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N Juin ,50 Fr. SUISSE :170FS. CANADA _ : 60 cent . 2,50 DH TUNISIE : 250 M. ORIGINES DE BLEX. TiTi

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Texte intégral

(1)

N. 278

10 Juin 1978

2,50 Fr.

SUISSE :170FS.

CANADA _ : 60 cent

. 2,50 DH

TUNISIE : 250 M.

ORIGINES

DE BLEX

TiTi

(2)

Mensuel pour la Jeunesse Rédaction Administration 6, Rue Emile-Zola - LYON

ABONNEMENTS :

FRANCE : 1 an seulement ::28 F

AFRIQUE DU NORD

COMMUNAUTE et ETRANGER :

1 an seulement : 32 F Correspondance Editions LUG 6, rue Emile-Zola, 69002 LYON

C.C.P. LYON 1418-89 A

JOINDRE :

— Pour toute réponse à une lettre, un

timbre français à 1,20F.

- Pour changement d'adresse à un abonnement, 2 timbres français à

1,20F

Vous trouverez dans ce numéro

— LE PETIT TRAPPEUR

| — LONE WOLF

(3)

ES

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——

X— 7

Fo Ti LE

DTILHUE =

| Lies

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CN (I STILL

VOTRE. ENDROIT- Greco |")

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(4)

CONDAMNENT LES SIEURS AFIN QUE L'EXEÉCUTION

BLEK LE ROC, CORNÉLIUS OC- CAPITALE NE SUSCOTE PAS DE CULNS ET LEDIT RODY 2

ETRE PENDUS HAUT ET COURT CFAUS

GOUVERNEUR ? DONNEZ. L'OR-\ RAILLEZ 7 RAILLEZ TOUJOURS,

= FRÉPAGES ESSEUR £ 8 V'EMPÈCHE. QUE

(5)

LE PAUVRE ENFANT A CDM- X J'EN AI LE CŒUR DECHIRE |

PRIS QU'IL N'Y AVAIT PLUS DE \ PASSE ENTCRE FOUR. D Er

SALUT... QUE LA MORT ÉTAIT

INEVITABLE … COMMENT LUI REDONNER ESPOIR 7 MA

GCREE SE NOUE ET LES NR MOTS N'EU SORTENT

Be PAS.

MAIS LE PAUVRE RODDY..

CORPAMNÉE 2 MORT:

L'EST INJIUS s. d

JD'A! FAIT APPEL À TOUTES LES R RÈLES DE MON CERVEAU QUI NA JAMAIS PÉTONT EUME.:

EN VAIN £ C'EST UN

D'ECHEC... LA FIN POUR NOUS :

9 AUPAIS FERE E MOURIR

N. ÉRATEN

LA PANSE |.

(6)

ZAS UN ECHEC COMPLET,

ROFESSEUR 5 NOUS N'AU-

OÙS PAS SEME EU VAINE

L'IDÉE IE LIBERTE EST RO FONDEMENT AUCRÉE DANS,

JUSQU LA VICDIRE FINE 2

EST ROUGE, AVEC-UN CASQUE, UNE PENTE CERVELLE

ET QUATRE PATES #

HMH 7

(7)

=

Li

AAH ? VOICI QUE LES SONENIRS OUAIS £ ÇA VA £ ON LA CONNATT 2) LFFLUENT £ ELOUTE CETTE BELLE EN PREALITE, FÜTES

HISDiI £ LORSQUE J'EN- CHASSE DE SALAMANQUE

- POUR AVOIR MANGE CHAIR ET

LE H S

PS FRAIS QUI SER - VLAIENT Z VOS Eu

MOMNSTRATIONS, 2

(8)

VEUX )DRE UNE HISTIRE QUI 8

PAS /RESTERS À JAMAIS ERA MOU —\ VÉE DÂKS LA MÉMOIRE. DES)

UCMMES Z ET LETTE HISTOIR

JE SUIS NÉ LE 27 NO-

{ RE 1740... SOUS

(9)

ATÉPISODE

L'HOMME LE JUSTICE

a

LA, L JET

D RP ||

TA SAINT-MALO -

LES COHORTES LE BAGNARDS EN PARTANCE. RUR LES AME-

RIQUES... PARTOUT SÉVISSAIENT LES GBSELOUS IU RO! MAIS RIEM

N'EUMAIT LA FIERTE DE CŒ PEUPLE BRETON, ERAS D'INDÉPENDANCE ET ATTACHÉ A' SES COUUMES MILEMA!-

Sr i

(10)

JE M EN SOUVIENS EAKORE, 7AMD/S QUE MA MÈRE LOCMAR/A

FAISAIT DE LA DENTELLE EN SILENCE, MON PÈRE ME ÉONTAIT LES HISTOIRES D LA MER OÙ SE MÉLAIENT LES NOMS PRESTIG/EUX DE TACQUES CARTIER, DUSUAY-

TROUIN ET JEAN BART...

(11)

BONNE LOCMARIA .. NOTRE EUFAUT | XANUICK EST UU Si BOU

me GULBLE AR SATAILE REON 8. EUR

Fu.

|

|

SSSR

SI]

EMPARQUER R PARCOURI R

(12)

NCORE UNE JOURNEE D'ÉCOLE

BUISSOUVIÈRE + DIEUME PAR-

MON COMPERE PIROUË

ENSEMBLE NOUS BARLE- RONS DE VOYAGES ET D'HORIZDUS NOU-

VEAUX... # 2

Le 72

DONNE 8 JE VAIS RETONDRE

54

YANNICK 1 N'Y VA

AH?LES BRUTES ÊLES ME

CREANTS £ S'ATTAQUER A UNE PAÎVRE

VEUVE DE

PASE OÙ ILS TE BRU

TALISERONT. TOI

(13)

PAR SANT @ L

TU T > REFUSES, : 7 TU IRAS EN Jon e.

FR

1

FN

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(14)
(15)

SOURCES £

} MARTyRI

D VRE VEUVE SONS

RES

(16)

a NOUS CONSENTONS Z LUI RENDRE LA LE JOUR MÊME, EM LIBERTE PARCE QUE VOUS ÊTES UN

LA P2S0,

U DE SANT HOMME CONNU ET RESPECTABLE... 1 MAIS VOUS DEVREZ PAYER UNE AMENDE DE

R DE DOMMAGER

….MAIS VOTRE FILS YANNICK N'EN

BECEVRA PAS MONS SA PUNI- .… VINGT COUPS LE FOUET, ET-

VO CE

(17)

|/PAS UNE PROTES -

TATION, PAS UN CR CET ENFANT ENDU-

RE LE SUPPLICE

ANEC UN COURAGE

QUI ME ete

C'EN ESTASSEZ, MON FILS £ VOUS N'A- VEZ PAS DE GOÛT À L'ÉTUDE £ VOUS VOUS COLLETEZ AVEC LES OUEC - TEURS.. VOUS VAGABONDEZ DANS LA

LANTE … À CONTINUER AINS\, VOUS FIN

REZ AU BAGNE £ TES TEMAIN, VOUS

ENTREZ AU SERVICE TU PATRON - PEÉCHEUR, KERNANN.. C'EST

DELCIDE 2 VOUS TAQUINEREZ-

(18)

