32,0,(5

(1)

32,0,(5

621'$*(

,QGLFH

;

<

=

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

2[IRUGLHQ

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH /H9DX =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

3pULRGHVXLYLSLp]RPpWULTXHGHSXLV

6XSHUILFLH]RQHLQIOXHQFH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

'UDLQDJHWUqVSURQRQFpGHODSLp]RPpWULHGX-XUDVVLTXHVXSpULHXUVXUOHUXLVVHDXGH9DXDXVVLELHQHQEDVVHHDXTXHQKDXWHHDX 2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV QLYHDXGHEDVHWUqVPDUTXpjVRLWP1*)

(QWLWp &+$5(17(125'

OLEUH

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Poimier\Modèle et observations S= 0.17120E+01 m R2= 0.806 Nash=0.4611

49 51 53 55 57 59 61 63

1/1/1992 1/1/1996 1/1/2000 1/1/2004

m NGF Modèle

Poimier

Le graphe de Poimier montre un seuil de

débordement, autour de 60 m NGF, qui correspond à la cote de la rivière à proximité, et surtout un seuil bas, très net, à la cote 53 m NGF. Ce seuil bas est difficilement explicable. On peut avancer l'hypothèse que ce seuil bas correspond à la base de l'aquifère jurassique (banc bleu). Au-delà de ce seuil, les terrains sont imperméables et l'eau ne peut circuler.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

6XSHUSRVLWLRQPRGqOHFKURQLTXH

(2)

Poimier\Poimier\REP. IMP. lente et rapide

0.0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1.0

0 20 40 60 80 100 120 140

j

Lent RI rapide

&RPSRVDQWHV

La composante lente présente un maximum autour du mois et un retour à l'état initial après l'impulsion au bout de 4 mois

Poimier\Composantes

- 20 -15 -10 - 5 0 5 10 15 20 25 30

1/ 1/ 1992 1/ 1/ 1996 1/ 1/ 2000 1/ 1/ 2004

m N GF

Lent Débordement rapide

Ce graphe souligne l'importance de la composante lente et des débordements

$QDO\VHLPSXOVLRQQHOOH

(3)

(16,*1(

38,76&203/(;

,QGLFH

;

<

=

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

-XUDVVLTXHVXS

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH /D%21'2,5( =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH QRQ

&RXSHWHFKQLTXH QRQ

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

3pUHQQLWpGHOD%RQGRLUHjSDUWLUGHODF{WH=WRSRJUDSKLTXHjODULYLqUHHW=EDVVHHDXjODULYLqUHOHGUDLQDJHpYHQWXHOGHODQDSSHSDUOD

%RQGRLUHVHPDUTXHQHWWHPHQWGDQVOHWUDFpSLp]RPpWULTXHGX-XUDVVLTXHVXSpULHXU 2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV 6HXLOGpERUGHPHQWWUqVQHWjPP1*)

(QWLWp &+$5(17(125'

OLEUH

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Ensigne\Modèle et observations S= 0.12623E+01 m R2= 0.907 Nash=0.7820

68 73 78 83 88

1/1/1992 1/1/1996 1/1/2000 1/1/2004

m NGF

Modèle Ensigne

Débordement

Le graphe d'Ensigné montre un seuil de

débordement très net autour de 76.5 m NGF. Même si ces débordements ont été pris en compte dans le travail de modélisation, le calage est difficile à affiner en période de basses eaux. En basses eaux, le modèle est assez fidèle malgré l'existence de pompages.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(4)

Ensigne\Ensigne\REP. IMP. lente et rapide

0.0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8

0 20 40 60 80 100 120 140 160 180 200

j

Lent RI rapide

&RPSRVDQWHV

Il existe une composante rapide minoritaire avec un pic au bout de 10 j et une composante lente avec un retour à l'état initial au bout de 4 mois après l'impulsion.

Ensigne\Composantes

- 10 -5 0 5 10 15 20

1/ 1/ 1992 1/ 1/ 1996 1/ 1/ 2000 1/ 1/ 2004

m

Ce graphe souligne la prépondérance des transferts lents et des débordements.

(5)

-8,//(56

621'$*(

,QGLFH

;

<

= &RQVHLO5pJLRQDO

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

-XUDVVLTXH

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH /D1,( =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

6XSHUILFLH]RQHLQIOXHQFH 1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

2XYUDJHVLWXpVXUODOLJQHGHFUrWHVpSDUDQWOD1LHHWOD&RXUDQFH/HGUDLQDJHGX-XUDVVLTXHVXSpULHXUSDUODQLHHVWWUqVQHWSDVGHGRQQpHVSRXUOD

&RXUDQFHPDLVVXUHPHQWOHPrPHVFKpPD'UDLQDJHHQ%(HW+(3RXUTXRLVLSURIRQG"(WQHWWHPHQWHQGHVVRXVGHODULYLqUH 2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV QLYHDXGHEDVHELHQPDUTXpjVRLWP1*)QLYHDXGpERUGHPHQWjPP1*) (QWLWp &+$5(17(125'

OLEUH

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Juillers\M odèle et observations S= 0.18266E+01 m R2= 0.902 Nash=0.7828

40 45 50 55 60 65

1/1/1992 1/1/1996 1/1/2000 1/1/2004

m NGF

Modèle Juillers

Débordement

Contraste de transmissivité

Le calage du modèle est satisfaisant. Toutefois, en basses eaux, à partir d'une certaine cote (51 m NGFenviron), le modèle et la chronique divergent, la nappe se vidangeant plus lentement que ce que prévoit le modèle. Explication avancée : à partir de cette cote les transmissivités diminuent nettement. A l'extrême elles peuvent devenir nulle comme sur Poimier et Villenou (hypothèse). Un seuil de débordement est aussi observé (à 60 m NGF)

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(6)

Juillers\Juillers\REP. IMP. lente et rapide

0.00 0.10 0.20 0.30 0.40 0.50 0.60 0.70

0 20 40 60 80 100 120 140 160 180 200

j

Lent RI rapide

&RPSRVDQWHV

Il existe une composante rapide avec un pic au bout de quelques jours et une composante lente avec un maximum au bout du mois et un retour à l'état initial au bout d'environ 4 mois.

Juillers\Composantes

-10 - 5 0 5 10 15 20 25 30

1/ 1/ 1992 1/ 1/ 1996 1/ 1/ 2000 1/ 1/ 2004

m N GF

Ce graphe souligne la prépondérance des transferts lents et des débordements.

