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Analyse historique et architecturale des bâtiments présentant des caractères "exotiques" construits à Paris de 1850 à 1900. Inventaire et typologie descriptive

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Analyse historique et architecturale des bâtiments

présentant des caractères ”exotiques” construits à Paris

de 1850 à 1900. Inventaire et typologie descriptive

Jean-Baptiste Debost, Jean Charconnet, Philippe Charpin, Patrick Gonin

To cite this version:

Jean-Baptiste Debost, Jean Charconnet, Philippe Charpin, Patrick Gonin. Analyse historique et architecturale des bâtiments présentant des caractères ”exotiques” construits à Paris de 1850 à 1900. Inventaire et typologie descriptive. [Rapport de recherche] 533/88, Ministère de l’équipement, du logement, de l’aménagement du territoire et des transports / Bureau de la recherche architecturale (BRA); Ministère de la recherche et de l’enseignement supérieur; Ecole d’architecture de Paris-Tolbiac. 1988. �hal-01904349�

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2. P. H.

il rue Raymond Losserand 75014

ANALYSE HISTORIQUE ET ARCHITECTURALE DES BATIMENTS PRESENTANT DES CARACTERES "EXOTIQUES" CONSTRUITS A PARIS DE 1850 A 1900

Inventaire et typologie descriptive

juin 1988

Subvention accordée le 19-11-1987

Convention Numéro 74019 87 01493 00 223 75 01

Ministère de l’Equipement, du Logement, de l’Aménagement du Territoire et des Transports. Direction de l’Architecture et de l’Urbanisme, Sous-Direction de l’Enseignement de l’Architecture et de la Recherche, Bureau de Recherche Architecturale.

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2. P. H.

11 rue Raymond Losserand 75014

ANALYSE HISTORIQUE ET ARCHITECTURALE DES BATIMENTS PRESENTANT DES CARACTERES "EXOTIQUES" CONSTRUITS A PARIS DE 1850 A 1900

Inventaire et typologie descriptive

juin 1988

Subvention accordée le 19-11-1987

Convention Numéro 74019 87 01493 00 223 75 01

Ministère de l’Equipement, du Logement, de l’Aménagement du Territoire et des Transports. Direction de l’Architecture et de l’Urbanisme, Sous-Direction de l’Enseignement de l’Architecture et de la Recherche, Bureau de Recherche Architecturale.

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Equipe 2, P. H.: Jean-Barthélemi DEBOST Jean CHARCONNET Philippe CHARPIN Patrick GONIN Catherine NEVEU Remerciements

Nous remercions pour leur aide : François GRUSON

Sylviane LEPRUN Jean-Marcel HUMBERT

L’Ecole d’Architecture Paris-Tolbiac et son directeur Monsieur CHEVRIERE Marc PANIGEL pour l’informatique

"Le présent document constitue le rapport final d’une recherche remise au Bureau de la Recherche Architecturale en exécution du programme général de recherche mené par le Ministère de l’Equipement, du Logement, de l’Aménagement du Territoire et des Transports avec le Ministère de la Recherche et de l’Enseignement supérieur. Les jugements et opinions émis par les responsables de la recherche n’engagent que leurs auteurs."

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Introduction

Incontestablement, la question des rapports culturels qu’entretiennent des pays de culture différentes sont dans l’air du temps. Depuis une trentaine d’année des expositions ont pu poser les jalons d’une relecture de l’histoire de l’art occidental ("Orient-Occident" 1958- 1959, Musée Cernuschi, "Arts primitifs dans les ateliers d’artistes" 1967, Musée de l’Homme). Récemment, à la suite notamment des travaux de Jean LAUDE et de la création en 1976 du Centre de Recherches Historiques sur les Relations Artistiques entre les Cultures, on assiste à un développement de ces études. L’inauguration en 1988 de "Le Japonisme" au Grand Palais et au Musée Guimet de "Japon, la tentation de l’Occident", l’ouverture à l’université de Paris I d’un séminaire sur "les Orientalismes" sont les témoins de l’actualité de ces questions.

Ce phénomène tient sans doute à une redécouverte de pans entiers de l’art du XIXème siècle et, partant, à une volonté de rendre cohérente la succession des courants artistiques que ce siècle a connu. Sur ce chemin se trouvent inévitablement les influences, les rencontres multiples qui eurent lieu entre l’occident et le reste du monde.

On peut également émettre l’idée que 25 ans après les indépendances, les rapports avec l’Afrique du nord par exemple, permettent aujourd’hui une remise en valeur de l’Orientalisme jusqu’alors en but aux susceptibilités légitimes de ses modèles. Simultanément le marché des oeuvres de ce style a subit un véritable coup de fouet suite à la demande de plus en plus forte des amateurs arabes.

Enfin à l’approche de la fin de ce siècle on ne peut pas manquer d’établir des comparaisons avec la fin du XIXème siècle. La confrontation aujourd’hui, ici, de cultures différentes avec les frayeurs et les espoirs qu’elle soulève, ne fait-elle pas résonner l’entrée en force du monde dans l’univers culturellement borné ou frileux de la France du siècle dernier. Dans les milieux intellectuels les hésitations, les sentiments contradictoires semblent

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être les mêmes à ceci près qu’alors, la supériorité de l’homme blanc ne semblait pas pouvoir être remise en cause.

Le travail présent s’inscrit dans cette optique. Il a la volonté de souligner l’aspect positif de l’apprentissage du Divers.

A - Le cadre historique 1850-1900.

Le choix des dates bornant notre période de référence est arbitraire. La raison de ce choix est avant tout technique. Dès lors que nous voulions de façon rigoureuse réaliser un inventaire précis, l’arbitraire s’imposait. Travaillant sur Paris, 1860 aurait pu paraître plus judicieux comme point de départ. C’est en effet l’année où Paris gagne la frontière qu’il occupera jusqu’au début du XXème siècle. Pour l’histoire de l’architecture, les premières réalisations de LE CORBUSIER pouvaient elles aussi justifier les années 20 comme butoir.

1850-1900 est donc un choix évitant les polémiques et facilitant une appropriation plus simple pour d’autres chercheurs. Ces dates ne nous attachent pas à une histoire précise. Nous pensons que l’observation de l’architecture exotique à Paris ne peut se contenter d’un regard limité à un thème ou à un autre. L’architecture exotique à Paris, par nature, est faite de bien d’autres choses que d’une histoire de l’architecture ou que d’une histoire de Paris. Son analyse devra passer par toute une série de thèmes qui ont pu déterminer son existence et son développement.

Il est frappant de constater que nul projet de musée plus que celui du XIXème siècle (1848-1914) le Musée d’Orsay, n’avait l’ambition dans ses partis-pris muséographiques d’origine d’être un lieu de compréhension de l’art. Compréhension sinon de l’acte de création, du moins des rapports étroits que celui-ci entretient avec la société dans laquelle se situe le créateur. A la suite des travaux de FRANCASTEL et de sa "sociologie de l’art", là devait être donné à voir les éléments constitutifs d’un style ou d’une école.

Il est évident que tout l’art (période et support confondus) procède de l’intervention de l’"au-dehors" sur l’artiste, l’art au XIX° sans doute plus que les autres étant donné la

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possibilité, jusqu’alors, inconnue de disposer en occident d’ un corpus énorme d’images consultables.