MERU, MON PÈRE …. Si VOUS SANIEZ … JE N'EN

ESPÉRAIS PAS

PAR SAINT WES£ PATRON \Ÿ .. Er AVANT LONGTEMPS, IL KERNANN 2 V'LA BEN UNE VOUS AURA TOUS DÉPASSÉES,

BONNE SÂCRÉE RECRUE A VENTRE

QU'LE MOUSSAILLON

YANNICK LE ROC £

Fr

(19)

le ES CSI

= 2,

A

À

L =

(20)
(21)

VENTRE D'ÉPAULARD ALLEZ, YANNICK 5 PLUS VIF QU'UNE

PARENRES ANGUILLE., L=

> MOUFLET 8

. JET COMME LA CALE DE MA

SMOUETTE D'ARGENT ” REGCR GE TE POISSONS, NOUS F£-

« TERONS CŒLA £

*)

UN JOUR TU SERLAS LE MEILLEUR

PATRON - PÉCHEUR DE SAINT

(22)
(23)

ee

(24)
(25)
(26)

DUPBANT. TROIS NUITS ET DEUX JOURS, NICK LE ROC

AVEC UN ACHARNEMENT DE BÊTE POBAITINT KERTAuN

HORS DE L'EA . ET AU MATIN DU TRO/S/IÈME JOUR.

a LT it ai

LA (f à a

(27)

CINQ LOUIS DCR €

MAIS... C'EST UNE

FORTUNE F

NE VEUX FAS SAVOIR

TU LES TIENS $ MAIS

TU VAS LES REMETTRE TO

CHENLRASN 8 PA

OLN'YA 2SN 6,

Lans

| il

(

. RAS LE MAIS

SOU: JE-TE DUSTICE

IL N'Y

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LIVRE 2 LA

(28)

YANNICK 38 MON EN

FPANT£S REVIENS £

AU MÊME INSTANT, À LA TERME * TY L'ARGOAT ” LE PRATROKI

KERMANN DONNE LIBRE COURS À LA JIOE D'AVWR SURVECU

A' L'EFFROYABLE NAUFRAGE

F Quis C'EST VRAIZ CE SEUNE VD

IN DE TRE! 777727

| TENU HORS DE L'EAU FEN- -

DANT TROIS JOURS 2 if Lee

Re 1° 14 ge

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(29)

KERVANN

Ÿ A Pris UN

ŒUP DE

VOUAIS £ DES UN PEU POUR VOIR | MEUNTERIES

CIDRE DANS LA

CMBU —

|MENTEUSES 2

JAH?AH7 VILA:

TES } j y PAS UN PA-

TÉQDES 7 TRON D'CHALUT- _2<K Qu V'SAIT MS

NAGER 2

(30)

VOIS, LES MARI DOUCE D'LA

? AH : VOYONS SI TU FRAP

S AUSSI BEN QU'TU NAGES ff

PETIT JOUVENCEAU

DE TRE

: 4 LL 7) et TT

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(31)

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(32)

UNE TELLE BAGARRE NE PEUT PASS

D VITE ! UNE RIXE TERRIBLE [”

À LA TWERNE DE

S Ty L'ARGOAT” 7

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4 PAR

Ÿ À =

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(33)
(34)

= UNE HEURE PLUS TARD..

(35)

C'EST...C'ESTMO QU'ILS AP -

PELLENT “LE CRENE”. KOUGH!

KOUGH 2 IL y À DE QUOI LE

DEVENIR À VIVRE AINSI DAN.

L'HUMIDITE £

DANS CETTE BAS

<E FOSSE

7 DIT £

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(36)

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(37)

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(38)

SERA QUOTIDIEN.

DE VOUS L'AI]

PROMIS

(39)
(40)

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_ 38 -

(41)

NOUS AJOUT QUES ANNE

INUTILE., YANNICK 3

JD NE TENS PLUS

(42)

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Q= À "PA

PAR DECISION ROYALE , LES SIEURS JULIENU DE BRE:

TIENY ET YANNICK LEROC

VOIENT LEUR PEINE AGSRAVEE DE TROIS ANS DE TRAVAUX

FORCES QU'ILS EFFECTUE -

RONT EN L'TLE

Ï} |

hi) HA | | M. d | |

(43)

MON BON YSNNICK .. CES TU N'y ES RUR REN, TROIS ANS SUPRLEMEN - IULIEN Z NOUS SOMMES

28 FAILLI VIVRE DANS UNE SO-

ETE NOUVELLE, BATIE PAR QUATRE ANS ENCORE DANS

CET ENFER £ NOUS N'Y TIEN- DROUS PAS ... MOURIR ROUR

MOURIR, MEUX VAUT TEN -

TER D'EN SORTNR 83AI REFLECHI À UN PLAN

D EVASION.

\EY SE

Ÿ LR 2

HS

(44)

TU SAIS QUE. CHAQUE. MER - DIX FORÇATS SONT TESIGNÉE CREDI UVE BARCASSE VENAN CHAQUE SEMAINE POUR LE

TU CONTINENT. AŒCOSTE AU TRANSBCROEMENT DES MAR -

MÔLE IE L'ILE POUR TEBRAE - CHANDISES … UN JOUR CU L'AU-

ER LE RMITAILLEMENT © TRE , NOUS AURONS PEUT-ETRE UNE. CHALOUPE EST AMARRÉE LA CHANCE D'ÊTRE CHOISIS

EU POUFE.. ET CETTE PARTIQU-| [our CETTE CORVÉE

LAQITÉE À EVEILLE MON

IL RESTE UN POINT NOIR À RESLER... #

...LES CHAÎNES DE NOS SOTTISE £

BOULETS £2... CHAQUE JOUR , NOUS NOUS

MA MASSE S'ABAT Dix SAUVERONS

FOIS SUR LE PIEU ET UNE ENSEMBLE

FOIS SUR LE MÊME CU PAS

MAILLOU DE NOTRE DU TOUT ?

(45)

L), AA DA

4 À PT A]

sil,

\ / ŒUE NORE

l DESTNN

\ S'ACCOMPLIS —/

S._ SES 2

(46)

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(47)

NNICK & J'AI

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L'AMSRRE DE /,

(48)

MALÉDICTION 5 ILS, VONT.

S'ÉVANOUIR

sp,

7 DULIEUZ

:

IL FAUTTENIR

MB DANS UNE MEUI

ROUS SUR

(49)

ANNVEC UNE ENERSE

DÉCOUPE, PAR LA FRA- L'ESPOIR ,

Es VICK LE ROC.

ME , RAME ENCORE

(50)

UN ESPOIR 2

ENTRATIUER

CAPITAINE Z CAPITAINE ! LES BRISANTS ? TA

(51)

MALÉDICTION £

NOUS SCMMES

LES ECUEILS £

TARD FOUR

MAIS DU MOIN

JIULIEN ? HEUREUX

NOUS AVONS

(52)

ET UN PEU PLUS TARD, À LORZE D'UN WLASE

UN HOMME TRA -

QE … IL ME FAUT GA-

ER MA BRETAGNE OÙ [LE POURRAI PEUT-

ÊTRE TROUVER UNE AIDE SAUTAIRE …

(53)

- ET VOIO UN YANMNIC, CONF/ANI

DANS LA BONTÉ DES HOMMES

QU! AVANCE. VERS LE MARECAAt- NT...

