4593 - dimanche 18 avril 2021
Concernant ses derniers propos sur l’arbitrage en Afrique
Belmadi dans le viseur de la FIFA !
La Fédération internationale de football association (FIFA) demande des explications à la Confédération africaine de football (CAF) sur les déclara- tions du sélectionneur natio- nal de l’équipe nationale d’Algérie Djamel Belmadi concernant l’arbitrage en Afrique.
Vendredi dernier, Djamel Belmadi a attaqué la CAF à propos des polémiques qui ont entaché la rencontre Zambie – Algérie, estimant sur la Radio Chaîne 3 que : « En Afrique, nous nous sommes trop habitués à la corruption des arbitres. Tout cela doit être puni. Il ne faut pas lâcher l’arbitre du match
face à la Zambie! (…) Ce n’est pas de la paranoïa, ce sont des faits. Il y a des gens qui tirent les ficelles contre l’Algérie. Un arbitre qui fait les lacets d’un joueur avant le match, c’est quoi ça ? (NDLR: Cette image a fait polémique. Il s’agit du match disputé face à la Zambie, à l’extérieur) Ce n’était même pas un gardien de but, avec des gants ! Nous devons démasquer les marionnet- tistes, ceux qui sont à l’ori- gine de ces manœuvres et souhaitent voir notre chute. » Des déclarations qui ont fait réagir l’instance mondiale de football. La FIFA aurait saisi immédiatement la CAF, lui
demandant des explications sur les propos de Djamel Belmadi.
De son côté, la Fédération Algérienne de Football (FAF) avait protesté contre l’arbi- trage. Une protestation qui a reçu un écho favorable puisque la CAF a décidé, à son tour, d’infliger une sanc- tion à Adélaïde Ali Mohamed, arbitre du match entre l’Algérie et la Zambie lors des éliminatoires de la CAN 2021.
Ali Mohamed a été suspendu de ses fonctions pour une période de 3 mois, en raison des erreurs qu’il a commises lors de ce match.
Selon Footmercato
Aissa Mandi, plus proche de l’Inter Milan
Selon Footmercato qui reprend ses informations de Estadio Deportivo, les contacts entre Aissa Mandi et l’Inter avancent bien surtout que le club italien offre un meilleur salaire que la proposition de renouvellement du Betis en plus de jouer la Ligue des Champions la saison prochaine. Mais pour le moment, rien n’est encore fait.
La raison ? Les Nerazzurri attendent la visite du proprié- taire du club, Steven Zhang. Le riche propriétaire chinois doit rencontrer les représentants du club italien pour analyser la situation économique du club.
montpellier
Andy Delort “dégouté”…
pourtant buteur
Pourtant auteur de l’ouverture du score et l’unique but des siens, l’attaquant algérien Andy Delort a regretté le match nul concédé en dépla- cement chez le leader, Lille (1-1) lors de la 33e journée de Ligue 1 française. L’attaquant Andy Delort (29 ans, 25 matchs et 12 buts en L1 cette saison) espérait donner la victoire à Montpellier.
Mais le club de la Paillade n’a pas réussi à gar- der son avance et a, en prime, perdu son défen- seur central Pedro Mendes touché au genou. Un combo difficile à digérer pour le buteur algérien. “Je suis dégoûté, surtout pour Pedro. J’espère que ce n’est pas grave. On voulait gagner pour lui et c’est dommage de prendre un but comme cela à la fin. Surtout qu’on a fait une bonne première période, et que ce n’étaient pas des peintres en face. On voulait gagner ce match et on revient avec un point. Certes, on n’a pas perdu, mais on n’a pas gagné”, a, ainsi, regretté Delort devant les caméras du MHSC.
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Djamel Tazibt réélu président pour un troisième mandat
4593 - dimanche 18 avril 2021 Prix 20 da - http://www.planetesport.dz
«Le sport a le pouvoir de changer le monde, celui de rassembler et de créer l’espoir» Nelson mandela
ISSN N°1112-6728
Dans un entretien accordé au site Foot-National
Spano-Rahou : "On avait montré qu’en Algérie, on savait jouer au football et on attend que ça de se qualifier à nouveau"
« On est capable de se qualifier à la Coupe du Monde mais… »
Selon Footmercato
Aissa Mandi, plus proche de l’Inter Milan
FAF
La Commission de passation
de consignes entrera en action aujourd’hui
Concernant ses derniers propos sur l’arbitrage en Afrique
Belmadi dans le viseur de la FIFA !
F t b a l l EnTRETIEn
-Maxime Spano-Rahou, défen- seur du Valenciennes FC, s’est confié auprès de Foot-National sur sa carrière, atypique comme il l’explique, mais également ses ambitions pour l’avenir, alors qu’il
n’a que 26 ans, et sur ses rêves, notamment avec la sélection algérienne. Entretien avec un joueur qui sait ce qu’il veut dans
la vie.
Bonjour Maxime, est-ce que tu peux te présenter auprès de nos lecteurs ?
Je m’appelle Maxime Spano- Rahou, je suis footballeur au Valenciennes Football Club, mais également international algérien.
J’ai débuté ma carrière en forma- tion du côté de l’AS Cannes, puis à Nîmes. J’ai ensuite signé pro- fessionnel à Toulouse. Après ça, j’ai joué à Grenoble, où j’ai connu deux montées consécutives, une en National 1, puis une en Ligue 2. Et j’ai rejoint Valenciennes il y a maintenant deux ans.
Comment tu décrirais ton parcours dans le football, alors que tu as réellement explosé à Grenoble ?
J’ai vraiment explosé à Grenoble oui, car j’ai eu un parcours aty- pique, qui n’a pas été facile. J’ai connu des centres de formation de seconde zone, de deuxième couteau. Ensuite, j’ai signé pro- fessionnel à Toulouse alors que j’étais dans un petit club où c’était compliqué. Au Téfécé, j’ai eu des déconvenues et j’ai dû signer en CFA. Passer de la Ligue 1 à la CFA, c’est assez compliqué, mais j’y ai toujours cru, je n’ai jamais lâché, étant conscient de mes qualités. Je savais aussi que j’avais un gros mental. Puis il faut être là au bon moment et au bon endroit, ce qui était le cas à Grenoble. Mais on peut dire que oui, j’ai décollé à Grenoble.
"J’ai toujours su que j’al- lais y arriver"
Tu as toujours eu cette envie d’être footballeur profession- nel ou plus jeune tu avais d’autres projets ?
J’ai toujours voulu réussir dans le football, avec cette envie d’être professionnel. Même dans les moments difficiles, j’y ai cru et je savais que j’allais y arriver. Je n’avais pas de plan B, même si je touche à tout, que j’étais à l’aise à l’école, ayant eu mon bac général, mais je n’ai jamais pensé à faire autre chose. J’ai toujours su que j’allais y arriver.
Même quand ma mère me disait qu’il faudrait peut-être que je
pense à faire autre chose, je lui répondais que ça allait venir et qu’il fallait qu’elle soit patiente. Je lui répétais à longueur de temps.
J’étais confiant, ce qui est une de mes qualités, mais aussi un défaut. Je suis quelqu’un de très confiant.
Tu penses que cette
confiance t’a beaucoup aidé dans ta carrière ?