S’agissant du présent travail, l’observation de cet "au-dehors" n’est pas nécessaire, il est indispensable. Se situant précisément, "effrontément" dans le rapport à l’Ailleurs, la compréhension de l’exotique ne peut passer que par "la mise à plat" de la nécessaire relation à l’Ailleurs, ses formes, ses couleurs, ses matériaux....ou sa représentation phantasmatique.

-a - Création d’un empire.

1850-1900, c’est la période de création de l’empire français. En 50 ans, les confettis tricolores qui bordaient les côtes africaines, indiennes, indochinoises, marquant une partie des Antilles deviennent brusquement les vastes zones rosées des atlas de nos possessions d’outre­ mer. Au prix de guerres coloniales souvent cruellement meurtrières, l’Afrique de l’ouest et l’Afrique centrale, la péninsule indochinoise deviennent françaises. La création de ce monde des Blancs développe alors de façon considérable les flux d’images, d’objets, de textes en provenance de ces bouts de monde. Il ne s’agit pas de réelles découvertes (l’architecture khmère étant pour le cas qui nous préoccupe une exception), mais d’une intensification des regards. Regards croisés, on le constate de plus en plus avec la reconnaissance des syncrétismes culturels africains ou asiatiques. Grâce à l’apparition et au développement de nouveaux supports de représentations, la société occidentale dans son ensemble aura sous les yeux un kaléidoscope de l’univers. Il faut noter ici que le premier livre illustré de photographies, de daguerréotypes en l’occurrence, est l’ouvrage de Maxime du CAMP sur son voyage en Egypte (1852).

Les images de ces tours du monde (celui en quatre-vingts jours de Jules VERNE 1873, ou celui d’Alexandre MARCEL réalisé pour 1’ Exposition Universelle de 1900) ne retirent en rien la magie de l’Ailleurs. L’attrait pour cet ailleurs se nourrit avant tout d’un imaginaire phantasmatique. Il faut attendre les années 1930 pour que l’idéal colonial des grands administrateurs militaires, des entreprises commerciales ou industrielles soit admis par la majorité des Français. L’évolution de l’architecture exotique des Expositions est en ce sens significative.

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Les premières interventions exotiques à partir de l’Exposition Universelle de 1867 à Paris sont largement fictionalisées. Ainsi en 1878 le Journal Officiel relève les recommandations suivantes des organisateurs de l’Exposition à propos du Palais de l’Algérie:

"Afin d ’éviter de tomber dans les excès de fantaisies auxquels on se laisse trop facilement entraîner en France lorsqu’il s'agit de constructions orientales, on a décidé en principe, que les dispositions architectoniques et l ’ornementation de ce bâtiment seraient autant que possible, la reproduction exacte des types de ce que l’art mauresque nous a laissé de plus remarquable en Algérie."

Si l’architecte WABLE s’est effectivement inspiré de la mosquée de la région de Tlemcen, cela n’en reste pas moins une synthèse-simulacre de mosquées, caravansérailes et maisons particulières. Ce n’est qu’en 1931, lors de l’Exposition Coloniale que la rigueur "archéologique" prend le dessus et la "rue de Djenné" d’alors a une allure proche du réel. Les réalisateurs ont le souci de respecter les couleurs, techniques et volumes.

La seconde moitié du XIX° siècle est ainsi une période transitoire. Les terres inconnues disparaissent de la carte, le voyageur romantique laisse la place à l’ingénieur, au géographe et au photographe. Et au même moment la schizophrénie d’un LOTI (1850-1923) défraye les chroniques.

-b - Classiques contre "Nouveaux".

Parler de période transitoire s’agissant de l’histoire de l’architecture entre 1850 et 1900 est sans douté réducteur. C’est en tout cas de cette façon que de nombreux historiens l’ont vu. Moment anarchique situé entre "la fin de l’architecture classique" (1848-1900, Tome VII de l’Histoire de l’architecture classique en France de HAUTECOEUR) et la naissance de l’Art Nouveau, il s’agirait d’une période de chaos succédant à la mort du père, de l’ancêtre fondateur.

La réalité est beaucoup plus compliquée et les problèmes de vocabulaire afférent à la description de cette période en témoignent. Ces dernières années ont vu ainsi, à tort ou à raison, la reconnaissance du médiévisme, de l’éclectisme, du rationalisme comme autant de styles à part entière. De fait certains de ces courants sont supportés par des théories

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clairement énoncées, des écoles se confrontent, les modèles existent. Ce n’est pas ici le propos d’en faire la description mais les chercheurs actuels en viennent à dire que ce ne fut pas un moment de fébrilité improductive mais bien un moment de recherche posé en tant que tel. L’enseignement de l’architecture devient dans ce contexte, un véritable enjeu. Les luttes sont âpres alors pour défendre ou attaquer le statut de l’Ecole des Beaux Arts autour du décret du 13 novembre 1863 remettant en cause l’auto-nomination des directeurs de l’école. De même au congrès international des architectes en 1889 on assiste à un véritable coup de force des opposants à l’introduction de l’enseignement de l’architecture du Moyen-Age. Charivari, vote truqué,...

Il y a bien une dynamique d’autant plus aiguë qu’un personnage inquiétant apparait: l’ingénieur accompagné de son lot de matériaux nouveaux. Le fer, la fonte, l’acier, la céramique, le verre mis en oeuvre dans la construction moderne par ce fils prodige de la révolution industrielle déséquilibre un peu plus le bel édifice des tenants de l’architecture classique. Et la fin du siècle s’achèvera sur les propositions de création d’un diplôme d’architecture. On peut sans doute voir là, malgré les polémiques virulentes des architectes sur ce projet, l’objet emblématique de la fondation d’une nouvelle légitimité acquise après digestion des bouleversements qui secouèrent la période venant de s’écouler.

-c - Une société exotique?

La société française de la seconde moitié du XIXème siècle n’est pas un monde très ouvert sur l’extérieur. Si des Expositions Universelles, des spectacles forains, des récits de voyage ou des images interviennent de plus en plus dans la vie de tous, il faut remarquer qu’ entre 1880 et 1890, dans un des journaux le plus populaire de France (Le Petit JournaO. les récits sur l’Afrique par exemple ne représente que 1,2 % de la surface totale du Journal. La préoccupation coloniale ou la fascination orientale ne touche qu’une infime minorité intellectuelle et urbaine.

Au cours de cette période pourtant, l’exotisme investit fortement deux moments de la vie d’un assez grand nombre de Parisiens. La fréquence des bains et des cafés concerts dans

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notre invntaire ayant une architecture largement inspirée de l’Ailleurs, témoigne d’une relation privilégiée entre une vision de l’Ailleurs, l’hygiène et le plaisir.

- L’épidémie de Choléra de 1832 à Paris, les enquêtes sur l’état "physique et moral" des populations urbaines (VILLERME 1840) font prendre conscience de l’importance de l’hygiène. Un corpus théorique s’élabore peu à peu, basé sur les nouvelles découvertes scientifiques. L’asepsie et l’antisepsie font de considérables progrès grâce notamment aux travaux de PASTEUR. Mais le combat pour la propreté gagne les urbanistes et les architectes. Alors, la ville moderne doit être ouverte, rectiligne ; les quartiers populaires donc insalubres doivent être sévèrement circonscrits et détruits si nécessaire. La spéculation foncière y trouve évidemment son compte. Dans la maison ou l’immeuble, l’approvisionnement en eau courante sera développé et un second point d’eau après celui de la cuisine, alimentera vers la fin du siècle une salle de bain proprement dite. Des bains publics proposeront aux classes populaires ce qui restera longtemps l’apanage privé de la haute et moyenne bourgeoisie.

