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Genève ou le crépuscule des impérialismes ? Naissance d’une nouvelle rhétorique de la vie internationale dans la France de l’Entre-deux-guerres

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Genève ou le crépuscule des impérialismes ? Naissance

d’une nouvelle rhétorique de la vie internationale dans la

France de l’Entre-deux-guerres

Julien Gueslin

To cite this version:

Julien Gueslin. Genève ou le crépuscule des impérialismes ? Naissance d’une nouvelle rhétorique de la vie internationale dans la France de l’Entre-deux-guerres . Hypothèses., 2002. �hal-01405396�

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G

ENEVE OU LE CREPUSCULE DES IMPERIALISMES

?

Naissance d’une nouvelle rhétorique de la vie internationale dans

la France de l’Entre-Deux-Guerres

Julien GUESLIN*

La fin de la première guerre mondiale et la victoire des puissances alliées qui avaient fait du droit des peuples à disposer d’eux mêmes et de la refonte des principes gérant la vie internationale les idées centrales de leur propagande ont été perçu par beaucoup de milieux progressistes et pacifistes comme le début d’une nouvelle ère, celle d’une moralisation des idées internationales. Si le principe d’une société des nations avait été bien accueilli par une partie de l’opinion publique, celle-ci restait sceptique face aux résultats réels qu’on pouvait en espérer : ne devait elle pas se limiter à être un outil de l’Entente pour surveiller les puissances vaincues et en particulier l’Allemagne? Est ce que le souci de la puissance française, l’alliance avec d’autres puissances anglo-saxonnes ou orientales pour contrebalancer la puissance allemande (qui renaîtrait sans doute très vite après un affaiblissement temporaire) ne devaient ils pas prédominer ? N’etait pas ce principe qui avait régi toute l’histoire des sociétés humaines et qui apparaissait en particulier dans les milieux de la Droite nationale comme intangible, immuable ? Est ce que la prolifération des Petits Etats, conséquence du désir d’émancipation des nationalités était elle chose souhaitable ? Voués à l’impuissance par leur faiblesse mortelle, ils ne seraient que cause d’instabilité ou de manipulations allemandes.

En bref, dès cette époque, jugées bien trop idéalistes, ignorantes des forces profondes qui sous-tendent les relations entre puissances, voire mêmes dangereuses pour les intérêts bien compris de la France et des Français épuisés (en facilitant une guerre de revanche allemande), ce type d’idées pacifistes est très vite contesté.

Face à ce mur de scepticisme voire d’indifférence, les milieux « genevois » (c’est à dire l’ensemble des milieux français défendant l’idée d’une SDN forte et au centre de la vie internationale) doivent démontrer que leurs idées ne sont pas déconnectées de la réalité et sont au contraires inspirées des idéaux qui régissent le combat politique à l’intérieur de la société française. D’où l’élaboration rapide d’une rhétorique rendue

*

Allocataire-Moniteur, Université Paris I (Institut Renouvin). Prépare une thèse sous la direction de Robert Frank : « L’opinion publique française et l’idée de Petit Etat entre 1920 et 1940 : l’exemple des Etats baltes (Estonie, Lettonie, Lituanie) ».

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2 Julien GUESLIN

nécessaire par la brusque mise en avant d’un corpus d’idées déjà débattues et admises au cours de la période d’avant-guerre (et qui avaient pu inspirer certaines réalisations comme par exemple les Conférences de la Haye du début du siècle régissant la guerre) mais qui étaient restées l’apanage d’une très petite minorité.

La mise en place de cette rhétorique répond donc à la fois à une réaction de défense mais aussi et bientôt à une volonté de faire basculer l’opinion publique dans le camp de ce type de pacifisme militant tout comme disqualifier ceux qui apparaissent comme les tenants de l’ordre ancien :les diplomates.

Pour mener cette étude, nous nous sommes appuyés sur les articles émanant des grandes personnalités des milieux genevois, le juriste Georges Scelle (voir la contribution de J.M. Guieu dans Hypothèses, 1999), l’historien Alphonse Aulard et le sénateur Henri de Jouvenel (tous trois très actifs dans les associations françaises soutenant la Société des Nations) dans les journaux les soutenant : L’Ere nouvelle, L’Information, l’Oeuvre ou la Dépêche de Toulouse et certaines conférences de Léon Bourgeois, le maître à penser de ces milieux.

