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Article pp.53-57 du Vol.104 n°1 (2011)

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SANTÉ PUBLIQUE /PUBLIC HEALTH

Intoxication par Atractylis gummifera L. Données du centre antipoison et de pharmacovigilance du Maroc

Poisoning by Atractylis gummifera L. Morocco poison control center data

H. Hami · A. Soulaymani · S. Skalli · A. Mokhtari · H. Sefiani · R. Soulaymani

Reçu le 4 avril 2010 ; accepté le 31 août 2010

© Société de pathologie exotique et Springer-Verlag France 2011

RésuméPour évaluer l’ampleur et la sévérité des intoxica- tions par Atractylis gummifera L. au Maroc, une étude rétrospective descriptive a été menée sur tous les cas d’into- xication répertoriés entre 1981 et 2004 au centre antipoison et de pharmacovigilance du Maroc. Durant cette période, 240 personnes ont été hospitalisées pour une intoxication au chardon à glu, dont 72 % sont des enfants de moins de 16 ans. La gravité de cette intoxication a été affirmée par une létalité intrahospitalière importante. En effet, parmi les 182 patients pour lesquels l’évolution est connue, 98 sont décé- dés, soit 54 %.Pour citer cette revue : Bull. Soc. Pathol.

Exot. 104 (2011).

Mots clésAtractylis gummiferaL. · Intoxication · Enfant · Hôpital · Maroc · Maghreb · Afrique du Nord

AbstractTo assess the extent and severity of poisoning by Atractylis gummiferaL. in Morocco, a descriptive retrospec- tive study was conducted on all the poisoning cases listed between 1981 and 2004 to the Morocco Poison Control Cen- ter. During this period, 240 people were hospitalized for glue thistle poisoning, 72% of which are children under 16 years.

The severity of the poisoning has been affirmed by signifi- cant intrahospital lethality. Indeed, among the 182 patients for whom the outcomes were known, 98 died (54%).To cite this journal: Bull. Soc. Pathol. Exot. 104 (2011).

Keywords Atractylis gummiferaL. · Poisoning · Child · Hospital · Morocco · Maghreb · Northern Africa

Introduction

Traditionnellement utilisé pour arrêter l’hémorragie et pour faciliter l’accouchement,Atractylis gummiferaL. (chardon à glu) peut provoquer, d’après plusieurs travaux, une hépatite aiguë, une hypoglycémie sévère et une insuffisance rénale [5,9,10].

La toxicité de cette plante (Fig. 1) [1,3,5] est liée à la présence de deux substances, l’atractyloside et le carboxy- atractyloside, qui sont capables d’inhiber la phosphorylation oxydative mitochondriale. Son ingestion peut conduire à la mort après des troubles respiratoires, cardiovasculaires, rénaux et neurologiques.

L’objectif de la présente étude est de décrire, à partir des données émanant du centre antipoison et de pharmaco- vigilance du Maroc, les caractéristiques de l’intoxication par A. gummiferaL. au sein de la population marocaine pendant la période allant de 1981 à 2004.

Données et méthodes Type d’étude

Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive menée à partir des fiches standardisées de déclaration.

Période de l’étude

Tous les cas d’intoxication par A. gummifera L., déclarés entre 1981 et 2004 au centre antipoison et de pharmaco- vigilance du Maroc, sont concernés par cette étude.

H. Hami (*) · A. Soulaymani · A. Mokhtari Laboratoire de génétique et de biométrie, faculté des sciences, université Ibn-Tofail, Kénitra, Maroc

e-mail : hind212@yahoo.fr

S. Skalli · H. Sefiani · R. Soulaymani

Centre antipoison et de pharmacovigilance du Maroc, Rabat, Maroc

R. Soulaymani

Faculté de médecine et de pharmacie, université Mohammed-V, Rabat, Maroc DOI 10.1007/s13149-010-0102-8

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Recueil et analyse des données

Chacun des cas a été l’objet d’une fiche standardisée indivi- duelle de renseignements dans le cadre du protocole de déclaration obligatoire par les médecins de tous les cas d’intoxication, incluant des informations détaillées sur l’intoxication, plus particulièrement sur les caractéristiques de la victime (l’âge, le sexe, le milieu de résidence…), l’année de l’intoxication, le lieu et les circonstances de l’inci- dent, les symptômes d’exposition, le traitement préconisé et l’évolution.

