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Radioprotection, GÉDIM, 1987 Vol. 22, n° 3, pages 241 à 251

notes

Dosimétrie des personnes exposées

aux rayonnements dans l’exercice de leur profession en Suisse

Méthodes et résultats

10e rapport de la Commission fédérale de la protection contre les radiations pour l’année 1985, établi par le groupe d’experts

pour la dosimétrie*

(Manuscrit reçu le 23 avril 1987)

RÉSUMÉ

Cette note présente le bilan dosimétrique des irradiations professionnelles en Suisse pour l’année 1985. Ce document est publié chaque année depuis 1975 par l’Office fédéral de la santé publique (Berne).

ABSTRACT

The dose records for occupational exposures in Switzerland are presented for the year 1985. The report has been published by the Office fédéral de la santé publique (Federal office for public health) in Bern every year since 1975.

1. INTRODUCTION

La Commission fédérale de la protection contre les radiations a constitué en 1976 un groupe d’experts pour la dosimétrie individuelle, comprenant des spécialistes appartenant aux instances de contrôle (OFSP, DSN, CNA), à des institutions publiques et à des entreprises privées.

Le rapport de la 10e année de fonctionnement du groupe est l’occasion de présenter les travaux effectués et de faire une analyse rétrospective des résultats obtenus.

* S. Prêtre, président, Division principale de la sécurité des installations nucléaires DSN (HSK), CH 5303 Würenlingen; A. Auf der Maur, A. Donath, J. Dutrannois, H. Lengweiler, H. Lüthy, B. Michaud, Th. Samuel, J.F. Valley, Ch. Wernly, membres.

RADIOPROTECTION, VOL 22 - 0033-8451/1987/241/$ 5.00/c Gédim

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La mise en vigueur en 1981, par le Conseil fédéral, de l’ordonnance sur l’homologation et l’exploitation des services de dosimétrie individuelle (ordonnance sur la dosimétrie) représente un résultat important des travaux préparatoires effectués durant plusieurs années par le groupe.

La participation aux intercomparaisons organisées annuellement, et jus­

qu’alors à titre facultatif, par le groupe d’experts devient une obligation pour les services de dosimétrie, Ceux-ci doivent être à même de mesurer les doses d’irradiation situées entre 50 mrem (500 /µSv) et 500 rem (5 Sv) avec une précision située entre plus 50 % et moins 30 % en routine.

Parallèlement aux développements dans le domaine de la réglementa­

tion, la technique de la dosimétrie individuelle a progressé au cours de ces dernières années. Alors que la dosimétrie par film était auparavant le sys­

tème le plus répandu, pour la première fois en 1982 plus de la moitié des personnes professionnellement exposées aux radiations étaient contrôlées à l’aide de dosimètres thermoluminescents (TLD); aujourd’hui la répartition est la suivante: 87 % TLD, 10 % dosimètres à film et 3 % dosimètres au verre phosphaté.

2. SERVICES DE DOSIMÉTRIE INDIVIDUELLE

La mesure des doses individuelles a été effectuée par les services homo­

logués suivants: Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN), Genève; Cornet Technik SA (COMET), Liebefeld; Institut fédéral de recherche en matière de réacteurs (EIR), Würenlingen ; Institut de radiophy­

sique appliquée (IRA), Lausanne; Centrale nucléaire de Beznau (KKB), Dôttingen; Centrale nucléaire de Gôsgen (KKG), Daniken; Centrale nucléaire de Leibstadt (KKL), Leibstadt; Centrale nucléaire de Mühleberg (KKM), Mühleberg; Prof. Dr. H. Lüthy (LY), Riehen; Service de dosimétrie individuelle (PEDOS), Bremgarten-Berne ; Service cantonal de contrôle des irradiations (SCCI), Genève; Caisse nationale d’assurance en cas d’acci­

dents (SUVA), Lucerne.

Les méthodes de mesure ainsi que le nombre de personnes profession­

nellement exposées aux radiations, surveillées par les différents services, sont donnés au tableau I.

3. INTERCOMPARAISONS

Durant l’exercice 1985, l’organisation de la 11e intercomparaison dosimé­

trique concernant l’irradiation externe a été confiée au CERN.

Les dosimètres ont été irradiés dans les conditions les plus réalistes pos­

sibles, à savoir: rayonnement provenant de diverses directions dans un champ anisotrope, large spectre énergétique, dosimètre placé sur un fan­

tôme, doses situées entre 100 et 500 mrem (entre 1 et 5 mSv). L’irradiation habituelle de référence à l’aide du rayonnement du césium 137 a également été effectuée.

