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Veaux, vaches, cochons, volailles ...
L’élevage dans la peau !
19/12/2012 ALIM'AGRI
NOUVEAUTÉ - Découvrez le numéro 1554 d’Alim’agri, le magazine du ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt.
Dossier : Veaux, vaches, cochons, volailles ... L’élevage
dans la peau
Plaines herbeuses, bocages parsemés de haies, hautes ou moyennes montagnes, mais aussi vergers ou borde de mer. À chaque paysage son agriculture et son élevage, en symbiose avec l’environnement. C’est une activité économique majeure, puisque la France est le premier producteur de
bovins en Europe et, en 2012, toutes les productions animales progressent en valeur. Avec une offre variée quant aux prix, aux qualités et aux
provenances, le consommateur est gagnant : poulet de Bresse ou canard de Challans, veau de l’Aveyron ou agneau de pré-salé, bœuf du Charolais, jambon de Bayonne ou d’Auvergne... La caractéristique de l’élevage
français, c’est la diversité des races. Partout les éleveurs se mobilisent pour offrir le meilleur, sécurité sanitaire et traçabilité en prime. Être éleveur aujourd’hui est un engagement fort !
Les campagnes françaises, dans la diversité de leurs territoires sont propices à l’activité agricole dont l’élevage représente une part
importante. Toutes les productions animales y sont présentes, élevage bovin (lait ou viande), porcin, ovin, caprin, volailles, mais aussi équin et cuniculture. L’élevage en France, c’est aussi quelques chiffres qui attestent une dynamique bien réelle. Avec près de 200 000 exploitations en élevage bovin, au dernier recensement 2010, la France est le 1er producteur de l’Union européenne de viande bovine. Elle occupe la 3e position pour l’élevage porcin, et la 2nd pour la volaille. Les bons résultats à l’export participent au dynamisme de la France dans le secteur
agroalimentaire.L’élevage joue également un rôle essentiel pour les régions rurales, tant sur le plan de l’emploi que pour l’aménagement des territoires.
Les troupeaux contribuent à l’entretien des espaces et à forger l’identité des paysages, en s’affirmant comme une activité économique fondamentale pour les zones difficiles d’accès ou de moyenne montagne, avec notamment l’élevage extensif bovin ou ovin.
Aujourd’hui, cette activité montre sa capacité d’adaptation aux
évolutions de la société : les pratiques, les équipements et les bâtiments évoluent afin de mieux prendreen compte le bien être animal et la
préservation de l’environnement. L’élevage est aussi une activité concernée par la mondialisation et les évolutions climatiques. Avec le déplacement accru des animaux, de nouvelles maladies apparaissent, véhiculées par des agents "exotiques" qui s’adaptent désormais à nos régions. La récente épizootie due au virus de Schmallenberg l’a encore récemment montré. La réactivité des services vétérinaires sur le terrain, la création d’une plateforme d’épidémiosurveillance, ainsi qu’un plan Ecoantibio, qui incite à l’évolution des pratiques des éleveurs et des
vétérinaires en intervenant sur l’évaluation et la réduction des antibiotiques, sont des atouts essentiels dans la lutte contre ces maladies.
La mondialisation se manifeste également par l’évolution des prix
mondiaux, celui des céréales en particulier, et par ses conséquences sur les éleveurs. Stéphane Le Foll s’est montré particulièrement attentif à ces
difficultés, en lançant un plan d’action pour lutter contre cette hausse, protéger l’élevage et la polyculture élevage dans les zones reculées.
L’activité agricole est en effet le secteur qui représente le plus d’emplois dans ces territoires où il est souvent la seule activité économique
d’envergure : si la production est fragilisée, ce sont tous les emplois induits qui sont menacés. À l’heure de la renégociation de la PAC, dont le rôle demeure fondamental dans le soutien à l’élevage, tant pour le revenu des éleveurs qu’en matière de régulation des marchés, le Ministre a affirmé son soutien à l’élevage pour que les modalités de la réforme préservent et renforcent la viabilité économique des exploitations.Découvrez le
sommaire du dossier
Veau de l’Aveyron : la qualité pour tous
Dans l’Aveyron et le Ségala, grandes terres d’élevages réputées pour la qualité des viandes qui y sont produites, une production de veau Label rouge, également reconnue en IGP, s’est développée. Un veau à la viande rosée, vendu depuis 17 ans chez Auchan.
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Lire l’intégralité de l’article : Veau de l’Aveyron au supermarché : une démarche réussie
Porc Noir : le trésor de Bigorre
Le Noir de Bigorre appartient à la grande famille des cochons noirs
d’ascendances méditerranéennes que l’on retrouve aujourd’hui en Corse, en Espagne, en Italie ou au Portugal. Une espèce en voie de disparition dans les années 80, sauvée par une poignée d’éleveurs.
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Lire l’intégralité de l’article : Porc noir, le trésor de Bigorre en téléchargeant le dossier PDF ci-dessous
Brebis Limousine : À la reconquête du plateau de Millevaches
Installé sur le plateau de Millevaches en Corrèze, Arnaud Simons est à la tête d’un élevage mixte bovins/ovins d’environ 300 têtes. Si l’activité
d’élevage d’ovins s’est imposée à lui pour des raisons économiques lors de son installation, il ne regrette en rien ce choix vingt en plus tard.
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Lire l’intégralité de l’article : Brebis limousines, à la reconquête du plateau de Millevaches en téléchargeant le dossier PDF ci-dessous Chèvres et biodiversité : l’accord parfait
Elles s’appellent Imhotep, Omahabic ou Rochfi - liberté en hébreu. Lui, c’est Facebouc, il y a aussi Molécule, « toujours à la traîne », Frotti, « toujours en train de se frotter, preuve du déterminisme d’un prénom sur la vie », ou Total Recall, « celle qui a trois pis ». « Et la star, c’est Sofitelle », sourit Laurent en présentant son joyeux troupeau de 49 chèvres, nichés dans un petit village accroché à la montagne, entre Drôme provençale et massif du Vercors.
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Lire l’intégralité de l’article : chèvres et biodiversité, l’accord parfait en téléchargeant le dossier PDF ci-dessous
Dinde de Bresse : la perle noire de Noël
Il n’existe qu’un seul endroit et un seul type d’élevage où la dinde est glorifiée du sceau de l’AOC, c’est dans la Bresse et nulle part ailleurs.La moins connue et la plus confidentielle des quatre AOC volaillères bressane (poulet, chapon, poularde et dinde) vite donc entre Mâcon, Chalon-sur- Saône et Bourg-en-Bresse où son destin a été confié au Syndicat des producteurs des dindes en Bresse.
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Lire l’intégralité de l’article : La perle noire de Noël en téléchargeant le dossier PDF ci-dessous
À lire également : Belle volaille bressane Télécharger le dossier en format PDF
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