Les données collectées ont été saisies sous Excel et l’analyse statistique a été réalisée avec le logiciel Épi-Info™. Signalons qu’avant l’analyse initiale, la qualité des données a été contrôlée.

Résultats

Au total, 240 cas d’intoxication par le chardon à glu, décla- rés au centre antipoison et de pharmacovigilance du Maroc entre 1981 et 2004, ont été inclus dans cette étude.

Caractéristiques des patients intoxiqués

L’âge moyen des victimes de sexe féminin est de 14,27 ± 10,08 ans, alors qu’il est de 11,74 ± 7,74 ans chez le sexe masculin. Le sex-ratio F/H est de 1,30. Selon les résul- tats, 82,5 % des intoxiqués sont âgés de moins de 20 ans et 42 % sont des enfants de moins de dix ans (Tableau 1).

Il faut signaler en outre que la majorité des intoxications déclarées durant la période de l’étude, soit 69 % a eu lieu dans les zones rurales.

Répartition des cas d’intoxication et de décès selon les années

Parmi les 182 patients pour lesquels on dispose de données sur l’évolution, 98 sont décédés, dont 62,2 % sont des

enfants de moins de dix ans. D’après les données déclarées, 76 décès sont attribués à une intoxication accidentelle.

À signaler qu’il y a en moyenne dix cas d’intoxication et 4,1 décès par année (Fig. 2).

L’analyse statistique des données n’a pas montré de diffé- rence significative d’évolution du nombre annuel d’intoxica- tions par cette plante, à la différence du nombre de décès qui connaît une diminution significative avec le temps.

Lieu et circonstances de l’intoxication

D’après les résultats du Tableau 2, on voit que la majorité des intoxications par le chardon à glu survient en dehors du domicile (63 %) et que 37 % des cas surviennent à domicile.

L’intoxication par cette plante est accidentelle dans 74 % des cas et volontaire dans une proportion de 22 %, avec cinq cas de suicide.

Le Tableau 3 donne la distribution des circonstances de l’intoxication selon l’âge de la victime.

Selon cette distribution, l’intoxication est accidentelle dans 90 % des cas chez l’enfant âgé de moins de dix ans (79 cas) et dans 75 % du groupe de 10 à 19 ans (68 cas), contrairement à l’adulte de 20 ans et plus dont les cas d’into- xication déclarés sont souvent volontaires (plus de 63 %).

Symptômes présentés, traitement et évolution

Le Tableau 4 réunit les symptômes rapportés par les victimes au moment de leur prise en charge et lors du suivi médical.

Il présente également le traitement préconisé et donne la distribution des cas déclarés selon l’évolution des personnes intoxiquées.

Les symptômes présentés par les intoxiqués sont dominés par les troubles digestifs et neurologiques, avec Tableau 1 Caractéristiques des patients intoxiqués /Characte- ristics of intoxicated patients

Caractéristiques individuelles n(%) Sexe

Masculin 104 (43,5)

Féminin 135 (56,5)

Groupes dâges (en années)

< 2 3 (1,3)

29 98 (40,8)

1019 97 (40,4)

2029 24 (10,0)

3039 11 (4,6)

4049 5 (2,1)

5059 2 (0,8)

Milieu de résidence

Urbain 67 (30,9)

Rural 150 (69,1)

Fig. 1 Atractylis gummifera [14] /Atractylis gummifera [14]

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respectivement 81 et 72 %. Il faut souligner que dans 1,6 % des cas, un arrêt cardiaque est survenu au cours de l’hospita- lisation. Plus de la moitié des patients intoxiqués, soit 54 % ont bénéficié d’un traitement symptomatique et 49 % du traite- ment évacuateur, dont 77 % ont été traités par un lavage gas- trique. La durée moyenne de séjour hospitalier est de 2,5 jours, avec des extrêmes allant de quelques heures à 34 jours.

