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Femme : arts, métiers et espace d intervention

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Groupe de recherche EUNOE Université Ibn Tofail Kénitra Faculté des Lettres Département d’histoire

L’objectif de cette réflexion est de fournir des indices de détermination de l’évolution du champ d’intervention féminin.

Pour ce faire, nous utiliserons trois variables explicatives :

1 - L’espace : comme générateur d’attitudes.

2 - La modernité : comme transformateur.

3 - Les arts et métiers : comme révélateurs.

I ) L’ESPACE, GENERATEUR D’ATTITUDES.

Nous partons de l’hypothèse suivante : l’espace n’est pas neutre, la vie ou la confrontation à tel ou tel espace engendre et forge une constellation de traits de caractères, complexes, disparates, mais reliés entre eux par la structure même de l’espace. Il existe ainsi une multitude d’espace chacun d’entre eux à une forme et une structure particulières. Ces formes et ses structures deviennent des creusets ou se construisent se forgent des types de relations humaines.

La disparité des formes modélise des relations plutôt que d’autres.

La disparité des structures influe sur les normes.

Au Maroc la femme et l’homme ont évolué dans des environnements spatiaux différents. Tel environnement qu’il est possible de répartir l’espace selon plusieurs variables ( Lieu d’habitation : Rural/Urbain ; Sens : Sacré/Profane ; Espace réparti selon les classes sociales ... ). Nous avons choisi de subdiviser l’espace en deux types de variables explicatives : Espace du Dedans/ Espace du Dehors.

L’homme et la femme dans la société traditionnelle marocaine s’expriment dans ces deux types d’espace.

L’espace qui est reconnu à l’homme comme étant le sien, est l’espace du dehors. L’espace qui est reconnu à la femme comme étant le sien, est l’espace du dedans.

La situation de vient plus complexe s’agissant de l’espace non reconnu.

- L’homme et la femme s’expriment dans ces deux types d’espace.

- De par sa structure, le champ d’expression masculin est supérieur au champ d’expression féminin.

- Les règles qui régissent la structure et la forme des champs sont mieux maîtrisées par l’homme, puisque l’espace du dedans peut être considéré comme un sous ensemble de l’espace du dehors.

- La femme se retrouve dans un espace qui lui est propre mais dont elle ne maîtrise pas seule le fonctionnement.

- L’homme maîtrise directement l’espace qui lui est reconnu comme sien.

Nous allons considérer ces deux types d’espaces, celui du dedans et celui du dehors l’un spécifiquement féminin et l’autre spécifiquement masculin. Et nous essaierons de les comprendre selon trois varibles tests de la structure de l’espace : « Dimension ; Densité ; Hétérogénéité ».

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Nous pouvons constater que les deux espaces sont différents.

- La dimension de l’espace du dehors est supérieure à celle du dedans.

- La densité de l’espace du dedans est supérieure à celle du dehors.

- L’espace du dehors est plus hétérogène.

L’homme vit et évolue dans un espace à large dimension, très hétérogène mais à densité réduite.

La femme vit et évolue dans un espace à dimension réduite, peu hétérogène mais d’une grande densité.

Cette structure traditionnelle de l’espace n’est pas rigide. Elle répond à des règles précises qui puisent leur légitimité dans le champ des conflits socio-historiques. L’espace d’expression féminin s’agrandit et se réduit en fonction des résultats obtenus au terme de la confrontation Homme/Femme. Cette confrontation dépend d’une constellation de variables aussi bien économiques, politiques que sociologiques.

Nous nous trouvons donc face à un espace modulable au gré de l’évolution des rapports Homme/Femme.

En fonction de la structure de l’espace ( sa dimension, sa densité, son hétérogénéité), et en fonction de sa capacité de modulation naissent et se développent un ensemble d’attitude. Des attitudes du dedans qui sont principalement féminines, et des attitudes du dehors, qui sont principalement masculines.

II ) LA MODERNITE COMME TRANSFORMATEUR.

1 ) Continuité ou rupture

L’espace marocain est confronté pratiquement à la modernité depuis plus d'un siècle. Ce qui suppose une intensification des transformations et dans la structure de l’espace et dans sa propre modulation issue des confrontations sociales.

Cela se répercute fortement sur les modes de vie. Autrement dit, nous ne sommes plus dans un système continu ( à une situation traditionnelle 1, s'ajoute à une situation traditionnelle 2) ; mais plutôt dans un système de rupture ( à une situation traditionnelle s'ajoute à une situation moderne).

A quel résultat faut-il s'attendre quand on sait qu'à la modernité préside une nouvelle forme de pensée?

La tradition sous-entend une transmission généalogique et une incitation qui se perd dans le temps infini. Cette transmission est destinée à assurer la continuité d'une influence spirituelle. Elle représente aussi une entité intégrale. Ce qui nous amène à déduire que toute perte partielle ou totale ne peut être récupérée.

