouable. Bref, tout socia- lisme conduit au communisme, c'est-à- dire au collectivisme, et celui-ci n'a pas d'autre aboutissant que l'anarchie.

Ces vérités, devenues éclantes pour l'homme d'étude, sont méconnues par les masses, aussi bien « bourgeoises » que populaires, parmi elles, on lit trop peu l'histoire; on ne lit pas du tout l'écono- mie politique. On est pris par Vinfluenza sociale, et pour traiter cette maladie abê- tissante, ils faudrait des remèdes de petit volume comme ceux que la faculté vous administre en doses efficaces et réduites, contenues dans du pain à chanter.

Eh bien, nous a\'ons trouvé quelque chose de ce genre dans un journal étran- ger, trop enclin souvent à éditer les sor- nettes graves des pseudo-réformateurs sociaux, mais qui montre un sincère dé- sir de maintenir l'équilibre entre la science et l'ànerie. C'est toujours ça !

Il s'agit d'une conférence reproduite par la dite feuille ; nous en donnons quelques extraits, librement traduits, en mettant le lecteur à même de se procurer

Vin extenso (1). (A suivre.)

L'épargne en France

Lc sentiment de l'épargne n'est pas près de diminuer en France, comme le prouvent les comptes des institutions d'épargne.

On vient de publier les rapports et comptes- rendus des opérations de Ia Caisse nationale d'épargne et des caisses d'épargne privées pendant l'année 1892.

P o u r la Caisse nationale d'épargne, le nombre des comptes restant ouverts, au 31 décembre 1892, est de 1,733,693; il était de 1,733,764 en 1891, soit 240,929 comptes de plus pour 1892.

Les sommes dues aux déposants, toujours au 3t décembre 1892, y compris les intérêts, étaient de 616,363,426 francs. Comparativement à 1891, la somme des dépùts a augmenté de 109,983,495 lrancs.

P a r contre, il y a un peu de décroissance d a n s les achats qui ont été faits, en 1892, de titres de rente sur la demande des déposants.

En cette année, on a acheté pour 5,100,201 francs de rentes sur la demande de 3,612 dé- posants.

Fait à remarquer, les livrets de compte de 500 francs à 2,000 francs sont de beaucoup les plus nombreux. Ils représentent 66 0/o dans le (1) Impression d'une conférence par M. Geo.

J. Nuree. Co-operative news, 16 décembre 1893.

montant total des livrets. Ce qui tendra prou- ver que beaucoup de personnes, qui ne sont pas des petits épargnants, utilisaient la Caisse nationale d'épargne comme caisse d'attente, ce qui explique ce mouvement des versements et des remboursements : versements 2,499,329 en nombre, représentant 388,088,103 francs, et remboursements 1,082,296, représentant 294,921,967 francs (année 1892).

Les caisses d'épargne privées, en 1892, étaient au nombre de 543. Files avaient 1,089 succur- sales ou bureaux auxiliaires et, de plus, '401 percepteurs, soit en tout 2,033 établissements et bureaux d'épargne. Elles ont délivré 510,540 livrets nouveaux et reçu, en 3,508,348 verse- ments, la somme de 879,862,097 fr. Elles ont opéré 2,557,846 remboursements s'élevant à la somme de 806,777,245 fr. Elles ont acheté pour 20,482,026 fr.,' soit 672,268 fr., de rente pour le compte des déposants. Sur cette somme, les achats volontaires s'élèvent à 604,391 francs et correspondent à un capital de 18,253,706 francs.

Au 31 octobre 1892, les caisses d'épargne privées avaient en dépôt, au compte de 6,121,283 déposants, 3,227,437,682 francs. Ce chiffre de déposants représente 1 déposant sur 6,26 habi- tants.

Pour les caisses d'épargne privées, les livrets des petites sommes ont une proportion plus élevée que pour la caisse nationale ; la pro- portion des livrets de 20 francs et au-dessous est de 29 0/o dans le nombre total des livrets;

ceux de 21 à 100 francs sont dans la propor- tion de 16,63 O/o-

On voit donc, qu'au total, les deux grandes institutions d'épargne, caisses nationale et caisse d'épargne privées, ont en dépôt la som- me énorme de 3,843,801,107 francs et, avec la fortune personnelle des caisses d'épargne pri- vées, on arriverait tout prés de 4 milliards re- présentant certainement, pour les 3/4, les éco- nomies de petits épargnants.

