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LHD031MF : Mémoire et fonctions exécutives

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Academic year: 2022

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UNIVERSITÉ DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE UFRLETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie Licence 2 Session de Janvier 2019

LHD031MF : Mémoire et fonctions exécutives

Durée de l’épreuve : 2 heures Sujet de Monsieur GIERSKI

Le sujet comporte 1 page. En cas de problème, le signaler aux surveillants.

Documents / matériels : néant

Une patiente de 67 ans retraitée se plaint de sa mémoire, elle oublie des choses sur le feu et n’arrive pas à se servir de son nouveau four à micro-ondes. Les résultats de son bilan neuropsychologique sont indiqués ci-dessous. Décrivez ces résultats. Que pouvez-vous en dire sur le plan cognitif ? Quelle éventuelle atteinte neuro-anatomique peut être suggérée ou écartée ? Organisez les éléments de votre réponse au regard des modèles théoriques de l’organisation de la mémoire humaine et du fonctionnement exécutif.

Bilan neuropsychologique de Madame Y

Empan de chiffres : - endroit : 6 (note z : 0,90) - envers : 2 (note z : -1,80) Cubes de Corsi : - endroit : 6 (note z : 0,40) - envers : 2 (note z : -1,78) Effet de similarité phonologique : présent / effet de longueur des mots : présent Tâche n-back : difficultés importantes dès le niveau 2-back (pas de norme) Test de Hayling : 10 pénalités, (note z : -2,64)

Test de Stroop : 10 erreurs (note z : -3,00)

Trail Making test, partie A : 55 secs (note z : 0,65) ; partie B : 320 secs (note z : - 2,15) DO80 : 79/80 (note z : 1,95)

Pyramid and Palm Trees test : 51/52 (note z : 0,6)

Copie de mémoire de la figure de Rey : 20/36 (note z : -1,68) Épreuve de Grober & Buschke (RLRI-16)

Mesures Scores du patient Moyenne Contrôles

Ecart-type Note z

Rappel indicé immédiat 15/16 15,3 0,8 -0,38

Rappel libre 1 4/16 8,4 2,5 -1,86

Rappel total 1 14/16 14,3 2,1 0,14

Rappel libre 2 5/16 9,2 2,4 -1,95

Rappel total 2 15/16 14,8 1,8 0,51

Rappel libre 3 5/16 11,2 2,8 -2,93

Rappel total 3 16/16 15,6 0,8 0,80

Total rappels libres 12/16 28,9 6,8 -2,49

Total rappel total 45/48 Seuil : 44 ---- ----

Intrusions totales 0 ---- ---- ----

Reconnaissances correctes 16/16 15,7 0,5 0,60

Fausses reconnaissances 0/32 ---- ---- ----

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UNIVERSITÉ DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE UFRLETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie Licence 2 Session de Janvier 2019

LHD032PA : Psychopathologie de l’adulte

Durée de l’épreuve : 2 heures Sujet de Mme BESCHE-RICHARD

Le sujet comporte 1 page. En cas de problème, le signaler aux surveillants.

Documents / matériels : néant

Le/la candidat.e traitera les questions suivantes :

1. La dépression est-elle d’origine génétique ? 2. Décrivez les 3 formes d’obsessions.

3. Trouble bipolaire de type 1 / trouble bipolaire de type 2 : expliquez les points communs et les différences.

4. Décrivez les caractéristiques cliniques du syndrome délirant.

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UNIVERSITÉ DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE UFRLETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie Licence 2 Session de Décembre-Janvier 2019

LHD033NC : Neurobiologie du comportement

Durée de l’épreuve : 2 heures

Le sujet comporte 2 pages en recto-verso. Aucun document autorisé Les étudiants doivent composer sur deux copies séparées

Sujet de M R. Soussignan I. (1,5 points). Indiquez les trois fonctions biologiques (à court-terme) du chant de l’oiseau.

II. (5 points). Rôle du gène FOXP2 chez diverses espèces de vertébrés. Mentionnez comment ce rôle a été mis en évidence chez l’humain. Pourquoi la technique knockdown a été utilisée chez le Diamant mandarin ? Décrire les résultats illustrés sur cette figure d’une étude ayant appliqué cette technique.

IV. (5 points). Définir la notion d’homoncule moteur. Quelle technique a révélé chez l’humain l’homoncule moteur ? Décrire deux expériences conduites chez l’animal et l’humain montrant l’effet de l’apprentissage moteur sur la plasticité cérébrale de la cartographie motrice des régions corporelles.

V. (2 points). Définissez la prosopagnosie. Que révèle l’IRM structurale chez des patients prosopagnosiques ? VI. (3 points). Qu’a révélé l’étude de l’hippocampe des chauffeurs de taxi londoniens (technique utilisée, résultats, interprétation) ?

VII. (1 point). Mentionnez au moins deux fonctions attribuées à l’ocytocine.

III. (2,5 points). Quelles sont les 5 vésicules qui, à partir de la 5ème semaine du développement embryonnaire, révèlent le plan d’organisation fondamental de l’encéphale?

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Sujet de Mr Y. Clément

Le candidat traitera le sujet suivant :

Après l’avoir caractérisé, présentez l’ensemble des déterminants biologiques associés à l’expression du comportement de votre choix.

Consignes :

- Sautez une ligne entre chacune de vos phrases ! - Ecrivez lisiblement !

- Respectez les consignes !

Toute copie jugée non lisible sera considérée comme ne souhaitant pas être lue.

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1 UNIVERSITÉ

DE REIMS

CHAMPAGNE-ARDENNE

UFR LETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie Licence 2 Session de Janvier 2019

LHD034OI : De l'opérationnalisation à l'interprétation des données 1

Sujet de : Régis Lefeuvre Durée de l’épreuve : 1 heure

Le sujet comporte 2 pages. En cas de problème, le signaler aux surveillants.

Documents / matériels autorisés : néant. L’examen est noté sur 20 points.

Analysez les questions, puis construisez vos réponses au regard de l’énoncé. Votre objectif est de faire preuve de pertinence, de clarté, de précision et de concision (chaque élément constitutif de réponses doit tenir en 4 phrases au maximum).

Questions de cours.

1. Définissez la notion de variables secondaires, explicitez les moyens dont nous disposons pour les identifier, et ce qu’il convient de faire par rapport à ces variables dans le cadre d’une recherche expérimentale ?

2. Pourquoi faut-il éviter de dichotomiser une variable indépendante continue ?

Exercice 1.

