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Article pp.99-103 du Vol.111 n°2 (2018)

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Texte intégral

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SANTÉ PUBLIQUE /PUBLIC HEALTH

Étude rétrospective de la lèpre au Togo (2000 – 2014) : à propos de 2 630 cas

Retrospective Study of Leprosy in Togo (2000–2014): about 2,630 cases

J.N. Teclessou · B. Saka · A.S. Akakpo · G.L. Tabe-Djato · Y.D.C. Amedifou · A. Mouhari-Toure · B. Kobara · K. Kombaté · P. Pitché

Reçu le 30 novembre 2017 ; accepté le 28 mars 2018

© Société de pathologie exotique et Lavoisier SAS 2018

RésuméLe but de cette étude était de déterminer les tendan- ces épidémiologiques et les formes cliniques des cas notifiés de lèpre au Togo. Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur les cas de lèpre notifiés par l’ensemble des districts sani- taires au Programme national de lutte contre la lèpre, l’ulcère de Buruli et le pian du 1erjanvier 2000 au 31 décembre 2014.

Deux mille six cent trente nouveaux cas de lèpre ont été notifiés. L’incidence annuelle moyenne était de 175 cas avec des extrêmes de 73 et 266 cas. L’âge médian des patients était de 40 ans, et le sex-ratio de 1,13. Les enfants âgés de 0 à 15 ans représentaient 5,5 % des cas. La région des Pla- teaux dans le centre du pays cumulait l’incidence annuelle la plus élevée (environ 800 cas). Sur le plan clinique, les for- mes multibacillaires représentaient 74,2 % des cas. Tous les patients étaient traités par polychimiothérapie. L’infirmité de grade 2 de l’OMS était retrouvée chez 15 % des patients, et 9,5 % étaient perdus de vue. Nos résultats confirment que la lèpre n’est plus un problème majeur de santé publique au Togo. On note une incidence élevée de la lèpre dans certai-

nes régions du pays, pouvant faire craindre une recrudes- cence de la maladie.

Mots clésÉpidémiologie · Lèpre · Programme national de lutte contre la lèpre · Région des Plateaux · Régions de Kara · Région des savanes · Éradication · Togo · Afrique intertropicale

Abstract The aim of this retrospective study carried out from January 2000 to December 2014 was to determine and map the epidemiological evolutionary trends and the clinical forms of leprosy cases notified in Togo. All the 2,630 new leprosy cases notified by all districts to the Natio- nal Leprosy/Buruli Ulcer Control Program (PNLLUB-Togo) were included. The mean annual incidence was 175 cases with extremes of 73 to 266 cases. The median age of patients was 40 years, and the sex-ratio was 1.13. Children aged 0 to 15 accounted for 5.5% of the cases. The plateau region in the center of the country had the highest annual incidence (around 800 cases). Multibacillary forms accounted for 74.2% of cases. All patients were treated with multidrug the- rapy (MDT). WHO grade 2 disease was found in 15% of patients and 9.5% were lost to follow-up. Our results confirm that leprosy is no longer a major public health pro- blem in Togo. However, the high incidence of leprosy in some areas of the country, could permit a resurgence of the disease.

Keywords Epidemiology · Leprosy · National Leprosy Control Program · Plateau region · Kara regions · Savannah region · Eradication · Togo · Sub-Saharan Africa

Introduction

La stabilité de l’incidence mondiale de la lèpre au cours de la dernière décennie témoigne d’une transmission toujours

J.N. Teclessou (*) · B. Saka · A.S. Akakpo · K. Kombaté · P. Pitché

Service de dermatologie–vénérologie, CHU de Lomé, faculté des sciences de la santé, université de Lomé, Togo e-mail : tjulie06@yahoo.fr

G.L. Tabe-Djato

Service de dermatologie–vénérologie, CHU de Lomé, Togo Y.D.C. Amedifou

Association allemande de lutte contre la lèpre et la tuberculose, DAHW, Togo

B. Kobara

Programme national de lutte contre la lèpre, l’ulcère de Buruli et le pian, PNLLUB, Togo A. Mouhari-Toure

Service de dermatologievénérologie, CHU de Kara, faculté des sciences de la santé, université de Kara, Togo DOI 10.3166/bspe-2018-0021

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active de la bactérie. En effet, le nombre de nouveaux cas dépistés annuellement dans le monde de 2005 à 2015 varie de 299 036 à 210 740 [6]. En Afrique, ce nombre varie entre 45 179 et 20 004 [6]. Au Togo, la lèpre n’est plus considérée comme un problème prioritaire de santé publique depuis plu- sieurs années [9].