Tous les résultats ont été situés à l’intérieur des limites de — 30 % à + 50 % fixées dans l’ordonnance sur la dosimétrie.

RADIOPROTECTION

(3)

NOTES

4. IRRADIATION EXTERNE 4.1. Dose au corps entier par irradiation externe

L’irradiation externe est mesurée à l’aide de dosimètres portés par les personnes professionnellement exposées aux radiations. La contribution de l’irradiation naturelle est déduite systématiquement. Les doses au corps entier, ventilées suivant le domaine d’activité, sont données au tableau II, avec indication du nombre de personnes et de la dose annuelle.

Pour la première fois en 1985, le nombre de personnes soumises au con­

trôle dosimétrique a dépassé 50 000. Parmi les 50 980 personnes surveil­

lées, deux tiers travaillent dans le domaine médical. Un seul dépassement de la limite annuelle de dose pour l’irradiation externe a été constaté (cf.

paragraphe 6).

Les doses collectives, ventilées suivant le domaine d’activité et l’intervalle de dose, sont indiquées au tableau III. La dose collective, c’est-à-dire la somme des doses individuelles de toutes les personnes professionnellement exposées aux radiations, s’élève pour 1985 en Suisse à 1838 homme-rem (18,38 homme-Sv). Les contributions des différents secteurs sont les suivan­

tes: centrales nucléaires 66 %, recherche 17 %, médecine 13 % et services publics 4 %.

4.2. Doses partielles par irradiation externe

Les doses aux mains sont mesurées par thermoluminescence dans 6 services de dosimétrie individuelle. Le tableau IV donne par secteur et par intervalle de dose la répartition des valeurs enregistrées. La dose aux mains pour les personnes professionnellement exposées aux radiations est limitée à 75 rem par année (750 mSv). Parmi les 795 personnes surveillées, seules 2 personnes ont dépassé le tiers de cette limite. La valeur maximale mesu­

rée est de 60 rem (600 mSv).

Les doses à la peau sont déterminées à l’aide de dosimètres conçus spécialement. Quelques services disposent de tels dosimètres. La limite annuelle est de 30 rem (300 mSv). La contribution des rayonnements de basse énergie étant faible, les doses à la peau ne dépassent guère les doses au corps entier.

5. INCORPORATION

Le calcul de la dose due à l’incorporation s’effectue en déterminant l’ac­

tivité présente dans certains organes ou à l’aide de l’analyse des excrétions.

Le résultat est exprimé sous forme de pourcentage de la limite annuelle d’incorporation du nucléide correspondant.

Les résultats de ces mesures sont donnés dans le tableau V pour les divers secteurs d’activité en fonction des pourcentages de la limite annuelle

VOL. 22 - N° 3 243

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d’incorporation. En cas d’incorporation supérieure à 2 % de cette limite, les nucléides incorporés sont mentionnés. En 1985, 3 797 personnes au total ont été contrôlées. Deux dépassements ont été constatés (cf. paragraphe 6

).

6. DÉPASSEMENTS DES LIMITES ANNUELLES DE DOSE Trois dépassements des limites annuelles de dose ont eu lieu en 1985:

1. Un contrôleur de matériau exécutait des examens radiologiques avec une source de 50 Ci (1,85 TBq) d’iridium 192 dans une zone barrée à l'inté­

rieur de l’entreprise. La source d'irradiation se détacha du câble de com­

mande à distance et demeura en position d’irradiation, alors que le contrô­

leur la supposait dans le récipient de protection et effectuait plusieurs prises de clichés. Après 45 min il se rendit compte de la situation et demanda l’aide d’un spécialiste pour remédier à la panne. Le dosimètre du contrôleur a indiqué une dose de 17 rem (170 mSv). L’examen des aberrations chro­

mosomiques a donné un résultat inférieur à la limite de détection de cette méthode qui est de 10 rem (100 mSv). La dose de 17 rem (170 mSv) a été portée sur le carnet de contrôle de la personne.

La CNA a étudié l’incident et a découvert que l’accouplement entre le porte-source et la corde permettant de sortir la source était usé et ne cor­

respondait plus aux tolérances. Actuellement, la CNA contrôle tous ces dis­

positifs. Le dépassement de dose aurait pu être facilement évité si le contrôle de la position de la source avait été effectué, selon les prescrip­

tions, lors de chaque retour dans le récipient de protection.

