9
Équations du second degré à
coefficients réels ou complexes
18
Leçon
n°
Niveau Première S (mise sous forme canonique, coef réels, résolution dans R) ; Terminale
S (coef réels, résolution dans C) ; BTS groupement A (coef complexes).
Prérequis nombres complexes, définition et propriétés, polynôme, trinôme, résolution
d’équations, fonctions du second degré.
Références [20], [49], [56], [57], [58], [59]
18.1
Premières définitions et mise sous forme canonique
18.1.1 Définition d’une équation du second degré
Définition 18.1 On appelle équation du second degré à coefficients réels (resp. complexes), une équation du type
ax2+ bx + c = 0 avec (a, b, c) ∈ R3(resp. C3), a 6= 0 (E)
Exemple 18.2 2x2− 3x + 1 = 0 est une équation du second degré à coefficients réels. 18.1.2 Mise sous forme canonique
Théorème 18.3 Pour tout trinôme f : ax2 + bx + c avec a 6= 0 et (a, b, c) ∈ R3, il existe deux nombres α et β tels que :
f(x) = a[(x − α)2− β]. Cette écriture est appelée forme canonique.
Dv
•Démonstration —Comme a 6= 0, on peut écrire
ax2+ bx + c = a x2+ b ax+ c a . On reconnaît le début du développement de x+ b
2a 2 avec x2+ b ax. En effet x+ b 2a 2 = x2+b ax+ b 2a 2 , d’où x2+ b ax= x+ b 2a 2 − b 2a 2 .
Ainsi : ax2+ bx + c = a x+ b 2a −4ab22+ac = a"x+ b 2a 2 −b24a− 4ac2 # = a[(x − α)2− β] avec α= − b 2a et β= b2− 4ac 4a2 •
Exemple 18.4 Mettre sous forme canonique2x2− 6x − 1.
Dv •Solution —On a : 2x2 − 6x − 1 = 2 x2− 3x −1 2 . x2− 3x est le début du développement de x −322.
x−3 2 2 = x2 − 3x +94 x2− 3x = x−3 2 2 −94. Ainsi : 2x2− 3x −12 = 2"x−32 2 −94 − 12 # = 2"x−3 2 2 −114 # . et on trouve : α= 3 2et β=114. •
18.2
Résolution dans C des équations du second degré à coefficients
réels
18.2.1 Discriminant
Définition 18.5 On appelle discriminant de l’expression ax2+ bx + c, avec a 6= 0, le nombre ∆ = b2− 4ac.
18.2.2 Résolution
Théorème 18.6 Soit l’équation ax2+ bx + c = 0, avec a 6= 0, de discriminant ∆. Si ∆ > 0 l’équation a deux solutions réelles distincts x1et x2:
x1 = −b−2a√∆ et x2 = −b+√∆ a
18.2 Résolution dans C des équations du second degré à coefficients réels 11
On a : ax2+ bx + c = a(x − x1)(x − x2). Si ∆ = 0 l’équation admet une solution x0 = − b
2a.
Si ∆ < 0 alors l’équation admet deux solutions complexes conjuguées : x1 = −b− i √ −∆ 2a x2 = − b+ i√−∆ 2a . Dv
• Démonstration — Soit l’équation ax2+ bx + c = 0 (avec a 6= 0 et (a, b, c) ∈ R3).
L’équation s’écrit : a " x+ b 2a 2 −b 2− 4ac 4a2 # = 0.
On pose∆ = b2− 4ac, elle s’écrit donc
a " x+ b 2a 2 −4a∆2 # = 0, soit à résoudre : x+ b 2a 2 −4a∆2 = 0 car a 6= 0.
Si ∆ > 0 alors ∆ est le carré de√∆ : x+ b 2a 2 − √ ∆ 2a !2 = x+ b 2a+ √ ∆ 2a ! x+ b 2a − √ ∆ 2a ! . L’équation s’écrit : x+ b 2a+ √ ∆ 2a ! x+ b 2a − √ ∆ 2a ! = 0. Donc soit x+ b 2a + √ ∆ 2a = 0 ou soit x +2ab − √ ∆ 2a = 0 et ainsi : x= −b− √ ∆ 2a ou x= − b+√∆ 2a . Si ∆ = 0 alors x + b
2a2−4a∆2 = 0 s’écrit x + 2ab 2= 0. Ce carré est nul si et seulement
si, x+ b
2a = 0, soit x = −2ab.
