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Le contrôle des ressources dans les stratégies de pouvoirs. Les ressources végétales : le cas du fourrage d'arbre dans les grottes bergeries.

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Évolution des structures e t dynamiques sociales

Le

contrôle

des

dans

les

stratégies

Les

ressources

végétales

:

l

dans les grottes bergeries

Stéphanie Thiébault (UMR ArScAn - Archéologie environnementale)

Les sociétés néolithiques é ta n t des sociétés de production, il a p p a ra ît que le contrôle des ressources dut être une pré o ccu p a tio n quotidienne. Il est c e p e n d a n t difficile, pour le moment, d e m ettre en évidence un tel c o n c e p t a v e c précision. C 'est à travers les changem ents dans l'attribution des m odes d 'o c c u p a tio n et du statut écono m iq u e des grottes e t abris qu e nous proposons l'exploitation ciblée d 'u n e ressource : le fourrage d 'a rb re qui entre dans la transformation d 'u n e autre ressource : le bétail.

Les vingt dernières années ont é té marquées par un renouvellem ent profond des conceptions sur les m odes d 'o c c u p a tio n des grottes et abris au Néolithique. Peu à peu, en effet, g râ ce au d é ve lo p p e m e n t des études naturalistes e t plus p a rticu liè re m e n t d e l'a rch é o zo o lo g ie , d e la sédim e n to lo g ie e t de l'arch é o b o ta n iq u e , le rôle prépond érant des activités agro-pastorales s'est imposé.

C 'est to u t d 'a b o rd dans la grotte d e Fontbrégoua que D. Helmer envisagea la présence durable de troupeaux en grotte p e n d a n t les Néolithiques ancien e t moyen. C 'est la surabondance des dents d e chutes de jeunes caprinés domestiques (moutons e t chèvres) qui tém oigne d e la présence de jeunes agneaux et do n c d e phases importantes de stabulation (Helmer 1984). Au m êm e mom ent, les travaux de J.-E. Brochier sur les sédiments m ontraient que cendres d e bois e t excréments d'herbivores domestiques sont les constituants essentiels, parfois uniques, des stratigraphies (Brochier 1996). À Baume d e Ronze, en Ardèche, A. Beeching s'éta it é tonné d e l'im po rta nce prise pa r les restes de coprolithes d'ovi-capridés (Beeching et Moulin 1983). À la m êm e époque, les travaux de D, G eddes dans le sud-ouest d e la France e t de P. Rowley-Conwy en Ligurie italienne dém ontraient l'existence d 'u n e gestion des troupeaux depuis le Néolithique. Ainsi, la transhumance de la plaine d e l'A u de vers les Pyrénées était-elle dém ontrée (G eddes 1983), to u t co m m e l'utilisation, com m e bergerie, d e la grotte des A rene-C andide en Ligurie (Rowley-Conwy 1992).

Ces m éthodes ont permis d e définir plusieurs cavités com m e des grottes-bergeries. Les périodes reconnues se situent, le plus souvent, du Néolithique ancien jusqu'à la fin d e l'â g e du Bronze bien que, dans certains cas, des exemples soient connus pour le Gallo-romain et le Moyen-Âge. En France, dans la zone m éditerranéenne, la pratique du p a rc a g e des animaux, dans les grottes et abris, é ta it encore courante au siècle dernier.

Ainsi, la majeure partie des cavités archéologiques du Midi d e la France propose dès le Néolithique ancien, des traces d e fumiers d 'o vicapridés ; certaines en ont livré plusieurs mètres d e hauteur.

C e sont ces mêmes cavités qui, riches en charbons de bois provenant du com bustible, ont fourni la m atière pour la réalisation d e nombreux diagram m es anthracologiques. Ces diagram m es servent, pour la plupart, d e socle à la validation de la discipline (Heinz e t Thiébault 1998) e t je tte n t les bases d e l'évolution des dynam iques végétales (anthracozones), sous contraintes climatiques ou anthropiques, pour le Sud de la France (Vernet et Thiébault 1987). C ependant, ces analyses anthracologiques fo n t parfois état, dans l'interprétation ou la discussion, d e singularités dans la dynam ique paléoécologique. Ces « anomalies » sont interprétées com m e provenant d e la sélection d 'u n e espèce par l'Homme, a m e n a n t sa sur-représentation

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Stéphanie Thiébault

dans le spectre anthracologique. C ette sélection est liée à la nourriture des anim aux domestiques ; dans la quasi-totalité des cas où ces « anomalies » ont é té remarquées, des restes d e fumiers, attestant d e la stabulation d'anim aux, o n t été identifiés.

L 'a pport d e branches, branchettes e t ram eaux feuillés d'arbres ou d'arbustes variés, utilisés com m e co m p lé m e n t d e l'alim entation pour les animaux domestiques, est connu pour les tem ps historiques e t préhistoriques. Ce thèm e a fa it l'o b je t d 'u n colloque en 1995 : « Fodder : A rchaeological, Historical a n d

e thnog ra phic Studies » publié en 1998 (Charles, Halstead and Jones 1998). Il a p p a ra ît d o n c q u e les

« anomalies » évoquées proviendraient de l'apport, dans les bergeries néolithiques, d e branches coupées a v e c leurs feuilles qui auraient servi à la nourriture des animaux, essences sélectionnées et d o n t la présence révèle autre chose q u 'u n e évolution de l'environnement.