(7)

9,//(128

)25$*(

,QGLFH

;

<

=

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

.LPPHULGJLHQ

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH /D%287211( =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH QRQ

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

/HVIOXFWXDWLRQVLQWHUDQQXHOOHVVHPDUTXHQWHVVHQWLHOOHPQWVXUOHVKDXWHVHDX[

2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV QLYHDXGHEDVHWUqVPDUTXpjP1*).LPPHULGJLHQDYHFPGDUJLOHHQWrWH

=WRSRULYLqUH%RXWRQQHHWSRXU=SLp]RjOD ULYLqUH

(QWLWp &+$5(17(125'

OLEUH"

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Villenou\Modèle et observations S= 0.38930E+01 m R2= 0.791 Nash=0.4112

27 32 37 42 47 52 57 62 67

1/1/1992 1/1/1996 1/1/2000 1/1/2004

m NGF _Modèle

Villenou

Le graphe de Villenou, à l'image de celui de Poimier, montre un seuil bas que le modèle ne peut

reproduire. La même explication que pour Poimier peut être avancée : ce seuil correspond à la base de la nappe du Jurassique supérieur (banc bleu). Au- delà de cette profondeur l'eau "piégée" dans les terrains imperméables ne peut s'évacuer.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(8)

Villenou\Villenou\REP. IMP. lente et rapide

0.0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 0.8 0.9 1.0

0 20 40 60 80 100 120 140

j

Lent RI rapide

&RPSRVDQWHV

La composante lente présente un maximum autour du mois et un retour à l'état initial après l'impulsion au bout de 4 mois

Villenou\Composantes

- 20 -10 0 10 20 30 40 50

1/ 1/ 1992 1/ 1/ 1996 1/ 1/ 2000 1/ 1/ 2004

m N GF

Ce graphe souligne l'importance de la composante lente et des débordements.

(9)

2875(6

)25$*(

,QGLFH

;

<

=

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

'RJJHU

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

3LH]RPHWULHQRQSUpFLVpHHQUpJOHJpQpUDO6XGGHOD%RXWRQQHHVVHQWLHOOHPHQW-XUDVVLTXHVXSpULHXU$[HGHGUDLQDJH1(6:HQGLUHFWLRQGH 2875(6'UDLQDJHSDUOD%RXWRQQHSDVUpHOOHPHQWPDUTXpGDQVODSLp]RPpWULHGX'RJJHUVDXISHXWrWUHHQDYDOGXIRUDJH'DQVXQFRXORLUGHIDLOOH 2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV &RWHGpERUGHPHQWj1*)QLYHDXEDVH"P1*)

(QWLWp $ 6(8,/'832,72868'(67'(1,257

%$66,1'(/$%287211(

HDXGXIRUDJHOLE

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Outres1\Modèle et observations S= 0.64241E+00 m R2= 0.860 Nash=0.7052

67 68 69 70 71 72 73 74 75

1/1/1992 1/1/1996 1/1/2000 1/1/2004

m NGF Modèle

Outres1 Débordement

réhabilitation

forages Impact prélèvements apports de IT

Le piézomètre des Outres au Dogger intègre plusieurs phénomènes qui compliquent la

modélisation : existence d'un seuil de débordement autour de 73 m NGF (rivière à proximité), impact de la réhabilitation des forages en 1995 qui se matérialise par une influence plus importante des prélèvements agricoles à partir de cette date, apports vraisemblables de l'Infra-Toarcien au niveau de l'ouvrage qui pourraient expliquer les difficultés de calage pour certaines périodes de hautes eaux (mauvais état de l'ouvrage depuis 2002).

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(10)

Outres1\Outres1\REP. IMP. lente et rapide

0.00 0.10 0.20 0.30 0.40 0.50 0.60 0.70

0 20 40 60 80 100 120 140 160 180 200

j

Lent Rapide

&RPSRVDQWHV

Le modèle restitue une composante rapide (quelques jours), mais peu importante, et une composante lente prépondérante avec le maximum de réponse à l'impulsion pluie au bout de 1 à 2 mois et un retour à l'état initial au bout de 6 mois environ.

Outres1\Composantes

- 5.0 - 3.0 -1.0 1.0 3.0 5.0 7.0 9.0

1/ 1/ 1992 1/ 1/ 1996 1/ 1/ 2000 1/ 1/ 2004

m N GF

Ce graphe souligne la faible contribution des transferts rapides sur la piézométrie, la prépondérance de la composante lente et l'importance des débordements.

(11)

2875(6

67$7,213,(=2

,QGLFH

;

<

=

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

,QIUD7RDUFLHQ

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH QRQ

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

$TXRLFRUUHVSRQGODOHJqUHGHSUHVVLRQSLp]RPqWULTXHDX1RUG"

2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV GHERUGHPHQWDXGHVVXVGHP1*)

(QWLWp /,$6(7,1)5$/,$6$'285*$5211(

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Outres2\Modèle et observations S= 0.40569E+01 m R2= 0.701 Nash=0.3345

48 58 68 78 88

1/1/1992 1/1/1996 1/1/2000

m ^Modèle

Outres2 Débordement

Réhabilitation f orages

Impact des pompages

La modélisation de ce piézomètre a été compliqué par les différents phénomènes qui ont affectés l'enregistrement. La réhabilitation des forages en 1995 a entrainé les années suivantes un

accroissement très net de l'impact des pompages sur le niveau de la nappe. La mauvaise qualité de l'ouvrage depuis plusieurs années, mettant en contact les nappes du Dogger et de l'IT, induit des difficultés de calage pour les années récentes. Une cote de débordement (apparemment légèrement supérieure à celle de la nappe du Dogger) apparaît nettement sur les graphes et a du être introduite dans le modèle.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(12)

Outres2\Outres2\REP. IMP. Gaussienne*exponentielle

0.00 0.01 0.02 0.03 0.04 0.05 0.06 0.07 0.08 0.09 0.10

0 20 40 60 80 100 120 140 160

j

Lent

&RPSRVDQWHV

Seule une composante lente existe sur ce piézomètre. Cette composante est très similaire à celle de la nappe du Dogger, avec un pic au bout de 2 mois et un retour à l'état initial au bout de 6 mois.

Outres2\Composantes

- 30 - 20 -10 0 10 20 30 40 50

1/ 1/ 1992 1/ 1/ 1996 1/ 1/ 2000 1/ 1/ 2004

m N GF

Lent Débordement

Le graphe montre l'importance des débordements qui représente une contribution à peu prés équivalente en hautes eaux à la composante lente.

(13)

38=(

621'$*(

,QGLFH

;

<

= &RQVHLO5pJLRQDO

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

-XUDVVLTXHVXS

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH /D528(5(DIIOXHQWGHOD/LDJXH =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH 3pULRGHVXLYLSLp]RPpWULTXHGHSXLV

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH QRQ

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

0LOLHXWUqVWUDQVPLVVLIDYHFpTXLOLEUHHQWUHOHVQLYHDX[GHODQDSSHHWOHVpFRXOHPHQWTVVXSHUILFLHOVFHTXLH[SOLTXHGHVFRXUEHVSLp]RPpWULTXHV%DVVHV HDX[SHXPDUTXpHVSDUOHGUDLQDJHGHODULYLqUH6HXLOVGHJHVWLRQDFWXHOVjHWP

2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV DPSOLWXGHVLPSRUWDQWHVDYHFXQQLYHDXGHGpERUGHPHQWDVVH]FRQVWDQWjPVRLWP1*)DXQLYHDXGHOD ULYLqUH

(QWLWp 2;)25',(1

OLEUH

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Clain\Modèle & Puze1 S= 0.27513E+01 PiezomR2= 0.688 Nash=- 0.3124

84 88 92 96 100 104 108

1/1/1990 17/9/1992 4/6/1995 18/2/1998 4/11/2000 22/7/2003

m

Modèle Puze1

Seuil de débordement

Le piézomètre de Puzé1, utilisé dans la gestion de la nappe du Jurassique supérieur, montre des battements annuels de l’ordre de 6 m. Le modèle permet de souligner une cote de débordement autour de 95.8 m NGF, c’est à dire la cote de la rivière à proximité. L’influence des pompages estivaux se marque surtout avant 1999. La présence à la fois d'un débordement et de l'influence de pompage complique le calage du modèle. Aussi, pour le calage, les deux années où le débordement est important (94/95 et 00/01) ont été enlevées.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(14)

Puze1\REP. IMP.

