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Fr. 3.- ILLUSTRE

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année 56 pages

Fr. 3.- ILLUSTRE

REFLETS FRIBOURGEOIS

(2)

r 30e année Avril 1975 No 324

SOMMAIRE

Feuilleton de Fribourg-lllustré 3 Calendrier des manifestations 4 Elle chez elle 5 Art de bien manger 6 3ème âge et croisière en mer 11 Société cantonale des musiques fribourgeoises 12

Des fiançailles au mariage 14 Flashes du canton 21 8ème district fribourgeois 22 La Chaumière, Ursy 24 Championnat de ski de fond

au Mouret 27 Daniel Bongard, champion

motocycliste suisse 1974 23 Poster de Daniel Bongard 29 Bonjour Monsieur le syndic

d'Attalens 30 Flashes de la Gruyère 40 Entre l'église et la pinte 41 Technicum cantonal, Fribourg 42 Flashes de la Sarine 48 Flashes de la Broyé 50 Les défunts 52 Horoscope 55

NOTRE COUVERTURE:

Le printemps est là, marions-nous !

Dans les 7 districts fribourgeois

DISTRICT DE LA SARINE Chef-lieu: Fribourg (037) Feu: abonnés de Fribourg: 18 Autres réseaux: 22 30 18 Police: appels urgents: 17 Brigade de circulation: 21 11 11 Ambulance: 24 75 00

Administration communale: 81 21 11 Préfecture de la Sarine: 21 11 11

Union fribourgeoise du tourisme: 23 33 63

DISTRICT DE LA GRUYERE Chef-lieu: Bulle (029)

Feu: 18 — Police: 2 56 66 Ambulance: 284 31

Administration communale: 2 78 91 Préfecture de la Gruyère: 2 88 88 Office du tourisme: 2 80 22

DISTRICT DE LA BROYE Chef-lieu : Estavayer-le-Lac (037) Feu: 18 — Police: 63 13 93 Ambulance: 63 21 21

Administration communale: 63 10 40 Préfecture de la Broyé: 63 10 05 Office du tourisme: 63 12 17 Aide familiale: 63 16 95

DISTRICT DE LA VEVEYSE Chef-lieu: Châtel-St-Denis (021) Feu: 56 75 18 — Police: 56 72 35 Ambulance: 56 71 78

Administration communale: 56 70 52 Préfecture de la Veveyse: 56 70 14 Société de développement: 56 71 51 DISTRICT DE LA GLANE

Chef-lieu: Romont (037) Feu: 18 — Police: 52 23 59 A mbulance: 52 27 71

Administration communale: 52 21 74 Préfecture de la Glane: 52 23 08 DISTRICT DU LAC

Chef-lieu: Morat (037)

Feu: 18 — Autres réseaux: 71 20 10 Police: 71 20 31

Ambulance: 71 28 52

Administration communale: 71 33 33 Préfecture du Lac: 71 22 57

DISTRICT DE LA SINGINE Chef-lieu: Tavel (037) Feu: 18 — Police: 44 11 95 Ambulance: 44 14 12

Administration communale: 44 11 56 Préfecture de la Singine: 44 11 20

REFLETS FRIBOURGEOIS Edition, impression, administration:

Imprimerie Fragnière S. A.

35, Route de la Glâne

1700 Fribourg Tél. (037) 24 75 75

Régie des annonces:

Annonces Suisses S. A. ASSA Pérolles 8 1700 Fribourg Tél. (037) 23 24 24

Rédaction :

35, route de la Glâne 1700 Fribourg

Rédacteur responsable:

Gérard Bourquenoud

Abonnements:

Du 1er avril au 31 décembre 1975:

Fr. 23.20 Etranger:

envoi normal Fr. 37.50 envoi par avion Fr. 62.—

Compte de chèques postaux 17-2851

FRIBOURG-ILLUSTRÉ:

Organe officiel des Fribourgeois Hors-les-murs

NOUVEAU en Gruyère R. Chatogny

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(3)

Les Labours d'Espérance

par Albert-Louis Chappuis

— La garce! Elle n'avait qu'à me les rendre à moi et non au père, si elle n'y tenait plus, se dit-il en chiffonnant rageusement le papier!