Diplômes d'expositions

Nous recevons de St-Imier la lettre suivante, aux conclusions de laquelle nous souscrivons pleinement :

Le communiqué du département fédéral des affaires étrangères, reproduit dans votre nu- méro du 13 courant, montre combien certains fabricants sont peu scrupuleux. Ainsi, il est avéré que des gens sans honte et sans scru- pules trompent sciemment le public et leur clientèle, en leur faisant croire que le diplôme obtenu à l'exposition de Zurich, en 1883, revêt des caractères de distinction qu'il ne possède point. Rien ne saurait excuser ce manque de conscience, cette tromperie, cet abus de la bonne foi. }

Saluons donc avec bonheur cette première intervention de l'autorité. Souhaitons qu'elle se produise encore souvent et qu'elle atteigne les contrefacteurs de toute sorte, qui sont les pirates de notre industrie.

Les contrefaçons sont à l'ordre du jour. P a s de semaine qu'un honnête fabricant ne cons- tate qu'on lui a volé soit un calibre de mouve- ment, soit un procédé, soit une marque de fa- brique. Dans beaucoup de cas, le contrefacteur s'est borné à copier servilement le produit d'un concurrent, sans même chercher à dé- guiser le délit. Dans d'autres cas, on contre- fait une marque de fabrique en lui faisant su- bir une modification peu visible. Enfin, des fabricants parent leurs produits, leurs embal- lages et leurs papiers d'affaire, de mentions et médailles de récompenses industrielles qu'ils n'ont jamais obtenues.!

On se demande avec étonnement comment des faits que la loi fédérale du 26 septembre 1890 punit de 30 à 2000Îr. d'amende ou de trois jours de prison à une année, du double en cas

de récidive, peuvent se produire et s'étaler pour ainsi dire au grand jour.

N'y a-t-il donc rien à faire contre ces fabri- cants peu scrupuleux, forbans de l'horlogerie, qui jettent la déconsidération sur la bonne renommée dont nos produits jouissent à l'é- tranger ? Fn affublant leur patraque des ré- compenses obtenues par les établissements de nos contrées, qui s'appliquent a ne produire que des montres de bonne qualité, ils trom- pent les consommateurs et causent un préju- dice moral et matériel énorme a notre indus- trie.

Le mal est plus grave que l'on pense. Ce ne sont pas seulement des fabricants d'horloge- rie qui méconnaissent ainsi la loi mais aussi des négociants qui demandent aux produc- teurs de mettre telle marque, telles médailles sur les pièces commandées. — Ceux-là sont les plus coupables. Instigateurs de fraudes qu'ils connaissent parfaitement, ils se dérobent derrière le fabricant oui, souvent, ne connaît pas le danger auquel il s'expose.

Votre journal me parait désigné pour com- mancer une campagne en vue ""de battre en brèche les abus signalés. P o u r ce qui nous concerne, nous nous engageons à vous aider dans cette œuvre de salubrité industrielle et de vous citer des faits.

Brevets d'invention

Horlogerie et Bijouterie

L I S T E DES B R E V E T S E N R E G I S T R É S

Modifications

Cl. 64, no 6778. 15 juin 1893, 61., h. p. — Nou- velle montre à musique à remontoir au pen- dant et décrochement automatique. — Mon- nier.Oscar, horloger,28 Rue du Canal, Bienne (Suisse). Mandataire : Imer-Schneider, Ii., Genève. Cession du 15 décembre 1893, en fa- veur de « Marchand & Sandoz », fabricants d'horlogerie, Chaux-de-Fonds (Suisse). Man- dataire : Imer-Schneider, E., Genève; enre- gistrement du 26 décembre 1893.

R a d i a t i o n s

Cl. 64, no 1400. - Boite de montre à fond d'é- mail.

Kl. 64, Nr. 5422. — Verbcsserte Taschennhr.

Cl. 64, no 5615. — Dispositif de remontoir et mise â l'heure par le pendant, sans cou- ronne.

Kl. 65, Nr. 5633. — Universal-Uhr-Aufzieher.

Kl. 66, Nr. 5851. — Kontrollmelermass.

Nouvelles diverses

R u s s i e . — L'impôt sur les lettres de crédit sur l'étranger est maintenu jusqu'en 1897. Les voyageurs doivent déclarer les sommes qu'ils emportent en quittant la Russie; les 3000 pre- miers roubles sont seuls escomptés du paie- ment de l'impôt.