MONSIEUR 8MONSIEUR :)

PES JE SUIS € LS DE

DU PENITENCIER

SUIS INNOCENT. SE.

LE TEMPS DALLER

CHERCHER UNE

(54)

7 À M 2h.

(55)

re u

VULCAIN 7 MALE -

2E ME DICTION

CHARGE.

LE

ABAHHH:

AN u

(56)
(57)

VITE £ NT DE ER TM secte z

ANERTISSONS | - ; * 5 Mi) AU SECOURS !

VOIR MOK

FERE ET

MA MÈRE ©

(58)
(59)
(60)

ET CŒTTE FOIS TU

N'ÉCHAPPERLS RSS LA PENDA

(61)

UNE AUBE GRSE SE LEVE U LOI SUR SONT - MALO

(62)
(63)

Ÿ UU GUETAPENS

| A

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ANA _(R

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i PT. IN LR

MT Mn 7 à : : 167

(64)

HUIT JOURS PLUS JEUNES GENS QUI AIMEZ LES VOYAGES RD, À BREST, ET L'AVENTURE. VOUS CONNATTREZ L'IVR

SE , UNE SOLDE ÉLEVÉE ,

DRE PRRTIAEATEN COLDSSALE. Sur LES PRISES

L'ENN DES

TOITS D'OR, DES FÉMMES ..9E

NE = VOUS: DIS QUE €2 7

TOI | POUR QUELQUE PECADILLE TEUTES \ SON NAVIRE FUNE VRAIE DecRA RER A Æ LA SUSTICE DU ROY.. CE ROY GALERE Z COUPS DE FOUET, MAGNAUIME. PASSERA L'EPONGE SUR TES SCORBUT, MISÈRE ET

FAUTES PASSEES Si TU T'ENROLES SOUS BOULETS ANGLAIS 2

BAN GRAND'ŒIL DE CUIR" Z

(65)

HOLÂ, SEUNE HOMME £ TM COMMETULES.. \ TAILLÉ GIGANTESQUE , ÉPAULES DE LUTTEUR.

L'AIR INTELLIGENT Z MAIS DANS SIX MOIS, .

TU COMMANDERAS UNE UNITÉ

DÉ CRSAIRES Z

CET HOMME REROID AU ALUEZ,MOUGARS FVETE LAISSE PAS SIEUALEMENT QU'OÙN NOUS / EURGLER. PAR L'ARMÉE LE TERRE Z

A DONNE 3 HOLR DES PÉTINEURS DE BOUS

SAVENT RIEN DESTLES CARAÏBES ,

"FnEu g DES BOUANIERS ETDES FRe- JDE

=

VAIS K à

ÊTRE

?

(

(66)

JDE SUIS VOTRE

HOMME 8 9 J

M'ENRO LE $ CA

32E SIGNE

AQULRANTE RE@QUINS

BORGNES 8 BELLE RECRUE £

A4: AH:AH:

PET A ŒIL DE CUIR AS JAM DE BÉMBARQUE-MO CE

LEA NOUS ARRREILOUS,

VQUA RANTE BALEINES]

4 : BORGUES

(67)

MAIS CAPI- Ÿ SILENCE,CRETIU ZE

TAINE 8 NOSs MONS ILY2A

ÉFFECTIFS SONT } D'UOMMES, PLUS

INCOMPLETS / MA PART SERA

ET. PORTANTE £

(68)

FMAIS CAPITAINE, CUBLIER NOTRE VX QUI CONSISTE À TRAQUER

CRÉES Po =

NSMA _ AH FAU: à

RUARANTE REQUINS

= ES £ LARGUEZ LES

DR “do PLEIN

GUEST 2

(69)

DEUX SEMAINES

PLUS TARD, SRCROUAL LE

NAVGUAIT

À?

DANS LES EAUX

ÆANTILLAISES

ET |

QUARSNTE. BALEINES FRE

À L'HUILE. DE MORUE £ C'EST LE

CENÉRALIFE LE GRAUADA! UN NEGRIE

NAIS PARFAITEMENT

R ESPAGNOL £ JE PELON-

MATURÉ Er SA COQUE.

SA

OHÉÉ !

VOILE DROIT

DEVANT A

TROIS

MILLES 2

R ET ABOR -

LE NEÉSRIER 2

LP POSTES

(70)

UNE HEURE PLUS TARD, LE BATEAU

NEGR2IER Æs OL. LARRAISONNE

SIOPPE ET SE REND SANS COMBATTRE..

(71)

MONSIEUR. JAMBE DE COGf VEUIL- LEZ PRENDRE LE. COMMANDE

LT

VOUS VENEZ

ŒUVRE HU

(72)

QUAL RES :

BAR ER ESPA-

GO CARRE PARRE

LE LOUS D'UN QUAI DE >

LA NOUELLE =

PCOMMAN à { es LEA 1

IDANTE MONSIEUR PL COMMAN TV

NE RE Ne CANCER) —

Ar Vous AcoerE que. 7

EPLIBRÆIUS- /Z

Z ne” L'AUBE 8

(73)
(74)
(75)

J'LOMPRENDS PAS, MON GARS

QUE COMME TU ES...HIc.

COMMANDANT IE LA MARINE ROYALE

AU LIEU DE T'EÉTIOLER COMME.

JAMBE DE (OR ET YANN LE ROC S'INSTALLENT À UNE TABLE DU

QUS BEL EPABL/ISSEMENT DE LA NOUVELLE -OZLFANS

UN NÈCRE SE NÉ-

GOCIE JUSQU DISONS QUINZE LIVRES

NÉRALIFE LÆ GRAUADA " ESTA

(76)

LH, LE VIEUX

FORBANZ ÇA

NE M'ETON -—

COMMANDANT-

VOUS M'AVEZ FRO -

MIS LE QUART DU PRODUIT DE LA UT E

(77)

LA MER, SOS LE COMMSNDEMENT. D'UN HOMME SAUS, FOI

NI LOI, PLUS APTE À DE FENDRE SES INTE-

RETS FERSONNELS QUE ŒUX DU

ROY DE FRANCE

NE NOUS LAISSE PAS LANGUIR 5 LA

MILLE PUTOIS %,\ SUITE, MILLE COR -

CARESGUES : NUES CORSAIRES !

C'EST FOŒMIDA

BE 8 CONTINUEZ CONTINUE 2

COMMENT YANN LEROC DEVIENT LE CORSAIRE NOIR? BLAKE

LE ROC POUR LES ANGLAIS - COMMENT. /L FOUT INVITE À LA

COUR DU ROY DE FRANCE .-. COMMEAIT IL DEVINT CHEF DE LA

TR/BU DES MONTAGAIS NASKAPIS … COMMENT. IL DEVANT LE GRAND BLEK... ET MILLE AUTRES CHOSES ENCORE £

UNE SUITE À ME PAS MANQUER £

PROCHAIN ÉPISODE : L'HOMME DE LIBERTÉ.