0.00 0.01 0.02 0.03 0.04 0.05 0.06 0.07 0.08

0 50 100 150 200 250 300 350 400

j

&RPSRVDQWHV

La chronique de Puzé1 caractérise un aquifère relativement homogène et à transmissivité assez élevée, de milieu fissuré. Les transferts rapides ont une incidence marginale sur le niveau de la nappe.

Les transferts sont principalement lents avec un pic autour de 2 mois et avec un retour à l’état initial 1 an après l’impulsion de pluie.

(15)

38=(

621'$*(

,QGLFH

;

<

= &RQVHLO5pJLRQDO

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

'RJJHU

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH /D528(5(DIIOXHQWGHOD/LDJXH =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH 3pULRGHVXLYLSLp]RPpWULTXHGHSXLV

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

/HVQLYHDX[KDXWHHDXGH3X]pVRQWSOXVpFUpWpVPDLVOHVROHVWPSOXVEDVTXHVXU3X]pOHVQLYHDXGX-XUDVVLTXHVXSpULHXUHWGX'RJJHUVRQW WUqVSURFKHPDOJUpXQHFRPSOpWLRQDSULRULELHQIDLWHVXUVXU3X]pHWODSUpVHQFHGHPGHPDUQHVjODEDVHGX-XUDVVLTXH6XSpULHXU)LJXUHGH GUDLQDJHGX'RJJHUSDUODULYLqUHWUqVQHWWH3DVGDFFLGHQWWHFWRQLTXH6XSHUSRVLWLRQGHDTXLIqUHVDX[FDUDFWpULVWLTXHVK\GURG\QDPLTXHVWUqV GLIIpUHQWHV/HVQLYHDX[pFUpWpVFRUUHVSRQGHQWYUDLVHPEODEOHPHQWjXQGpERUGHPHQWDXQLYHDXGXIRUDJHVDQVTXHODSUHVVLRQFRUUHVSRQGDQWHVRLW PHVXUpH

2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV ILJXUHVGHSRPSDJHGpERUGHPHQWVpYHQWXHOVHQ+(

PSOXVEDVTXHOHVROGXSLp]R

(QWLWp %$66,1'(3$5,6&$/&$,5(6'8'2**(5

FDSWLI

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Puze2\Modèle et observations S= 0.19048E+01 m R2= 0.815 Nash=0.6302

80 82 84 86 88 90 92 94 96 98 100

1/1/1992 1/1/1996 1/1/2000 1/1/2004

m NGF

Modèle Puze2 Débordement

Le piézomètre de Puzé2 est très sensible aux pompages (aquifère captif). On note aussi une cote de débordement autour de 96 m NGF, comme pour Puzé1. On soupçonne là le débordement de la nappe au niveau de l'ouvrage, comme le laisse penser la troncature nette de la chronique des mesures réelles.

Le calage du modèle a été nettement amélioré en introduisant une cote de débordement et une fonction pompage.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(16)

Puze2\Puze2\REP. IMP. lente et rapide

0.00 0.05 0.10 0.15 0.20 0.25 0.30 0.35 0.40 0.45 0.50

0 50 100 150 200 250 300

j

Lente pompages RI rapide

&RPSRVDQWHV

La mise en charge est progressive après l'impulsion.

Les transferts lents dominent avec un pic autour de 4 mois et un retour à l'état initial au bout de moins d'une année.

Puze2\Composantes

-10 -5 0 5 10 15 20

1/1/1992 1/1/1996 1/1/2000 1/1/2004

m NGF

Lent Débordement pompages rapide

Ce graphe précise les différentes composantes intervenant dans le niveau piézométrique : la composante lente majoritaire, des écoulements rapides minoritaires, les composantes pompages et débordement.

(17)

&28+(

621'$*(

,QGLFH

;

<

= &RQVHLO

5pJLRQDO

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

'RJJHU

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH ',9(GX6XG =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH QRQ

&RXSHWHFKQLTXH QRQ

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

%HDXFRXSGHGROLQHVDX1VXUXQHOLJQH11(66:LQFOXVHVGDQVOD]RQHGDOLPHQWDWLRQGXSLp]RPqWUH3UR[LPLWpGHVVRXUFHVGH%UHMHXLOOHV 2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV (WLDJHIRUWHQHWHQP6HXLOGHGpERUGHPHQWjP1*)FHTXLFRUUHVSRQGjSHXSUpVjODFRWHGH ODULYLqUHjSUR[LPLWp

(QWLWp $ &,95$,6,(1'2**(5

OLEUH

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Couhé1\Modèle et observations S= 0.63710E+00 m R2= 0.739 Nash=0.5487

107 108 109 110 111 112 113

1/1/1990 8/9/1992 18/5/1995 24/1/1998 1/10/2000 10/6/2003 16/2/2006

m Modèle

Couhé 1

Pompages Seuil

Le graphe de Couhé1 a été difficile à caler (et le calage n'est pas parfait) dans la mesure où il y a double incidence des pompages et d'un seuil de débordement (autour de 111 m NGF).

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(18)

Couhé1\Couhé 1\REP. IMP. Gaussienne*exponentielle

-0.02 0.00 0.02 0.04 0.06 0.08 0.10 0.12 0.14

0 50 100 150 200 250 300 350 400

j

Composante lente Débordement

&RPSRVDQWHV

Les transferts sont principalement lents avec un pic au bout de 2 mois à peu prés et un retour à l'état initial après une impulsion au bout de plus de 6 mois.

Couhé1\Composantes

-3.0 -2.0 - 1.0 0.0 1.0 2.0 3.0 4.0 5.0

1/ 1/ 1992 1/ 1/ 1996 1/ 1/ 2000 1/ 1/ 2004

m

Ce graphe identifie nettement l'importance des débordements en période de hautes eaux

(19)

&28+(

621'$*(

,QGLFH

;

<

= &RQVHLO

5pJLRQDO

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

,QIUD7RDUFLHQ

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH ',9( =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH QRQ

&RXSHWHFKQLTXH QRQ

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

/HJUDSKHPRQWUHXQVHXLOGHGpERUGHPHQWWUqVQHWDXQLYHDXGXVROGpERUGHPHQWDXQLYHDXGHORXYUDJHRXGpERUGHPHQWGDQVODQDSSHGX'RJJHU RXODULYLqUH"

2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV &KURQLTXHVWURQTXpHVjGpERUGHPHQWV"

(QWLWp *5(6'875,$6'868''(%$66,13$5,6

FDSWLI

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Couhe2\Modèle et observations S= 0.36437E+01 PiezomR2= 0.727 Nash=0.4820

88 93 98 103 108 113 118

1/1/1992 1/1/1996 1/1/2000 1/1/2004

Piezom Modèle

Couhé 2

Pompage Seuil

Le modèle de Couhé 2 présente un calage non optimal du à l'impact des pompages (très fort) et de l'existence du seuil de débordement. En particulier les années 2003 et 2005, années sèches, montrent un calage très imparfait.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(20)

Couhe2\Couhé 2\REP. IMP. lente et rapide

-0.1 0.0 0.1

0 50 100 150 200 250 300 350 400

j

Transferts lents Débordement

&RPSRVDQWHV

On observerait sur ce graphe que des transferts lents avec un pic à 2 mois et un retour à 'état initial au bout d'environ 10 mois.

