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Programme Décentralisation et Gouvernance Locale

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Academic year: 2022

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Gros, maigre ou obèse

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QUOTIDIEN TOGOLAIS D'ANALYSES ET D'INFORMATIONS GENERALES / Prix : 250 FCFA

TOGOMATIN

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DERNIERES HEURES

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Education

Les recettes du professeur Kokoroko pour surmonter les difficultés

« La confiance n’exclut pas le contrôle », dit-on souvent. Cette affirmation a toute sa raison d’être. Et en matière de vaccins, les Togolais l’ont très bien appliqué. Tout le monde y compris les spécialistes engagés sur le terrain médical, sont d’accord que les Togolais ont raison de s’inquiéter et de chercher à comprendre avant de tendre leurs bras. À présent, on peut considérer que cette phase de méfiance face à un produit nouveau est dépassée et que l’on doit faire confiance à nos compatriotes qui sont devant cette lutte et qui nous éclairent.

Nous étions parmi ceux qui ont premièrement posé ce débat sur l’innocuité des vaccins avant même leur arrivée.

Face aux rumeurs qui circulaient depuis des mois et au sentiment antivaccin qui gagnait du terrain il fallait que ce débat s’installe et dans la transparence totale afin de rassurer tout le monde. Mais, à l’étape actuelle, l’on peut faire un minimum de confiance à ces éminents scientifiques togolais impliqués dans la riposte ...

Covid-19 et vaccins : il est temps de faire confiance au Conseil scientifique du Togo

«Un Togolais, une entreprise»

Aladin Group octroie des financements de 300 000 à 5 millions FCFA aux jeunes entrepreneurs

PAGE 2 INCLUSION FINANCIERE

Programme Décentralisation et Gouvernance Locale

Des conseils communaux outillés en management, team building et coaching

Covid-19

Les Togolais face à leur responsabilité

N° 877 DU LUNDI 22 MARS 2021

CMJN

Aujourd’hui, on peut dire que le Togo comme le reste du monde est à la croisée des chemins. Alors que l’on vient de lancer les campagnes de vaccinations dans un contexte de controverses sur de prétendus effets secondaires graves des vaccins, et qui vient renforcer le fort sentiment antivaccin en marche depuis des mois, que peuvent faire le chef de l’Etat, les membres du gouvernement et les acteurs ...

Rapport du Cian

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Le Togo, meilleur réformateur de l’espace Cedeao

Le Conseil des investisseurs français en Afrique (Cian) a rendu public le 18 mars dernier son rapport 2020 dans le cadre du Forum Afrique du Cian 2021. La ministre, secrétaire générale de la présidence de la République et coordonnatrice de la Cellule du climat des affaires (CCA), Mme Sandra Ablamba Johnson a également pris part à cette activité.

La mission du professeur Dodzi Komla Kokoroko, ministre des Enseignements primaire, secondaire, technique et de l’Artisanat, est d’aider le système éducatif togolais à renaître de ses cendres non seulement sur le plan des équipements, mais aussi ...

Dans le cadre du Programme Décentralisation et Gouvernance Locale (ProDeGoL), un atelier de renforcement de capacités a été ouvert jeudi 18 mars à Lomé. Les maires, les adjoints aux maires, les secrétaires généraux des communes de Kloto 1, Yoto 2 et ...

Echos des bénéficiaires des produits FNFI

Kolani ou l’éleveur de volailles et

producteur de soja grâce au FNFI

Dans ce nouveau numéro de votre rubrique quotidienne « Echos des Bénéficiaires des Produits FNFI», votre Journal Togo Matin vous conduit à Dapaong dans la région des savanes pour partager ...

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Récépissé N° 0522/31/03/15/HAAC Edité par DIRECT MEDIA RCCM

N° TG_LOM 2015 B 1045 BP : 30117 Lomé - Togo Tél : (+228) 22 25 02 23 / 90 15 39 77 / 97 87 12 42 Facebook: togomatin E-mail : atogomatin@gmail.com

Site web: www.togomatin.tg Tw: @togomatin1 Mson de la Presse: Casier N° 53

Siège

Cacavéli: 04, Rue Satelit, 3e Mson avant GroupeCafper

Directeur de publication : Motchosso Kodolakina Secrétaire de rédaction :

Rachidou Zakari Responsable web:

Carlos Amevor Comité de rédaction:

Françoise Dasilva Alexandre Wémima

Edem Dadzie

Félix Tagba Edodji Nadia Attipoe Edem Kodjo Responsable administrative:

Gloria Léma Yagla Service commercial:

DIRECT AGENCE Tél:(+228) 70 00 47 73 / 97 73 00 00

Graphiste:

Eros Dagoudi Imprimerie: Direct Print

Distribution : TogoMatin Tirage : (2000 exemplaires)

TOGOMATIN

SOMM AIRE

P 9 P 7

Littérature togolaise / Valérie Améyo Ayivi

« Rêve brisé » ou le combat vers la guérison » Tanzanie / Décès de Magufuli

Samia Suluhu Hassan a prêté serment

Elim. CAN 2021 / 5e et 6e journée du Togo

Des Éperviers hybrides pour sauver l'honneur

P 10

Echos des bénéficiaires des produits FNFI

Kolani ou l’éleveur de volailles et producteur de soja grâce au FNFI

Dans ce nouveau numéro de votre rubrique quotidienne « Echos des Bénéficiaires des Produits FNFI », votre Journal Togo Matin vous conduit à Dapaong dans la région des savanes pour partager avec vous les riches expériences d’un bénéficiaire des innombrables produits du FNFI. Grâce au crédit obtenu, l’heureux bénéficiaire est aujourd’hui épanoui et autonome grâce à son activité d’éleveur de volailles et de producteur de soja.

Reportage…

D

apaong, des savanes. Ici vit région monsieur Kolani avec sa famille depuis plus de quarante ans. Cultivateur par essence, il a voulu lui aussi se prendre en charge en exerçant une activité qui lui permette de subvenir à ses besoins ainsi qu’à ceux de sa famille. Voulant à tout prix avoir du financement pour faire décoller son activité, il entend parler par la suite du produit ‘’ Accès des Agriculteurs aux Services Financiers’’ (AGRISEF), produit dont il ignorait carrément l’existence.

« A peine j’ai appris que le FNFI mettait en œuvre un produit qui pouvait m’aider à aller de l’avant dans l’exercice de mon activité que je me suis rendu auprès de Ucmecs, une microfinance partenaire du FNFI dans la région.

C’est justement labà que les agents de crédits m’ont expliqué en intégralité ce qu’était ce produit et à qui il était destiné. A l’issue des explications, je me suis rendu compte que j’étais parfaitement éligible à

ce produit et je me suis mis en ordre de batailles pour remplir toutes les exigences requises pour obtenir le crédit. »

C’est justement la vocation du crédit AGRISEF du FNFI, soutenir les petits exploitants agricoles à démarrer ou consolider

leurs activités agricoles.