- 75 -

(78)

LES SCYTHES

O: regroupe sous le nom de

« Scythes » les tribus de l’anti- quité installées dans les steppes du

nord de la Mer Noire, entre le Da-

nube et le Don. Il a été possible dans une certaine mesure de reconstituer leur histoire et leur mode de vie grâce aux « reportages » d'Hérodote, le grund voyageur grec qui visita la Scythie au V® siècle avant notre êre, et aussi grâce aux fouilles extrême-

ment fructueuses effectuées dans les anciens pays scythes.

Ces expéditions archéologiques se

sont révélées particulièrement inté-

ressantes dans un pays où la terre

gelée en permanence conserve par-

faitement les matériaux périssables : à tel point que les chercheurs ont dû avoir recours à des méthodes origi- nales : certains sites ont été ouverts à grands flots d'eau bouillante !

Leur mode de vie

Voici la description que fait Hé- rodote du pays des Scythes : « Le territoire des Scythes, qui est une plaine, abonde en pâturages et en eau. Les fleuves le sillonnent. Sur

toute la terre des Scythes, on ne ren-

contre’pas un seul arbre. »

Une telle topographie conditionne

évidemment le mode de vie d’un peu-

pe. Vivant dans une steppe infinie, es Scythes seront en majorité des éleveurs. Escortés de leur bétail, ils

se déplacent perpétuellement. Donc, pas de constructions permanentes, pas de grandes cités. Ils habitent soit

des yourtes facilement démontables, soit, en période de nomadisation, des

chariots couverts où s’entassent fem-

mes et enfants. Les hommes, cava-

liers émérites, suivent à cheval.

De leurs lointains ancêtres, ils ont hérité la passion de la chasse.

L'abondance du réseau orogra- phique leur permet également de se livrer à la pêche. Une partie de la po-

pulation — sédentaire, celle-là — se

consacre à l’agriculture et vit dans des maisons de rondins fendus. On

peut se rendre compte ainsi de la ps habileté des charpentiers scy-

thes.

Hérodote nous raconte comment les Scythes ont résolu le problème du bois de chauffage dans ce pays sans arbres: pour faire cuire la viande, ils font brüler les os de l’ani- mal abattu, ainsi «le bœuf se fait cuire lui-même ». Ils se nourrissent aussi de lait de jument, et ingurgitent d'incroyables quantités de vin.

Un peuple guerrier

Les Scythes sont un peuple de ca- valiers et de guerriers. Au VII siècle avant notre ëêre, ils terrorisèrent l'Occident. Ils ne devaient se « ran- ger » qu’à partir du II° siècle av. J.- C., à la suite de campagnes désas- treuses contre les Grecs. Dés lors, ils

se convertirent progressivement à

l'agriculture, pour disparaître au III°

siècle.

D'après les statuettes retrouvées

au cours de fouilles, le Scythe a un visage régulier et rude, encadré de longs cheveux raides. Ses vêtements sont décorés d’arabesques brodées et bordés de fourrure. Il chausse des bottes courtes et souples serrées au- tour des chevilles à l’aide de petites courroies et porte une toque à pointe, semblable à un capuchon. Le plus souvent, il est armé de pied en

= 6

(79)

cap : glaive court, arc et flèches dis- posées dans un carquois accroché à la ceinture, lance, hache, bouclier.

L'armement est parfois complété d'un casque de métal.

Le cheval représente évidemment le principal moyen de locomotion.

Nous savons comment ces chevaux étaient harnachés : les selles sont fai- tes de deux coussins de feutre moël-

leux, fourrés de poils de cerf, aux-

quels on fixe les courroies du poitrail et du trousse-queue, empêchant ainsi la selle de glisser vers l’avant ou vers l'arrière. Les étriers n’ont pas encore été inventés. La bride consiste en une têtière fermement maintenue aux barrettes de mors par une courroie fixe, une muserolle et un chanfrein.

De ce tempéremment batailleur résulte une absence absolue de pitié envers l'ennemi, alliée à une fidélité

Vêtements et équipement du cavalier scythe.

(80)

LES SCYTHES (suite)

à toute épreuve envers les compa- gnons d’armes. L'amitié est une va- leur dominante. Hérodote nous dé- crit les rites qui accompagnent le serment de fraternité : ceux qui y prennent part versent des gouttes de leur sang dans une coupe de vin. Ils y trempent ensuite un glaive, des flè- ches, une hache et un javelot. Après

de longues incantations, ceux qui se

lient ainsi boivent le contenu de la coupe.

La société scythe

Les Scythes de l'antiquité se re- groupaient en clans qui peu à peu perdirent leur signification au profit de la grande famille patriarcale.

Cette organisation est fondée sur la suprématie de l’homme et la dépen- dance de la femme, pourtant respec- tée en tant qu’épouse et mère. Les figurines artistiques nous présentent cette dernière vêtue d’une pelisse de cuir doublée de fourrure d’écureuil, avec d’étroites manches décoratives et de courtes bottes de fourrure et de

cuir à semelle souple.

Au départ, tous les membres d’un

clan étaient égaux. Par la suite, ap- parait la notion d'hommes libres.

Plus ou moins riches, plus ou moins

pauvres, ceux-ci constituent la plus grande partie de la population scy- the. Mais Hérodote mentionne aussi des esclaves.

Le reste, la minorité, est composé

par la noblesse, aristocratie de rang

varié : chefs de familles riches, mem- bres de l’entourage du roi, chefs de guerre. Au sommet de la hiérarchie

se tient le roi, chef suprême de l’ar- mée des Scythes.

Des principes démocratiques issus du régime des clans subsistent en-

+ 78: -

core au V° siècle sous forme d’as- semblées populaires composées de guerriers. Ils se réunissent pour dis-

cuter des affaires importantes, et même parfois pour statuer sur le sort d’un roi coupable de quelque man-

quemeni.

Leur religion

« L'usage », nous dit Hérodote,

«n'est pas d'élever des statues de culte, des autels ni des temples ».

Mais les dieux existent néanmoins.

Tahiti est la déesse du foyer domes- tique, Papaios le maître souverain du ciel, époux de Ati, déesse de la Terre. Ces trois divinités sont les principales de la religion scythe. On offre des animaux domestiques en sacrifice à tous les dieux, surtout à la divinité de la guerre, la seule à la- quelle on élève des autels. Ceux-ci.

consistent en d'immenses tertres de branchages sommés d’un antique

glaive de fer. Les prisonniers de guerre y sont immoles.

Les devins sont nombreux. et

respectés jusqu’à un certain point : si le mage se trompe dans ses prédic- tions, une exécution en bonne et due forme l’attend : la situation ne com- porte pas que des avantages !

Les Scythes croient à la survie

après la mort. En fait, cette vie fu- ture ne sera que le prolongement et la répétition de la vie terrestre. Héro-

dote a laissé des descriptions fort in- téressantes des funérailles de rois. Et son récit est confirmé par les scènes décorant les objets déposés dans les

«kourganes », ou tombeaux.