2. Un accident d’incorporation a eu lieu sur une installation industrielle pour le remplissage de tritium gazeux. Une erreur de manipulation, ainsi qu'une vitre de protection laissée ouverte par la personne concernée, ont conduit à une incorporation d’environ 1 Ci (37 GBq) de HTO (limite annuelle:

OPR* 30 mCi (1,1 GBq), ICRP-30** 100 mCi (3,7 GBq). On prit tout d’abord des mesures en vue d’accélérer l’élimination du tritium. A cet effet la per­

sonne séjourna 4 jours à l'hôpital. A partir des mesures d’urine effectuées durant les 50 premiers jours, l’équivalent de dose efficace calculé selon l’ICRP-30 conduit à une dose de 46 rem (460 mSv). Plusieurs mesures des aberrations chromosomiques ont donné une dose d’environ 38 rem (380 mSv). Des examens médicaux complémentaires ont été négatifs. Ce cas, qui fait l’objet d’une évaluation scientifique, confirme que le calcul de dose, selon l’appendice 7 aujourd’hui dépassé de l’ordonnance sur la radio­

protection, donnerait, avec 120 rem, une valeur exagérée. Entre-temps, l’ins­

tallation a été équipée d’une protection technique contre les erreurs de manipulation de ce type.

3. Une entreprise envoya un collaborateur dans une filiale étrangère pour un stage dans le domaine du marquage de produits à l’iode 125. Une incor­

poration, dont le déroulement ne peut être reconstruit exactement, eut lieu.

La personne se blessa à un doigt lors du nettoyage d’une chapelle

* OPR: Ordonnance fédérale sur la protection contre les radiations.

** ICRP : Commission internationale de protection radiologique.

(5)

NOTES

isotopique; elle retira son gant et suça la plaie. On suppose qu’à cette occa­

sion elle a incorporé une contamination des mains. L’incorporation ne fut découverte que le lendemain à l’aide du moniteur pour les mains et les pieds du laboratoire. A son retour en Suisse, l’activité en iode 125 dans la glande thyroïde fut mesurée régulièrement sur un moniteur étalonné. L’acti­

vité initiale de 22 /¿Ci (814 kBq) dans la glande thyroïde diminua avec une période de 36 jours. La dose engagée dans la thyroïde est de 80 rem (800 mSv), ce qui correspond à environ trois fois la valeur de la limite annuelle de l’OPR. Le seuil de la dose par organe selon l’ICRP-30, de 50 rem (500 mSv), est aussi dépassé. L’équivalent de dose efficace, paramètre significatif pour le risque stochastique selon l’ICRP 26, n'est cependant que de 2,4 rem (24 mSv).

7. RÉTROSPECTIVE ET CONCLUSIONS

Quelques évolutions et tendances de la dosimétrie individuelle en Suisse seront analysées dans le cadre d’une rétrospective des 10 dernières années.

Le nombre de personnes professionnellement exposées aux radiations a continuellement augmenté au cours des 10 dernières années. Ceci corres­

pond d’une part à un accroissement réel de ce collectif, mais d’autre part c’est le fait d’une meilleure surveillance des personnes professionnellement exposées aux radiations, en particulier dans le domaine médical.

La dose collective, c’est-à-dire la somme des doses individuelles au corps entier de toutes les personnes professionnellement exposées aux radiations, est le meilleur paramètre décrivant la situation globale. Malgré l’augmentation du nombre des personnes surveillées au cours de ces 10 dernières années, on peut remarquer une tendance à la baisse de la dose collective, tendance qui peut être interprétée comme un succès de la radioprotection.

La diminution de la dose collective globale des personnes professionnel­

lement exposées aux radiations est à attribuer aux domaines: “ médecine”,

“ recherche” et “ industrie/services publics”.

L’augmentation de la contribution des centrales nucléaires est due à l’augmentation des travaux de révision nécessaires pour les anciennes ins­

tallations et à la mise en service de deux nouvelles centrales. En 1983, des travaux particuliers de révision ont dû être effectués à la centrale nucléaire de Beznau, travaux entraînant une augmentation de la dose collective.

Le nombre de personnes qui ont reçu une dose annuelle inférieure à 200 mrem (2 mSv) a augmenté de manière continue, comme le nombre total des personnes surveillées, alors que le nombre de personnes ayant reçu une dose supérieure à 200 mrem est en baisse.

Le groupe de personnes ayant reçu une dose supérieure à 200 mrem (2 mSv) par an (en 1985 ce groupe représentait 3,5 % des personnes sur­

veillées) a accumulé, au cours de chacune des 10 années, environ 80 % de la dose collective reçue par les personnes professionnellement exposées aux radiations. Ainsi, la contribution principale à la dose collective n’est pas constituée par sommation d’un très grand nombre de petites valeurs.