Une des préoccupations des milieux genevois est donc d’ancrer donc leurs thèses dans le réel et de disqualifier toutes les critiques pouvant les qualifier d’idéaliste.

Ils s’y emploient dans leurs discours en niant toute spécificité aux relations internationales. Ogn ne peut pas disjoindre pour eux le champ de la politique intérieure qui verrait progressivement le triomphe de la démocratie et de la justice et la sphère de la vie internationale où règneraient seule l’idée de puissance : les seul remèdes à l’affrontement entre les impérialismes seraient l’idée soit de concert entre les nations pour régler les petits conflits gou l’idée d’équilibre instable entre les puissances. Ainsi Léon Bourgeois martelait dans sa célèbre conférence sur La Morale

internationale en 1922 qu’il n’y a pas deux morales mais une seule pour les

nations comme les individus :

« La morale internationale ne diffère point de l’autre par sa nature et

son objet mais seulement par la nécessité d’appliquer à son développement des méthodes plus patientes et plus souples où entrent nécessairement en

compte les degrés divers de la civilisation des Etats. »1

Comme les individus, les nations sont des « personnes morales » ayant une âme, une conscience et se sentant responsables des actes passés et présents opérés au nom de la nation et non des collectifs d’être divers formés de générations successives et ne reconnaissant pas les actes passées ou présents de leur pays. Et d’appuyer à nouveau sur le souvenir du conflit mondial si récent dans la mémoire des gens :quand 1.5 millions d’hommes

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meurent pour un idéal commun, n’est ce pas la preuve de la puissance de la conscience nationale ?

L’idéologie solidariste, dont Léon Bourgeois est le père et qui inspire les programmes du parti radical-socialiste, est donc tout à fait applicable aux nations qui doivent comme pour les individus être liées ensemble par l’idée « d’un devoir social, comportant des obligations d’assistance, de prévoyance, de protection de la vie et de la santé de tous». De même que ces idées sont en train d’inspirer la politique sociale française, de même elles doivent stimuler la reflexion surs ces « nouvelles relations internationales » : respect de la liberté mutuelle et assistance aux pays victimes d’agression, sacrifice d’une part de la souveraineté dans une autorité supérieure assurant la justice et la protection de tous au lieu d’un isolement qui n’aboutirait bien vite qu’à l’impuissance ou à la mort.

Cela a deux conséquences sur le plan du discours.

D’abord on replace systématiquement l’idéologie genevoise dans un mouvement presque naturel qui aurait vu l’introduction progressive de la morale dans le droit positif et les législations. Il se serait amorcé dans l’Antiquité avec l’Empire romain puis au Moyen-Age avec l’Eglise avant de triompher au XVIIIè avec les philosophes et surtout avec la Révolution. Celle-ci aurait justement brisé la séparation étanche existant entre politique intérieure et politique extérieure et initié le grand mouvement qui se poursuivait en 1864 avec la Convention de Genève, en 1907 par les Conférences de la Haye pour aboutir enfin à la création de la Ligue des Nations. En ce sens si le conflit mondial a été un obstacle comme en son temps les guerres « fratricides » de religion ou l’avènement de Frédéric II, loin de constituer un retour aux temps barbares, il a permis finalement de répandre chez tous cette volonté de moraliser la politique internationale2.

La SDN a donc un passé, elle ne tombe pas du ciel. Au contraire comme l’explique aux journalistes Lucien Le Foyer, vice-président du Bureau international de la Paix et secrétaire général de la délégation permanente des sociétés françaises de la Paix

« Qu’est ce que notre pays, la France ? Une Fédération d’Etats qui se sont battus entre eux pendant des siècles. C’est une SDN jadis belliqueuse et hostile.

Tribus gauloises et romaines, peuplades germaniques d’origine et Gallos Romains…Bretagne, Champagne…Navarre et bien d’autres Etats, royaumes, duchés, comtes, marquisats, baronnies se sont battus entre eux pendant des siècles au nom du droit et de la patrie, se faisant une guerre que nous tenons pour une guerre civile mais qu’ils tenaient pour une guerre étrangère…Pour tous ces Etats pour toutes ces patries se battre, c’etait leur droit , leur tradition, leur gloire…et pourtant peu à peu l’union s’est faite tantôt par la violence, tantôt par le consent tantôt après le mariage des

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4 Julien GUESLIN

princes. La France est née, fédération états, sociétés des nations et avec cette plus gde patrie et se sont établies la sécurité, la prospérité et la paix »3.