Le but de cette étude est de déterminer les tendances épi- démiologiques et les formes cliniques des cas de lèpre noti- fiés au Togo.

Méthode

Il s’agit d’une étude rétrospective menée de janvier 2000 à décembre 2014, portant sur tous les cas de lèpre notifiés sur l’ensemble des six districts sanitaires du Togo : la région des Savanes, la région de Kara, la région centrale, la région des Plateaux, la région maritime et la région de Lomé commune.

Le Togo comptait environ 7 500 000 habitants en 2014 [3]. Tous les cas de lèpre documentés et traités entre 2000 et 2014 par le Programme national de lutte contre la lèpre, l’ul- cère de Buruli et le pian (PNLLUB) ont été inclus dans l’étude. La collecte des données a été faite à partir de la base de données du PNLLUB. Le PNLLUB est un organe dépen- dant du ministère de la Santé qui a l’exclusivité de la prise en charge de la lèpre au Togo. Il assure la centralisation des données en mettant en place dans chaque district sanitaire un personnel de santé référant chargé de l’enregistrement des cas diagnostiqués dans les centres de santé et de la dis- tribution gratuite des médicaments (polychimiothérapie [PCT]).

Le diagnostic de la lèpre au Togo est passif : le patient se présente dans une structure sanitaire en cas de signe ou symptôme. Le diagnostic est posé sur la base des critères diagnostiques de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) [11]. La lèpre est dite paucibacillaire (PB) lorsqu’il existe deux à cinq lésions cutanées anesthésiques à distribu- tion asymétrique et une atteinte neurologique d’un seul nerf.

Elle est dite multibacillaire (MB) lorsqu’il existe plus de cinq lésions cutanées hypoesthésiques, de distribution plus symé- trique avec atteinte de plusieurs nerfs. Les patients diagnos- tiqués sont ensuite référés au district sanitaire pour prise en charge.

Les variables étudiées à partir de la base de données du PNLLUB étaient : les données démographiques (nom, pré- nom, âge, sexe), les données cliniques (les formes de lèpre, le degré d’invalidité selon l’OMS) et les données sur l’issue de la maladie.

Nous avons ensuite calculé les indicateurs d’élimination.

Le taux de détection correspond au nombre total de nou- veaux cas de lèpre dépistés durant l’année rapporté à celui de la population totale exprimé en taux pour 1 000 habitants.

L’analyse des données a été faite avec le logiciel STATA/

Stata11 et le logiciel Health Mapper.

Résultats

De 2000 à 2014, 2 630 nouveaux cas de lèpre ont été enre- gistrés sur l’ensemble du pays. L’incidence annuelle moyenne était de 175 nouveaux cas par an avec des extrêmes de 73 et 266 cas.

L’âge médian des patients était de 40 ans avec des extrê- mes de 2 et 96 ans. Les formes pédiatriques (0 à 15 ans) représentaient 5,6 %. Le sex-ratio (M/F) était de 1,13.

L’incidence annuelle des cas varie de 73 en 2014 à 266 en 2001 avec des pics de 260 en 2009 et 258 en 2000.

Le taux d’incidence de la lèpre varie de 6,1 cas pour 100 000 habitants en 2000 à 1,2 cas pour 100 000 habitants en 2014. Ce taux d’incidence diminue progressivement de 6,1 en 2000 jusqu’à 3,3 pour 100 000 en 2004, stagne entre 2004 et 2008 puis évolue en dent de scie entre 2008 et 2012 (Fig. 1).

Sur le plan clinique, toutes les formes de lèpre ont été observées. Selon la classification de l’OMS, 1 951 patients (74,2 %) avaient une lèpre MB contre 679 patients (25,8 %) qui avaient une lèpre PB. L’incidence annuelle des cas des formes MB varie de 57 en 2014 à 210 en 2009 avec un pic de 194 en 2001. L’incidence annuelle des cas des formes PB varie de 16 en 2014 à 85 en 2000 et en 2002 (Fig. 2).