Bien que contradictoire avec l’idée que le droit et l’aéré sont facteurs de salubrité, le hammam, le bain turc tiennent une place non négligeable parmi ces lieux. Concrètement effectivement, l’Afrique du nord ou le Proche Orient ont développé à cet égard des techniques pouvant satisfaire, par leur caractère purgatif, aux données médicales de l’époque. Enfin cette sudation doit être rapprochée des motifs qui poussaient alors les romantiques à faire le voyage pour l’orient. Ils estimaient en effet que leur esprit, pris dans les contraintes sociales et les modes culturelles, devait être soumis à un bain de jouvence dans un cadre représenté comme celui de la création primitive.

- La société bourgeoise de la seconde moitié du XIXème siècle va inventer le café concert, lieu de plaisir urbain par excellence. Lieu de rencontre, de défoulement, de transgression des valeurs sociales dominantes. Le Pétomane, la femme "nue", le chansonnier vont chacun à leur mesure se moquer de la morale ou de la politique bourgeoise. Le public, bourgeois mais aussi plus modeste, fera le succès de ces salles, reprenant les chansons en coeur, s’esclaffant ou chahutant. Ces lieux de dérision subversive feront souvent appel au décor exotique. Leurs façades outrageusement polychromes ont sans doute une fonction publicitaire mais l’existence de lieux sans référents occidentaux autorise plus facilement la

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dérision. Cette accession à la permissivité prend dans le cadre des maisons de rendez-vous, un caractère licencieux avoué.

Ce sont là des constatations qui donne des perspectives d’analyse particulières de l’architecture exotique.

L’architecture exotique s’intégre dans ce cadre. Pourtant on ne peut prétendre qu’il y ait des liens de causes à effets évidents entre ce contexte politique, social et artistique et la construction à Paris d’une soixantaine (chiffre absolument provisoire) de bâtiments exotiques. Ce serait nier l’existence de "folies" individuelles, de fascination débridée dont on ne peut en l’occurrence estimer la fréquence. On peut tout de même signaler la contemporanéité entre cette histoire et ces créations. Plus, certains de ces édifices ont des liens privilégiés avec ces mouvements de la société française. Sans colonisation, par exemple, pas de façade mauresque à l’école d’administration...coloniale de l’Avenue de l’Observatoire.

Notre recherche s’appliquera autant que faire se peut à établir ces filiations.

-B - Définitions.

L’architecture exotique recouvre à nos yeux plusieurs type de bâtiments. -Ce qu’elle est.

Une architecture est exotique ou présente des caractères exotiques lorsqu’elle emprunte à des architectures non occidentales tout ou partie de décors intérieurs ou extérieurs, de formes, d’espaces, de couleurs et de matériaux. Cet emprunt ne se limite pas aux formes mais également donc à l’esprit, au fonctionnement des architectures étrangères.

Nous retenons également les bâtiments importés et reconstruits en France. Mais la question sera posée sur la qualité de leur exotisme. Un simple déplacement dans l’espace peut-il caractériser un bâtiment? A nos yeux, la recréation serait un élément fondamental de la définition de l’architecture exotique.

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L’architecture dite chinoise, mauresque, hindoue,... par ses contemporains est retenue même si, à priori, elle n’entre pas dans notre première définition. Ceci dans le souci de retrouver aux mots leur sens d’alors.

Nous prenons en compte les bâtiments existants, ayant existé ou étant resté à l’état de projet.

La limite de Paris dans cette étude est la ceinture des boulevards des maréchaux, soit celle du 1 janvier 1860.

-Ce qu’elle n’est pas.

Des emprunts à des architectures non occidentales et antiques (perse, égyptienne antique ou aztèque...). Dans l’état actuel de notre recherche il semble en effet que ces inspirations ne soient pas du même ordre que celles venant d’une architecture non occidentale contemporaine. Elles joueront, semble-t-il sur les mêmes ressorts que ceux qui président au recours aux thèmes de l’antiquité gréco-latine. Et d’ailleurs souvent les modèles passeront par Rome ou par Athènes. Ce n’est là encore qu’une hypothèse qui pour l’instant nous interdit de les intégrer dans notre corpus.

Nous n’avons pas retenu ici les architectures étrangères présentes aux différentes Expositions Universelles de cette période. Ce choix est justifié non pas par des causes formelles mais pour des raisons fonctionnelles. En effet, il nous semble difficile de considérer sur le même plan ce qui est d’un choix individuel et ce qui est déterminé par un cahier des charges rendant l’utilisation de ces formes obligatoires; et ceci bien que l’étude des partis pris des architectes et l’évolution de leurs projets soient pleins d’enseignements sur la vision de l’Ailleurs. Mais il s’agit encore là de vision officielle. Par contre, une fois l’Exposition terminée, le bâtiment épargné par les démolisseurs prend pour ainsi dire une vie propre. Regardé comme tel et non plus comme élément d’un projet pédagogique ou didactique, il rentre dans notre corpus. Il faut ajouter que nous considérons par contre les Expositions comme des sources d’inspiration primordiales. De même la participation d’architectes, présents dans notre corpus, à ces Expositions sera largement soulignée.

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L’architecture exotique n’est-elle pas toute l’architecture ? Formule provocante et qui mérite quelques explications. S’il faut revenir à une définition de l’exotisme, au sens propre, appliqué à la création : serait exotique tout ce qui ne procède pas exclusivement du génie authentique du créateur. En ce sens l’architecture "néo-"classique ou médiéviste serait exotique puisque architecture de citation. L’acuité du débat sur l’architecture post-moderne rend le développement de cette question périlleux. Contentons nous d’affirmer que notre architecture exotique relève d’un exotisme spatial de 1850 à 1900.

Par ailleurs, nous aurons à maintes reprises l’occasion de parler d’architectures étrangères. Il s’agit alors de l’architecture des pays non occidentaux en tant que telle.

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L’inventaire des bâtiments

Pourquoi ces portions de bout du monde dans une ville dont l’image est celle du centre et du phare d’une civilisation occidentale. Les clichés abondent, du Palais du Louvre à la tour Eiffel, de la ville gauloise à la capitale de la République. Alors ces bizarreries frappent comme un animal sauvé du zoo. Passé un premier regard, moment de surprise, moment de plaisir à la reconnaissance du Divers, l’esprit cherche à comprendre l’origine de ce Paris en creux, discours déviant du discours dominant, traces de "folies", signes perturbant l’ordonnancement des façades alentour.

Parsemé dans la ville, cet ensemble est fragmentaire. Aucune comparaison n’est immédiatement possible entre le Palais du Bardo dans le XlVème arrondissement et la Maison Loo dans le VlIIème par exemple. Chacun des éléments semble être autonome avec un style, une fonction toujours renouvelés.

Seul l’inventaire peut sur le papier créer une proximité autorisant un regard global. Alors une grille d’analyse peut se constituer et des procédés de décodage peuvent être proposés.

