EFFICACITÉ DE QUELQUES PROTIDES
ALIMENTAIRES CHEZ LE PORC
III. —
ÉVOLUTION
DE L’EXCRÉTION AZOTÉE URINAIREDURANT LA PHASE DE
RÉALIMENTATION,
APRÈS UNJEÛNE PROTÉIQUE J.
DELORT-LAVAL Geneviève CHARLET-LERY, K. DOGANMichèle FISZLEWICZ A. ROUSTAN Laboratoire de Recherches sur la Conservation et
l’Efficacité
desAliments,
1
6, rue
Claude-Bernard,
Paris 5eSOMMAIRE
La détermination de la valeur
biologique
desprotéines
d’un aliment nécessite une estimation desdépenses endogènes
en inanition azotée. Mais l’influence dujeûne protéique
sur les bilans azotés ultérieurs est peu connue chez le Porc.L’étude
entreprise
pour élucider ceproblème
porte sur 3 porcs d’environ 40kg,
soumis avantet
après
yjours
d’alimentation ternaire( 0 , 47
à 0,54gd’azote/kg
matièresèche),
à unrégime
azotéapportant 100g de m. a. d. (farine de
harengs)
à l’u. f. et distribué en fonction dupoids
croissantet de
l’appétit
des animaux. Elle apermis
de mettre en évidence que :- le rapport N
urinaire/N ingéré
nerejoint
que vers le i8ejour
la courbecaractéristique
del’évolution de ce rapport en fonction du
poids
de l’animal ;- l’excrétion d’azote
uréique
et ammoniacal rapportée à l’azoteingéré
augmenterapidement
au début de la réalimentation azotée et ne se stabilise qu’au bout d’environ 20
jours.
La durée de la
période
de réalimentation azotéeaprès
lejeûne protéique
ne doit donc pas être inférieure à 20jours,
pourqu’il
soitpossible
d’établir un bilan azoté sur un animal en état nutritionnel normal.La
longueur
de cette « périoded’ajustement
n rend souhaitable lerejet
dujeûne protéique
à la fin d’une
expérience
de mesure de valeurbiologique
chez le porc.- -.-
INTRODUCTION
La mesure de la valeur
biologique
d’uneprotéine
par la méthode de THOMAS- MITCHELL(MiTCa!r,!&dquo; 1923 - 1924 ) exige
l’établissement de bilanscomplets
d’azotesur des animaux en état de
réplétion
et d’inanitionprotéique.
Mais laposition
relative de ces
périodes
de mesure successives dans un schémaexpérimental
n’estpas indifférente.
Dans l’inanition
protéique,
l’évolution de l’excrétion d’azotepeut
en fait êtrerépartie
en 2phases
bien distinctes :- -
l’une,
de décroissancerapide correspondant
à la transition entre lerégime
azoté normal et le
régime protéiprive ;
-
l’autre,
de diminution àpeine
sensible et delongue durée,
que MOUROT( 1935
) appelle « période
d’état n.La
phase
de décroissancerapide
varie selon lesespèces :
10 à 12jours
chez lemouton recevant un
régime
pauvre en azote(M ILLER
etM ORRI S ON , 1942 ),
3jours
chez le rat
(C HICK
etal., i935)!
7jours
chez le porc(Z!r,T!a
etCHaRr,!T-L!xy, ig6i),
et en fonction durégime (C OLOMBUS , 1950 ).
Le fait de ne pas atteindre unplateau
constant d’excrétionendogène
avant 20jours (S MU T S , 1935 ) n’empêche
pas d’obtenir des valeurs
comparables
d’uneexpérience
àl’autre,
mêmeaprès
uneinanition
protéique
de moinslongue
durée(MiTCH!!,!,
etal., 193 6).
Il est doncpossible
chez le porc d’effectuer une mesure correcte desdépenses endogènes
àpartir
du 8e
jour
derégime
sans azote.La
phase
de réalimentation azotéequi
succède à cejeûne
se caractérise par unereprise rapide
dupoids
et de la croissance des structuresprotéiques (MonGAARD, I955
)
et par un taux très élevé d’utilisation desprotéines
durégime ;
mais onignore
la durée de cet anabolisme intense.