L’incidence de la lèpre est plus élevée dans la région des Plateaux dans le centre du pays (600 cas de forme MB et 200 cas de forme PB), suivie de la région de Kara (300 cas de forme MB et 100 cas de forme PB) et de la région des Savanes (environ 300 cas de forme MB et 100 cas de forme PB). La région centrale (100 cas de forme MB, moins de 50 cas de forme PB) et la région de Lomé commune au Sud du pays (150 cas de forme MB, 50 cas de forme PB) ont les incidences les plus faibles.

Tous les patients ont été traités par PCT. Il s’agissait de dapsone, de rifampicine et de clofazimine pour une durée de 12 mois dans la lèpre MB ; dapsone et rifampicine pour une durée de six mois dans les formes PB. La prise de la PCT était sous supervision de l’agent de santé du district sanitaire.

Sur les 2 630 patients colligés, 2 316 (88,1 %) avaient achevé le traitement au moment de l’enquête. La durée moyenne du traitement était de 11 mois. La majorité (1 690, 73 %) a reçu un traitement PCT pendant moins de 12 mois.

Le degré d’infirmité selon l’échelle de l’OMS était de grade 0 chez 72,7 % des patients, de grade 1 chez 12,3 % et de grade 2 chez 15,0 % des patients.

L’évolution a été favorable chez 86,1 % des patients ; 101 (4,4 %) sont décédés et 9,5 % ont été perdus de vue.

100 Bull. Soc. Pathol. Exot. (2018) 111:99-103

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Discussion

Nos résultats peuvent être considérés comme représentatifs de tout le pays, puisque nous avons utilisé la base de données du PNLLUB qui a l’exclusivité de la prise en charge de la lèpre au Togo et qui enregistre les patients une seule fois, au début de la prise en charge.

Cette étude comporte quelques limites. La classification clinique de l’OMS est utilisée dans les structures de santé pour le diagnostic de la lèpre. Cela ne permet pas de définir

les formes indéterminées. Par ailleurs, aucun cas de réaction reversen’a été rapporté au cours de la période d’étude. Cela est dû, d’une part, au fait que les cas de lèpre sont enregistrés au début du traitement et, d’autre part, au fait que les réac- tionsreversessont souvent diagnostiquées par des spécialis- tes (dermatologues, médecins internistes) et ne sont pas rap- portées aux personnels référents de la lèpre dans les districts sanitaires pour y être notifiées.

L’âge moyen de nos patients était de 41 ans. Cela se rap- proche de l’âge moyen des patients d’une précédente étude Fig. 2 Incidence annuelle des formes cliniques de la lèpre au Togo /Yearly incidence of clinical forms of leprosy in Togo

Fig. 1 Incidence de la lèpre au Togo /Incidence of leprosy in Togo

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portant sur les cas de lèpre dans la ville de Lomé de 1990 à 2005 qui était de 35 ans [9]. Muthuvel et al. en Inde avaient trouvé un âge moyen de 32 ans [4], et Keïta et al. au Mali [2]

un âge moyen de 33,8 ans. Dans notre étude, 5,6 % de nos patients étaient âgés de moins de 15 ans. Cela est inférieur aux 14 % rapportés en 2002 au Sénégal [10]. Dans une pré- cédente étude en 2008 à Lomé, 6,4 % des patients étaient âgés de moins de 15 ans. Une diminution de la proportion d’enfants de 60 % parmi les nouveaux cas de lèpre a été également notée en Éthiopie [1]. Nous pouvons donc conclure à une diminution de l’incidence de la maladie chez les enfants. La proportion des enfants est considérée comme un indicateur de transmission de la maladie, et une diminu- tion du taux signifie une diminution de l’incidence.

Une prédominance masculine de la lèpre est généralement rapportée dans la littérature [2,4,7,9]. Notre étude a confirmé cette tendance générale avec un sex-ratio (homme/femme) de 1,13.

Les formes MB étaient les plus fréquentes (74,2 %). Dans une précédente étude à Lomé, les formes MB représentaient 57,9 % [8]. La forme MB reste prédominante dans d’autres études dans plusieurs pays où la lèpre a été déclarée ne plus constituer un problème de santé publique. Ainsi, respective- ment 60 et 65 % des cas au Sénégal et en Inde étaient des formes MB [4,10]. D’autres études [2,5] ont également mon- tré la survenue d’une inversion de tendance en faveur de la forme MB en rapport avec une diminution de la prévalence.

