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Academic year: 2021

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(1)

Réfléchir

débattre, agir

Quelle formation scientifique pour les jeunes de ce pays? En (re)posant cette question, nous ne mésestimons pas la réflexion déjà menée dans et hors du SNES depuis des années. Mais les modifications des contenus (et horaires) en lycée, ceux à venir en collège et à l’école élémentaire ne peuvent que nous faire prendre conscience, s’il en était besoin, des nouvelles stratégies voulues par ce ministère. D’un autre côté,

l’évolution des sciences dans notre domaine nous impose des choix, à la fois par une vue globale et une approche moléculaire, de connaissances qui ne permettent plus les mêmes pratiques pédagogiques. Il n’est pas question d’abandonner l’exigence d’une

réflexion rigoureuse et d’une

formation scientifique de qualité mais nous devons nous interroger sur les moyens et les supports les mieux

adaptés à cette formation. Il n’est pas question non plus d’en rabattre sur nos conditions d’enseignement, ni sur celle de notre formation continue. Nous entamons dans ce bulletin et sur le site de l’Observatoire des programmes et des pratiques du SNES une réflexion que nous souhaitons ponctuée de débats lors de stages nationaux et académiques, ainsi que par courrier ou sur la liste de diffusion du secteur SVT du

SNES. Nous demandons à l’ensemble des collègues de signer la carte-pétition pour protester contre l’absence totale de

mise en place de groupes dans la réforme du collège et exiger que soient revus les horaires des disciplines

scientifiques.

Faites circuler !

Ce bulletin est adressé aux syndiqués de l’an dernier. Faites-le circuler

Contacter le groupe SVT du SNES

• Par courrier : SNES-SVT, 1 rue de Courty,

• Par téléphone: le jeudi après- midi au 01 40 63 29 00 ; demander Liliane Cotton ou Joël Besnard au 5e.

• Par mail : groupe.svt@snes.edu

• Notre site Observatoires sur www.snes.edu/observ/

CARTE PÉTITION

Vous trouverez encartés dans ce numéro 6 exemplaires de la carte-pétition à adres- ser au ministre pour exiger des effectifs de 16 élèves maximum. Signez-la et faites- la signer et transmettez-la au SNES, 1, rue de Courty, 75341 Paris cedex 07.

Ont participé à la rédaction de ce bulletin et des articles de débat sur le site du SNES : Liliane Cotton, Joël Besnard, Serge Rappoport, Jean-Christophe Ciccarone, Guy Rumelhard, Raymond Cirio.

URGENT !

inscription au stage enquête formation continue

(p. 8)

ET DES PRATIQUES

N A T I O N A L O B S E R V A T O I R E

DES PROGRAMMES

1

(2)

2 Observatoire national des programmes et des pratiques• Supplément au no552 de l’US • septembre 2001

SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE Nouveaux

programmes en primaire

U

ne consultation est actuellement en cours sur les nouveaux pro- grammes d’enseignement des sciences et de la technologie à l’école. Pour le cycle 3, parmi les objectifs annoncés :

« la science familiarise l’élève à un monde régi par des lois... » les physi- ciens apprécieront, les spécialistes de l’évolution aussi !

Les objectifs méthodologiques sont mul- tiples. La démarche expérimentale par investigations et l’utilisation des repré- sentations des élèves en sont les princi- paux. Malgré tout, « une formation scientifique approfondie ne doit pas être considérée comme indispensable » ! Quand on connaît la persistance de cer- taines représentations chez les adultes voire chez les étudiants en sciences, on sait quelle formation scientifique rigou- reuse est nécessaire pour maîtriser cette technique pédagogique. Parmi les grandes parties touchant les SVT :

« unité et diversité du monde vivant » aborde, notamment, les cycles de repro- duction et la notion... d’évolution.

Une autre partie « éducation à l’envi- ronnement » aborde les relations entre les êtres vivants et le milieu, la circula- tion de la matière dans les chaînes ali- mentaires, les adaptations en fonction des milieux (respiration) et le trajet de l’eau dans la nature. C’est-à-dire les principaux aspects de la Sixième et quelques-uns de la Cinquième.

La partie « corps humain et éducation à la santé » se justifie car « c’est en réfé- rence à leur propre corps que les élèves construisent la notion d’unité de fonc- tionnement du monde vivant ». Passons l’anthropocentrisme pour nous pencher sur le contenu : « les mouvements cor- porels (mouvements élémentaires, arti- culations et muscles) » c’est-à-dire les principaux aspects abordés en Cinquième.

L’élaboration des programmes du pri- maire puis des futurs programmes de collège doit se réaliser dans un souci de cohérence verticale ?

Enfin, dans les « conséquences à court et à long terme de notre hygiène », ne doit-on pas (à propos de l’objectif de savoir « déceler les OGM, les colo- rants » sur une étiquette) prendre une précaution vis-à-vis du principe de pré-

caution ?