« Apres avoir suivi tout le processus de formation et de mise au vert, j’ai alors débuté l’élevage de volailles comme vous pouvez le voir actuellement. Certes les débuts n’ont pas été facile, car il fallait mettre tout en place pour s’assurer que l’activité prospère, mais

aujourd’hui avec assez de recul, et quad je vois le nombre de têtes de volailles que j’ai aujourd’hui je me dis que c’est un véritable pari gagné pour moi. En plus de cette activité d’élevage, je suis également producteur de soja. J’avoue que ces deux activités conjuguées me

permettent véritablement de joindre les deux bouts, se subvenir à mes besoins ainsi qu’à ceux de ma famille. C’est pour moi l’occasion de remercier le FNFI pour toutes les opportunités qui nous sont offertes pour nous autosuffire. »

KD

Kolani

Ceci est un programme du ministère chargé de l'inclusion financière et de l'organisation du secteur informel

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TOGOMATIN N° 877 DU LUNDI 22 MARS 2021

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DERNIERES HEURES

POLITIQUE

... Le professeur Didier Ekouévi, président du Conseil scientifique, a exhorté les Togolais à lui faire confiance. Comment penser qu’il accepte l’inoculation d’un produit douteux à la population togolaise au sein de laquelle l’on compte ses parents proches, lointains, ses amis, collègues etc… ? Il promet d’alerter l’opinion si jamais, il constatait que les vaccins

pouvaient engendrer de graves problèmes de santé.

Ne peut-on donc pas lui accorder le bénéfice du doute ? Il faut préciser que le professeur Ekouévi a fait vacciner ses deux géniteurs qui ont plus de 70 ans.

Lui-même et ses collègues se sont fait vacciner. Ce sont autant de preuves de bonne foi que les Togolais doivent considérer. La

théorie du complot ne peut quand même pas résister à toutes ces démonstrations ? Interrogé par un journaliste mercredi dernier, le professeur- colonel Djibril Mohaman, coordonnateur de la riposte contre la Covid-19 au Togo, a affirmé qu’en cas de problèmes graves liés à la vaccination, les laboratoires d’origine des vaccins porteront une part

de la responsabilité. Cela aussi devrait rassurer, même s’il faut demander à la providence divine de nous épargner ces déboires.

Et pour clore définitivement les controverses sur le vaccin Astra Zeneca, l’Agence européenne du médicament appuyée par l’OMS a conclu que ce vaccin est « sûr et efficace ». Plusieurs pays

dont la France ont repris la vaccination à base de l’Astra Zeneca. Comme pour tout vaccin, les effets secondaires ne manquent pas. Mais, ils sont mineurs et de courte durée. Sur la base de ce qui précède, les Togolais vont devoir accepter de faire confiance à leurs frères et sœurs qui sont au-devant de cette lutte.

Dadzie

Education

Les recettes du professeur Kokoroko pour surmonter les difficultés

La mission du professeur Dodzi Komla Kokoroko, ministre des Enseignements primaire, secondaire, technique et de l’Artisanat, est d’aider le système éducatif togolais à renaître de ses cendres non seulement sur le plan des équipements, mais aussi sur le plan des réformes des offres de formation. La tâche est ardue, mais il faudra commencer quelque part.

D

epuis sa nomination, le ministre Kokoroko pose les jalons d’une véritable renaissance du système éducatif. Il a déjà réussi à surmonter la première tempête. Une tempête qui a souvent emporté des ministres nommés à ce poste par le passé.

Plusieurs notes de service signés par le professeur Kokoroko à l’endroit de ses administrés montrent qu’il y a une volonté de mettre de l’ordre dans la maison.

Mais, cela ne doit pas s’arrêter là. Si on réussit à

discipliner les enseignants, il faudrait aussi leur donner les moyens de remplir efficacement leur mission et mettre les apprenants dans de meilleures conditions d’apprentissage.

Le président de la République était conscient qu’il y a du travail à faire dans le secteur éducatif.

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle lors de la campagne comptant pour sa réélection en 2020, il a fait des propositions pertinentes pour pallier le manque de salles de

classe et de tables bancs.

Récemment, l’une de ses promesses de campagne visant à supprimer les frais de participation aux examens dans notre pays, a été réalisée. Toutefois, les difficultés demeurent.

« Oui le secteur est en difficulté, il ne faut pas le nier. Nous sommes prêts à relever tous les défis », a déclaré le professeur Kokoroko vendredi dernier.

Et, il joint l’acte à la parole.

16 650 tables-bancs seront distribuées dans les établissements scolaires

Covid-19

Les Togolais face à leur responsabilité individuelle et collective

Aujourd’hui, on peut dire que le Togo comme le reste du monde est à la croisée des chemins. Alors que l’on vient de lancer les campagnes de vaccinations dans un contexte de controverses sur de prétendus effets secondaires graves des vaccins, et qui vient renforcer le fort sentiment antivaccin en marche depuis des mois, que peuvent faire le chef de l’Etat, les membres du gouvernement et les acteurs impliqués dans la riposte contre le coronavirus pour amener nos compatriotes à se ressaisir ? Les Togolais sont vraiment désormais face à leur responsabilité individuelle et collective.

D

epuis le début de cette crise sanitaire dans notre pays, c’est la première fois qu’on voit le président de la République en réunion avec le Premier ministre, les membres du gouvernement impliqués dans la riposte, les membres du Comité national de la gestion de la riposte contre le Covid-19 (CNGR-Covid-19) au Togo et les membres du Conseil scientifique, tout cela sur un air de Conseil des ministres.

Mais, la solennité de cette rencontre, les visages graves du chef de l’Etat et de ceux qui étaient autour de lui, montrent que la situation est grave. L’inquiétude

est palpable. Mercredi dernier, lors du point de presse du CNGR-Covid-19, son coordonnateur, le professeur-colonel Djibril Mohaman, annonçait que notre pays a enregistré plus de 600 cas positifs lors de la semaine écoulée. Cela fait au minimum 100 cas par jour. Son collègue président du Conseil scientifique, le professeur Didier Ekouévi, a confirmé cette information après la rencontre avec le chef de l’Etat.

Même durant les mois passés où les Togolais avaient tellement peur de ce virus et où l’on ne connaissait

Faure Gnassingbé, le visage grave vendredi dernier

dans tout le pays. « Quand je dis, je fais. Quand le gouvernement dit, il fait.

Quand le chef de l’Etat dit, il le fait », a ajouté le professeur Kokoroko au lancement de la campagne à l’EPP centrale d’Agoè-

Nyivé (Nord de Lomé). On peut donc affirmer sans risque de se tromper, que le système éducatif est entre de bonnes mains et qu’il est parti pour être hissé très haut.

E. Dadzie

Professeur Dodzi Komla Kokoroko, vendredi dernier

pas encore, du moins un peu ce virus, il n’y a pas eu une telle flambée. Peut-être qu’avec le temps et voyant que le virus ne faisait pas ravage sur le continent africain, nos compatriotes ne se sentaient plus trop vulnérables face au virus.

Cette explication est plausible, puisque l’on a assisté à un relâchement généralisé, même avec le lavage des mains. Pour le port du masque, c’est un véritable boycott, surtout à l’intérieur du pays.

