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LE GENRE EOPHILA (LUMBRICIDAE) EN PROVENCE

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PROVENCE

Pierre Bartoli

To cite this version:

Pierre Bartoli. LE GENRE EOPHILA (LUMBRICIDAE) EN PROVENCE. Vie et Milieu ,

Observa-toire Océanologique - LaboraObserva-toire Arago, 1963, pp.619-628. �hal-02933110�

(2)

LE GENRE EOPHILA (L UMBRICIDAE)

EN PROVENCE

par Pierre BARTOLI

A l'heure actuelle, les Lombricidés de la région provençale sont peu connus; la plupart d'entre eux ont été décrits à partir d'un petit nombre d'échantillons et c'est en particulier le cas pour les espèces du genre Eophila. Il en résulte que les descriptions sont incomplètes car elles ne peuvent pas mettre en évidence l'étendue des variations intraspécifiques.

La Provence est comprise dans une zone d'endémisme qui s'étend de la Mer Noire aux Iles Canaries (OMODEO, 1961). Le genre

Eophila y est largement représenté.

J'ai retrouvé dans la région marseillaise :

— E. dugesi (Rosa, 1886) ssp. tijpica, dont le type fut trouvé

à Nice (un exemplaire) et dont quelques autres furent retrouvés par GAVRILOV (1937) dans les Alpes Maritimes, un autre en Corse

par POP (1947).

— E. dugesi (Rosa, 1886) ssp. sanaryensis Tetry, 1942, décrit

à partir de 9 échantillons provenant de Sanary (Var).

— E. dollfusi Tetry, 1939, dont un seul individu fut trouvé

à La Bonde (Vaucluse).

J'ai récolté ces trois formes dans les stations suivantes : E. dugesi typica : 8 exemplaires dont 3 parfaitement mûrs à

Carqueiranne (Var) dans un champs en friche, le 16/1/62.

E. dugesi sanaryensis : très abondant. Bouches du Rhône Sormiou 10/12/60.

Morgiou 13/12/60.

Callelongue 6/2/61.

(3)

Var

Gorges du Destel

15/1/62.

Carqueiranne

16/1/62.

Je l'ai trouvé presque toujours dans l'association du

Brachy-podietum ramosi, plus rarement dans les associations nitrophiles

qui la voisinent sur le bord des chemins et des routes, une seule

fois dans une terre en friche.

E. dollfusi est très abondant au jardin botanique de Marseille.

En dehors de ces trois espèces, j'ai récolté une forme nouvelle pour

la Provence : Eophila icterica (Savigny,

1826)

ssp. dicystis

Cernos-vitov,

1942.

Localités :

Bouches du Rhône Le Tholonet

1/6/61 . . 22

individus.

Calas

3/10/61 2

individus.

La Trévaresse

7/11/61 3

individus.

Vaucluse

Pertuis

11/2/61 .... 11

individus

Toutes ces espèces d'Eophila ont été rencontrées dans des

bio-topes identiques; on les trouve presque toujours dans une terre

sèche et pauvre.

Le nombre des individus récoltés est suffisant pour pouvoir

préciser l'étendue des variations de chacune de ces espèces.

Eophila dugesi (Rosa,

1895)

typica

Cf.

ROSA (D.), 1895; GAVRILOV, 1937; POP, 1947.

Sur

8

exemplaires trouvés,

3

seulement étaient parfaitement

mûrs. Leur longueur varie de

13,5

cm à

14,5

cm, le diamètre au

niveau du clitellum de

0,9

cm à

1

cm. Le nombre de segments est

compris entre

248

et

256.

Le premier pore dorsal est situé en

9/10

sur un exemplaire, en

11/12

sur les deux autres. L'orifice génital

mâle est entouré de bourrelets glandulaires s'étendant sur la totalité

du

15E

segment et la moitié du

16E.

Le

14E

anneau est glandulaire

autour de l'orifice génital femelle. Le clitellum, en

25-26/41

est

insegmenté dorsalement et en forme de selle. Les crêtes de puberté,

s'étendant sur

1/2 29-30

à

34-1/2 35,

sont segmentées, ovales, peu

saillantes, de couleur blanche.

Les soies génitales sont situées sur de grosses papilles

glandu-laires en

11

ah + léab; les soies sous-clitelliennes sont aussi

trans-formées en soies génitales.

(4)

— 621 —

Deux paires de vésicules séminales, énormes, s'affrontant sur la ligne médio-dorsale, lobées, en position normale, en saillie dans les cavités coelomiques 11 et 12.