Une envie folle le prit de déchirer ses lettres, de les déchirer toutes, de les ré¬

duire en menus morceaux, de les faire dis¬

paraître.

Il se ravisa, sortit sa main qui rejoignit l'autre. Jointes, elles contournaient main¬

tenant le verre à demi-vide.

Le regard de Monachon plongeait droit dans le vague.

Non, il ne pensait pas que sa décision eût été si grave pour Blanche, qu'il n'avait plus rencontrée depuis le soir du choix.

Mais restait le travail. Le travail devait se faire. La fête était bientôt là. Il fallait se res¬

saisir. Personne ne devait savoir, car chacun saurait assez tôt, et ce qui se passait, et les lettres rendues, et la démission de Blan- chette.

— Vous ne savez pas quoi? La fille au syndic ne lève pas les danses!

Il fallait être un homme. Il fallait dominer la situation. Il fallait se ressaisir encore, avant qu'un camarade n'arrivât à sa table.

— C'est à cause du fils à Monachon! il a choisi la Berthe Olivier!

— Le François? C'est pas possible!

Déjà dans sa tête dansaient les discussions qui ne manqueraient pas de commenter l'événement. C'est ainsi dans un village. Un village, ce n'est pas une ville. C'est plus petit. C'est un peu une grande famille où l'on se connaît non pas par des numéros affichés au-dessus des portes, pas davantage par le nom des rues qu'on habite, mais par le nom de la ferme: la Crozette; par la filia¬

tion: Charles au tanneur; par la façon dont on travaille, par la façon dont on parle. Si vous parlez de Siméon, ce n'est pas Siméon qui surgit devant vous, mais Siméon qui a toujours terminé le premier les travaux sai¬

sonniers. Si vous parler de Julot, c'est Julot attablé au café que vous voyez aussitôt. Si vous entendez le nom de Moinat, le syndic, vous voyez un homme pondéré, un homme calme, trop calme peut-être, trop pondéré peut-être... sauf pour ce qui concerne sa fille.

L'homme a ses qualités, ses défauts. Dès qu'il est appelé à vivre dans le cercle d'une communauté restreinte, les qualités, les défauts qui le caractérisent n'échappent à personne, lui créent sa place sociale.

François allait sombrer dans toutes sortes de considérations quand le tenancier de l'auberge lui demanda:

— Ça avance ces préparatifs?

— Ça avance!

Il n'en pouvait dire davantage. La question comme la réponse provoquèrent un arrêt de sa tension intérieure. Il se détendit, étancha sa soif. Ses mains tournaient et retournaient sans cesse le verre de bière.

François jeta un regard circulaire autour de lui.

Personne.

L'horloge, qu'avaient brunie les fumées des pipes et des cigares, émettait un tic-tac plus prononcé que d'habitude, à ce point qu'il devenait obsédant.

François était cloué sur son tabouret, ne sachant s'il fallait se lever, commencer le travail lui seul ou attendre.

Attendre quoi?

Attendre qui?

Attendre. Ce mot à son tour immobilisa son esprit vagabond. Le mouvement, le travail étaient les seuls éléments capables de le tirer de l'impasse dans laquelle il se débattait depuis quelques instants.

Il se leva, sortit de la salle à boire, s'arrêta sur le perron.

La lampe publique et celle du café joi¬

gnaient leurs efforts pour éclairer le chan¬

tier où, d'ici quelque temps, la fête dérou¬

lerait ses fastes.

semble!

Un dialogue incessant fatiguait son esprit.

Quoiqu'il fût résolu et volontaire, il faisait ce complexe d'accorder crédit aux dialogues que l'on pouvait tenir à son sujet. L'écho des paroles prononcées, qu'il supposait être prononcées contre lui, le relançait sans cesse.

Un membre de la société s'approcha.

Enfin.

Alors, c'est vrai?

— Quoi ?

— La Blanchette ne danse pas!

— Paraît!

— Pourquoi?

— Va le lui demander!