Si ∆ < 0 pas de solutions réels mais en passant par les complexes, ∆
4a2 est le carré de i √
−∆ 2a
et l’on revient au cas∆ > 0.
•
18.2.3 Exemples de résolution
2. Résoudre, dans C, 2z2+ 10z + 25 = 0.
Dv
•Solution —
1. Soit à résoudre2x2− 5x − 4 = 0. Le discriminant de l’expression 2x2− 5x − 4 est
∆ = 25 + 4 × 4 × 2 = 25 + 32 = 57 > 0. Donc l’équation 2x2− 5x − 4 = 0 admet
deux solutions :
x1=5 +4√57 et x2=5 −4√57.
2. Soit à résoudre2z2+ 10z + 25 = 0. Le discriminant de l’expression 2z2+ 10z + 25 est
∆ = 102− 4 × 25 × 2 = −100 < 0. Il y a donc deux racines complexes :
z1= −10 + 10i2 × 2 = −52 +52i = 52(−1 + i)
z2= −10 − 10i2 × 2 = −52 − 52i.
Ne nous arrêtons pas en si bon chemin. Calculons la forme exponentielle de z1et z2. Tout
d’abord, on calcule le module de z1et z2:
|z1| = |z2| = 52p12+ (−1)2=5√22 . On calcule maintenant l’argument θ1de z1:
z1 |z1| = cos θ1+ i sin θ1= e iθ1 = 5 2(−1 + i) 5 2√2 = − √2 2 + √2 2 i donc : cos θ1= −√22 sin θ1=√22 ) ⇒ θ1=3π4 (mod 2π). Donc : z1=5√22 e3iπ/4.
Pour z2, son argument θ2est tel que :
z2 |z2| = cos θ2+ i sin θ2= e iθ2 = 5 2(−1 − i) 5 2√2 = √2 2 − √22 i donc cos θ2= −√22 sin θ2= −√22 ) ⇒ θ2= −3π4 (mod 2π) et ainsi, z2= 5√22 e−3iπ/4. •
18.3 Applications 13
18.3
Applications
18.3.1 Nombres consécutifs
Déterminer deux nombres entiers relatifs consécutifs dont la somme des carrés est221. Dv
•Solution —On forme l’équation :
n2+ (n + 1)2= 221 ⇔ n2+ n2+ 2n + 1 = 221 ⇔ 2n2+ 2n + 1 = 221 ⇔ 2n2+ 2n − 220 = 0 ⇔ n2+ n + 110 = 0
Le discriminant de l’expression n2 + n + 110 est ∆ = 1 + 4 × 110 = 441 > 0, d’où
√
∆ =√441 = 21 et il y a deux solutions pour l’équation n2+ n + 110 = 0 :
n1= 1 + 212 = 11 et n2= 1 − 212 = −10.
•
18.3.2 Périmètre et diagonale d’un rectangle
Soit ABCD un rectangle dont la diagonale[BD] mesure 15 cm et le périmètre P du rectangle vaut42 cm. Quels sont les dimensions du rectangle ABCD ?
15 cm PABCD= 45 cm A B C D Dv
•Solution —Soit L la longueur du rectangle (ce qui correspond à la mesure du côté[AB]) et ` la largueur du rectangle (ce qui correspond à la mesure du côté[AD]). ` et L vérifient le système d’équations suivant :
2(` + L) = 42 `2+ L2= 152(d’après le thm. de Pythagore) (`, L ≥ 0, ` < L) ⇔ ( `+ L = 21 `2+ L2= 152 ⇔ ( L= 21 − ` `2+ (21 − `)2= 225 (2)
On résoud l’équation(2) :
(2) ⇔ `2+ (21 − `)2= 225 ⇔ `2+ `2
− 42` + 441 − 225 = 0 ⇔ 2`2− 42` + 216 = 0 ⇔ `2− 21` + 108 = 0.
Le discriminant de l’expression `2− 21` + 108 est ∆ = 441 − 432 = 9 > 0 donc√∆ = 3 et l’équation(2) admet deux solutions :
( `1=21+32 = 242 = 12 L1= 21 − 12 = 9 et ( `2= 21−32 = 182 = 9 L2= 21 − 9 = 12.