L’évolution des intoxiqués était défavorable pour 98 patients qui ont trouvé la mort (54 %) et deux enfants de moins de dix ans qui ont gardé des séquelles.

Discussion

L’intoxication par les plantes reste un phénomène préoccu- pant par sa gravité et le nombre de victimes déclaré. Elle Fig. 2 Nombre de victimes dintoxication déclarées et nombre de décès /Number of reported poisoning victims and deaths

Tableau 2 Répartition des cas dintoxication déclarés suivant le lieu et les circonstances de lintoxication /Distribution of poisoning cases according to place and circumstances

n(%) Lieu de lintoxication

Domicile 45 (37,2)

Hors domicile

Lieu de travail 2 (1,7)

Lieu public 57 (47,1)

Autres 17 (14,0)

Circonstances

Intoxications accidentelles 162 (73,6) Intoxications volontaires 49 (22,3) Intoxications indéterminées 9 (4,1)

Tableau 3 Cas dintoxication, selon les circonstances et lâge des intoxiqués /Poisoning cases, depending on the circumstances and age of intoxicated people

Pourcentage en ligne Groupes dâges (en années)

Circonstances Ensemble

Accidentelles Volontaires Indéterminées

< 2 3 (100,0) 3 (100,0)

29 76 (89,4) 4 (4,7) 5 (5,9) 85 (100,0)

1019 68 (74,7) 19 (20,9) 4 (4,4) 91 (100,0)

2029 9 (39,1) 14 (60,9) 23 (100,0)

3039 1 (9,1) 10 (90,9) 11 (100,0)

4049 3 (60,0) 2 (40,0) 5 (100,0)

5059 2 (100,0) 2 (100,0)

Ensemble 162 49 9 220

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constitue une cause fréquente d’hospitalisation au Maroc.

Selon les statistiques récentes du centre antipoison et de pharmacovigilance du Maroc, les plantes et les produits de la pharmacopée traditionnelle sont au premier rang des toxi- ques les plus mortels. Malheureusement, une grande partie de la population méconnaît la toxicité réelle de certaines plantes, ce qui entraîne un comportement inadapté. Comme l’indiquent les résultats de plusieurs études, ce sont toujours les enfants qui sont particulièrement touchés et les circons- tances sont généralement accidentelles [2,6,13].

En Tunisie, d’après une étude rétrospective incluant 56 cas d’intoxication par les plantes sur une période de 15 ans, 32 % de ces cas sont dus à la consommation d’A. gummifera, qui est classé parmi les plantes à haute toxi- cité [4]. Il s’agit en fait de l’une des plantes le plus souvent en cause dans les cas d’empoisonnements mortels au Maroc et dans la plupart des pays méditerranéens.

Les données que nous avons analysées montrent que sur l’ensemble des personnes concernées par cette intoxication et qui ont été hospitalisées (240 cas), 98 sont décédées, soit un taux de létalité intrahospitalière de 54 % (parmi les 182 pour lesquels l’évolution est connue). Les victimes sont les enfants de moins de 16 ans dans 72 % des cas, dont plus de 58 % impliquent des enfants de moins de dix ans.

La sévérité de cette intoxication reste particulièrement liée aux circonstances de survenue qui sont essentiellement

chez l’adulte des tentatives de suicide, soit 22 % des cas déclarés. Généralement, dans ces cas, les quantités suppo- sées ingérées sont importantes et les intoxications en consé- quence sont souvent sérieuses.