Relecture contestable du passé certes qui montre la volonté de ces intellectuels de plaquer leur rhétorique sur l’histoire de la France et:de donner un passé (l’expérience de cette longue lutte) à cette véritable religion de la solidarité internationale qui ne devait être affaiblie par aucune attaque.

Certaines contradictions sont bien sûr masquées: pour suivre Lucien le Foyer, doit-on aboutir à un Super-Etat qui progressivement imposerait sa souveraineté et créerait une identité européenne ou mondiale ou doit on en rester à une collectivité ordonnée d’Etats conservant leur individualités ?On serait plus proche alors du modèle historique allemand ou italien, d’où la volonté des milieux genevois de reinterpréter l’expérience historique française. Il n’est d’ailleurs pas fortuit qu’une grande partie d’entre eux militent à des degrés divers en France pour un régime fédératif ou au moins pour le développement de la puissance des régions.

Deuxième conséquence presque inverse: l’utilisation pour décrire le grand combat pour la SDN du vocabulaire et de l’idéologie utilisée dans le combat politique intérieure. Oyn critique le Conseil qui personnalise par exemple pour le juriste Georges Scelle la direction despotique et l’autocratie des Grandes Puissances4. L’Assemblée est au

contraire décrite comme le lieu où les petites nations égales les unes aux autres vont échapper à la mégalomanie des grandes : égales entre elles, aspirant à consolider l’institution, elles doivent au contraire contrôler le Conseil comme le pouvoir législatif contrôle le pouvoir exécutif. De même la Cour internationale de Justice est décrite et analysée comme le pouvoir judiciaire qui doit équilibrer selon la plus pure orthodoxie démocratique cette républiques des nations pourtant sans Constitution ou traditions. De fait cette analogie avec le modèle démocratique explique le renversement qui s’opère à l’intérieur des discours entre l’image des Petits Etats et celle des Grandes Puissances. Auparavant dans la rhétorique du concert des nations, les « Etats principaux » apparaissaient et était décrits avec le vocabulaire de la sagesse, de l’expérience. Ils réglaient les conflits qui pouvaient naître entre les Petits Etats, décrits souvent comme des enfants batailleurs capricieux incapables de saisir l’intérêt général et en tout cas avec le vocabulaire des passions et toujours une certaine condescendance. Au contraire les Grandes puissances apparaissent désormais comme les vestiges de l’ordre passé, de l’esprit ancien, incapables de maîtriser leurs pulsions meurtrières et leur soif de possession . A l’opposé, les Etats jadis « secondaires » sont appelés alors à jouer le rôle de citoyens-modèles, égaux, rationnels et n’ayant pas le désir d’obtenir des privilèges particuliers5. Bref

3 Entretien paru dans L’Oeuvre du 3 fevrier 1927,p 1

4 Voir les chroniques de Georges SCELLE sur la SDN dans La Depêche de Toulouse, 29

avril, 27 juin et 2 septembre, p 1.

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cet combat que dans la mythologie radical les « petits », les « classes nouvelles » ont mené depuis la Révolution contre « les Gros », contre le « Château , c’est aux Petits Etats de le mener en interpellant et exerçant sans bienveillance leur droit de regard sur l’action des Grands et leur tendance à vouloir à nouveau régler entre eux les affaires du monde. Seule la France échappe à l’opprobre, puisque protecteur naturel des Petits Etats et incarnation de l’esprit révolutionnaire, elle serait par essence dénuée de tout esprit d’impérialisme et serait donc « le plus grand des petits Etats »6.

Les milieux genevois sont-ils alors des défenseurs absolus du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, d’une liberté inconditionnelle de sécession ? Au contraire logiquement et selon les principes radicaux, ils sont contre l’anarchie et ce serait à la SDN en juge impartial d’apprécier le degré de maturité de la nation en question et le bien-fondé de son indépendance. Léon Bourgeois expliquait la difficulté de construire une démocratie internationale par les différents degrés de civilisation existant entre les nations et là encore reprenant des termes et des idées familiers de son auditoire (avec l’idée d’école publique et obligatoire cimentant l’identité nationale), il prônait un effort intensif d’éducation afin de rendre durable et permanent le sentiment de solidarité internationale qui pouvait si facilement disparaître. En attendant que leurs compétences se développent, les nations les moins avancées devaient rester sous la tutelle plus ou moins lâche de la SDN7.