Le groupe SVT du SNES souhaite aller plus loin et propose à l’ensemble des présidents de régionales d’étu- dier sous quelle forme le SNES et l’APBG (et d’autres associations et/ou syndicats éventuellement), pourraient œuvrer pour une meilleure prise en compte de leurs demandes conjointes vis-à-vis de l’en- seignement scientifique. Des rencontres avec ces différents partenaires vont être organisées prochaine- ment.

Une année décisive pour le collège

L

es collègues sont las de dire ce qui tombe sous le sens !

Oui, les sciences expérimentales peu- vent être enrichissantes, valorisantes, motivantes, favoriser le travail en auto- nomie des élèves... à condition qu’ils puissent observer, expérimenter, mani- puler... et donc travailler dans de bonnes conditions.

Et pourtant, ce qui est simple , évident, ce qui fait l’unanimité... n’est pas mis en œuvre aujourd’hui au collège.

La réforme de Jack Lang (1) est-elle une solution ? Elèves et enseignants auront-ils enfin des conditions de travail améliorées ?

Nous craignons au contraire une aggra- vation de la situation (2). En effet, dans le texte de Jack Lang, il n’est pas ques- tion de réduire les effectifs pour les tra- vaux en sciences. De plus, « l’horaire de base des disciplines » serait vraisem- blablement amputé au profit des itiné- raires de découverte du cycle central, ou des options en Troisième. Etant donné la situation budgétaire du MEN, la crise du recrutement, les positions des fédérations de parents d’élèves (« il ne faut pas alourdir la charge de travail des élèves »), il semblerait utopique d’envisager la mise en œuvre d’itiné- raires de découverte au-delà de l’ho-

raire actuel. Donc pour habiller l’un, il faudra...

… et les collègues seront encore un peu plus las de dire ce qui tombe sous le sens !

Mais pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?

En introduisant les itinéraires de décou- verte, Jack Lang veut éviter « la mo- saïque des savoirs, l’éparpillement des discours, et la concurrence des méthodes ». La réponse à ce souci ne passe-t-elle pas simplement par une mise en cohérence des programmes pour rendre les liens disciplinaires plus lisibles ? C’est pourquoi, sans en rabattre sur le niveau des connaissances, nous demandons avant tout une révision des contenus et une meilleure articulation horizontale et verticale de ceux-ci. Le SNES a par ailleurs développé l’idée qu’un travail interdisciplinaire ou co- disciplinaire doit s’appuyer sur des connaissances disciplinaires maîtrisées.

Cette année charnière doit nous per- mettre d’écarter les fausses solutions aux problèmes du collège, motivées par les seuls impératifs budgétaires et d’imposer d’autres choix pédagogiques.

Mettons en avant le bonheur et les réus- sites de nos élèves quand ils ont pu tra- vailler dans de bonnes conditions.

Ne soyons pas absents du débat (3), avec nos collègues des autres disciplines,

(re)disons ce que nous voulons, ce que nous refusons pour le collège.

(1) Voir supplément à l’US n° 543 du 9 avril 2001 : « Pour un collège républicain », orientations sur l’avenir du collège par Jack Lang.

(2) Voir le spécial SVT, supplément à l’US n° 545 du 5 mai 2001.

Ces textes se trouvent aussi sur le site http:

//www.snes.edu/observ/index.html à SVT

(3) Une journée banalisée doit être organi- sée dans les collèges avant la fin de l’année.

Cette journée ne doit pas s’intituler « mise en place de la réforme ». Veillons à ce qu’il y ait une véritable réflexion de fond sur l’opportunité et les conditions éventuelles de la mise en œuvre des itinéraires de décou- verte et des options .

Un communiqué SNES-APBG du 20 septembre 2001 est paru dansl’USn° 552

(3)

cations finales, non souhaitées par le SNES(nous nous sommes abstenus au CSE[1]).

Dans le tronc commun, si la démarche laisse à la réflexion une grande part, l’expérimenta- tion est considérablement réduite par rapport au premier projet, même si des manipulations (mais illustratives ou s’inscrivant dans une démarche argumentaire ?) seront possibles en immunologie. Les connaissances à acquérir sont moins poussées. Cette simplification peut être une réponse à la course aux connaissances pointues.

En spécialité, de fait, la démarche expéri- mentale avec expérimentation sera possible pour une part du programme. C’est bien, mais il est dommage que ce soit « réservé » aux spécialistes. Bien sûr, cette répartition du pro- gramme en TS va avoir des conséquences sur l’évaluation des capacités expérimentales (voir l’article). Nous vous conseillons de lire l’analyse détaillée du programme de TS sur le site de l’Observatoire.