A la mort du roi, on creuse dans la terre une grande fosse carrée. Le-

corps est embaumé, puis placé sur un chariot et transporté de tribu en tribu. Les Scythes qui se portent à la rencontre du défunt se coupent un

morceau d'oreille, se tondent les che

veux, se déchirent les bras, le front.

(81)

le nez, s’enfoncent des flèches dans la main gauche !

Puis on revient vers le tombeau préparé. Le cadavre est déposé dans la chambre funéraire, sur un lit de

verdure, et entouré de piques. Le tout est recouvert de pièces de bois, puis de nattes de roseaux. Dans un

espace laissé libre de la chambre, on

place une des concubines du roi, son échanson, un cuisinier, un palefre-

nier, un valet, un porteur de messa-

ges, des chevaux — tout ce monde ayant été préalablement étranglé —

puis des objets usuels, des coupes, etc. Ainsi, le mort ne manquera de

rien dans l'éternité. Toute l’assis- tance travaille ensuite à l'édification du tertre.

Un an plus tard, on met à mort cinquante serviteurs du roi ainsi que cinquante chevaux qu'on attache

avec leurs brides à des pieux et des

demi-roues. Les jeunes gens sacrifiés sont alors assis sur les chevaux et placés autour du tombeau : puis cha- cun se retire.

Ces kourganes, immenses tertres qui contribuent à donner à la steppe

des anciens Scythes sa physionomie

actuelle, sont une mine pour les ar-

chéologues. Bien que prospectés de- puis l’époque des tsars, parfois pil- lés, on y fait à l’époque actuelle en- core des découvertes sensationnelles.

Leur art

L’immense territoire scythe com- portait des gisements de métaux de

toutes sortes, des centres produc-

teurs de cuir, laine, fourrure, etc.

Evidemment, tout ceci était localisé,

mais grâce au nomadisme, les échanges pouvaient s’accomplir

avec un maximum de célérité, pour l'époque bien entendu. Les artisans scythes avaient donc à leur disposi- tion toute une gamme de matières premières qui leur permit très tôt de s'affirmer de maniere originale.

En outre, les Scythes entretenaient, des relations commerciales avec les pays frontaliers : c'est ainsi que dans

les kourganes, on trouve aussi bien des tapis persans que des œuvres

grecques ou des statuettes extrême

orientales.

Cerf d’or repoussé, datant du VI° siècle avant Jésus-Christ.

(82)

LES SCYTHES (suite)

Les Scythes sont passés maîtres dans de nombreux domaines : orfè- vrerie, métallurgie, tissage, poterie.

travail du feutre et du bois. Les principaux symboles utilisés dans la

iécoration des objets sont l'arbre en-

touré de divinités anthropomorphes, les bêtes sauvages — en particulier le cerf — ou domestiques, les oiseaux, les animaux mythiques, sphinx ou griffons. Il n’est pas impossible qu’à l'origine, ces représentations aient symbolisé les différentes tribus. On trouve également des motifs de lotus

et d’arabesques géométriques.

Le style animalier, en particulier, est extrêmement original. Il ne s’agit

pas d’une reproduction de la nature : Les artistes allongent ou réduisent audacieusement le corps de l’animal, hypertrophient la tête, déforment les

parties antérieures ou postérieures

des corps. Le cerf, par exemple, pré- sente traditionnellement une ramure

disproportionnée. Il s’agit d’un art imagé, épique, exprimant l'univers spirituel d’un peuple, sa vision parti- culière du monde.

Nombre de bijoux et d'objets usuels s'ornent de fresques de la vie

de tous les jours, d'épisodes, guer-

riers, d'illustrations de légendes qui ont beaucoup aidé à notre connais-

sance des Scythes.

Mais la plupart des kourganes dorment encore sous les glaces sibé- riennes. Les Scythes occupèrent l'arène du monde pendant environ mille ans, presque autant que la Rome antique. La plupart des événe- ments de ce peuple au destin drama-

tique nous demeurent inconnus, où

d’une interprétation difficile. Les ar- chéologues ont encore de belles dé- couvertes à espérer.

D'après le COURRIER

de L'U.N.E.S.C.O.,

décembre 1976.

Cette panthère en tôle d'or était probablement

un ornement de bouclier. (VI° ou VII siècle av.

J.-C.)

(83)

OUSLFUOL

LES ZÈÉBRES

SONT -/LS

RPASÉS ©

DE 84E

CONFONDRE

AVEC L'EN-

VIRONNEMENT NATUREL...

Le zèbre est un animal de la famille du cheval, à la robe claire rayée de noir. Ces lignes foncées recouvrent entièrement

le corps du zèbre, depuis la pointe de la queue jusqu'au bout des oreilles, en passant par les sabots. Elles procurent à l'ani- mal un moyen efficace de se cacher parmi les ombres mouvan- tes de la savane : un zèbre immobile dans les hautes herbes est

pratiquement impossible à repérer. C'est une des ressources dont il dispose pour échapper aux grands carnassiers friands de viande de zèbre : le lion, entre autres.

Le zèbre n'est d'ailleurs pas le seul représentant de la faune sauvage qui puisse se confondre avec l'environnement. || s'agit d'une forme de mimétisme courante, qui a aidé les espèces vi- vant actuellement à traverser les millénaires sans s'éteindre.

Au contraire, les animaux trop «voyants» ont souvent suc- combé à leurs prédateurs.

Mais le mimétisme ne constitue pas seulement une tech- nique de défense : il sert aussi à attaquer. Ainsi, le tigre tapi dans l'herbe peut approcher sa proie sans se faire remarquer.

m0 =

(84)

DEMOSTHENE

EMOSTHENE, le: plus

grand orateur de la Grèce antique et peut-être du monde na- quit en 384 avant J.-C. dans un bourg. des environs d'Athènes.

On ne sait pas grand-chose sur

les premières années de sa vie ; la

tradition en a fait un être quasi légendaire etnuln ’ignore que, lé- gèrement bègue, il réussit à corri- ger ce défaut de prononciation en apprenant à parler avec un petit:

caillou dans la bouche.

Sa famille était fort riche, le

père ayant acquis une très grosse

fortune avec ses fabriques de meubles et d'armes blanches dans lesquelles il employait une cinquantaine d'esclaves. Mais cette fortune allait s'envoler en fumée. Le père de Démosthène mourut alors que son fils n'avait que 7 ans et les tuteurs chargés de gérer ses biens préfèrent cro- quer ceux-ci !

Néanmoins, le futur orateur fut élevé selon son rang. Il reçut une solide instruction. À sa ma- jorité, il réclama son dû de l’héri-

tage paternel, mais les tuteurs dé- signés par son père se faisaient ti-

rer l'oreille. Au bout de deux ans de vaines tractations, le jeune homme se décida à porter l’af- faire en justice ; ses droits furent reconnus mais il ne toucha foute-

fois qu’un héritage fortement en- tamé, Ce sont peut-être ces inter- minables procès, au cours des- quels Démosthène dut s’em-

ployer à faire valoir son bon droit, qui décidèrent de sa voca- tion, en l’obligeant à étudier l’art oratoire.