Couhe2\Composantes

- 20 - 10 0 10 20 30 40

1/ 1/ 1992 1/ 1/ 1996 1/ 1/ 2000 1/ 1/ 2004

P i e z o m

Composante lente Débordement Composante rapide

Ce graphe permet de visualiser nettement les transferts lents, les transferts rapides quasi- inexistants et les débordements

(21)

/285',1(6

38,76

,QGLFH

;

<

=

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

'RJJHU

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH /$8;$1&( =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

6LWXpHQDYDOGXEDVVLQ3DVGLPSDFWHSHXGHSUpOqYHPHQWVXWLOLVpHQJHVWLRQjFRPSWHUDYHFYLOOOLHUVDYDQWGHODEDQGRQQHU3DVVHGHOLEUHjFDSWLI jODFRWHP1*),PSRUWDQFHGHODFRPSRVDQWHUDSLGHSDVUHWHQXFRPPHRXYUDJHGHJHVWLRQYRLUDYLVSROLFHGHOHDXSRXUUHWHQXH9HULILHUOD]RQH GLQIOXHQFHVXU0DS

7URXQX 2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV &KURQLTXHSLp]RPpWULTXHLQWHUURPSXHQRWDPPHQWSOXVLHXUVPRLVHQ+(1LYHDXSODQFKHU1*)SHXW rWUHFKDQJHPHQWGHUHSHUHVXUODSDUWLH

(QWLWp $ +$8732,728'2**(5(7$$/(1,(1

OLEUH

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

PGHFDOFDLUHFDOORYLHQHWPGH%DWKRYLHQ

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Clain\Modèle & Lourdine S= 0.82667E+00 m R2= 0.831 Nash=0.4075

69 70 71 72 73 74 75 76 77

1/1/1990 12/9/1992 25/5/1995 3/2/1998 15/10/2000 27/6/2003 8/3/2006

m Modèle

Lourdine

Seuil de débordement

changement de repère ?

Le modèle souligne l'existence d'un débordement à partir de la cote 74 m NGF. D'une manière générale le modèle a été difficile à caler malgré la quasi- absence d'influence de prélèvements. Un changement de repère est soupçonné en 1996/97.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(22)

Lourdine\Lourdine\REP. IMP. lente et rapide

0.00 0.10 0.20 0.30 0.40 0.50 0.60

0 50 100 150 200 250 300 350 400

j

RI lente RI rapide

&RPSRVDQWHV

La composante rapide bien visible sur les chroniques est relativement masquée sur le modèle qui lisse les données sur une décade (pour la cohérence avec les chroniques de pluie/ETP). Le pic de la composante rapide est à 5 jours après l'impulsion pluie.

(23)

6$,=,1(6

621'$*(

,QGLFH

;

<

=

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

,QIUD7RDUFLHQ

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH %28/(85( =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

'UDLQDJHGHOLQIUDYHUVOH1:HWOD%RXOHXUHSDUDOOqOHPHQWDX&ODLQTXLOXLFRXOHVXUODIDLOOHTXLVHFRPSRUWHHQEDUULqUHRXGLVFRQWLQXLWp K\GUDXOLTXH&DSWDJHWURXQXSUpVHQFHGHQRPEUHXVHVGROLQHV/D%RXOHXUHGUDLQH"(QKDXVVHHDXPDLVSDVHQEDVVHHDX

2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV FKURQLTXHVDYHFF\FOHVLQWHUDQQXHOV

(QWLWp *5(6'875,$6'868''(%$66,13$5,6

LVRODWLRQGX'RJ

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Saizines\Modèle et observations S= 0.31570E+01 PiezomR2=

0.657 Nash=0.2697

100 105 110 115 120 125 130

1/1/1992 1/1/1996 1/1/2000 1/1/2004

m

Modèle Saizines

pompages

Seuil de débordement réservoir tampon

Le calage du modèle montrerait : une cote de débordement autour de 122 m NGF, un impact important des pompages en particulier entre 1995 et 1999. Pour les années sèches 2002 et 2003 le modèle présente des écarts importants avec les mesures. Tout se passe comme si le réservoir était soutenu par d'autres apports que la pluie (nappe du Dogger, rivière souterraine ?).

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(24)

Saizines\Saizines\REP. IMP. lente et rapide

-0.05 -0.03 - 0.01 0.01 0.03 0.05 0.07 0.09

0 50 100 150 200 250 300 350

j

Transf erts lents Débordement

&RPSRVDQWHV

Le graphe des réponses montre une certaine similitude avec celui de St-Romain (Dogger) avec un pic impulsionnel au bout de 3 mois et un retour à l'état initial au bout d'une année.

Saizines\Composantes

- 10 -5 0 5 10 15 20 25 30

1/ 1/ 1992 1/ 1/ 1996 1/ 1/ 2000 1/ 1/ 2004

P i é z o m

Lent Débordement Rapide

Ce graphe montre la prépondérance des transferts lents et l'importance des débordements en 2001

(25)

67520$,1

621'$*(

,QGLFH

;

<

= &RQVHLO

5pJLRQDO

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

'RJJHU

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH 5XLVVHDXGH)217(*5,9( =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

'UDLQDJHPDUTXpHQSLp]RPpWULHYHUVOHUXLVVHDXGH)RQWHJULYH 2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV IOXFWXDWLRQLQWHUDQQXHOOHV

DSSUR[LPDWLIFRWp

(QWLWp *5(6'875,$6'868''(%$66,13$5,6

UHjVHPLFDSWL

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

StRomain\Modèle et observations S= 0.20184E+01 m R2= 0.868 Nash=0.7389

115 120 125 130 135 140

1/1/1994 1/1/1998 1/1/2002 1/1/2006

m _Modèle

StRomain

Seuil

Le calage a nécessité l'introduction d'un seuil de débordement à 131.7 m NGF, c'est-à-dire autour de la cote de la base des argiles superficielles (cote de mise en charge de l'aquifère). La nappe se comporte comme si elle débordait latéralement (vallée sèche ?) au moment où son état devient captif. Le mauvais calage sur les hautes eaux 2001 (débordement) se transfert aux 2 années suivantes.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(26)

StRomain\StRomain\REP. IMP. lente et rapide

-0.010 0.000 0.010 0.020 0.030 0.040 0.050

0 100 200 300 400 500 600

j

Transf erts lents Débordement

&RPSRVDQWHV

Le graphe des composantes montre un comportement de nappe (semi-)captive du à la présence d'une couverture argileuse (plus de 5 m).

La mise en charge est rapide. Les écoulements sont lents avec un pic au bout de 3 mois pour la réponse impulsionnelle et un retour à l'état initial au bout de plus d'un an.

StRomain\Composantes

- 10 -5 0 5 10 15 20 25 30

1/ 1/ 1994 1/ 1/ 1998 1/ 1/ 2002 1/ 1/ 2006

m

Ce graphe souligne la faiblesse des écoulements rapides.