Des chercheurs en psychologie des organisations posent les hypothèses suivantes : plus la charge des responsabilités pesant sur un manageur augmente, plus ce dernier risque de s’engager dans des comportements de supervisions abusives à l’égard de ses subordonnés (hypothèse n°1) ; ce lien sera encore plus prononcé pour les femmes que pour les hommes (hypothèse n°2).

Questions.

1a. Doit-on s’attendre à ce que nous soit présenté ici une étude expérimentale au sens fort du terme ? Justifier votre réponse.

1b. Nommez et explicitez brièvement une menace d’invalidité interne pesant sur ce type de recherche, au regard de la nature des variables indépendantes. Quelle solution à la fois méthodologique et statistique doit être mise en œuvre pour réduire cette menace ?

2. Nommez et explicitez brièvement une menace d’invalidité interne liée au recueil de la variable dépendante. De quelle manière doit-on s’y prendre pour totalement évacuer cette menace ?

3a. Qualifiez le type d’effet statistique attendu pour chaque hypothèse ?

3b. Proposez une illustration graphique qui rendrait simultanément compte de la validation des deux hypothèses. Prenez soin de respecter les normes APA.

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2 Exercice 2.

Contexte. Des professionnels expérimentent un nouveau protocole visant à modifier les habitudes alimentaires de personnes en surpoids pour lesquelles a été diagnostiqué un risque majeur pour la santé (e.g., maladies cardiovasculaires). Ce protocole s’appuie sur les travaux relatifs à la pleine conscience.

Précisément, il s’agit d’amener chacun à activement réfléchir aux différents aspects de son alimentation (pourquoi, quoi, comment, où, quand et avec qui nous mangeons), à mieux comprendre les influences auxquelles nous sommes exposés et les choix que nous devons effectuer au quotidien.

Protocole. Des modules d’entrainement sont dispensés sur 12 semaines, à raison d’un jour toutes les deux semaines. Pour chaque jour d’intervention, deux sessions collectives ont lieu, l’une le matin l’autre en début d’après-midi (après le repas). Entre les deux, le repas, préparé par un nutritionniste, est pris en groupe. La session du matin comprend toujours une brève méditation, une évaluation de son degré de faim et un rappel des consignes relatives à la pleine conscience (prendre en compte tous ses sens lors du repas, se concentrer sur la détection de son état de satiété, etc.). La session de l’après-midi comporte une diffusion d’informations par un professionnel (nutritionniste, cardiologue, etc.) ainsi qu’une discussion de groupe encadrée par une psychologue sur une thématique spécifique. Les groupes incluent 6 à 10 personnes.

Participants. Des médecins ont été contactés et devaient informer leurs patients de l’existence de ce programme. Soixante-quinze personnes se sont portées volontaires (47 femmes, 28 hommes, âge moyen

= 41 ans). Ces personnes devaient répondre à un premier questionnaire sur leur motivation et attentes vis-à-vis du programme, fournir quelques renseignements sociodémographiques (âge, sexe, profession, etc.) et médicaux. Des critères d’inclusion/exclusion ont permis de retenir 32 participants (17 femmes, 15 hommes, âge moyen = 36 ans).

Mesures. Pour évaluer l’efficacité du programme, il est prévu de demander aux participants de répondre à un questionnaire sur leurs habitudes alimentaires (18 items, échelles en 7 points) à trois reprises : en début de programme, en fin de programme, et 8 semaines après la fin du programme). Un questionnaire de satisfaction sera également distribué.

Questions.

1. Outre le sexe, l’âge et la profession, indiquez deux variables qu’il faudrait contrôler au niveau des participants. Justifiez votre réponse.

2a. Sur quel plan d’expérience repose cette étude ?

2b. Identifiez trois menaces d’invalidé majeures qui pèsent sur cette recherche.

2c. Quelle solution méthodologique permettrait de se prémunir de la plupart de ces menaces ?

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UNIVERSITÉ DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE UFRLETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie Licence 2 Session de Janvier 2019

LHD034SI : Bases de statistiques inférentielles

Durée de l’épreuve : 2 heures

Le sujet comporte 18 pages. En cas de problème, le signaler aux surveillants.

Documents / matériels : calculatrice Question 1

Les scores d’un test se distribuent suivant une loi normale de moyenne 145 et d’écart-type 15 au niveau de la population.

1) Une personne obtenant un score de 113 fait-elle partie des 5% inférieurs de la distribution ? 2) En-dessous de quelle valeur à ce test se trouve le quart des individus ?

3) Quelle valeur faut-il au moins avoir pour faire partie des 5% supérieurs de la distribution ?

Question 2 (d’après Frede, Frappart & Troadec, 2017)

Cette recherche porte sur le développement des connaissances en science auprès d’enfants évoluant dans divers contextes culturels. Il a été montré que les enfants ont des difficultés à acquérir une compréhension scientifique en astronomie. Les concepts relevant de l’astronomie sont difficiles à acquérir parce que la perception que l’on en a diffère de la conception scientifique. Par exemple, nous percevons la terre comme étant plate alors qu’elle est conçue comme étant sphérique en sciences. Outre le recours à sa propre expérience, l’enfant peut s’appuyer sur le témoignage d’adultes (parents, enseignants) pour développer ses connaissances. Dans la culture occidentale, l’acquisition des connaissances scientifiques est valorisée.

L’enfant doit dépasser sa propre perception du monde pour élaborer une adéquation en accord avec les attentes culturelles et les savoirs transmis par l’école. Dans ce cas, les témoignages culturels sont convergents avec les savoirs transmis à l’école. Dans d’autres cultures, les savoirs transmis par l’école diffère de ceux qui sont transmis culturellement, ils sont divergents. Par exemple, au Burkina Faso, et plus largement en Afrique, l’animisme (c’est-à-dire la croyance en une force vitale qui anime les êtres vivants mais aussi les éléments naturels) est la base de l’enseignement traditionnel. Les programmes scolaires sont les mêmes qu’en France mais l’explication des phénomènes et des entités en astronomie proposée par la tradition orale, comme les contes, peut renforcer les intuitions liées à l’observation.