En séries L et ES, il est nécessaire de faire acquérir des connaissances précises pour per- mettre l’ouverture au débat de société. Ces premières doivent être solides, acquises grâce à une démarche scientifique rigoureuse : cela prend du temps. L’ouverture aux problèmes de société est alors trop réduite et ne permet pas vraiment de recherche de la part des élèves et réduit le débat à une aimable discussion de salon (la réduction d’un thème en Première ES donnera plus de temps, mais les 45 mn par semaine en Première L limitent les possibilités).

Le travail SP-SVT en L peut être intéressant...

s’il y a vraiment concertation entre les profes- seurs (problème du temps de concertation).

Cette liaison donne-t-elle plus de sens à l’en- seignement scientifique pour les élèves ? Sans doute. Alors, pourquoi n’y a-t-il pas de sciences physiques en ES ?

L’absence d’enseignement scientifique en Terminale L et ES pose un véritable problème de formation et de liaison avec d’autres disci- plines (la philosophie, les SES en ES).

Au total, la Seconde, voulue comme une classe

« terminale » pour certains élèves n’ayant plus de SVT par la suite, apparaît comme une rup- ture entre le collège et les classes de Première, en particulier scientifiques. Il n’est pas certain que les élèves renforcent leur demande d’orien- tation en S (déficitaire par rapport aux besoins), il n’est pas certain non plus que l’ensemble des élèves de Seconde acquière un meilleur sens critique avec une formation moins exigeante.

(1) Au Conseil supérieur de l’Education du 5 juillet 2001, le SNES s’est abstenu sur le programme de SVT en TS ( 19 pour et 7 abstentions-FSU) à cause de l’évaluation des capacités expérimentales jugée, à ce stade, impossible.

R

appelons d’abord notre conception de l’en- seignement. Pour le SNES, les contenus disciplinaires doivent permettre aux jeunes d’acquérir un niveau suffisant de réflexion et de connaissances lui permettant d’exercer ses droits de citoyen en connaissance de cause.

Sachant que toutes les disciplines contribuent à cette formation (ainsi que les activités extra- scolaires ), les sciences de la vie et de la Terre doivent construire une réflexion rigoureuse et autonome, en apportant des connaissances, abordables par l’élève (au moment où il les aborde). Sur ce sujet, nous lançons une réflexion : voir l’article « le tourbillon des connaissances nouvelles ».

Pour cela, nous disposons de méthodes de réflexion (pas obligatoirement spécifiques), en particulier la démarche expérimentale, la méthode scientifique plus largement (n’in- cluant pas forcément l’expérimentation). Toutes nécessitent l’observation et l’analyse de faits, biologiques, géologiques. Toutes peuvent per- mettre un développement de l’autonomie des élèves.

Sans développer plus, au travers de cette conception, quel regard pouvons-nous don- ner sur les nouveaux programmes.

Les contenus de Seconde permettent de nom- breuses observations, mais souvent indirectes : telle étude de l’ADN se fera sur papier, car impossible au niveau du lycée, tel suivi de pollution se fera sur un cédérom. Deux ques- tions se posent alors : l’approche de plus en plus cellulaire rendant plus difficile l’expéri- mentation, doit-on se tourner vers d’autres activités (simulation, étude de modèles, tra- vail sur des données...) ou changer de sujet d’étude? L’expérimentation devenant plus dif- ficile, doit-on délaisser la démarche expéri- mentale au profit d’une démarche scientifique, mais sans expérimentation? Le programme de Seconde permet aux jeunes de se poser des questions, sur des sujets à la fois d’actualité et per- manents (nous avons critiqué en son temps cette « médiatisation », comment la vivent les élèves?), les contenus leur permettent d’avoir des réponses, même si de nombreuses « boîtes noires » limitent la compréhension (nous avons aussi critiqué ces « boîtes noires » ; gênent-elles les élèves ?). Mais la qualité de la réflexion, le sens critique des élèves ne sont pas améliorés par rapport aux anciens programmes. Dire que la réflexion est moins bonne est difficile: une étude sociologique sérieuse aurait été nécessaire.

En série S, l’esprit est différent. En Première S, la réflexion demandée aux élèves est plus exi- geante, la démarche expérimentale plus pré- sente, l’expérimentation aussi.

En Terminale S, la logique voulue par le groupe d’experts est rompue par les modifi-

de lycée : quel bilan ?

SORTIE EN PREMIÈRE S : OÙ EN EST-ON ?

Dans le programme applicable dès cette année, une sortie de terrain est obligatoire.

Avec la grande majorité des professeurs de SVT, nous nous en étions réjouis.

Après réflexion, la DESCO considère que le caractère obligatoire de la sortie n’est pas réglementaire, car elle impose une pratique pédagogique particulière ! Que dire, dans ce cas, de l’obligation de faire des manipulations en TP !

En fait, il s’avère que c’est la charge financière qu’aurait à supporter le ministère qui est la cause principale de cette modification (sans doute autour de 25 000 000 F selon notre estimation). Mais favoriser l’observation par le contact avec le terrain est une volonté politique. Si ce choix est pris, il faut en assumer les conséquences. Or c’est le raisonnement inverse qui est fait.