Oui. Je pense qu’à mon poste, être quelqu’un qui a confiance en soi, ça veut dire que je suis un joueur qui ne doute quasiment jamais, ou très rarement. Je suis conscient de mes qualités et de mes défauts. Je sais sur quoi m’appuyer, là où je dois travailler.
Je me connais par cœur, je connais mon corps par cœur, donc ça aide forcément pour construire sa carrière.
Pour revenir sur un souvenir difficile, à tes débuts en Ligue 1, tu prends un carton rouge au bout de 39
secondes face à Lille lors de ton troisième match. Quand tu es jeune footballeur et que tu débutes en L1, comment on réagit à ça ?
C’est chaud. À ce moment-là, c’est chaud parce que le club est en difficulté, on arrive à Lille, qui reste le LOSC. On est dans un grand stade, face à une équipe qui tourne bien. Je suis un joueur qui fait tellement peu de fautes, là, je me suis sacrifié pour l’équipe. Mais quand ça t’arrive, tu te remets en question et tu te dis qu’il ne faut pas lâcher. Et comme je dis, j’analyse les situa- tions, je connais le football et je me dis que ça va être compliqué.
Mais je suis vite passé à autre chose, en me remettant au tra- vail. Je savais que Toulouse, ça
allait être compliqué, mais c’est mon histoire.
"Grenoble, ça restera un club qui sera à jamais gravé dans mon cœur"
Quitter Toulouse pour aller à Grenoble, à ce moment-là ça a été le meilleur choix au vu du parcours que tu connais derrière en Isère ? Comment s’est fait ce transfert ? À l’époque, c’est un agent d’un joueur qui évoluait avec moi qui m’a contacté, me disant que Grenoble était intéressé par mon profil. Je n’ai pas hésité long- temps, car je connaissais déjà le club, mon frère a été formé là- bas. En plus, Grenoble, c’est un club qui a un passif très fort en Ligue 1, Ligue 2, avec son stade.
Le coach, c’était Olivier Guégan, qui avait de l’ambition. Le GF38 avait aussi des moyens consé- quents pour un club de CFA, donc j’ai rapidement dit oui, le choix a été très rapide. Je savais qu’en restant une année de plus à Toulouse, je n’allais pas jouer.
On venait de se maintenir à la dernière journée avec Pascal Dupraz, il n’allait pas changer ses gars, donc ça allait être trop com- pliqué, du coup j’ai préféré partir et me relancer.
Quels souvenirs tu gardes de ta période grenobloise ? Grenoble, ça restera un club qui sera à jamais gravé dans mon cœur. J’ai vécu deux montées.
Au-delà de ça, je me suis fait des amis là-bas, on a crée une vérita- ble famille, entre guillemets. J’ai eu la chance de pouvoir porter le brassard du GF38. C’était une grande fierté, donc c’est un club qui restera dans mon cœur.
"Je suis sûr qu’il a un avenir brillant qui l’attend
devant lui", à propos d'Olivier Guégan.
Aujourd’hui, tu es content de la situation des Grenoblois en Ligue 2, qui se mêle à la lutte pour la montée à
quelques journées de la fin ? Complètement, je suis content pour le club, pour les amis que j’ai encore là-bas, ceux du staff.
Je suis content, car c’est un club qui mérite de retrouver l’élite du football français. Après, ça manque de moyens, d’infrastruc- tures, mais je suis très content pour eux et j’espère qu’ils vont tout donner pour pouvoir y arri- ver.
La dynamique semble bonne, après, dans le foot, on sait que ça va très vite.
Ça va très vite et surtout, le haut de tableau est très serré et il y a des clients, avec Clermont, Toulouse, Troyes. Jusqu’à la der- nière journée, ça va jouer, donc c’est cool. Et c’est bien pour la Ligue 2, d’autant que cette saison est particulière, sans les suppor- ters.
On parlait d’Olivier Guégan, que tu as connu à Grenoble et qui est aujourd’hui ton entraîneur à Valenciennes.
Quel regard tu as sur le coach et quel regard tu portes sur l’homme ? Au niveau du coach, il est encore jeune, il en est, je crois, à sa quatrième ou cinquième année en tant que coach, donc il a encore beaucoup à apprendre.
Mais au delà de ça, il a des quali- tés de meneur d’hommes, c’en est un. Il progresse chaque sai- son, je le sens personnellement, que ce soit dans ses séances, dans son discours, au niveau technique. C’est un réel plaisir de travailler avec lui, d’autant plus que j’ai vécu des choses fortes avec lui, entre les montées à Grenoble ou la belle saison avec le VAFC l’année dernière.
En tant qu’homme, c’est
quelqu’un qui a des valeurs, qui essaie de les transmettre. Ce qui va un peu avec la fonction de coach. Il est très fier, mais juste.
Il est aussi déconneur, sachant faire la part des choses entre le football et la déconnade. Je suis sûr qu’il a un avenir brillant qui l’attend devant lui.
lll
Dans un entretien accordé au site Foot-National
Spano-Rahou : «J’ai toujours rêvé de l’équipe nationale»
JEUX OLYMPIQUES
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L’annuLation des Jo de tokyo ?
Toujours une option pour les Japonais
Mauvais signe. A moins de 100 jours de l’ouverture, la question de la tenue des Jeux de Tokyo occupe le terrain politique au Japon.
Elle alimente le débat entre majorité et opposi- tion. Avec une menace soi- gneusement écartée depuis des mois par le CIO et le comité d’organi- sation : l’annulation.
Toshihiro Nikai, le no 2 et secrétaire général du Parti libéral-démocrate, actuelle- ment au pouvoir au Japon, a entrouvert jeudi 15 jan- vier une porte que le mou- vement olympique préfére- rait voir bouclée à double tour. Il a suggéré à l’occa- sion d’une interview sur la chaîne de télévision TBS que les Jeux de Tokyo pourraient être rayés du paysage s’ils constituaient une menace sérieuse sur la situation sanitaire. « S’il semble impossible de pré- senter les Jeux olym- piques, alors il faudra de toute évidence les annuler, a expliqué Toshihiro Nikai.
Si nous devons observer une recrudescence du nombre de cas de corona- virus en raison des JO, alors l’évènement n’a pas lieu d’être. » Interrogé très directement par TBS sur la possibilité que les Jeux soient purement et simple- ment annulés, le dirigeant politique japonais a répondu sans langue de bois : « Bien sûr ». Sur le fond, les propos de Toshihiro Nikai n’ont rien de très inattendu. Le n°2 du Parti libéral-démocrate exprime seulement tout haut une opinion partagée par beaucoup : le danger d’organiser un événement de cette taille, réunissant
la planète entière dans un périmètre réduit, au moment où la pandémie mondiale connait une nou- velle poussée de fièvre.
Mais la forme, et plus encore le timing, laissent perplexe. Les analystes japonais l’ont relevé : il est rare d’entendre une per- sonnalité politique de la majorité évoquer sur une chaîne de télévision la possibilité d’annuler les Jeux. Toshihiro Nikai l’a fait au lendemain de la date de J – 100 avant l’ou- verture. Il a brandi l’option d’un annulation quelques heures seulement après que le vice-président du CIO, John Coates, ait assuré à l’occasion d’un point presse en mode vir- tuel que les Jeux de Tokyo se dérouleraient sans le moindre doute.
