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Edito : Rien ne sera plus comme avant

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Academic year: 2022

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Edito : Rien ne sera plus comme avant

Août 2020 www.facebook/LaMuletaArles.com

Lamuleta.arles@gmail.com

A

utant vous dire qu’écrire ce papier m’a bien plus qu’interrogé, il m’a coûté au regard des souffran- ces engendrées mais aussi de grandeur d’âme démontrée, au péril de leur vie, par certaines pro- fessions aux premiers rangs desquelles, les soi- gnants. Faire comme si rien ne s’était passé ? Dérisoire vont nous paraître nos occupations au regard de nos préoccupa- tions. Comment après un tel évènement revenir à nos tau- reaux ? J’ai longtemps balancé entre deux options : réalité ou légèreté ? J’ai choisi les deux car pendant ce confinement, et fort heureusement, la légèreté nous a distraits d’une réalité oppressante.

Revenons à nos taureaux et regardons la réalité. Elle est en effet inquiétante voire peut être fatale pour certains acteurs des tauromachies, et tout d’abord les éleveurs. La Muleta a immé- diatement répondu à l’initiative d’une association d’aficionados

« Soutien aux Toros de France » en versant un chèque de 300 euros pour abonder une cagnotte qui leur a été reversée. Par ailleurs, nous organiserons une journée au campo le 27/09 pour aider éleveurs et novilleros (*) Nombreux seront les tau- reaux qui resteront au campo et qu’il faudra nourrir ou qui parti- ront au matadero. Un gâchis. Sans oublier les cuadras de ca- ballos. Déception pour tous ces novilleros qui rêvaient d’un futur. Et puis quelques interrogations. Au-delà d’une inquiétude

légitime, comment le public va t-il renouer avec la corrida ? Cette trop longue parenthèse ne l’aura-t-elle pas détourné ? Les liens ne se seront-ils pas trop distendus surtout pour ce public occasionnel ? Ce virus va-t-il accélérer les tendances déjà à l’œuvre : honoraires exorbitants des figuras alors que les cuadras de caballos sont à l’agonie, effet d’aubaine pour certains en se débarrassant du « fardeau » taurin ou bien pour d’autres en proposant des spectacles dans l’air du temps où le mono-encaste va continuer à inonder nos arènes de toros so- porifiques ... ? Comme le dit joliment Christian Bobin « Le mal s’insinue dans l’air du temps. Comme l’eau sous la porte. D’a- bord presque rien. Un peu d’humidité. Quand l’inondation sur- vient, il est trop tard.» Et nous sommes plus proches de l’inon- dation que de l’humidité.

Rien ne sera plus comme avant ! Voilà la petite musique que l’on entend dans notre pays. Et si le monde des toros en profi- tait pour y réfléchir et rebattre les cartes. Cela tombe bien, La FSTF a lancé les Etats Généraux de la Tauromachie et vous invite à répondre à ses questionnaires ; ce que vous avez fait en grand nombre.

Côté légèreté, l’année 2020 avait bien débuté avec les meil- leurs vœux et surtout la santé. Pour nous contrarier, un virus venu de Chine a submergé l’Europe, se transformant rapide-

ment en pandémie, avec des malades asymptomatiques, nous obligeant à respecter le confinement, les gestes bar- rières et en particulier la distanciation sociale avec port du masque. Marseille s'illustra avec son bon vieux savon, et un professeur emblématique. Nous sommes devenus des ex- perts. Expert en géographie : Wuhan se trouve bien en Chi- ne, en infectiologie: il faut dire LA Covid et non coronavirus, en pharmacologie : ce n’est pas de la chloroquine mais de l’hydroxychloroquine, en terminologie : on différencie épidé- mie et pandémie, en prophylaxie : un malade asymptomati- que doit garder une distanciation sociale. Mais là où nous avons été performants, créatifs, inventifs, ingénieux c’est en plaisanterie : messages, caricatures, détournements d’ima- ges, mise en scène, photomontages, vidéos… et je dois dire que la corrida a été parodiée plutôt avec bon goût.