Mais, les spécialistes ont toujours demandé à nos populations de se montrer prudents. Il ne sert à rien de jouer avec le Diable, même si l’on est sous la protection divine. Le Tout-puissant protecteur peut sur la base de notre suffisance nous abandonner. Les Africains et les Togolais devraient faire attention. Aujourd’hui, on parle de la contamination communautaire qui prend le dessus. Face à cette situation, le gouvernement a obtenu il y a quelques

jours la prorogation de la loi d’habilitation à prendre des décisions par ordonnance, et l’Etat d’urgence sanitaire pour six mois.

Le Conseil scientifique annonce qu’il pourrait proposer de nouvelles mesures restrictives au gouvernement d’ici mardi.

Il est donc temps pour les Togolais de se ressaisir et de prendre leur responsabilité.

La vaccination se présente aujourd’hui comme la solution incontournable pour venir à bout de ce virus. L’imposition des mesures restrictives et barrières commence par connaître ses limites. « C’est le lieu de recommander de nouveau à chaque citoyen le respect scrupuleux des mesures barrières et de faire sienne la campagne de vaccination afin de limiter la contamination », a exhorté le président de la République Faure Gnassingbé.

Edem Dadzie

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CORIS BANK INTERNATIONAL TOGO Société anonyme avec conseil d’administration

Au capital social de

12.500.000.000 de Francs CFA

Siège social : 297, Boulevard du 13 janvier, quartier Béniglato BP 4032 Lomé-Togo RCCM : TG-LOM 2013 B 712

Liste des banques TG 182

AVIS DE CONVOCATION AUX ACTIONNAIRES DE CORIS BANK INTERNATIONAL TOGO (CBI-TOGO)

Les actionnaires de Coris Bank International Togo (CBI- Togo), sont convoqués en Assemblée Générale Ordinaire, le Mardi 06 avril 2021 à 15 heures au siège social de ladite société (297, Bd du 13 Janvier, quartier Béniglato BP 4032 Lomé-TOGO) afin de délibérer sur le projet de l’ordre du jour ci-après :

Point 1 : Examen des comptes et approbation des comptes de l’exercice clos au 31 décembre 2020 ;

- lecture du rapport du Conseil d’Administration à l’Assemblée Générale Ordinaire ;

- lecture du rapport général et des rapports spéciaux des commissaires aux comptes et approbation des conventions règlementées ;

Point 2 : Quitus aux Administrateurs et décharge aux Commissaires aux Comptes ; Point 3 : Affectation du résultat de l’exercice clos au 31 décembre 2020 ;

Point 4 : Adoption du rapport d’évaluation du Conseil d’Administration, des comités spécialisés et des Administrateurs ;

Point 5 : Fixation des indemnités des Administrateurs et des membres du Conseil de Conformité Interne ;

Point 6 : Vote des résolutions.

Les documents relatifs à ladite Assemblée Général Ordinaire sont disponibles pour consultation par les actionnaires auprès du secrétariat de Coris Bank International Togo SA à partir du 22 mars 2021.

Tout actionnaire pourra participer personnellement à l’Assemblée Générale ou s’y représenter par un mandataire de son choix.

Le Conseil d’Administration

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TOGOMATIN N° 877 DU LUNDI 22 MARS 2021

ECONOMIE

TOGOMATIN N° 877 DU LUNDI 22 MARS 2021

Vue partielle de Lomé, la capitale togolaise

Vue partielle des participants à la séance

Rapport du Cian

Le Togo, meilleur réformateur de l’espace Cedeao

Le Conseil des investisseurs français en Afrique (Cian) a rendu public le 18 mars dernier son rapport 2020 dans le cadre du Forum Afrique du Cian 2021. La ministre, secrétaire générale de la présidence de la République et coordonnateur de la Cellule du climat des affaires (CCA), Mme Sandra Ablamba Johnson a également pris part à cette activité.

P

lusieurs critères ont été pris en compte dans ce rapport, notamment les infrastructures, l’administration, l’économie, les finances, le social, les facteurs de production et le développement durable.

Avec un score de 2,8 points, le Togo figure parmi le Top

6 des économies africaines ayant offert en 2020 des meilleurs cadres incitatifs à l’investissement privé.

Alors que la moyenne est fixée à 2,5 points, seulement 16 sur 31 pays ont pu réaliser un score supérieur à cette moyenne.

Grâce à son score, le Togo est

le premier pays en Afrique de l’ouest devant le Bénin et le Ghana. Le pays est classé

6e sur le continent.

« Avec les fondamentaux m a c r o é c o n o m i q u e s

Réhabilitation et extension de 4000 km de pistes rurales

Les entreprises sensibilisées sur les exigences du gouvernement

Le gouvernement togolais dans sa feuille de route pour le quinquennat 2020-2025 a inscrit un nombre important de projets dans son agenda en vue de développer le secteur routier rural dans le pays. Pour ce faire il a mis en place un département ministériel destiné à cette question. Ce ministère dénommé ministère du Désenclavement et des Pistes rurales, dirigé par Tchedre Pissa, travaille d’arrache-pied pour répondre aux différentes recommandations du gouvernement inscrites dans sa feuille de route.

L

e ministre a rencontré vendredi 19 mars à Lomé les Petites et moyennes entreprises œuvrant dans le secteur des BTP. L’objectif est de les entretenir sur l'ouverture prochaine des offres des soumissionnaires et les travaux de réhabilitation, d'ouverture et d'élimination des points critiques sur les pistes rurales dans les cinq régions du pays. Ces offres s’inscrivent dans le cadre du programme 2020- 2025 de la réhabilitation et de l’extension de 4000 km de pistes rurales. La rencontre a également permis d’expliquer aux participants les différentes recommandations de la feuille de route du gouvernement.

« Nous avons pour indicateurs de performance la réhabilitation et l'extension de 4 000 km.

Nous avons également le devoir de pouvoir entretenir le réseau des pistes rurales existants à hauteur de 75%

en bon et moyen état et aussi de mettre en place une banque de données des pistes rurales sur 8 000 à 15 000 km pour une gestion efficace et efficiente », a indiqué le ministre du Désenclavement et des Pistes rurales, Tchedre Pissa

Au niveau du ministère

stables, le Togo jouit d’une croissance annuelle moyenne du PIB réel de près de 5% et se montre résilient face aux répercussions économiques et sociales de la pandémie de Covid-19. Le pays bénéficie d’un climat politique et social stable qui lui permet d’être 9 places au-dessus de la moyenne ouest africaine dans l’indice de stabilité politique et d’absence de violence et de terrorisme pour la période 2008-2017 », relève le Cian.

Félix Tagba

Obligations de relance

Le Togo lève 22

milliards FCFA sur le marché financier

Dans le cadre des Obligations de relance, le Togo était sur le marché financier régional vendredi 19 mars dernier. Le pays était à la recherche de 20 milliards FCFA. A l’issue de l’opération, le pays a réussi à lever 22 milliards FCFA.

Le Togo a réussi à rassurer les investisseurs au cours de cette émission d’Obligations de relance (OAT) d’une durée de 7 ans. L’émission a obtenu un taux d’intérêt de 6,3%.

