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LE CHEVALIER DES CIMES SAINT BERNARD DE MENTHON

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LE CHEVALIER DES CIMES SAINT BERNARD DE MENTHON

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MARGUERITE JARDEL

LE CHEVALIER DES

CIMES

SAINT BERNARD DE MENTHON

APOSTOLAT DE LA PRESSE SOCIÉTÉ SAINT-PAUL 46-48, rue du Four - PARIS VI

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NIHIL OBSTAT,

PARIS, LE 19 OCTOBRE 1959.

G.-A. GOIMARD, CENS. DÉL.

IMPRIMATUR.

PARIS, LE 22 OCTOBRE 1959.

J. HOTTOT, V.G.

Tous droits réservés

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à mon père à ma mère

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DANS LA MEME COLLECTION Sainte Monique (†387), par Mgr Cristiani.

Saint François d'Assise (†1226), par Mgr Cristiani.

Saint Louis, roi de France (†1270), par Mgr Cris- tiani.

Sainte Jeanne d'Arc (†1431), par Mgr Cristiani.

Sainte Rita (†1457), par Mgr de Marchi.

Saint François Xavier, l'aventurier du Christ (†1552), par G. de Corbie.

Sainte Thérèse d'Avila (†1582), par Mgr Cristiani.

Saint Jean de la Croix (†1591), par Gilles Mauger.

Saint Louis de Gonzague (†1591), par M. de Crisenoy.

Saint Vincent de Paul (†1660), par Mgr Cristiani.

Sainte M argue rite-Marie et les promesses du Sacré- Cœur (†1690), par Mgr Cristiani.

Miracle à Turin, saint Benoît-Joseph Cottolengo (†1842), par B. Lejonne.

Saint Jean-Marie Vianney (†1859), par Mgr Cris- tiani.

Sainte Bernadette (†1879), par Mgr Cristiani.

Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus (†1897), par une Carmélite.

Le joyeux Don Bosco (†1888), par Chiavarino.

Sainte Maria Goretti (†1902), par A. Gualandi.

Sainte Gemma Galgani (†1903), par Marie André.

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A LA MEMOIRE DE JACQUES DE MENTHON

A vous, jeune ami trop tôt disparu, je dédie ces humbles pages où s'inscrit la vie prodigieuse d'un de vos ancêtres, saint Bernard de Menthon, pour lequel vous aviez un culte émouvant.

Tout adolescent dans les dures années 1940- 1944, vous aviez été comme un ange conducteur dans mes recherches de documents que possédait votre famille. Vous étiez aussi passionné que moi pour découvrir un trait, un mot qui puisse donner plus de relief, de grandeur à cette sainte figure.

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Vous aviez voulu, en reconnaissance pour mon travail, me dédicacer avec tant de sponta- néité et de délicatesse la généalogie de saint Ber- nard, la vôtre !

Il y a un an à peine, vous me donniez votre médaille, cette médaille de famille, belle effigie de notre saint Bernard.

Maintenant qu'il vous a appelé près de lui, dans cet au-delà où votre âme sensible et belle connaît « le plus grand amour », veillez tous deux sur mon humble travail et que cette vie

« prodigieuse » exalte et élargisse les cœurs vers l'universel amour.

Paris, Novembre 1952.

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PREFACE DE MONSEIGNEUR A. LOVEY, Prévôt du Grand-Saint-Bernard Quand le promeneur s'arrête devant un arbre majestueux ou même devant une humble fleur, il lui arrive le plus souvent de les admirer et de se laisser gagner par leur charme, sans penser aux mois et aux années de labeur de la sève cachée, aux frimas, à la sécheresse et aux orages qu'il a fallu traverser pour arriver à la simple merveille qui est là sous ses yeux.

Aujourd'hui, l'Apostolat de la Presse nous pré- sente « Le Chevalier des cimes, Saint Bernard de Menthon », de Marguerite JARDEL. Or, ce petit livre est le résultat de plus de vingt années d'efforts, de recherches, de correspondance, de veillées et de travaux ! Tâche méritoire, qu'expli- quent et soutinrent seules une grande piété et une immense admiration de l'Auteur pour celui qu'elle nomme si à propos « Le Chevalier des Cimes ».

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Malgré la guerre, de nombreuses épreuves de santé, les servitudes de l'enseignement et le souci du pain quotidien, Marguerite JARDEL n'a jamais désespéré d'arriver au but qu'elle s'était proposé : mieux faire connaître et aimer ce pur héros de la charité chrétienne, mettre en lumière son œuvre de précurseur et le ressort secret qui la lui fit concevoir et mener à chef: un total oubli de soi et un parfait amour de Dieu !