(27)

9,//,(56

38,76

,QGLFH

;

<

=

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

'RJJHU

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH /$8;$1&( =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

/LEUHHQEDVVHHDXFDSWLIHQKDXWHHDX5HFRXYUHPHQWGHPGHPDUQHV2[IRUGLHQ/HIRUDJHHVWMXVWHVXUODOLJQHGHSDUWDJHGHVHDX[VRXWHUUDLQHV 3DOOXYHUVOH1RUGHW$X[DQFHVYHUVOH6XG$SHXSUqVDODOLPLWHHQWUHOHVPDUQHVHWOHVFDOFDLUHVSRXUUDLWVRUWLUGDQVGHVYDOOpHVVpFKHVDX1RUGGH 9RXLOOpO$X[DQFHHVWHQYLURQjP

WXEpVXUOHVSUHPLHUVPpWUHV 2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV /HVFKURQLTXHVVRQWLPSDFWpHVSDUGHVSRPSDJHVHWSDUOHSDVVDJHHWDWOLEUHHWDWFDSWLIPGHSURIRQGHXUDYHFXQ QLYHDXSODQFKHUjP

(QWLWp %$66,1'(3$5,6&$/&$,5(6'8'2**(5

FDSWLIHWOLEUH

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

=RQHpWHQGXHjODYDOSRXULQWpJUHUOLQIOXHQFH PGHPDUQHV2[IRUGLHQSXLV&DOFDLUHVGXGRJJHU

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Séries :\Villier

90 95 100 105 110 115 120 125 130

1/1/1995 1/1/1999 1/1/2003

m

Débordement

Pompage

Niveau de l'Auxance

Le calage du modèle sur Villiers a été réalisé en intégrant les données 2005 de manière à intégrer une année atypique particulièrement sèche. Le modèle souligne l'existence d'un seuil de

débordement autour de 120 m correspondant à peu prés au passage des calcaires du Dogger aux marnes du Jurassique supérieur (à rechercher le débordement dans les vallées sèches vers Vouillé).

Le niveau de l'Auxance au droit du piézomètre est situé à peu prés à la cote 105 m NGF. Le piézomètre réagit sensiblement aux pompages alentours

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(28)

Villiers\Villier_sspomp\REP. IMP. lente et rapide

-0.10 0.00 0.10 0.20 0.30 0.40 0.50 0.60 0.70

0 50 100 150 200 250 300

j

&RPSRVDQWHV

La composante rapide n'est pas négligeable en période de crue avec un pic au bout de 10 j. La composante lente montre une mise en charge rapide et retour à l'état initial sur environ 6 mois.

Villiers\Composantes

-10 -5 0 5 10 15 20 25 30

1/1/1995 1/1/1999 1/1/2003

m

Les transferts rapides en période de crue illustrent les circulations karstiques. En très hautes eaux les débordements sont importants.

(29)

$%%$<(

621'$*(

,QGLFH

;

<

= &RQVHLO5pJLRQDO

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

,QIUD7RDUFLHQ

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH %2,95( =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

5pVHUYRLUWUqVSHXpSDLVPHQWUHHWPG,QIUD7RDUFLHQGRORPLHJULVH*UDQLWHGHjP'HX[GROLQHVLPSRUWDQWHVHQULYHJDXFKHGHOD

%RLYUHDXQLYHDXGHO$EED\HSUR[LPLWpGHIDLOOHV=RQHWUqVIDLOOpHDYHFD[HGHGUDLQDJHPDUTXpGDQVO,QIUD7RDUFLHQSDUDOOqOH"jOD%RLYUH6WDWLRQ GH5LEDOLHUHj9RXQHXLO2QVRXSoRQQHXQHDOLPHQWDWLRQGHO,QIUD7RDUFLHQSDUODULYLqUHIDLOOHVHQDPRQW

HQ%66 2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV &KURQLTXHVDYHFF\FOHVLQWHUDQQXHOVHWGHVWHQGDQFHVSOXULDQQXHOOHV7HQGDQFHjODEDLVVHGHVQLYHDX[FHVGHUQLqUHV DQQpHV

(QWLWp *5(6'875,$6'868''(%$66,13$5,6

FDSWLI

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

6XSUD7RDUFLHQVWpULOH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Abbaye\Modèle et observations S= 0.29968E+00 m R2= 0.767 Nash=0.4760

102 103 103 104 104 105 105 106 106

1/1/1990 8/9/1992 18/5/1995 24/1/1998 1/10/2000 10/6/2003 16/2/2006 m

Modèle Abbaye

Le modèle présente un très mauvais calage avec la chronique de ce piézomètre, en particulier pour certaines années comme 1997 où la pluviosité est déficitaire et la chronique montre malgré tout des niveaux élevés. Le modèle met plus en évidence que la chronique des cycles pluriannuels.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(30)

Abbaye\Abbaye\REP. IMP. lente et rapide

-0.10 0.00 0.10 0.20 0.30 0.40 0.50 0.60 0.70

0 50 100 150 200 250 300

j

Composante lente Débordement Composante rapide

&RPSRVDQWHV

Le modèle restitue un comportement typique d'un aquifère captif avec une mise en charge rapide suite à l'impulsion, des transferts lents prépondérants avec un retour à l'état initial sur l'année, mais aussi des transferts rapides (mais très minoritaires) avec un pic au bout de quelques jours.

Abbaye\Composantes

-2.0 - 1.0 0.0 1.0 2.0 3.0 4.0 5.0 6.0

1/ 1/ 1993 1/ 1/ 1997 1/ 1/ 2001 1/ 1/ 2005

m

Lente Débordement Rapide

Ce graphe met en évidence la faible contribution des transferts rapides au niveau du piézomètre et l'importance des débordements.

(31)

&$*12&+(

38,76

,QGLFH

;

<

= 1LYHOp

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

'RJJHUOLEUH

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH /H3DODLV =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH 1RQ

&RXSHWHFKQLTXH

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV

3Lp]RPqWUHVLWXpVXUODFUrWHHQWUH9RQQHHW%RLYUH

(QWLWp

/LEUH

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Cagnoche\Modèle et observations S= 0.85650E+00 m R2= 0.951 Nash=0.8860

136 138 140 142 144 146 148 150 152

1/1/1998 1/1/2002 1/1/2006

m Modèle

Cagnoche

Pour le calage un seuil à 148 m NGF a été introduit.

Le calage apparaît globalement correct sauf pour les cycles secs 2002/2003 et 2005. Pour 2005 la chronique ne montre pas de remontée, la nappe connaît une vidange sur 2 ans, alors que le modèle réagit modérément.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(32)

Cagnoche\Cagnoche\REP. IMP. lente et rapide

0.00 0.05 0.10 0.15 0.20 0.25 0.30 0.35 0.40

0 50 100 150 200 250 300 350 400

j

Transferts lents Débordement transferts rapides

&RPSRVDQWHV

L'analyse des composantes montre essentiellement des transferts lents avec un retour à l'état initial après une impulsion au bout de plus d'un an.

Cagnoche\Composantes

-5 0 5 10 15 20

1/ 1/ 1998 1/ 1/ 2002 1/ 1/ 2006

m

Ce graphe souligne la quasi-absence de la composante rapide et la grande prépondérance des transferts lents.