A peine avait-il éprouvé une nouvelle fois ce malaise, à peine avaient résonné en lui les paroles qu'il supposait courir, que Fernand Besson, son camarade, venait lui confirmer le bien-fondé de sa pensée, de son imagination. C'était vrai. On parlait. La preuve lui en était fournie, maintenant, par Fernand, qui le questionnait froidement.

C'était vrai. De porte à porte, la nouvelle avait couru, s'était amplifiée; elle devait faire du chemin et lui, François, allait-il être la risée de tout le village? La risée publique parce que sa décision avait entraîné le refus de Blan¬

chette, la risée encore, parce que, après avoir courtisé quelque temps une jeune fille dont le père est honorable, estimé, avare un brin, il l'avait abandonnée brusquement, pour lui préférer une amie moins favorisée par la fortune. Berthe Olivier, tout le monde le savait, n'était qu'une fille d'ouvrier, n'était que la fille de l'employé communal. Etre employé communal, surtout dans une com¬

mune faite de gens aisés, voire fortunés, c'est être employé communal. Un point c'est tout.

Pourtant, la condition du père Olivier n'avait nullement empêché Berthe de faire son chemin. La famille, à force de travail, d'économies, de privations aussi, avait per¬

mis à Berthe d'obtenir son brevet d'institu¬

trice semi-enfantine; à cause de quoi sem¬

blaient lui en vouloir quelques-unes de ses amies du village, paysannes pour la plupart, qui, les premières, furent surprises du succès final, après avoir, en secret, espéré un échec.

On est souvent jaloux de la réussite des pauvres!

Mais Berthe avait réussi.

Alors, depuis, si elle était restée toujours la fille de l'employé communal, elle était Institutrice!

Oui, semi-enfantine! Ce qui veut dire qu'elle n'a pas le droit d'enseigner dans les grandes classes.

Mais le titre y était. Et justement mérité avec ça.

Seulement, point de dot. A part ça, il n'y avait rien. Rien qui pût retenir François.

Berthe était seule avec rien, comme Blan¬

chette était seule, elle aussi, mais avec un domaine de quarante-cinq poses et une for¬

tune que l'on disait être l'une des plus gros¬

ses du village, pour ne pas dire la plus grosse.

Alors voilà. Courtiser l'une, courtiser l'autre! Courtiser Blanchette dont le domaine eût pu, avec le temps, s'harmoniser avec celui des Monachon, et puis courtiser Berthe Oli¬

vier qui n'a rien, sinon une bonne réputation et un brevet, voilà de quoi faire parler les gens!

Il devait y avoir quelque chose.

Il y avait quelque chose.

Alors le travail, abandonné depuis la veille, reprenait. Les jeunes gens, arrivés isolément ou en groupes, se mettaient à l'ouvrage et redoublaient de courage afin d'édifier promp- tement pont de danse et jeux divers. Et il y avait encore les guirlandes à tendre, les roses en papier à fixer, les sapins à planter. Il y avait tout ce travail à effectuer afin que la fête fût réussie.

De leur côté, quelques forains mettaient la dernière main à la décoration de leurs métiers montés à proximité du pont de danse. Déjà les lampes étaient allumées au petit carrousel et reflétaient leur éclat sur la croupe des che¬

vaux de bois vernissés et polis par le frotte¬

ment des jambes enfantines. Et puis, il y avait encore le tir mécanique, déjà ouvert, devant lequel quelques jeunes, profitant d'un instant de loisir, allaient exercer leur adresse à casser des pipes, pour le plus grand plaisir de la tenancière.

Déjà l'euphorie de la fête! Déjà, au sein des lumières naissantes, des bouchons sautaient, le vin coulait, les jeunes riaient. Mais, conscients les uns et les autres de l'ouvrage restant à faire, ils reprenaient leurs outils.

venait, contrôlait, conseillait. Il avait le gros souci de l'organisation. Aimant les responsa¬

bilités, il ne se soustrayait jamais à son devoir.

— Si c'est comme ça que ça va chez lui, ça doit marcher dru, remarqua l'un des mem¬

bres, s'affairant dans un coin avec d'autres camarades!

