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Sur la représentation de l'équation d'ondes et l'évolution des grandeurs électromagnétiques dans la théorie du photon

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(1)

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Sur la représentation de l’équation d’ondes et l’évolution

des grandeurs électromagnétiques dans la théorie du

photon

Gérard Petiau

To cite this version:

(2)

SUR LA

REPRÉSENTATION

DE

L’ÉQUATION

D’ONDES

ET

L’ÉVOLUTION

DES GRANDEURS

ÉLECTROMAGNÉTIQUES

DANS LA

THÉORIE

DU PHOTON Par M. GÉRARD

PETIAU,

Institut Henri Poincaré.

Sommaire. 2014 On se

propose dans ce travail d’examiner quelques points de la théorie du photon de M. L. de Broglie d’une façon indépendante de la représentation choisie pour les matrices intervenant dans l’équation d’ondes. Après avoir établi une expression générale de la solution de l’équation d’ondes

au cours du temps au moyen des valeurs initiales des fonctions d’ondes données arbitrairement, on

examine la représentation électromagnétique de l’équation d’ondes en cherchant les équations satisfaites par les coefficients du développement de la matrice du quatrième rang formée par les fonctions d’ondes,

sur le système complet des matrices déduit des matrices de Dirac. La solution précédente permet alors

d’écrire simplement les expressions des grandeurs électromagnétiques au cours du temps dans l’onde plane à partir des grandeurs électromagnétiques initiales. On montre ainsi que la forme la plus générale de l’onde plane de la théorie du photon dépend de huit constantes arbitraires et de quatre seulement dans le cas de l’onde à énergie positive. Les expressions des grandeurs électromagnétiques permettent d’établir des relations remarquables entre ces grandeurs précisant la structure électromagnétique de l’onde plane. On donne ensuite les expressions des fonctions propres des opérateurs de spin correspondant à leurs valeurs propres + I, 2014

I et o et l’on montre que l’onde plane portant le spin + I ou -2014 I dans la

direction de propagation est transversale tandis que l’onde portant le spin O dans cette direction est

longi-tudinale. On examine la représentation des ondes planes dans ces différents cas.