Au cours d’une
expérience
de réalimentation azotéeaprès
unjeûne protéique
chez le mouton, MILLERet MORRISON
(i 9 q.2)
ont établi une série de bilans parpériodes
successives de 9
jours ;
ils constatent entre les rétentions azotées despériodes
I,II et
III,
des différencessignificatives ;
par contre, les résultats sontpratiquement
similaires pour les
périodes
III et IV. Il est ainsipossible
de mettre enévidence,
chez le mouton, la nécessité d’unepériode
de réalimentation azotée d’environ 20jours après
unjeûne protéique,
avant depouvoir
effectuer une mesure de rétention azotée dans des conditions normales.Nous avons
entrepris
des étudesanalogues
en vue depréciser
lesconséquences
de la réalimentation azotée
après
unjeûne protéique
chez le porc.MATÉRIEL
ETMÉTHODES
A)
AnimauxLes observations sont effectuées sur 3 porcs mâles castrés, de race
Large
White provenant d’une mêmeportée. Ils pèsent respectivement
4r,9-4r,o -40,4kg
àl’âge
dei 28 jours après
1jours
de
jeûne protéique
et sontplacés
en cages à métabolisme individuelles.B) Régime
alimentaireLe
jeûne protéique
est obtenu par la consommation d’un aliment ternaire dont la teneuren azote est
comprise
entre o,ç7 g et o,5q g parkg
de matière sèche et dont lacomposi-
tion
( 1 )
estlégèrement
différente de la formuleindiquée
dans un mémoire antérieur (ZELTER et CHARLET-LERY, 1961).En
réplétion
azotée, cet aliment estcomplété
par de la farine dehareng
deNorvège,
defaçon
à atteindre un taux moyen de 20,6 g N par
kg
de matière sèche, soit environ 100g de matières azotéesdigestibles
par unitéfourragère.
Les repas sont distribués deux fois par
jour,
àl’exception
de ceux du dimanche soir, les 2e, 9eet 16e
jour
de lapériode
de réalianentation azotée,qui
sontrespectivement
le 2ejour
de lapériode
A 1 et les
premiers jours
despériodes
A III et A V(tabl. I ).
Les refus, leplus
souventinsignifiants,
sont
pesés après chaque
repas. Le niveaud’ingestion
de matière sèche estréajusté
les 2e, Ioe et I8
e
jour
de laphase
de réalimentation azotée, en fonction dupoids
et del’appétit
desanimaux,
ce
qui
entraîne unerépartition
de cettephase
enpériodes
de durée variable(tabl.
1 et 3).C) Schéma
expérimental
L’expérience
s’est déroulée selon le schéma décrit dans le tableau i.D) Techniques
de collecte et analysesLes
appareils
utilisés au laboratoire pour la collecte séparée des excreta(Z ELTER
et CHARLET- I,E x y
, 1961) sont mal tolérés par l’animal
pendant
despériodes
tropprolongées.
Mais les cages où sontplacés
les animaux permettent, durant les 20jours
de laphase
de réalimentation azotée(A I
à Av), une récolte très correcte de l’urine, dans des
récipients
contenant de l’acidesulfurique,
pour éviter toutdégagement
d’ammoniac. Les fèces ne sont pas recueillis durant cettephase.
( 1
) Par kg : amijel : 500g ; cérélose : z5o g ; poudre de papier-filtre : 100g ; sucre de betterave : 40g huile de maïs : 30g ; mélange minéral : 80 g. (Composition centésimale : CaPO9H, 21120 : 55 ; CaCO! : 20 ;
NaCI : !,5 ; MgC03 : 7,5 ; Mg SO! : 6,0; K!CO! : r,8 ; Fe SO!, 7H20 : i,5 ; KI : 0,47 ; > CUSO!, 5H20 : 0,17 ; CO (NO,)2, 6HZ0 : 0,03 ; MnS04 : 0,03.)
Vitamines : par jour, g 40o UI vit. A et 90o UI vit. D2par kg de matière sèche ingérée : thiamine : 3,3 mg ; riboHavine : 3,3 mg ; ac. nicotinique : 11,0mg ; pantothénate de Ca : 17,7 mg ; pyridoxine : 5,5 mg ; inositol : 9
mg ; biotine : o,i 5 mg ; ac. fohque : 1 5 mg ; acide p. aminobenzoïque : 20mg ; chlorhydrate de choline : 500
mg; acide ascorbique : !3 mg.