Plaidoiries et premiers discours

Il choisit d’être avocat tout en s'intéressant à la politique. A Athènes, la coutume voulait que, lors d’un procès, ce soit le de-

mandeur qui expose l'affaire de-

vant les jugés ; ; en fait, c'était presque toujours l’avocat qui pré-

parait la plaidoirie que son client se bornait à lire. Dès le début de sa carrière, Démosthène se fit re- marquer par la clarté de ses ex- posés et l’habileté avec laquelle il savait utiliser les arguments en faveur de la cause qu’il défendait.

Mais l'avocat s’intéressait beaucoup à la politique. Il eut l'occasion de se faire connaître mieux en se pliant à la loi qui voulait que tout citoyen d’Athé- nes possédant une certaine for- tune — et Démosthène avait bien arrondi la sienne grâce à son ta- lent — devait commander en per- sonne une trière (important vais- seau de guerre) pour laquelle le recrutement et l'instruction de l'équipage lui incombaient. Dé- mosthène se soumit volontiers à cette loi, ce qui ne pouvait quefa- voriser ses ambitions en politi-

que.

= 82 =

(85)

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(86)

DEMOSTHENE (suite)

Les Philippiques

Démosthène entra dans l’arène politique à un moment où

Philippe de Macédoine, souve- rain étranger ambitieux, décida d’exploiter les querelles intestines des Grecs pour mieux les domi- ner, autrement dit de « diviser pour régner ». Rusé et sans scru- pules, il sut habilement prendre parti tantôt pour un Etat, tantôt

pour l’autre. Lorsqu'il jugea le moment enfin venu d’attaquer di- rectement Athènes et Thèbes de front, il se heurta à la résistance de ces deux villes, enfin unies contre l’ennemi commun. Dé- mosthène prit la tête de ce mou- vement patriotique qui tenta de défendre la liberté de la Grèce.

C’est alors qu’il commença cette série de harangues passionnées contre Philippe de Macédoine,

qui venait d’envahir le sud de la

Grèce, et qu’on appela LES PHI- LIPPIQUES. Le mot « philippi-

que » désigne encore de nos jours tout discours violent et énergi- que.

A trois reprises, Démosthène s’efforça de prouver à ses compa- triotes qu’il leur fallait à tout prix intervenir contre l’envahisseur qui gagnait du terrain. C’est alors que Philippe encouragea une ré- bellion à Eubée, île toute proche d’Athènes, où durent se rendre le gros des troupes grecques.

Défenseur de la paix

La guerre durait depuis long- temps déjà, elle s’éternisait et la

lassitude s’installait dans les deux camps. Les Grecs dépêchè

rent à Philippe une ambassade dirigée par Démosthène, dans

l'espoir d’aboutir à la paix. Le grand orateur mit autant de pas

sion et de chaleur dans sa nou

velle mission qu’il en avait mis à

enflammer le cœur des Grecs contre leur ennemi. Mais celui-ci : retarda le plus possible la signa ture du traité de paix afin d’obte-

nir à peu près tout ce qu’il vou lait.

Athènes accepta mal ce traité qui la défavorisait ; en dépit des conseils réitérés de Démosthène,

les hostilités reprennent en l’ar 340. Après quelques combats

sans importance, en 338, Thé-

bains et Athéniens s’affrontent à Chéronée. Les. pertes sont nom- breuses et Philippe s’empresse de

er un armistice. C’est alors que ceux des Grecs favorables au vainqueur — les « collaborateurs » de l’époque — attaquent Démos- thène, sans toutefois parvenir à

priver celui-ci de l’estime du peu- ple. Mais l’orateur doit se défen-

dre ; il le fait dans un de ses dis-

cours les plus beaux : « Pour la

couronne ».

Son irréductible adversaire

finit par mourir. Démosthène

laisse d’abord éclater ouverte-

ment sa joie ; puis, craignant les

représailles d'Alexandre, succes-

seur de Philippe, il tempère son

enthousiasme ce qui lui vaut

_ 84 -

(87)

d'être renié par les extrémistes de

son parti.

Les années d’exil

En l’an 324, Démosthène fut de nouveau attaqué et compro-

mis dans un scandale. On l’ac-

cusa d’avoir profité de fonds pré-

levés sur le trésor public par Ar- palos, ministre des finances ma- cédonien. L’orateur fut condamné à la prison dont il

réussit à s'évader pour s’exiler à l'île d'Egine d’abord, puis à Tré- zène.

Réfugié dans le temple de Poséidon de l'île de Calaurie, Démosthène préfère se don- ner la mort en s’empoisonnant plutôt que de tomber entre les mains de ses ennemis.

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(88)

DEMOSTHENE (suite)

Mais voici qu’en 323, survient la mort subite d'Alexandre. Les

Athéniens voient là une occasion inespérée de recouvrer leur indé- pendance et, de nouveau, la guerre recommence ; les Grecs se font battre à Criannon ; l’adver- saire exige une reddition sans condition ainsi que la livraison

de tous ceux qui avaient contri- bué à déclencher les hostilités.

La mort dans le temple

de Poséidon

Démosthène est condamné à

mort par contumace. En octobre

332, il gagne l’île de Calaurie et trouve asile dans le temple de Po- séidon. Le groupe de soldats chargé de l’en déloger n’ose tout de même pas violer ces lieux sa- crés. Le chef ordonne à Démos- thène de se rendre ; il n’obtient

qu’une réponse méprisante. Puis le grand Athénien s’empoisonne et s'écroule devant l’autel du dieu de la mer.

Près d’un demi-siècle plus

tard, Athènes lui édifiait une sta-

tue portant ces mots: «Si ta force, Ô Démosthène, avait été égale à ton génie, la Grèce n’au- rait jamais eu à s’incliner devant des vainqueurs ».

PIM PAM POUM

n° 18

est arrivé |

La célèbre équipe

est au mieux

de sa forme, TRACASSIN

plus inventif que jamais |

De beaux fous rires en perspective |

86 -

(89)

incroyable

JL VRAÏ

| ZA PETITE MAISON Dans

LAqueuLEe MOZART <oNPo

| S4 ” LA FLÛTE ENCHANTÉE ‘

| FUT DEPLACÉE DE VIENNE À

SALZ BOURG (DISTANTE DE

250 km), VILLE NATALE où

COMPOSITELIR

Prés D'Ecrers norr(at

J

LEMAGNE) UN TILLELIC

OUSSÉ SUR UN ÉNORME

BLOC DE ROCHER

LÉ HAQUE DIMANCHE , PEN

DANT DES ANNÉES, LE RÉVÉRENO ROÛT“

WHERSTEAD “£SSU 24

LE CULTE DANS, CINQ

ÉGLISES DIFFÉRENTES.

/L EFFECTUAIT AINSI

CHAQUE SEMAINE 45 Lim POUR ALLER PORTER

LA BONNE PAROLE.

(90)

BLEK 330: Sur la Colline des 4 Ser-

pents, terrible affrontement entre BLEK et les mystérieux bandits qui sèment la terreur parmi les habitants de Sparton. SIGMAR, l'homme volant de la jungle, à la recherche de l'agent secret Dolly Sanders enlevée par

les Umotis.