A V I S

Les demandes de r e n s e i g n e m e n t qui nous p a r v i e n n e n t par c o r r e s - p o n d a n c e , c o n c e r n a n t des a n n o n - ces parues dans la Fédération

horlogère, d o i v e n t ê t r e a c c o m p a -

gnées d'un t i m b r e de IO c e n t i m e s pour la réponse.

L ' A D M I N I S T R A T I O N .

Cote de l'argent

du 10 Janvier 1894

Argent fin en grenailles . . fr. 12OMO le kilo.

'

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE ²³

Tableau comparatif

des poinçonnements effectués et des essais faits par les bureaux de contrôle des ouvrages d'or et d'argent

p e n d a n t l e 4me t r i m e s t r e d e c h a c u n e d e s a n n é e s 1 8 9 2 e t 1 8 9 3 .

Bureaux

1.

2.

•Λ.

4.

5.

6.

7.

8.

!).

10.

11.

12.

Bicnne

Ohaux-de-Fonds . , F l e u r i e r

G e n è v e

G r a n g e s (Soleure) Locle

N e u c h â t e l . . . N o i r m o n t . . . P o r r e n t r u y . . . S t - I m i e r . . . . Schaffhouse . . . T r a m e l a n . . . . Total P l u s 1893 M o i n s 1893

Boîtes de montres poinçonnées B o î t e s d ' o r

1892 2,846 80,474 1,591 5,517 187 20,904

1393

3,400 1,170 1 489 4,871

121,450 125,08!

3,631 Pièces

3,262 87,035 1,913 4,342 278 17,654 3,513 2,239 420 3,825

B o î t e s d ' a r g e n t I 1892 I 1893

T o t a l d e s b o î t e s 1892

Pièces

101,802 11,063 28,925 17,926 53,058 10,903 3,559 29,004 70,671 44.147 13,501 104,570 489,249

-

Piècos

89,187 10,775 20,499 12,773 62,281 9,575 3,043 26,878 75,583 41,268 15,376 110.X28 484,000 5,183

Pièces

104,708 91,537 30,510 ι 23,443 j 53,245 I 31,807 !

3.559 32.404 71,841 44,148 14,050 109,441 010,099

—

17,2 15,0 5,0 3,8 8,7 5,2 0,6 5,3 11,8 7,2 2,3 17,9

1893 Pièces 92,449 98,410 28,412 17,115 62,559 27,229 3,043 30,391 77,822 41,268 15,796 114,653 100 609,147

1,552 15,2 10,1 4,7 2,8 10,2 4,5 0,5 5,0 12,8 6,8 2,6 18,8 100 0,2

Boîtes payant doubla taxe, et boîtes refuséas

au poin- çonnement Ίΰ92 I 1893"

Objets de bijouterie et d'orfèvrerie poinçonnés

Pièces 187 485 10 4 64 120 138 258 114 48 116 1,544

277 408 49 16 71 93 116 393 78 72 1,134 2,707 1,163

1892 Pièces I 2,134]

121 2 2,875 17 24

9,265 14.438

0

14,8 0,8 0,0

1893 Pièces 0Zn

1,979 14,6 161 1,2

5

1

Λ

19,9,1,087; 12,4 0,1

0,2

0,0

- ι ο,ο

9,751 71,8 64,2

100 ! 13,5SS j 100 850, 5,9

Essais de lingots d'or et d'argent 1892

Xoinbrc

551 j 2,203

200 23 148 17!

47 78 147 142 73 149 3,932

"I 14,0 56,1

5,1 0,6 3,8 4.3 1,2 2,0 3,7 3.6 3,8 1,8 100

1893 Nonilirc

493 2,104 188 35 148 170 (Il 83 192 125 65 159 3,823 100

/o 12,9 55,1

4,9 0,9 3,9 4,4 1,6 2,21 5,0 ; 3,3 1,7 4,1!

309 2,8

Berne, le 12 j a n v i e r 1893. D é p a r t e m e n t f é d é r a l « l e s a f f a i r e s é t r a n g è r e s ,

Bureau fédéral des matières d'or et d'argent

O

n c h e r c h e à a c h e t e r d ' o c c a s i o n u n e m a r m o t t e p o u r m o n t r e s p o u v a n t c o n t e n i r d e 150 à 200 p i è c e s . — A d r e s s e r l e s oflres c a s e p o s t a l e 94, C h a u x - d e - F o n d s .