Toujours côté légèreté et humour, je me suis demandé à quoi pourrait bien ressembler notre temporada 2021 au regard des évènements de 2020. Déjà je vois se profiler un grave danger pour l’aficionado. Un nouveau virus va galo- per et se répandre dans des nombreuses arènes : le Toro- navirus. Ayant tiré tous les enseignements des évènements de 2020, ce virus, redouté de nos figuras va leur imposer un geste barrière : la distanciation animale. Hier dans la pré- caution, aujourd’hui dans la distanciation. Je vous l’avais dit ; rien ne sera plus comme avant !

Yannick Jaoul

* voir page informations.

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La Muleta a rencontré les candidats aux Municipales.

A

vant les élections municipales, nous nous som- mes posé une question : devions-nous aller à la rencontre des différents candidats pour connaître leurs positions et leurs propositions sur les tauro- machies et en particulier sur la corrida ? Evidem- ment nous sommes légitimes de nous mêler de ce qui nous regarde.

Nous le sommes en qualité de société taurine qui, toute l’an- née, défend et promeut la fiesta brava, anime les ferias, orga- nise des rencontres taurines, remet des trophées, créé du lien avec ses rendez-vous du samedi et avec la diffusion de son journal, aide les jeunes avec son bolsin et sa tienta, arrive à réunir plus d’une centaine de membres lors de son assemblée générale… Nous le sommes surtout par les 300 membres is- sus de tous les milieux sociaux et qui adhèrent aux valeurs de La Muleta que sont l’intégrité et la diversité du toro, l’authentici- té et la loyauté du combat. Nous le sommes parce que La Mu- leta fait partie du paysage et appartient au patrimoi-

ne arlésien, sans discontinuer et ce, depuis 114 ans. Donc la question ne s’est pas posée en ces termes.

Comment dit-on ? « Chat échaudé craint l’eau froi- de ». Ainsi pourrait-on résumer par ce proverbe, l’état d’esprit de nombre d’entre nous. Ne nous appesantissons pas sur le passé.

Unanimement les 24 membres du C.A ont adhéré à l’idée d’une nécessaire et incontournable rencontre avec les candidats aux municipales, car là était notre place. Nous l’avons fait parce que ruminer le passé désespère l’avenir et si on avait une raison de garder espoir dans cet avenir, elle tiendrait dans ce magnifique dessin de bonne année 2020 en- voyé par Eugène 10 ans, et déjà membre de La Muleta. Donc, regardons devant nous. Nous avons reçu les candidats. Les discussions ont toutes été amicales et les échanges fructueux. Nous avons fait part de nos points de vue dont voici les princi- paux : une CTEM réduite (20 à 25 membres) pour que les discussions soient profitables. Parmi les membres de cette CTEM, les différents clubs tau- rins de la ville doivent y être représentés par 2 voi- re même plutôt 3 membres afin qu’il y ait un équili- bre entre membres cooptés qui représentent eux-

mêmes et membres des clubs taurins qui représentent plu- sieurs centaines d’aficionados, un cahier des charges discuté dans cette commission, l’application du règlement taurin, le choix et le fonctionnement des présidences, mais surtout une politique taurine conçue sur un équilibre entre les deux sensibi- lités taurines qui sont le fondement et la signature de l’aficion arlésienne.

Voilà quelques éléments, parmi d’autres, que l’on a soumis aux candidats. Tous nous ont déclarés leur ferme intention de défendre les tauromachies et leurs règlements, d’être à l’écou- te et aux côtés des clubs taurins et de rompre avec certaines pratiques. Nous attendons de l’équipe de Patrick de Carolis et d’Emmanuel Lescot, l’élu en charge du dossier, d’entreprendre ce changement.

Si c’est le cas, La Muleta est prête à y participer.

Le Bureau de La Muleta

In Memoriam : Mario Coelho

Nous l'avions rencontré au cours de notre voyage à Vila Franca de Xira, sa ville natale.

Cette matinée passée avec lui restera inoubliable avec la visite de sa maison musée et du mu- sée dédié à sa longue carrière de torero. Mario Coelho s'en est allé victime du coronavirus. Une belle personne, chaleureuse, émouvante, passionnée et qui restera dans nos souvenirs.