Le montant global des soumissions enregistrées au cours de cette émission s’élève à plus de 53 milliards FCFA. Sur cette somme, le pays a retenu 22 milliards FCFA. Le taux de couverture du montant mis en adjudication par les soumissions est de 268,54% et le taux de couverture du montant mis en adjudication par les soumissions retenues est de 110 %.

Avec un taux d'absorption de 40,96% et un rendement moyen pondéré de 6,22%, cette émission a enregistré en tout 62 soumissions, avec 24 participants directs.

Selon l’agence Umoa-Titres, cette opération s’inscrit dans le cadre de l'exécution du programme d'émissions de titres publics du Togo en conformité avec la stratégie à moyen et long terme de gestion de la dette.

Le Togo a réussi à mobiliser pour le compte des Obligations de relance 200 milliards FCFA sur le marché financier régional.

Félix T.

des exigences sont données afin de réaliser des travaux avec la qualité requise et par là inviter toutes les entreprises qui seront défaillantes dans l'exécution des travaux relatifs au présent appel d'offres d'être écartées du processus durant 5 ans, soit jusqu'en 2025.

Ainsi le ministre a invité les entreprises qui seront retenues après la soumission à l'excellence et à remplir les obligations, afin d'offrir aux populations rurales un travail de qualité.

De même, selon le ministre, ces travaux seront suivis par les collectivités territoriales qui veulent avoir des ouvrages de qualité dans le temps.

Pour les entreprises, le défi est grand et le gouvernement ne ménage aucun effort pour soutenir les PME dans ce sens, pour leur permettre de réaliser de bons ouvrages sur le terrain.

« Il faudra que les PME soient capables de faire du bon travail, un travail de qualité, dans le respect des délais et du budget.

Pour cela le ministre nous a dit clairement qu'on ne ménagera pas les efforts pour nous accompagner.

Mais dans le même temps en cas de résilience, le gouvernement sera ferme parce que la volonté du chef de l'État c'est que d'ici les 5 ans à venir toutes les pistes rurales à travers le pays soient bien construites et que ce soit des ouvrages qui puissent tenir dans la garantie décennale », a précisé le PDG de Centro, Kpatcha Passayi.

Dans le cadre de ce projet, 52 entreprises seront touchées pour un total de 67 tronçons par région à aménager, afin de faciliter l'écoulement des produits des agriculteurs vers le centre-ville du pays pour leur commercialisation.

La rédaction

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SUNU Bank innove avec la simulation de crédit instantanée dans son offre WhatsApp Banking.

Une fois de plus, SUNU Bank franchit un nouveau palier au Togo avec l’introduction d’une nouvelle fonctionnalité dans son produit : WhatsApp Banking.

Il s’agit de la simulation de crédit instantanée permettant de connaître sa capacité d’emprunt pour un crédit en ligne.

Il y’a un an, SUNU Bank a révolutionné le marché bancaire togolais avec le lancement du WhatsApp Banking.

Grâce à ce service plus besoin de se déplacer en agence pour les opérations bancaires. Le client a directement accès depuis son téléphone via l’application WhatsApp à plusieurs fonctionnalités telles que la consultation du solde de leur compte bancaire, l’historique des dix dernières transactions sur leur compte, le paiement de leurs factures CEET et CANAL+, la recharge de leurs comptes Flooz et T-Money et des informations sur les offres et services de SUNU Bank.

Aujourd’hui SUNU Bank continue d’innover en rajoutant la Simulation de crédit. Désormais en envoyant « Prêt » au +228 93 33 64 62 sur WhatsApp, il est aisé d’instantanément obtenir les informations sur le montant, la durée de remboursement et les mensualités d’un crédit

Pour les personnes qui ne sont pas encore clientes de SUNU Bank, l’application WhatsApp Banking pour l’obtention de la liste des pharmacies de garde, la consultation des résultats de la Loterie ainsi que la consultation de la météo.

Avec la simulation de crédit de SUNU Bank votre financement est au bout des doigts.

Pour plus d’informations, vous pouvez rendez-vous en agence vous pouvez contacter SUNU Bank au :

togo.bank@sunu-group.com www.sunu-group.com

SUNUBankTG

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TOGOMATIN N° 877 DU LUNDI 22 MARS 2021

ETRANGER

TOGOMATIN N° 877 DU LUNDI 22 MARS 2021

Denis Sassou Nguesso, président du Congo-Brazzaville

Samia Suluhu Hassan, la nouvelle présidente de la Tanzanie

Congo-Brazza / Présidentielle 2021

Denis Sassou Nguesso veut aussi « son coup K.O. » !

Dimanche 21 mars 2021, près de 2,5 millions de Congolais ont pris d’assaut les urnes pour choisir leur prochain président. Sans internet, mais avec une forte présence policière autour de certains grands centres de vote, les Congolais avaient en réalité le choix, soit, de redonner leur confiance au président sortant, Denis Sassou Nguesso, qui brique un nouveau mandat, soit de porter au pouvoir un nouveau parmi cette liste de 6 candidats.

S

ur les affiches de campagne, on pouvait lire très clairement le mot d’ordre qui sous-tend la dynamique réunie autour du président Sassou Nguesso :

« coup K.O. » ! A 77 ans, dont 36 au pouvoir, le président sortant espère obtenir la majorité des suffrages dès le premier tour de ce scrutin sans réels enjeux.

Si enjeux il y a, ce serait alors le taux de participation. Car, les Congolais semblent déjà être habitués à la fameuse formule d’un scrutin « joué et gagné d’avance » par son organisateur, le président lui-même. Toutefois, le taux de participation, lui, reste encore un indicateur factuel, qui résiste au discours négationniste de ceux-là qui n’attendent plus rien de ces rencontres électorales dont

la transparence et l’équité sont à remettre en cause.

Le taux de participation, parlons-en. En effet, depuis quelques années, une quinzaine à peu près, le taux de participation a tendance à baisser dans ce pays où le chef de l’Etat semble être adulé par les populations dont 65% vivent en dessous du seuil de la pauvreté et se retrouvent dans les 6 régions du sud du pays. Ce qui est sûr, et mis à part l’exception de la présidentielle de 2016, la lassitude gagne les Congolais, presqu’habitués au même résultat, et qui ne voient toujours pas leur situation être substantiellement améliorée.

Pour ce qui est de la transparence, nul doute que les attentes à ce propos

soient encore déçues. Car, pour ce scrutin, l’Eglise catholique, de plus en plus critiquée pour ses prises de position ici et ailleurs sur le continent, a vu son accréditation lui être refusée. Au niveau des observateurs internationaux, le contexte de la pandémie lié au coronavirus a été l’argument tangible brandi pour restreindre leur nombre.

D’ailleurs, leur mission sera de « court terme », selon l’accréditation octroyée, et non plus une « observation de l’ensemble du processus

».Avec moins de 6 000 observateurs et l’absence notoire de l’Union européenne à ce scrutin, rien n’est sûr que les résultats qui seront sortis soient acceptés de tous les candidats. N’empêche, le président sortant s’est assuré de remporter ce scrutin dès le premier tour, surtout que son principal challenger, Guy- Brice Parfait Kolélas a été transporté d’urgence, aux frais du gouvernement, vers la France pour y suivre des soins après avoir été testé positif au Covid-19.

