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Moyen-Chari oriental Evaluation par

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

KAFANDO

Claude

Montant

Conseiller

temporaire

03 BP 7009 Ouagadougou 03

Burkina

Faso

Tel

:00226 50 30 87 90 Cel z 00226 70 15 50 92

00226 76 65 24 22

COULIBALY

Siaka Assistant de recherche

OMS/APOC

03 BP 549 Ouagadougou 03

Burkina

Faso

Tel200226 50 34 29 59 Cel200226 70 28 72 92

RAPPORT DE MISSION

Evaluation épidémiologique simple par la méthode de la biopsie cutanée exsangue dans 60 villages des

régions du Logone Occidental, du Logone oriental et du Moyen-Chari au Tchad

Période du 20

juin

au 06

aoîtt

2012

(2)

lntroduction

Le Programme Africain de lutte contre l'Onchocercose (APOC) a organisé

en

collaboration avec

le

Programme National de Lutte contre l'Onchocercose

(PNLO)

au Tchad, une

mission d'évaluation

épidémiologique simple dans

les villages

relevant des régions du Logone occidental, du Logone oriental et du Moyen Chari. Cette mission s'est déroulée du 20

juin

au 06 août 2012.

Le

Tchad est un pays membre du Prograrnme

Africain

de

lutte

contre l'Onchocercose.

Au

début les activités étaient basées par la méthode de cartographie épidémiologique rapide de l'onchocercose (REMO) à travers la technique de palpation des nodules.

Pour lutter contre cette

endémie,

la

stratégie

du Traitement par l'Ivermectine

sous Directives Communautaires

(TIDC) aété

lancée dans ces localités

vers

1995. Après

l7

années de mise en ceuvre

du TIDC

dans ces communautés,

il

est apparu

utile

de vérif,rer

le

niveau actuel de l'endémie onchocerquienne à travers une mesure de la prévalence de l'onchocercose (prévalence

en microfilaires) et de la

charge

microfilarienne dans la

communauté. Cela permettrait également

d'avoir

une idée de l'impact de l'ivermectine sur la cécité des rivières.

L'outil actuel le plus approprié pour effectuer cette mesure est

l'évaluation épidémiologique de villages indicateurs utilisant la procédure ou méthode de la biopsie cutanée exsangue.

Elle

a consisté à aller dans la communauté et vérif,rer

si oui

ou non le parasite

y

est toujours

et à

quelle proportion. Rappelons

qu'une

1è" évaluation

avait

déjà eu

lieu en

2OOg.

L'enquête a été conduite dans les villages choisis par

l'unité

CEV

d'APOC

I. Objectifs de la mission d'évaluation

Les objectifs de l'évaluation étaient de :

1. Améliorer les

compétences

de l'équipe de

surveillance

du PNLO du Tchad sur

la méthode

d'évaluation

épidémiologique simple des

villages

Oncho

par la

méthode de biopsie cutanée exsangue ;

2.

Déterminer le niveau de prévalence et la charge en

microfilaires

de l'onchocercose chez les habitants des villages à évaluer

II. Résultats attendus

A

la

fin

de

l'activité,

la prévalence en microfilaire et ainsi que la charge microfilarienne communautaire

(CMFC)

sont disponibles pour chaque village évalué.

III. Méthodologie

La méthodologie a consisté à :

- Accomplir les formalités

administratives suivies des salutations d'usage des autorités sanitaires, administratives et coutumières ;

(3)

Informer

les autorités locales de

la

province

et

des villages sur les activités à réaliser à

savoir les examens para cliniques pour déterminer la charge en microfilaire

des populations exposées au risque de transmission de la maladie ;

Organiser un atelier de formation des membres de l'équipe du

PNLO

sur les méthodes de

l'évaluation épidémiologique de l'onchocercose ;

Elaborer un chronogramme des activités et préparer les outils de collecte des données ;

Sensibiliser

la population de

chaque

village sur

l'onchocercose

par les

membres de I'équipe et sur les risques pour les personnes qui ne se traitent pas à l'Ivermectine ;

Impliquer l'agent communautaire dans la mobilisation de la

population

pour la biopsie et le traitement à

l'Ivermectine

;