Nous souhaitons que les collègues puissent s’exprimer sur la sortie sur le terrain.

Pour lancer le débat, nous vous demandons d’aller sur le site du SNES prendre connaissance du texte de Raymond Cirio sur ce thème. Envoyez vos réflexions au SNES .

(4)

4 Observatoire national des programmes et des pratiques• Supplément au no552 de l’US • septembre 2001

SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE

A

près sa mise en place dans la précipita- tion et son expérimentation, il y a quelques années, dans les académies de Lyon et de Clermont-Ferrand, l’évaluation des capacités expérimentales a subi un par- cours chaotique depuis quelques années.

En sciences physiques, cette expérimentation a été acceptée bon gré, mal gré et poursui- vie régulièrement dans la majorité des lycées depuis son expérimentation du début.

En sciences de la vie et de la Terre, il n’en a pas été de même. On peut logiquement se demander pourquoi. Il semble que plusieurs facteurs aient joué :

Les collègues ont dans l’ensemble rejeté l’évaluation du geste technique et son côté caporaliste. En effet, ils se voient mal guetter, à côté de l’élève angoissé, le tube à essais qui déborde ou la préparation microscopique mal centrée. Et ce, d’autant plus que ce geste technique n’aura pas été appris et répété.

Les TP proposés sont rarement conçus selon le schéma classique :

– un problème biologique ou géologique à résoudre, une modélisation à valider ; – une expérimentation pour résoudre ce problème ou d’autres modélisations pour valider un modèle ;

– une synthèse des résultats obtenus et une réponse.

On observe que les TP proposés et expé- rimentés ne sont, pour la plupart, que des manipulations illustratives qui ne deman- dent aucune démarche intellectuelle de la part de l’élève.

Cette conception du TP est essentiellement due au programme de Terminale S qui ne permet pas une autre approche de la mani- pulation.

En conséquence, pour cette année encore, le SNES a obtenu que l’évaluation des capa- cités expérimentales reste facultative.

Pour les années à venir, il paraît indispen- sable qu’une réflexion sérieuse sur ce pro- blème soit envisagée.

Le nouveau programme de Terminale S ne semble guère se prêter davantage à l’expéri- mentation que le précédent, sauf en spécialité.

La question de la nécessité d’une évalua- tion reste donc posée.

Si c’est le cas, dans quelles conditions?

Quelle utilisation de cette évaluation par rapport aux notes du baccalauréat ? L’évaluation des capacités expérimentales peut - elle être réservée aux seuls élèves sui- vant la spécialité ?

Toutes ces questions, et d’autres encore, devront être étudiées et débattues lors du stage national SVT des 14 et 15 novembre à Paris.

TPE : OÙ EN EST-ON ?

Nous avons obtenu, contre vents et marées, que les TPE soient facultatifs en Terminale pour cette année et qu’une véritable évaluation en soit faite (le SNES est toujours contre leur

généralisation en Terminale). Il serait intéressant que vous nous fassiez remonter comment ils se passent dans votre établissement.

Le texte officiel sur leur

évaluation n’est pas encore sorti.

La pertinence de cette évaluation n’est pas évidente. Mais, pour le moins, nous demandons qu’elle ne se fasse pas en contrôle continu et n’entre pas en concurrence avec les options facultatives.

Adapt édite plusieurs ouvrages concernant notre discipline :

• Bioéthique et enseignement, 1995, 70F ;

Guide pour la préparation de l’agrégation interne de SVT, 1996, 100 F ;

Du laboratoire à la classe, le parcours du savoir(la trans- position didactique du concept de respiration), 1992, 125F ;

• La naissance du

transformisme, Lamarck, un pont entre Linné et Darwin, de Goulven Laurent (parution courant octobre) ;

La biologie du XXe siècle(les

grandes avancées, de Pasteur aux neurosciences), de Paul Mazliak (sous presse) ; Ou pluridisciplinaires :

La problématique d’une discipline à l’autre(un outil de réflexion pour les TPE), 1997, 95 F ;

Enseigner l’environnement (colloque de 1993), 85F ;

La science au péril de sa vie - Les aventuriers de la mesure du monde(au XVIIIe), d’Arkan Simaan (sous presse) ;

Drogues et toxicomanies chez les jeunes, 2001, 95F ; Et aussi Ecole et violence

(120F), Les projets des jeunes (125F),Approche de la didactique (70F).

Le catalogue en ligne est très détaillé : présentation précise, table des matières complète, extraits, etc.

Par ailleurs Adapt a testé de nombreux produits

multimédias, sur cédéroms, susceptibles de contribuer à nos enseignements. Pour développer encore ces tests, consultables sur le site Adapt- SNES, nous recherchons des collègues bénévoles.