Hasard ou pas, une autre personnalité de la majorité s’est risquée le même jour à évoquer les Jeux de Tokyo et leurs risques sanitaires. Taro Kono, le ministre japonais en charge de la campagne de vaccination au niveau
national, a posé sur la table des discussions une autre option, manipulée avec dégoût par le CIO et le comité d’organisation : le huis clos. « L’enjeu, aujourd’hui, est de déter- miner comment les Jeux olympiques pourront être organisés dans les cir-
constances actuelles, a expliqué Taro Kono à l’oc- casion d’une interview à la télévision. Cela peut signi- fier l’absence totale de spectateurs dans les tri- bunes. » Les deux hommes ont ouvert une brèche. Sans surprise, l’opposition s’y est engouf-
fré sans retenir ses gestes.
Jun Azumi, en charge des affaires parlementaires au sein du Parti démocrate, a forcé le trait. « Au vu de la situation actuelle, il serait difficile d’organiser les Jeux olympiques pour prouver que l’humanité a vaincu le coronavirus, a-t-il suggéré à l’occasion d’une réunion de son parti. Les propos de Toshihiro Nikai doivent nous inciter, cha- cun d’entre nous, à réflé- chir sérieusement à l’op- portunité d’aller de l’avant avec les Jeux de Tokyo. » Annulation ? Huis clos ? La confiance martelée par le CIO, et les mesures sanitaires préparées sans relâche par le comité d’or- ganisation, avaient éloigné ces deux options du débat.
Elles y reviennent au grand galop. Jusqu’à quand ?
Inquiétant : Sapporo annule son 10 km
Les autorités de la ville de Sapporo et de la préfecture d’Hokkaido ont pris la décision d’annuler une course à pied de 10 kilomètres pré- vue le mois prochain sur le par- cours du marathon olympique des Jeux de Tokyo. L’information n’est pas encore officielle, mais elle est rapportée par l’agence Kyodo News, citant une source proche du dossier. L’épreuve sur route, qui devait se tenir le 5 mai dans le cadre du festival du marathon d’Hokkaido-Sapporo, était censée
réunir environ 2 500 concurrents et emprunter une partie du futur tracé olympique. Elle est rayée du programme. En revanche, un semi-marathon d’élite, avec 160 coureurs dont certains qualifiés aux Jeux, devrait pouvoir se tenir normalement. Les autorités locales ont demandé le mois dernier aux habitants de s’abstenir de toute sortie non essentielle et non urgente, d’éviter les déplacements en dehors de la préfecture pendant une durée de trois semaines, jusqu’à ce vendredi 16 avril. Mais face à la hausse specta- culaire du nombre de cas de la COVID-19, la mesure a été prolongée jusqu’au 14 mai, ce qui a conduit à la décision d’annuler la course de 10 km. Sapporo doit accueillir pen- dant les Jeux de Tokyo le marathon et les épreuves de marche, délocalisés de la capi- tale japonaise en raison des risques de forte chaleur.
République Algérienne Démocratique et Populaire
18/04/2021 - Anep 2116006957 - Planète Sport
CYCLiSME
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Le Tour des Flandres mais pas seulement
Le cyclisme danois, nouvelle place fort
Le Danemark compte une nouvelle fois sur Jakob Fuglsang pour briller au plus haut niveau. Une habitude pour le coureur de 36 ans qui reçoit depuis peu le soutien d'une nouvelle génération qui fait de ce pays scandinave l'une des nations les
plus importantes du début de saison. De Kasper Asgreen à Jonas Vingegaard, les Danois brillent sur tous les terrains.
Une colle pour débuter : quelles sont les deux nations les plus victo- rieuses cette saison ? L'Italie (20) devant la Belgique (12). Jusqu'ici rien de surprenant pour deux pays historiques pour ce qui est de la chose cycliste. Plus corsé maintenant : quels pays comptent le plus de suc- cès en World Tour unique- ment ? La Slovénie du duo Pogacar-Roglic bien sûr (10) et… le Danemark (7) qui devance les Pays- Bas (6), la Belgique et l'Irlande de peu (5) et la France de loin (2). La réussite du pays scandi- nave n'est pas nouvelle mais elle a pris, en 2021, une autre dimension que le succès de Kasper Asgreen sur le Tour des Flandres a mis en lumière.
Au milieu des années 1990, le cyclisme danois avait connu un petit âge d'or grâce à Bjarne Riis (vainqueur du Tour 1996) et Rolf Sorensen (Liège- Bastogne-Liège 1993 et Tour des Flandres 1998).
L'un comme l'autre ont baigné dans le dopage, le second a même avoué et les années 2000 furent plus compliquées pour les Danois dans le peloton sans que l'on puisse dire que les deux faits soient liés. Le possible succes- seur de Riis, Michael Rasmussen, sera lui aussi convaincu de dopage
après un Tour 2007 invrai- semblable.
Sept victoires World Tour, six vainqueurs dif- férents
Quatorze ans plus tard, le pays scandinave s'est bien implanté dans le peloton.
Ils étaient 16 à évoluer au plus haut niveau en 1996, année du succès de Riis sur le Tour, 15 onze ans plus tard et 25 cette année en World Tour. Le
Danemark a pris sa part dans la mondialisation du cyclisme et produit désor- mais des coureurs dans de nombreux domaines différents. Des grimpeurs ou puncheurs comme Jakob Fuglsang (vain- queur du Dauphiné, de Liège-Bastogne-Liège et du Tour de Lombardie) et Michael Valgren (Amstel Gold Race), des spécia- listes des classiques du nord comme Mads Pedersen et Kasper Asgreen mais aussi des hommes polyvalents comme Soren Kragh Andersen ou Magnus Cort Nielsen.
En 2021, six coureurs ont remporté un succès World Tour pour le Danemark.
Asgreen bien sûr (deux fois) mais aussi
Vingegaard, Cort Nielsen, Wurtz Schmidt, Kron et Honoré. Aucune autre nation ne fait mieux à ce niveau. Le Danemark n'a même pas de concurrence
puisque Belgique et Pays- Bas comptent sur un trio (Van Aert, Stuyven et De Gendt d'un côté, van der Poel, Bol et van Baarle de l'autre) quand la Slovénie se repose le duo Pogacar- Roglic. Et comble du bon- heur pour le Danemark, de Kron (22 ans) en passant par Vingegaard (24 ans) et Honoré (24 ans) à
Asgreen (26 ans), tout ce beau monde n'est pas encore dans ses plus belles années physiques.
Vingegaard-Asgreen, un duo pour aujourd'hui et demain ?
Les jeunes gagnent main- tenant et sauf catastrophe devraient être capables de le faire encore demain.
Une bénédiction puisque celui qui portait tous les espoirs d'un pays ces der- nières années, Jakob Fuglsang, arrive en fin de carrière, à 36 ans. Avec Vingegaard, Asgreen et les autres, le Danemark a enclenché un nouveau
cercle vertueux. Ses sept succès World Tour en 2021 font déjà passer les années 2017 (3), 2018 (4) et 2019 (3) pour des échecs.