— Il ne s'entend pas toujours bien avec son père, rétorqua un autre!

— On le sait bien, que ça ne va pas tout seul!

Assis un instant sur une vieille caisse, le regard à nouveau perdu dans le vague, Fran¬

çois songeait. A Berthe Olivier? Peut-être. A son ouvrage? Peut-être. Aux deux ensemble?

Il se laissa aller à rêver.

Un jeune l'invita à trinquer.

— Merci, je n'ai pas soif!

— Tu montres l'exemple!

— Peut-être! On boira plus tard, quand le pont sera terminé, quand les guirlandes seront tendues, quand les sapins seront dres¬

sés, quand les roses seront accrochées

— On a le temps d'avoir soif!

— Tu sais bien qu'il faut que tout soit ter¬

miné ce soir!

François se remit au travail.

François réfléchissait encore en travaillant.

Son attention n'était pas complètement absorbée par ce qu'il faisait. Quelque chose dansait dans sa tête. A le voir planter une

«crosse» dans un dernier chevron du toit provisoire, on sentait que sa pensée était ailleurs. Chaque fois que le marteau frappait la tête martyrisée du clou géant, un nom semblait résonner au lieu du bruit métallique.

Un visage ovale, régulièrement ovale, un nez légèrement aquilin, des yeux brun noi¬

sette, une bouche agréable, un corps élancé, un regard franc, sincère, pur. C'était Berthe.

— Tu rêves, s'écria un jeune, apercevant François immobile.

Il suffit de cette remarque à l'interpellé pour que le marteau se mît à battre plus vio¬

lemment sur une crosse récalcitrante.

De nervosité, François émit un juron.

— Ca ne va pas?

— Rien!

— C'est pas beaucoup! Alors tais-toi!

Onze coups frappèrent au clocher tout proche.

— Les filles ont terminé les roses. Elles veulent les fixer aux branches des sapins!

— Quelles y viennent, répondit François.

Ce sera fait!

Il n'en fallut pas davantage pour que cha¬

cune fasse irruption sur le pont. Enfermées tout le soir à confectionner les dernières fleurs en papier de couleur avec des aiguilles à tricoter, les filles étaient tout heureuses de se mouvoir un peu et de travailler en compagnie des garçons. Chargées de car¬

tons débordant de fleurs multicolores et chatoyantes, elles ornaient de rouge, de jaune, de blanc les branches de sapins clouées contre la palissade de bois entourant le pont de danse.

Au terme de sa besogne, François des¬

cendit du toit en longeant adroitement une poutre de traverse, puis gagna l'échelle qui y était appuyée. Arrêté sur un échelon, il regardait si tout était en ordre. Le regard dirigé vers le haut, il observa l'équipe des membres chargée de bâcher la construction de bois. Il contrôla les grosses ampoules suspendues comme des araignées à l'extré¬

mité de leur fil; il regarda les filles s'affairer avec joie, il entendit de petits rires étouffés.

Il descendit.

Peut-être qu'il avait calculé son coup, peut-être bien que Berthe Olivier avait calculé le sien aussi, peut-être bien qu'ils l'avaient calculé tous les deux car, peu après, François se retrouvait sur le pont, sur le bord du pont, là où justement, accrochant des roses, Berthe était agenouillée. Elle sentit une main sur son épaule.

— Tu m'as fait peur!

— Tu ne m'as pas vu là-haut?

— Oui, que je t'ai vu! Mais je ne t'ai pas entendu descendre!

— Tu savais bien que je viendrais!

— Tais-toi, enchaîna Berthe, prudente!

Et, en désignant ses camarades, elle ajouta:

— Elles vont nous entendre! Continue ton travail! Il ne faut pas qu'on nous remarque.

— J'ai terminé!

— Tu as bien de la chance, ajouta-t-elle en souriant!

