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La prophylaxie pré-exposition (PPrE)

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Academic year: 2022

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FEUILLET D’INFORMATION

sommaire

La prophylaxie pré-exposition, ou PPrE, est une stratégie qui

pourrait permettre à une personne séronégative qui court le risque de contracter le VIH de réduire son risque d’infection. Il s’agit de prendre régulièrement des médicaments anti-VIH. La PPrE ne confère qu’une protection partielle et n’est pas censée remplacer l’usage régulier du condom ou les autres méthodes de prévention du VIH. La PPrE n’a pas encore été approuvée par Santé Canada, mais les États- Unis ont déjà donné le feu vert à une sorte de PPrE, soit le Truvada quotidien par voie orale. Il est possible que certains médecins canadiens soient disposés à prescrire cette forme de PPrE pour une utilisation « non indiquée sur l’étiquette ». Le Truvada comme PPrE est moins efficace pour réduire le risque de transmission du VIH si les pilules ne sont pas prises tous les jours.

Qu’est-ce que la ppre?

La PPrE est une nouvelle méthode pour prévenir l’infection par le VIH. En vertu de cette stratégie, les personnes séronégatives prendraient des médicaments anti-VIH afin de réduire leurs risques d’être infectées par le virus. Les personnes à risque auraient besoin de prendre des médicaments anti-VIH de façon régulière — en commençant avant d’être exposées au VIH et en continuant après. Les personnes sous PPrE doivent prendre leurs médicaments en suivant les instructions à la lettre. Il faudrait aussi qu’elles acceptent de consulter régulièrement un médecin pour faire contrôler leurs effets secondaires et subir des dépistages du VIH et d’autres infections transmissibles sexuellement.

De nombreux types de PPrE sont à l’étude.

Les médicaments utilisés en PPrE pourraient être offerts sous plusieurs formes, dont des comprimés (PPrE orale), un gel vaginal/rectal (PPrE topique) ou par injection. Il est possible qu’on doive prendre les médicaments soit tous les jours, soit avant et après ses relations sexuelles, soit de façon intermittente (une à deux fois par semaine).

Est-ce que la PPrE est efficace?

À l’heure actuelle, une seule forme de PPrE est approuvée pour la prévention du VIH aux États-Unis (mais non au Canada). Il s’agit d’une pilule contenant les médicaments anti-VIH ténofovir et emtricitabine que l’on prend tous les jours (elle se vend sous le nom de marque

La prophylaxie

pré-exposition (ppre)

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Truvada). Ce traitement a été approuvé pour les hommes gais et les autres hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, ainsi que pour les hommes et femmes hétérosexuels qui courent le risque de contracter le VIH par voie sexuelle. La PPrE ne confère qu’une protection partielle et n’est pas censée remplacer l’usage régulier du condom. La recherche indique qu’une bonne observance thérapeutique est cruciale pour favoriser l’efficacité de la PPrE.

De nombreuses autres formes de PPrE en sont à différentes phases de la recherche.

Les études en question examinent l’innocuité et l’efficacité d’un type précis de PPrE

(comprimés ou gels, par exemple) auprès d’une population spécifique (hommes gais et bisexuels, personnes qui s’injectent des drogues ou hommes et femmes hétérosexuels).

Certains types de PPrE se sont révélés efficaces pour réduire la transmission du VIH au sein de populations spécifiques. Les résultats de la recherche sur chaque genre de PPrE sont résumés ci-dessous.

Comprimés (ppre orale)

Dans certaines études de recherche, on demande aux personnes séronégatives de prendre un comprimé anti-VIH tous les jours afin de déterminer si ce dernier offre une certaine protection contre l’infection par le VIH. Ce type de PPrE s’apparente à la pilule anticonceptionnelle que les femmes prennent tous les jours pour prévenir la grossesse ou aux médicaments que prennent les voyageurs qui visitent certains pays tropicaux pour s’immuniser contre la malaria. Ces études portent à croire que certaines formes de PPrE peuvent réduire les risques de transmission sexuelle du VIH chez les hommes et les femmes séronégatifs, y compris les hommes gais et bisexuels et les hétérosexuels des deux sexes.

Lors d’une étude particulière, les hommes gais et bisexuels séronégatifs qui ont été invités à prendre tous les jours un comprimé (Truvada) ont vu leur risque global de

contracter l’infection au VIH diminuer de 44 %.

Les hommes qui ont fait preuve d’une très bonne observance thérapeutique ont vu leur risque réduit de 73 %. Une analyse poussée a laissé croire que le niveau de protection était plus élevé encore chez les personnes qui prenaient du Truvada tous les jours et dont les concentrations du médicament attestaient une bonne observance. Dans le cadre d’autres études, la même stratégie de PPrE (le

Truvada tous les jours) a conféré un niveau de protection comparable à des hommes et à des femmes hétérosexuels. Un comprimé anti- VIH contenant du ténofovir seulement s’est également montré efficace chez des hommes et des femmes hétérosexuels.