Des pages de liens et des articles en ligne peuvent aider les enseignants dans leurs recherches.

Consultez catalogue et tests sur http://www.adapt.snes.edu ou demandez notre catalogue au 01 40 63 28 30. Tous les ouvrages sont vendus franco de port par correspondance.

Votre correspondant : Alain Prevot, Adapt, 237 bd St Germain, 75007-Paris

Tél. 01 40 63 27 70, courriel alain.prevot@adapt.snes.edu.

PAS ENCORE REINSCRIT AU SNES?

Envoyez rapidement un mél sur groupe.svt@snes.edu avec vos nom, prénom et adresse person- nelle. Le SNES vous enverra un bulletin illico presto!

Le point sur les évaluations des capacités expérimentales

au service

des collègues de SVT

(5)

Démarche expérimentale en SP, SVT, maths.

Peut-on évaluer des capacités expérimentales ?

Q

u’est qu’une démarche expéri- mentale en SP, SVT ? Quel apport dans la formation de la réflexion du jeune ?

Et en maths ? L’ordinateur change-t-il la nature des mathématiques et les rapproche- t-il d’une science expérimentale ? Quelle place dans l’enseignement de chacune de ces disciplines à la démar- che expérimentale ?

Peut-on évaluer des capacités expéri- mentales, au quotidien dans sa classe ? dans le cadre du baccalauréat ? Avec quelles modalités ?

Ce stage auquel participeront plusieurs universitaires et responsables du minis- tère s’adresse aux professeurs de ces trois disciplines, collèges et lycées. Il devra permettre de réfléchir sur le fon- dement de la démarche expérimentale et son utilisation dans notre pédagogie.

Ce stage devra également s’attacher à l’évaluation des capacités expérimen- tales en TS, sa valeur, son opportunité, les conditions de son éventuelle réussite.

Il pourra permettre aussi aux collègues impliqués dans les Observatoires aca- démiques du SNES de repartir avec les bases d’un stage académique.

La demande d’autorisation d’absence (de droit) est à recopier et à déposer auprès

du chef d’établissement au plus tard un mois à l’avance, donc immédiatement.

N’oubliez pas de vous inscrire auprès du SNES, secteur Formation syndicale, dès maintenant (la demande d’autorisation ne fait pas fonction d’inscription au stage).

1. Mercredi matin : la démarche expé- rimentale dans chacune des sciences : ce qu’on entend par là, ce qu’il y a de com- mun, de différent (problème de la repro- ductibilité de l’expérience, statut ou non de preuve), voir comment elle s’inscrit dans une démarche scientifique de question- nement.

Et dans la classe ? Est-ce formateur pour l’élève ? Dans quelle mesure peut-on faire vivre une démarche scientifique authentique alors que l’univers de la classe n’est pas celui du laboratoire ? 2. Mercredi après-midi :la démarche expérimentale dans les programmes de collège et de lycée : quelle place lui est elle donnée ? L’étude de phénomènes cellulaires voire moléculaires ou, a

l’opposé, de phénomènes planétaires, permet-elle une démarche expérimen- tale ou seulement scientifique ? Quelle conception de l’enseignement des SVT, SP, maths induit-elle? Quelles condi- tions (matériel, effectifs, horaires) d’en- seignement cela suppose-t-il ?

3. Jeudi matin :l’évaluation des capa- cités expérimentales en sciences phy- siques et SVT est-elle possible ? Si oui, à quelles conditions? Place du geste technique, de la maîtrise des instru- ments (ordinateur, oscilloscope...).

Quelle forme pour cette évaluation au quotidien dans la classe (y compris l’or- ganisation en termes d’horaire) ? Quelle utilisation sera faite de cette évaluation, plus particulièrement en TS. Place vis-à- vis du bac ? Vis-à-vis de l’épreuve écrite ? Place de l’évaluation de spécialité.

La question se pose-t-elle en mathéma- tiques ? Faut-il introduire de nouvelles pratiques d’enseignement ?

Jeudi après-midi : quelles attitudes syndicales ? Quelles propositions pour que le SNES intervienne sur la démarche expérimentale, sur l’évalua- tion des capacités expérimentales ?

Modèle de demande de congé pour formation syndicale

A reproduire de façon manuscrite ou sur traitement de texte et à déposer auprès du chef d’établissementau moins un mois avant la date de début de stage.

Nom . . .

Prénom. . .

Grade et fonction. . .

Etablissement. . . .

. . .

. . .

à Monsieur le Recteur

S/C de M . . .

(1) Conformément aux dispositions (2)

– de la loi n° 84/16 du 11/1/1984 (art.34, alinéa 7) portant statut général des fonctionnaires

;

– de la loi n° 82/997 du 23/11/1982 relative aux agents non titulaires de l’Etat,

définissant l’attribution des congés pour la formation syndicale, avec maintien intégral du salaire, j’ai l’honneur de sollicit

er un congé

du 14 au 15 novembre 2001 (3) pour participer à un stage de formation syndicale.