(A suivre)

(4)

4

Manifestations annoncées par l'Union fribourgeoise do loorisme Bulle

5 avril 31 mai

Châtel-St-Denis 5-6 avril

1er mai 3 mai Marly 3 mai 10 mai 17 mai 24 mai

Du 24 au 31 mai 31 mai

Marsens 19 avril Romont 23-24-25 mai 25 mai Fri bourg

5 avril au 4 mai 16 avril

au 17 mai 26 avril à 20 h. 30 27 avril à 16 h. 30 2-4 mai

29 mai Toute l'année Domdidier 29 juin

Hôtel de Ville

Tennis-Club Tennis-Club Tennis-Club Club Sportif Tennis-Club à Marsens à Romont dès 14 h. 30

Club des accordéonistes (Soirée)

Concours hippique Soirées concerts de la fanfare

Concours de chant des enfants

Concert du Chœur-mixte et de la maîtrise

Le Bluet:

Soirée folklorique

Tournois du 5e anniversaire Tournois du 5e anniversaire Tournois du 5e anniversaire Semaine sportive

Tournois du 5e anniversaire Soirée avec la Société de musique de Riaz Fête cantonale des musiques fribourgeoises Grand cortège

Hôtel Duc Berthold Exposition du peintre Bruno Mazzuchi.

Galerie

de la Cathédrale Aula de l'Université

Schuldhess

Spectacles de danses par le Ballet-théatre du Conserva¬

toire au profit des enfants infirmes moteurs cérébraux Journées suisses de la Voie Verte

Ville de Fribourg Fête-Dieu, Musée d'art et d'histoire Musée d'histoire naturelle Jardin botanique

procession

Ecole secondaire Journée «Portes ouvertes»

Courrier des lecteurs

Monsieur,

Je suis abonné depuis plusieurs années à votre revue que j'appré¬

cie de plus en plus. C'est un journal que j'aime lire et relire.

Emile Levet Romont

Monsieur,

Je suis enchantée de votre journal et suis également con¬

tente que vous ayez pensé à mettre l'horoscope qui m'inté¬

resse beaucoup. Ce qui me fait très plaisir aussi, c'est le mon¬

tant de l'abonnement qui n'est pas exagéré. Votre revue est passionnante et j'adresse mes félicitations à Fribourg-lllustré.

Mme Vve Mathilde Barras Orsonnens

A la rédaction de Fribourg- lllustré,

Je tiens à vous féliciter pour l'agréable présentation et pour le contenu de votre revue que j'apprécie beaucoup. Avez-vous l'amabilité de me faire parvenir un exemplaire de novembre et de juin 1972, ceci pour complé¬

ter ma collection.

Michel Dafflon Fribourg

A la rédaction de Fribourg- lllustré

Lecteurs assidus de votre inté¬

ressant magazine, nous pouvons vous dire qu'il donne un magni¬

fique reflet de la vie culturelle et sportive du canton de Fri¬

bourg. Nous apprécions aussi la rubrique réservée aux Fri- bourgeois du dehors, que nous lisons avec plaisir.

Alphonse et Andrée Pauli Genève

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ELLE

Protéger la nature:

une tâche quotidienne

Marly : ▼ Aménagement de la Gérine

Protection de l'environne¬

ment! Le grand dada à la une de tous les journaux! Un com¬

bat sans relâche, impitoyable, mais peut-être vain à cause de tous ceux qui désireraient vi¬

vre dans un monde bien réglé, en ordre, mais, pensant que leur contribution ne servirait à rien, s'installent conforta¬

blement, laissant le monde cou¬

rir à sa perte. Les méthodes à préconiser sont multiples, con¬

nues, et pourtant le mal ne fait que s'enraciner, toujours plus profondément.

Il convient dès lors de l'en¬

rayer à la source même: retour¬

ner à une vie plus simple, éviter le gaspillage (nourriture, pa¬

pier — nos pauvres arbres!);

et surtout il faut essayer de transformer les mentalités.

Deux mots sont dès lors essen¬

tiels: conscience et responsa¬

bilité! Il est également pri¬

mordial d'accorder davantage de valeur au temps. Tout va trop vite: travail, transports et... le téléphone!

Le week-end, les gens sont tellement pressés d'aller res¬

pirer leur petit air frais qu'ils sillonnent les routes comme des fous, polluent l'entourage, se dépêchent de trouver un coin sur l'herbe et repartent en vi¬

tesse pour rentrer dans leur appartement, tandis que papiers et vestiges de leur minable épopée s'entassent misérable¬

ment dans la forêt ou le pré qu'ils ont occupés...