La modernité suppose une approche nouvelle en rupture avec la tradition, c’est un ensemble d’attitude fondé sur l'expérience sensible et sur les potentialités créatives de l'homme. Il est en principe accessible à tout homme et femme. La modernité propose à la femme des possibilités de choix et d’orientations multiples y compris parmi ceux qu’offre la tradition.

2 ) Simple ou complexe.

De plus de cette disparité de fond (Continuité/Rupture), il existe une disparité de forme qui agit sur fonctionnement même de la société marocaine.

La structure sociale traditionnelle est simple dans le sens où il y a juxtaposition dans un même groupe d'individus culturellement semblables, à faible taux de différenciation( ou la notion hétérogénéité

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spatiale est faible). La principale différence étant sexuelle. ces individus ont les mêmes référents, ils se définissent par rapport au groupe.

Ce qui est difficile à saisir, c'est le mode culturel de l'individu seul dont la manière de penser, de sentir et d'agir s'articule à celle du groupe dans sa totalité. Il est par conséquent un simple reconducteur des normes existantes.

En effet, l'individu ne réagit que par rapport à un ensemble dont il ne peut se retrancher.

Paradoxalement la culture de groupe devient complexe. Son décodage nécessite le décodage d'un ensemble d'interactions. Mais en tous les cas, s’agissant des espaces féminin et masculin, les taches et les rôles sont répartis très tôt, c’est à dire dés le plus jeune âge, avec une faible possibilité d’improvisation.

La structure sociale moderne favorise l'émergence de l'individu. Elle correspond à un ordonnancement d'individus différents, chacun aspirant à un rôle social précis. Cependant, dans ce cas, l’expression artistique semble paradoxalement plus simple à identifier puisqu'elle correspond à la manière de penser, de sentir et d'agir de l'individu devenu plus autonome par rapport au groupe. Ainsi, l'individu est plus facilement identifiable dès le moment où le poids du groupe s'est atténué.

De traditionnelle à moderne, la société s'est simplifiée en s’individualisant. Avec une existence latente d’une volonté de définition de groupe. quels que soient les efforts de la femme pour émerger et se distancer du groupe, à travers la modernité, il y aura toujours résistance du groupe face à cette individuation.

III ) LES ARTS ET METIERS : COMME REVELATEURS.

Qu’en est-il de l’espace d’expression artistique? Et, que génère-t-il comme types d’attitudes.

L’homme est capable d'utiliser la connaissance en vue de l'amélioration du niveau de vie, de l'éducation, du goût et de la pertinence du jugement. Les arts et les sciences ainsi que las métiers utiles peuvent libérer l’homme. La femme en accédant, grâce à l’instruction, à ces arts, ces métiers et cette science accède à nouveau statut individuel.

Une comparaison entre les métiers traditionnels féminins, et les métiers qu’offre la modernité, à la société d’aujourd’hui, peut être révélatrice de la structure de l’espace, et de ces capacités de modulation. Cela nous permettra de vérifier trois si :

Nous sommes dans une situation de rupture, en face de nouvelles types d’attitudes Homme/Femme.

Nous sommes dans une situation de continuité en face des anciennes types d’attitudes Homme/Femme.

Nous sommes dans une situation intermédiaire en face des anciennes types d’attitudes Homme/Femme reconduites sous des formes modernes.

Pour vérifier ces hypothèses nous nous intéresserons aux métiers traditionnels féminins, et plus spécialement un métier d’art ( la musique), que nous comparerons avec la situation actuelle.

1) Des métiers et des femmes

Nous partons d’un constat : sur plus 126 métiers (non commerciaux) de la ville de Fès répertorié par Prosper Ricard dans les années vingt en 1924 ( Hespéris T.4 1924) seulement 16 sont autorisés aux femmes.

Dans ces métiers on trouve aussi bien des hommes que des femmes sauf pour 9 qui sont spécifiques aux femmes.

Rouleuse de couscous( Fettala), Pétrisseuses de pâte de pain (Khbbaza), Pâtissières de cornes de gazelles (M’alma Ka’b ghzal), Pâtissières de pâtes feuilletées (M’alma bstila), Cuisinières, Fileuse de laine (M’allma nij), tisseuse de laine (M’allma zrabi), Couturière, Animatrice des réjouissances familiales (Ngafa), Concierge du Hammam (Glassa), Masseuse du Hammam (Teyyaba), Accoucheuse (Qabla)

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Utilisatrices du henné (Hnaya), Laveuse des mortes (Ghessala), Chanteuse du sacré (Hddara), Chanteuse du profane (Chikha).