Notre objectif n’est pas de remonter les maillons d’une chaîne formelle qui nous mènerait au modèle d’origine, celui qui, s’il existe, a engendré le choix du commanditaire ou la réflexion du créateur. Nous considérons que ces architectures sont avant tout le produit de fictions, bien évidemment nourries d’images réelles, mais dont le sens n’existe que par rapport à la société qui les crée et les observe.

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Les sources qui ont permis l’élaboration de l’inventaire ci-dessous sont hétérogènes. Plus de 50% de ces éléments ont été trouvés dans des publications spécialisées. Les journaux professionnels de l’époque (Encyclopédie d’Architecture : 1851-1862, 1872-1891 ; La Gazette des Architectes et du Bâtiment : 1863-1886 ; l’Architecture : 1888-1900...) ont été systématiquement dépouillés. L’expérience a prouvé en effet que la simple lecture des tables était largement insuffisante. Des articles ponctuels ont été relevés dans La Gazette des Beaux Arts. Le Monde Illustré. La Construction Moderne. Le Moniteur des Architectes. La Revue Générale de l’Architecture. Des éléments sont signalés dans les comptes rendus des Salons (un dépouillement des catalogues serait nécessaire), dans les résultats de concours et de prix. A peine une demie douzaine de monographies est consacrée à des bâtiments exotiques. Enfin, l’observation fastidieuse des "demandes d’autorisations de construire" ou de "travaux en cours" a permis d’établir certaines dates, propriétaires et architectes. Des ouvrages spécialisés ont pu également donner des renseignements. On notera pour mémoire "Exotische Architekturen im 18 und 19 Jahrundert" publié à Berlin en 1987, "L’inventaire de l’architecture parisienne sous la Illème République" (Architecture. Paris. Inventaire) premier élément d’une recherche en cours ainsi que le tome VII de " L’Histoire de l’architecture classique en France" de HAUTECOEUR. Un court chapitre y est consacré à l’exotisme. La bibliographie rassemblée au terme de cette étude complétera ce premier aperçu.

La découverte des 40% restant n’est pas le fruit du hasard mais presque. Elle s’est faite au cours de multiples "promenades parisiennes". Elle s’est faite également au cours de la lecture ou de la relecture de romans ou souvenirs de l’époque. Emile ZOLA, Honoré de BALZAC, les frères GONCOURT sont des mines de renseignements qu’il faut avoir le temps d’exploiter.

A ces trois sources majeures il faut ajouter les séries Vo 11 et D.^ P.^ des Archives de la Seine surtout intéressantes pour les documents iconographiques qu’elles peuvent contenir.

Le dépouillement de fichiers à la Bibliothèque Nationale, à la Bibliothèque des Beaux- Arts ou à la Bibliothèque de la Ville de Paris fut de peu de profit. Rien ou si peu, eut égard au temps passé.

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Incontestablement les bâtiments que nous recherchons sont aux marges d’un moment de la production architecturale. La difficulté de leur repérage en témoigne. Comme tels, ils ont également largement soufferts des vicissitudes des temps. Sur l’ensemble des bâtiments construits, mis à part donc les projets, 3/5 d’entre eux ont aujourd’hui disparu ou ont perdu au fil de ravalements particulièrement ravageurs, leur décor exotique.

-B- Inventaire

Au cours de cet inventaire et notamment dans la bibliographie de chacun des bâtiments, des abréviations apparaissent à plusieurs reprises. En voici un dictionnaire.

A.: L’Architecture

A. S.: Archives de la Seine

BHVP.: Bibliothèque Historique de la Ville de Paris

B. N. Est.: Cabinet des Estampes de la Bibliothèque Nationale CAR.: Musée Carnavalet

Cl.M.H.: Bâtiment classé Monument Historique C. M.: Construction Moderne

E.A.: Encyclopédie d’Architecture

G.A.B.: Gazette des Architectes et du Bâtiment G.B.A.: Gazette des Beaux Arts

I.M.H.: Bâtiment inscrit à l’inventaire des Monuments Historiques M.A.: Moniteur des Architectes

M.I.: Le Monde Illustré

R. G.A.: Revue Générale de l’Architecture S. CL: Site Classé Monument Historique

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DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 18?? DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Maison d’habitation ADRESSE :

VILLE : Paris

DEPARTEMENT : Paris

OCCASION DE CREATION : Commande d’un Espagnol à l’architecte qui a construit le Muséo Réal à Madrid.

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : BOESWILLVALD Emile (1815-1896) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : XIFRE STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : oui BATIMENT PUBLIC : non DECOR EXTERIEUR : DECOR INTERIEUR : JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : E.A.:1872 N°1 .H i a h - L i f e . HAUTECOEUR, A.S.: D3R4274 ICONOGRAPHIE :

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DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 24 11 1853 DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Maison d’habitation ADRESSE : rue de Courcelles

VILLE : Paris VIII DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : LEFUEL Hector-Martin (1810-1880) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : Princesse MATHILDE (Mathilde BONAPARTE 1820-1904)

STYLE "ORIENTAL" : non

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : oui

BATIMENT PRIVE : oui BATIMENT PUBLIC : non

DECOR EXTERIEUR : colonnes corinthiennes aux fûts enlacés de lière. DECOR INTERIEUR : Soieries chinoises.

JARDINS : Jardin d’hiver avec palmier; serre en 1867. PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : GONCOURT, J o u r n a l . HAUTECOEUR, KUHN, L a p r i n c e s s e M a t h i l d e . A.S.: D3R4 271.

ICONOGRAPHIE :

COMMENTAIRES : GONCOURT : "Luxe tout nouveau que ces salons-serres, qui n’ont guère plus de vingt ans de date et dont le goût remonte peut-être à Mlle de Cardoville d’Eugène Sue. Avec son goût de bric à brac, la princesse a semé dans cette serre qui contourne son hôtel, au milieu des plus belles plantes exotiques,toutes sortes de meubles de tous les pays, de tous les temps, de toutes les couleurs, de toutes les formes: un capharnaüm qui a l’étrange et l’amusant du déballage d’un magasin de bibelots dans une forêt vierge."

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CINEMA "LA PAGODE'

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1896

DESTRUCTION DU BATIMENT : XXXXXXXX

FONCTION DU BATIMENT : Maison d’habitation(1896), bâtiment diplomatique, lieu de spectacles (cinéma).

ADRESSE : rue Monsieur, rue Babylone VILLE : Paris VII

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : MARCEL Alexandre (1860-1929) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : MORIN 1896 (administrateur du Bon Marché)

STYLE "ORIENTAL" : non

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : oui STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : oui BATIMENT PUBLIC : non

DECOR EXTERIEUR : Polychromie, arrètiers surélevés, céramiques bois sculptés,antéfixes décorés, tuiles vernissées vertes.

DECOR INTERIEUR : Soieries historiées.

JARDINS : Japonais avec bambous, passage de pierres, sculptures bronze cloisonné et pierre. PROTECTION M.H. : Classé inventaire M. H. 21/2/1983.

BIBLIOGRAPHIE : D é c o r a t i o n I n t e r n a t i o n a l e (1985-1986L LACLOCHE Francis, A r c h i t e c t u r e d e c i n é m a . Ed. du Moniteur, 1981, (111.), A.S.: V oll(plan rdc, ss, façade de MARCEL 1/1895), L ' A r c h i t e c t u r e F r a n ç a i s e . N°385-386, Oct-Nov.