Alexandre Wémima

Tanzanie / Décès de Magufuli

Samia Suluhu Hassan a prêté serment

Vice-présidente jusqu'au décès de John Magufuli, Samia Suluhu Hassan a prêté serment vendredi pour devenir présidente de la Tanzanie. Âgée de 61 ans, celle qui est originaire de l'archipel semi-autonome de Zanzibar doit rester au pouvoir jusqu'en 2025, fin prévue du mandat de son prédécesseur.

La vice-présidente de la Tanzanie, Samia Suluhu Hassan, a prêté serment, vendredi 19 mars, pour succéder au président John Magufuli, dont le décès a été annoncé mercredi soir, devenant la première femme à diriger ce pays d'Afrique de l'Est.

"Moi, Samia Suluhu Hassan, promets d'être honnête et d'obéir et de protéger la constitution tanzanienne", a déclaré la nouvelle dirigeante, vêtue d'une robe noire et d'un foulard rouge, lors d'une brève cérémonie dans la capitale économique Dar es Salaam.

Applaudie par les dignitaires présents, dont l'ancien président Jakaya Kikwete, elle a ensuite procédé à une revue de troupes.

Selon la Constitution tanzanienne, cette musulmane de 61 ans originaire de l'archipel semi-autonome de Zanzibar doit rester au pouvoir jusqu'à la fin prévue du mandat de John Magufuli, soit en 2025. Elle est désormais l'une des deux femmes actuellement au pouvoir en Afrique, avec l'Éthiopienne Sahle-Work Zewde, dont les fonctions sont honorifiques.

Connue pour encourager les femmes à poursuivre leurs rêves, cette mère de quatre enfants était déjà la première vice-présidente de l'histoire de son pays, depuis l'arrivée au pouvoir en 2015 de John Magufuli, dont elle était la colistière.

France 24

Bénin / Présidentielle 2021

La Cour constitutionnelle demande une épuration

Au Bénin, la Cour constitutionnelle du pays vient de prendre une importante décision. A quelques semaines de la présidentielle, la plus haute juridiction du pays demande une épuration pure et simple du fichier électoral devant servir à la présidentielle d’avril 2021 prochain.

L

e Arouna aura été jusqu’au citoyen Ibrahim bout. Dans un recours, le citoyen a demandé à la Cour constitutionnelle de constater que le Conseil d'orientation et de supervision de la Liste électorale permanente informatisée (Lepi) a transmis à la Cena une liste électorale de cinq millions cinq cent vingt-trois mille cinq cent vingt-quatre (5 523 524) électeurs avec plus de cinq cent mille morts inscrits pour la prochaine présidentielle.

Le requérant souligne que

lors de cette cérémonie du fichier électoral à la Cena, le président du COS- Lepi a indiqué que selon une étude de l'Institut national de la statistique et de l'analyse économique (INSAE) cinq cent soixante- quatre mille six cent soixante-quatorze (564 674) électeurs inscrits sur ce fichier électoral étaient déjà décédés. En raison de ce que cette information lui est parvenue tard, l'ANT n'a pas pu prendre cela en compte. Le président du COS-Lepi a ensuite demandé au président de

la Cena de prendre cela en compte dans l'appréciation du taux de participation à la présidentielle du 11 avril 2021.

Ibrahim Arouna souligne que le président de la Cena a répondu au président du COS-Lepi qu'une telle injonction n'entre pas dans

le cadre de ses attributions légales et qu'il ne peut pas posséder au redressement de la liste électorale. Dans son recours, le requérant demande en conséquence à la Cour constitutionnelle de prendre en compte les données fournies par l'INSAE à l'effet de redresser

la Lepi et d'enjoindre à la Cena de prendre toutes les dispositions nécessaires afin d'empêcher ces plus de 500 mille électeurs de voter lors du prochain scrutin présidentiel.

En rendant son verdict, la Cour présidée par le professeur Joseph Djogbenou a fait droit à la demande du requérant Ibrahim Arouna. Elle a ainsi demandé à la Commission électorale de prendre en compte les cinq cent soixante-quatre mille six cent soixante- quatre (564 674) électeurs déjà décédés dans l'appréciation du taux de participation à la prochaine présidentielle au Bénin.

T.M.

Les juges de la Cour constitutionnelle

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Entretien avec Ghislain Emerice AWAGA, PDG de Global Trade Corporation SA

“GTC n'est pas une entreprise de ponzi, nous avons la

capacité d’honorer nos engagements progressivement...”

Face aux difficultés de paiements des souscripteurs aux contrats d’investissement dans la société Global Trade Corporation (GTC), observées ces derniers mois et suite aux rumeurs selon lesquelles le PDG de GTC aurait fui le pays, Ghislain Awaga a décidé de briser le silence, afin de dire ce qui se passe réellement dans sa société.

Dans une interview qu’il vient de nous accorder, le jeune entrepreneur explique les raisons pour lesquelles , Global Trade Corporation éprouve quelques difficultés ces derniers mois et la stratégie qu’il a mise en place pour sortir de cette crise.

Pourquoi avoir créé GTC SA?

À la base, cela devait être Gf corporation SA, malheureusement quand vous créez une entreprise à partir de rien, vous n'avez pas la possibilité d'avoir les meilleurs comptables ni les meilleurs techniciens. Ceci a occasionné la première migration de la société en société anonyme, une nécessité pour nous car étant inscrits dans un format de faire évoluer GF CORPORATION SARL en GF CORPORATION SA.

Malheureusement les lacunes qu'on trainait rendait cette mutation impossible dans l'immédiat ce qui nous a emmené à créer GTC SAS qui deviendra GTC SA.

À sa création , GTC avait hérité de nombreux passifs de Gf, a côté des clients qui devaient être payés sur les bénéfices dégagés à GTC et les fonds de la GF STORE qui devaient transiter par notre salle de marché. La gestion de GF CORPORATION devait alors être assumée par M. Junior SEWODO.

Également faut-il le souligner, une partie des fonds sous gestion à GF Corporation était transférée à GTC SA.

Que s'est-il passé à GF CORPORATION par la suite?

Bien de choses, GF STORE à la base a connu deux administrations et la seconde a hérité des difficultés et de la non rentabilité de la première avec un déficit de près de 16 millions.

À la base, les fonds issus des commandes devaient être fructifiés à GTC SA sur la base d'un contrat d'investissement comme un autre puisqu'il s'agit de deux structures distinctes. Le gérant d'alors de GF Corporation a pris l'initiative de rentabiliser à l'interne les fonds collectés qui s'est soldée avec des pertes

et des écarts injustifiés dans la comptabilité. La sonnette d'alarme a été tiré en octobre par un employé qui a attiré mon attention sur la gestion des fonds.

La première disposition que j'ai prise était de faire cesser toutes les activités et faire auditer les comptes. Le rapport d'audit était clairement différent des rapports que j'avais reçu sur la durée avec un statut d'actionnaire. Cela faisait mention d'une différence de près de 150 millions.