1. Les solutions de

l’équation

d’ondes. - Dans

la théorie du

photon

de M. Louis de

Broglie (1),

l’évolution du

photon

est déterminée par la

connais-sance d’un

système

de seize fonctions d’ondes

~~~(x,

t)

satisfaisant simultanément à seize

équations

d’évo-lution et à seize

équations

de conditions que l’on

peut

représenter

par les

systèmes

Si nous introduisons la masse

réduite P-

=

~~

[1.0

r

si nous posons

(1) Voir L. DE BROGLIF,, Nouvelles recherches sur la lumière,

Paris, Hermann, et Cours professé à l’Institut Henri-Poincaré, 1937-1938 et 1938-ig3g.

les

systèmes (1)

et

(2)

s’écrivent encore

M. Louis de

Broglie

a montré

qu’il y

a bien

compa-tibilité entre les

systèmes (1)

et

(2).

Si nous

appliquons l’opérateur

£ di

à

l’équation

(l’)

le

nous obtenons la

condition

Or en

désignant

par

H~

et

H2

les

opérateurs

Nous avons

Nous en tirons

D’autre

part

les fonctions

~t,,

doivent satisfaire

à la condition déduite de

(z’)

(3)

414

Nous obtenons donc

1 j

Les fonctions d’ondes satisfont donc aux

équations

du second ordre

Nous allons chercher les solutions des

systèmes

(1)

et

(2) qui

se réduisent

pour 1

= o à un

système

de

fonctions initiales

données,

soient

(x,

y,

z).

Nous supposerons ces fonctions initiales

repré-sentables par des

intégrales

de Fourier de la forme

Si les solutions cherchées sont

également

repré-sentables par des

intégrales

de

Fourier,

nous pouvons

écrire

Cette

expression

substituée dans

l’équation

(7)

nous donne la condition pour les

4Ji,

(p, t)

Nous en tirons

k étant un scalaire déterminé par la

relation

Pour que les

fonctions

(9)

dans

lesquelles

(Dik

(p, t)

est

remplacé

par son

expression

(10)

soient

solutions

des

équations (1’)

et

(2’),

les

grandeurs

Aile

(p)

et

Bill

(p)

doivent

satisfaire

aux

conditions

Dans ces

expressions Je 1

(p)

et Je 2

(p)

repré-sentent les formes linéaires

La

compatibilité

des

équations

des

systèmes

(11)

et

(12)

résulte immédiatement de la relation

opéra-torielle

. Les conditions

(12)

et

(13)

montrent que l’on doit avoir

Sous cette

condition,

nous obtenons les solutions

Nous pouvons donc écrire la solution

générale

de

l’équation

d’ondes

sous la condition

2.

Équations

et

grandeurs

électromagnétiques.

- Les solutions satisfaisant

aux

équations (1)

et

(2)

forment une matrice carrée du

quatrième

rang

(i, k

= 1, 2,

3,

4).

Or on sait que toute matrice carrée du

quatrième

rang

peut

se

développer

sur

un

système complet

de seize

matrices hermitiques

dérivé d’un

système

de

quatre

matrices az liées par

les relations

Nous

représenterons

ce

système

complet

par les

matrices

y>(p =

1, 2, ..., 1

16).

Nous poserons donc

les ~~ étant un

système

de seize

fonctions.

Réciproquement,

nous pouvons à

partir

de

(18)

exprimer

les ~~ au moyen des

~a..

En

effet,

si nous

multiplions

la relation

(18)

par une matrice

déterminée,

nous obtenons

en

désignant

par

(p’

= r,

...,

15)

les matrices

du

système

autres que

1’~

’" , . - - - - - -

... , / - -

--Si nous prenons la trace de cette

expression,

nous

obtenons en tenant

compte

du fait que trace

y?

= o

si

yP

est une matrice

quelconque

du

système

autre

(4)

Le

système

des

équations (1)

et

(2), système

en

peut

se

remplacer par

un

système

d’équations

en en utilisant

l’expression (18).

Nous obtenons en

déplaçant

la sommation sur juL

les deux

systèmes

correspondant

aux

systèmes

(1’)

et

(2’),

Ces trente-deux

équations

peuvent

se

représenter

par des relations liant directement les ~~~. Pour écrire

celles-ci,

nous allons

préciser

la forme du

dévelop-pement

(18).

Les indices p, q, r

(p

r)

variant

de i à

3,

nous posons

La conservation de

(D,k

lorsqu’on

permute

deux oc,

ce

qui

entraîne un

changement

de

signe

montre que

la

permutation

de deux indices consécutifs dans

un des

W/>’9,

