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Sur l'utilisation dans la caméra électronique de couches Cs3 Sb sensibilisées par la lumière

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HAL Id: jpa-00205936

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205936

Submitted on 1 Jan 1965

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Sur l’utilisation dans la caméra électronique de couches Cs3 Sb sensibilisées par la lumière

Maurice Duchesne

To cite this version:

Maurice Duchesne. Sur l’utilisation dans la caméra électronique de couches Cs3 Sb sensibilisées par

la lumière. Journal de Physique, 1965, 26 (3), pp.117-120. �10.1051/jphys:01965002603011700�. �jpa-

00205936�

(2)

117.

SUR L’UTILISATION DANS LA CAMÉRA ÉLECTRONIQUE

DE COUCHES Cs3Sb SENSIBILISÉES PAR LA LUMIÈRE (1)

Par MAURICE DUCHESNE,

Observatoire de Paris.

Résumé.

-

Les photocathodes utilisées dans la caméra électronique sont fabriquées avec un

excès de césium. De ce fait, lorsque l’excès de césium est trop important, elles sont instables et

perdent une partie de leur sensibilité pendant le stockage. Une illumination intense permet de

restituer leur sensibilité initiale. Cette sensibilisation s’explique, en partie, par la sublimation du

césium libre superficiel. Il y a équilibre, par l’intermédiaire de la tension de vapeur de césium,

entre le césium libre présent à la surface de la couche photosensible et celui qui recouvre la paroi

interne de l’ampoule. La forme de la courbe de sensibilisation suggère cependant l’existence d’un mécanisme plus complexe. Dans la caméra électronique les photocathodes sensibilisées ont un comportement identique à celui des cellules stables.

Abstract.

2014

The photocathodes used in the electronic camera are made with an excess of caesium.

Though, when the caesium excess is too large, they are not stable and partly lose their sensitivity during storage. An intense illumination brings back their primary sensitivity. This activation

is partly explained by the sublimation of superficial free surface caesium. There is an equili- brium, through the caesium vapour pressure, between the free caesium existing at the surface of the photosensitive layer and the caesium coating the inner part of the bulb. Yet, the shape of

the sensitizing curve suggest the existence of a more complex mechanism. Within the electronic camera, the sensitized photocathodes have a reaction identical to the stable cells.

PHYSIQUE 26, 1965,

Introduetion.

-

Dans la caméra électronique [1]

la photocathode est d6truite par oxydation, lorsqu’on ouvre le dispositif pour extraire le maga-

sin, qui renferme les plaques électronographiques expos6es. Pour faciliter son remplacement, nous

avons ete amenes a r6aliser les couches photo-

sensibles sur des m6nisques en verre, places à

l’int6rieur d’ampoules scellées, qui peuvent etre introduites a l’int6rieur du tube ; lib6r6es de leur

.

ampoule, apr6s un pompage pr6liminaire, les photo-

cathodes peuvent être aisément mises en place sur l’optique electronique.- Cette solution pr6sente plu-

sieurs avantages, en particulier, celui d’éviter la

pollution des lentilles 6lectroniques par le cesium.

Cependant, la position du m6nisque 4 l’int6rieur de l’ampoule rend tres difficiles les 6changes ther- miques, qui, pratiquement, 6tant donne la qualite

du vide, ne peuvent se faire que par rayonnement.

Dans ces conditions, la ipethode classique de fabri-

cation des couches cesium-antimoine, qui consiste

4 6vaporer sur le support un film d’antilnoine

(30 % d’opacit6) et a le soumettre a 180 °C environ

a la vapeur de cesium, ne donne pas d’excellents

resultats l’une des raisons est qu’il est difficile de controler le rpeuit, la couche restant a temperature

6lev6e un long moment apres que l’ampoule ait 6t6

enlev6e du four. D’autre part, pour des couches

déposées directement sur verre, on observe, apr6s

leur mise en place sur l’optique électronique, une

baisse tres importante de sensibilit6, a mesure qu’elles se refroidissent (rappelons que la piece en

cuivre sur laquelle prend place la photocathode est

refroidie a - 150 °C environ, d’une part, pour améliorer la qualite du vide, et, d’autre part, pour 61iminer 1’6mission thermique de ]a couche) ; lors- qu’elles ont atteint leur temperature d’6quilibre,

leur sensibilité reste parfaitement constante, ce qui

élimine la possibilité d’une alteration par oxyda- tion, due a un mauvais vide. En f ait cette dimi-

nution de sensibilite est li6e a 1’augmentation de resistance, les couches prenant une charge positive, qui limite l’émission - photoelectrique. Dans ces conditions, la saturation n’est plus observ6e, pour