Dépêchons-nous de protéger ces quelques endroits qui sub¬

sistent, où il fait encore bon

vivre (et ils ne manquent pas).

Crions aux gens de partir pour l'Amazonie ou d'autres contrées pour vacciner les indigènes contre un mal irrémédiable:

LA CIVILISATION!

Apprenons à créer des liens avec ce qui nous entoure, avec la nature, digne d'être aimée et respectée! Sinon la vie de¬

viendra impossible et le monde irrespirable! Une ultime solu¬

tion? Le suicide collectif.

Elle Année de la femme ou du costume A Barrage de protection des rives de la Gérine Y

FRIBOURG

UN SUISSE LAUREAT DE LA TRIENNALE

INTERNATIONALE DE LA PHOTO

Après avoir examiné près de 4000 photo¬

graphies de mille photographes qui avaient convergé vers Fribourg pour la Triennale internationale de la photo — elle s'ouvrira le 21 juin prochain — le jury, présidé par M. Hans Falk, de Urdorf, a accordé le grand prix de 20 000 francs à un photographe suisse, Christian Vogt de Bâle, né en 1946, pour l'ensemble de son envoi. Le jury a

également primé neuf autres photographes et a retenu les 250 œuvres qui constitueront l'exposition.

Cette première Triennale internationale de la photographie est placée sous le haut patronage du conseiller fédéral Hans Hürli- mann, chef du département de l'Intérieur, et du Comité international des expositions de l'ICOM, ainsi que de l'Etat et de la ville de Fribourg.

ATTRIBUTIONS DES PRIX

Le Jury décerne à l'unanimité les prix que voici :

Le Grand Prix de la Triennale de Fr. 20 000.—

à Christian Vogt, (1946) de Bale (Suisse) pour l'ensemble de son envoi

Le premier prix pour la couleur de Fr. 7 500.—

à Makoto Onodera, (1939) de Tokyo (Japon) pour «Blue driving»

Le premier prix pour le noir et blanc de Fr. 7 500.—

à Akio Deyama, (1934) de Tokyo (Japon) pour ses quatre œuvres «Little fantasy»

Le second prix pour la couleur de Fr. 5 000.—

à Fulvio Ventura, (1941) de Turin (Italie) pour son œuvre «Konya»

Le second prix pour le noir et blanc de Fr. 5 000.—

à Michel Szulc-Krzyzanowski, (1949) de Den Bosch (Pays-Bas)

pour ses deux paysages «Provence» et

«Scotland»

Le jury décerne en outre cinq prix spéciaux de Fr. 2000.— chacun à:

Paul de Nooijer, de Eindhoven (Pays-Bas) pour «Série 10»

Gérard Petremand (1939) de Troinex (Suisse) pour trois photographies couleurs Giorgio Pagin, de Bellinzona (Suisse) pour sa série «Proposta»

Pierre-Marc Richard (1947) de Paris (France) pour son reportage du Musée du Louvre

François Robert (1946) de Chicago (USA)

pour sa série de «Nus»

(6)

L'art

de bien M4NGEK

Hôtel

de la Grue, Broc Beau village de la Gruyère, Broc est situé sur la route Bulle-Boltigen et la rive droite de la Sarine, près du confluent de celle-ci avec la Jogne. Sa situation offre un magni¬

fique panorama sur le lac de la Gruyère dans lequel se reflètent les montagnes en¬

vironnantes: Dents de Broc, Chamois, Bourgoz et le Moléson. Pénétrant dans ce bourg chocolatier par le pont du Château d'en Bas, j'en ai profité pour faire une visite à l'Hôtel de la Grue, ce relais gastro¬

nomique connu loin à la ronde.