En attendant la justification de cet écart, la signature des contrats a été transféré à GTC SA, qui a recueilli les nouveaux contrats. GTC SA et aucun de ses responsables n'ont été mêlés de près ou de loin à la gestion des fonds de GF STORE ou de GF CORPORATION jusqu'en octobre 2020. Même au delà du mois d'octobre certains contrats ont été signés à GF CORPORATION dont les fonds n'ont jamais été transférés à GTC SA.

Quel sort est réservé aux clients ?

GTC SA et ses responsables déclinent toute responsabilité liée aux commandes receuillis à GF CORPORATION SARL. Un travail de contre expertise est en train d'être mené et les résultats seront rendus publics . Les commandes receuillies ou les fonds gérés par GTC SA seront honorés à partir du jeudi 25 mars 2021. Les autres contrats seront honorés sur proposition d'un moratoire de Monsieur Junior SEWODO, moratoire qui sera communiqué aux clients et aux médias avec un suivi strict des livraisons et de restitution des fonds.

Pourquoi la résiliation des contrats GF Corporation?

GTC SA avait hérité des passifs de GF CORPORATION et de ses clients, contrats qui ont été honorés sur près de 7 mois à des taux qui étaient devenus difficiles à tenir. La situation de GF STORE aussi s'étant ajoutée à l'équation et la première crise de GTC en octobre qui nous avait secoué, rendaient difficile le paiement des clients. La seule alternative était la résiliation des contrats et le retour des fonds aux investisseurs qui malgré tout ont perçu leurs rémunérations sur la durée du contrat à part ceux ayant des contrats bloqués.

La restitution des fonds avaient commencé et s'était interrompue avec les difficultés actuelles de GTC SA.

Quelle est l'origine actuelle de la crise de GTC SA? Mutation vers l'économie réelle ou la pandémie ?

Aujourd'hui plusieurs de nos clients se plaignent de la mutation de l'entreprise vers l'économie réelle, mais pourquoi a t- on voulu migrer vers des valeurs sûres?

Le travail que nous faisons s'apparente à l'activité des banques ou des SFD. En août j'avais entrepris plusieurs voyages dans l'optique d'obtenir une réglementation ou une accréditation afin d'exercer légalement et librement sans tomber dans l'illégalité.

Ailleurs nous avons des fonds spéculatifs qui bénéficient d'un encadrement solide et qui profitent à l'éclosion économique des pays. Aujourd'hui, nous togolais ne sommes leaders dans aucun secteur sur le plan sous- regional et continental . Tous les voyages se sont soldés par un échec cuisant et continuer dans cette voie nous aurait conduit à une fermeture pure et simple de l'entreprise. Nous avons choisi la voie de la pérennité, pas par plaisir mais par obligation.

Cette nouvelle orientation devait nous permettre progressivement de changer de mode de fonctionnement et d'être encrée dans l'économie réelle et les valeurs sûres non volatiles. Si on avait continué à brandir le trading on aurait fermé depuis.

En novembre nous avons diminué notre taux mensuel à 8%, ce qui nous avait fait perdre énormément de clients mais pour quelle raison l'avons nous fait? Les problèmes de GTC SA ne datent pas d'aujourd'hui et sans l'acharnement des médias, ce problème aurait été vite mis aux oubliettes.

En créant GTC SA nous avons très vite été dépassés par les fonds sous gestion. Notre entreprise avec son caractère particulier n'a pas eu la chance de copier un business model comme d'autres

le font avec nous. Nous avons dû tout imaginer et s'adapter continuellement. C'est avec GTC que nous avons compris que gérer 10 millions et gérer 1 milliard n'est pas vraiment la même chose. Nous étions 7 traders au départ, à la création de GTC SA , on ne pouvait pas à nous seuls gérer tous les fonds, donc nous avons recruté près d'une vingtaine de nouveaux traders qui ont peiné à trouver leurs marques. Sur deux à trois mois , malgré l'organisation particulière en salle de marché, les résultats n'étaient pas réellement au rendez-vous, nous nous sommes quand même efforcés de payer les clients réduisant considérablement les fonds sous gestion.

Le deuxième problème était directement lié à l'achat des monnaies électroniques et leur écoulement. Après le dépôt des clients, il faut acheter de la monnaie électronique et approvisionner la salle de marché; au fur et à mesure que les dépôts devenaient importants. Le plus dur était l'acquisition de la monnaie qu'on utilisait. Également ,après les opérations sur les marchés, il était difficile de vendre à temps cette monnaie pour payer les investisseurs et aucune structure de la place , s'ils font réellement du trading n'échappe à cette réalité.

En trois mois on avait perdu près de la moitié de notre portefeuille en paiement des clients, ce qui nous rattrapait progressivement.

Qu'en est-il des projets que vous avez lancés ?

Nous travaillons depuis le mois d'octobre sur deux projets. Il s'agit du projet de la chaîne agroalimentaire qui devait être une chaîne de production et de transformation de spéculations végétales et animales et du projet immobilier qui était beaucoup plus social.

Nous avons mis sur pied un mode de fonctionnement qui nous permettait de financer progressivement nos projets et de payer également les rémunérations de nos clients.

Les travaux ont été suspendus suite aux difficultés rencontrées par après, le temps de stabiliser les choses. La première phase expérimentale devait être menée à Notsè et à avetonou sur un total de 80 hectares, et l'ensemble du projet sur 500 hectares répartis dans les 5 régions. Le ministère de l'agriculture a voulu nous accompagner également et l'on espère que cette crise passera assez tôt pour reprendre les discussions.

Comment comptez-vous vous sortir de cette crise ?

La volonté et les compétences

y sont, mais il reste un facteur crucial, l'accompagnement de nos partenaires. Nous travaillons d'abord pour eux et ensuite pour nous et porter haut le nom de notre entreprise. Une partie de la presse locale et de nos détracteurs incitent à la révolte.

Un protocole a été défini pour les cas d'urgence afin d'aller progressivement à la sortie de crise.

GTC n'est pas une entreprise de ponzi à la différence que aujourd'hui même si c'est 5 francs dont nous disposons, nous avons la capacité de la rentabiliser pour honorer nos engagements progressivement. Nous n'avons besoin que de trois choses. Il agit de l'accompagnement de nos partenaires, de la perrenisation nos activités à travers un plan de continuité (BCP) et la rentabilisation progressive des fonds. Tant que nous avons un personnel dévoué et un plan stratégique, cette crise sera bientôt derrière nous.

En parlant de personnel , que nous dites-vous sur la démission de votre DGA ? Contrairement à ce que certains essaient de vous faire croire, le DGA a démissionné pour deux raisons d'après ce qu'il m'a dit.

La première serait une tentative d'empoisonnement et la seconde des menaces et agressions de certains clients.

Quel est votre plan de gestion de cette crise et de continuité des activités ?

Cela passe par plusieurs phases qui seront connues dans les jours à venir à travers nos actions mais néanmoins nous avons sollicité également des aides de part et d'autres, même des structures de la place comme J-Global capital International qui n'a pas hésité à nous tendre la main.

Certains médias affirment que vous négociez votre retour au pays, cela porte à croire que les versions sur le détournement et la fuite sont fausses?