Par contre, le port de ces
appareils
rendpossible
la collecteséparée
des fèces et de l’urine lors de l’établissement des bilanscomplets (R I ,
D, Rn, Rm, R1v).Les
analyses
sont effectuées tous les quatrejours
enpériodes
de bilans etchaque jour
durantla
phase
de réalimentation. Lesdosages
portent sur l’azote total des aliments, de l’urine et des fèces frais par la méthode de KJELnAfiL( 1 ),
sur l’azote ammoniacal de l’urine par microdiffusion à froid(C ONW A Y , 195 o)
et sur l’urée urinaire par la méthodecolorimétrique
de ScHxnnz?!z et AINES(1959).
RÉSULTATS
Les résultats moyens
périodiques
sontportés
dans le tableau 2. Lesanimaux,
d l&dquo; . ’d’ l, ..&dquo;
h (M.
S.i)
lont, durant toute
l’expérience,
un état deréplétion
en matière sèchee pO.70--
rela-tivement constant et
toujours
suffisant pour assurer une croissancerégulière.
L’excrétion urinaire d’azote
qui subit,
lors de lasuppression
desprotéines alimentaires,
une chutebrutale, augmente
trèsrapidement
et avecrégularité
dèsle début de la réalimentation azotée.
Comme
l’ingestion
desprotides
s’accroîtrégulièrement,
l’excrétion d’azote brut n’a pas designification physiologique ;
par contre, lerapport
Nurinaire/N ingéré permet
desuivre,
en fonction dutemps,
l’évolution de l’anabolismeprotidique
del’animal
(fig. i).
L’examen de cette courbe montre
qu’il
faut environ 20jours
pour que l’excré- tion urinaire d’azote de lapériode
de réalimentationrejoigne
le niveau atteint durant lesphases
deréplétion qui
l’encadrent.Cependant,
laquantité
totale d’azote de l’urine ne mesure quel’importance
globale
despertes
azotées del’organisme ;
larépartition
entre urée etammoniaque
(tabl. 3 ) fournit,
sur l’orientation du métabolismeazoté,
des indicationsplus précises.
Durant la
phase
de recouvrement du catabolismenormal,
l’uréeaugmente
très
rapidement
etparallèlement
à l’excrétion d’azotetotal ;
l’accroissement del’ammoniaque
estbeaucoup plus
lent. La somme des azotesuréique
et ammoniacalrapportée
à l’azote urinaire totalaugmente régulièrement
et tend à se stabiliserau-delà du
vingtième jour.
Cela confirme la constatationqui
découle de l’examen durapport
entre azoteingéré
et urinaire.DISCUSSION
L’évolution
de l’excrétion d’azote total de l’urine ou de certains de ses compo- sants(urée
etammoniaque)
met en évidence la nécessité d’unepériode
de réalimen-tation azotée d’environ 20
jours, après
unjeûne protéique
de duréeéquivalente,
pour rétablir le métabolisme normal de l’azote chez le Porc.
Mais si l’inanition
protéique
seprolonge beaucoup,
de gravesperturbations
nonréversibles sont à
craindre,
comme l’ont démontré ROCHE et al.( 193 8).
En
période
deréplétion
azotée(R,, R r
RIII’R,,)
il estpossible
d’établir les corré- lations entre les valeurs d’excrétion urinaire totale(NU.)
ou deN urinaire/N ingéré,
d’une
part,
et lepoids (P)
oul’âge
del’animal,
d’autrepart.
Lesplus
élevéesde ces corrélations relient entre elles NU. et P
(r
= 0,955 ; NU. = o,4q - io,o4P)
ou les
log
de ces 2 valeurs(r
= o,9c!3 ;log
NU. =1 ,6 3 log
P -i,6o).