Les chercheurs supposent que les enfants ayant accès à des témoignages convergents construisent plus précocement une compréhension scientifique en astronomie que les enfants burkinabés vivant dans une contexte culturel animiste. Deux échantillons d’enfants ont été constitués, l’un composé d’enfants français et l’autre d’enfants burkinabés. Les enfants répondent à un questionnaire évaluant leurs raisonnements à propos de l’astronomie, et notamment sur la forme de la terre. Pour chaque question, l’enfant doit choisir entre plusieurs réponses : l’une est dite intuitive et l’autre est dite scientifique. Les réponses sur la forme de la terre sont classées en 4 catégories : plate, plutôt plate, plutôt sphérique, sphérique. Le classement des enfants en fonction de leur groupe (français, burkinabais) et du type de réponses est donné dans le tableau ci-dessous.

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Testez l’hypothèse au seuil α=.05 en vous appuyant sur les différentes données communiquées ci-dessous.

Distribution des effectifs en fonction du groupe des enfants et leur type de réponses plat plutôt plat plutôt sphérique sphérique

français 2 11 41 30

burkinabais 4 34 52 2

Question 3 (d’après Vauthier et al., 2017)

L’anxiété vis-à-vis des mathématiques est courante chez de nombreux élèves. Des auteurs ont montré que le fait d’être mauvais en mathématiques peut être dû à une croyance, voire à un « mythe » affectant le sentiment d’efficacité personnelle, entretenu notamment par l’environnement social et familial. L’efficacité de la méthode EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing) a été mise en évidence notamment dans le domaine de la prise en charge psychothérapeutique des états de stress post-traumatiques. Les chercheurs souhaitent démontrer l’efficacité de l’EMDR dans la prise en charge des troubles anxieux d’élèves particulièrement réfractaires aux mathématiques du fait d’une histoire (mauvaises expériences passées) et d’un rapport à la discipline qui a pu être vécu sur un mode anxiogène et aversif. Ils s’attendent à une amélioration du sentiment d’efficacité personnelle, suite à une intervention fondée sur l’EMDR visant à réduire les émotions négatives associées à une modification de la perception de l’expérience passée.

Des étudiants en difficulté avec les mathématiques ont participé à l’étude. Ils ont été répartis en deux groupes : un groupe expérimental et un groupe contrôle. Dans un premier temps, les 40 participants ont répondu à un questionnaire évaluant leurs émotions et leur sentiment d’efficacité personnelle vis-à-vis des mathématiques. Lors de ce premier temps, les deux groupes de participants ont obtenu la même moyenne au questionnaire d’évaluation du sentiment d’efficacité personnelle. Un groupe de 20 participants suivait ensuite un protocole standard de la psychothérapie EMDR en huit phases tandis que les 20 autres participants constituaient le groupe contrôle. Après 1 mois, les participants ont répondu de nouveau au questionnaire évaluant les émotions et le sentiment d’efficacité personnelle. Les données présentées ci-dessous concernent le sentiment d’efficacité personnelle.

Testez l’hypothèse au seuil α=.05 en vous appuyant sur les différentes données communiquées ci-dessous.

Score des participants au questionnaire d’efficacité personnelle.

Groupes

Participants Expérimental Contrôle

1 3,6 2,1

2 8,9 7,5

3 6,3 4,5

4 7,9 6,3

5 5,1 8

6 9,3 3,3

7 3,9 3,1

8 6,8 3,7

9 5,4 6,9

10 6,5 6,7

11 7,4 5,2

12 8,4 5,9

13 4,4 2,8

14 5,8 7,1

15 6,1 3,8

16 8,1 2,6

17 7,1 2,8

18 4,1 3,2

19 5,6 4,9

20 4,7 5,5

Groupe expérimental :

̅ = 6,27 = 1,66

∑ =7,31 = 55,182

Groupe contrôle :

̅ = 4,80 = 1,80

∑ =7,88 = 65,09

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- Tables statistiques -

Fournit la valeur P(Z ≤ z)

Z 3,0 3,1 3,2 3,3 3,4 3,5 3,6 3,8 4,0 4,5

P(Z ≤ z) 0,99865 0,99904 0,99931 0,99952 0,99966 0,99976 0,999841 0,999928 0,999968 0,999997

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TABLE DU CHI -DEUX : χ2(n) p χ 2

n p 0.90 0.80 0.70 0.50 0.30 0.20 0.10 0.05 0.02 0.01

1 0,0158 0,0642 0,148 0,455 1,074 1,642 2,706 3,841 5,412 6,635

2 0,211 0,446 0,713 1,386 2,408 3,219 4,605 5,991 7,824 9,210

3 0,584 1,005 1,424 2,366 3,665 4,642 6,251 7,815 9,837 11,341

4 1,064 1,649 2,195 3,357 4,878 5,989 7,779 9,488 11,668 13,277

5 1,610 2,343 3,000 4,351 6,064 7,289 9,236 11,070 13,388 15,086

6 2,204 3,070 3,828 5,348 7,231 8,558 10,645 12,592 15,033 16,812

7 2,833 3,822 4,671 6,346 8,383 9,803 12,017 14,067 16,622 18,475

8 3,490 4,594 5,527 7,344 9,524 11,030 13,362 15,507 18,168 20,090

9 4,168 5,380 6,393 8,343 10,656 12,242 14,684 16,919 19,679 21,666

10 4,865 6,179 7,267 9,342 11,781 13,442 15,987 18,307 21,161 23,209

11 5,578 6,989 8,148 10,341 12,899 14,631 17,275 19,675 22,618 24,725

12 6,304 7,807 9,034 11,340 14,011 15,812 18,549 21,026 24,054 26,217

13 7,042 8,634 9,926 12,340 15,119 16,985 19,812 22,362 25,472 27,688

14 7,790 9,467 10,821 13,339 16,222 18,151 21,064 23,685 26,873 29,141

15 8,547 10,307 11,721 14,339 17,322 19,311 22,307 24,996 28,259 30,578

16 9,312 11,152 12,624 15,338 18,418 20,465 23,542 26,296 29,633 32,000

17 10,085 12,002 13,531 16,338 19,511 21,615 24,769 27,587 30,995 33,409

18 10,865 12,857 14,440 17,338 20,601 22,760 25,989 28,869 32,346 34,805

19 11,651 13,716 15,352 18,338 21,689 23,900 27,204 30,144 33,687 36,191

20 12,443 14,578 16,266 19,337 22,775 25,038 28,412 31,410 35,020 37,566

21 13,240 15,445 17,182 20,337 23,858 26,171 29,615 32,671 36,343 38,932

22 14,041 16,314 18,101 21,337 24,939 27,301 30,813 33,924 37,659 40,289

23 14,848 17,187 19,021 22,337 26,018 28,429 32,007 35,172 38,968 41,638

24 15,659 18,062 19,943 23,337 27,096 29,553 33,196 36,415 40,270 42,980

25 16,473 18,940 20,867 24,337 28,172 30,675 34,382 37,652 41,566 44,314

26 17,292 19,820 21,792 25,336 29,246 31,795 35,563 38,885 42,856 45,642

27 18,114 20,703 22,719 26,336 30,319 32,912 36,741 40,113 44,140 46,963

28 18,939 21,588 23,647 27,336 31,391 34,027 37,916 41,337 45,419 48,278

29 19,768 22,475 24,577 28,336 32,461 35,139 39,087 42,557 46,693 49,588

30 20,599 23,364 25,508 29,336 33,530 36,250 40,256 43,773 47,962 50,892

Pour n > 30, on peut admettre que 2χ2 - 2n-1 ≈ N(0,1)