Fuir pour aller où ? Ou détourner les fonds d'une entreprise pour laquelle j'ai bossé durement pendant deux ans? Comment quelqu'un peut à la fois détourner de l'argent et vendre ses biens pour remettre l'entreprise sur de bons rails? Ça n'a pas de sens. J'avais effectué un voyage en Côte d'Ivoire pour une conférence sur GTC et trouver de nouveaux partenaires avant le début de ces rumeurs de fuite et de détournement, les visuels sur la conférence ont été partagés quelques jours plus tôt sur les médias ivoiriens.

Propos recueillis par Rachidou ZAKARI Ghislain Emerice Awaga

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TOGOMATIN N° 877 DU LUNDI 22 MARS 2021

MEDIAS, ART & CULTURES

TOGOMATIN N° 877 DU LUNDI 22 MARS 2021

MEDIAS, ART & CULTURES

Littérature africaine / Armelle Touko

Former les géants de la littérature jeunesse de demain

La fondatrice des éditions « Adinkra » au Cameroun, Armelle Touko, veut semer la passion de l’écriture chez les petits camerounais. Afin d’arriver au bout de sa mission, Armelle a lancé récemment son programme « 100 petits écrivains ».

« Les misérables » de Victor Hugo. Ed Beq. Pp 60-62

« …Deux portraits dans des cadres ovales étaient accrochés au mur des deux côtés du lit. De petites inscriptions dorées sur le fond neutre de la toile à côté des figures indiquaient que les portraits représentaient, l’un, l’abbé de Chaliot, évêque de Saint-Claude, l’autre, l’abbé Tourteau, vicaire général d’Agde, abbé de Grand-Champ,

ordre de Cîteaux, diocèse de Chartres. L’évêque, en succédant dans cette chambre aux malades de l’hôpital, y avait trouvé ces portraits et les y avait laissés. C’étaient des prêtres, probablement des donateurs : deux motifs pour qu’il les respectât.

Tout ce qu’il savait de ces deux personnages, c’est qu’ils avaient été nommés par le roi, l’un à son évêché, l’autre à son bénéfice, le même jour, le 27 avril 1785.

Madame Magloire ayant

décroché les tableaux pour en secouer la poussière, l’évêque avait trouvé cette particularité écrite d’une encre blanchâtre sur un petit carré de papier jauni par le temps, collé avec quatre pains à cacheter derrière le portrait de l’abbé de Grand-Champ. Il avait à sa fenêtre un antique rideau de grosse étoffe de laine qui finit par devenir tellement vieux que, pour éviter la dépense d’un neuf, madame Magloire fut obligée de faire une

grande couture au beau milieu. Cette couture dessinait une croix.

L’évêque le faisait souvent

remarquer. Comme

cela fait bien ! disait-il.

Toutes les chambres de la maison, au rez-de- chaussée ainsi qu’au premier, sans exception, étaient blanchies au lait de chaux, ce qui est une mode de caserne et d’hôpital.

Cependant, dans les dernières années, madame Magloire retrouva, comme on le verra plus loin, sous

le papier badigeonné, des peintures qui ornaient l’appartement de mademoiselle Baptistine.

Avant d’être l’hôpital, cette maison avait été le parloir aux bourgeois. De là cette décoration. Les chambres étaient pavées de briques rouges qu’on lavait toutes les semaines, avec des nattes de paille tressée devant tous les lits. Du reste, ce logis, tenu par deux femmes, était du haut en bas d’une propreté exquise.

Lire

Armelle Touko

Valérie Améyo Ayivi

I

l d’encourager à la lecture, ne s’agit plus mais aussi de former de futurs écrivains.

La jeune éditrice veut préparer la génération prochaine à l’écriture des livres destinés aux enfants. Son initiative se construit autour des ateliers de lecture mais surtout d’écriture avec des enfants de 10 ans ou plus.

L’objectif recherché par la Camerounaise est de développer le potentiel écrire, de se rencontrer, de travailler ensemble pour produire des contenus chez ces tout petits.

D’après Ulrich Talla Wamba, l’idée de former ces enfants est venue à Armelle Touko faute de trouver des auteurs qui écrivent véritablement pour les enfants. « Elle s’est donc dit que ce

serait bien d’investir également sur les tout petits », précise Ulrich Talla Wamba, directeur exécutif de l’Observatoire africain des professionnels de l’édition (OAPE).

S’agissant de la situation des livres pour enfants et des données sur le Cameroun en 2020, en dehors des éditions

« Akoma Mba »

spécialisées dans la littérature de jeunesse depuis 26 ans, le pays ne compte pas plus de cinq éditeurs spécialisés. Ainsi, les petits Camerounais lisent beaucoup de livres jeunesse publiés à l’étranger.

Former « 100 petits écrivains » semble irréaliste. Cependant,

« 100 » est symbolique pour Armelle Touko. Elle envisage d’encadrer 90

enfants. Et, si sur cet effectif, il en ressort que cinq passionnés par l’écriture ; « ce serait

déjà une belle victoire », selon Armelle Touko, la fondatrice des éditions

« Adinkra ».

Source : Rfi

Nadia Edodji

Littérature togolaise / Valérie Améyo Ayivi

« Rêve brisé » ou le combat vers la guérison »

« Rêve brisé » de Valérie Améyo Ayivi vient enrichir la littérature togolaise. Grâce à son œuvre « Rêve brisé », Valérie Ayivi conduit ses lecteurs vers une « thérapie » du cœur et de l’âme au travers de son histoire familiale.

« Rêve brisé » est une œuvre autobiographique dont l’histoire tourne autour des épreuves

familiales dont

l’épicentre est la maladie de Kokou, le frère aîné de l’auteure, parti en Europe pour des études et, à qui une leucémie (le cancer

du sang) a été détectée.

Sa sœur, l’auteure, partie à son secours pour lui offrir sa moelle osseuse n’a pas pu lui racheter la vie. De cette disparition brutale, c’est un autre rêve de toute une famille,

celui de voir l’aîné tendre la main aux autres enfants de la fratrie, qui

est ainsi brisé.

Au cœur de cette trame une adolescente de 13 ans, Améyo Valérie Ayivi, qui a voulu la partager rétrospectivement avec ses lecteurs, dans une sorte de «thérapie», de

«guérison» pour que d’autres apprennent de son histoire familiale.

«Je n’écris pas ce livre pour devenir célèbre ou populaire mais pour

passer un message, pour une partie de guérison pour que d’autres personnes puissent s’en inspirer », révèle Valérie Ayivi

« Rêve brisé » de Valérie Améyo Ayivi a paru aux éditions « Awoudy ».

Nadia E.

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10 SPORTS

TOGOMATIN N° 877 DU LUNDI 22 MARS 2021 TOGOMATIN N° 877 DU LUNDI 22 MARS 2021

Suspension du championnat

Contre-pied parfait, le coronavirus malmène le football togolais

Jeudi noir pour les acteurs et le public sportif togolais. Alors que la balle du championnat de première division togolaise s’apprête à rouler à partir du dimanche 20 mars 2021, elle sest dégonflée le jeudi 18 mars 2021. Le secrétaire général de la Fédération togolaise de Football (FTF), Chris Dakey, a annoncé jeudi, la suspension du championnat. Une nouvelle qui prend à contre-pied les clubs.