Pourrait-on prétendre qu'un tel livre ne soit pas actuel et n'ait pas un rôle à jouer, surtout auprès de la jeunesse contemporaine ? Notre génération s'amollit dans le confort ou ne vibre plus que pour un idéal trop terre-à-terre : le sport ! Tant de jeu- nes s'ennuient à mourir ou se lancent dans des exploits de « blousons noirs », parce que personne ne sait les tirer de leur égoïsme en leur fournissant un motif valable d'engagement pour leur liberté et leur vie même, qui leur paraissent choses parfai- tement inutiles ! Ah ! qu'une telle jeunesse a besoin des hautes et fortes leçons que lui donne saint Bernard de Menthon !...

S ans doute, bien des détails de cette vie admi- rable nous échappent encore ; d'autres relèvent davantage de la légende ou d'une pieuse imagi- nation que de l'Histoire. Toutefois, l'essentiel en est connu et peu importe, après tout, que certains biographes aient enjolivé le récit de sa vocation, par exemple. Que saint Bernard ait brisé les bar- reaux de sa fenêtre et se soit enfui du château

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paternel, la nuit même qui précédait ses noces ou que, simplement, il ait répondu à l'attrait divin et ait suivi sa vocation avec le consentement de ses parents, le fait est là, certain, éblouissant : Ber- nard a tout quitté, s'est renoncé soi-même pour se consacrer à un double but : la gloire de Dieu et le salut du prochain.

L'amour de Dieu le poussa à rechercher sans cesse Sa gloire, à Lui préparer un peuple parfait par la prédication et plus encore par l'exemple de sa vie, à détruire, enfin, les vestiges du paganisme, réfugiés dans les hautes vallées alpestres et surtout au Mont-Joux. L'amour du prochain lui fit conce- voir et réaliser une œuvre de charité vraiment hé- roïque : s'installer avec ses fils spirituels en des lieux âpres et déserts, pleins de dangers et d'in- confort, pour y attendre, accueillir sous son toit et traiter de son mieux le Christ-pèlerin, dans la personne du plus humble des voyageurs, du plus anonyme des passants. «Tout ce que vous aurez fait au moindre d'entre les miens, c'est à Moi que vous l'aurez fait ! » (Mt. XXV, 40.)

Saint Bernard a renoncé à tout, a tout quitté, jusqu'à l'espoir d'une brillante carrière et d'une descendance terrestre, afin d'être entièrement libre de s'adonner au service de Dieu et du prochain.

Aujourd'hui, après mille ans, alors que la plupart de ses illustres contemporains sont tombés dans l'oubli le plus complet, la postérité spirituelle de saint Bernard subsiste toujours et son nom est

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invoqué avec confiance, sa mémoire bénie de géné- ration en génération. Sa gloire, loin de s'éclipser, va grandissant depuis, surtout, que Pie XI l'a pro- clamé Patron céleste des alpinistes et de toutes les populations montagnardes. Sa protection est toujours efficace, comme l'attestent les nombreu- ses faveurs et même les miracles qui continuent de s'obtenir par son intercession.

Voilà l'épopée merveilleuse que nous raconte Marguerite JARDEL dans son livre, totalement inspiré par l'admiration et l'enthousiasme qu'elle a conçu pour ce noble « Chevalier des cimes ».

En remerciant Marguerite JARDEL de son tra- vail, de sa contribution en vue de faire mieux connaître et aimer notre Fondateur, saint Bernard de Menthon, que Pie XI n'hésitait pas à ranger parmi les plus grands héros du nom chrétien, je souhaite le plus grand succès et la plus large diffu- sion à son ouvrage, fruit de tant de peines et tra- vaux qui, par conséquent, ne saurait périr mais, au contraire, portera, j'en suis persuadé, de nom- breux fruits d'édification parmi le public et, spé- cialement, la jeunesse contemporaine !

Hospice du Grand-Saint-Bernard, le 11 janvier 1960.

ANGELIN-MAURICE LOVEY C.R., Abbé et Prévôt du Grand-Saint-Bernard.

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AVANT-PROPOS

Le drame passionnant de la vie de saint Bernard de Menthon, que j'écrivis pendant les années terribles 1939 à 1944, ne put paraître, ni son adaptation à l'écran.

Le temps passa, la trêve n'amenait cependant pas la paix, cette paix que l'humanité appelle de tout son être.

Je la termine pour l'année 1960, tenant à y inscrire le splendide et unique déroulement de l'œuvre de saint Bernard de Menthon : la création d'un monastère et d'hospices sur les plus hauts sommets des Alpes, sur des cols qui, pen- dant des siècles, virent déferler les invasions, su- birent le contre-coup des guerres, et furent souil- lés et ensanglantés par le paganisme et le culte de Jupiter.