ou doit

changer

le

signe

de cette

expression.

Réciproquement,

nous tirons du

développe-ment

(22)

En considérant les

équations (20)

et

(21)

et en

multipliant

successivement ces

équations

par les

seize matrices

nous obtenons en

prenant

chaque

fois la trace de

l’équation

obtenue

A

partir

du

système (20)

et

à

partir

de

l’équation (21).

Ces

(31) équations

peuvent

encore se

répartir

en deux

systèmes,

l’un de

quinze équations

liant

les

grandeurs

4>°, ~D/1,

(D/11/1, ~DI,

l’autre de seize

équations

liant les

grandeurs

ï~,

~1234

Si pour préciser la forme de ces

équations,

nous

posons

le

premier

des

systèmes précédents

s’écrit sous la

forme d’un

système d’équations

maxwelliennes

tandis que le

second

système (système

non

maxwellien)

se

représente

par

Remarquons

que

réciproquement

les

équations

(26)

(5)

416

3.

Représentation

des

grandeurs

électromagné-tiques

dans l’onde

plane.

- Si nous

nous bornons au cas de l’onde

plane

monochromatique,

la solution

de

l’équation

d’onde donnée en

(16)

sous la

condi-tion

(17) s’exprime

au moyen des

F1m

qui

dans ce cas sont des constantes. Nous avons alors

les

Fi,,,

satisfaisant aux conditions

Ces

équations qui

traduisent des conditions sur

les

amplitudes

initiales

peuvent

également s’exprimer

par des conditions sur les valeurs initiales des

gran-deurs

électromagnétiques.

En

effet,

si nous

multiplions

successivement les

équations

(31)

par les seize matrices

ytL

et si nous

introduisons les valeurs initiales des

grandeurs (29),

nous obtenons les conditions

qui

entraînent

On voit sur ces conditions que si l’on

prend

A°,

E°,

10

et

St

arbitrairement, SO,

HO, Vo

et

I;

seront

déterminés.

Les conditions

(31) restreignent

donc de seize

à huit le nombre des

grandeurs

initiales

indépen-dantes que l’on

peut

se donner arbitrairement pour

représenter

les solutions

(30).

La solution onde

plane

la

plus

générale

(comportant

à la fois un terme à

énergie

positive

et un terme à

énergie négative) s’exprime

donc en fonction de huit constantes arbitraires.

La relation

(30) qui

donne les valeurs des fonctions d’ondes au cours du

temps

en fonction de leurs

valeurs initiales est

équivalente

à un

système

de

relations

qui

nous donnera

l’expression

au cours

du

temps

des

grandeurs électromagnétiques

(maxwel-. liennes et non

maxwelliennes)

en fonction des

grandeurs électromagnétiques

initiales.

En

effet,

si nous

multiplions (30)

par une matrice

1 . ;

et si nous posons

nous avons

T

En

prenant

pour ~~, les seize matrices

yc,

nous

obtenons

Si nous tenons

compte

maintenant des

condi-tions

(32)

sur les valeurs initiales ces

expressions

des

grandeurs électromagnétiques

se ramènent à

Nous aurons les

expressions

des

grandeurs

corres-pondant

à une onde à

énergie positive

seulement

si nous écrivons que les coefficients de P- sont tous

(6)

On obtient ainsi les conditions

Mais ces conditions ne sont pas

indépendantes

et

on

peut

voir facilement

qu’elles

se réduisent à

deux,

soient

/ 1

Ces conditions déterminent les

quatre grandeurs

initiales E° et

en fonction de A° et de

7~.

Par suite nous pouvons exprimer les seize gran-deurs

électromagnétiques

dans l’onde

plane

à

énergie

positive

en utilisant seulement

quatre

grandeurs

initiales arbitraires.

Réciproquement

les seize

amplitudes

de la solution

onde

plane

à

énergie

positive

des

équations

du

photon

s’exprimera

au moyen de

quatre

constantes arbi-traires seulement

(2).

On retrouve ainsi les résultats établis directement par M. Louis de

Broglie.

Si nous

représentons

les

grandeurs

électroma-gnétiques

au moyen des

grandeurs

initiales A° et

Ig,

nous obtiendrons

4. Relations entre

grandeurs

électromagnétiques

dans l’onde

plane.

- Si nous considérons les

expres-sions

(38)

donnant les

grandeurs

électromagnétiques

dans l’onde

plane

à