Et même la prolifique sai- son 2020 (neuf en succès en World Tour), n'est plus très loin. L'année dernière, Soren Kragh Andersen (4 fois), Mads Pedersen (trois fois), Jakob
Fuglsang et Magnus Cort Nielsen avaient porté haut les couleurs de leur pays.
Le seul Cort Nielsen a aussi gagné en ce début 2021, preuve de la profon- deur du réservoir danois.
Parmi les lauréats de 2020, deux noms ressor- tent. Kasper Asgreen d'abord. Le champion du Danemark a remporté les deux flandriennes les plus prestigieuses avec l'E3 et le Tour des Flandres.
Excellent rouleur, le cou- reur de Deceuninck-Quick Step a indéniablement franchi un cap. En parlant de cap, que dire de Jonas
Vingegaard (Jumbo- Visma) ? Vainqueur d'une étape à l'UAE Tour devant Pogacar, il a ensuite dominé la Semaine inter- nationale Coppi et Bartali pour conclure par une semaine impressionnante au Pays basque parmi les leaders du peloton.
Deuxième du général der- rière son leader, Primoz Roglic, il a devancé Tadej Pogacar, Simon Yates ou David Gaudu, entre autres. Si
Fuglsang et Asgreen ont offert des Monuments au Danemark, les podiums de grands tours, où le pre- mier a toujours joué de malchance (6e au mieux sur le Giro 2020), se refu- sent encore aux
Scandinaves. Avec Vingegaard, la péninsule peut se remettre à y croire. Ce ne sera pas cette année, peut-être pas la suivante non plus mais l'espoir est permis et c'est déjà beaucoup.
Tour de Turquie 2021 :
Cette fois Cavendish a dû s'incliner : Philipsen plus rapide que les vétérans
Vainqueur de trois étapes au sprint avant l'arrivée au sommet de jeudi, Mark
Cavendish (Deceuninck-Quick Step) n'a pas pu refaire le coup pour une passe de quatre.
Au pied du podium, le Britannique a vu, de loin, Jasper Philipsen (Alpecin-Fénix) devan- cer un autre vétéran en la personne d'André Greipel (Israel-Start Up Nation)
Le Belge Jasper Philipsen (Alpecin) a pris le dessus sur les vétérans du sprint, l'Allemand André Greipel et le Britannique Mark
Cavendish, dans la 6e étape du Tour de Turquie, vendredi à Marmaris. Greipel, 38 ans, s'est classé deuxième et Cavendish, 35
ans, quatrième sur la ligne d'arrivée de ce sprint très disputé par les cinq premiers (Halvorsen 3e, Aniolkowski 5e). Philipsen, qui est âgé de 23 ans, s'est imposé pour la deuxième fois de la saison après son succès le 7 avril dans le GP de l'Escaut.
Le maillot de leader est resté la propriété de l'Espagnol Jose Manuel Diaze (Delko), en tête depuis son succès jeudi dans la seule arrivée au sommet de l'épreuve. Cavendish avait remporté les trois sprints précédents de la course turque qui se termine ce
dimanche.
F t b a l l EntrEtiEn
Ton contrat avec le VAFC se termine en 2022. Tu te vois continuer au sein du club ou tu aspires à découvrir d’au- tres championnats ou alors à un retour en Ligue 1 ?
Je suis assez perplexe, car j’ai l’envie de prolonger et de conti- nuer dans le projet valenciennois, vu que je me sens bien et que je crois à ce projet. Mais les discus- sions sont au point mort, donc je le répète, je suis un peu perplexe là-dessus, sachant que je suis l’un des cadres de l’effectif, mais c’est comme ça, c’est le football.
Après, pourquoi pas connaître d’autres championnats. Je suis bien attiré par le championnat belge. Un championnat qui est intéressant, d’autant qu’il pourrait fusionner avec le championnat hollandais, donc il m’attire. Après, jouer en Ligue 1, c’est aussi un rêve. Mais je me vois bien monter avec Valenciennes, en tout cas j’y crois. Je me projette avec le VAFC pour les trois, quatre pro- chaines années, après ce sont des choses que je ne maîtrise pas. J’attends un message de la part du club, mais si ce n’est pas le cas, on fera les comptes à la fin.
"J’ai toujours été plus rapi- dement mature que les
autres"
Pour rebondir sur cette envie d’évoluer au sein du champion- nat belge, ça t’est venu com- ment ? Tu regardes le cham- pionnat ?
Je ne regarde pas spécialement, mais j’ai des amis qui jouent là- bas, ils ne m’en ont dit que du bien. Il y a quand même des grosses écuries, et puis la
Belgique, c’est proche d’ici, j’aime bien la région. C’est bizarre, car je suis de Marseille et je ne m’y attendais pas (rires). Mais j’aime bien Lille, on est à proximité de tout, de Paris, de la Belgique, de Londres.
En parlant de tes projets d’avenir, on peut aussi parler de ton âge (26 ans). On sait que la maturité pour un foot- balleur arrive souvent à 27, 28 ans. Est-ce que toi, tu res- sens ça ?
C’est vrai qu’on dit que le Zénith, le top de la forme pour un joueur est à 27, 28 ans, même si je pense que maintenant, ça a reculé encore un peu, vu que les joueurs jouent de plus en plus tard. Mais c’est vrai que chaque année, j’apprends, je me sens de plus en plus en confiance, j’ana- lyse plus facilement les matchs, je suis plus mature dans mon dis- cours pendant un match, les ges- tions des rencontres aussi. Je sens que j’arrive dans l’âge de la maturité, même si j’ai toujours été plus rapidement mature que les autres, ayant les brassards dans
mes équipes, cela a toujours été naturel.
"J’espère un jour pouvoir le retrouver dans la même
équipe", concernant la possibilité de jouer avec son frère Romain Spano.
Porter le brassard de capi- taine, ça t’a permis de pren- dre en maturité, en leader- ship plus rapidement ? Le rôle que j’avais à Grenoble en tant que capitaine, je l’avais déjà sans avoir le brassard. J’ai tou- jours été comme ça, à discuter avec les autres, à haranguer, à cadrer les joueurs. Mais pour moi, le brassard, c’est une sorte de reconnaissance. En quelque sorte, ça dit : « Voilà, aujourd’hui Maxime, tu as le brassard, on te reconnaît en tant que tel ». Mais j’ai toujours été comme ça, je suis un joueur qui aime parler, qui a ce leadership. Ce sont des choses qui se font naturellement, avec les prises de parole, aller me mouiller pour les autres. Dès le plus jeune âge, je l’ai toujours fait.
Et ça t’as permis, en quelque sorte, de pouvoir t’imposer dans les équipes, d’avoir une place de titulaire ?
Oui aussi. Le fait d’avoir de la personnalité, de ne pas se laisser marcher dessus. Dans ce milieu, c’est ce qu’il faut, il ne faut pas se laisser faire, si tu veux t’imposer.
Pour ceux qui l’ignorent, tu as un frère jumeau, Romain Spano, qui évolue au FC Annecy en National 1. Est-ce que vous avez le rêve de jouer ensemble un jour en club ? Vous en parlez à deux
?