Eugène - Vœux 2020

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Beaucaire : une mémorable tarde de toros .

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n cette année pareille à nulle autre où la tempo- rada a été mise entre parenthèses pour préser- ver la santé de chacun, une huitaine d'irréducti- bles aficionados beaucairois du nom d'ATB a tenu à proposer sa tarde de novillada annuelle dans les arènes Paul LAURENT le dimanche 26 juillet 2020.

Afin de saluer l'audace et la détermination de tous ceux qui ont permis le maintien de cet événement, mais aussi de leur apporter un soutien bien mérité, La Muleta était présente en nombre dans les gradins, une cinquantaine de places avaient été réservées pour l'occasion.

Sur le papier, un cartel séduisant, un desafío ganadero entre Conde de la Corte et Dolores Aguirre. Face à eux, trois jeu- nes guerriers, José CABRERA, Francisco MONTERO et José Antonio VALENCIA, impatients de prouver aux tendidos ce qu'ils avaient dans le ventre.

Mais revenons à l'essentiel, les toros. Cette année Conde de la Corte fêtait son siècle d'existence, ce desafío était donc très attendu. Bien que beaux et bien présentés, les Conde de la Corte se sont montrés décevants, faibles et fuyants, parti- culièrement le troisième. En revanche, les Dolores Aguirre ont révélé toute la palette comportementale attendue, bravoure et mansedumbre au rendez-vous, vuelta au cinquième toro et un sixième exemplaire remarquablement manso.

Le premier Conde de la tarde, lidié par José CABRERA, a manqué de bravoure et s'est montré court de charge. Avis et silence. Nous avons noté l'envie de CABRERA, qui a accueilli son premier toro a portagayola et a lui-même banderillé ses toros, pénalisé cependant par son manque d'expérience. Le premier Dolores, brave et combatif, le mettra en difficulté, de sorte que le novillero sera dépassé par son adversaire.

Francisco MONTERO a débuté sa tarde avec un Conde de la Corte faible et fuyant. Il a malgré tout tenté de dominer ce toro. Une belle estocade lui rapporte une oreille réclamée par le public. Comadroso, cinquième novillo de Dolores Aguirre, a marqué la tarde par un tercio de trois piques d'exception, la première renversant la cavalerie. MONTERO accueille son toro par une portagayola suivie de quelques passes de rodillas avec le capote de paseo. Il a montré la pureza et la véracité de son toreo, mais son adversaire exigeant l'a poussé dans ses retranchements et une mise à mort difficile ne lui a pas permis de triompher, sinon de faire un tour de piste en invitant son pi- cador à le rejoindre. Ce novillo extraordinaire a également été honoré par une vuelta.

José Antonio VALENCIA a rencontré un Conde de la Corte superbe de présentation, mais lui aussi faible. Son envie de bien faire ne ré- soudra pas cet obstacle majeur. Son second exemplaire ne lui portera pas plus de chance, ce toro fuyant cape et che- val, d'une manse- dumbre rarement observée, avant trois rencontres violentes surpre- nant le public. Le toro s'est éteint dès le début de la fae- na et est mort bou- ché fermée.

Le jury, dont deux membres de La

Muleta faisaient partie, a remis en piste l’oreille d'or du meilleur novillero à Francisco MONTERO et le trophée du desafío gana- dero au Mayoral de Dolores Aguirre. Les banderilles n’ayant pu être évaluées car posées pour la plupart par les novilleros eux- mêmes n'ont pas été primées, mais les aficionados présents se sont réjouis de cette recrudescence de novilleros banderilleros.

Enfin, deux prix ont été décernés aux picadors ayant rencontré les deux derniers exemplaires de l'après-midi, dont Jean-Loup AILLET, qui a mérité ce second trophée du meilleur piquero tant son toro était manso et retors.

Alice AUPHAN et Benoit BRÉMOND

Photos : capture d’écran www.torobravo et www.corrida france

Belle arrancada de Comadroso

Francisco Montero

Alice Auphan remet le trophée de l’ATB au mayoral de Dolorès Aguirre

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L

a temporada 2020 de la course camar- guaise a commencé début juillet en respectant scrupuleusement les mesu- res sanitaires imposées par les autori- tés. La fédération, en accord avec les raseteurs, les manadiers, les organisa- teurs, a décidé de suspendre les compétitions traditionnelles (Trophées des As, Honneur, Avenir, Trident d’or, Vaches Cocardières) et par consé- quent de supprimer le décompte de points.