Derrière cette saturation du discours par des concepts de politique intérieure, il y a donc une conviction ferme mais aussi une volonté de rendre familier, d’abolir le fossé qui semble exister aux yeux de l’opinion publique entre leur réalité intérieure et les grands combats extérieurs qui à l’exception de quelques uns ne semblent pas les concerner ou pouvoir les intéresser. Il y aussi la volonté de mobiliser les députés, les journalistes familiers de la tradition parlementaire qui se rendent à Genève et par là même d’attirer leur attention sur le fossé qui existe entre leur regime démocratique et cette démocratie incomplète que serait la SDN où la bureaucratie et les Grandes Puissances régentent encore les « parlementaires des nations ».

Mais enfin et surtout derrière ce discours, il y a également la volonté de ces intellectuels, en particuliers les juristes comme Scelle ou Lapradelle de s’affirmer et de faire valoir leurs compétences en matière internationale, en particulier face au monde diplomatique. Dans la rhétorique élaboré par les milieux genevois, le diplomate apparaît en effet souvent commeg le premier accusé, l’incarnation des vestiges de l’esprit ancien dans le régime républicain. Blasé, sceptique, désinvolte, incompétent ou bureaucrate, le diplomate français disposerait des peuples et découperait le monde, pour reprendre les mots de Georges Scelle avec le même absolutisme et

6 Pour reprendre les termes de H.Hauser lors d’une Conférence à Riga en juin 1922.

AMAEF, Europe 1918-1940, Lettonie, 26, 9 décembre 1922

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6 Julien GUESLIN

désinvolture que les potentats autocrates au Traité de Vienne qui au moins pour Jouvenel avaient l’excuse de croire en la pérennité de leurs principes8.

Par ses doutes et ses critiques, il semble être devenu le principal opposant à la mise en place de cette démocratie des peuples tant espérée.

L’accusation est d’autant plus facile que, comme on le sait, le milieu diplomatique a longtemps fait figure avec la marine de dernier sanctuaire du monarchisme. Mais elle s’inscrit particulièrement encore dans cette volonté de faire perdre à la vie internationale sa spécificité: le diplomate apparaît comme le grand prêtre de cette religion internationale qui doit disparaître en bloc avec ses méthodes et ses coutumes. D’où l’omniprésence de termes flétrissant les cabinets ou les antichambres des diplomates sombres, obscurs, irrespirables où se trament des choses inavouables par opposition à la nouvelle diplomatie où toutes les affaires internationales se traitent à l’air libre au vu et au su de tous. Loin d’être des affaires spécialisées, complexes et délicates, nécessitant temps et prudence, les affaires internationales ne pourront trouver leur solution que dans la participation de tous (et en particulier surtout de ces publicistes et de ces intellectuels)et dans le refus de faire prévaloir certains intérêts particuliers. En justifiant ainsi le débat public, les intellectuels genevois peuvent ainsi espérer voir la SDN accaparer les tâches de la diplomatie et voir régler au sein de son débat ou par son personnel les litiges s’élevant entre les nations.

Au total on voit donc bien la rupture complète que cette rhétorique genevoise cherche à accréditer en unissant deux champs f jusqu'alors complètement dissociés à la fois par conviction mais aussi dans le cadre de la lutte que menait cette nébuleuse radicalisante pour persuader l’opinion publique de la justesse de ses thèses. Etudier donc la structure interne et les figures utilisées nous apprend donc beaucoup en nous révélant à la fois directement et en creux les enjeux et les questions cruciales auxquels devaient répondre ce mouvement genevois pour rencontrer l’adhésion de l’opinion publique mais aussi clairement ses horizons d’espérance.

Est ce que cette rhétorique parvint elle à son but, c’est à dire rallier l’opinion ? Oui et non. Très vite face à l’évolution de la situation, au blocage entre les grandes puissances, au désenchantement face à la conduite adoptée par les jeunes Etats d’Europe centrale et orientale, elle a du vite s’amender et renoncer à son idéalisme premier. Mais il est indéniable que certains de ces thèmes ont rencontré l’adhésion de l’opinion publique française et ont rapproché et familiarisé cette dernière avec l’institution genevoise, d’où le large soutien donné à la politique briandienne dans la deuxième moitié des années vingt.

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