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TABLE DES COEFFICIENTS DU TEST DE SHAPIRO-WILK (SUITE)

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TABLES DES VALEURS CRITIQUES POUR LE TEST DE SHAPIRO-WILK

N W ‘95%’ W ‘99%’ N W ‘95%’ W ‘99%’

10 0.842 0.781 31 0.929 0.902

11 0.850 0.792 32 0.930 0.904

12 0.859 0.805 33 0.931 0.906

13 0.856 0.814 34 0.933 0.908

14 0.874 0.825 35 0.934 0.910

15 0.881 0.835 36 0.935 0.912

16 0.837 0.844 37 0.936 0.914

17 0.892 0.851 38 0.938 0.916

18 0.897 0.858 39 0.939 0.917

19 0.901 0.863 40 0.940 0.919

20 0.905 0.868 41 0.941 0.920

21 0.908 0.873 42 0.942 0.922

22 0.911 0.878 43 0.943 0.923

23 0.914 0.881 44 0.944 0.924

24 0.916 0.884 45 0.945 0.926

25 0.918 0.888 46 0.945 0.927

26 0.920 0.891 47 0.946 0.928

27 0.923 0.894 48 0.947 0.929

28 0.924 0.896 49 0.947 0.929

29 0.926 0.898 50 0.947 0.930

30 0.927 0.900

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(17)
(18)
(19)
(20)
(21)
(22)

FORMULAIRE

χ² d’ajustement à un modèle théorique

Test de Kolmogorov-Smirnov et de Lilliefors

D = max(|pH0 (X < xj) – FN(xj-1)| ; |pH0 (X < xj) – FN(xj)|) Test de Shapiro-Wilk

= ² = ∑ − ̅!²

Test d’indépendance

• Cas général (tableaux l x c) :

• Cas des tableaux 2 x 2 :

Coefficient φ (phi)

Tableaux 2x2 : " = #$%²

Tableaux l x c : "& = #% ()*!$'

+ù , -./ 01-22-3/42 /+/ 0 -/ 5 0 607. 6-/4/- 8 0-79 -:/9- 0 -/ 3

2 échantillons appariés pour une variable dichotomique :

Χ² d’homogénéité

où les effectifs théoriques

Calcul des effectifs théoriques

( )

= *

* 2 2

1

j j j

k n

n

χ

n

=

*

* 2

) 1 )(

1 (

)² (

jk jk jk c

l

n

n χ n

2 . 1 . . 2 . 1

21 12 22 2 11

1

)² (

n n n n

n n n n

n

χ

=

ES SE

ES SE

n n

n n

+

= ( − )²

2

χ1

=

*

* 2

) 1 )(

1 (

)² (

ij ij ij c

l

n

n χ n

n n n

ij*

= n

i. .j

N n n*jk = nj. .k

(23)

Comparaison d’une moyenne à une norme

• Population normale de variance σ² connue :

• Population normale de variance σ² inconnue et n<30 :

• Effectif n≥30 :

Comparaison de deux moyennes µ1 et µ2, échantillons indépendants

• Populations normales de variances σ1² et σ2² connues :

• Populations normales de variances inconnues mais supposées égales σ1² = σ2² : / ;< ')== >?*− >?=!

@:*=*+:===

• Effectifs de n1 et n2≥30 :

Tests sur les variances

B ;)*, ')*= *

=

=

=

n Z X

σ µ0

= −

n S tn1 = X −µ0

n S Z = X −µ0

( )

2 2 2 1

2 1

2 1

n n

X Z X

σ σ

+

= −

( )

2 2 2 1

2 1

2 1

n S n S

X Z X

+

= −

(24)

UNIVERSITÉ DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE UFRLETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie Licence 2 et 3 Session de Janvier 2019

LHD035EM / LHD055EM : Emotions

Durée de l’épreuve : 1h30 Sujet de Mme Bensalah, Mme Gobin et Mr Voisin

Le sujet comporte 1 page. En cas de problème, le signaler aux surveillants.

Documents / matériels : aucun.

Le candidat traitera obligatoirement les 6 questions ci-dessous. Les questions devront être traitées sur 3 copies différentes (une pour chaque enseignant).

Questions de Mme Bensalah

1) Citer 3 émotions impliquant le regard d’autrui et les définir 2) Qu’est-ce que la référenciation sociale ?

3) Donner 2 exemples de troubles extériorisés

Questions de Mme Gobin

1) Quelle est la position de Zajonc sur la primauté entre émotion et cognition ? Sur quel(s) fait(s) expérimental(aux) se base-t-il pour proposer son hypothèse ? (Décrivez ces faits/résultats et expliquez en quoi ils appuient la position de Zajonc.)

2) En se basant sur l’expérience de Quas et al. (2016), des chercheurs ont présenté 20 listes de mots liés à un mot cible critique (leurre), qui n’était pas présenté, à des enfants de 9 ans. Les mots appartenant à une liste étaient soit positifs, soit négatifs, soit neutres. Après la présentation de chaque liste, les enfants devaient rappeler tous les mots dont ils se souvenaient. Les chercheurs relèvent pour chaque rappel le nombre de mots correctement rappelés et si le mot cible critique était rappelé.

Quel paradigme est utilisé ? A quels résultats peut-on s’attendre ? Comment pourra-t-on expliquer ces résultats ?

Question de Mr Voisin

Pourquoi les personnes ressentent-elles des émotions ?