VOL. 22 N° 3 245

(6)

Les doses liées à l’incorporation concernent peu de personnes. Dans la plupart des cas, il s’agit d’incorporation de tritium, radioélément utilisé pour la fabrication de peintures et de matériaux luminescents.

Tous les dépassements des limites annuelles font l’objet d'un examen particulier. Les 41 dépassements annoncés au cours de ces 10 dernières années (ce chiffre comprend également 4 cas d’incorporation) peuvent être répartis comme suit:

“ faux ” “ incertain” “vrai”

1976 3 7 0

1977 0 2 3

1978 0 6 2

1979 1 4 1

1980 0 0 1

1981 0 0 1

1982 0 1 0

1983 1 3 2

1984 0 0 0

1985 0 0 3

5 23 13

Le terme “ faux" signifie que la personne n’a pas été irradiée. Dans les cas incertains, un dépassement ne peut être exclu. Sur l’ensemble des cas, un seul dommage a été constaté (brûlure à une main).

8. CONCLUSIONS

Sur la base des résultats de la dosimétrie individuelle, l’évolution de la radioprotection en Suisse au cours de ces 10 dernières années peut être considérée comme réjouissante.

Bien que le nombre des personnes professionnellement exposées aux radiations ait augmenté de manière continue, la dose collective reçue par ce groupe indique une tendance à la baisse. Ceci est particulièrement significa­

tif, car le nombre d’installations produisant des rayonnements ionisants a sensiblement augmenté aux cours de ces 10 années.

Ce succès n’aurait certainement pas été obtenu, si l’on n’avait pas attaché l’importance qu’elle mérite à la dosimétrie des personnes profes­

sionnellement exposées aux radiations. A ce jour les instances de contrôle tiennent la surveillance physique bien en mains.

Nous remercions sincèrement ici M. H. FELBER (OFSP), qui a rédigé les procès-verbaux des séances et accompli de nombreux travaux d'organisation. M. HJ. PFEIFFER (DSN) a assisté le président du groupe d’experts dans différentes tâches, tout en remplissant des fonc­

tions de secrétaire scientifique. Le présent rapport a également bénéficié de la collaboration active de M. W. ZELLER (OFSP). Qu’ils trouvent ici nos remerciements cordiaux.

(7)

TABLEAUI Activitésdesservicesde dosimétrie individuelle1985

NOTES

Surveillance del'incorporation a 430 30 680 12)

Urine m 6) Scint 8) 11)

r a

, y X ß a

a no 230 170 1300 320 42012*

Thyrde m Nal (Tl) Nal (Tl) Ge (Li) Nal (Tl) Nal (TI) Nal (Tl) 10)

r z

Y

y y y y y

tre a 400 10 350 170 1 300 320 6 10012)

pogammar m Nal (Tl) P13) Ge (Li) Ge (Li) Nal (Tl) Nal (Tl) Nal (Tl) Nal (Tl)

Anthro r y.x X y y y y y

a 10 200 280 50 40 150

Extrémités m TLD51 TLD TLD TLD TLD TLD

erne r ß.y·x ß,r* β,y,X ß,y,x ß.y,x β'.X ß'y'x

:ion ext a 4 800 17 800 1 800 5 700 5 700 4 000 7 300

lel’irradial Peau m Film TLD TLD TLD TLD TLD TLD

eillance de3 r β.y.x β,y,x ß,y,x β,y.x β,y,X β,y,X

β .y .x

Surv a3> 4 800 3 000 17 800 1 800 870 5 700 850 600 1 700 770 20 5 700 4 000 7 300

rrps entiei m2) Film4* Film TLD TLD Trace7* TLD RPL9* TLD5* TLD RPL Film TLD TLD TLD

Ce r1)

n

ß,y,x ß.y,x n

β ,y ,x

y y y y ß,y β.y.x ß,y*

β .y. x

Service PFRN COMET FIR IRA KKB KKG KKL KKM LY PEDOS SCCI SUVA 8) Scint : scintillation liquide 9) RPL: dosimètres aux verresphosphatés 10) : Nal, compteur proportionnel 11) : scintillation liquide, Nal (TI), compteur proportionnel 12) : mesures effectuées principalement par les entreprises 13) : phoswich (mesure del’activitédansles poumons) 1) r: rayonnement 2) m: méthode de mesure 3) a: nombre depersonnes suivies par dosimétrieindividuelle 4) Film: dosimétriepar émulsionphotographique 5) TLD: dosimétrie par thermoluminescence 6): scintillation liquide, Ge-Li, Si-Li, Nal, compteur proportionnel 7) Trace : traces de fragments de fission