énergie positive,

nous voyons

que p et I~ sont

proportionnels

respectivement

à S et à

54

si

I,

est différent de zéro

n Il

Si nous éliminons alors p et

k,

entre les

expres-sions

(38),

nous obtenons des relations liant les

grandeurs électromagnétiques

entre elles.

Nous avons ainsi

Ces relations entraînent

(2) On remarquera toutefois que dans la théorie du photon

de M. L. de Broglie les grandeurs électromagnétiques sont

complexes. Par suite il reste en fait huit arbitraires, les quatre

modules et les quatre phases des grandeurs initiales choisies arbitrairement.

Ces relations

permettent

de construire dans la

théorie du

photon

les

grandeurs

E et H connaissant

les deux

quadrivecteurs

(A, V), (S,

54)

et l’invariant

I,

dans l’onde à

énergie

positive.

Dans le cas de l’onde

plane plus

générale

compor-tant à la fois des termes à

énergie positive

et des termes à

énergie

négative,

les relations

précédentes

ne se vérifient

plus

toutes.

En

effet,

si nous considérons les

expressions (36),

nous voyons que p est encore

proportionnel

à Î,

I2

mais k n’est

plus proportionnel

à

’4.

12

On voit

facilement

que l’on a encore dans les

grandeurs

(36)

d’où l’on tire

d’où

Nous avons encore

Mais les autres relations doivent se

compléter

par des termes où

figurent

les valeurs initiales.

Nous avons ainsi

5.

Spin

et

polarisation.

- Dans la théorie du

photon

de M. Louis de

Broglie,

le

spin

est défini

au moyen des trois

opérateurs

Si nous

désignons

par

A,,

la matrice de

spin

on voit facilement que les matrices

A,,

satisfont

à la relation

A,,

=

A;;

et que par suite les valeurs propres des matrices

Aj,

sont +

i, -

I et o.

Les fonctions propres

correspondant

à ces valeurs

propres seront des fonctions

p~,

ce- et po telles que

En cherchant les solutions de ces

équations,

on

voit que

9+

et 9-

peuvent

se

représenter

par

Les

indices l,

m

indiquent

qu’il

y a

dégénérescence.

En

effet,

on

peut

remarquer que les matrices

,4j,

(7)

418

propres -

i et huit valeurs propres zéro. Mais les

indices 1,

m varient chacun de I

à ;

et les

expres-sions

(46) représentent

chacune seize fonctions solutions. Ces solutions ne sont pas toutes

accep-tables étant soient

nulles,

soient non

indépendantes.

On

peut

montrer effectivement

qu’elles

se ramènent

à

quatre

fonctions non nulles seulement

lorsque

A est

diagonale

et que les fonctions sont des combinaisons linéaires de

quatre

d’entre elles dans les autres cas.

Nous conserverons néanmoins les fonctions

(46).

Pour les fonctions propres

correspondant

aux

valeurs

zéro,

nous devons tenir

compte

de leur

répar-tition en deux

catégories

suivant

qu’elles

corres-pondent

aux valeurs propres

+

I ou - I des

matrices

B,, complémentaires

des

A,,

soient

Nous avons ainsi les fonctions propres

corres-pondant

aux valeurs propres zéro de

AI)

T Il

On voit facilement que les fonctions

(46)

et

(47)

satisfont aux

équations (45)

et sont

orthogonales

entre elles en tenant

compte

des relations

i ~ w ~ 1 1 r~ Il- .

Si nous

développons

la fonction d’onde sur les

fonctions propres d’un des

opérateurs

de

spin

par

exemple

sur les fonctions propres de

S;:,

nous pouvons

écrire

l’orthogonalité

et la normalisation des fonctions propres nous donnent alors

Nous pouvons remarquer que conformément aux

théorèmes

généraux,

nous avons bien

Si le

photon

se trouve dans un état pour

lequel

le

spin

dans la direction de l’axe OZ a certainement

soit la valeur -!- I, soit la valeur -

I

(état

maxwel-lien)

les conditions

doivent être satisfaites simultanément.

De même si le

photon

se trouve

uniquement

dans

un état pour

lequel

le

spin

dans la direction de

l’axe OZ a certainement la valeur zéro

(état

non

maxwellien),

nous devons avoir

Les conditions

(51)

et

(52)

portant

sur les

peuvent

se

remplacer

par des conditions sur les

grandeurs électromagnétiques.