(33)

'$8))$5'

)25$*(

,QGLFH

;

<

=

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH &ORXqUH =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH

&RXSHWHFKQLTXH

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV &KURQLTXHDPRUWLHSDUUDSSRUWDX[SLp]RPqWUHVYRLVLQVGDQVODPrPHQDSSHTXLSUpVHQWHQWHX[XQHUpDFWLYLWp LPPpGLDWHjODSOXLH/D&KDUSUpHHW)HUULqUHB$LURX[

(QWLWp

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Dauffard\Modèle et observations S= 0.10222E+01 m R2= 0.893 Nash=0.7557

105 110 115 120 125

1/1/1998 1/1/2002 1/1/2006

m Modèle

Dauf fard Tendance

Le fait de ne disposer que d'une chronique courte et que le piézomètre fasse apparaître une certaine inertie de la nappe conduit à un calage très moyen.

Afin d'améliorer le calage en essayant de s'affranchir aussi des effets des pompages (plus faibles entre 2000 et 2002), une tendance a été introduite.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(34)

Dauffard\Dauffard\REP. IMP. lente et rapide

-0.05 0.00 0.05 0.10 0.15 0.20

0 100 200 300 400 500 600 700 800

j

&RPSRVDQWHV

Le graphe fait apparaître des transferts rapides faibles, à effet immédiat, des transferts lents nettement prépondérant avec un pic au bout de 4 mois et un retour à l'état initial après plus d'une année.

Dauffard\Composantes

- 5 0 5 10 15 20

1/ 1/ 1998 1/ 1/ 2002 1/ 1/ 2006

m

Le graphe souligne la prépondérance des écoulements lents et un phénomène de débordement important en 2001.

(35)

6$5=(&

)25$*(

,QGLFH

;

<

=

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

'RJJHU

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH &/$,1 =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

SLp]RPqWUHGHJHVWLRQJpUpGLUHFWHPHQWSDUOD&$3QRQLQWpJUpDXUpVHDXSLp]RPpWULTXHUpJLRQDO FUpSLQpGHjP

2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV PHVXUHVWUqVEUXLWpHVFDUSLp]RPqWUHGDQVOHQFHLQWHGXQFKDPSFDSWDQW (QWLWp

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

j)RQWDLQH

'RJJHUVXUWRXWHODKDXWHXUIUDFWXUHVGHjP

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Sarzec\Modèle et observations S= 0.75627E+00 m R2= 0.768 Nash=0.6197

68 69 70 71 72 73 74 75 76

1/1/1998 1/1/2002 1/1/2006

m Modèle

Sarzec

Très influencé par les pompages du champ captant, le piézomètre de Sarzec présente un comportement singulier difficilement modélisable.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(36)

Sarzec\Sarzec\REP. IMP. lente et rapide

0.000 0.005 0.010 0.015 0.020 0.025 0.030 0.035 0.040

0 200 400 600 800 1000 1200 1400 1600 1800

j

RI lente RI rapide

&RPSRVDQWHV

Le modèle restitue une composante "rapide", correspondant aux écoulements dans les systèmes karstiques (mais avec toutefois un pic au bout de 6 mois et une composante très lente, avec un pic au bout de 2/3 ans et un retour très long à l'état initial.

L'importance des recouvrements tertiaires dans le bassin d'alimentation peut expliquer ce

comportement.

Sarzec\Composantes

0.0 0.5 1.0 1.5 2.0 2.5 3.0 3.5 4.0

1/1/1998 1/1/2002 1/1/2006

m

lente rapide

Ce graphe souligne l'existence des deux composantes.

(37)

&+$%2851$<

621'$*(

,QGLFH

;

<

= &RQVHLO5pJLRQDO

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

2[IRUGLHQ

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH /D3$/8 =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

)UDFWXUHDTXLIqUHHQWUHHWPGDQVO2[IRUGLHQVXSpULHXUOH'RJJHUHVWLPSURGXFWLIFDOFDLUHVFRPSDFWVHQWUHHWP1LYHDXSODQFKHUjP QHWWHPHQWPDUTXp)LJXUHGHGUDLQDJHSDUOD3DOXQHWWHPHQWPDUTXpHGDQVODSLp]RPqWULHGX-XUDVVLTXHVXSpULHXU8QFRXUVGHDXVHSHUGHQDPRQW /DFRWHGHGpERUGHPHQWVHPEOHFRUUHVSRQGUHDX[FRWHVGHODYDOOpHGH&KLODLVHDX11:jNPHWUHMRLQWHQVXLWHOD3DOOX/HQLYHDXSODQFKHUP 1*)SRXUUDLWFRUUHVSRQGUHjXQHFRWHGHODULYLqUHTXLVHUDLWVRXWHQXHHQpWLDJHQRUPDOSDUOHVpFRXOHPHQWVVXSHUILFLHOVHQSURYHQDQFHGX

&pQRPDQLHQDX1GHODULYLqUHTXLDOLPHQWHUDLHQWpJDOHPHQWODULYLqUH 2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV DPSOLWXGHVGXQDTXLIqUHOLEUHSHXSURIRQGSURFKHGXQLYHDXGHEDVHULYLqUH1LYHDXSODQFKHUPDUTXpjPP 1*)

j*ULVVpSRQWFRWH"0DLVQLYHDXGHEDVHP

(QWLWp E +$8732,728-85$66,48(683(5,(85

OLEUH

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Clain\Modèle & Chabourn S= 0.87587E+00 m R2= 0.771 Nash=0.0902

77 78 79 80 81 82 83 84 85

1/1/1992 1/1/1996 1/1/2000 1/1/2004

m NGF Modèle

Chabourn Seuil de débordement

Soutien étiage

Le calage du modèle a été compliqué en hautes eaux par l'existence d'un seuil de débordement autour de 81 m NGF, et en basses eaux par l'existence d'un seuil bas autour de 78 m NGF. Ce seuil bas, qui correspondrait à la coté de la Pallu non loin du piézomètre vers l'aval, a été interprété comme un soutien d'étiage de la nappe par la rivière, elle-même soutenue par les apports du Crétacé supérieur. En 2005 toutefois, le niveau de la nappe est descendu bien au-dessous de cette cote traduisant des conditions exceptionnelles avec assèchement complet de la Pallu. Le calage du modèle a été amélioré en introduisant un seuil de débordement.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(38)

Chabourn\REP. IMP.