Procéder dans chaque village au recensement famille par

famille

de tous les habitants ; Faire la biopsie cutanée exsangue sur les deux crêtes iliaques de tous les habitants âgés de cinq ans et plus présents dans les villages ;

Faire

la

lecture de 24 heures à

la

loupe des biopsies cutanées après incubation au serum physiologique dans des plaques de microtitration ;

Faire des enquêtes de migration auprès de tous les sujets à biopsies cutanées positives ; Traiter à l'Ivermectine les populations des villages évalués

Relever les coordonnées géographiques de tous les villages évalués ;

Faire

la rétro information

des

résultats aux

autorités administratives, sanitaires

et à

la population

sur l'état de

santé de

la

population examinée en matière

de

l'onchocercose après les travaux.

IV. Déroulement de Ia mission

Les2

techniciens

d'APOC

sont arrivés

le 21 juin2012

avec

le

matériel technique. Ils ont eu un entretien avec le personnel de la représentation de

I'OMS

à Ndjamena avec lequel ils

ont

échangé

sur la sécurité. Le

lendemain

22 juin 2012, les 2

techniciens

d'ApÔC

en compagnie

des

membres

du PNLO se sont

rendus

à Moundou où y étaient déjà le Dr MUKENGUE Léonard, Médecin

épidémiologiste

à APOC, le Dr SINTONDJI

Franck, Conseiller technique

d'APOC

au Tchad et

Mr NADJILAR Lokemla

Coordonnateur National

du PNLO/Tchad. Ils avaient pour mission de

préparer

le terrain, faire des

pré-visites et sensibiliser les villages avant l'arrivée des équipes.

Dès notre arrivée, nous avions eu des échanges sur le programme et

le

déroulement de la mission.

La journée

du23juin

a été consacrée àlapremière session de formation des techniciens de l'équipe du

PNLO

sur la méthode d'évaluation épidémiologique simple de l'onchocercose.

Cette formation a été

assurée

par le Dr MUKENGUE, le Conseillèr

technique

et les

2

techniciens d'APOC.

3

(4)

Au

cours

de la formation, l'accent a

été

mis sur l'utilisation

des differents

outils

de collecte de données

y

afférents à l'évaluation épidémiologique. De même le matériel technique a été aussi présenté aux participants. Des échanges ont eu lieu suivis d'exercices afin de mieux éclairer les participants. Les deux autres sessions de formation ont été assurées par le Conseiller technique et les deux techniciens d'APOC.

Au total

trois(O3) sessions de formation se sont déroulées respectivement à Moundou,

Doba et

Sarh.

Cela s'explique par l'intégration

dans

les

équipes

d'évaluation

de nouveaux agents des régions sanitaires concernées et la présence aussi des 02 Congolais qui sont arrivés à

mi-parcours de la mission pour s'imprégner de la

technique

de la

méthode d'évaluation épidémiologique. Ces

trois

sessions de formation ont permis aux membres des équipes de bien

assimiler les différents outils utilisés lors des

évaluations épidémiologiques.

Ce ffrt

une formation pour les uns et un recyclage pour les autres.

La

mission d'évaluation s'est déroulée en deux phases

dites 1A et lB ; la

phase

lA

a

regroupé 20 villages relevant des délégations sanitaires des Logones occidental et oriental. La phase

18 a

concerné

40

villages des délégations sanitaires

du

Logone oriental et du Moyen- Chari.

Deux équipes ont été constituées avec à leurs

têtes

les 2 techniciens

d'APOC

sous la supervision du Conseiller technique et du Coordonnateur du PNLO.

Les tâches assignées aux deux équipes étaient les suivantes la sensibilisation des communautés ;

le recensement exhaustif famille par famille de la population de chaque village ;

la pratique de la biopsie cutanée exsangue ;

la prise de l'Ivermectine après la biopsie cutanée

la lecture à la loupe

après

24

heures des biopsies cutanées incubées dans des plaques de microtitration;

l'enquête de migration chez les sujets positifs ;

le relevé des coordonnées géographiques des villages évalués.

