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Concours d'admission à l'École polytechnique en 1888

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N OUVELLES ANNALES DE MATHÉMATIQUES

Concours d’admission à l’École polytechnique en 1888

Nouvelles annales de mathématiques 3

e

série, tome 8 (1889), p. 275-277

<http://www.numdam.org/item?id=NAM_1889_3_8__275_1>

© Nouvelles annales de mathématiques, 1889, tous droits réservés.

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CONCOURS IHiniISSKlV A L'ÉCOLE POLYTECHNIQUE EN 1888.

Physique.

1. Microscope composé. On demande seulement la marche des rayons lumineux et la mesure du grossissement.

2. Détermination, par la méthode de Dumas, de la densité de la vapeur d'un liquide bouillant au-dessous de ioo°.

Chimie.

Exposer Ie-5 analogies qui conduisent à placer l'azote, le phosphore et l'arsenic clans une même famille naturelle.

Composition française.

Les Sociétés modernes sont en progiès évident sur celles qui les ont précédées au point de \ue de l'accroissement des connaissances dans toutes les bi anches de la Science : elles tendent manifestement à un adoucissement général des mœurs, a un développement plus libre et plus heuieuv de l'humanité.

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L'idée de Patrie doit-elle èlre entamée par cette évolution?

\ c doit-elle pas, au contraire, se fortifier de plus en plus? La nature, l'histoire, les aspirations les plus nobles de l'être hu- main ne se trouvent-elles pas d'accord pour commander d'en- tretenir l'énergie morale que donne le patriotisme ?

Lavis.

Faire à l'encre de Chine à teinte* plates le la\is d'un cône de révolution reposant sur un socle cylindrique et se déta- chant sur un fond gris dégradé à teintes fondues.

uXota. — Les traits pour le cadre, les arêtes ou les contours apparent^ des solides seront faits à l'encre

On observera les filets de lumière.

('aïeul triifonomcfri({ue.

O n d o n n e d a n s u n t r i a n g l e l e s t r o i s e û t e s : a -- i > >? i ' " , 6 >.

c - J Ht) i V", \ 't.

D é t e r m i n e r les t r o i s a n g l e s et la M i i f a i c .

Epure de (iéomcli ie descriptive.

Représenter par ses projections le solide qui reste quand, d'une pot lion de cône supposée remplie, on enlève ce qui se trom e à l'intérieur d'un cylindre donné.

Le cône est de révolution et a son a\e vertical ; l'angle au sommet est droit. La portion remplie va du sommet à un plan horizontal mené à om,i2 plus bas.

Le c}lindre est aussi de révolution. L'une de ses généra- trices coïncide avec celle des génératrices de front du cône, qui est située à dioite sur la nappe inférieure. Son a\e est en avant de celui du cône ; la perpendiculaire commune à ces deux droites rencontre la seconde à om, 09 au-dessous du som- met ; elle a om,o-> de longueur.

On placera la projection horizontale du sommet du cône à om,o7 plus bas, et la projection verticale à om,i9 plus haut que

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le centre du cadre, sur la parallèle au\ grands cotés menée par ce point.

En fait de constructions autres que celles qui se rapportent au\ points remarquables, on ne laissera subsister dans le trace à l'encre que la détermination d'un point quelconque de chaque courbe, et celle de la tangente au même point.

\LTfŒ SLJEÏ (l ).

Un cube plein effectue une rotation entière autour d'une de -«es diagonales : représenter, par ses projections, le solide ain^i engendré.

Chaque diagonale du cube a i\im de longueur; celle autour de laquelle il tourne est de front et fait, avec le plan hori- zontal, un an^le égal à la sixième partie de l'angle droit ; des deux extrémités de cette diagonale, celle de droite est la plus cle\ée.

On placera les projections du centre du cube à 9j>m de dis- tance l'une de l'autre, de manière que la droite qui les join- drait ait pour milieu le centre du cadre et soi! parallèle aux grands cotés.

lin fait de constructions, et en dehors de celles qui se rap- porlont aux points remarquable*;, on ne l a i w r a subsister dans le tracé a l'encre que la détermination d'un point de chaque courbe et celle de la tangente en ce poini.

On n'indiquera aucune asymptote.

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