Ainsi, l'interprétation du diagram m e a n thracolo gique du gisement d e Coufin 2 (Isère) a va it mis en relation l'utilisation du frêne dans les niveaux présentant des restes d e bovidés a v e c l'alim entation du bétail en stabulation, alors que dans les niveaux livrant des ovicaprinés l'if d om inait (Thiébault 1988).

En Provence, l'interprétation des résultats anthracologiques des grottes d e Fontbrégoua (Var) e t du Vieux-Mounoï (Var) soulignait la coexistence d'associations végétales, pin d 'A le p et chênaie cadu cifo lié e principalem ent, en opposition d 'u n point de vue écologique, à différentes époques : au Néolithique ancien et surtout au Néolithique moyen à Fontbrégoua ; à partir du Néolithique m oyen e t p e n d a n t la to ta lité d e la séquence au Vieux-Mounoï (Thiébault 1997 e t 2001). En Ardèche, le site d e Baume d e Ronze à O rgnac participe à c e tte problém atique. Fouillé de 1977 à 1996 sous la direction d'A . Beeching, le gisement a livré une am ple stratigraphie qui s'étend sur to u t l'Holocène, d e l'Epipaléolithique jusqu'à l'â g e du Bronze ancien. Le diagram m e anthracolo gique propose une courbe très im portante d e chêne à feuillage c a d u c (Quercus f.c.) to u t au long de la séquence, du Néolithique ancien jusqu'au Bronze ancien alors que les témoins d e la dégra d a tio n anthropique d e la chênaie ca d ucifolié e sont présents depuis le Néolithique com m e l'ind iquent le buis et le chêne vert.

C 'est aussi dans c e tte perspective que sont interprétés les résultats des analyses d e 8 grottes bergeries des Préalpes (Thiébault 1999).

Que savons-nous plus précisément de la pratique du fourrage d ’arbre ?

La pratique du fourrage d'a rb re pour l'alim entation des anim aux est, aujourd'hui, attestée par de nombreux exemples. Le nourrissage hivernal ou estival, dans certains pays méditerranéens, par du fourrage d 'a rb re voire m êm e par des branches non feuillées, est une pratique encore utilisée. En archéologie, elle a été dém ontrée par les travaux d e P. Rasmussen sur le site Néolithique d'Egolzwill 3 en Suisse, où la conservation des restes végétaux est très bonne (Rasmussen 1993). Aujourd'hui, quelques études e t programmes sur la récolte du fourrage d e feuilles e t d e branches, associant ethnologue, ethnobotaniste et archéologue, se d é ve lo p p e n t en G rèce e t en Turquie notam m ent, où c e tte pratique est encore en vigueur. Les dernières observations indiquent que, jusqu'à une période récente, la première m oitié du vingtièm e siècle, le fourrage d e feuilles et d e branches provenant d e l'é la g a g e des arbres jo u a it un rôle majeur, en Europe, pour l'élevage. Dans un article récent, P. Halstead (Halstead e t al. 1998) m ontre l'im p o rta n ce du stockage des ram eaux feuillés pour la survivance des groupes p e n d a n t l'hiver. En plus d e c e rôle dans le stockage de la nourriture, l'au teur souligne, com m e cela a été fait pour la Ligurie par D. M oreno ou en Norvège par I. Austad, l'im p o rta n ce de l'é m o n d a g e des arbres dans la forme, la structure e t la com position des paysages.

Ainsi, les études réalisées par P. Halstead (Halstead e t al. 1998), dans le village d e Plikati, situé au nord- ouest de la Grèce, dans les montagnes du Pinde, à 1250 m d'a ltitu d e , m ontrent qu e p e n d a n t l'hiver les animaux restent jusqu'à six mois en stabulation. Pour les nourrir les stocks d'herbes ne sont pas suffisants. Pour pallier c e tte insuffisance, les pasteurs récoltaient les ram eaux feuillés des hêtres matures qui se d é v e lo p p e n t à 1500 m d 'a ltitu d e sur le versant ouest opposé au village. C ependant, dans les années 1920, d e v a n t les difficultés liées au transport des récoltes, une aire d 'u n e vingtaine d'h ectares d e chêne à feuillage c a d u c fut mise en défens, à proximité du village à des altitudes inférieures à celle d e la hêtraie. Cela n 'e m p ê c h e pas q ue d e nombreuses essences soient aussi exploitées pour la nourriture des animaux. Ainsi le charm e est préférentiellem ent co u p é au printemps ou en é té e t sert d 'a p p o in t pour les brebis e t les chèvres afin d 'a id e r à leur lactation ; parfois le chê n e à feuillage c a d u c est consom m é pour les mêmes raisons. Pendant l'hiver de nombreux feuillus com m e l'éra ble cham pêtre, l'érable sycomore, le noisetier, le charm e e t le sapin d e manière occasionnelle, sont utilisés afin d e m énager le chêne à feuillage ca d u c. Les villageois, ce p e n d a n t, préfèrent co u p e r les branches d e chê n e e t d e hêtre à la fin d e l'é té pour l'hivernage ; ces espèces se stockent plus facilem ent que les autres e t surtout leurs feuilles ne se délitent pas. Les feuilles de ces deux espèces peuven t se conserver p e n d a n t plusieurs années. La récolte s'e ffe ctu e au m oyen d 'u n e p e tite hache. Les branchettes sélectionnées sont coupées à la jonction a ve c le tronc ou a v e c la branche principale. La répétition d e c e t é m o n d a g e donne à l'arbre une form e très caractéristique, en têtard ou en boule le plus souvent. Les branches