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Bernard de Menthon fit de ces lieux un séjour de prières, un refuge pour les voyageurs perdus dans les neiges. Cette œuvre hospitalière était vraiment l'ordre de Dieu.

Depuis mille ans elle demeure grâce aux religieux qui pieusement la continuent avec la même solidité, la même ferveur, le même rayonnement. Ce miracle de durée est émouvant, il est basé sur l'amour, sur la donation totale de l'être. Les religieux actuels, successeurs de saint Bernard, gardent intact comme lui l'Ordre de saint Augustin, poussant jusqu'au sacrifice de leur vie l'accomplissement de cette tâche : la recherche et le sauvetage des voyageurs égarés dans le royaume des neiges, aidés en cela par les beaux chiens venus du Thibet, appelés les « Saint Bernard ».

Ces religieux, vrais chevaliers des cimes, apô- tres, missionnaires du Christ, éducateurs aussi, savants le plus souvent, méritent plus que notre admiration : notre amitié ; essayons de les mieux connaître dans leur vie de chaque jour, de les aider de nos prières, afin qu'ils puissent conti- nuer à montrer au monde ce magnifique exemple de la pure donation d'eux-mêmes pour secourir l'humanité souffrante.

Dieu situe l'être qui s'est donné à Lui dans le cadre où il pourra le mieux réaliser sa mission.

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Quel cadre plus doux et harmonieux que l'Ombrie pour modeler l'âme de saint François d'Assise, qui trouvait en cette nature la plus ardente mystique pour atteindre l'âme des hom- mes, en prêchant aux oiseaux, aux poissons, en chantant l'hymne au soleil au milieu des fleurs dans un paysage de tendre lumière?

Quel cadre plus, incomparable que l'Espa- gne, au soleil trop ardent, aux paysages arides, aux effets de lumière et d'ombre, aux nuits par- fumées, aux aubes pures, pour une sainte Thé- rèse d'Avila faisant jaillir de son cœur en feu l'œuvre du Carmel, lumière et ombre, action et contemplation ?

Un Père de Foucauld réalisa son rêve d'apos- tolat et d'amour dans le désert brûlant du Hog- gar où le souffle de feu du vent des sables n'al- térait pas son désir du sacrifice.

Ce sera sur l'un des plus hauts sommets des Alpes, à 2472 mètres d'altitude, dans un site dépouillé, sauvage, aride, mais si pur par la blan- cheur de ses neiges, que saint Bernard de Men- thon créera un foyer d'amour, une communauté religieuse, une œuvre hospitalière pour ceux que la montagne attire et que la mort guette.

J'ai essayé de faire revivre cette noble et

grande figure de saint Bernard avec tout ce qui

s'en dégage d'humain, sa grande bonté, son intel-

ligence, sa science si rare en son temps, sa vo-

lonté tenace, et surtout avec sa sainteté rayon-

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nante qui, par la grâce de Dieu, lui fit accomplir de grands miracles de son vivant.

En un temps de grandes misères — la fin du X ème siècle où il est né, le XI ème siècle où il vécut, le savant cardinal Baronius les nom- mait « les siècles de fer » — sa vie fut jalon- née d'épreuves : il connut la douleur des sé- parations, des abandons, des angoisses ; elles flagellèrent son cœur ardent et sensible qui se consumait d'amour pour Dieu dès son plus jeune âge. L'ayant marqué du sceau de l'Agneau Divin, Dieu lui demanda l'immolation totale. Comme toutes les âmes généreuses il a répondu oui à cet appel. Avec joie et souffrance il a pu offrir un cœur déchiré, une chair meurtrie.

Mais il a su aimer avec tout ce que ce mot renferme de puissance, de chaleur. Son œuvre est une œuvre d'amour qui demeure malgré les terribles vicissitudes que lui apporte notre époque.

Avec piété j'ai essayé en plusieurs fois et pen- dant vingt ans de retracer cette vie, grâce aux précieux documents de la famille de Menthon, grâce également aux rares manuscrits et aux nombreux livres du couvent du Grand-Saint- Bernard et à son Prévôt Monseigneur Lovey.

Qu'ils trouvent ici mes sentiments de profonde reconnaissance.

C'est avec ce riche patrimoine que j'ai recher-

ché la vérité sur la vie de saint Bernard.