1974, p.l7(ill), R i v e G a u c h e . N°136, 1974, ill,A.: L’oeuvre d’A. MARCEL, vol XVII, 1929, A.: 1920, Présentation de l’oeuvre de M.A.

ICONOGRAPHIE : CHARCONNET 1987 dia C , CAR: 123B, XXXI.

COMMENTAIRES : L’histoire de ce bâtiment est très controversé. Ceci étant d’ailleurs une des particularités des bâtiments exotiques ! Histoire d’amour, relation diplomatiques embrouille la réalité.

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BAIN MAURESQUE

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1893 DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Etablissemnt balnéaire ADRESSE : rue de Babylone

VILLE : Paris VII DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : MARCEL Alexandre (1860-1929) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC :oui

DECOR EXTERIEUR : Arc outrepassé, merlon, polychromie, minaret. DECOR INTERIEUR :

JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : A.S.:Voll, D ^P^rue de Babylone , D1042425 Bains publics rue de Babylone (C.M.: 18-3-1893)

ICONOGRAPHIE : CAR: 123B,XXXI ,C.M.:Entrée des bains, plan du bâtiMENT.

COMMENTAIRES : "Lorsque les progrès de l’hygiène exigèrent des établissements balnéaires plus compliqués que ceux autrefois en usage dans nos pays occidentaux, l’on prit modèle sur les thermes antiques et sur les bains orientaux. Il n’est plus aujourd’hui d’établissement d’hydrothérapie un peu sérieux qui ne se pique d’être turco-romain. De là, dans la construction, un style oriental qui ne manque pas d’agréments par sa diversité avec nos monotones façades. Avec l’emploi de la polychromie, l’architecte a sû faire une oeuvre coquette et de bon goût." (C.M.)

(21)

ECOLE EGYPTIENNE

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1869 DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Bâtiment colonial : école ADRESSE : Boulevard Saint-Michel

VILLE : Paris V

DEPARTEMENT : Paris

OCCASION DE CREATION : Fondation par le gouvernement égyptien pour ses ressortissants.

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : POLLET Armand Etienne (1831-) NOMS ET DATES DES DECORATEURS : OURI Alphonse (1828-1891) NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : Ancienne instition Hiolle préparant à l’école navale. Acheté par le Gouvernement égyptien 1869-1870.

STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui DECOR EXTERIEUR :

DECOR INTERIEUR : Arabesques, croissant, arc outrepassé et festonné, étoile à huit branches.

JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : R.G.A.:1876 vol 33-37 pl. 33 à 37 ,A.S. :OURI (peintre décorateur)VlM 32

ICONOGRAPHIE : R.G.A.isuperbe NB+C

COMMENTAIRES : Rajout d’une mosquée en 1869. Le Capitaine Niobey et le commandant de génie Rapatel travaillent à sa mise en place en 1869. La guerre de 1870 met fin au fonctionnement de l’école qui ne reprendra ses activités qu’en 1876

(22)

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : après 1838 avant 1858 DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Maison d’habitation ADRESSE : rue Boudreau (ex 4 rue Trudon)

VILLE : Paris IX

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : DUVAL Charles (1800-1876) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : RACHEL (Elisabeth Rachel FELIX 1821-1858)

STYLE "ORIENTAL" : non

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : oui STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : oui BATIMENT PUBLIC : non DECOR EXTERIEUR :

DECOR INTERIEUR : Cabinet chinois au 2° étage .Lampion, panneau chinoisant, tenture formant de tente. JARDINS : PROTECTION M.H. : BIBLIOGRAPHIE : LOYER ICONOGRAPHIE : COMMENTAIRES :

(23)

TOUR SOLFERINO

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1859

DESTRUCTION DU BATIMENT : 1874

FONCTION DU BATIMENT : lieu de spectacle : bal ADRESSE : rue du Chevalier de La Barre (ex Fontenelle) VILLE : Paris XVIII

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : HANNAPIER ou HANNEQUIER NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS : HANNAPIER ou HANNEQUIER

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : MICHAUD Pierre (brasseur) avant 1875 puis COSSON Victorine

STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : oui BATIMENT PUBLIC : non

DECOR EXTERIEUR : minaret, croissant, arabesque, polychromie. DECOR INTERIEUR :

JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : A.S.:VN 4 175(vente du terrain 10.7.1875), V oll

ICONOGRAPHIE : B.N Est.: H91423, H91427 (gravure et eau forte, vue de la rue des Rosiers) H91430 (démolition) ,CAR.: 172A (notes du restau, .pillage en 1871, butte Montmartre,...)

(24)

LE CAFE DE LA VILLE JAPONAISE

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1890 DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Lieu de spectaclexafé concert ADRESSE : Boulevard de Strasbourg

VILLE : Paris X

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : NOMS ET DATES DES DECORATEURS : NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : non

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : oui STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui DECOR EXTERIEUR :

DECOR INTERIEUR : éventailes, masques, paravents. JARDINS :

PROTECTION M.H. : BIBLIOGRAPHIE :

ICONOGRAPHIE : B.N Est: H73027-H73026, CAR:146G. XXXVIIID-rien, BHVP:P a r i s e t s e s e n v i r o n s 1889-1895: Paris Album 4°11, idem :Paris Album4 °18,75 ,A.S.:Voll. COMMENTAIRES :

(25)

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1872 DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Maison d’habitation ADRESSE : rue de Lübeck

VILLE : Paris XVI DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : ROGUET Félix (1822-1888), BOILEAU Louis Charles (1837-1896)

NOMS ET DATES DES DECORATEURS : NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : BRANICKI Ladislas Comtesse de

STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : oui BATIMENT PUBLIC : non

DECOR EXTERIEUR : Façade, serre sur le dernier étage avec arcs outrepassés.

DECOR INTERIEUR : Style mauresque très prononcé. Bains turcs, fumoir avec fontaine, décor avec écriture coufique, polychromie.

JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : A.S.:D1P4 1876

ICONOGRAPHIE : B.N. Est.:H 86699-86704, E n c y c l o p é d i e d ' a r c h i t e c t u r e 1872 COMMENTAIRES : BRANICKI: homme politique polonais fondateur de la "Tribune des Peuples"en 1849

(26)

MAISON DE RENDEZ-VOUS (EX HOTEL DE BUSSY XVIII0)

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 18?? DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Maison de rendez-vous ADRESSE : rue des Moulins

VILLE : Paris I

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES :

NOMS ET DATES DES DECORATEURS : TOULOUSE-LAUTREC Henri Marie de (1864- 1901)

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : Melles Edmée et Thérèse CHRETIEN 1873.

STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui DECOR EXTERIEUR :

DECOR INTERIEUR : Décor mauresque avec arc outrepassé, miroirs, murs peints. JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : HILLAIRET, A.S.: VN4 carton 5 1 ,D 1P4 . ICONOGRAPHIE : HILLAIRET

(27)

N°14

HABITATION OREINTALE

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1863 DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Maison d’habitation

ADRESSE : Bd. Gouvion Saint-Cyr ?(ex avenue de la Révolte) VILLE : Paris XVII

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : NOMS ET DATES DES DECORATEURS : NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : oui BATIMENT PUBLIC : non

DECOR EXTERIEUR : Façade avec arc surbaissé et merlon en bordure de toiture. DECOR INTERIEUR : JARDINS : PROTECTION M.H. : BIBLIOGRAPHIE : ICONOGRAPHIE : B.N.Est.:H87134 COMMENTAIRES :

(28)

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : Avt 1873 DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Maison d’habitation ADRESSE : rue de la Boétie (ex 54, rue Abatucci) VILLE : Paris VIII

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : ROGUET Félix (1822-1888), BOILEAU Louis Charles (1837-1896)

NOMS ET DATES DES DECORATEURS : PARVILLEE, OUDINOT (vitrail),

BOESWILLWALD (Ferrure).

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : Comte BRANICKI (1815-1879). Charles Edouard CARRE 1862. Joseph CHABERD 1871.

STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : oui BATIMENT PUBLIC : non

DECOR EXTERIEUR : Serres avec charpente métallique outrepassée

DECOR INTERIEUR : Polychromie (vert, jaune, bleu, rouge, violet, blanc, noir, or, rose), écriture coufique, marbre, ébène, faïence, bronze.

JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : HAUTECOEUR , E.A. 1873,1874. ICONOGRAPHIE : E.A. 1873,1874-OK

(29)

VESTIBULE MAURESQUE

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1861 DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Vestibule d’immeuble d’habitation ADRESSE : rue Fénelon

VILLE : Paris X

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : VIOLLET-LE-DUC Eugène-Emmanuel (1814- 1879) ?

NOMS ET DATES DES DECORATEURS : NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : SAURET Jacques, ainé 1871

STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : oui BATIMENT PUBLIC : non

DECOR EXTERIEUR : Façade polychrome, enduit plus cartouches avec dates (E.U.1875, 1979; 1914), et frises historiques. 1° et 2° étage encadré de 4 pilastres corinthiens.

DECOR INTERIEUR : Vestibule entièrement carrelé (pâte de verre, céramique). Arc outrepassé. Voûte en stalactiques. Ecriture coufique, feston, étoile à 8 branches. Seconde cage d’escalier: céramique représentant un combat de coqs japonais. (Décor Art-Nouveau dans l’entrée).

JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : Biago ACCOLTILGIL P a r i s . v e s t i b u l e s d e 1 ' é c l e c t i s m e ♦ Paris 1982. A.S.: D1P4 1862 rue Fénelon

ICONOGRAPHIE : CHARPIN.

(30)

BAINS TURCO-ROMAIN

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1877 DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Etablissement de bain ADRESSE : rue des Mathurins (ex Neuve des Mathurins) VILLE : Paris IX

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : KLEIN William, DUCLOS Louis-Albert, SUFFIT Eugène-Jules (1831-1895)

NOMS ET DATES DES DECORATEURS : NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : KLEIN William, DUCLOS Albert.

STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui

DECOR EXTERIEUR : Ouverture, ferronerie, ornementation,console de balcon décorées en style mauresque. Façade du R.D.C. polychrome.

DECOR INTERIEUR : Mauresque. Divan, plantes exotiques, verrière polychrome. JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : M.A.:1877, pl.5, E.A.:1877 N°18,S.C.: 1876-1877 A.S : D1P4 1862 rue Neuve des Mathurins

ICONOGRAPHIE : CAR: 137 A

COMMENTAIRES : "Propriété consistant en deux lignes parrallèles de constructions, séparées par une cour que termine un jardin. Ces bâtiments présentent sur la rue 2 pavillons élevés de 2 étages. Les deux lignes de bâtiments se composent de série d’appartements ayant chacun son escalier. Disposition toute exceptionelle dans cette rue." D1P4 1862. Ce bâtiment ouvre également sur le Bd Haussman.

(31)

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1855 DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Lieu de spectacle:hippodrome. ADRESSE : Bois de Boulogne

VILLE : Paris XVI (ex?)

DEPARTEMENT : Paris (ex Seine) OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : HITTORFF Jacques-Ignace (1792-1867) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui

DECOR EXTERIEUR : Arc outrepassé, polychromie, structure métallique. DECOR INTERIEUR :

JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : Catalogue Carnavalet exposition Hittorf ICONOGRAPHIE :

(32)

BAIN MAURESQUE

DATE DU PROJET : 1880 DATE DE CREATION :

DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Etablissement de bain ADRESSE :

VILLE :

DEPARTEMENT :

OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : MARCEL Alexandre (1860-1829) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui DECOR EXTERIEUR :

DECOR INTERIEUR : polychromie, arc outrepassé, décor en écriture coufique, très chargé. JARDINS :

PROTECTION M.H. : BIBLIOGRAPHIE :

ICONOGRAPHIE : Ecole Nationale des Beaux Arts: Inv.Nr. 8929. COMMENTAIRES :

(33)

GARE DU PONT DE L’ALMA DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1878

DESTRUCTION DU BATIMENT : XXXXXXXXXX FONCTION DU BATIMENT : Gare

ADRESSE : Quai Branly VILLE : Paris XIII DEPARTEMENT : Paris

OCCASION DE CREATION : Exposition Universelle de 1878 NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : LISCH Juste (1828-1910) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : non

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : oui STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui

DECOR EXTERIEUR : Toits superposés, antéfixes au bout des arrètiers, décoration faîtière, polychrome, étoile à huit branches.

DECOR INTERIEUR : JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : A.S.:D 10 AZ 425:C.M.:1892,(pl. façade et plan), E.A. 1878, G.A.B.N°39 1878.

ICONOGRAPHIE : COMMENTAIRES :

(34)

PALAIS DU BARDO

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 16-05-1867

DESTRUCTION DU BATIMENT : XXXXXXXXX

FONCTION DU BATIMENT : Pavillon de la Tunisie (Exposition Universelle 1867, maison d’habitation, observatoire astronomique.

ADRESSE : Site de l’E -U 1867, Parc Montsouris 1869. VILLE : Paris XIV

DEPARTEMENT : Paris

OCCASION DE CREATION : Exposition Universelle de 1867

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : CHAPON Alfred (1834-1893)

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : de LESSEPS Jules 1867. Ville de Paris ap.1868

STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : oui BATIMENT PUBLIC mon

DECOR EXTERIEUR : RDC+1, polychromie, ouverture avec arc subaissé, coupole de zinc. PROTECTION M.H. : Site classé 10-10-1974

BIBLIOGRAPHIE : HILLAIRET, R.G.A.:1869 N°161,1868 N°271, R a p p o r t d e s d é l é g a t i o n s o u v r i è r e s d e 1 8 6 7 (sur une vision complaisante de l’exotisme), G r a n d A lb u m d e l ' E x p o s i t i o n U n i v e r s e l l e d e 1 8 6 7 . Palais de bey de Tunis, Lévy, 1867. A.S.:VM90, V oll

ICONOGRAPHIE : B.N.Est.:H55299(plan l°ét. .R.G.A.1869) H55301 (façade 1869), H55302(Esquisse 3/4 façade), H55305(idem+chameau), H55309(inauguration foule + chameau), H553010 (idem+démonstration cavaliers), H55312 (Int.+visiteurs), H55315 (Chambre à coucher), H55320 (Int.de Lesseps), H55324 (Décoration par ouvriers tunisiens), H80745 (1869 Constr.Parc + Bardo), H80746 (1868), H80747 (idem) ,... H80842. CAR: 160B, B.N.Est.:Ha 127a Relevé photogramétrique de l’Inventaire (1970)

COMMENTAIRES : Reproduction du palais d’été du bey de Tunis offert par le bey à Paris pour l’exposition universelle de 1867. La ville l’acheta au baron de Lesseps (150 000 frs.).Des ouvriers tunisiens le remontèrent en 4 mois au point le plus élevé du parc Montsouris. Ces ouvriers travaillèrent à sa décoration. Résidence du personnel de l’observatoire puis en 1872 après restauration observatoire météo.dirigé par MARIE-NAVY. 1876 observatoire astrologique pour la marine. 1877 La ville de Paris y ouvre une salle de conférences

(35)

publiques sur l’astro. et la météo. Restauration en 1988. Dirigée par CACOUB, Architecte des palais nationnaux.