Oui, on en a parlé beaucoup de fois. Moi, j’adorerais jouer avec lui. Surtout que je connais son état d’esprit, je connais l’homme qu’il est, le joueur qu’il est. Je connais les qualités qu’il a et je sais qu’il peut jouer dans des équipes de Ligue 2, c’est juste qu’il a manqué de chance et d’op- portunité. Mais j’espère un jour pouvoir le retrouver dans la même équipe.
"C’était quelque chose de magnifique, de très fort en émotion", sur sa première
convocation en sélection algérienne.
Tu as quel regard sur sa sai- son actuelle avec Annecy ? Je regarde ses matchs, je sais ce qu’il se passe. Il fait une bonne saison dans l’ensemble, même s’il pourrait faire mieux, Mais à sa décharge, il a eu quelques pépins physiques, avec des déchirures, une cheville fracturée. Mais mal- gré tout, il fait une bonne saison, surtout qu’il est dans un club qui joue le maintien, ce n’est pas facile pour un attaquant, car en
général, ce sont les défenseurs qui se mettent en valeur. Il n’y a pas si longtemps, il a mis un superbe triplé, avec des beaux buts, donc j’espère qu’il va pou- voir rebondir.
Parlons de l’international, avec la sélection algérienne.
Tu avais reçu ta première convocation fin 2019, quel sentiment s’était emparé de toi à ce moment-là ?
C’était un sentiment de fierté, car c’était quelque chose que j’avais toujours voulu, depuis de nom- breuses années. Déjà, quand j’étais à Toulouse, j’étais proche de l’équipe nationale, mais des U23. C’est quelque chose dont j’ai toujours rêvé, et quand tu as le sélectionneur au téléphone qui te dit : « Maxime, tu es convoqué pour jouer avec l’équipe nationale
», ça te fait chaud au cœur.
J’avais presque pleuré, j’ai appelé ma mère directement et c’était quelque chose de magnifique, de très fort en émotion.
"Une montée, ça se construit, il faut être
patient"
Tu as le passeport algérien depuis 2012, du coup l’at- tente avait fini par être longue ou tu avais toujours su que ta chance finirait par tourner ?
Je savais que ça allait arriver, que ça allait passer par mes per- formances en club, donc je m’y attendais. J’y ai toujours cru, je savais que ça allait arriver. Il fal- lait juste que je sois patient, que je continue de travailler, mais j’y croyais.
Quelles ont été tes impres- sions en arrivant en sélection
?
Je suis arrivé par la petite porte, car j’étais un joueur de Ligue 2.
J’avais face à moi des joueurs qui étaient champions d’Afrique, j’avais de grands joueurs avec Riyad Mahrez, Islam Slimani, Andy Delort, etc. Donc c’est assez spécial, mais après, je me suis vite intégré, car les mecs
avaient un bon état d’esprit, c’était très fraternel, donc tout s’était très bien passé avec une belle intégration.
Aujourd’hui, quels sont tes objectifs, que ce soit en club ou en sélection ?
En club, ça serait de monter en Ligue 1 avec Valenciennes, forcé- ment. J’y crois. Cette année, c’est compromis, mais l’année pro- chaine ou l’année d’après. Une montée, ça se construit, il faut être patient. Et en sélection, ça serait d’être à nouveau appelé, et ensuite, remporter une Can ou se qualifier pour la Coupe du monde.
"On avait montré qu’en Algérie, on savait jouer au
football et on attend que ça de se qualifier à nou-
veau"
En tant qu’international algé- rien, le rêve ultime serait de remporter une Can avec l’Algérie ?
Pour moi qui n’ai pas participé à la dernière Can, clairement oui.
Se qualifier à la Coupe du
monde, ça serait aussi incroyable.
Tu avais vibré en 2014 lors du magnifique parcours des Fennecs à la Coupe du monde ?
Ah oui (rires). On en parle à chaque fois, mais c’était incroya- ble. On n’avait pas été ridicule, on avait montré qu’en Algérie, on savait jouer au football et on attend que ça de se qualifier à nouveau.
Tu y crois à une nouvelle qualification en Coupe du monde, au vu de la forme de l’Algérie ?
Oui, complètement. Ça ne sera pas facile, car il y a beaucoup de matchs et en tant que pays afri- cain, il n’y en a que cinq qui se qualifient. Donc ça va être compli- qué, mais l’Algérie est capable de la faire. On est capable de le faire.
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RèGLE dU jEU
mACHINEOUTIL OUIE.EPI.HOU
B.E.AGISSENT ILLEGALE.I.T
LA.VETO.BETE INRI.IGNORER
SU.AFFUBLER.
ASANA.E.D.RE
T .DARTREUSES IONISE.SCOUT
OBESITES.USE NIS.SEREUSES
Blague du jour
Un homme entre dans un taxi et demande au chauffeur:
- Conduisez-moi a l'hôtel de ville
Aussitôt le taxi se met en route mais une fois arrivé à un feu rouge celui-ci accélère et passe en trombe devant les autres voitures
- Vous êtes fou dit l'homme ou avez-vous appris à conduire comme ca ?
- Dans ma famille répond le chauffeur on conduit tous comme ça Tout en disant ces mots le taxi arrive à un autre feu rouge. Encore une fois le chauffeur accélère et passe devant les autres voitures
produisant ainsi des accidents monstres derrière lui - L'homme crie: vous allez nous tuer !!
A cet instant le taxi arrive à un feu vert et le chauffeur au lieu de passer freine brutalement.
- Vous êtes complètement dingue dit l'homme. Vous passez lorsque le feu est rouge mais s'il est vert vous stoppez - Bien sur dit le chauffeur. Je ne veux pas prendre de risque. mon
père pourrait passer.
Jean-Claude Clari
Solution
Horizontal
1 - Tout ce qui peut servir à arrêter une hémorragie
2. Provenir de - Plante à fleurs jaunes
3. Un peu maigre - Coup imparable au tennis
4. Enfermé, contenu dans quelque chose - Couleur brun jaune 5. Plans - Partie du foyer 6. Boisson anglaise - Citation tex-
tuelle - Existences 7. C'est-à-dire - Amie
8. Ch.-l. des Pyrénées-Atlantiques - Groupe de trois personnes 9. Grand rideau en tissus léger - Au 10. Instrument chirurgical - Infinitif - Personne ignorante
11. Orient - Individus
12. Concevoir - Alliage de fer et de carbone
Vertical
1. Césure
2. Partition de l'écu engendré par une ligne en zigzag le traversant de part en part - Réseau express régio- nal
3. Marécage sans arbres le long de la mer - Tir
4. Griffe des carnassiers - Paroi sté- rile d'un filon de minerai
5. Liquides se séparant du caillot après coagulation - Interjection
6. Le père, la mère du bisaïeul 7. Scandium - Éprouva un attache- ment
8. Homme politique yougoslave - De la Grèce
9. Indium - Partie creuse, vide d'un objet - Note
10. Division naturelle de certains fruits
11. Plaie - Atome 12. Triple voyelle - Tordre
Mots Fléchés
Mots Croisés
Directeur de la publication Karim Selam
HORIZONTALEmENT
1- Ponceuse
2. Audition. Couette. Sert à conspuer
3. Entrent en jeu 4. Frauduleuse 5. Suit le sol. Refus formel.
Inintelligent 6. Sur la croix. Bouder 7. Connu. Vêtir d'une manière ridicule
8. Posture de yoga. Note 9. Relatives aux dartres 10. Transforme en ions. Éclaireur 11. Corpulences. Délabré 12. Ville de Yougoslavie.