Chose surprenante, lors de deux autres études, un comprimé anti-VIH quotidien (Truvada) n’a pas conféré de protection aux femmes.

Toutefois, les femmes inscrites à cette étude ne suivaient pas fidèlement la PPrE.

D’autres études sont nécessaires pour déterminer si la PPrE orale peut également protéger les personnes qui risquent de contracter le VIH par l’utilisation de drogues injectables.

Gels vaginaux (ppre topique)

D’autres études de recherche évaluent des gels contenant des médicaments anti-VIH. Une de ces études a permis de constater que les femmes séronégatives qui appliquaient un gel anti-VIH contenant du ténofovir dans leur vagin avant et après leurs rapports sexuels réduisaient leur risque d’infection de 39 %. Celles qui appliquaient le gel le plus régulièrement réduisaient leur risque d’infection de près de 54 %. Chose surprenante, une autre étude a permis de constater que l’usage quotidien du même gel n’a pas marché chez les femmes. Cependant, les femmes en question n’utilisaient pas régulièrement le gel.

D’autres études sont nécessaires pour déterminer si le gel vaginal est efficace et évaluer son efficacité éventuelle dans le rectum.

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injections de longue durée et anneaux intravaginaux

Des formes de PPrE à longue durée d’action sont à l’étude dans le cadre d’études de faible envergure, notamment les injections et les anneaux intravaginaux à usage mensuel. Il s’écoulera plusieurs années avant que des études de grande envergure ne soient menées pour déterminer l’efficacité de ces méthodes.

est-ce que la ppre vise à remplacer les condoms et d’autres méthodes de prévention du Vih?

Non. Il est possible que les personnes utilisant la PPrE soient partiellement protégées contre l’infection par le VIH, mais pas complètement.

De plus, les chercheurs ne s’attendent pas à ce que la PPrE protège contre d’autres infections transmissibles sexuellement, telles que la gonorrhée, la chlamydia et la syphilis.

Ainsi, les personnes sous PPrE pourraient encore contracter le VIH et d’autres infections transmissibles sexuellement.

Les personnes sous PPrE devront aussi utiliser d’autres méthodes préventives, tel le condom, afin de réduire le risque de contracter le VIH ou d’autres infections transmissibles sexuellement. En fait, si les personnes sous PPrE arrêtent d’utiliser des condoms ou des seringues stériles, leurs risques de contracter le VIH pourraient augmenter, car la PPrE peut être moins efficace que les autres méthodes de prévention.

La ppre est-elle une « pilule du

lendemain » destinée aux personnes accidentellement exposées au Vih?

Non. En ce qui concerne la PPrE, la personne traitée doit reconnaître qu’elle court le risque de contracter le VIH et commencer à prendre des médicaments anti-VIH de façon régulière avant qu’une exposition au VIH n’ait lieu.

Pour les personnes qui auraient pu être exposées au VIH accidentellement (au travail ou par des rapports sexuels non protégés, par exemple), il existe une autre méthode

de prévention appelée prophylaxie post- exposition (PPE). Dans le cas de la PPE, la personne séronégative doit commencer à prendre une combinaison de médicaments anti-VIH aussitôt que possible (dans les

72 heures) après une exposition potentielle au VIH et continuer à les prendre tous les jours durant quatre semaines complètes.

Il est facile de confondre la PPE avec la PPrE parce qu’il s’agit dans les deux cas de prendre des médicaments anti-VIH pour prévenir l’infection par le VIH chez les personnes séronégatives.

Quels sont les avantages de la ppre?

La PPrE sert de méthode de prévention d’appoint à utiliser conjointement avec d’autres stratégies préventives visant à

protéger les gens contre l’infection par le VIH.

Bien que la PPrE ne soit pas censée remplacer les autres méthodes de prévention du VIH, elle pourrait servir dans certains cas de prévention de remplacement pour les personnes

n’utilisant pas de condoms ou de seringues stériles régulièrement. La PPrE pourrait, par exemple, offrir une autre méthode de protection aux personnes ne pouvant négocier le port du condom avec leur partenaire, aux couples sérodifférents (où un partenaire est séronégatif et l’autre séropositif) désirant concevoir un enfant ou aux personnes qui s’injectent des drogues ne pouvant obtenir des seringues stériles.

Quelles sont les préoccupations associées à la ppre quant à la sécurité?

résistance médicamenteuse

Une résistance aux médicaments risque de se développer si le patient est séropositif (sans le savoir) au moment de commencer la PPrE ou s’il devient séropositif pendant sa PPrE. Si le VIH que porte une personne devient résistant aux médicaments utilisés en PPrE, ces mêmes

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médicaments anti-VIH pourraient ne pas être efficaces pour traiter son VIH.