(36)

DIVAN JAPONAIS

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1886,1893? DESTRUCTION DU BATIMENT : 1894

FONCTION DU BATIMENT : Lieu de spectacles: bal, café-concert ADRESSE : rue des Martyrs

VILLE : Paris XVIII DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : HEUZE Maurice, 78rue Legendre (1892) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : Jehan SARAZIN 1892 (locataire). Baronne de CARONDELET, F.BARETJE 1894

STYLE "ORIENTAL" : non

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : oui STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui

DECOR EXTERIEUR : 1892: paire de lampion de chaque côté de la porte surmontée d’une marquise en forme de chauve souris. Arrètiers surélevés, mascarons démoniaques au-dessus des deux baies.

DECOR INTERIEUR : JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : DAUDET Alphonse.:O u a r a n t e a n s d e P a r i s . GONCOURT J o u r n a l

ICONOGRAPHIE : B.N.Est.:H91967 (chez les japonais des batignolles. dessin) , A.S.:Voll plan plus relevé de la façade 1892

COMMENTAIRES : 1892: l’architecte Heuze obtient pour Jehan Sarazin(propriétaire ou locataire, directeur du Divan Japonais) l’autorisation de la rénovation de la façade. 1893: obligation de retrait / alignement. 1894: F.Baretje dit Edouard Fournier nouveau propriétaire (?) reconstruit un café-concert qui n’a plus grand chose de japonais.

(37)

ECOLE D’ADMINISTRATION COLONIALE (EX)

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1886

DESTRUCTION DU BATIMENT : XXXXXXXX FONCTION DU BATIMENT : Batiment colonial: école ADRESSE : Avenue de l’Observatoire

VILLE : Paris VI

DEPARTEMENT : Paris

OCCASION DE CREATION : Formation des futurs cadres métropolitains ou indigènes des colonies.

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : YVON Maurice Adolphe (1857-1911) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui

DECOR EXTERIEUR : Ouverture avec arc surbaissé, décor polychrome, arabesque. DECOR INTERIEUR : Patio.

JARDINS :

PROTECTION M.H. : BIBLIOGRAPHIE :

ICONOGRAPHIE : A.S.: D10AZ425. C.M.-.30-3-95, pl.59 façade principale et plan du R.D.C., pl 60 Coupe et plan du 1er étage Dia C. JBD.

(38)

SYNAGOGUE DE LA RUE NOTRE DAME DE NAZARETH

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1852

DESTRUCTION DU BATIMENT : XXXXXXXX FONCTION DU BATIMENT : Lieu de culte: synagogue ADRESSE : rue Notre Dame de Nazareth

VILLE : Paris III

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : THIERRY Alexandre (1810-1890) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui DECOR EXTERIEUR : DECOR INTERIEUR : JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : E.A.:N°VII mai 1852 ill. R e a l i t i e s o f P a r i s l i f e 1859, anonyme, T 1.

ICONOGRAPHIE : CAR:48 A; XIV A,

COMMENTAIRES : "Façade composée d’architecture oriental et byzantine. Etant donné l’inexistence d’une architecture juive, grande difficulté pour distinguer la synagogue de monuments d’autres cultes." "L’édifice entier à un caractère oriental qui a beaucoup d’élégance et d’originalité" E.A.

(39)

PROJET DE CARAVANSERAILE

DATE DU PROJET : 1867 DATE DE CREATION :

DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Caravanséraile ADRESSE :

VILLE : Paris

DEPARTEMENT : Paris

OCCASION DE CREATION : Salon des Beaux Arts de 1867 Architecture.

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : BOURNICHON Gustave-Désiré (1818-1878) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : oui BATIMENT PUBLIC : non DECOR EXTERIEUR : DECOR INTERIEUR : JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : G.A.B.: 1867,N°6,B.N.Imp :Salon des B.A. 1867 ICONOGRAPHIE :

(40)

PROJET DE CHAPELLE RUSSE DATE DU PROJET : 1869

DATE DE CREATION :

DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Lieu de culte ADRESSE :

VILLE : Paris

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : SAUTEJEAU DE PONTJOLY NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" :?

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : ? STYLE "MIXTE" : ?

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui DECOR EXTERIEUR : DECOR INTERIEUR : JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : G.A.B.:N°17 1868-1869, B.N.:Salon des Beaux-Arts de 1869. ICONOGRAPHIE :

COMMENTAIRES : "Le projet de la Chapelle Russe (à ériger dans le bois de Boulogne, en mémoire de l’attentat (6-6-1867?) par Monsieur Sautejau de Pontjoly est une composition sans valeur; de quel style? russe peut-être mais assez barbare certainement." Lawrence Chapron, G.A.B.: 1869.

(41)

BA-TA-CLAN

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1864 ?

DESTRUCTION DU BATIMENT : XXXXXXXX

FONCTION DU BATIMENT : Lieu de spectacle: café concert, music-hall 1892, cinéma 1932, salle de concert

ADRESSE : Boulevard Voltaire VILLE : Paris XI

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : DUVAL Charles (1800-1876) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : non

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : oui STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui

DECOR EXTERIEUR : 1864: dragons verts dont les ailes soutiennent la coupole, bas reliefs rapellant des scènes de genre.

BIBLIOGRAPHIE : LACLOCHE Francis: A r c h i t e c t u r e d e c i n é m a s . Paris 1981, M a g a s i n P i t t o r e s q u e . 1903, Catalogue Carnavalet: Du F b q d u T e m p le a u F b q S a i n t A n t o i n e 1985

ICONOGRAPHIE : B.N.Est:H75282 (vue int. 1865) H75280 (Publicité), H75279 (Faç.1912), H75276 (Faç.éclairée, foule 1865), H75260 (Faç.du Bd Voltaire). CAR:152B, XXXIXB

COMMENTAIRES : "L’ensemble de la composition est dans le genre chinois, et nous ne doutons pas que les dragons verts qui, les ailes déployées soutiennent la coupole, ne rapellent fortement la patrie absente aux habitants du Céleste Empire égarés parmi nous. Les couleurs sont brillantes, les murs resplendissent de scènes de moeurs chinoises et l’effet général est très propre à séduire la foule, ce qui est bien le but asssurément des capitalistes engagés dans l’entreprise. Ce serait en effet une grossière erreur de la part de la critique que de confondre les oeuvres destinées à élever le goût sévère de l’art avec celles qui ont pour but de spéculer sur le goût public tel qu’il existe. On va aux cafés-concerts pour se délasser, non pour apprendre." B.N.EST.