Membranes formées de deux feuillets accolés
VERTICALEmENT 1. Rassemblement
2. Article contracté. Banlieue de Buenos Aires. Ceinture de soie
3. Lieu où circule les avions. Fixés à une autre partie du végétal 4. Psitt. Natif de Évian-les-Bains 5. Doyen. Formes du persan parlée en Iran
6. Cliché. Caboche 7. Palabrer. Infinitif
8. Rivière de France. Niobium. Crochet 9. Chansonnière québécoise (1894- 1941)
10. Récipient très utilisé en Grande- Bretagne. En deçà
11. Atome. Couverte de terre 12. Rivaliser. Langues finno-ougriennes
S
olutionS
olutionHEMOSTA TIQUE
EMANER*INULE MAIGRIOT*ACE INCLUS*OCRE*
SCHEMAS*ATRE THE*SIC*VIES
IE*E*E*MIE*S C**PAU**TRIO
H*VOILAGE*OR ERINE*IR*ANE
*EST*AMES**R CREER*ACIER*
Sudoku
S olution
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P lanète te D la
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Mots Muets
citation du jour
«On ne renonce pas à ses rêves, on les modifie seulement.»
HORTICULTURE .PERIR.AINES GEAI.ONC.EN.
ARCEAU.ESTOC LET .BLA TTE.R
VRILLER.ELFE A.OUIREZ.LEV NONNE.TELE.A IN.CROIRE.ER
SETH.LEOPOLD
S olution
Jardinage
Exalter
Disparaître Premiers-
nés
Deux Il cajole
Filet
Titane Adverbe
Jamais Sainte
En les Faméliques
Petit arc Epée Tuile Classe
Filet Dîner
Ville des Etats-Unis
Insecte Fer Cordon
Génie Tourner
Aucun
Agir Entendrez Lac russe
Argent bulgare Maladie infectieuse
Tomber Religieuse
Média Fleuve tchèque
Réponse A la mode Classement
Quiconque Infinitif Avoir la foi Frère
de Caïn Prénom masc.
Néon
Eliminer
les grains Béryllium
Interjection espagnole Bramer Etudiants
F t b a l l Ligue i mOBiLiS
Après lA défAite enregistrée à skikdA
Le mouloudia s’enfonce dans la crise
La qualification en ligue des
champions n’était qu’un feu de paille puisque sinon comment expliquer le revers enregistré face à l’une des plus faibles équipes du championnat avant-hier.
Désormais, la crise s’installe et va durer au sein de l’équipe.
A
pparemment, les joueurs du Mouloudia ne comprennent pas que le bricolage ne mènera à rien du tout et qu’ils se mettent en difficulté jour après jour lorsqu’ils agissent de la sorte.D’ailleurs, après tout ce qui s’est passé au retour de l’équipe de Tunisie, la rencontre d’avant-hier face à Skikda a confirmé une fois de plus que ce club ne va rien faire et qu’il va se contenter de jouer les seconds rôles en championnat et ne rien faire d’autre. Une situation qui fait que le club de la capitale doit maintenant faire le nécessaire pour que tout se passe parfaitement bien pour la suite du parcours mais pas comme ce qui se fait actuellement car cela ne mène strictement à rien du tout. Ainsi, le club continue de vendanger des points importants et ne sait plus gagner en championnat puisque cette défaite face à l’une des plus faibles équipes du championnat
confirme que cette équipe du MCA n’aura rien à espérer au cours des prochaines
rencontres si ça continue comme ça.
Bourayou s’est totalement troué Propulsé en tant
qu’entraîneur intérimaire par la direction,
Bourayou pensait avoir tout compris mais il n’y est pas mais alors pas du tout. En effet, il n’a à
aucun moment pu faire face ou avoir une stratégie claire
concernant la rencontre.
Pire, aucun fond de jeu et aucun système visible pour l’équipe ce qui a fait que l’adversaire a pu trouver ses marques le plus normalement du monde. De l’autre côté, les changements effectués n’ont
absolument rien apporté de positif. Au final, Bourayou est totalement passé à côté de la plaque et a également une responsabilité dans la défaite enregistrée face à Skikda. En tous cas, il faudra rapidement trouver des solutions car la situation commence à devenir invivable pour le club de la capitale.
F. S.
Ancien membre de lA cellule de recrutement
chaouch : «c’est Oujhani
qui est derrière les maux du club»
Il n’y a pas que les supporters du Mouloudia qui pensent que ce Boualem Oujhani est la principale source des ennuis au sein du club de la capitale.
En effet, l’ancien membre de la cellule de recrute- ment et ancien joueur de l’équipe, Braham
Chaouch pense également qu’Oujhani est là pour détruire le club. Intervenant sur une Web TV pri- vée, il n’a pas hésité à tirer à boulets rouges sur le conseiller du PDG Hakkar : «Je pense que le mal absolu du Mouloudia n’est autre que Boualem Oujhani, le conseiller du président Hakkar. C’est lui qui par magie, est devenu celui qui fait la pluie et le beau temps au sein de la formation algéroise.
C’est lui qui a été derrière le départ de Neghiz qui a dit la vérité. C’est lui qui a ramené son ami d’en- fance et qui vivait dans le même quartier, Almas. Il n’a aucun rapport avec le sport et encore moins avec le football. Ce n’était qu’un gestionnaire d’une maison de jeunes à Bejaïa.»
F. S.
Bourdim sera traduit en conseil discipline
Au cours de la rencontre face à la JSMS et pour montrer que Bourayou n’avait aucune maitrise sur le groupe, il y a cet incident avec Bourdim qui a décidé de ne pas revenir et terminer la rencon- tre. D’ailleurs, un accrochage a eu lieu avec Bourayou qui n’a rien pu faire et qui a juste annoncé le changement de joueurs. Cependant, la direction va apparemment bouger pour traduire le joueur en conseil discipline afin qu’il s’explique sur ce qu’il a fait et surtout qu’il soit sanctionné comme il se doit pour ses faits. Ce n’est pas la première fois qu’on a droit à ce genre de scéna- rios au sein de la formation algéroise du moment que plusieurs incidents depuis le début de saison ont été enregistrés et cela perdure.
Retour après le match
Les joueurs du Mouloudia n’ont pas tardé plus que ça à Skikda. Une fois que le match était ter- miné, les joueurs du club de la capitale ont repris la route. Un retour marqué par plusieurs joueurs qui ont décidé de ne pas rentrer avec l’équipe et qui ont préféré prendre leurs véhicules person- nels, ce qui ne va pas avec ce qui a été décidé mais comme on dit, au MCA, chacun fait comme bon lui semble et sans qu’il n’y ait rien à redire.
Vite, un entraîneur
Après la mascarade d’hier, les dirigeants du Mouloudia n’ont pas manqué de comprendre qu’il doivent désormais faire le nécessaire pour
essayer de recruter un nouvel entraîneur pour la seconde moitié de saison. En effet, Bourayou n’a pas l’étoffe ni la carrure pour diriger une équipe comme le MCA. D’ailleurs, les dirigeants doivent maintenant faire le nécessaire pour que tout se passe parfaitement bien pour la suite du parcours et cela commence par trouver un nouvel entraî- neur capable d’aller remettre de l’ordre au sein de la formation mouloudéenne.