(25)

UNIVERSITÉ DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE UFRLETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie Licence 2 et 3 Session de Janvier 2019

LHD035PS / LHD055PS:

Option - Psychologie sociale appliquée

Durée de l’épreuve : 1h30 Sujet de M. Régis Lefeuvre & Sylvain Caruana

Le sujet comporte 1 page(s). En cas de problème, le signaler aux surveillants.

Documents / matériels : néant

CONSIGNE

Vous devez traiter deux sujets sur les trois qui vous sont proposées.

Ce choix vous appartient, il ne détermine aucunement votre correcteur.

Lisez et analysez les questions avant de répondre. Que vos réponses soient précises, concises, dénuées d’implicite, et argumentées en faisant appel aux théories, modèles et/ou recherches présentés dans le cadre du cours de psychologie sociale appliquée uniquement.

Ne pas dépasser les 6 pages pour l’ensemble.

SUJET 1

Une entreprise d’environ 200 salariés (ouvriers, contremaîtres, et managers) demande l’intervention d’un psychologue dans le cadre d’une démarche d’augmentation de la qualité du management. L’entreprise étant en place depuis longtemps, la direction constate que chacun des managers utilise ses propres techniques selon sa formation et son expérience. Elle souhaite que les managers utilisent davantage d’outils de management (indicateurs chiffrés de performance, tableaux de bord pour le suivi d’activité, management participatif) afin de moderniser les pratiques et de réduire les différences de traitement des salariés en fonction des équipes. Toutefois, l’entreprise craint que les managers ne soient réticents à ces nouvelles pratiques étant donné leur ancienneté dans l’entreprise.

Comment le psychologue peut-il s’y prendre pour intervenir, puis mesurer les bénéfices de son intervention ? SUJET 2

Explicitez précisément les différents problèmes que permet de circonscrire la psychologie scientifique sur les aspects suivants du témoignage oculaire : l’interrogatoire de police et la parade d’identification. Vous présenterez également, pour chaque aspect, une solution qui a pu être testée pour résoudre certains de ces problèmes.

SUJET 3

Définissez précisément la notion de ressources autorégulatrices (ou self-control) : de quoi s’agit-il ? Quand ces ressources ont été entamées, comment est-il possible de les restaurer ? Ensuite, avec toute la précision requise, vous présenterez, sur la base d’une série de recherches (Fischer, Greitemeyer & Frey, 2007), l’impact que peut avoir un épuisement de ces ressources en matière de biais cognitifs. Vous conclurez en quoi préserver ces ressources est utile en matière de bien-être psychologique.

(26)

UNIVERSITÉ DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE UFRLETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie Licence 2 et 3 et Master 1 PSTO Session de décembre 2018/Janvier 2019

LHD035VI / LHD055VI : Vieillissement

Durée de l’épreuve : 1h30 Sujet de M. Stefaniak & Mme Henry

Le sujet comporte 2 pages en recto-verso. En cas de problème, le signaler aux surveillants.

Documents / matériels : aucun

Le candidat traitera le sujet suivant :

1) Définissez l’agisme, citez les personnes les plus susceptibles d’y être sensibles, décrivez 3 conséquences de l’agisme.

2) Expliquez la théorie du regulatory fit.

3) La figure ci-dessous est issue de l’étude de Ng. Expliquez ces résultats.

(27)

4) La figure ci-dessous est issue d’une méta-analyse visant à tester l’efficacité de la mémantine.

Interprétez les résultats de ce graphique

5) Expliquez ce qu’est le mNCD. Citez deux arguments en faveur de ce concept et citez deux contre-arguments.

(28)

UNIVERSITÉ DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE UFRLETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie Licence 2 Session de mai 2019

LHD041IN : Intelligence

Durée de l’épreuve : 2 heures Sujet de Mme OLIVIER

Le sujet comporte 4 pages. En cas de problème, le signaler aux surveillants.

Documents / matériels : Aucun

Le sujet comporte 25 questions à réponses multiples. Pour chacune de ces questions, cinq propositions sont faites dont une à quatre sont vraies. Vous devez cocher, sur la feuille de réponse prévue à cet effet, les réponses qui vous paraissent vraies.

ATTENTION : si vous cochez une réponse vraie, cela donne des points, si vous cochez une réponse fausse, cela enlève des points.

Q1/ À la fin du 19ème siècle, on peut dire : a) La psychologie est déjà internationale.

b) Les différences individuelles sont étudiées dans tous les pays.

c) Seule l’Allemagne s’intéresse aux différences individuelles.

d) Les différences individuelles sont particulièrement étudiées en Angleterre.

e) Les psychologues français s’inspirent de Darwin.

Q2/ À la fin du 19ème siècle en Allemagne, on peut dire : a) Le chef de file est Wundt.

b) La variabilité individuelle est considérée comme une source d’erreur aléatoire.

c) On étudie beaucoup les temps de réaction.

d) On s’intéresse aux processus mentaux complexes.

e) On cherche à établir les lois générales du fonctionnement humain.

Q3/ Les principales contributions de Binet sont les suivantes : a) Il a créé le premier test d’intelligence pour adulte.

b) Il a créé un outil qui a eu beaucoup de succès aux États-Unis.

c) Il a travaillé en collaboration avec le docteur Simon.

d) Il a créé l’échelle métrique d’intelligence.

e) Il a compris qu’il fallait étudier les processus supérieurs.

Q4/ Le calcul du QI à partir de l’EMI et de ses dérivés : a) A une moyenne de 100 à tous les âges.

b) A un écart-type de 10 à tous les âges.

c) Est stable dans le temps pour un individu donné.

d) Signifie la même chose à tous les âges.

e) Permet de mettre en évidence une avance ou un retard de développement.

Q5/ On peut dire d’une corrélation de Bravais-Pearson : a) Son interprétation dépend de la nature des variables.

b) Elle permet d’estimer le lien entre deux variables catégorielles.

c) Elle permet d’estimer la sensibilité d’un test.

d) Sa force dépend du sens du nuage de points.

(29)

Q6/ On peut dire d’une corrélation dont le coefficient est de .80 : a) Elle est toujours très forte.

b) Elle est plus forte qu’une corrélation de -.90.

c) Elle est quatre fois plus importante qu’une corrélation de .40.

d) Elle est deux fois plus importante qu’une corrélation de .40.

e) Elle correspond à 80% de variance commune.

Q7/ Un test est bien standardisé quand :

a) Chaque sujet le passe au même moment de la journée.

b) Le matériel utilisé est le même pour tous les sujets.

c) La passation est identique quel que soit l’âge du sujet.

d) Le psychologue adapte la cotation au sujet.

e) Des sujets de niveaux différents obtiennent des scores différents.