VOL 22 - N° 3 247

(8)

TABLEAUII Dosesaucorps entierpar irradiation externe 1985: nombre de personnesetdose annuellemoyenne Total 48 192 1 013 851 472 198 106 80 49 10 7 1 1 50 980 36

Divers 893 5 _____

4

___ 893 6

Services publics 691 5 4 1 1 702 10

Industrie + commerce 2 554 31 27 12 4 ______!___ 3 1 1 2 634 24

Centrales nucléaires 2 132 410 435 321 162 102 76 47 10 6 1 3 702 329

Universités recherche 8 014 295 231 102 27 3 1 _________ 8 673 35

Cabinets dentaires 10 091 34 13 4 10142 4

Cabinets demédecins radiologues 491 14 10 ___________ 515 20

Cabinets médicaux 12 134 23 18 3 1 1 12180 4

Hôpitaux 11 202 196 109 28 3 1 11 539 12

Intervalle dedose (mrem) 0 - 100 101 - 200 201 - 500 501 - 1000 1001· 1500 1501- 2000 2001- 2500 2501- 3000 3001- 3500 3501- 4000 4001- 4500 4501- 5000 * < 5000 Personnes Doseann. moyenne(mrem) 6

>

(9)

TABLEAUIII Dosesaucorps entierpar irradiation externe 1985: dose collectiveenhomme-rem

NOTES

! , . .

Total 264,0 144,9 272,7 336,3 240,9 185,1 180,4 132,1 33,0 26,0 4,6 17,7 1 837,7

Divers 2,8 0,8 ___1.3___ 0,8 _________ _________ _________ 5,7

Services publics 3,2 0,8 0,9 0,7 1,3 _________ _________ _________ 6,9

Industrie + commerce 7,9 4,1 ____7.9____ 8,4 5,1 ____16____ 7,1 2,6 __________ 17,7 62,4

Centrales nucléaires 47,8 59,1 143,9 232,2 198,3 178,5 171,1 126,5 33,0 22,0 4,6

_____ _

1 217,0

Universités recherche 79,1 43,8 72,8 73,0 31,6 5,0 2.2 _________ 307,5

Cabinets dentaires 29,0 4,5 3,9 2,3 39,7

Cabinets demédecins radiologues 5,5 1,7 3,3 ------------------1 ------------------ 10,5

Cabinets médicaux 30,0 3,0 5,8 1,6 1,1 3,0 --------------* 44,5

Hôpitaux 58,7 27,1 32,9 17,3 3,5

_____ _

1 0 . _________ 143,5

Intervalle dedose (mrem) 0 - 100 101 - 200 201 - 500 501 - 1000 1001- 1500 1501- 2000 2001- 2500 2501- 3000 3001- 3500 3501- 4000 4001- 4500 4501- 5000 * <5000 Total (homme-rem) * Voirparagraphe6

VOL 22 - N° 3 249

(10)

TABLEAUIV Dosesaux mainsen1985: nombre de personnes Total 729 39 20 3 2 1 1 795

Industrie 184 -------------^-----------

_________ —

187

Centrales nucléaires 59 14 9 1

83

Universités recherche 204 11 5 2 1 223

Médecine 282 11 6 2 1 302

Intervalle dedose (mrem) 0 - 1500 1501- 3000 3001- 7500 7501- 15000 15001 - 22500 22501 - 30000 30001 · 37500 37501 - 45000 45001 - 52500 52501 - 60000 60001 - 67500 67501 - 75000 <75000;--------------------------------------------------- Personnes

(11)

Total 3 662 26 43 36 17 6 ._______?____ 1 1 2 3 797 _____U=3_____ C-14 1-125 1-131 Am-241

Industrie 801 5 14 1 2 1 1 2 827 H-3 C-14 1-125 Am-241

Entreprises de couleurs lumineuses 21 15 27 35 15 5 ______2_____ 1 1 122 H-3

Centrales nucléaires 2 127

________ ________ ________ ________

2127

Universités, recherche 547 6 2

________

555 1-125 1-131

Médecine 166 166

I (%)(1) 0 · 2 2 - 4 4 - 10 10- 20 2030 30- 40 40- 50 50- 60 60· 70 70- 80 80- 90 90- 100 <100(2) Personnes ____________________ Nucléides avecI <2 %

NOTES

TABLEAUV Incorporationsen1985: Nombre de personnes

VOL 22 - N° 3

1) I (%) signifie l’incorporationannuelle enpourcent de la limite annuelle(OPR Appendice 7) 2) Voir paragraphe 6.

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