Beaucoup de clubs taurins ont annulé leurs cour- ses ne pouvant respecter le protocole imposé, d’autres les ont remplacées par des courses de Ligue moins onéreuses et pour lesquelles la FFCC avait donné la possibilité aux organisateurs d’inviter 4 manades. Ces courses permettent aux éleveurs d’évaluer leurs taureaux jeunes et aux jeunes raseteurs stagiaires de s’y confronter.

Ne pas décompter les points a probablement per- mis de voir de très belles courses. Des compéti-

tions ont lieu même s’il n’y a pas de Trophées des As. Ainsi la Pal- me d’Or à Beaucaire s’est déroulée sur une seule journée et Vin- cent Marignan s’est imposé. Joachim Cadenas a étalé toute sa classe lors du week-end du 15 août avec Marlou de Laurent et Timoko de Lautier au Grau du Roi pour le Trophée de La Mer et aux Saintes pour les Impériaux.

A Arles la Cocarde d’Or est finalement programmée le 11 septem- bre dans le cadre de la Feria du Riz.

Au niveau Avenir, là aussi un leader se détache : Tom Charrade qui a montré son talent non seulement lors de la finale de la Ceri- se d’Or à Remoulins face à Rigau de Saumade et Palun de Méja- nes, mais aussi lors de ses apparitions au As comme à Sommières ou Beaucaire en se hissant au niveau des meilleurs raseteurs.

Coté taureaux niveau As, Muiron du Ternen, Cupidon de Paulin, Marlou de Laurent, Timoko et Mythron de Lautier, le Biou d’ Or 2019 Landié de Nicollin se sont mis en valeur.

Chez les plus jeunes, on relève Palun de Méjanes, Jaquet et Sou- quet de Guillerme, Aspirant de Cavallini, Bolero de Lautier , Colbat et Rigau de Saumade.

En Ligue de nombreux jeunes bious se montrent prometteurs pour la saison prochaine ... en espérant que ce maudit virus soit enfin vaincu.

Max Vanel

Course camarguaise : le point à mi-saison

capture d’écran La Provence.com

capture d’écran lacapelado.com

Pendant la période de confinement, notre practico et non moins docteur ès tauromachie Daniel Giani nous avait concocté un jeu concours ouvert aux membres mais aussi aux lecteurs de notre page Facebook.

L’ objectif était de vous distraire, mais aussi de vous instruire en vous faisant connaître quelques anecdotes dont le milieu taurin regorge.

Le premier prix est revenu à Lilian Pech qui a totalisé 19 bonnes réponses sur 20 . Enhorabueno !

Jeu concours des Muleteros confinés

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In Memoriam : Elisabeth GIBELIN-SERRE

Une amie chère vient de partir, nous souhaitions lui rendre ce dernier hommage . Cet être cher, nôtre Zaza qui va tant nous manquer a su créer cet atelier de Sévillane, lui insuffler ce qu’il manquait pour que cela existe.

En effet, sa détermination, sa joie de vivre, son envie de donner et de danser a pu faire de cet atelier, un lieu de partage.

Elle était le trait d’union entre notre belle Société Taurine, les services de la mairie et les membres de l’atelier.

Nous pourrions effectivement en citer des anecdotes, mais en un mot, une femme entière, qui aimait faire le bien autour d’elle.

Merci de m’avoir passé le flambeau de m’avoir fait confiance . Tu vas nous manquer .

Florence Bas et France Perrier

In Memoriam : Jean-Marie Magnan

Après avoir lutté jusqu’au bout contre la maladie, avec beaucoup de dignité, y compris lors des derniè- res ferias en venant participer à la préparation de la sangria avec son éternel sourire et sa bonne hu- meur, Zaza vient de quitter le « tablao » de la vie.