A ces métiers, il faut rajouter d’autres plus hermétiques, aussi bien féminin que masculin qui représentent une fonction sociale et économique, et dont les protagonistes sont des panseurs de maux. Il s’agit de la magie de la sorcellerie et de la médecine traditionnelle.

Cette liste établie par Prosper RICARD n’est pas exhaustive puisqu’elle concerne seulement la ville de Fès. Elle a néanmoins le mérite d’exister et de nous permettre d’effectuer des extrapolations et des synthèses.

Si on regroupe ces métiers on se rend qu’ils ont plusieurs caractéristiques.

Dans certain secteur de métier la femme est complètement absente ( la boucherie, la construction, la chaudronnerie). Le travail féminin se déroule dans des intérieurs ou dans des extérieurs transformés en couloir réservés temporellement. Le développement de l’activité féminine se fait à l’abri des regards des hommes. Si l’on exclu l’art Le travail féminin est utile à toute la société. Le métier se transmet d’une génération à l’autre.Le corps de la femme est parfois l’objet central.

2 ) La musique comme révélateur

Pour une première l’analyse nous traiterons seulement de la musique, sachant pertinemment qu’une synthèse plus complète serait nécessaire. Cette réflexion de départ est à considérer comme une piste de recherche à développer.

La musique es un art qui s’inscrit et dans la tradition et dans la modernité. Les métiers de musicienne cités par P.RICARD sont celui de Hddara et Chikha. Les premières réalisent et exécutent une musique et un chant sacré. Les secondes accomplissent un chant profane.

Ces deux types de musiciennes se situent dans deux pôles bien distincts, au niveau de l’imaginaire social. Cependant, l’espace d’exécution de ces deux musique est semblable de même que les fonctions des chikhas et des hddâra restent similaires.

A) L’espace

C’est un espace du dedans à densité forte. Ce type de regroupement nécessite un nombre important de présents pour véhiculer du sens.

C’est un espace qui recherche l’hétérogénéité. Plus le groupe est hétérogène plus il ajoute une plue value qualitative à l’espace.

C’est un espace à dimension réduite, qui s’articule avec l’espace du dehors à travers le son et la musique.

Nous nous trouvons dans des espaces fermés, qui ont les possibilités de véhiculer des attitudes du dehors, en plus des attitudes du dedans qui leurs sont intrinsèques. Les femmes musiciennes se retrouvent ainsi dans des situations limites, par rapport à leur situation dans les autres métiers.

B) La fonction

Les fonctions de la musique dans la société marocaine sont multiples. Les musiques des chikhates et des hddâra sont utiles. Elles peuvent remplir trois missions pour les personnes concernées :

Propitiatoire.

L’invocation du divin qu’organisent les Hddâras, les largesses financières que suscite la présence des chikhates, sont considérés comme des moyens pour rendre les éléments propices.

Expiatoire.

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De manière inverse il est possible d’invoquer le divin ou de dépenser afin d’expier les péchés accumulés.

Thérapeutique ou prophylactique.

Les musiques des chikhates et Hddâra, comme elles se déroulent dans des espaces particuliers, se déroulent aussi dans des moments précis. Cette configuration des l’espace et du temps véhicule une influence sur le corps.

3) Les nouvelles normes

Aux musiques traditionnelles existantes - populaires, mystiques et savantes -se sont ajoutées de nouvelles musiques tout au long du vingtième siècle. Cette ouverture s’est faîte en principe aux hommes et aux femmes.

Comment se traduit notre problématique du dedans et du dehors dans situation? Elle diffère selon le type de musique concerné.

A)La musique populaire

Cet art est à l'époque actuelle dans la situation suivante : la musique populaire est de plus en plus extraite de son environnement naturel, il y a donc un rétrécissement du monde sonore et rythmique, comme contrepartie de l’augmentation des moyens technologiques. En tous les cas il y a une altération des repères et des modèles culturels anciens.

La transplantation de ce art d'un espace à l'autre, sa confrontation s rapide avec la technologie contribue à des changement de fond et de forme.

La femme musicienne continue de jouer des mêmes instruments et d’effectuer le même rôle qu’auparavant, malgré les changements et les apports de la modernité, on se retrouve dans une situation traditionnelle sous un moule moderne. Les attitudes du dedans qui lui sont dévolues demeurent.

C) La musique mystique

Cet art non écrit non théorisé représente la mémoire ancestrale, populaire Il permet un rattachement à savoir traditionnel et originel. Il un moyen d’identification du groupe et de compréhension du passé. Bien que cette musique ait subie des réinterprétations multiples, elle n'en demeure pas moins la mémoire d'un groupe.

Malgré les transformations de forme de cette musique mystique, aucune transformation de fond ne s’est opérée. Les distribution des rôles restent fixes. La femme dans cette situation reconduit une pratique ancienne et continue à véhiculer les mêmes attitudes du dedans.