Il nous suffit pour

cela de

multiplier

les

expressions

de C°+ et de

CI-ou de C+ et de Cv- par les matrices du

système

y et d’annuler les relations obtenues.

Si

désigne

une telle

matrice,

les relations

(51)

et

(52)

nous donnent

Les conditions

(53)

de l’onde

maxwellienne

sont

identiquement

satisfaites si

De même les conditions

(54)

de l’onde de

spin

nul sont

identiquement

satisfaites si Il nous reste alors les conditions :

Pour que l’onde soit

maxwellienne, B

étant

tel aue 1~ = 0" B

20 Pour que l’onde soit à

spin

nul, B

étant tel que Ao-

4-

= o,

Or si c- =

Írllrl2

les matrices A commutant avec

v=

sont :

tandis que les

matrices

-1=

anticommutant avec o-r

sont :

Les relations

(55)

et

(56)

nous donnent alors les conditions

qui

doivent être satisfaites dans les

ondes

(M)

ou

(N)

soient :

Par suite dans l’onde

maxwellienne,

les seules

grandeurs

non nulles sont les

grandeurs

Le

spin

ayant

les valeurs

+

i ou - i suivant

la direction

OZ,

si cette direction est

prise

pour

direction de

propagation,

on voit que toutes les

(8)

perpendiculaire

à cette direction. Par suite l’onde

maxwellienne est une onde totalement transversale. Au contraire pour l’onde de

spin

nul dans la direc-tion

OZ,

les seules

grandeurs

non nulles sont :

(H=

et

Il

sont

également

nuls,

mais

d’après

les

équations

générales).

Ces

grandeurs

sont soit des

scalaires,

soit

dirigées

suivant la direction de

propagation (OZ).

Par suite l’onde de

spin

nul est totalement

longilu-dinale.

Nous allons maintenant étudier

plus

en détail

la

représentation

des ondes

(M)

et

(N)

dans le cas

de l’onde

plane.

6.

Représentation

de l’onde maxwellienne.

-L’axe OZ étant

pris

pour direction de

propagation

les

cinq grandeurs

non

électromagnétiques

sont nulles. De

plus

expriment

la transversalité des

champs

et du

poten-tiel vecteur.

Les

grandeurs

non nulles dans l’onde

plane

se

représentent

alors par

Ces six

grandeurs

non nulles

s’expriment

donc

au moyen de

quatre grandeurs

initiales arbitraires

seulement

(A", A",

E z.,

E ~ ).

Réciproquement

l’onde

4~,k

maxwellienne

s’exprime

au moyen de

quatre

constantes seulement.

Si l’onde est

uniquement

à

énergie positive,

nous

avons en outre les conditions

et les

grandeurs électromagnétiques

se réduisent à

Ces

grandeurs

s’expriment

seulement au moyen

de deux

grandeurs

initiales arbitraires seulement.

Réciproquement

les

amplitudes

de l’onde

plane

à

énergie positive

portant

un

spin

+ I ou - i dans

la direction de

propagation

s’expriment

au moyen de deux constantes arbitraires seulement.

Si de

plus

le

spin

a certainement une de ses valeurs,

soit + I par exemple, nous avons

Cl",

= o relation

qui

se traduit

par

_. ~ ~

et nous donne les relations entre

grandeurs

électro-magnétiques

Au contraire si le

spin

a la valeur propre - i

nous avons la condition

C 1;/1

=

o, d’où

Si le

spin

a la valeur

+

I, les conditions

précé-dentes donnent dans l’onde

plane

à

énergie positive

Ces

grandeurs

s’expriment

au moyen d’une seule

constante arbitraire.

Réciproquement

les

ampli-tudes de l’onde

s’expriment

au moyen d’une

seule constante.

7.

Représentation

de l’onde non maxwellienne

(spin

0).

- Les

grandeurs

transversales sont toutes nulles. Les seules

grandeurs

restantes dans l’onde

dirigée

suivant OZ sont :

Ces

grandeurs s’expriment

dans l’onde

plane

par

Ces

grandeurs dépendant

de

quatre

constantes initiales

arbitraires,

les

amplitudes

4Y,»

dépendent

également

de

quatre

constantes arbitraires.

Si en

particulier

l’onde se réduit à une onde à

énergie positive,

il reste

Les

amplitudes

dépendent

alors de deux

cons-tantes arbitraires.

En terminant

je

tiens à remercier M. le Professeur

Louis de

Broglie pour la bienveillante attention qu’il

a accordée à ce travail.

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