F. S.
mca
(San Francisco) Avec une détermination sans faille, une
Américaine nonagénaire a bravé le froid marchant 10 kilomètres dans
la neige pour se faire vacciner contre la CoVID-19 à Seattle, ont
rapporté les médias locaux.
Fran Goldman, 90 ans, ne parvenait pas à trouver un
rendez-vous pour recevoir sa première dose du vaccin
contre le coronavirus donc lorsqu’un créneau lui a été
attribué, il était hors de question que les intempéries
la détournent de son objectif, a-t-elle raconté au journal Seattle times.
Malgré l’épaisse couche de neige qui s’était déposée sur la ville, rendant un trajet en voiture impossible, Mme Goldman a enfilé ses bottes, saisi ses bâtons de marche, et n’a pas hésité à parcourir, à l’aller et au retour, les 5 kilomètres qui la séparaient de la clinique
qui administrait les vaccins.
« Ce n’était pas facile, c’était un défi
», a confié Mme Goldman au quotidien, précisant qu’elle s’était fait poser une prothèse de la hanche l’année précédente.
« J’ai marché assez lentement », a-t- elle raconté à l’émission today.
Fran Goldman est effectivement arrivée avec 5 minutes de retard à son rendez-vous.
« Elle est vraiment admirable et elle possède cette mentalité la conduisant à ne pas se laisser bloquer par l’adversité
», a commenté sa fille, Ruth Goldman, dans le Seattle times.
Premier League : Manchester United / Burnley
insolite
Notre Notre
sélection sélection
une Américaine de 90 ans marche 10 km dans la neige pour se faire vacciner
"Est-ce que les machines pensent": c’est ce que vise à démontrer le test de turing, fondé sur la faculté d’imiter la conversation humaine. En 1950, dans son article "Computing Machinery and Intelligence", le mathématicien Alan turing propose un test pour déterminer si une machine est
"consciente".
L'expérience consiste à confronter quelqu'un, à la fois à un ordinateur et à un autre humain, avec lesquels il communique via messages écrits pendant 5 minutes. Si la personne est incapable de distinguer l'ordinateur dans plus de 30% des cas, alors ce dernier est considéré comme "intelligent".
Des sessions de tests de turing sont organisées depuis plus de 20 ans et la stratégie des robots a évolué avec le temps. A l’origine, les ordinateurs essayaient simplement de comprendre les questions des juges. A présent, il s’agit de répondre à la manière d’un vrai humain.
Récemment, les candidats ont commencé à changer de sujet, poser des questions, simuler des humeurs et des fautes de frappe.
La force d’Eugene a été de lui attacher la personnalité d’un garçon de 13 ans. "Notre idée conductrice était que [l'] âge [d'Eugene] rend parfaitement plausible qu’il ne sache pas tout", explique Vladimir Veselov. Cela rend également ses attributions comme les fautes d’orthographe plus vraisemblables que venant d’un adulte”. "Nous avons passé beaucoup de temps à développer un personnage avec une personnalité crédible", ajoute-t-il. L’université de Reading affirme que, jusqu’à présent, aucune machine n’avait réussi ce test. Le communiqué de presse de l’université de Reading sur la victoire d’Eugene fait allusion aux autres victoires proclamées, soutenant que c'est la première fois que les sujets de conversation n'ont pas été définis à l'avance.
En 2011, "Cleverbot", un logiciel capable de
discuter en temps réel mais également d’apprendre de ses conversations pour enrichir ses discussions, avait persuadé 59,3% des votants qu’il était humain. Mais pour ses détracteurs, Cleverbot a surtout prouvé sa capacité à imiter l’intelligence plus que montrer sa propre intelligence. "Est-ce que vous considéreriez un adolescent comme le summum de l’intelligence humaine ? Sûrement pas", expose une journaliste de "New Scientist". "Passer le test de turing est considéré comme la preuve que les machines nous dépassent, puisqu’elles peuvent parfaitement imiter les gens. Mais cela n’implique pas quelle personne la machine doit imiter pour réussir le test, ce qui soulève la question de savoir si un garçon de 13 ans compte vraiment."
"Le test de turing en est venu à symboliser l’intelligence artificielle, mais il ne teste les machines que sur leur capacité à discuter - et les gens sont capables de bien plus", dit encore "New Scientist".
15 h 57
un ordinateur passe le test de Turing : pourquoi c’est important
FootBALL
FootBALL
09:15 Auto Moto 10:05 Téléfoot
11:00 Les douze coups de midi
11:45 Petits plats en équilibre
11:55 Habitons demain 12:00 Journal
12:40 Reportages découverte
13:50 Grands repor- tages
15:10 Les docs du week-end
16:15 Sept à huit Life 17:20 Sept à huit 19:00 Journal
19:45 Habitons demain 19:50 Petits plats en équilibre
20:05 Ant-Man et La Guêpe
22:20 Ant-Man
15:50 Le journal des Bleus
15:55 Affaire conclue, tout le monde a quelque chose à vendre
16:40 Antidote
17:40 Les enfants de la télé
18:25 Les Enfants de la télé, la suite
19:00 Journal
19:30 Magazine d'infor- mation
19:55 Les Etoiles du sport
19:59 Une minute pour s'engager
20:00 Ouh là l'Art!
20:05 First Man : le pre- mier homme sur la lune 22:25 16 levers de soleil
00:35 Histoires courtes
11:55 Les nouveaux nomades
12:35 Cuisine et dépen- dances
14:10 Cyclisme 16:55 Le grand Slam 17:50 Agissons avec Jamy
17:55 Simplissime 18:00 Journal 18:30 19/20 : Journal national
19:05 Stade 2
19:50 Destination 2024 20:05 Meurtres en eaux troubles
21:35 Meurtres en eaux troubles
23:10 Meurtres en eaux troubles
00:40 Des racines et des ailes
09:58 Motocyclisme 10:29 Plateau sport 11:10 Motocyclisme 12:24 La grille Moto 12:57 Motocyclisme 13:52 Automobilisme 15:50 Plateau sport 15:57 Football 18:01 Canal Football Club
19:57 Avant-match Ligue 1
20:00 Football 21:56 Canal Football Club Le débrief 22:39 Plateau sport 22:46 Divertissement 23:13 Destruction finale
09:50 Turbo 10:20 Turbo 11:30 Sport 6 11:45 Journal 12:25 Scènes de ménages
12:50 Recherche appar- tement ou maison : que sont-ils devenus ? 14:30 Maison à vendre 16:20 66 minutes 17:40 66 minutes : grand format 18:45 Journal 19:10 Sport 6 19:25 E=M6 20:05 Capital 22:10 Enquête exclu- sive
23:25 Enquête exclu- sive
00:40 Enquête exclu- sive
09:41 Rugby 11:23 Divertissement 11:35 Jour de Ligue 1 11:55 Football 13:56 Football 16:00 Football 18:00 Rugby 19:43 Sport Reporter 20:15 Plateau sport 20:30 Automobilisme 22:31 Football 00:14 Golf
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13:30 Tennis
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Le programme d’aujourd’hui
port port
s T élé
20 h 00
Ligue 1 Uber Eats : FC Nantes / OL
09:50 Génération Hit machine
10:40 Génération Hit machine
11:50 Enquêtes crimi- nelles
14:00 Enquêtes crimi- nelles
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F t b a l l LiguE i MOBiLis
La reprise a eu Lieu hier
Cap sur le Coton sport
Après une journée de repos avant-hier les kabyles ont repris hier soir le chemin des entrainements au stade du 1er novembre pour
préparer les prochains rendez-vous. Les équipiers de Souyad ont entamé en effet la préparation du match face a couton sport qui se jouera mercredi prochain au
Cameroun.