(42)

EDEN-THEATRE

DATE DU PROJET : 1882 DATE DE CREATION : 1883

DESTRUCTION DU BATIMENT : 1892

FONCTION DU BATIMENT : Lieu de spectacle: café concert. ADRESSE : rue Boudreau

VILLE : Paris IX

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : KLEIN William,DUCLOS Louis

Albert,SCHMITT.LOISON Stanislas (1849-1893) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS : ESCANDE et Cie.

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : S.A. de l’Eden- Théatre. DEREMBOURG Louis (1893)

STYLE "ORIENTAL" : non

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : oui STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui

DECOR EXTERIEUR : Façade angkorienne avec pignon pagodéen.

DECOR INTERIEUR : Jardin d’hiver, promenade, buffet, fumoir, salle indienne avec verrière amovible.

JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : M.A.:1883,T35-36, G.C.:1882-1883 , E.A.:1884. ICONOGRAPHIE : CAR.:GC37E, 141F,

E.A.:1884-COMMENTAIRES : 1893 projet de construction d’une salle de spectacles dans l’annexe de l’Eden théâtre (Salle indienne de LOISON Stanislas pour DEREMBOURG Louis. Cette salle ne présente aucun trait exotique).

(43)

EGLISE RUSSE

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1860 DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Lieu de Culte ADRESSE : rue Daru

VILLE : Paris VIII DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : STROHM sur des plans de KOURMINE NOMS ET DATES DES DECORATEURS : SOROKINE,BRONIKOF,WASSILIEF NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : non

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui

DECOR EXTERIEUR : Bulbe doré DECOR INTERIEUR :

JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : M.I.:20-4-1861.H i s t o r i c c h u r c h e s o f P a r i s . Lonergan 1896, T h e s t o r v o f t h e P a r i s c h u r c h e s . Wolff 1916

ICONOGRAPHIE : Charconnet 1987, CAR: 133, B.N.Est.:H63506 (temple grec) H63540 (Int. 1860) H63546 (Consécration + pope) H63554 (serment à Alex.III 1884) H63577 (Obsèques Alex.III) H63578 (Souverains russes à Paris 1896), BHVP:AlbumF°III, 17 photos avant.1871. COMMENTAIRES :

(44)

CASINO DE PARIS (SALLE DE REPOS)

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1892 DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : lieu de spectacle ADRESSE : rue de Clichy

VILLE : Paris IX

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : NIERMANS Edouard NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui DECOR EXTERIEUR :

DECOR INTERIEUR : Salle octogonale, plafond tendu, arc outrepassé, fauteuil en rotin, plantes tropicales, décor en plume de paon.

JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : A.S.:D10AZ425:C.M.:1892 ICONOGRAPHIE : C.M.:1892 pl.22,23et 23bis COMMENTAIRES :

(45)

MAISON DE FROMENT-MEURICE DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1873 DESTRUCTION DU BATIMENT :

FONCTION DU BATIMENT : Maison d’habitation ADRESSE :

VILLE : Paris

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES :

NOMS ET DATES DES DECORATEURS : DENUELLE Alexandre Dominique (1818-1879) NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : FROMENT- MEURICE ?

STYLE "ORIENTAL" : non

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : oui STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : oui BATIMENT PUBLIC : non DECOR EXTERIEUR :

DECOR INTERIEUR : Laques dorées, influence chinoise et japonaise JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : E.A.:1873,A.S.:Froment-Meurice ICONOGRAPHIE :

(46)

EGLISE DE LA TRINITE

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 1862

DESTRUCTION DU BATIMENT : XXXXXXXXXX FONCTION DU BATIMENT : Lieu de culte

ADRESSE : Place d’Estienne d’Orves VILLE : Paris IX

DEPARTEMENT : Paris OCCASION DE CREATION :

NOMS ET DATES DES ARCHITECTES : BALLU Théodore (1817-1885) NOMS ET DATES DES DECORATEURS :

NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui DECOR EXTERIEUR : DECOR INTERIEUR : JARDINS :

PROTECTION M.H. :

BIBLIOGRAPHIE : "La Chaussée d’Antin" in P a r i s - G u i d e 1867, M o n o g r a p h i e d e l ' é g l i s e d e l a S a i n t e T r i n i t é BALLU Théodore 1868

ICONOGRAPHIE :

COMMENTAIRES : "La métropole à la mode de la Chaussée d’Antin, c’est cette coquette église de la Trinité, à la fois byzantine, gothique et païenne, aux clochetons musulmanes,..."(Xavier AUBRYET in P a r i s - G u i d e l

(47)

REPRESENTATION DU SIEGE DE SILISTRIE DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 15-08-1854 DESTRUCTION DU BATIMENT : 1854 FONCTION DU BATIMENT : Décor ADRESSE : Champs de Mars

VILLE : Paris VII DEPARTEMENT : Paris

OCCASION DE CREATION : Fête du 15 août 1854 NOMS ET DATES DES ARCHITECTES :

NOMS ET DATES DES DECORATEURS : NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui

DECOR EXTERIEUR : Batiments orientaux, mosquée ressemblant à Sainte Sophie de Constantinople.

DECOR INTERIEUR : JARDINS :

PROTECTION M.H. : BIBLIOGRAPHIE :

ICONOGRAPHIE : B.N.Est.:H55052,H55053 (coupure de Presse) COMMENTAIRES : Représentation du siège de Silistrie

(48)

REPRESENTATION DE L’EXPEDITION DE KABYLIE

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 15-08-1857 DESTRUCTION DU BATIMENT : 1857 FONCTION DU BATIMENT : Décor ADRESSE : Champs de Mars

VILLE : Paris VII DEPARTEMENT : Paris

OCCASION DE CREATION : Fête du 15 août 1857 NOMS ET DATES DES ARCHITECTES :

NOMS ET DATES DES DECORATEURS : NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES : STYLE "ORIENTAL" : oui

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : non STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui

DECOR EXTERIEUR : Palmiers, village blanc à l’algérienne. DECOR INTERIEUR :

JARDINS :

PROTECTION M.H. : BIBLIOGRAPHIE :

ICONOGRAPHIE : B.N.Est: H55069,H55070

(49)

DATE DU PROJET :

DATE DE CREATION : 15-08-1861 DESTRUCTION DU BATIMENT : 1861 FONCTION DU BATIMENT : Décor ADRESSE : Champs de Mars

VILLE : Paris VII DEPARTEMENT : Paris

OCCASION DE CREATION : Fête du 15 août 1861 NOMS ET DATES DES ARCHITECTES :

NOMS ET DATES DES DECORATEURS : NOMS ET DATES DES INGENIEURS :

NOMS, DATES ET DATES DE PROPRIETE DES PROPRIETAIRES STYLE "ORIENTAL" : non

STYLE "EXTREME ORIENTAL" : oui STYLE "MIXTE" : non

BATIMENT PRIVE : non BATIMENT PUBLIC : oui

DECOR EXTERIEUR : Feu d’artifice sur fond de pagode DECOR INTERIEUR : JARDINS : PROTECTION M.H. : BIBLIOGRAPHIE : ICONOGRAPHIE : B.N.Est.:H55078 COMMENTAIRES :

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