Les spermathèques sont de taille décroissante de l'arrière vers l'avant. Sur le premier individu il y en avait deux paires (12/13-13/14), sur le deuxième 2 paires d'un côté (12/13-(12/13-13/14), 3 paires de l'autre (11/12 à 13/14), sur le troisième individu 3 paires des deux côtés (11/12 à 13/14). Elles s'ouvrent à l'extérieur au niveau des soies cd.

Tous les organes génitaux sont en position normale.

Eophila dugesi (Rosa, 1895) sanaryensis Tetry, 1942

Cette forme, décrite par A. TETRY, est largement représentée

en Provence. Une étude portant sur une trentaine d'échantillons, m'a permis de préciser certains détails qu'il me semble intéressant de souligner.

Le prostomium est épilobe fermé (1/3 ou 1/4); le péristomium est strié longitudinalement; les soies, géminées, répondent à la for-mule suivante :

ab > cd 2 bc # aa

5ab = bc dd = 1/2 u

Les soies génitales, insérées sur des mamelons glandulaires, occupent une position fixe :

12 ab 15-16-17 ab

26-27-28 à 39-40-41 ab.

Le premier pore dorsal est en position variable : 9/10-10/11-11/12, rarement en 8/9 et en 12/13.

Le clitellum, en selle, à métamérie à peine visible dorsalement, où les pores dorsaux sont invisibles, occupe la position suivante :

1/2 26-27-1/2 27-28-1/2 28 à 40-1/2 41-41-42.

Les crêtes, segmentées, relativement difficiles à voir, surtout dans leur région antérieure, sont saillantes en arrière. Elles sont présentes sur tous les échantillons mûrs que j'ai eu l'occasion d'étu-dier. Leur position peut ainsi s'exprimer :

31-32-1/2 32 à 40-41-42; la position la plus fréquente étant : 32 à 41.

(5)

Les spermathèques sont toujours très petites, situées dans la musculature longitudinale et au nombre de 5 paires, ce nombre étant pratiquement constant. Leur taille diminue d'arrière en avant.

Fig. 1. — Eophila dugesi

(Ro-sa) ssp. sanaryensis Tetry. Ré-gion antérieure en vue latéro-ventrale.

Elles s'ouvrent au niveau des intersegments 9/10 à 13/14 près des soies cd. Les deux ou trois premières paires ne semblent pas fonc-tionnelles. La dernière paire peut faire défaut mais ce fait est assez rare.

(6)

- 623 —

Je résume dans le tableau ci-après les principales différences entre la diagnose des types et celle des individus de la région mar-seillaise.

Type Exemplaire de la région marseillaise

Soies ab > cd bc -3ab aa = 3 bc dd= 1/2 u ab > cd bc = 5 ab aa # 2 bc dd=1/ 2 u Soies génitales 10-11-12 ab 12 ab 15-16-17 ab 26-27-28 à 39-40-41 ab 9/10 9/10-10/11-11/12 rarement en 8/9 et 12/13. Clitellum Segmenté 26-27/41 à peine segmenté 1/2 26-1/2 28 à 40-42 Crêtes 30-32 à 41 31-; 12 32 à 40-42 Spermathèques 2 paires 12/13-13/14 cd 5 paires 9/10 à 13/14 cd

Eophila dollfusi Tetry, 1939.

Cette espèce a récemment fait l'objet d'une redescription par

A. GALLISSIAN à partir d'échantillons du Jardin Botanique de

Mar-seille, où l'espèce est abondante.

La similitude de ces trois espèces est frappante, surtout entre E. dollfusi et E. dugesi sanaryensis (cf. fig. 2). Seules la position du clitellum et celle des crêtes les différencient avec facilité. Par rapport à l'espèce-type, E. dollfusi et E. dugesi sanaryensis sont à un stade semblable. Conformément à ce qu'exprime POP (1947), je

pense qu'il serait bon de ramener l'espèce dollfusi, au sein de la grande espèce E. dugesi; E. dollfusi acquerrait alors la valeur de sous-espèce. Si l'on maintenait la valeur d'espèce pour E. dollfusi, il faudrait faire de sanaryensis une espèce à part.