Toute personne sous PPrE doit suivre à la lettre les instructions de son médecin en ce qui concerne la prise des médicaments. Si ces instructions ne sont pas respectées — si la personne oublie trop souvent de prendre ses doses ou si elle essaie un autre horaire

— les risques d’infection et de résistance médicamenteuse pourraient augmenter.

effets secondaires

Les médicaments anti-VIH s’accompagnent d’effets secondaires qui peuvent nuire à la qualité de vie et à la capacité d’une personne à suivre fidèlement son traitement. Bien que les médicaments sélectionnés pour les études de recherche sur la PPrE soient généralement mieux tolérés que les autres médicaments utilisés pour traiter le VIH, ils peuvent tout de même causer des effets secondaires d’intensité légère à grave. Parmi les effets secondaires potentiels, mentionnons nausées, vomissements, diarrhées, maux de tête et étourdissements. La PPrE pourrait aussi nuire à la fonction rénale et réduire la densité osseuse. La recherche laisse toutefois croire que les effets secondaires sont généralement légers et peu fréquents lors d’une PPrE.

Faux sentiment de sécurité

On s’inquiète également de la possibilité que les personnes sous PPrE éprouvent un faux sentiment de sécurité et qu’elles décident alors de s’adonner à des activités comportant encore plus de risques. Si les personnes sous PPrE décident d’avoir des rapports sexuels avec davantage de partenaires, d’utiliser moins souvent des condoms, ou de partager plus souvent leurs seringues, leur risque global d’infection par le VIH (et par d’autres infections transmissibles sexuellement)

pourrait augmenter, car la PPrE n’offre pas de protection complète.

Maintenant que les études ont déterminé que la PPrE est efficace pour réduire le risque d’infection par le Vih, où et quand les personnes pourront-elles en bénéficier?

Les médicaments anti-VIH utilisés en PPrE doivent être prescrits par un médecin qui soit en mesure de les offrir de façon sécuritaire et éclairée. Il est toutefois difficile de prévoir si et quand la PPrE sera offerte à grande échelle par les médecins. À l’heure actuelle, aucune forme de PPrE n’a été approuvée par Santé Canada.

Bien qu’on n’ait pas approuvé les médicaments anti-VIH pour la prévention de cette infection (comme semble le faire partiellement la PPrE), ils sont bel et bien approuvés pour le traitement du VIH. Lorsqu’un médicament est approuvé pour une indication particulière, les médecins ont le droit de le prescrire à d’autres fins. On parle alors d’« utilisation non indiquée sur l’étiquette » des médicaments sur ordonnance. Certaines formes de PPrE, dont les pilules de Truvada, peuvent être prescrites par les médecins de cette manière.

Compte tenu du coût élevé des médicaments anti-VIH, il faudra peut-être faire pression sur les gouvernements provinciaux et territoriaux afin qu’ils couvrent la PPrE dans le cadre de leurs régimes d’assurance-médicaments et que les personnes qui en ont besoin y aient accès. Il est possible que le coût de la PPrE soit couvert par certains régimes d’assurance- maladie privés.

Il peut être dangereux de se procurer des médicaments anti-VIH auprès d’autres sources

— amis, personnes rencontrées lors de fêtes, ou par Internet. Les médicaments anti-VIH ainsi obtenus pourraient être faux, de qualité médiocre ou de composition médicamenteuse différente de celle annoncée.

Tous les médicaments anti-VIH et schémas posologiques ne conviennent pas à la PPrE.

À l’heure actuelle, il n’existe que deux

médicaments anti-VIH (sur un total de plus de 25) qui se sont montrés efficaces comme PPrE

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et ce, seulement lorsque les patients prenaient les pilules tous les jours. Une ordonnance de PPrE rédigée par un médecin garantira qu’une personne obtient les bons médicaments et la posologie sécuritaire, ainsi que l’information nécessaire pour les prendre de façon

sécuritaire et efficace.

L’usage inapproprié de médicaments anti- VIH peut causer des réactions graves, voire potentiellement mortelles, chez certaines personnes. Ces médicaments peuvent aussi interagir avec d’autres médicaments sur ordonnance, des drogues à usage récréatif et d’autres substances. Ces interactions peuvent être nocives, même si aucun

symptôme n’est apparent. Dans de rares cas, lorsqu’ils n’étaient pas pris correctement, des médicaments anti-VIH ont causé la mort par surdose.

Des tests de dépistage et un suivi médical réguliers sont nécessaires pour faire en sorte que les personnes sous PPrE demeurent en santé. De plus, afin d’éviter la résistance aux médicaments, des tests réguliers de dépistage du VIH sont requis pour s’assurer que les personnes sur le point d’entreprendre la PPrE sont séronégatives et qu’elles le restent. En cas d’infection par le VIH, elles devront arrêter la PPrE.

références

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Emtricitabine, or Vaginal Tenofovir Gel in the VOICE Study (MTN 003). 20th Conference on Retroviruses and Opportunistic Infections, Atlanta, Paper#26LB, 2012.

Crédits

Auteur : Wilton J

Traducteur : Alain Boutilier Publié : 2013

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