B) La musique savante

Cet art Arabo-Andalou et urbain s’est dès son origine inscrit dans une optique ouverte de par tous les processus migratoires cumulés (Orient, Andalousie, Maghreb). Il a été réinterprété au cours du temps, sa transplantation d'un espace à l’autre lui a permis d'épouser à chaque fois les nouvelles formes d'accueil.

La modernité, le soutien financier de la bourgeoisie urbaine, l’école, toute cette constellation de variables ont offert à cette musique savante les moyens de mieux se maintenir, notamment à travers l’écriture musicale.

La femme en devenant instrumentiste, a pu développer de nouvelles attitudes, celles du dehors, toute une analyse de ce long processus serait intéressante.

D) La musique actuelle

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Comme pour les autres arts il existe plusieurs formes musiques modernes. Elles consistent ou bien en la relecture locale des musiques occidentales, ou bien en une tentative de modernisation des formes artistiques locales. Ces arts ont évolué depuis l’indépendance d’une manière sinusoïdale en alternance avec d’autres formes artistiques. En musique aucune tendance moderne synthétique n’a pu voir le jour. Tout ce passe comme si l’on puisait à chaque fois dans le creuset traditionnel pour effacer la forme artistique qui précède. Le blocage essentiel du développement de cette nouvelle forme artistique est la non émergence de l’individu, de l’artiste créateur de l’artiste modèle. Le groupe reste essentiellement déterminant. L’individu ne peut se surpasser, se démarquer de la société, refuser la reproduction du système et de ses valeurs. Il ne peut devenir indépendant sans se mettre en dehors du groupe.

IV) SYNTHESE

La femme dans son rapport à la musique part déjà d’un certain statut de départ, chanteuse (plus rarement instrumentiste) du sacré et du profane. La musicienne du sacré se déployait dans un espace intérieur et féminin. Elle accentuait des attitudes du dedans déjà puissantes par la sacralité qu’elles véhiculaient. la musicienne du profane fonctionnait dans tout types d’espace. Elle contribuait à l’exacerbation des attitudes du dehors, avec des connotations négatives sous-jacentes.

Dans la société actuelle, la femme se trouve face à des possibilités d’intervention multiples dans le champ de la musique. Elle a en principe le libre choix d’accès à tous types de musique. Malgré tout, dans cette situation, nous trouvons, au niveau professionnel, des femmes essentiellement chanteuses, rarement instrumentistes, sauf dans des formations savantes ou classiques.

Tout se passe comme s’il y a reconduction accentuation de structures déjà existantes. Les perspectives qu’offre la modernité sont ré-agencées et réadapté à travers le prisme d’un moule traditionnel.

C’est une forme intermédiaire de reconduction d’attitudes anciennes, sous des formes modernes.

L’homme dans la société traditionnelle a la légitimité de fonctionner dans l’espace intérieur et extérieur, il avait la possibilité de jouir de toute les caractéristiques de l’espace (densité, dimension et hétérogénéité) . Il s’est déployé plus souvent dans l’espace extérieur ( hétérogène et de dimension large). de ce déploiement se sont développées des attitudes du dehors, ensemble complexe qui peut contribuer à la définition de la configuration masculine.

La femme dans la société traditionnelle n’avait que la légitimité de fonctionner dans l’espace intérieur, dont la principale caractéristique est la densité. L’espace extérieur lui était fermé. De cette situation se sont développées des attitudes du dedans, ensemble disparate qui peut contribuer à la définition de la configuration féminine.

Dans la société moderne la femme se trouve devant des possibilités d’ouverture vers l’extérieur, d’extension et par conséquent d’acquisition d’attitudes du dehors. Ces possibilités se sont trouvés à chaque fois en face de résistances multiples.

La femme musicienne s’insère dans la continuité de la femme chanteuse traditionnelle du sacré et du profane. La reconnaissance (c’est à dire la professionnalisation légitime de son art) est inversement proportionnel au degré d’écart par rapport au rôle qui lui est assigné dans la société traditionnelle. L’espace du dehors qu’elle a conquis, en tant que musicienne, est rarement générateur d’attitudes du dehors spécifiquement féminines, où l’individu émerge. Cet espace conquis est plutôt reconducteur d’attitudes du dedans. Sa légitimité est variable puisqu’il n’y a pas homothétie entre le contenant est le contenu.

Il faut chercher ailleurs un espace reconnu qui ne s’inscrit pas dans une continuité traditionnelle, et qui est un générateur légitime des attitudes du dehors indépendant des variables licitantes et illicitantes : L’espace de l’école.peut être considéré comme une piste de recherche.

Jamal KHALIL

Kenitra Avril 1995

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