Le charme tranquille de cet établissement me fait découvrir une salle à boire accueil¬

lante, de cinquante chaises, où le service est courtois, souriant et efficace. De là, il n'y a qu'un pas jusqu'au restaurant qui domine la campagne environnante, et d'où la vue est splendide sur le sanctuaire de Notre-Dame des Marches, la piscine en plein air, les montagnes et les chalets qu'illu¬

mine le coucher du soleil. Avec sa cheminée, ses parois flanquées de verdure, son éclai¬

rage simple et original, sa moquette créant une chaude atmosphère, cette salle à manger spacieuse, comprenant cinquante couverts est du plus pur style du pays. Elle répond à toutes les exigences d'un hôte de passage qui cherche la détente dans la propreté et le calme. La grande salle polyvalente qui peut recevoir jusqu'à 130 personnes, a également son cachet. Son mobilier rus¬

tique et le bois fort bien mis en valeur en font un endroit idéal pour les repas de noces et les banquets de sociétés. L'hôtel comprend une dizaine de lits répartis dans des cham¬

bres de tout confort. Cet établissement est aussi le lieu de rencontre des sportifs, du FC Broc et de la FCTA. Le parcage des automobiles est facilité aux alentours de l'immeuble.

La propriétaire de cette auberge bro- coise travaille depuis trente-sept ans dans l'hôtelllerie. Avec son mari, Aimé Jaquet, qui fut un chasseur dans l'âme, fils de Béat et Elise Jaquet, anciens tenanciers de la vieille auberge d'Estavannens, elle reprit l'exploitation de l'Hôtel de la Grue en 1953.

A la mort de son fidèle compagnon, en 1963, Jeannette Jaquet continua avec ses huit enfants, dont six sont encore en vie. Elle eut le bonheur de pouvoir compter sur la précieuse collaboration de ses filles, ce qui a résolu le problème du personnel. Jeannette Jaquet est connue et estimée pour ses capa¬

cités et pour son sens d'accueil digne de la réputation de son entreprise. Il ne faut

donc pas s'étonner de la très nombreuse clientèle qui emplit son établissement. Anne- Marie, la fille de salle et accordéoniste, qui travaille dans la maison depuis quelques années, est une collaboratrice bienvenue pour la tenancière.

Gastronomie gruérienne

L'Hôtel de la Grue, c'est aussi une cuisine extraordinairement savoureuse, franche, in¬

ventive, proche de la perfection, qui ga¬

rantit la qualité de la gastronomie grué¬

rienne. Il suffit d'y faire une escale pour mieux goûter aux délices de la Gruyère préparées avec beaucoup de finesse par Jeannette Jaquet qui passe la plus grande partie de son temps devant les fourneaux.

Elle est aidée dans ses multiples tâches par Kobi Hanny, un homme dynamique et compréhensif. Sur la carte des mets, j'ai choisi pour vous la truite au bleu, ou meu¬

nière, le jambon de campagne et ses légumes.

A La salle à manger: un joyau pour les gourmets

la succulente crème de la Gruyère en baquet avec ses petits fruits de saison. Mais il y a encore le menu du jour servi sur assiette pour huit francs. Tout cela arrosé d'excel¬

lents vins suisses et français.

Une femme qui dirige une auberge comme celle-ci et qui fait preuve d'un tel souci d'originalité et de talent en cuisine, voilà qui n'est pas courant. Son expérience acquise dans le domaine hôtelier et sa po¬

pularité font l'admiration d'une clientèle prodigue de compliments.

L'Hôtel de la Grue, à Broc, un rendez- vous gastronomique qui confirme la grande tradition gruérienne du «savoir recevoir et du bien manger».

(Texte et photos G. Bourquenoud) Mme Jeannette Jaquet (au centre) entourée de son personnel y

Hôtel de la Grue BROC Tél. 029/6 15 24 Famille Aimé Jaquet-Pharisa Menu et carte

NOS SPÉCIALITÉS GASTRONOMIQUES Chateaubriand, Tournedos

Truites au bleu ou meunière Jambon de campagne Assiette gruérienne, etc.