Q8/ S’agissant des qualités psychométriques des tests, on peut dire : a) Un test bien standardisé est forcément sensible.

b) Un test sensible est forcément fidèle.

c) Un test fidèle est forcément valide.

d) Un test valide est forcément sensible.

e) Un test ne peut être sensible que s’il est fidèle.

Q9/ Un test est sensible quand :

a) Le mode est strictement égal à la moyenne et à la médiane.

b) Il n’est pas trop difficile.

c) Il n’est pas trop facile.

d) L’écart-type est égal à la variance.

e) Les sujets ont les mêmes scores à deux passations successives.

Q10/ Un test est fidèle quand :

a) Il mesure de façon stable dans le temps.

b) Il permet de mettre en évidence des différences individuelles.

c) Il mesure une bonne part de hasard.

d) Son étayage théorique est solide.

e) Il ne trahit pas son créateur.

Q11/ La fidélité peut être : a) Paire.

b) Impaire.

c) Inter-juges.

d) Test-retest.

e) De contenu.

Q12/ Un test est valide quand : a) Il est sensible et fidèle.

b) Il est comparable à d’autres tests mesurant la même chose.

c) Il prédit un comportement cohérent avec ce qu’il mesure.

d) Il est basé sur une théorie nouvelle.

e) Les résultats obtenus confirment l’hypothèse sur laquelle il est basé.

Q13/ La validité peut être : a) De contenu.

b) De contenant.

c) Convexe.

d) Concave.

e) Convergente.

(30)

Q14 à Q20/ Supposons que la WAIS-V sorte et qu’une partie des résultats soient les suivants :

Sujet Sim V Voca V Sim IV Sujet Sim V Voca V Sim IV Sujet Sim V Voca V Sim IV

1 10 16 10 11 10 12 9 21 12 18 13

2 16 29 15 12 10 16 8 22 11 14 12

3 3 10 2 13 12 19 9 23 11 15 11

4 13 8 14 14 9 13 9 24 7 10 6

5 9 14 8 15 11 15 10 25 8 9 7

6 11 15 9 16 7 10 5 26 4 2 5

7 12 17 11 17 8 5 6 27 3 6 4

8 1 3 1 18 18 27 16 28 2 7 3

9 9 8 8 19 19 25 14 29 13 16 12

10 6 1 7 20 14 20 13 30 14 10 10

Sim V = Similitudes WAIS-V moyenne = 9,8 écart-type = 4,4 Voca V = Vocabulaire WAIS-V moyenne = 13,0 écart-type = 6,9 Sim IV = Similitudes WAIS-IV moyenne = 8,9 écart-type = 3,9

Q14/ S’agissant des résultats à Similitudes de la WAIS-V, on peut dire : a) Le mode est supérieur à la médiane.

b) Le mode est supérieur à la moyenne.

c) Le mode est égal à la médiane.

d) L’étendue est importante.

e) Le subtest est sensible.

Q15/ S’agissant des résultats à Vocabulaire de la WAIS-V, on peut dire : a) Le mode est supérieur à la médiane.

b) Le mode est supérieur à la moyenne.

c) Le mode est égal à la médiane.

d) L’étendue est importante.

e) Le subtest est sensible.

Q16/ S’agissant de la comparaison des résultats à Similitudes entre la WAIS-IV et la WAIS-V, on peut dire : a) La nouvelle version est plus difficile que l’ancienne.

b) La nouvelle version est plus sensible que l’ancienne.

c) Les deux versions mesurent sensiblement la même chose.

d) Le mode de la nouvelle version est plus élevé que celui de l’ancienne.

e) La médiane de l’ancienne version est supérieure à celle de la nouvelle.

Q17/ S’agissant de la corrélation entre les subtests Similitudes et Vocabulaire de la WAIS-V, on peut dire : a) Le nuage de points est descendant.

b) Le nuage de points est ascendant.

c) Le nuage de points est fin.

d) Le coefficient est proche de .80.

e) Le coefficient est proche de zéro.

Q18/ S’agissant de la corrélation entre les subtests Similitudes et Vocabulaire de la WAIS-V, on peut dire : a) Elle montre que Similitudes est sensible.

b) Elle montre la fidélité de Similitudes.

c) Elle montre que Vocabulaire est sensible.

d) Elle montre la validité externe de Vocabulaire e) Elle montre la validité interne de Similitudes.

Q19/ S’agissant de la corrélation entre les subtests Similitudes des WAIS IV et V, on peut dire : a) Le nuage de points est épais.

b) Elle montre la validité de Similitudes.

c) La corrélation est proche de zéro.

d) Elle montre la fidélité de Similitudes.

e) Le nuage de points est descendant.

(31)

Q20/ Après avoir procédé à un étalonnage rectangulaire en cinq classes sur les résultats de Similitudes de la WAIS-V, on peut dire :

a) Les sujets 5 et 17 sont dans la même classe.

b) Les sujets 10 et 16 sont dans la même classe.

c) Le sujet 30 est dans la classe la plus élevée.

d) Le sujet 3 est meilleur que 20% de la population.

e) Le sujet 17 est moins bon que 60% de la population.

Q21/ Le QI dit « de Wechsler » :

a) Est une extension aux adultes du QI Stern.

b) N’est pas un quotient.

c) Est comparable à tous les âges de la vie.

d) Est décomposable en différents indices.

e) Suit la loi normale.

Q22/ Dans la 4ème version de la WAIS, on trouve :

a) Arithmétique est l’un des subtests permettant le calcul de l’IMT.

b) Cubes est l’un des subtests permettant le calcul de l’IVT.

c) Barrage est l’un des subtests permettant le calcul de l’IRP.

d) Séquence lettres-chiffres est l’un des subtests permettant le calcul de l’ICV.

e) Information est l’un des subtests permettant le calcul de l’ICV.

Q23/ S’agissant des indices de la WISC-V, on peut dire : a) Ils sont au nombre de 10.

b) L’ICC est l’indice de contrôle continu.

c) L’IRQ est l’indice de raisonnement qualitatif.

d) L’IRP n’existe plus.

e) L’INV est l’indice numérique verbal.

Q24/ Dans la seconde version du K-ABC, on peut noter les éléments suivants : a) L’échelle Simultanée correspond au raisonnement fluide.

b) L’échelle des apprentissages est très originale.

c) L’IPM est comparable à un QI.

d) Les échelles sont les mêmes à tous les âges.

e) L’échelle des connaissances est toujours prise en compte.