Eophila icterica (Savigny, 1826) ssp. dicystis Cernosvitov, 1942

L'espèce icterica est depuis longtemps à l'origine de nombreuses discussions; en outre, une de ses sous-espèces, la ssp. dicystis, n'est

(7)

10 12 14 16

24 26 28 30 32 34 36 38 40 42 44

9

11

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mu 11 i,

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E. icterica f. dicystis

Fig. 2. — Les chiffres indiquent l'ordre des segments. Les plages en poin-tillets représentent en 11-12 les vésicules séminales, dans la région du 15e

seg-ment les bourrelets glandulaires entourant l'orifice génital mâle. Les ronds noirs représentent les spermathèques, les triangles noirs les soies génitales. Les traits épaissis indiquent, à la partie supérieure la position du clitellum, à la partie inférieure celle de crêtes; les traits épaissis interrompus soulignent leurs variations.

connue que par un petit nombre d'individus. A ce propos, M. SAUS-SEY (1959) déclarait : « la forme dicystis, qu'il serait important de

redécrire de façon précise, est sans doute très localisée ». Il me paraît opportun d'en faire ici une redescription.

La diagnose est tirée de l'examen de douze individus en parfait état de maturité.

Morphologie

Couleur jaunâtre sur le vivant, plus ou moins grisâtre vers la queue, lie-de-vin en avant du clitellum, dorsalement et ventralement; clitellum orangé. Dans l'alcool, les échantillons se décolorent rapi-dement. Ce sont des vers de grande taille, puisque les individus fixés

(8)

— 625 —

atteignent une longueur oscillant entre 6 cm et 12cm; ils ont un

aspect assez grêle : le diamètre est compris entre 4,5 mm et 7 mm.

Le nombre des anneaux est élevé, de 225 à 385. Les 8 premiers ou

les 9 premiers anneaux sont de grande taille. L'annélation

secon-daire est remarquable; les 5 ou les 6 premiers segments sont lisses;

tous les autres sont en général triannelés sauf les segments 18, 19,

20, 21 qui comportent 4 anneaux. Le corps est cylindrique sauf au

niveau de l'intervalle compris entre le 8' segment et l'arrière du

clitellum, où il est aplati ventralement.

Le prostomium est épilobe fermé (1/3 ou 1/4). Les pores

dor-saux sont peu visibles, n'apparaissant jamais sur le clitellum des

individus parfaitement mûrs. Le premier pore dorsal est situé au

niveau de Tinter segment 6/7, en 5/6 pour un seul échantillon.

Les soies sont intimement géminées; en arrière du clitellum,

leur position répond à la formule suivante :

aa —2 bc

2 aa # cd

dd = 1/2 u

ab > cd.

Dans tous les cas, les soies ab des segments 10 et 11 sont inserrées

au centre d'une aire glandulaire et transformées en soies génitales.

Sous le clitellum, les soies ab sont aussi transformées en soies

copu-latrices.

L'orifice génital mâle, en position normale, est entouré de

bour-relets glandulaires s'étendant sur l'espace 1/3 14 à 1/3-2/3 16; ils

peuvent cependant faire défaut en 14.

Le clitellum, fortement saillant et en forme de selle, est plus

ou moins segmenté dorsalement. Il occupe cette position :

32-33-34 à 43-44,

le plus souvent de

33 à 44.

Les crêtes, de couleur blanche, plus rarement rosée, saillantes et

segmentées, s'étendent sur les segments

35- 36-37 à 41,

le plus souvent de

36- 37 à 41.

Anatomie

Le premier dissépiment développé est en 5/6. De 5/6 à 9/10

ils sont fortement musculeux et en forme d'entonnoirs. Les glandes

de Morren sont présentes, en 10, sous forme de 2 gros diverticules

blanc-jaunâtres, striés longitudinalement. L'oesophage en 11-12

offre une structure lamellaire. Le jabot occupe les segments 15-16,

(9)

le gésier les segments 17 à 19, les cœurs latéraux les segments 7 à 11 (5 paires).

Les vésicules séminales, au nombre de 2 paires, en 11 et en 12, sont en position normale. Très grosses et de taille semblable, elles s'affrontent sur la ligne médio-dorsale. Leur couleur est blanche; elles ont la forme de grappes.

Fig. 3. — Eophila icterica

(Sa-vigny) ssp. dicystis Cernosvitov. Région antérieure en vue latéro-ventrale.

Les spermathèques sont de petite taille, subégales, sphériques, sessiles. Elles sont au nombre de 2 paires, situées en 10 et en 11, en rapport avec l'extérieur en 9/10 et 10/11 cd, rarement entre bc près de c. Elles sont parfois simples, mais elles sont souvent par-courues par un sillon qui les dédouble; une triple paire n'a été observée qu'une fois.