La prédominance grandissante des formes MB augmente les risques de contagiosité de la maladie. La durée du traitement relativement plus longue des formes MB peut aussi conduire à l’abandon du traitement par les patients (augmentation des perdus de vue au cours du traitement) et par conséquent contribuer à la propagation de la maladie et la survenue des formes résistantes.

Parmi les patients inclus, 27,3 % avaient une infirmité de grade 1 ou 2 de l’OMS. Cela témoigne d’un diagnostic assez tardif et/ou d’une prise en charge retardée par la PCT.

En 2002 au Sénégal, 14 % des patients avaient une infirmité de grade 2 de l’OMS [10].

L’évolution sous PCT était favorable chez 86,1 % de nos patients. Le taux d’incidence actuelle de la lèpre au Togo confirme son élimination depuis 1996 comme pro- blème majeur de santé publique [8]. L’élimination de la lèpre comme problème majeur de santé publique à l’échelle mondiale a été atteinte en 2000 d’après les chif- fres de l’OMS [12].

Notre étude étant une étude rétrospective, il est difficile d’expliquer formellement les variations de taux d’incidence observées entre 2000 et 2014 au Togo. Le dépistage passif de la lèpre, les difficultés d’accès des patients aux structures de soins, les pratiques d’automédication et l’absence d’activités communautaires peuvent expliquer ces variations de l’inci- dence d’une année à une autre. D’autres facteurs, notamment

une augmentation de la population dans certaines régions sanitaires du pays et la fluctuation de la population, peuvent expliquer la variation d’incidence d’une région à une autre.

La région des Plateaux, dans le centre du pays, présente l’incidence la plus élevée de la lèpre au cours des 15 derniè- res années (environ 800 cas). Bien que la lèpre ne soit plus un problème majeur de santé publique au Togo depuis une vingtaine d’années, il persiste des foyers potentiels de la maladie dans certaines régions. D’où l’importance d’ampli- fier les activités d’éradication de la maladie dans ces régions afin d’éviter une recrudescence de la maladie.

Conclusion

L’incidence de la lèpre dans notre étude témoigne de son élimination comme problème prioritaire de santé publique au Togo. Cependant, la prédominance des formes MB peut faire craindre un risque de recrudescence de la maladie, d’où la nécessité de faire des campagnes de dépistage actif pour une prise en charge des cas non dépistés.

RemerciementsLes auteurs remercient l’Association alle- mande de lutte contre la lèpre et la tuberculose (DAHW– Togo) et le PNLLUB–Togo pour avoir mis à notre disposi- tion les données nationales sur la lèpre.

Liens d’intérêts :Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts.

Références

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3. Ministère de la Planification, du Développement et de lAména- gement du territoire (MPDAT) Direction générale de la statistique et de la comptabilité nationale (DGSCN) (2014). Quatrième recensement général de la population et de lhabitat au Togo, 119 p

4. Muthuvel T, Isaakidis P, Shewade HD, et al (2016) Leprosy trends at a tertiary care hospital in Mumbai, India, from 2008 to 2015. Glob Health Action 9:32962 (doi : 10.3402/gha.

v9.32962)

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6. OMS (2017) Le point sur lépidémiologie de la lèpre dans le monde en 2015. Bull ALLF 32:14

7. Peters ES, Eshiet AL (2002) Male-female (sex) differences in leprosy patients in south eastern Nigeria: females present late for diagnosis and treatment and have higher rates of deformity.

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8. Programme national de lutte contre la lèpre et la tubercu- lose Togo. Indicateurs délimination de la lèpre au Togo de 1990 à 2005. PNLLT, Togo 78 p (Consulté le 10 janvier 2018. https://www.glotg.com//pnllt-programme-national-de- lutte-contre-la-lèpre-tuberculose)

9. Saka B, Kombaté K, Mouhari Touré A, et al (2008) Lèpre à Lomé (Togo) : étude rétrospective de 383 cas. Med Trop 68:4968

10. Seydi M, Mané I, Soumaré M, et al (2005) Évaluation de lendé- mie lépreuse au Sénégal en 2002. Med Mal Inf 35:2257 11. WHO (1997) A guide to eliminating leprosy as a public health

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12. WHO (2016) Leprosy Elimination Project. Status report 2016 of.

[En ligne]

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