C
e match rentrant dans le cadre de la 5eme journée de la phase des poules de cette coupe de la CAF . Un match décisif pour les kabyles qui joueront leur destin pour la qualification en prochain tour de cette compétitioncontinentale . En effet ils sont condamnés a ne pas perdre lors de ce match en revenant au moins avec le match nul pour préserver leurs chances pour passer . En effet en cas de défaite la JSK risque d’être éliminé sachant que Berkane affrontera la modeste équipe de Napsa stars qui est déjà éliminé dans ce groupe et le club marocain est pressenti pour gagner son match en Zambie . Communiquant beaucoup avec ses capés le coach Lavagne axe son travail sur le plan
psychologique. Il veut en fait
voir des guerriers lors de ce match pour prétendre a réaliser un bon résultat et faire un grand pas vers la qualification. Après la défaite concédé a sétif face a l’ESS le coach kabyle veut voir un visage meilleur de ses poulains. Ayant une idée sur l’adversaire de son club le coach kabyle préparera ses armes pour cette importante
confrontation. Son seul objectif est que son équipe réalise une belle opération avant d’accueillir la modeste équipe de Napsa stars au stade du 1er novembre lors de la dernière journée
Le coach alignera tous ses cadres
Avec la grande importance de ce match de mercredi le coach Lavagne fera jouer ses joueurs titulaires lors de cette rencontre face au représentant
camerounais. Après avoir apporté des changements lors du match du championnat face a l’ESS joué jeudi passé, Lavagne reconduira a nouveau l’équipe habitué a jouer les matchs de la coupe de la CAF . Il utilisera toutes ses cartes gagnantes mercredi pour piéger cette équipe de couton sport et réaliser une belle opération lors de cette importante confrontation.
Il veut a tout prix que son club renoue avec les bons résultats après la défaite de Sétif afin de continuer la suite du parcours avec un bon moral
Les joueurs veulent relever le défi
Critiqué après le faux pas concédée face a Berkane lors de
la précédente journée puis face a l’ESS en championnat , les joueurs kabyles veulent se racheter dés ce match face au couton sport. En dépit qu’ils joueront dans des conditions difficiles notamment le climat les équipiers de Hamroun comptent cependant relever le défi.
Ils comptent tout faire pour réaliser une belle opération pour prendre une option vers la qualification avant le dernier match face au Napsa stars
A .s
Bencherifa et Hamroun opérationnels
Dispensés lors du match de jeudi passé face à l’ESS vu qu’ils soufraient de petits bobos, l’arrière gauche Walid Bencherifa et l’attaquant Rezki Hamroun seront opération- nels pour le match de mercredi face au couton sport en coupe de la CAF . Leur retour est venue au bon moment sachant qu’ils sont des cadres de l’équipe. Le staff tech- nique comptent beaucoup sur eux pour apporter un plus et aider aider ainsi l’équipe a revenir avec un bon résultat
; les deux joueurs comptent bien préparer ce match et tout faire pour aider leur club a réaliser une belle opéra- tion et se rapprocher ainsi de la qualification au prochain tour
La délégation kabyle ralliera le Cameroun aujourd’hui
La délégation kabyle devra rallier le Cameroun aujourd’hui dimanche sur un vol spécial pour affronter le couton sport mercredi prochain dans cette coupe de la CAF . Les dirigeants kabyles comptent tout faire pour mettre les joueurs dans de bonnes conditions pour prétendre à réa- liser une belle opération lors de cette confrontation très importante. en décidant de partir tout a trois jours du match les dirigeants veulent que les joueurs d’adaptent au climat pour prétendre a réaliser un bon résultat
Les joueurs toucheront un saLaire avant Le coton sport
Mellal joue la carte motivation
Selon une source autorise la direction kabyle a versé un salaire aux joueurs qu’ils toucheront avant le match de mercredi prochain face au couton sport. Par ce geste le président Mellal veut motiver ses poulains pour se donner a fond pour revenir avec un bon résultat et augmenter ainsi leurs chances de se qualifier lors de cette compéti- tion continentale. Le chairman kabyle veut que ses joueurs se concentrent seulement sur leurs matchs et ne pas trouver d’excuses en cas de contres performances
Benchaira :
«On doit oublier le match de l’Ess»
Le milieu de terrain Mohamed Benchaira affirme que lui et ses équipiers sont déçus par la défaite concédé face a l4ESS . Toutefois le joueur affirme qu’ils doivent oublier ce match et se concentrer sur le match de la coupe de la CAF face au couton sport « on est déçu par la défaite concédée face a l’ESS. On a joué ce match avec la ferme intention de réaliser un bon résultat toutefois on n’a pas réussi notre objectif. Cependant on doit oublier ce match et se concentrer sur celui de couton sport qui sera décisif pour la suite du parcours » a déclaré Benchaira
«On saura prêts pour le Coton sport»
Le milieu de terrain kabyle Mohamed Benchaira affirme que son club préparera convenable- ment le match face au couton sport qui est très important pour la suite du parcours . Le joueur estime que lui et ses équipiers seront prêts pour cette importante confrontation
« après le match joué face a Sétif on préparera maintenant ce match de la coupe de la CAF qu’on jouera face a couton sport. On se donnera a fond et on fera tout pour qu’on soit prêts pour ce rendez-vous.
C’est un match très important pour nous et notre seul objectif est de bien le négocier »
«On jouera pour un résultat positif»
Questionné sur le match en lui- même le joueur a avoué qu’il sera très difficile face au leader du groupe qui veut aussi la victoire pour se qualifier. Cependant il affirme que lui et ses équipiers joueront le match avec la ferme intention de réaliser un bon résultat pour faire un grand pas vers la qualification « le match sera très difficile face au couton sport qui est le leader du groupe pour le moment. Sans doute notre adver- saire fera tout pour nous battre et assurer sa qualification.
Cependant on ne se déplacera pas dans la peau de la victime mais pour chercher un résultat positif pour augmenter nos chances de se qualifier » a ajouté le joueur
«On veut procurer de la joie à nos supporters »
Pour clore son intervention le joueur a demandé aux supporters de rester derrière l’équipe toute en leur promettant de tout faire pour leur procurer de la joie « on demande a nos supporters de res- ter derrière l’équipe et de nous soutenir que ce soit les conditions.
Avec leur soutien je reste persuadé que l’équipe réalisera de belles choses lors des prochains rendez vous . Je leur promets qu’on tant que joueurs on ne lésinera pas sur les efforts pour réaliser de belles choses pour leur procurer de la joie a chaque fois inchaalah » a conclut le joueur son intervention
A .s