NEVADA 371 : MIKI et Saignée accom- pagnent Jouble-Rhum qui va toucher un héritage à Pecos City, mais ils vont se heur-

ter à la bande d'El Mistero. Deux autres his-

toires : JED PUMA et Tashi, les as du judo et LES TROIS LORDS AU FAR-WEST.

OMBRAX : OMBRAX mué en agent se- cret déjoue le complot visant à éliminer le sénateur Witt, chargé de négocier d'impor- tants accords commerciaux avec l'étranger.

Un mort qui ressuscite, un coupable inno-

cent. encore du pain sur la planche pour

GALTON & TRUMBO.

PLANETE DES SINGES 17 : Un geste malheureux de CORNELIUS, le chimpanzé du futur, coûte la vie à un garçon de salle...

et le couple simien est déclaré hors-la-loi cependant que Zira met son bébé au

monde. Explosion du monde sous-marin,

DOC SAVAGE et son équipe n'ont que

le temps de fuir, laissant les Reptiliens et Quentin Taine s'engloutir dans la catastro- phe.

RODEO 322 : Evasion mouvementée de

TEX à qui il ne reste plus qu'à découvrir les responsables de sa condamnation. BABY BANG : Sauvé in extremis par «Le Reli- quaire », Sherwood perd la mémoire. C'est le début d'une fuite échevelée pour échap-

per aux fusiliers de Larson.

YUMA 188: Une aventure insolite de ZAGOR : l'expédition archéologique qu'il escorte découvre des vestiges celtes, mais un fantôme hante le tombeau de Kandrax le Magicien. Le PETIT RANGER se de- mande pourquoi le Professionnel s'inté- resse aux pipes fabriquées par un certain bagnard.

LUG REVUE

ZEMBLA 281: Laur, le cruel roi des

Ginshis précipité au fond d'un volcan par sa tribu, reparaît en semant la terreur. ZEM-

BLA cherche à faire la lumière sur cette

« résurrection », mais Yéyé se fait enlever.

John-John à la force incomparable et la belle Rosy Scroggy s'uniséent à TIKI le pe- tit chef Indien qui veut retrouver l'assassin de son père.

COLLECTION

SUPER-HEROS :

NOVA 5 : Grande confrontation entre le SURFER D'ARGENT et Méphisto, le Prince des Ténèbres, la visite de NOVA aux stu- dios de Marvel Comics Group et l'ARAI-

GNEE face à deux ennemis qui ont juré sa perte : le Tireur et le Vautour.

STRANGE 102: Est-ce la fin de DARE- DEVIL? Dragon Lune, l'énigmatique pré- tresse de Titan, lui redonne la vue... mais il perd ses pouvoirs ! Terrible duel en Chine entre IRON MAN et le Mandarin, L'ARAI- GNEE mêlé à une orageuse campagne électorale.

SPECIAL STRANGE 12: Les vacances des X-MEN se terminent en cauchemar avec le retour du Fléau. Quittant le XVII*

siècle et les Sorcières de Salem, l'ARAI- GNEE est projeté dans le futur de la Terre envahie par les Icariens. La CHOSE dans la jungle oubliée de Ka-Zar.

LA FORTERESSE DE XAPUR (Album CONAN 7): La poursuite de la belle Octa- via attire Conan dans la forteresse de Xapur ressuscitée par la magie de Khosatral Khel

{R. Thomas, John Buscema et Alfredo AI-

cala).

TITANS 14 - LE SPECTRE (Album ARAIGNEE 3) - LE PRINCE DES MERS (Album FF 15): sont toujours en vente.

88 -

(91)

JANVIER

SALUT, LONE ! TU

TE FAIS RARE !

DU SEAU TEMPS POUR: ‘/ENIR TE

@NCER LS DALLE

AU SALOON DE -ILY ©... TU AS

VU LE THER -

MOMÈTRE CE

AUTRS TU PROFITES

À VIRGINA CITY, PAR UNE GACIALE APRÈS-MIDI DE VINGT-TROIS,

JE SUIS ZONTENT]

DE TE TROUVER

ICI, A M ENtTE -|

BA DE FAIRE Dix

KIOMÈTRES DE

PLUS COUR ALLER TE Voie À TA

COMMENT C'EST Mo:

CHERCHES ? TU ES

N'EST PAS KALINKA-:

TU DOIS

BIEN SAVOIR QUE MA PETITE

S'EST ENTCHÉE DE TOI !

Lure

LISE FILLE ,

C'EST VRAI. IL

NE LUI MAN

UE GU'UN

MARI ! [A

(92)

ACCORD... DE T'APPORTE GA

AIN - MAIS VIENS DONC BOIRE QUELQUE CHOSE !

Q HE, LILY ! UN AUTRE PUN CH

BOUILLANT POUR MO ET...

(93)

ΠVOIT DE TOUT : DES LOUPS

ŒuI PARLENT COMME DES CHRE -|

TENS , DES CHRETNENS QUI

BRAIENT COMME DES

(94)
(95)

2277

Le pur

er

ill 4

BRAVO, P'TIT GARS !.

Si DANAE. TON

(96)
(97)

MOI, L'AIR PUR, M'EN BA-

LANCE, MAIS D'2I QUELQUE PLATE

CHOSÉ À FAIRE QUI NE MAIS NE LE

, E e: VUE, C'EST LE

Bas S DANSE.

va ) Πx *

LES:

ER : aueL FeQb!ON

EST ENCORE MIEUX

DEDANS ! D

(98)

LE TRAIN PALENTIT JUSTEMENT POUR]

URBE . TRIO

(99)
(100)

COMME TU VOURRAS, KALIN

! MAIS AVEC: GE

"EST LE M

5 FAIRE LE MÉNAGE 2 FOND !

DE SUIS NEE ET JAI GRANDI

DANS CETTE MAISON . MES PREMERS COMPAGNON S

DE JEUX ETAIENT DES

PUMAS ET DES

(101)

4 é |

Red x

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NOUS SOMMES

DES CHERS

(102)
(103)

TU AS ENTENDU P9IETE CKAY! VOUS ÊTES LES PUS]

__—

SUuTU

ET DEPECHE -TOI DE NOUS FAIRE

QUELQUE CHOSE DE CHAUD ; ON VA

BESTER- ICI JUSQU'A L'ARRIVEE

D'UN COPAIN!

7 @ _o

S'IL VIENT ‘ Où Z ÈTE

4 DINGUES DE

Sur

(104)
(105)

FUN MURMURE COuFUS NI -

TERROMPT LE SOLILOQUE

DE LONE WOLF...

(106)

DE ME LAISSER.

CILUPER, D

(107)

LAISSE LE DIABLE O1 EST, ET APPELLE PLUTOT

TON

ANGE CARD

IEN !

7 IL N'y À PLUS QUE LUI

P« TE NRER

=

IMPATIENE

GRANDIT.

(108)
(109)

Z KURD! PAT! SCRTEZ LES MANS EN L'AIR ! VOUS TASES

(110)

HEUREUSEMENT QUE TU ES VENU CHERCHER TON BOIS, LONE !