V. Résultats

Les résultats ont porté sur 60 villages évalués répartis dans les délégations des régions sanitaires suivantes :

Logone occidental Logone oriental :

Moyen-Chari:

10 villages 30 villages 20 villages

Au

total

60 villages ont été effectivement évalués pour une Population recensée de : 30 430

Population examinée de

:

16 217 Positifs (à la biopsie) : 05

(5)

VI. Constats

Sur 60 villages

évalués,

seul le village de

Oulibangala dans

le Logone oriental

a présenté 05 personnes porteuses de microfilaires avec un taux de prévalence brute de 2,loÂ, une prévalence standardisée de l,8o et une CMFC de 0.04. Ce

village

est situé à quelques mètres de la

rivière Ouli qui

regorge plusieurs gîtes productifs de simulies. Les enquêtàs dà migration

ont permis de

constater

une inégularité

dans

la prise effective de I'ivermectine chez

les personnes déclarées positives.

Le résultat de ce village n'est pas aussi préoccupant mais une attention particulière doit être portée sur son bassin

qui

affiche toutes les caractéristiques de plusieurc

gît.,

productifs.

Une prospection accrue sur

le long

de ce bassin s'avère nécessaire

afin d'idèntifier

d'autres villages

pour de futures

évaluations épidémiologiques.

Il

serait souhaitable

de

coupler une surveillance entomologique sur ce bassin qui regorge beaucoup de simulies. Le

TIDC

aussi doit être

l'objet d'une

supervision rigoureuse

afin

de corriger les défaillances dans l'exécution de cette activité.

Les prévalences ont été nulles dans les autres villages évalués.

Il

faut noter aussi que le

choix

de certains villages

n'a

pas obéi aux critères établis au temps de

l'OCp.

Nous avions constaté que dans beaucoup de villages les

ADM

ne disposent pas de toise

;

certains se sont basés sur

l'âge pour

distribuer

l'ivermectine.

D'autres

ont

confectionné des toises de fortune mais mal faites ne respectant pas les proportions de la taille.

Nous avions aussi constaté que les responsables des centres de santé (RCS)

n'ont

pas été associés

à l'évaluation

épidémiologique des villages de

leur aire

sanitaire. Dans certains districts sanitaires, nous avions eu recours à l'escorte sécuritaire pour nous conduire dans les villages (Kagpal,

Dobiti,

Gourourou, etc.) et nous ramener à notre base. L'escorte sécuritaire a obtempéré

un

refus

total pour

conduire une équipe

qui devait

se rendre dans

le village

de Djèguè-Djèguè. La raison évoquée est l'assassinat d'un gendarme

il y

a une semaine dans cette même localité.

De

même, nous n'avons pas

pu

évaluer les villages

du district

de

Kyabé qui

est une

zone où l'accès est conditionné par une

escorte

sécuritaire. Suite à dés incidents,

les déplacements

vers cette zone ont été interdits et le

détachement

de

sécurité

ne fait

plus d'escorte' Cet état de

fait

a conduit à un réaménagement du programme

afin

de

permett..

1., équipes de travailler.

V[I. Points forts

o Les conditions de la formation et de l'évaluation

épidémiologique proprement dite étaient réunies sur le plan matériel et logistique ;

'

Les villages retenus pour l'enquête épidémiologique ont été évalués et géo référenciés ;

r

Les techniciens formés sur

la

méthode d'évaluation épidémiologique simple

ont

bien

pratiqué les

techniques enseignées. Cependant,

il leur faudraii

d-'autres évaluations similaires pour en avoir la maîtrise parfaite ;

5

(6)

a Le niveau d'endémicité de l'onchocercose des villages est connu ;

le PNLO puisse acquérir du matériel technique

nécessaire épidémiologique utilisant la méthode de biopsie cutanée exsangue ;

.

Les équipes ont été bien accueillies dans les villages ;

. Les

équipes

ont profité de l'occasion poru

sensibiliser davantage

les

populations et renforcer

la

connaissance des

ADM

sur les activités de

lutte

contre l'onchocercose et particulièrement le

TIDC

;

Les Techniciens

d'APOC

ont également partagé leurs expériences avec l'équipe du PNLO.