Q25/ Si l’on compare les processus cognitifs engagés dans les différents subtests de la WISC-V et du K-ABC-II, on peut dire :

a) Cubes est proche de Dénombrement de cubes.

b) Code est proche de Apprentissage de codes.

c) Vocabulaire est proche de Suite de mots.

d) Mémoire des chiffres est proche de Mémoire associative.

e) Mémoire des images est proche de Reconnaissance de formes.

(32)

UNIVERSITÉ DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE UFRLETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie Licence 2 Session de Mai 2019

LHD041IN : Intelligence

Durée de l’épreuve : 2 heures Sujet de Mme Olivier

FEUILLE DE RÉPONSE

Cochez toutes les cases pour lesquelles vous pensez que la proposition est vraie.

Question a b c d e

Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Q8 Q9 Q10 Q11 Q12 Q13 Q14 Q15 Q16 Q17 Q18 Q19 Q20 Q21 Q22 Q23 Q24 Q25

(33)

UNIVERSITÉ DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE UFRLETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie Licence 2

Session de mai 2019

LHD042IS : Influence sociale

Durée de l’épreuve : 2 heures Sujet de Dimitri Voisin

Le sujet comporte 1 page. En cas de problème, le signaler aux surveillants.

Documents / matériels : néant

Le candidat devra traiter les quatre questions.

Si la théorie n’est pas précisée dans la question, il est nécessaire de l’expliciter. Par ailleurs, l’argumentation doit reposer sur des idées avancées par des auteurs et les citer. Enfin, les concepts théoriques doivent être définis. Il est attendu que chaque réponse soit

justifiée.Chaque question est notée sur cinq points.

1) Dans le champ de l’influence sociale, qu’est-ce que la polarisation ?

2) Comment faire pour qu’un individu résiste à l’influence d’un groupe majoritaire ? 3) Dans quel but les personnes respectent les normes sociales ?

4) Décrivez la méthodologie, les résultats obtenus et l’explication théorique de l’article de Moscovici, E. Lage, M. Naffrechoux (1969) intitulé « Influence of a Consistent Minority on the Responses of a Majority in a Color Perception Task »

(34)

UNIVERSITÉ DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE UFRLETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie Licence 2 Session de mai 2019

LHD043DE : Le développement de l’enfant de 0 à 6 ans

Durée de l’épreuve : 2 heures Sujet de Mme Declercq

Le sujet comporte 1 page. En cas de problème, le signaler aux surveillants.

Documents / matériels : néant

Le candidat traitera le sujet suivant :

Question 1 :

En quoi la reconnaissance des visages et la perception de la parole suivent-elles une trajectoire développementale similaire ?

Question 2 :

Qu’est-ce que le développement conceptuel ? Comment Nelson et Mandler conçoivent-elles le développement conceptuel ?

(35)

UNIVERSITÉ DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE UFRLETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie : L2 Psychologie Session de mai 2019

LHD044EA : Psychopathologie de l'enfant et de l'adolescent

Durée de l’épreuve : 2 heure(s) Sujet de Mme HENRY

Le sujet comporte 2 page(s). En cas de problème, le signaler aux surveillants.

Documents / matériels : néant

Le candidat traitera le sujet suivant :

André, âgé de 8 ans, vient en consultation accompagné par sa mère car, depuis quelques mois, il vit dans la crainte de la saleté et se lave sans arrêt. Il est fils unique, son enfance s’est déroulée sans incident ni évènement particulier.

C’était un enfant facile jusqu’à un an ; par la suite, il est devenu très instable et bruyant. Actuellement, son opposition se manifeste d’une façon surtout passive : il traîne pour aller à l’école, pour faire ce qu’on lui demande, mais il réagit par des colères aux frustrations.

A l’école, il fait de bonnes acquisitions mais il est très souvent puni à cause de son instabilité. Il est en rivalité et souvent en conflit avec les autres enfants. Il a été envahi progressivement par une préoccupation constante concernant l’état de ses mains, qu’il trouve toujours sales, et il passe un temps considérable, dans tous les lieux où il se trouve, à se les laver. Au moment du coucher, pour faire sa toilette, il reste très longtemps sous la douche et utilise une grande quantité de savon. Il exprime une crainte des microbes et redoute le contact de certaines personnes.

Par ailleurs, des rituels s’installent progressivement : le matin, avant de partir, il doit placer certains objets dans sa chambre d’une façon particulière, il doit suivre certains trajets avant de franchir la porte ainsi que sur le chemin de l’école.

Le soir, ses parents doivent lui dire plusieurs fois bonsoir, toujours dans les mêmes termes. Il est, d’une manière excessive, préoccupé du rangement de ses affaires, mais ses parents signalent qu’il est parfois extrêmement désordonné.

André exprime ses craintes de ne jamais guérir. Il est malheureux d’avoir ces « manies ». Il redoute que son entourage s’en rende compte et qu’il devienne l’objet de moqueries ; il vient volontiers en consultation. Il dessine plus facilement qu’il ne parle. Ses dessins sont tour à tour contrôlés et conventionnels, ou imaginatifs avec de multiples figurations d’attaques et de pièges. Il utilise aussi des figurines pour représenter des scènes de bagarres.

Quand la violence est très grande, il tente d’en annuler les conséquences en déclarant que la victime est saine et

(36)

sauve. Il semble vivre dans un monde menaçant, d’une part à cause des contaminations par les microbes qui le préoccupent sans cesse, et d’autre part du fait des pulsions agressives qui l’envahissent quand il éprouve de la jalousie, de l’envie ou des frustrations. Cette agressivité entraîne des craintes de représailles et conduit à l’accroissement de ses compulsions et à de multiples rituels.

Questions à traiter par les étudiants de psychologie :

Question 1 : Relevez les éléments sémiologiques présentés par André ? À partir de ces signes, quel diagnostic psychopathologique peut-on proposer ? Votre réponse doit être argumentée.

Question 2 : Quelle trajectoire développementale constitue habituellement ce trouble ?

Question à traiter par les étudiants de Droit uniquement : Quels sont les critères diagnostiques du TDA/H selon le DSM-5 et quelle est sa trajectoire développementale habituellement ?