C’est sûr, nos CA et nos ferias sans Zaza ne vont plus avoir la même saveur. Qui va nous demander d’installer une caravane dans la cour de la bodega pour que ses sévillanes puissent se changer avant leur spectacle ? Et puis, qui va demander avec insistance à nos DJ de respecter scrupuleusement les enchainements des musiques choisies pour les soirées de Feria ?

Zaza c’était aussi et surtout un membre important du CA, de l’équi- pe Bodega au sein desquels son infatigable dévouement, sa géné- rosité, son engagement, mais aussi son exigence et son intégrité caractérisaient son action.

Zaza n’était pas seulement à l’origine de l’Atelier sévillane de La Muleta en 2002, elle partageait et illustrait aussi pleinement les valeurs de la tauromachie éthique et intègre que défend La Muleta.

Nous ne l’oublierons pas.

La Muleta présente ses sincères condoléances à toute sa famille, nombreuse et chaleureuse.

Avec le décès de Jean-Marie Magnan, survenu le 21 juillet dernier dans sa 91e année, c'est l'un des principaux écrivains taurins de la fin du XXe s, qui disparaît. Il était bien connu à La Muleta, où il aimait venir voir les corridas au siège, surtout pour y suivre ses toreros préférés.

Magnan est né le 4 décembre 1929 à Arles. C'est par un grand -oncle qu'il considérait comme son grand père, Claudius Ven- ture, ami de Pouly II Brésillon, qu'il fut initié à la corrida. Le jeune Jean-Marie le voyait partir avec curiosité les jours de course, où il était placeur pour le Club Taurin Pouly III, « le visage distrait traduisant une tension ignorée et réfléchis- sait à je ne sais quoi d'impénétrable » 1. Ce n'est qu'après la Libération qu'il assiste à ses premières corridas. La Fiesta Brava deviendra une part les plus importantes de sa vie avec l'art et la littérature, au point qu'il en viendra à écrire pour défendre ses convictions. On a beaucoup vu Magnan comme un torerista irrécupérable, thuriféraire de Maestros dont il « tombait amoureux ». Mais je puis affir- mer que Jean-Marie était aussi plus torista que beaucoup.

Il connaissait parfaitement le toro de combat. Dès qu'il le voyait entrer et se mouvoir dans le ruedo, il le jugeait très vite et se trompait très rarement...

La longue vie de J.-M. Magnan et son œuvre taurine 2 correspondent bien à l'histoire de la corrida en France depuis la Libération. Ses débuts. Son essor avec la com- petencia Dominguin-Ordoñez. Le « règne » du Cordobés et la période « bling-bling » des années 1980. Avant la crise que l'on subit aujourd'hui, dont le dernier épisode, dû au Covid 19, ne lui a pas permis de voir ses ultimes cour- ses pour Pâques et Pentecôte. Si Magnan ne connaîtra

pas l'évolution que la tauromachie va vivre dans un futur deve- nu incertain, souhaitons que la Fiesta Brava puisse poursuivre son chemin longtemps encore...

Remi VENTURE 1. J.-M. Magnan.- Démons et merveilles de la corrida.- [s.l. ] : Ed. Tauronautes, 2013, p. 212.

2. Sans parlers de ses nombreuses chroniques, quinze ouvra- ges parus entre 1963 et 2013...

Novembre 2007, au siège de La Muleta

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INFORMATIONS

Dans cette période difficile, comme vous pouvez le constater, nous essayons de garder un minimum d’activité afin de faire vivre votre aficion . A ce jour, environ 30 % des membres n’ont pas réglé la cotisation 2020, ce qui est compréhensible dans la situation actuelle.

Toutefois, ceux qui sont en mesure de le faire, peuvent envoyer un chèque au siège ou bien venir un samedi midi au petit comptoir. Un grand merci pour votre fidélité.

Comme vous avez pu le constater, nous essayons de vous tenir informé le plus rapide- ment possible. Pour cela une adresse mail nous est fort utile. A ce jour il y encore 70 ad- hérents qui ne nous ont pas fourni leur adresse mail.

Pour ceux qui en sont pourvu, merci de nous la faire parvenir à l’adresse suivante :

lamuleta.arles@gmail.com

Rappels utiles :

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