V11I. Points à améliorer en rapport avec l'évaluation épidémiologique

La faible implication du

personnel

de

santé

du niveau périphérique à savoir

les Médecins Chefs des districts et les

infirmiers

des centres

de

santé

dont

leur présence

aux

cotés des équipes

d'évaluation

dans

les villages pourrait

rassurer davantage les

populations;

. Lamise

à la disposition de tous les villages sous

TIDC

des toises ;

.

La formation et le recyclage de tous les acteurs du TIDC.

IX. Difficultés

Aucune difficulté

majeure

n'a

entravé

la mission d'évaluation épidémiologique;

en dehors de l'accessibilité très

difficile

du village de Gourourou due à une pluie très matinale et à

l'état défectueux de la route où l'équipe devait se battre des mains et des pieds pour y accéder.

X. Suggestions

A |a

tumière de ce que nous avions vécu au cours de cette mission,

il

serait vivement souhaitable que :

l'évaluation épidémiologique soit étendue à d'autres villages relevant de la rivière

Ouli

;

le TIDC soit renforcé

par

la mise à niveau de tous les

acteurs

impliqués

dans le processus,

le suivi des activités de distribution par le personnel de santé,

la

sensibilisation des communautés sur

la

gratuité,

l'efftcacité, la disponibilité

et la prise effective de

l'Ivermectine

;

les évaluations épidémiologiques soient réalisées pendant la saison sèche si possible ;

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à

l'évaluation

a

le PNLO s'approprie la technique et tous les aspects de la gestion de

la surveillance/évaluation épidémiologique de l' onchocercose ;

(7)

a le PNLO soit renforcé par de jeunes techniciens ;

les agents de santé de la périphérie soient

associés

aux activités

d'évaluation épidémiologique.

a

Conclusion

L'évaluation

épidémiologique organisée dans

les 60 villages du Tchad s'est

bien déroulée.

Les objectifs ont été atteints. La formation de l'équipe nationale en

technique

d'évaluation

épidémiologique

simple par la

méthode

de la biopsie

cutanée exsangue

a

été effective. Le niveau d'endémicité de l'onchocercose dans les 60 villages évalués est connu.

Au regard des

résultats,

la situation

épidémiolo

gique de

l'onchocercose

est

moins

au Tchad. Il

serait J

doté

en S

d'évaluation ue

Nous

remercions

très

sincèrement

le

Management d'APOC/Ouaga,

le

bureau

de

la Représentation de

I'OMS

à Ndjamena et son persorurel,

le

Conseiller technique

d'ApOC,

les autorités sanitaires des délégations régionales concernées,

le

Coordonnateur national

et

son équipe pour leur sollicitude et leur appui.

7

(8)

ANNEXE

LTSTE DES PARTICIPANTS

A

- Equipe des Consultants

- Dr

Léonard

MUKENGUE,

APOC lOuaga

- Dr

Franck SINTONDJI, Conseiller Technique

d'APOC,

OMSÀtrdjamena

- Mr

Siaka

COULIBALY,

APOC/Ouaga

- Mr

Claude Montant

KAFANDO,

Conseiller Temporaire

d'APOC

-

Jean-Paul

TAMBWE

PNLO/RDC

- BernadetteKAMWANYA/RDC

B

-

Equipe des Nationaux

- Mr

Lokemla

NADJILAR,

Coordonnateur PNLO/Tchad

- Mr

Ndoubadé

YOTTA - Mr

Ndokadje

NODJINDO -

Mahamat Omar

ADOUM

-

Jonas BOPABE

- GilbertNoudjissangarTOUDJILARJE

-

Siméon Rigone

DORMBAYE

-

Joseph TOLDEAL

-

Hubert Madjladoum NGARGOS

- Eric

Tiandjé

DILLAH

-

Baro Abdou

NGARAKI

-

Valentin ATANGAR

-

Ndounolo

MBAIRO - Ali

Lazingar

KLADOUM - Benoit NGARNAIRALA

- Mr Ityo I(AÏDE

- Mr

Jean

(9)

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