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Étude de la radioactivité de $$ 109 46 Pd

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(1)

380

blement les memes resultats.

(Un rapport

détaillé

sur ce

travail

paraitra ulterieurement.)

Manuscrit reçu le 6 mars

1954.

[1]

C. R. Acad. Sc.,

1953,

236,

481;

J.

Physique

Rad.,

1952,

13, I.

[2]

MIGDAL A. 2014 J.

Physique,

U. R. S. S.,

1941,

4,

449.

FEENBERG E. L. 2014 J.

Physique,

U. R. S. S.,

1941,

4,

424.

LEVINGER J. S. 2014 Thèse, U. S. A. BENOIST-GEUTAL P. 2014 Thèse, Paris.

ÉTUDE

DE LA

RADIOACTIVITÉ

DE

$$ 109 46

Pd Par Jean

MOREAU,

Centre d’Études nucléaires

(Saclay),

Service de

Physique

nucléaire,

Le

palladium

bombard6 par neutrons

thermiques

donne

principalement

une activite de

13,6 h

que Rall

[1]

attribua

à l g U

Pd. Les

experiences [2]

a la chambre de Wilson et par

absorption

montraient

qu’a

cette" activite

correspondait

un

spectre

p-d’6nergie

maximum voisine de

1 000 keV;

aucun

rayonnement

y

accompagnant

la decroissance ne fut observe.

L’etude de la

désintégration

fut

reprise

alors par la m6thode

spectrométrique

par K.

Siegbahn

et collaborateurs

[3].

Ils trouverent un

spectre simple

d’énergie

maximum

95o keV

et le y de

87 keV

de

9Ag*

fortement

converti,

la source

employee

etait assez

epaisse.

Nous avons 6tudi6 la radioactivit6

de

101

Pd à 1’aide du

spectromètre 03B2

solenoidal

[4]

du Centre

d’Rtudes

nucleaires de

Saclay.

La source obtenue par

évaporation thermique

de

palladium

spectroscopi-quement

pur sur

support

de formvar avait une

épais-seur d’environ 200 ti

g/cm2

et un diamètre de 10 mm. I

Elle fut

expos6e

au flux de neutrons

thermiques

de

la

pile

de Ch£tillon.

Le

spectre p-

est

represente

figure

1. 11 a ete obtenu en retranchant les activites peu intenses de

longue

période;

le

pouvoir

s6parateur

utilise etait de

2 pour Ioo, Un

diagramme

de Fermi

(fig. 2)

montre

que le

spectre

est

simple

et nous trouvons pour

1’energie

maximum :

Le

log ft

correspondant

est de

6,

1 et Ie

diagramme

de

Fermi est linéaire.

Les raies

electroniques

représentées

dans la

figure

i

et dans la

figure

3 A une echelle

dinerente

corres-pondent

aux conversions

internes K

et L + M du y emis

par [ # °Ag* (39 s).

Par ces raies, nous

d6ter-minons

Fenergie

de ce y :

E, =:=

87,7 =i= 0,2

keV.

4-000 N

Hp

Raies de

conversion interne 3000 3000 - du r de

87.7 ke

V 2000

II

1000

o

800 900 1000 700 800 900 1000

Hp

1100

Fig.

3.

Ey = 8 j , 7 I o , 2

keV. 4000

N

Hp

Raies

de conversion

interne

3000

du de 7. e V

3000- 2000 2000

B

0 1000-

0

1000 1000

,

L

0 700 800

900 1000

1100

Fig.

3.

Le

compteur Geiger-lVluller

etait muni d’une fenetre

mince et 1’on

peut

déduire,

sans

correction,

la valeur

du

rapport K

par une mesure d’intensité des

L + M

raies. Nous trouvons

Les raies

L, M,

N ne sont

pas

s6par6es mais,

en

(2)

381 admettant pour la raie L une forme

identique

a celle

de la raie

K,

il est

possible

d’estimer le

rapport K r,

M + N ce

qui permet

de determiner

L :

K

L =

0,97-Les valeurs de la

periode,

du coefficient de

conver-sion total et du

rapport K

T

indiquaient

une

tran-L

sition E 3

[5];

la valeur o,97 du

rapport K

_

est en

L

bon accord avec la valeur donn6e par la courbe

exp6-rimentale de Goldhaber et

Sunyar [6].

Le coefficients de conversion total CI. obtenu par

comparaison

des intensités des raies et du

spectre

continu est de l’ordre de 14, valeur inferieure a celle obtenue par

extrapolation

des valeurs de la table de Rose pour une transition E 3.

Manuscrit recu le 26 février

1954.

[1]

RALL W. 2014 Phys. Rev.,

1946,

70, 112.

[2]

SEABORG G. T. et PERLMAN I. 2014 Tables of

Isotopes.

Rev. mod.

Physics, 1948,

20, 585.

[3]

SIEGBAHN K., KONDAIAH E. et JOHANSSON S. 2014 Nature, 1949, 164, 405.

[4]

BRETONNEAU P. et MOREAU J. 2014 J.

Physique Rad., 1953, 14, 25.

[5]

BRADT, GUGELOT, HUBER, MEDICUS, PREISWERK, SCHERRER et STEFFEN. 2014 Helv.

Phys. Acta,

1947,

20, 153.

[6]

GOLDHABER M. et SUNYAR A. W. 2014 Phys. Rev., 1951, 83, 906.

DISPERSION DE LA VITESSE DES ULTRASONS INDUITE PAR DES PRESSIONS

ÉLEVÉES

DANS LE

MÉTHANE

Par André

LACAM,

Laboratoire des Hautes Pressions, Bellevue. Faisant suite a une etude

pr6c6dente

de la vitesse des ultrasons dans le methane

comprime

[1]

pour la

frequence

de goo

kHz,

la

presente

Note 6tend ces resultats aux

fréquences

de 2 goo,

3 175,

3750, 4350

et

4 goo kHz.

Les

temperatures

sont de 25 et 50° C maintenues constantes à +

o, 05°.

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