Or L > `, donc les dimensions du rectangle ABCD sont `= 9 cm et L = 12 cm. •
18.3.3 Nombre d’or
Soit R un rectangle. On note Q(R), le rapport de la longueur avec la largueur du rectangle R. Soit R1le rectangle ABCD de longueur L et de largueur `. On trace un carré AEF D (qu’on nomme C) avec E ∈ [AB] et F ∈ [CD] puis on obtient le rectangle EBCF (qu’on nomme R2). On dit que R1 est un rectangle d’or si Q(R1) = Q(R2) (on notera Φ = Q(R1)). Quelle est la valeur exacte de Φ ?
R1= ABCD C = AEF D R2= EBCF A B C D E F Dv
•Solution —On forme l’équation :
Q(R1) = Q(R2) ⇔L ` = ` L− ` ⇔ L(L − `) `2 = 1 ⇔ L2− L` = `2⇔ L2− L` − `2= 0 On noteΦ =L
`, on peut diviser par `2(car ` 6= 0) :
⇔ L 2 `2 − L ` − 1 = 0 ⇔ Φ 2− Φ − 1 = 0.
18.3 Applications 15
Le discriminant de l’expressionΦ2− Φ − 1 est ∆ = 1 + 4 = 5 > 0. Donc :
Φ = 1 +2√5≥ 0. À noter qu’on trouve une autre solution de l’équation :
˜Φ = 1 −2√5<0. Comme le rapport L
` est positif, on prend juste la valeur deΦ. •
18.3.4 Intersection d’une parabole et une droite
Soit f : R → R x 7→ x2 2 − x − 1 et g : R → R x 7→ x + 1 .
On note Cf (resp. Cg) la courbe représentative de la fonction f (resp. g). Quelles sont les coordonnées
des points d’intersection de Cf et Cg?
−3 −2 −1 1 2 3 4 5 −1 1 2 3 4 5 6 0 A B Dv
•Solution —On cherche les coordonnées des points d’intersections A et B des courbes Cfet
Cg. Trouver les coordonnées des points d’intersections revient à résoudre l’équation f(x) =
g(x).
f(x) = g(x) ⇔ x
2
2 −x− 1 = x + 1
Le discriminant de l’expression 2x2− 3x − 3 est ∆ = 9 + 4 × 3 × 2 = 33 > 0. Donc
√
∆ = 33 et l’équation admet deux solutions : ( xA=3+√334 yA=7+√334 et ( xB= 3−√334 yB =7−√334 . •
18.4
Résolution d’équations du second degré à coefficients
com-plexes
18.4.1 Résolution
Théorème 18.8 L’équation az2 + bz + c = 0 avec (a, b, c) ∈ C3 et a 6= 0 admet deux solutions (distinctes ou confondues) :
z1= −b2a− δ et z2 = −b2a+ δ où δ2 = ∆ = b2− 4ac.
Dv
•Démonstration —Soient a, b, c ∈ C et a 6= 0. On considère l’équation :
az2+ bz + c = 0. (18.1)
On met l’équation (18.1) sous la forme canonique :
(18.1) ⇔ a z2+ b az+ c a = 0 ⇔ a z+ b 2a 2 +c a− b2 4a2 = 0 ⇔ z+ b 2a 2 = b2− 4ac4a2 . On pose∆ = b2− 4ac et w = z +b 2. D’où : (18.1) ⇔ w2= 4a∆2.
Soit δ une racine carrée de∆, les deux solutions de (18.1) sont donc :
z1= −b2a+ δ, z2= −b2a− δ.
•
18.4.2 Un exemple
18.4 Résolution d’équations du second degré à coefficients complexes 17
Dv
•Solution —On obtient : ∆ = (3 + 8i)2
− 4i(13 + 13i) = 9 + 48i − 64 − 13 × 4(i(1 + i)) = −55 + 48i − 52(i − 1) = −55 + 52 + 48i − 52i = −3 − 4i.
On cherche δ = a + ib tel que δ2= −3 − 4i. On a : δ2= a2− b2+ 2iab et |δ|2 = a2+ b2.
De plus |∆| =√9 + 16 = 5. On en déduit : a2+ b2= 5 a2− b2= −3 2ab = −4 d’où a2= 1 b2= 4 ab= −2 On trouve ainsi les racines de∆ :
δ1= 1 − 2i et δ2= −1 + 2i.
D’où :
z1= (3 + 8i) − (−1 + 2i)2i =4 + 6i2i = 3 − 2i;
z2= (3 + 8i) + (−1 + 2i)2i =2 + 10i2i = 5 + i.