Ce stage se déroulera à Paris.

Il est organisé par le secrétariat national du SNES sous l’égide de l’IRHSES, organisme agréé, figurant sur la liste des Centres dont les

stages ou sessions ouvrent droit aux congés pour la formation syndicale (arrêté publié au JO du 10/2/95).

A. . .

Le . . .

Signature

(1) Nom et fonction du chef d’établissement

; cette demande devant parvenir par la voie hiérarchique.

(2) Indiquer les références du seul texte correspondant à votre situation (titulaire ou non).

Les 14 et 15 novembre 2001 au CISP Ravel, 6, avenue Ravel, Paris, métro Porte-de-Vincennes Accueil : 9 h 30. Fin du stage 16 h 30. Hébergement sur place.

(6)

6 Observatoire national des programmes et des pratiques• Supplément au no552 de l’US • septembre 2001

SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE

Construction et rénovation des salles SVT :

appel à témoins !

Des collègues nous contactent pour avoir des renseignements lors de rénovation de l’espace SVT (parfois construction nouvelle). D’autre part, le ministère de l’Education nationale vient de mettre en place une mission aux établissements, où le SNES entend intervenir. Certes, un guide pour le collège a été élaboré par un service de la DESCO, en liaison étroite avec les IG de SVT (visible sur le site Eduscol). Mais, élaboré sans le concours véritable des acteurs du terrain que nous sommes tous, il ne prend pas forcément en compte toutes les possibilités.

Nous souhaitons que les

collègues qui sont intervenus lors de rénovation et/ou de

construction nous contactent afin de nous dire quels ont été les difficultés, les problèmes lors de ces travaux (et surtout de leur conception), mais aussi quelles ont été les solutions apportées et quelles aides ils auraient souhaité à ces moments.

Les renseignements et documents nous permettront éventuellement d’envisager la constitution d’un référentiel, mais aussi la mise en place d’un stage regroupant ceux qui vont avoir des rénovations ou constructions et ceux qui ont acquis une certaine expérience.

Ecrivez-nous sur groupe.svt@snes.edu

ou envoyez-nous des documents au SNES (secteur SVT).

Une première pour les épreuves de L et ES, dont le nouveau programme était mal connu en début d’année, et les limites exigibles encore plus tardivement. Certaines parties étaient à mettre en œuvre sur les bases d’un nouveau programme de Seconde... débu- tant en même temps que ceux de L et ES !

Enfin, des épreuves « zéro » arrivées tar- divement et largement critiquées (le SNES en avait fait part au doyen de SVT) pour celles de Première ES.

Pour terminer, les professeurs ont souvent été surpris par le temps : certains chapitres ont été rapidement faits.

Epreuve de Première ES

Composée de deux sujets portant sur un thème obligatoire et un thème au choix.

Trois thèmes sur 5 étaient basés sur une analyse de texte, la même forme qui avait été largement critiquée par tous lors des épreuves « zéro » ; la forme « analyse de docs puis question de pures connaissances » n’est pas forcément la plus adaptée à des élèves de Première ES.

Le thème obligatoire a porté sur celui...

nécessitant le programme de Seconde que les élèves n’ont pas pu faire ! Déroutés, les élèves ont été lésés par cette première par- tie.

Sur les thèmes « au choix », un seul était satisfaisant, basé sur des résultats d’expé- riences : « malnutrition et erreurs alimen- taires ». Dans « l’émergence

de la lignée humaine », un document, (squelette de

« Lucy ») largement critiqué dans le sujet de TS dont il est sorti, ne pouvait permettre à

des élèves de Première ES de répondre cor- rectement à une question.

Enfin, la correction débattue dans les réunions académiques était... sans barème ! L’harmonisation nationale est donc absente.

Epreuve de Première L

Ensemble composite : pour moitié en SVT (les marées vertes) pour moitié en SP (la composition d’un engrais puis la produc- tion d’énergie électrique).

Pour la partie SVT : si le sujet en lui-même n’était pas complexe, il correspondait cepen- dant à une partie du thème « alimentation et environnement » qui avait pu être faite rapi- dement pour cause à la fois de temps et parce qu’il avait été traité l’année précédente dans l’ancien programme de Seconde.

Nombreux ont été les élèves déroutés par ce sujet, en décalage avec les activités de l’année.

Epreuve de Terminale S

Cette session 2001 est marquée par une bonne adéquation de chaque question aux types de sujet prévus dans cette épreuve.

Les documents des questions 2 et 3 étaient simples et ne présentaient pas de piège.

En conclusion :l’effort de qualité a porté sur les épreuves de TS. C’est bien. Mais les épreuves de Première L et ES ont de nom- breux défauts. Le SNES, lors d’une ren- contre avec le doyen de SVT en mars 2001, avait tiré la sonnette d’alarme sur les craintes qu’avaient les enseignants.