(37)

UNIVERSITÉ DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE

UFRLETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie Licence 2 Session de MAI 2019

LHD045AD : Addictions

Durée de l’épreuve : 1h30 heure Sujet de Mr Y. Clément et de Mme E.GREBOT

Le sujet comporte 1 page. En cas de problème, le signaler aux surveillants.

Documents / matériels : néant

L’étudiant doit composer sur 2 copies différentes

Ecrivez lisiblement et sautez une ligne entre chacune de vos phrases

Sujet de Monsieur CLEMENT : Quels facteurs de vulnérabilité biologiques sont susceptibles d’augmenter le risque individuel à développer :

1) une addiction au tabac et,

2) une addiction à l’alcool ?

SUJET Mme GREBOT : L’étudiant répond à une question au choix

Question 1 : Exposez le dispositif thérapeutique lors d’une prise en charge thérapeutique d’orientation systémique d’une famille où un ou deux enfants présente (nt) une conduite addictive et explicitez les notions théoriques à l’œuvre dans cette approche thérapeutique.

Question 2 : Lors d’une thérapie comportementale et cognitive, le thérapeute utilise la technique d’exposition et la méthode de restructuration cognitive ciblant les croyances addictives décrites par Beck. Décrivez ces croyances et ces techniques en les illustrant à l’aide d’un cas clinique étudié en cours.

(38)

1 UNIVERSITÉ

DE REIMS

CHAMPAGNE-ARDENNE

UFR LETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Département de Psychologie L2 Session de mai 2019

LHD045OI : De l'opérationnalisation à l'interprétation des données, vol. 2

Régis Lefeuvre Durée de l’épreuve : 1 heure

Le sujet comporte 2 pages. En cas de problème, le signaler aux surveillants.

Documents / matériels autorisés : néant.

L’examen est noté sur 20 points.

Analysez les questions, puis construisez vos réponses au regard de l’énoncé. Votre objectif est de faire preuve de pertinence, de clarté, de précision et de concision.

Questions de cours.

1. Définissez les différentes étapes à suivre dans la construction d’un outil de mesure, qu’il s’agisse d’un test, d’une grille d’observation ou d’un questionnaire. (20 lignes maximum)

2. Nommez et explicitez un biais majeur que l’on encourt dans le cadre des entretiens, notamment cliniques et pourquoi. (10 lignes maximum)

3. Explicitez en quoi, dans le cadre d’un questionnaire, il est important de choisir le bon cadrage temporel dans la formulation d’une question portant sur la fréquence d’un comportement passé (ex : nombre d’échanges conflictuels avec ses parents). (10 lignes maximum)

4. Explicitez au moins deux manières dont on peut biaiser un questionnaire en créant implicitement des normes quant aux réponses attendus. (10 lignes maximum)

Exercice

Objectif et cadre général. On souhaite comparer la qualité des interactions, au sein de familles monoparentales, entre des adolescents (13-15 ans) et leur mère autour d’une des activités suivantes : (a) planifier des vacances en famille pour un budget contraint, (b) résoudre un casse-tête difficile, (c) trouver une solution à propos d’un sujet de discorde. Ces activités diffèrent quant à la nature et à l’intensité des conflits qu’elles peuvent potentiellement générer. Trois groupes de 11 dyades mère-enfant sont constitués, un par activité. L’activité doit durer entre 5 et 10 minutes.

Hypothèse. La littérature ne permet pas de formuler d’hypothèse forte. On s’attend toutefois à des patterns de comportements différents selon l’activité et la nature de la relation mère-adolescent.

Procédure. Un enquêteur se rend au domicile des participants. Après signature d’un formulaire de consentement éclairé, les mères s’entretiennent en privé avec l’enquêteur pendant 10 minutes. Lors de cet entretien, la mère doit décrire la nature de ses relations avec son fils ou sa fille. L’enquêteur comptabilise les expressions positives et négatives et calcule un ratio entre les deux.

(39)

2 La phase d’observation a lieu dans un second temps. Après avoir expliqué la tâche, l’enquêteur déclenche l’enregistrement vidéo et quitte la salle. Les interactions entre l’adolescent et sa mère sont ensuite codées par l’enquêteur à l'aide d'une grille construite pour les besoins de l’étude comprenant 22 indicateurs issus d’une séance de brainstorming. Pour chaque indicateur, l’enquêteur doit évaluer le comportement général des adolescents sur une échelle en 5 points. Une analyse factorielle permet d’identifier, sans ambiguïté, une structure en 3 facteurs : implication/apathie (4 indicateurs), complicité/colère (5 indicateurs), respect/cynisme (3 indicateurs). En revanche, 10 indicateurs n’ont pu être exploités faute d’être clairement associé à un facteur.

Tableau 1 : comportement des adolescents selon l’activité et la nature de la relation avec sa mère Relation dégradée Relation neutre Relation positive

Activité (a) Apathie Cynisme

Implication Implication Complicité

Activité (b) Colère - Implication

Respect

Activité (c) Cynisme - Respect

Note. Pour simplifier, seuls les comportements dominants sont rapportés ici (sans les données chiffrées) A noter une grande variation dans la durée des interactions selon les activités et les dyades. Par exemple, pour l’activité (a) certaines interactions n’ont pas duré plus de 2 minutes, tandis que pour la (c) certaines auraient duré plus 10 minutes si l’enquêteur avait laisser la discussion se poursuivre.

Questions

1a. Pour vous sur quel type de méthode repose cette étude ? Descriptive, corrélationnelle ou expérimentale ? Justifiez votre réponse en une ou deux phrase(s).

1b. Qualifiez précisément le type de technique d’observation mise en place ici. Justifiez votre réponse en une ou deux phrase(s).

2. Au regard de l’objectif des chercheurs, que pensez-vous du fait de recourir ici à l’observation plutôt qu’à des questionnaires renseignés par les adolescents, d’une part, et les mères, d’autre part ? Justifiez votre réponse. (10 lignes maximum)

3a. Nous avons souligné un point de la procédure. Commentez-le brièvement : aurait-il fallu procéder autrement ? Justifiez votre réponse en une ou deux phrase(s).

3b. Critiquez la manière dont est réalisée la phase d’observation (15 lignes maximum).

4. Sans être redondant avec des aspects abordés précédemment, explicitez quels sont, pour vous, les trois principaux points faibles de cette étude (20 lignes maximum) ?

5. Outre le sexe de l’adolescent et la situation professionnelle de la mère, indiquez deux variables qu’il faudrait contrôler au niveau de l’échantillon et/ou de la situation. Justifiez vos réponses en une phrase.

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