0.00 0.01 0.02 0.03 0.04 0.05 0.06 0.07 0.08

0 50 100 150 200 250 300 350 400

j

&RPSRVDQWHV

L'anlyse impulsionnelle montre une nappe libre à composante lente prédominante avec un pic de réponse autour de 3 mois et un retour à l'état initial après impulsion au bout d'une année

(39)

5$8',(5(

)25$*(

,QGLFH

;

<

=

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

,QIUD7RDUFLHQ

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH $8;$1&( =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

)RUDJHVLWXpjO2XHVWGH/DWLOOpDXPRLQVIRUpMXVTXDXJUDQLWHGRQFFDSWDJHFRPSOHWGHO,QIUD7RDUFLHQTXLQHVWpSDLVTXHGHP WXEpLVROpFLPHQWpMXVTXjPEDVHGX7RDUFLHQ

2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV QLYHDXGHGpERUGHPHQWjVRLWP1*)5DFFRUGHPHQWqUHSDUWLGHODFKURQLTXHjYDOLGHU"/H WRLWGHODQDSSHHVWVLWXpDXWRXUGHODFRWHP1*)(QEDVVHVHDX[FHQLYHDXFULWLTXHHVWSUHVTXHDWWHLQW

LQFHUWLWXGHVXUODFRWHGHODULYLqUH

(QWLWp *5(6'875,$6'868''(%$66,13$5,6

FDSWLI

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

,QIUDWRDUFLHQVRXVPGHPDUQHVJULVHV

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Raudiere\Modèle et observations S= 0.15857E+01 m R2= 0.901 Nash=0.7773

112 117 122 127 132

1/1/1999 1/1/2003

m Modèle

Raudiere

Le calage du modèle a du prendre en compte un seuil de débordement à 125 m NGF. Il est important de signaler que le modèle ne rend pas compte d'une tendance à long terme. La baisse progressive apparente sur le graphe serait imputable à la diminution des pluies ces dernières années.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(40)

Raudiere\Raudiere\REP. IMP. lente et rapide

-0.05 0.00 0.05 0.10

0 50 100 150 200 250 300 350 400

j

&RPSRVDQWHV

On observe sur ce graphe qu'une composante lente, avec un pic au bout de 3 mois et un retour à l'état initial après l'impulsion au bout d'une année, et une composante de débordement.

Raudiere\Composantes

- 10 -5 0 5 10 15 20 25 30

1/ 1/ 1999 1/ 1/ 2003

m

La composante rapide (karst) est négligeable. Les débordements sont importants en 2001.

(41)

&8+21

3,(=20(75(

,QGLFH

;

<

= &RQVHLO5pJLRQDO

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

-XUDVVLTXHVXS

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH /D52&+(%2855($8 =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH QRQ

&RXSHWHFKQLTXH QRQ

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

/D5RFKH%RXUUHDXHWOD'LYHHQDPRQWGH/D*ULPDXGLqUHQHVHUDLHQWSDVSpUHQQHVSUREOqPHVGDVVHFV/HUXLVVHDXGHOD5RFKH%RXUUHDXGUDLQHOH -XUDVVLTXHVXSpULHXUHQKDXWHVHDX[PDLVLOVHPEOHGpFURFKpHQEDVVHVHDX[/HVFRWHVGHOD'LYHHWGXUXLVVHDXVRQWSURFKHV/HVQLYHDX[KDXWH HDXGX-XUDVVLTXHVXSpULHXUVRQWP!'RJJHUHWOHV%(!PEDWWHPHQWVGHPSRXUOH-XUDVVLTXHVXSpULHXUHWGHPSRXUOH'RJJHU

2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV &RXUEHVFRKpUHQWHVDYHFFHOOHVGH&8+21DYHFXQHUpDFWLYLWpTXLVHPEOHSOXVUDSLGHVXU&8+21TXLSUpVHQWH pJDOHPHQWGHVFRXUEHVJpQpUDOHPHQWSOXVSRLQWXHVFDUDFWpULVWLTXHVGXQDTXLIqUHVXSpULHXUOLEUH&RWHGH GpERUGHPHQWjPVRLWP1*)

DIIOXHQWjO(VWGHOD'LYHGHFRXUVSDUDOOqOH

(QWLWp %$66,1'(3$5,6&$/&$,5(6'8'2**(5

OLEUH

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Cuhon2\Modèle et observations S= 0.94490E+00 m R2= 0.880 Nash=0.7952

88 90 92 94 96 98 100

1/1/1990 30/6/1992 29/12/1994 28/6/1997 26/12/1999 25/6/2002 23/12/2

m

Modèle Cuhon2

pompages

Le modèle met en évidence un seuil de débordement autour de 97 m ce qui correspond à la cote de la rivière à proximité. Les pompages se marquent nettement jusqu'en 1998.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(42)

Cuhon2\Cuhon2\REP. IMP. Gaussienne*exponentielle

0.00 0.02 0.04 0.06 0.08 0.10 0.12 0.14 0.16

0 50 100 150 200 250

j

&RPSRVDQWHV

Les temps de réponses correspondent à un milieu aquifère relativement homogène et transmissif, caractéristique de l'aquifère fissuré du Jurassique supérieur. La mise en charge est rapide au départ, puis progressive avec un maximum atteint au bout de 50 j, et un retour à l'état initial au bout de 200 j.

(43)

&8+21

3,(=20(75(

,QGLFH

;

<

= &RQVHLO5pJLRQDO

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

'RJJHU

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH /D',9( =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

/DULYLqUHGH/D5RFKH%RXUUHDXFRXOH2XHVWHQWUHHWP1*)HOOHHVWGRQFSHUFKpH/D'LYHHQFRUHSOXVjO2XHVWGHSDUFRXUVSDUDOOqOHHVW pJDOHPHQWSHUFKpHPjOD%RXUHOOLqUH-XUDVVLTXHVXSHW'RJJHUFRQVWLWXHQWXQVHXODTXLIqUHjSDUWLUGH9LOOLHUV1DSSHFDSWLYHDYHFXQQLYHDXGH GpERUGHPHQWjP1*)GDQVOHVDIIOHXUHPHQWVGX'RJJHUGDQVOHFRXUVGHOD'LYHHQDYDOGH&XKRQ6HXLOEDVGHJHVWLRQjPSRXUDVVXUHU JUDGLDQWSDUUDSSRUWjODF{WHGHOD*ULPDXGLqUH

LVRODWLRQGRXWHXVHGX-XUDVVLTXH6XS 2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV FRWH+(GHGpERUGHPHQWQHGpSDVVDQWSDVPVRLWP1*)PLQLPDEHDXFRXSSOXVIOXFWXDQWV,QIOXHQFHGH SRPSDJHVDYDQW

FRWHDUULYpHVXUOHVDIIOHXUHPHQWVGX&DOORYLHQ GDQVOHFRXUVGHOD'LYH

(QWLWp % +$8732,728-85$66,48(683(5,(85

FDSWLIVRXV-6

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

FRXSHGpWDLOOpHHQ%66

)RUDJHVGH1RX]LqUHVKRUVGHOD]RQHGLQIOXHQFH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Cuhon1\Modèle et observations S= 0.94244E+00 m R2= 0.811 Nash=0.6315

80 82 84 86 88 90 92 94

1/1/1990 30/6/1992 29/12/1994 28/6/1997 26/12/1999 25/6/2002 23/12/2004

m

Modèle Cuhon1

pompages

Basses eaux

Le modèle met en évidence un seuil de débordement vers 88 m NGF, ce qui semble correspondre aux premiers affleurements de Dogger dans la Dive à l'aval. Les pompages alentours se marquent principalement avant 1999. Un seuil bas peut être fixé vers 83 m NGF, ce qui est légèrement supérieur à la cote de la Grimaudière et permet ainsi d'assurer un gradient par rapport à cette source.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(44)

REP. IMP. Gaussienne*exponentielle

0.00 0.02 0.04 0.06 0.08 0.10 0.12 0.14 0.16

0 50 100 150 200 250 300

j

Cuhon1 Cuhon2

&RPSRVDQWHV

Il n'y a que des transferts lents, ce qui est cohérent avec le caractère captif du réservoir à Cuhon, avec une mise en charge rapide, un pic à environ 2 mois et un retour à l'état initial 250 j environ après l'impulsion.