Nous ne pouvons que constater que la plupart de ces craintes étaient justifiées

Epreuves anticipées de L et ES, épreuve de TS

Session de 2001 : quelles appréciations?

Il était une fois ...

Il était une fois, un IPR de SVT qui avait déclaré : « de nom- breux profs en collège finissent avec un niveau Troisième » ! Pauvre de moi, qui depuis six ans enseigne en collège ZEP et ne peux consacrer beaucoup de temps à l’actualisation de mes connaissances !

Fort heureusement, dans ma belle académie rémoise, existe le PAF. Celui-ci, très moderne , prévoit 80 % de for- mations d’initiatives locales (répondant ainsi aux demandes de nos chefs d’établissement) et laisse donc une petite place à d’autres stages dont quelques-uns pour forma- tions disciplinaires.

Equipée d’une bonne loupe, je découvre deux stages

« actualisation des connaissances » : génétique moléculaire, et morphogenèse végétale. Moi qui rêvais de replonger dans l’univers de la géologie… Après tout pourquoi pas, si d’aventure le lycée m’appelle, cela me sera bien utile ! Poursuivant mes investigations, que lis-je : « public cible : enseignants de lycée » !

Alors un vertige me prend : l’an dernier, déjà, le stage sur l’évolution était destiné « en priorité aux enseignants de lycée » et a eu lieu… sans moi ! et si l’IPR avait raison ? et si je rêve d’aller en lycée ? prof en collège, de collège ? et la liaison Troisième-Seconde ?....

Stop, il faut que cauchemar cesse !

Il était une fois…

(7)

le tourbillon des

connaissances nouvelles

D

epuis 1965, avec l’irruption de la biologie moléculaire et de l’écologie, l’enseignement des sciences de la vie et de la Terre est emporté par un tourbillon de connais- sances nouvelles provenant de la recherche qui bouscu- lent des connaissances supposées obsolètes, avant d’être parfois elles-mêmes abandonnées et remplacées.

Parallèlement les travaux pratiques font appel à des tech- niques nouvelles plus précises, quantitatives, séduisantes, mais de mise au point délicate, reléguant ainsi des mani- pulations moins ambitieuses, et souvent qualitatives.

L’apparition des ordinateurs accélère encore cette évo- lution.

Cet emballement semble empêcher toute réflexion sur ses limites propres et sur d’autres aspects de l’enseignement beaucoup plus importants que la simple mise à jour des connaissances et des techniques expérimentales. Par exemple, les modalités d’évaluation aux examens et les procédés pédagogiques utilisés en classe se succèdent de manière impérative, sans que les principes qui les guident soient énoncés et soumis à discussion. A l’inverse, l’ini- tiation expérimentale étant devenue un objectif à atteindre, l’épistémologie qui la sous-tend semble défi- nitivement immobilisée sur les textes écrits en 1865 par Claude Bernard. Il est urgent de trouver un lieu pour ouvrir tous ces débats.

Le SNES propose son site Internet : www.snes.edu/observ et son courriel: groupe.svt@snes.edu

Donnons quelques exemples de ces questions. Pourquoi les statistiques entrées massivement en 1966 ont-elles entièrement disparu ? Est-ce pour les mêmes raisons que la génétique des populations trouve difficilement sa place ? Peut-on énoncer les objectifs d’enseignement sans faire appel aux « capacités opératoires » qui relèvent d’un behaviorisme attristant ? L’étude des représentations des élèves qui font obstacle à l’apprentissage n’a-t-elle été qu’une mode passagère ? Y a-t-il des conditions de pos- sibilité à remplir avant d’aborder une notion telle que les gènes homéotiques, ou bien peut-on y accéder directe- ment en respectant des niveaux de formulation ? etc.

Horaire en TS

A la rentrée 2001, l’horaire de TP de sciences physiques passe à 2 heures, celui de SVT reste à 1 h 30.

Des horaires différents SP- SVT alors que les deux matières sont automatique- ment couplées en TP vont poser de sérieux problèmes d’organisation des emplois du temps et de gestion des salles ; certains proviseurs en profi- tent pour aligner les sciences physiques… sur les SVT !

Les TP de 1 h 30 sont insuf- fisants pour certaines mani- pulations.

L’évaluation des capacités expérimentales en TS nous oblige à accentuer nos efforts sur les TP.

Le passage des TP en Première S de 1 h 30 à 2 heures cette année se révèle particulièrement efficace pour appliquer de vrais protocoles expérimentaux.

Demande : passage des horaires de TP de 1 h 30 à 2 heures, quitte à passer l’ho- raire de cours de 2 heures à 1 h 30, c’est-à-dire une aug- mentation de 0 h 30 prof par classe de TS (aucune aug- mentation pour les élèves), soit environ 185 ETP(1).