une tension d’acceleration compatible avec la ’géo-

métrie de l’optique electronique, et le courant photoélectrique n’est plus proportionnel au flux

lumineux. Pour pallier cet inconvenient, grqve pour

un r6cepteur dont I’une des caractéristiques prii4- cipales est d’avoir une r6ponse lin6aire [2], les

couches que nous utili6ons sont d6pos6es sur du

verre rendu conducteur par de 1’oxyde d’étain;

on peut r6aliser ainsi des sous-couches a resistance faible (de l’ordre de 500 a 1 000 ohms) avec qn coefficient de temperature 16g6rement positif. Pour

conserver ses propri6t6s, le verre ainsi tralt6 ne

doit pas subir Faction du cesium a temperature tnop élevée. : avec la methode classique, on observe généralernent une alteration non uniforme de la couche cgpductriee. Nous utilisons donc un procédé qui ne necessite pas un recuit a temperature 6lev6e ;

il consiste a evaporer, a temperature ordinaire,

alternativement du césium et de liantimoine ; les evaporations successives sont contr6l6es en mesu- rant la sensibilite et l’on doit s’arranger pour etre

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01965002603011700

(3)

118

toujours en exe6s de cesium. Lorsque la sensibilite atteinte est jug6e suffisante, la plus grosse partie

du cesium en exc6s est 61imin6e par un recuit 6

temperature peu 6lev6e (60 a 70 °C) ; la sensibilite croit au cours du recuit, qui est arr6t6 avant

d’atteindre la sensibilite maximum ; de cette fagon

le verre conducteur n’est pas altere et la couche

poss6de un exe6s de cesium. Cet exe6s de cesium,

n6cessaire pour éviter une perte de sensibilite par

oxydation [3] au moment de la mise en place de la photocathode, a cependant deux inconvenients :

en dehors de 1’6mission d’exoélectrons, dont il peut

etre la cause [4], il rend, s’il est trop important, les

couches tres instables

-

fait dej a remarque par Eckertova [5]. On observe, en effet, dans certains

cas extremes, une perte de sensibilite pouvant

atteindre 80 % de la sensibilite initiale (dans la majorite de cas, elle est beaucoup plus faible, de

l’ordre de 5 a 10 %). Cette perte de sensibilite est 6videmment g6nante pour 1’emploi de telles cellules

dans la camera electronique, si l’on veut des per- formances 6lev6es. Cependant, nous avons remarque qu’un éclairement intense de ces couches

(lampe flood de 300 watts a 10 cm, soit un éclaire-

ment de l’ordre de 20 000 lux) permettait de leur

restituer pratiquement leur sensibilite initiale [4].

Caract6ristique de la sensibilisation par la lumidre.

-

Nous sensibilisons ainsi nos photo-

cathodes depuis plusieurs années ; nous avons donc

6tudi6 un grand nombre de cellules, mais nous ne parlerons dans ce travail que de deux cas les plus typiques, qui r6sument assez bien les observations que nous avons faites.

La figure 1 donne les résultats obtenus avec la cellule n° 138, particulièrement instable, qui a 6t6

eclairee pendant 10 mn (pendant l’illumination

FIG. 1,

r ampoule est refroidie par un courant d’air frais).

Mesuree apr6s chaque minute d’éclairement, dans

3 bandes spectrales définies par les filtres Wratten no 25 (rouge), 57 (vert) et no 48 (bleu), l’évolu-

tion de sa sensibilité a ensuite ete suivie pendant plusieurs jours. On voit que :

1. L’augmentation de sensibilite croit avec la

longueur d’onde ; c’est un fait general ; elle atteint,

par exemple, 180 % de la sensibilite initiale dans le rouge. C’est donc dans ce cas un tres gros pheno-

mene.

2. La diminution de sensibilité, apr6s arr6t de l’éclairement, est lente : elle est de 9 % dans le

vert apres une heure, et il faut plusieurs j ours dans

l’obscurit6 totale pour que la cellule reprenne sa

sensibility initiale. Les premi6res heures, qui suivent

l’arrêt de l’illumination, la loi de d6croissance n’est pas exponentielle (fig. 2).

FIG. 2,

FIG. 3. -1. Sensibilit6 spectrale avant sensibilisation.

2. Sensibilit6 spectrale apr6s sensibilisation.

(4)

3. La sensibilisation par ]a lumiere est un pheno-

mene cyclique : si, apr6s retour a la sensibilite

initiale, la cellule est sensibilis6e dans les memes

conditions, la courbe de seconde sensibilisation est

identique a celle de la premiere.