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Aux instants où les documents étaient muets, où la vérité semblait s'effacer, j'ai prêté à l'histoire le don imaginatif qui s'appuie sur la tradition légendaire, qui vient de l'émotion qu'un cœur éprouve devant la répétition de cette tra- dition que le cours des siècles n'efface pas lors- que celle-ci est enveloppée de grandeur. Cette partie « traditionnelle » que j'ai évoquée pro- longe et complète la vérité historique des faits.

En cela, je me suis appuyée sur la présence d'œu- vres écrites et picturales du Vatican, mais plus encore sur la Lettre Apostolique que sa Sainteté le Pape Pie XI écrivit à Mgr Du Bois de la Villerabel, évêque d'Annecy, à l'occasion du mil- lénaire de saint Bernard de Menthon, le décla- rant apôtre des Alpes, protecteur des alpinistes et voyageurs.

Je souhaite que la lecture de cette vie émeuve, repose, exalte et fortifie comme il me fut donné de l'éprouver moi-même dans une époque tour- mentée et tragique.

MARGUERITE JARDEL.

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I LE CADRE

« Les montagnes et toutes

« les collines seront abaissées,

« les chemins tortueux seront

« redressés et les raboteux

« aplanis. Venez, Seigneur, ne

« tardez pas ! »

(Is. 39, 18.)

DU SAINT-BERNARD A MENTHON

La France porte en elle tous les amours du Créateur. Dieu peintre et sculpteur en a tracé les contours et modelé la terre, la dotant d'un sol riche et varié.

Ses paysages se déploient en des coloris har- monieux et des lignes opposées.

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La Savoie tout particulièrement étale ces contrastes. Nobles et unis, doux et gracieux, somptueux et calmes, mouvementés et agrestes, romantiques et sauvages, tels apparaissent en leurs traits si divers les vallées verdoyantes, les collines accueillantes, les cols arides, les monta- gnes inaccessibles, les défilés farouches, les gor- ges sombres. Cette nature avare de grâce est ter- riblement désolée en hiver, où tout ce qui est humain demeure enseveli dans un linceul de pureté : la neige. Elle se découvre au printemps prodigue de beauté, le soleil d'avril illumine les sommets dont la blancheur virginale s'unit au ciel bleu, les vents légers soulèvent la poudre blanche, et la terre, la roche, timidement se lais- sent voir. Avec elles la tristesse du paysage dis- paraît ; la nature chante, les gentianes, les edel- weiss, les anémones recouvrent ce sol qui semblait mort. Avec les fleurs c'est la vie renaissante. Les lacs miroitent, recevant les reflets paradisiaques du soleil qui joue avec ses prismes ; tout s'irise, s'illumine devant ce renouveau de la nature.

L'on peut chanter l'hymne sacré :

« Montagnes et collines, bénissez le Seigneur. » C'est peut-être l'automne qui apporte au pay- sage le plus merveilleux épanouissement coloré en sa douceur mélancolique et dorée. Alors cette nature n'a plus rien de la terre. Tout ce qui est humain disparaît. Les âmes, les corps

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ont soif d'infini. Devant la contemplation de ces merveilles l'être s'exalte pour les divines ascen- sions. Le massif du Saint-Bernard nous donne ces sensations.

Que ce soit le col du Petit-Saint-Bernard, situé au nord-est de l'arrondissement de Mou- tiers qui est comme l'aboutissement magnifique des paysages montagneux de l'Europe, que ce soit le Grand-Saint-Bernard, dont les vallées sont dominées par des cimes neigeuses qui se reflètent dans un lac calme et pur, sur ces massifs l'on contemple ce don du ciel : les Hospices qui sont le refuge des voyageurs.

Du Petit-Saint-Bernard, on redescend sur la vallée par Bourg-Saint-Maurice, on arrive dans une partie de la Haute-Savoie plus accidentée, un peu moins farouche et, laissant la chaîne royale du Mont-Blanc, on s'achemine vers Annecy.

Le paysage devient plus séduisant, la ville se mire dans un lac où toutes les gammes du bleu et du vert se marient : le turquoise et l'éme- raude, le véronèse et l'indigo. A toute heure du jour c'est le sourire enchanteur que la nature nous donne après l'austère tableau du Saint- Bernard.

Annecy est proche du village de Menthon.

Ces noms font surgir à nos yeux des images de douceur, de beauté ! Les rives du lac, d'un charme romantique, sont plus calmes que celles

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IMPRIME EN FRANCE Achevé d'imprimer le 4 mars 1960 sur les presses de l'Apostolat de la Presse 84, Bd Gambetta, Nogent-s-Mame (Seine) Reg. Ed. n° 157 - Dépôt lég. 1 tr. 1960 - Reg. Imp. n° 152

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