L’existence de ces corrélations
s’expliquerait
par le fait que l’azote urinairedépend,
pour sa
part endogène,
de la taillemétabolique (P O . 70 ),
et, pour sapart exogène,
de la
quantité
deprotéines ingérées,
elle-même liée par l’intermédiaire de la matière sèche aupoids
vif de l’animal. C’est encore dans ce cas vers le IS-20ejour
queles courbes
expérimentales
d’excrétiond’azote,
dont l’allure estcomparable
àcelle de la
figure
i,rejoignent
les droites derégression
calculées ci-dessus.Nos observations sur le porc confirment donc les études de MILLER et MOR- Risorr
(1 94 2)
chez le mouton.Par contre, ARMSTRONG et MITCHELL
( 1955 ),
par uneanalyse quotidienne
del’azote
urinaire,
fixent le début de lapériode
de mesure de la valeurbiologique
au13
e jours après
la fin de l’inanitionprotéique, lorsque
les porcs sont maintenus àun niveau de matière sèche constant durant toute la
période.
Cetteméthodologie,
et
plus
encore celle de NEHRINGet LAUBE(ig6i),
ne sont pasexemptes
decritiques :
le maintien d’une
ingestion
de matière sèche constante durant delongues périodes
a pour
conséquence
une diminutionprogressive
de la couverture des besoinsd’énergie
de l’animal en croissance et
risquerait
d’entrainer une utilisation desprotéines
àdes fins
énergétiques
et un amoindrissement de l’efficacité de l’azoteingéré (M ILLER
et
P AYN E, ig6i).
Cette
hypothèse
est en accord avec les résultats deNj AA ( 1959 ) qui
constate,chez le rat, que la valeur
biologique
d’une farine dehareng
dans unrégime
deio p. 100 de
protéines
est liéepositivement
aux tauxd’ingestion
de matière sèche de cerégime.
Il nous semble donc
indispensable
de maintenir un état constant deréplétion
de matière sèche
(M.
S.i./ po . 70 )
à travers les différentespériodes expérimentales,
ce
qui rapproche
les conditions de la mesure de celle d’une alimentation normale.Cette nécessité a pour
conséquence l’allongement
de lapériode
de réalimentation azotée.Comme,
en outre, lalongueur
de cette «phase d’ajustement » peut
varieren fonction de la
qualité
desprotéines ingérées (K ON , zg28),
il est souhaitable derejeter
lejeûne
azoté à la fin des essais.Toutefois,
sil’expérience
esttrop longue, l’extrapolation
des données mesuréesen
régime protéiprive peut
devenir hasardeuse. Deplus,
àpartir
d’un certain taux deprotéines
dans laration,
la valeurbiologique
varie nettement en fonction del
’âg
e (B E I N , ig6i ;
HENRY andKorr, i957).
Pour toutes ces
raisons,
la mise aupoint
de schémasd’expérience
courts, com-prenant
2(ou 3 ) périodes
de bilans enréplétion
azotée suivies d’une mesure desdépenses endogènes
enrégime protéiprive, présenterait
desavantages
indiscutables pour laprécision
des mesures.Reçu
pourpublication
en mai 1963.SUMMARY
THE EFFICIENCY OF SOME ALIMENTARY PROTIDS IN THE PIG.
III - THE DEVELOPMENT OF NITROGENOUS EXCRETION IN URINE DURING THE REFEEDING PHASE AFTER PROTEIN STARVATION
Determination of the
biological
value ofdietary proteins requires
an estimation of the endo- genousnitrogen
lossesduring nitrogen
starvation. However the influence ofprotein
starvation on thesubsequent nitrogen
balance in thepig
is little known.The present
study
is set out to elucidate thisprobleme
in threepigs
eachweighing
about 4okg, subjected
both before and after 17days
of N-free diet( 0 . 47
to o.5q. gnitrogen
perkg
ofdry matter)
to a
regime
with 100g d. c. p.(herring meal)
per feed unit which wasgiven according
to theincreasing weight
andappetite
of thepigs.
Thefollowing
conclusions can be drawn :- The
urinary
N :ingested
N ratioapproaches
the curve characteristic of thechange of this
ratio with the animal’s
weight,
only towards the eighteenthday (fig. i).
- The excretion of urea and ammonia
nitrogen
increasesrapidly
after the cessation ofnitrogen
starvation andonly
becomes stable after some 20days (table
3).’1’he lenght
ofnitrogenous refeeding
afterprotein
starvation must not therefore be less than 20days
in order to determine the
nitrogen
balance of an animal in normal nutritional status.The
lenght
ofthis period
ofadjustement makes
desirable to put theperiod
ofprotein
star-vation at the end of an
experiment measuring
abiological
value in thepig.
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