D

epuis la débarque du coronavirus au Togo le 06 mars 2020, nombre de domaines ont subi des mesures restrictives, notamment le domaine sportif dont le football.

Arrêté il y a déjà plus d’un an, le football a retrouvé le sourire après que le ministre des Sports, Lidi Bessi-Kama, a donné le feu vert pour la reprise.

Mobilisation des clubs, transfert des joueurs, entraînement, rencontres

amicales préparatoires, formation par la FTF des différents acteurs de la chaîne footballistique, subvention des clubs, mesures sanitaires prises, etc. sont quelques uns des événements qui ont suivi le coup d’envoie donné par le ministre

Les dispositions ont été prises pour le début effectif de la nouvelle saison 2020- 2021. Hélas ! Ce sourire n’a été que de courte durée finalement. « Le

Le football entaché par le coronavirus

Lidi Bessi-Kama, ministre des Sports

championnat est suspendu jusqu’à nouvel ordre. Nous attendons l’autorisation des autorités sanitaires (Nldr : le Conseil scientifique, la Coordination nationale de riposte contre la Covid-19)

», a dit Chris Dakey aux médias.

Retour à la case départ Dans la foulée du report sine die du championnat de football, la ministre des Sports et des Loisirs, Dr Lidi Bessi Kama, a suspendu jusqu’à nouvel ordre les activités physiques et sportives alors que le Comité national olympique du Togo (CNO-Togo) venait de lancer le 13 mars 2021 dernier lesdites activités.

C’est une décision contenue dans un courrier envoyé au président du CNO-Togo, Deladem Akpaki et aux présidents des fédérations sportives et des loisirs.

A travers ce courrier, la ministre dit annuler toutes les dérogations accordées à ces fédérations qui se préparaient déjà à démarrer les activités sportives au

Togo.

Ces nouvelles dispositions « sont dues aux évolutions de la pandémie liée au Covid-19 au Togo », chapeautées par l’augmentation des décès liés à cette pandémie, la recrudescence des cas positifs et la circulation active du variant britannique sur le territoire togolais.

« J’attache du prix au respect scrupuleux des dispositions de l’arrêté susvisé et j’exhorte le mouvement sportif togolais en général et les fédérations sportives nationales en particulier à faire preuve de responsabilité et de compréhension afin de permettre à notre gouvernement d’endiguer

cette pandémie », a fait comprendre la ministre Lidi Bessi-Kama dans son courrier.

Et bien, la situation sanitaire qui prévaut actuellement au Togo porte décidément préjudice au football. Si la semaine dernière, le Togo a enregistré plus de 600 cas positifs au coronavirus et qu’une variante anglaise du virus a été identifiée dans le pays, le Conseil scientifique et la Coordination nationale de riposte contre la Covid-19 ont certainement jugé opportun de freiner le championnat dans son élan.

Quel sera le dénouement de cette situation ? Wait and see. Attipoe Edem Kodjo

Elim. CAN 2021 / 5

e

et 6

e

journée du Togo

Des Éperviers hybrides pour sauver l'honneur

Le stage préparatoire avec les Éperviers locaux comptant pour les deux dernières journées des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations 2021, s'est soldé par un appel en sélection de nombres de locaux. Le sélectionneur national Claude Le Roy a rendu publique la liste des joueurs convoqués contre les Comores et le Kenya. Pour la première fois depuis son arrivée en 2016, le "Sorcier blanc" a composé une sélection togolaise hybride de 11 joueurs internationaux et 13 joueurs locaux.

S

ur les 24 joueurs concernés par les deux matchs, on note la convocation de 13 pensionnaires de clubs de première division du Togo.

Retenus à l’issue d’un stage qui s’est tenu du 08 mars

au 16 mars 2021, les 13 élus ont participé à la récente campagne du Championnat d’Afrique des nations (CHAN) Cameroun 2021.

Entre refus des clubs de libérer les internationaux et le souhait de donner un

temps de jeu à des locaux et autres jeunes prometteurs, le sélectionneur national est parvenu à une liste de 11 joueurs expatriés dont certains comme Amah Tchoutchoui Kangnivi, Agbozo Klousseh ou encore Atté Youssifou et le jeune international U20, Doké Josué (16 ans), évoluent sur le continent africain.

Tout comme l’unique buteur contre les Pharaons d’Egypte à Lomé, une autre étoile montante du football togolais, l’international défenseur central U20 et d’ASKO de Kara, Sama Abdoul-Halimou (18 ans), fête sa première convocation en Sélection nationale A.

Laba Fo-Doh, Barcola Malcolm sont bloqués par leur club suivant la fameuse circulaire Fifa 1749. Sunu Gilles, Dossèvi Matthieu, Gbegnon Simon et Atchou Franco sont également absents sur choix du sélectionneur

national. Par contre, Bebou Ihlas, Mlapa Peniel, Steve Lawson, le capitaine Djene Dakonam seront présents.

Le milieu de terrain, Eniful Henrytsè, disparu des listes du technicien français depuis mars 2017 fait son retour, pendant qu’un autre revenant de longue date, Djehani N’Guissan, figure parmi les trois portiers retenus.

L'hybride sélection

Gardiens : Adry Kossi Agbéko (DYTO-TOGO) ; Gbenyo Komlan (GBOHLOE- SU-TOGO) ; Djehani Nguessan (ASC Hayableh- Djibouti). Défenseurs : Agbozo Klousseh (BEIJA- TUNISIE) ; Ama Thoutchoui Kangnivi (FC NOUADHIBOU- Mauritanie); Atte Youssifou (S.C WAFA-Ghana); Djene

Dakonam (GETAFE-

Espagne); Moussa Bilal (TOGO PORT-TOGO); LAWSON Steve (LIVINGSTON- ECOSSE); Sama Adboul-

Halimou (ASKO-TOGO); Toudji Messan (GOMIDO). Milieux : ADjahli Moïse (SAN PEDRO- COTE d’IVOIRE); Akoro Bilali (AS OTR-TOGO); Amekoudji K. Dodzi (DYTO-TOGO);

Bebou Ihlas (HOFFEINHEIM- ALLEMAGNE); Eninful Henrytsè (F.C LAHTI- FINDALDE); Gbama Akaté (ASKO-TOGO); Tchakei Marouf (ASKO-TOGO).

Attaquants : Agoro Ashraf (ASCK-TOGO); Ouro-Agoro Ismail (ASCK-TOGO); Doke Josué (S.C WAFA-GHANA);

Mlapa Peniel (Al-Ittihad Kalba S.C-EAU) Nane Yendoutié Richard (ASCK- TOGO); Tchatakora Abdoul- Samiou (ASCK-TOGO).

Le Togo, déjà éliminé de la course à la CAN 2021, fera le déplacement des îles Comores pour y affronter les Cœlacanthes le 25 mars 2021 lors de la 5e journée. Le 29 mars, le Togo accueillera le Kenya pour la 6e et dernière journée à Lomé.

Attipoe Edem Kodjo

Les Éperviers à l'entraînement

Références

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