Bibliographie
[1] Problème des sept ponts de Königsberg, Wikipédia, l’encyclopédie libre.
[2] C. LE BOT, Théorie des graphes, 2006, http://blog.christophelebot.fr/
wp-content/uploads/2007/03/theorie_graphes.pdf.
[3] Coloration des graphes, Apprendre-en-ligne, http://www.apprendre-en-ligne. net/graphes-ancien/coloration/sommets.html
[4] O. GARET, Exemples de problèmes de graphes, http://iecl.univ-lorraine. fr/~Olivier.Garet/cours/graphes/graphes-documents_d_
accompagnement.pdf.
[5] E. SIGWARD& al., Odyssée Mathématiques Terminale ES/L, Hatier, 2012.
[6] Graphes probabilistes, Terminale ES spécialité.http://mathadoctes.free.fr/TES/ graphe/f4_graphe.PDF
[7] G. COSTANTINI, Probabilités (discrètes), Cours de Première S, URL : http://
bacamaths.net.
[8] P. RIBEREAU, Cours 5 Probabilités : Notion, probas conditionnelles et indépendance, URL :
http://www.math.univ-montp2.fr/
[9] P. DUVAL, Probabilités, TS. URL : http://lcs.werne.lyc14.ac-caen.fr/ ~duvalp
[10] G. COSTANTINI, Probabilités : Généralités, conditionnement, indépendance, Cours de
Pre-mière S. URL :http://bacamaths.net.
[11] M. LENZEN, Leçon no3 : Coefficients binomiaux, dénombrement des combinaisons, formule
du binôme. Applications., 2011, URL :http://www.capes-de-maths.com/index. php?page=leconsNEW
[12] G. CONNAN, Une année de mathématiques en Terminale S, Ch. 14, 2009-2010, URL :http: //tehessin.tuxfamily.org
[13] G. COSTANTINI, Loi binomiale, URL :http://bacamaths.net
[14] C. SUQUET, Intégration et Probabilités Elémentaires, 2009-2010. URL : http://math. univ-lille1.fr/~ipeis/
[15] L. LUBRANO& al., Mathématiques, BTS Industriels - Groupement B et C, Dunod, 2011.
[16] G. COSTANTINI, Lois de probabilités continues. URL :http://bacamaths.net.
[17] J.-P. GOULARD, Lois de probabilités continues, TS, 2014-2015.
http://blog.crdp-versailles.fr/jpgoualard/public/
TS-2014-2015-cours-loiscontinues.pdf.
[18] Probabilités 3 : Loi uniforme sur [a; b], Lycée de Font Romeu. http://www. lewebpedagogique.com/cerdagne/files/2013/02/02-Loi-uniforme. pdf
[19] Loi uniforme sur[a; b], IREM de Toulouse. URL :http://www.irem.ups-tlse.fr/ spip/IMG/pdf_LOI_UNIFORME.pdf
[21] C. SUQUET, Initiation à la Statistique, 2010. http://math.univ-lille1.fr/
~suquet/Polys/IS.pdf.
[22] J.-F. DELMAS, Modélisation stochastique, Cours de M2, 2009. URL :http://cermics. enpc.fr/~delmas/Enseig/mod-stoch.pdf
[23] L.-M. BONNEVAL, Chaînes de Markov au lycée, APMEP no503, 2013. URL : http://
publimath.irem.univ-mrs.fr/biblio/AAA13018.htm
[24] Marche aléatoire, IREM de Franche-Comte. URL : http://www-irem. univ-fcomte.fr/download/irem/document/ressources/lycee/marche/
marche-aleatoire.pdf.
[25] Marches sur Z, culturemath.ens.fr, URL : http://culturemath.ens.fr/maths/ pdf/proba/marchesZ.pdf
[26] Contributeurs à Wikipedia, Marche aléatoire, Wikipédia, l’encyclopédie libre, 2014.
[27] Marche au hasard dans les rues de Toulouse, URL : http://mappemonde.mgm.fr/ actualites/M_toulouse2.html
[28] R. NOEL, Statistiques descriptives, http://amphimaths.chez-alice.fr/N1/ stats_desc_poly.pdf
[29] J. LEVY, Séries statistiques, URL :http://jellevy.yellis.net.
[30] P. BRACHET, Statistiques : résumé de cours et méthodes, Première S. http://www.
xm1math.net/seconde/seconde_chap9_cours.pdf.