C'EST VRAI ! VOUS

NOUS AVEZ SAUVE LA

[ EUX ME LA LONE À RAISON, KALINKA !IL

SLR DEPÉ- A FAULOIR LIVRER. ŒS GIBIERS

-TO| DE LE TEN AU SHERA TT

AE PASSER. AU RANCH ELEC

GA V2! DE VOUS PREPRARE E GA ,

MAIS 2 CONDI—

TION QUE LON WOLF M'INVITE

UNE SEMAINE RAN

FIN DE L'EPISODE.

À SUIVRE -

(111)

S/ LA TOMBEEZ DE LA NUIT CALME LES ARDEURS DU SO

LEIL., ELLE N'ÉTEINT PAS FORCEMENT LES PASSIONS !

Si ON VA LE CHERCHER,

ON RISŒ@UE DE Vous

EST-cE QUE VOUS SEBEZ DU STE DES ASSASSINS,

SHERIFFS

(112)
(113)

LA RÉSURRECTION IM-

FF HEUREUSEMENT, À CE MO — MENT, UN GALOP DE CHEVAL

RETENTIT..

ASSEZ JU

DU PISTOLET,

LES

COMME GA OÙ Y VOIT- PLUS CAR! vous

RENTREZ CHEZ VOUS OÙ 23€

CONTINUE =

*

SS

(114)

TOUT LE MONDE SAIT QU'El- LONE WOLF ! TONN) LES ONT PUS DE CAN =

QUE VOUS, BANDE DE LACHES !

LAISSES PARTIR CES EXCITES

N PEU DE FRAÎCHEUR LEUR ERAIT POURTANT DU BIEN

GARS EN

VOULAIENT AU

UN CERTAIN DUFF..

DAVY DUFF... CHAS - L= SOUPIONNE

D'AVOIR VENDU DES LRMES_ LUX

INMENS BLACK-

(115)

EN ECHANGE DE FOUR -

RURES , 2€ SUPPOSE ! LE CŒuP SASSIQUE

ENVIRONS

EST

DES QU'IL A APERÇ

DUFFE IL S'EST MI

LUI FAIRE FÈTE

(116)

CE N'EST PAS À UN CHIEN

TE DECDER Si UN

CHRETEN DOIT OÙ

NON ÊTRE

Æ CE MOMENT, DES VOIX MENAÇANTES S'ÉLÈVENT...

LE RESRNSLABLE PZZD C'esr 2AMES 80014 YZ

@uI VOUS PARLE ! 4

ON EST. TOUS 2

CON

EULENT LYNCHER

ET 2€ N'2Si ŒU'UN

(117)

À, !TUES UN VERITA-

MERC|, LOUE SUR

(118)

ET VOILZ LE TRAVAIL ! PRENEZ LES UES ET

CÆLLU

LE !

Ei

MAINTENANT IL FAUT-

QUE Æ LE CONDUISE AU

DUGE LE NEWTONVILLE

(119)

TU POURRAIS PAS

ALLER POUSPE -

Fe UN PEU PLUS

LOIN > _Nou

TE MIEUX EN

MIEUX !VOILA LE

TEMON ! IL NE

MANQUE PLUS

SOUDAIN, UN FREMIS

SEMENT PARCOURT

LES BUISSONS

SE TROUVE FACE

A... MUSEAU

AVEC L'ACCUSA -

TER Rs DUFF !

MAIS L'ACCUEIL DU PRISONMIER

EST BAAUCOUr MOINS DEBON-

ENCORE TOI, SALE BÈTE ! LE AT Jour cÜ 3/41 STI TON PA-

LE Œ PÈGE À OURS,

Fdreas MIEUX FAIT DE MÉ

ER UNE JAMBE . TU

M2S MIS DANS UN ŒUÈPIER

DONT Æ NE RESSCRTIRA|

PAS VIVANT !

(120)

SUFFIT,DUFF ! CETTE BETE VIENDRA.

NE NOUS À NEWNTONVILLE ET

NOUS VERRONS_ CE ŒU'EN PENSERA LE TRIBUNAL !

TE DU DESERT NOUS SERONS EN

SEURTÉ. 2

CS LUS L

(121)

POURQUOI VOULEZ-VOUS LA MORT DE MON

PÈRE SHÉRIFF ET VOUS ©

EST INNOCENT

(122)

IE VOUS EN PRIE, LAISSEZ- PARTIR . 3 AURAIS

BONS FUSILS . Si

TU ME LIBERAIS

LES MAINS

2E Vois ! TU CONNAIS AUSSI BIEN] | ASSEZ ! TANTPARLER.

LES INDIENS QUE LEURS FU-| | TESSÈCHE LA GORGE, Er.

SILS. MAIS PUISQUE U ES é NOTRE PRONISION D'EAU EST À PEINE SUF-

FISANTE !

(123)

BUVEZ ! MAIS ALLEZ-Y DOUCEMENT Ou NOUS SERCNS À COURT D'EAU AVANT

DE VOIR LE BOUT DU DESERT !

+ Le

\\

SEUL LE HENNISSEMENT DES CHEVAUX REPOND À LA D

CHARGE ...

(124)

LES CAVALIERS GISEANT. À_TERRE, LE VISAGE EN-

LE SABLE

BRU LAN

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GARS ŒUI (ENT.

VOULA

MON DIEU ! REGARDEZ y

GOURDE !

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GIENT DANS LE nu DESERT /

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(125)

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Æ SRATER LE SABLE BENSE

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1. ETIENNE IVRE - RAIS PAS QUE

— 123 -

(126)

IES “REMINGTON ” ! LE:

DES FUSILS ! BON SANG! TU

ETBAIS AU COURANT, DUFF !

VOILZ POUR QUOI -TU SOUHAI -

CES DEUX LETTRES SONT UNE)

REVELATION POUR. DUFF.

DAMES BCOTH ! LE PLUS

RICHE ELEVEUR DE LA RE GION ! C'EST DONC LUI

@UI ENIT DES

ÊARMES AUX

MINUTE /FAIR C'EST ui

MOI VOIR UN COUVER -

VoIL£ COMMENT _IL VOILA qui PROUVE TSN

S'EST ENRICHI : ÆN

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LE LENDEMAIN | HUIT CERCUEILS ,BILL... ON@ POUR MATIN Æ WIND | ADULTES ET TROIS R- ENFANTS.

RIVER .…. PA: RE Re

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Références

Documents relatifs

Après avoir vérifié les dimensions des 2 renforts de culée gauche (45x50x6mm), sur les 2 renforts, tracer l’emplacement des 4 trous en vous servant de la mise en

TRAINER-Any scratch made by the trainer ( after program #'s have been assigned ), including scratches for weather, medical, stakes, entered back the next racing day, conditional

Additions de dizaines

Prothèse selon la revendication 2, caractérisée en ce que la biellette (8) comporte une première plaque (12a) montée sur l’élément de support (1), une se- conde plaque (12b)

[r]

Repères de progressivité : Les besoins en énergie de l’être humain, la nécessité d’une source d’énergie pour le fonctionnement d’un objet technique et

pages 4 et 5 Expliquer les besoins variables en aliments de l’être humain ; l’origine et les techniques mises en œuvre pour transformer et conserver les aliments pages 5 et 6

 Identifier les évolutions des besoins et des objets techniques dans leur contexte..  Identifier les principales familles