Horaire en Première ES

L’horaire de SVT en Première ES est de 1 heure de cours par semaine et 0 h 30 de TP par semaine (soit une heure de TP par quinzaine).

Cet horaire est ingérable : les cours et les TP doivent être complètement déconnectés, ceci posant un gros problème de gestion des contenus. Le fait de passer de 4 à 3 thèmes à traiter ne modifie pas le pro- blème.

Demande : passage des TP à 1 heure par semaine (+ 0 h 30 élève), quitte à passer l’horaire de cours à 1 heure quinzaine (au pire) (soit – 0 h 30 élève).

c’est-à-dire une augmentation de 0 h 30 professeur par classe dédoublée (pas d’augmenta- tion pour les élèves), soit 70 ETP (1).

Horaire en Première L

L’horaire de SVT et de SP en Première L est de 45 mn par semaine en groupe (1 h 30 par groupe par quinzaine pour chaque matière).

Cet horaire est ridiculement réduit.

Non seulement les élèves ont du mal à prendre au sérieux ce type d’horaire, mais il est très difficile de terminer le pro- gramme pourtant déjà res- treint. Il n’est pas question de passer à deux thèmes dans l’année, cela deviendrait ridi- cule !

Demande : passage de l’ho- raire de SVT et de SP de 45 mn à 1 heure en groupe par semaine, soit une aug- mentation prof et élèves de 15 mn par semaine et par matière; soit un besoin de 22 ETP (1) pour les SVT et 22 ETP (1) pour les SP.

(1) Equivalent temps plein en se basant sur un horaire de certifié à 18 heures.

les horaires de SVT en TS, mais

aussi en Première L et ES

(8)

8 Observatoire national des programmes et des pratiques• Supplément au no552 de l’US • septembre 2001

L’Université Syndicaliste, suppl. au no545 - 5 mai 2001, hebdomadaire du Syndicat national des enseignements de second degré (FSU) 1, rue de Courty, 75341 Paris Cedex 07. Directeur de la publication : Gérard Anthéaume - Compogravure : CAG, Paris - Imprimerie : SIPE, Paris - NoCP1578 D73 – ISSN no0751-5839

SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE

Enquête formation continue

Changements de programme, évolution des connaissances scientifiques, modification des pratiques pédagogiques : la formation continue est indispensable pour être au point dans son métier. Afin d’intervenir au ministère de l’Education

nationale et, par les sections académiques, au niveau des rectorats nous vous demandons de nous renvoyer cette enquête rapide. La synthèse doit être prête pour la mi-octobre afin d’être efficace pour les stages 2002-2003.

Merci de votre contribution. N’hésitez pas à dupliquer l’enquête pour être plus nombreux à répondre.

A renvoyer au SNES, 1 rue de Courty, 75341 Paris cedex 07

Enquête formation continue en SVT

N’HÉSITEZ PAS À RAJOUTER UNE FEUILLE Renseignements individuels

Nom, prénom (facultatif) : . . .

Syndiqué(e) au SNES : oui ■ non ■ Age :. . . ans

Enseignez-vous depuis cinq ans ou plus en ■collège ■lycée ■variable ■moins de 5 ans Avez-vous participé à un stage pédagogique de l’Education nationale depuis 5 ans oui ■■ non ■

Si oui, quelles remarques :. . . . . .

Si non, est-ce : ■parce que vous n’obtenez pas de stage

■ parce que vous préférez vous former seul(e)

autre

Le MEN propose qu’une part de la formation continue soit plus ou moins confiée aux associations de spécialistes (pour nous l’APBG). Etes-vous d’accord avec ce désengagement de l’Etat ? oui ■ non ■

Pourquoi ?. . . . . .

Le MEN veut porter l’accent sur la formation continue par Internet. C’est le cas du groupe d’experts en SVT sur les deux sites nationaux. Cela répond-il à votre demande ? oui ■■ non ■■ Pourquoi ?. . . . . .

Vous servez-vous des ressources Internet pour la mise à jour de vos connaissances, pour des documents dans vos cours ?. . . . . .

Le MEN veut privilégier, pour les stages, des FC sur le site des établissements aux dépens de secteurs géographiques dépar- tementaux ou plus larges. Qu’en pensez-vous ? . . . . . .

Quelle durée de stage vous paraît la plus adaptée à la FC ?

■ 1 jour ■■ 2 jours ■■ plusieurs fois 1 jour ■■ 1 semaine avec remplacement ■■ 1 mois avec remplacement ■■ autres Demandes de formation continue

Sur quels thèmes souhaitez-vous une formation continue

■ Evolution des connaissances scientifiques :. . . . . .

■ Evolution des programmes :. . . . . .

■ Didactique et pratiques professionnelles (mono ou pluridisciplinaires). . . . . .

Références

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