(45)

/$02,1,(

38,76

,QGLFH

;

<

= &RQVHLO

5pJLRQDO

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

'RJJHU

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH UXLVVHDXWKDOZHJGHV&KDVVHV =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH 3pULRGHVXLYLSLp]RPpWULTXHGHSXLV

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH QRQ

&RXSHWHFKQLTXH QRQ

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

3Lp]RPqWUHVHFRPSRUWDQWFRPPHXQRXYUDJHHQQDSSHOLEUHORLQGHVH[XWRLUHVQDWXUHOVHWVDQVH[SORLWDWLRQVLJQLILFDWLYH/HVKLVWRULTXHVWUDGXLVHQW DORUVSOXVOHVYDULDWLRQVFOLPDWLTXHV5pDFWLRQGXQDTXLIqUHWUqVFDSDFLWLIPDOJUpODSUR[LPLWpGXQH]RQHNDUVWLTXHELHQGpYHORSSpHHWUHFRQQXH/H SXLWVFDSWHYUDLVHPEODEOHPHQWXQLTXHPHQWOH%DWKRQLHQ2QWURXYHHQVXLWHHQFRUHPGHFDOFDLUHV%DMRFLHQVSXLVPGHPDUQHVEOHXHVDYDQW GDWWHLQGUHOH7RDUFLHQ%DWWHPHQWVDQQXHOVSHXLPSRUWDQWVSRXUXQRXYUDJHGXGRJJHUDYHFXQFRPSRUWHPHQWSURFKHGHFHOXLGHV$VVDLVSLFV+(

HW 2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV &RXUEHVFRPSDUDEOHVjFHOOHVGH$VVDLVDYHFGHVIOXFWXDWLRQVLQWHUDQQXHOOHVPDUTXpHVHWGHVIOXFWXDWLRQVDQQXHOOHV SHXLPSRUWDQWHV&KURQLTXHVHQSDUWLHVDYDQW+(HWDSUqV+(

DIIOXHQWSHUHQQH"GHOD'LYH

(QWLWp $ 7+28$56$,6-85$66,48(02<(1'8 125'32,728

OLEUH

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

OD]RQHGLQIOXHQFHHQJOREHOHUXLVVHDXGHV+RPPHVHWVRQJRXIIUHWUDoDJHVSRVLWLIVYHUVOHVVRXUFHVGH6H

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Lamoinie\Modèle et observations S= 0.10762E+01 m R2= 0.813 Nash=0.6731

106 108 110 112 114 116 118 120 122 124 126

1/1/1990 30/6/1992 29/12/1994 28/6/1997 26/12/1999 25/6/2002 23/12/2

m

Modèle Lamoinie

La chronique et le modèle sont assez similaires à ceux du piézomètre d'Assais. Ces données montrent des cycles pluri-annuels (avec 2 pics hautes eaux 1995 et 2001) se surimposant à des cycles annuels.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(46)

Lamoinie\Lamoinie\REP. IMP. lente et rapide

0.00 0.02 0.04 0.06 0.08 0.10 0.12 0.14 0.16 0.18 0.20

0 100 200 300 400 500

j

RI lente RI rapid

&RPSRVDQWHV

Les transferts rapides sont faibles mais existants, avec une mise en charge quasi-immédiate (transfert de pression) et un pic à environ 10 j). Les transferts lents sont prépondérants (95 %) avec un retour l'état initial aprés l'impulsion sur 1.5 an et un pic à environ 6 mois.

Lamoinie\Composantes

0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20

1/1/1990 6/8/1992 12/3/1995 16/10/1997 21/5/2000 25/12/2002 31/7/2

m

len rap

(47)

6$89(6

3,(=20(75(

,QGLFH

;

<

= &RQVHLO5pJLRQDO

3URIRQGHXU

$TXLIqUHFDSWp

'RJJHU

3URI+(

3URI%(

=+(

=%(

%DWWHPHQW

5LYLqUH 6$89(6 =ULYLqUH 'LVWDQFHSLH]RPqWUHULYLHUH

1E2XYUDJHVGDQV]RQH

&RXSHJpRORJLTXH RXL

&RXSHWHFKQLTXH RXL

2EVHUYDWLRQVHWV\QWKqVHK\GURJHRORJLTXHV

/D6DXYHQHGUDLQHSDVPrPHHQKDXWHVHDX[OH'RJJHUVHORQODFRXSHJpRORJLTXHGXIRUDJHHWVHORQOHVPHVXUHVSLp]RPpWULTXHV3UpVHQFHGXQH VRXUFHFDSWpHDX1RUGGXYLOODJHGH6W-HDQGH6DXYH/H[WHQVLRQDPRQWGHODLUGDOLPHQWDWLRQHVWOLPLWpHjODIDLOOHGH0LUHEHDXOHFRPSDUWLPHQW 1RUGRVHVLWXHODSOXVJUDQGHSDUWLHGHODLUHGDOLPHQWDWLRQpWDQWQHWWHPHQWSURGXFWLYHTXHODSDUWLH6XG'DQVFHFRPSDUWLPHQWHIIRQGUpOH 'RJJHUHVWHQFKDUJHVRXVO2[IRUGLHQDXVXGGHODIDLOOHOH'RJJHUHVWOLEUHHWDIIOHXUH3Lp]RPqWUHQRQUHWHQXFRPPHRXYUDJHGHJHVWLRQ 2EVHUYDWLRQVVXUOHV

FKURQLTXHVSLp]RPpWULTXHV &KURQLTXHVSRXYDQWWUDGXLUHGHVSRPSDJHVVXUWRXWDYDQW1LYHDXGHGpERUGHPHQWjPVRLWP1*)

+(HW%(UpVHDXVRXVOD6DXYHV

(QWLWp %$66,1'(3$5,6&$/&$,5(6'8'2**(5

FDSWLI

$QDO\VHGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

0RGpOLVDWLRQGHODFKURQLTXHSLp]RPpWULTXH

Sauves\Modèle et observations S= 0.15305E+01 m R2= 0.683 Nash=0.2763

53 55 57 59 61 63 65 67 69 71 73

1/1/1990 29/6/1992 26/12/1994 23/6/1997 20/12/1999 17/6/2002 13/12/2004

m

Modèle Sauves

Seuil haut

débordement

Le calage du modèle est assez moyen. Le modèle met en évidence un seuil de débordement à environ 60 m NGF qui ne peut être rattaché à la surface (source ou rivière à plus de 70 m NGF dans ce secteur). Etant donné que l'on est ici en nappe captif, la cause de ce débordement peut être très éloignée de l'ouvrage. Les pompages avoisinant (même éloignés car nappe captive) semblent se marquer surtout dans la période antérieure à 2000.

/RFDOLVDWLRQ

P

P P

P P1*)

(QYLURQQHPHQWGXSLp]RPqWUH

P1*) NP

NP

(48)

Sauves\Sauves\REP. IMP. Gaussienne*exponentielle

0.000 0.010 0.020 0.030 0.040 0.050 0.060 0.070 0.080

0 50 100 150 200 250 300 350

j

&RPSRVDQWHV

On constate une mise en charge instantanée (caractère captif de l'aquifère), avec un pic au bout de 10 j et un retour à l'état initial de l'ordre d'un an après l'impulsion.