(10)

— 627 —

Ovaires, pavillons génitaux femelles, oviductes, testicules, en-tonnoirs ciliés, canaux déférents sont en position normale. Selon les individus, l'épididyme est plus ou moins développé.

Position systématique de l'espèce icterica.

M. SAUSSEY, après l'étude d'exemplaires de la région normande,

de Versailles, des Alpes du Valais et de Nottingham (Grande-Bre-tagne), les a attribués au genre Allolobophora du fait de la présence de 4 paires de vésicules séminales situées en 9-10-11-12. Or, si nous nous fondons sur la systématique que nous propose P. OMODEO

(1956), nous attribuons la forme dicystis non point au genre Allolo-bophora, mais au genre Eophila. En effet, les espèces du genre Eophila sont spécialisées en ce qui concerne leurs nombreux seg-ments et leur grande taille, caractérisées en outre par les nombreux sillons longitudinaux au niveau du péristomium et l'annélation secondaire fortement poussée.

De plus, les spermathèques multiples et de petite taille, de même que l'absence de vésicules séminales dans les segments 9 et 10 conduisent à cette attribution.

TETRY (1938), dans son étude sur la faune de l'Est de la France,

signale des E. icterica que CERNOSVITOV (1941) attribue à la forme dicystis. Or ces échantillons lorrains, comparés à ceux récoltés dans la région marseillaise, présentent des caractères parfois très diffé-rents. Je résume ces variations dans le tableau ci-dessous :

Lorraine Région marseillaise

Clitellum 34/43 33/44 32-33-34/43-44 36/42 35-36-37/41 Spermathèques 9-10 (9/10-10/11 cd) 10-11 (9/10-10/11 cd) Nombre d'anneaux .. 140 à 190 225 à 385 e 1/3 ouvert e 1/3-1/4 fermé

Soies génitales rarement en :

9 et 11 ab constamment en : 10 + 11 ab

E. icterica ssp. dicystis a déjà été rencontré en Lorraine et en Suisse mais n'a jamais été signalé dans la zone d'endémisme. Je

(11)

pense que les raisons expliquant les différences entre les échan-tillons lorrains et marseillais doivent être recherchées dans l'isole-ment géographique et dans le biotope particulier qu'ils fréquentent.

Laboratoire de Zoologie générale, Faculté des Sciences de Marseille

BIBLIOGRAPHIE

CERNOSVITOV, L., 1941. — Revision of Friend's Types and Descriptions of British Oligochaeta. Proc. Zool. Soc. London, 111 (B) : 251. GALLISSIAN, A., 1961. — Etude taxinomique et biologique de l'espèce

Eophila dollfusi Tetry. Annales de la Faculté des Sciences de Mar-seille, 31 (2) : 131-136.

GAVRILOV, K., 1937. — Regenwurmer aus Sûdfrankreich zugleich eine

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OMODEO, P., 1956. — Contributo alla revisione dei Lumbricidae. Archivio

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OMODEO, P., 1961. — Le peuplement des grandes îles de la Méditerranée par les Oligochètes terricolés. Colloque international du C.N.R.S.

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ROSA, D., 1895. — Allolobophora dugesi, nuova specie di Lumbricide europeo. Bull. Mus. Zool. Torino, 10, Nr 205.

SAUSSEY, M., 1959. — Variabilité anatomique et position systématique

à'Allolobophora icterica (Savigny) (Oligochète Lumbricidae). C.R. Ac. Sci., 248 : 2897-2899.

TETRY, A., 1938. — Contribution à l'étude de la faune de l'Est de la France. Thèse Nancy, 453 p.

TETRY, A., 1939. — Description d'un nouveau lombricien de la faune

française (Eophila dollfusi n. sp.). Bull. Mus. Nat. Hist. nat., 11 (2) : 254.

TETRY, A., 1942. — Description d'une nouvelle forme française de

Lom-bricien : Eophila dugesi (Rosa) f. sanaryensis Tetry. Revue

Figure

Fig.  1.   —   Eophila  dugesi  (Ro- (Ro-sa)  ssp.  sanaryensis  Tetry.   Ré-gion  antérieure  en  vue   latéro-ventrale
Fig.  2.  —  Les  chiffres  indiquent  l'ordre  des  segments.  Les  plages  en  poin- poin-tillets  représentent  en  11-12  les  vésicules  séminales,  dans  la  région  du  15 e    seg-ment  les  bourrelets  glandulaires  entourant  l'orifice  génital
Fig.  3.   —   Eophila  icterica  (Sa- (Sa-vigny)  ssp.  dicystis  Cernosvitov.

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