Les personnes ayant été victimes de l’intoxication ont présenté des troubles digestifs massifs à type de vomisse- ments, de nausées et de diarrhées ainsi que des douleurs abdominales. L’intoxication provoque également des symp- tômes neurologiques violents dont l’apparition, dans les six heures qui suivent l’ingestion, est un élément prédictif d’une intoxication sévère. Les victimes se présentent avec un tableau typique de céphalées, de vertiges et d’une mydriase.

Le bilan biologique de l’intoxication [3,5,8,10] permet généralement de mettre en évidence une hépatite aiguë cytolytique, alors que l’examen histologique des lésions hépatiques retrouve une nécrose hépatocytaire extensive.

L’évolution est alors le plus souvent mortelle après un coma profond, une hypoglycémie sévère et une insuffisance rénale. En Algérie, une intoxication collective par le chardon à glu de dix enfants a abouti de manière dramatique au décès de huit d’entre eux [8].

Dans les pays du pourtour méditerranéen, les victimes de l’intoxication restent principalement les enfants de la campagne qui confondent la racine avec d’autres plantes comestibles comme les artichauts sauvages ou utilisent la substance blanchâtre, qui exsude à l’aisselle des bractées après la fructification comme chewing-gum. L’intoxication peut également survenir lors d’utilisation du chardon à glu comme plante médicinale en raison de ses propriétés anti- pyrétiques, diurétiques, abortives, purgatives et émétiques [3,7,8,16]. Les effets secondaires de la phytothérapie ont été souvent évoqués ces dernières années. Plusieurs travaux ont déjà été publiés pour montrer l’hépatotoxicité de la phy- tothérapie au travers plusieurs exemples de plantes toxiques [11,12,17]. L’hépatotoxicité du chardon à glu serait liée à la présence d’un glucoside, l’atractylate de potassium [5,10,14]. Ce composé inhiberait de façon compétitive le transport d’ADP et d’ATP, entraînant donc un blocage de la phosphorylation oxydative mitochondriale. L’atractylate de potassium pourrait également induire une apoptose hépa- tocytaire en augmentant la perméabilité de la membrane mitochondriale par création de pores de transport, cela grâce à la libération de cytochromecet à l’activation de la cascade des caspases [5,14].

La prise en charge thérapeutique de l’intoxication reste essentiellement basée sur le traitement symptomatique et évacuateur.

L’incidence réelle de l’intoxication parA. gummiferaest fort probablement sous-estimée en raison des cas non diag- nostiqués et non déclarés. Par ailleurs, il paraît important de souligner que la tendance à la diminution du nombre de décès dus à l’intoxication par cette plante depuis plusieurs années se poursuit au Maroc, ce qui est dû au fait que Tableau 4 Signes cliniques, modalités de traitement et évolu-

tion des intoxiqués /Clinical signs, treatment modalities and evolution of intoxicated people

n(%) Signes cliniquesa

Digestifs 165 (81,3)

Respiratoires 59 (29,1)

Cardiovasculaires 61 (30,0)

Neurologiques 146 (71,9)

Neurovégétatifs 59 (29,1)

Cutanés 34 (16,7)

Rénaux 2 (1,0)

Type de traitement

Abstention thérapeutique 4 (2,5) Traitement symptomatique 87 (54,4)

Traitement évacuateur 78 (48,8)

Traitement épurateur 2 (1,3)

Évolution

Favorable (Guérison) 82 (45,1)

Décès 98 (53,8)

Séquelles 2 (1,1)

aLe total des différents signes cliniques est supérieur au nombre dintoxications signalées, car la majorité des cas présentent lassociation de plusieurs signes.

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le public et les professionnels de la santé connaissent mieux le centre antipoison et ont plus souvent recours à ses services.

Nous croyons qu’un pourcentage important des intoxica- tions pourrait être évité par une meilleure sensibilisation de la population quant aux dangers de certaines plantes, plus particulièrement pour les enfants.

Conflit d’intérêt : les auteurs déclarent ne pas avoir de conflit d’intérêt

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