4. Les courbes de sensibilite spectrale avant et apr6s sensibilisation (fig. 3) montrent que si ]a sensibilite s’6tend plus loin vers les grandes lon-

gueurs d’onde apr6s sensibilisation, la longueur d’onde, qui correspond aux maxima de sensibilité,

est approximativement la meme dans les deux cas ; elle se situe pour cette cellule vers 4 500 A.

5. En general, apr6s sensibilisation la sensi- bilit6 decroit ; cependant pour certaines cellules elle continue a croitre, de 10 % environ, pour la

cellule no 83 (fig. 4).

FiG. 4.

Mdeanisme de la sensibilisation par la lumiere.

-

Nous examinerons successivement plusieurs hypo-

th6ses.

1. RESISTANCE TRAS ALEVTE DE LA COUCHE.

-

En general, la resistance 6lectrique des antimo-

niures de cesium est r6duite par exposition a la lumière, surtout pour celui dont la composition est

voisine de Cs,,Sb [6]. Cette reduction de resistance

pourrait expliquer l’augmentation de sensibilite

apr6s un fort eclairement. Cependant cette hypo-

th6se n’est pas a retenir, car nous avons v6rifi6,

avant la sensibilisation, que les couches 6tudi6es avaient une courbe de saturation normale. De

plus, nous avons v6rifi6, apr6s leur utilisation dans la camera electronique, que la resistance des sous- couches n’avait pas augmente pendant la forma-

tion de la couche photosensible.

2. DÉGAZAGE DE LA COUCHE ET DE LA PAROI INTERNE DE L’AMPOULE.

-

Pendant ]a sensibi-

lisation, les parois de l’anapoule sont refroidies avec un courant d’air, de sorte que la désorption de la paroi interne est n6gligeable. La couche photo-

sensible et le m6nisque sur lequel elle est d6pos6e,

par contre, s’échauffent rapidement sous l’action

de la lumiere absorbée. On peut calculer tres appro- ximativement 1’6]6vation de temperature ainsi pro- duite ou la mesurer a 1’aide d’un couple thermo- 6]ectrique. K. Miyake [7] a mesure, avec un couple

cuivre-constantan fixe a un disque de verre place

a l’int6rieur d’une ampoule, une temperature de

83 °C apres un 6clairement intense prolong6. A cette temperature le vide a 1’interieur de l’ampoule peut

se d6t6riorer rapidement et la cellule se comporte alors comme une cellule a gaz. Pour les cellules que

nous avons 6tudi6es, nous avons limit6 le temps d’eclairement de façon que l’augmentation de pres- sion soit n6g]igeable ; on le v6rifie en comparant la

courbe de saturation avant et apres sensibilisation.

Dans ces conditions l’augmentation de sensibilite

ne peut pas etre attribuée a un processus multi-

plicateur du a l’ionisation gazeuse.

3. SUBLIMATION DE L’EXCES DE CESIUM PRESENT

A LA SURFACE DE LA COUCHE. - Avant sensibi- lisation par la lumière, l’antimoniure de cesium

Cs3Sb est vraisemblablement recouvert par plu-

sieurs couches atomiques de cesium ; d’apr6s les experiences de A. Sommer [8], en effet, le cesium

ne r6agirait pas avec l’antimoine pour donner des

produits ayant un rapport atomique Cs jSb > 3 ;

en fait, des experiences plus r6centes de K. Miyake [6] ont montre qu’un chauffage prolong6 a temp6-

rature relativement basse (70 °C pendant 70 heures) permettait d’obtenir le compose Cs3,3oSb ; cepen- dant avec le procédé de fabrication que nous utili-

sons (recuit a temperature peu 6lev6e) la formation

d’un tel produit est peu vraisemblable et le cesium

en exc6s doit se trouver sous la forme de cesium libre. Dans ces conditions l’élévation de temp6-

rature du m6nisque peut produire une sublimation de 1’exces de cesium, qui se condense ensuite sur la paroi relativement froide de l’ampoule ; on peut

donc obtenir de cette façon un produit qui renferme

seulement un ]6ger exe6s de cesium par rapport a la composition stoechiometrique Cs3Sb et qui pr6-

sente une sensibilite photoélectrique maximum [9].