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Évolution des structures e t dynamiques sociales

feuillées sont mises en bottes, rapportées au village et mises à sécher. Une fois sèches elles sont engrangées aux étages supérieurs des habitations ou stockées dans tous les endroits possibles (portes et fenêtres des maisons abandonnées). Pendant l'hiver, les animaux se nourrissent des feuilles e t des plus petites branchettes ; le bois non ingéré est à nouveau récolté, mis en fagots et utilisé dans les foyers et les fours.

En Suisse, la pratique d e l'é m o n d a g e des arbres pour la nourriture des animaux p e n d a n t l'hivernage est une tradition vieille d e six millénaires au moins. En Valais, le frêne esf l'arb re typique alors que, plus au sud, le chê n e e t l'orm e lui sont préférés e t le tilleul à l'est.

Une voie d e recherche, qu'il s'ag it m aintenant d'approfondir, réside dans la mise en évidence de stigm ate anatom ique. L 'é m o n d a g e du frêne dans le Valais suisse a été, en effet, prouvé par l'analyse t anatom iqu e des bois (Haas e t Schweingruber 1993).

Des prélèvements d e bois, au m oyen d 'u n e tarière, ont été effectués dans les frênes émondés ; ceux-ci ont une form e facilem ent reconnaissable. Partant du fait que les frênes ne sont récoltés que tous les quatre à six ans e t que la récolte a lieu à la fin d e la période d e croissance du cerne (fin a o û t/d é b u t septembre), leur anatom ie présente deux caractéristiques :

- la première est la form ation de vaisseaux du bois initial dans le bois final les années d 'é m o n d a g e . Des bourgeons se forment, en effet, lors de l'é m o n d a g e et il arrive que certains puissent m êm e fleurir à la fin de l'été. C ette floraison tardive a pour conséquence la form ation d 'u n second cerne d e bois initial dans le bois final.

- la seconde est que le cerne suivant l'a n n é e d 'é m o n d a g e est étroit.

Ces stigmates doivent, à l'avenir, être recherchés dans les charbons d e bois provenant des niveaux ou la stabulation est attestée.

Pourquoi et comment parler de la gestion (et peut-être même du contrôle) des ressources

végétales ?

La question se pose d o n c d e l'utilisation, dans un système pastoral, des ressources écologiques en termes d e com plém enta rité e t d e contrôle des différents étages, plaines, colline, m oyenne m ontagne, alpages. Certaines grottes sont localisées en moyenne altitude entre la plaine e t les pâturages d'a ltitude, fournissant ainsi un exem ple d e la diversité des pratiques.

La grotte bergerie pourrait d o n c constituer un lien entre l'h a b ita t principal, perm anen t ou temporaire, qui se situait en plaine (découvertes de plus en plus nombreuses d'établissem ents néolithiques dans les vallées, cf. vallée du Rhône, travaux du TGV M éditerranée par exem ple) e t les alpages d 'a ltitude.

Le séjour des hommes e t du troupeau dans ces lieux a des implications sociales. Il fa u t se garder (à l'instar des travaux d e Brochier e t al. 1999) d e tracer des schémas, fondés sur l'observafion des pratiques traditionnelles e t aboutissant à la com plém entarité entre la plaine, la colline et la m ontagne, entre la vallée et l'altitude, a ve c une supposée sédentarité villageoise à la mauvaise saison e t les parcours d'estivage. Pour le mom ent, les travaux d e saisonnalité, qu'ils soient fondés sur les anim aux (périodes d e naissances) ou les végétaux ne donnent pas des résultats hom ogènes e t les auteurs cités n'excluent pas un maintien des troupeaux dans les grottes pour des raisons diverses : protection contre les épidémies ou le rapt, subdivision du corps social selon des fonctions, des âges, des castes do n t l'une resterait auprès des anim aux ...

Quelles que soient les motivations il fa u t voir à travers c e t exem ple un fort rapport à l'espace, base de l'utilisation, de la gestion e t peut-être du contrôle des ressources. C 'est aussi dans c e tte optique qu'il s'agira d'interpréter ou d e réinterpréter un certain nom bre de résultats.

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Stéphanie Thiébault

Eléments bibliographiques

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