[31] Contributeurs de Wikipédia, Série statistique à deux variables, Wikipédia.
[32] G. COSTANTINI, Séries statistiques à deux variables. URL :http://bacamaths.net. [33] A. GUICHET, Prépa ECS - Lycée Touchard, Chap 1. 1.2. URL :http://alainguichet.
mathematex.net/ecs-touchard/wiki.
[34] Y. DUCEL & B. SAUSSEREAU, Partie I : Du théorème de Moivre-Laplace (TML) au
Théorème-Limite Central (TLC), Journée académique « Terminale », Besançon, octobre 2012. http://bsauss.perso.math.cnrs.fr/IREM_FC_GrouProbaStat/ Terminale-I_JourneeOctobre-2012_DIAPORAMA_120929/DIAPORAMA-I_
JourneeTerminale_octobre-2012.pdf.
[35] R. BARRA& al., Transmath 2nde, Nathan, 2010.
[36] P. MILAN, Statistiques et estimation, Terminale S.
[37] IREM Aix-Marseille, Groupe Proba-Stats, Estimation : intervalle de fluctuation et de confiance, Mars 2012. http://www.irem.univ-mrs.fr/IMG/pdf/estimation_ nouveau_programme2012.pdf
[38] Intervalle de fluctuation, intervalle de confiance, Animation nouveaux programmes de mathématiques Terminale STI2D - Académie de Créteil, jeudi 3 mai 2012.
http://maths.ac-creteil.fr/IMG/pdf/intervalles__fluctuation_ confiance_sti2d-stl_1_.pdf
[39] N. DAVAL, Statistiques inférentielles : estimation. BTS Domotique. URL : http:// mathematiques.daval.free.fr
BIBLIOGRAPHIE 21
[41] P. MILAN, Multiples. Division euclidienne. Congruence, Terminale S Spé. URL :
http://www.lyceedadultes.fr/sitepedagogique/documents/math/ mathTermSspe/01_Multiples_division_euclidienne_congruence/01_
cours_multiples_division_euclidienne_congruence.pdf.
[42] Contributeurs de Wikipédia, Liste des critères de divisibilité, Wikipédia.
[43] C. PARFENOFF, Division euclidienne, division décimale, Classe de Sixième. URL : http: //www.parfenoff.org
[44] J. ONILLON, Vestiges d’une terminale S — Résolution générale des équations diophantiennes.
URL :http://tanopah.com.
[45] ZAUCTORE, Équations diophantiennes du premier degré, 3 octobre 2007. http://www. mathforu.com/pdf/equation-diophantienne-premier-degre.pdf
[46] D.-J. Mercier, CAPES/AGREG Maths, Préparation intensive à l’entretien. URL :http:// megamaths.perso.neuf.fr/exgeo/preparationintensive.html
[47] Contributeurs de Wikipédia, Équation diophantienne ax+ by = c, Wikipédia.
[48] P. MILAN, Les nombres premiers, Terminale S Spé, 22 janvier 2013. URL :http://www. lyceedadultes.fr/sitepedagogique/documents/math/mathTermSspe/ 03_Nombres_premiers/03_cours_les_nombres_premiers.pdf
[49] J.-P. BELTRAMONE& al., Déclic mathématiques, TS, Enseignements spécificique et de
spécia-lité, Hachette Éducation, 2012.
[50] D.-J. MERCIER, Fondamentaux d’algèbre et d’arithmétique, EPU, Publibook, 2010.
[51] B. BERTINELI& Y. SCHUBNEL, Leçons de mathématiques, CRDP de Franche-Conté, 2001.
[52] G. TENENBAUM& M. MENDÈS-FRANCE, Les nombres premiers, PUF Editions, 2000.
[53] X. DELAHAYE, Congruences, Terminale S. URL :xmaths.free.fr
[54] J.-P. QUELEN, Petit théorème de Fermat et codage RSA, 15 janvier 2011.
[55] M. LENZEN, Leçon no14 : Congurences dans Z. Anneau Z/nZ, 2011. www.
capes-de-maths.com/lecons/lecon14.pdf
[56] Contributeurs de Wikipédia, Équations du second degré, Wikipédia.
[57] C. BOULONNE, Notes de cours, M101 : Fondements de l’algèbre, L1 Mathématiques,
2006-2007.
[58] Équations du second degré à une inconnue. URL : http://ww2.ac-poitiers.fr/ math_sp