La sensibilisation observ6e pourrait 6videmment

etre due a un processus photoelectrique. Nous

avons done realise une experience qui permet

d’eliminer un tel processus, s’il existe. Pour cela,

nous avons eclaire les couches photosensibles avec

un rayonnement infrarouge (À > 8 000 A) , pour

lequel les couches, bien que 16g6rement oxyd6es,

n’étaient pas sensibles. On voit sur la figure 1, pour la cellule no 138, que 1’energie absorbée par la couche suffit a la sensibiliser (1’6nergie absorbee

dans l’unit6 de temps 6tant plus faible, le taux

d’accroissement est 6videmment plus petit). Deux

autres experiences permettent d’appuyer cette hypothèse.

a) Si la sensibilisation est faite, d’abord sans

(5)

120

refroidir I’ampoule, puis en la refroidissant,

l’accroissement de sensibilite de la cellule est beau- coup plus rapide apr6s refroidissement ; ceci est

au fait que la tension de vapeur du cesium a l’int6- rieur de l’ampoule baisse, ce qui facilite la distil-

lation du cesium present a la surface de la couche.

b) Lorsqu’on lib6re de son ampoule, dans la

camera electronique, une couche photosensible, qui poss6de un gros exc6s de cesium, mais qui n’a pas ete sensibilisée, la sensibilite s’élève au moment de la casse de l’ampoule. Le cesium en exc6s, en effet,

est en 6quilibre avec le cesium de l’ampoule ; lorsque celle-ci est bris6e, l’équilibre est rompu, la tension de vapeur de cesium devient tres faible, ce qui facilite la sublimation des atomes de cesium, qui recouvrent la couche.

4. SENSIBILISATION PHOTOELECTRIQUE, - 11 est

hors de doute, d’après les experiences que nous

avons relat6es, que l’élévation de temperature, qui

r6sulte de l’absorption de lumiere par la couche et par le m6nisque sur lequel elle est d6pos6e, est responsable, au moins en partie, de la sensibili- sation observ6e. La forme des courbes de sensibi-

lisation, cependant, fait douter que ce soit le seul processus implique. Pour la cellule no 83, par

exemple (fig. 4), au point qui correspond a Parrot

de la sensibilisation, la courbe pr6sente un point

de rebroussement, la pente 6tant plus grande apr6s

arr6t de l’éclairement : il semble donc qu’on soit

en presence, dans ce cas, de deux ph6nom6nes

simultan6s et qu’a ce stade de la sensibilisation,

l’un des processus produit une d6sensibilisation.

Pour la cellule no 138 ( fcg.1), par contre, on observe bien un point de rebroussement, mais la pente

devient negative apr6s arr6t de la sensibilisation.

Un tel comportement n’est pas compatible avec

1’existence du seul effet thermique, en raison de

l’inertie thermique du m6nisque. On peut songer alors a faire intervenir un processus du au champ 6lectrique créé par les nombreux ions cesium super- ficiels resultant de la photoionisation. On peut également supposer que l’absorption de lumiere par la couche produit de nombreux niveaux energe-

tiques suppl6mentaires, qui disparattraient lente-

ment au cours du temps.

Comportement dans la camera électronique des photocathodes sensibilisdes.

-

Le comportement

des cellules sensibilis6es par la lumi6re est tout à fait identique a celui des cellules stables ; apr6s

leur mise en place sur l’optique electronique, on

observe une diminution de sensibilité, surtout dans

les grandes longueur d’onde ; dans le rouge (filtre

Wratten no 25) elle peut atteindre 20 a 25 %,

alors que dans le bleu (filtre Wratten 48) elle

est n6gligeable. Cette perte de sensibilite est due

au refroidissement des couches photosensibles [10].

Lprsqu’elles ont atteint leur temperature d’6qui- libre, leur sensibilite photoélectrique reste ensuite parfaitement constante ; au cours d’une r6cente mission a l’Observatoire de Haute-Provence nous avons pu conserver des cellules pendant 7 jours

consecutif s sans evolution appreciable de leur sen-

sibilit6. Avec la qualite du vide que l’on sait main- tenant r6a]iser et maintenir dans la cam6ra elec-

tronique il ne semble pas qu’il y ait de limite a la conservation des photocathodes.

Conclusions.

-

Une illumination intense ne per- met d’améliorer que les cellules ayant un gros exc6s de cesium et qui, de ce fait, perdent une partie de

leur sensibilité pendant le stockage ; elle est sans

action sur les cellules stables. Cette sensibilisation

s’explique, au moins, en partie, par la sublimation du cesium libre superficiel. La d6sensibilisation

apr6s arret de l’eclairement, qui conduit après plusieurs jours a une valeur de la sensibilite iden-

tique a celle de la sensibihte initiale, montre qu’il

y a équilibre, par l’interm6diaire de la tension de vapeur de cesium, entre le cesium libre present a

la surface de l a couche et celui qui recouvre la paroi interne de l’ampoule. Plusieurs points, cepen-

dant, restent a élucider : il faut expliquer, d’une part, pourquoi les courbes de sensibilisation pr6-

sentent un point de rebroussement et pourquoi,

d’autre part, toutes les cellules n’ont pas le m6me

comportement, lorsqu’on cesse de les illuminer.

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