2410-1

On demande

à a c h e t e r u n l o u r ' u n i v c r s e l à t o u r - n e r a v e c t o u s s e s a c c e s s o i r e s , n e u f o u d ' o c c a s i o n e n b o n é t a t d e p r o -

p r e t é . 2408-3 A la m ê m e a d r e s s e o n d e m a n d e

u n b o n h o r l o g e r - r l i a b i l l e u r t r è s e x p é r i m e n t é e t s o i g n e u x , c o n - n a i s s a n t l a p e n d u l e en t o u s g e n r e s . C o n d u i t e e t m o r a l i t é s o n t e x i g é e s .

S ' a d r e s s e r d e s u i t e

Horlogerie Jmhof, Yevey.

AVIS AUX FABRICANTS

U n g r o s s i s t e c h e r c h e u n b o n f a b r i c a n t d e r e m . 24 à 30 l i g n e s ,

m é t a l et a r g e n t .

U n e f a b r i q u e d ' A l l e m a g n e d e - m a n d e d e s p e t i t e s m u s i q u e s , s a n s b o i t e ni r e s s o r t , p o u r a p p l i q u e r a u x r é v e i l s .

U n e m a i s o n s é r i e u s e s'offre a u x f a b r i c a n t s de m o n t r e s e t d e f o u r - n i t u r e s p o u r l ' i n t r o d u c t i o n d e l e u r s a r t i c l e s a u x E t a t s - U n i s .

A d r e s s e s e n v o y é e s g r a t u i t e m e n t

à. s e s c l i e n t s p a r 2326-20

« L e P a y s «le l ' H o r l o g e r i e » 22 r u e G u t e n b e r g , G e n è v e . J o i n d r e t i m b r e p o u r l a r é p o n s e .

Affaire d'avenir.

O n c h e r c h e d a n s le b u t d e d o n - n e r p l u s d ' e x t e n s i o n à u n c o m - m e r c e d o g r o s et r e p r é s e n t a t i o n

•en m o n t r e s et p e n d u l e s , é t a b l i à G e n è v e , et d'y a j o u t e r u n m a g a s i n d e d é t a i l , u n e p e r s o n n e d i s p o s a n t d ' u n e d i z a i n e d e mille f r a n c s , l a - q u e l l e p o u r r a i t e n t r e r c o m m e a s - s o c i é o u c h e f p r i n c i p a l .

S ' a d r e s s e r s o u s i n i t i a l e s J J120 a u b u r e a u île la Fédération horlo-

aère. 2402-3

H, KLEINERT

R u e C e n t r a l e , I S , B ï e i m e A c i e r s s u é d o i s et a n g l a i s , et L a i t o n s p o u r t o u s l e s u s a g e s d e

l ' h o r l o g e r i e . 2406-52

Une visiteuse de pierres

connaissant à fond la par- tie, cherche une place.

S ' a d r . a u b u r e a u p . é c r i t . 2401-8

FABRIQUE D'HORLOGERIE S O N V I L L I E R

Spécialité de montres re- montoir à vue et bascule de 13 à 20 lignes, acier, métal et argent pour tous pays aux meilleures conditions de qua- lité et de prix. 2394-52

C a l i b r e s i n t e r c h a n g e a b l e s . P i è c e s d e r e c h a n g e .

Affaire sérieuse

U n e p e r s o n n e a y a n t t r a v a i l l é p e n d a n t 1 5 a n s d a n s u n e i m - p o r t a n t e m a i s o n d e c o m m e r c e , c o n n a i s s a n t l a c o m p t a b i l i t é à f o n d e t d i s p o s a n t d ' u n c a p i t a l , d é s i r e e n t r e r c o m m e a s s o c i é d a n s u n c o m m e r c e q u e l c o n q u e . A u b e s o i n l a p e r s o n n e s e r a i t d i s p o n i b l e t o u t d e s u i t e . 23916

E c r i r e s o u s l e s i n i t i a l e s C - J . c a s e 2 5 8 0 , l a C h a u x - d e - F o n d s .

Représentant

en horlogerie

Un négociant sérieux, connais- sant à fond la montre, demande la représentation d'une bonne maison d'horlogerie suisse pour la vente de montres, genre alle- mand. Excellentes références à

disposition. 2380-6 Adresser les offres sous chiffre

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