Et toujours la fameuse crème de Gruyère en baquet avec ses petits fruits de saison Salles pour noces et banquets jusqu'à

120 couverts A La salle polyvalente avec son mobilier rustique

(7)

Café de LATOUR - Restaurant AQUARIUM Tél. (038) 51 38 28 Famille Jules Rosset Le Landeron

Au cœur de la vieille ville

Le rendez-vous bien connu des antiquaires Salle des Chevaliers

Grotte de l'Aquarium

Spécialités: Raclette, fondue neuchâteloise, assiette Aquarium, côtelettes, filets de perches Sur commande: Filets mignons, entrecôtes, tournedos aux

morilles, fondue bourguignonne

Hôtel-Restaurant desBains

Lac-Noir Farn. Neuhaus

Tél. 037/32 11 04

Un aperçu de notre carte:

Filets de perches Filet de bœuf Voronoff Tournedos au poivre à la fine- Champagne avec gratin Dauphinois Chateaubriand à la Périgourdine Rognon de veau flambé, etc.

Menu du jour

Salles pour banquets et sociétés Bar - Dancing

Chambres tout confort

Hôtel de la Grue, Broc L'atmosphère du café-bar y La recette du mois

Préparation 20 minutes Cuisson 35-40 minutes Proportions 4 personnes Poularde au riz Sauce su¬

prême

1 Poularde 1.200-1.400 kg 1 bouquet garni

1 oignon piqué 1,5 litre bouillon léger Sel, poivre du moulin 250 g Riz Patna ou Ben's 60 g de beurre

3 c. à soupe de farine 2 dl crème de Gruyère

Cuire la poularde dans le bouillon. A mi-cuisson (20 mi¬

nutes) égoutter la poularde.

Passer le fond à la passoire fine.

Remettre la poularde dans la casserole. Ajouter le riz, préa¬

lablement blanchi et égoutté.

Mouiller à deux doigts au-dessus du riz avec le fond de cuisson passé. Terminer la cuisson à chaleur douce.

Faire un roux blond avec le beurre et la farine. Le mouiller avec le solde de fond de cuisson, laisser cuire 20 minutes environ.

Y ajouter la crème, rectifier l'assaisonnement avec sel et poivre. Dresser la poularde sur plat avec le riz autour, napper avec la sauce.

Bon appétit!

Bernard Fivaz, chef de cuisine, Vaulruz

CAFÉ-RESTAURANT AUX 4*

4» TROIS TREFLES 4»

P. Vallelian - Stucki

Rue de Vevey BULLE Tél. 029/2 7278

RESTAURANT RENOMMÉ POUR SON SERVICE SUR ASSIETTE ET SES SPÉCIALITÉS A LA CARTE (accessible à toutes les bourses)

Ce Cnstel VAULRUZ PENSION Restauration soignée Chambres confort Cadre magnifique Séjours toutes durées

Fam. BERNARD FIVAT Chef de cuisine Téléphone 029 2 5940

Café-

Restaurant du

Chevreuil VillMlod Restauration soignée

Spécialité: jambon de campagne Salle pour banquets noces et sociétés Famille Perritaz Tél. 037 31 11 48

f)ôttl'$cstmirnnt bu fftrf

Fondée en 1562 1470 Estavayer-le-Lac Tél. 037 6310 07

Nombreuses SPECIALITES à la broche et au gril

Poissons du Lac

Chambres tout confort

Famille Michel

(8)

Connu pour sa BONNE CUISINE Grandes salles pour banquets (de 20 à 500 places) Restaurant de la

place de la Cathédrale Fribourg, tél. 037 22 65 21 Bekannt für

GUTE KÜCHE Grosse Banketträume (von 20 bis 500 Plätzen)

0

Auberge

de la Croix-Blanche Téléphone 037 331153 1711 TREYVAUX

Restauration soignée

Locaux agréables et idéals pour banquets, noces, sociétés et fêtes de familles Chambres confortables Jeux de quilles

I P | H. Stöckli-Jendly, chef de cuisine

Restaurant Snack Self-Service

Famille J.C. Bailsman 037 6321 36

AU SAFARI 1468 CHEYRES / FR

Relais gastronomique dans son cadre naturel au bord du lac de Neuchâtel.

[~p] Grand parking

Places de port réservées aux clients

mm HOTEL RESTAURANT

Salles pour banquets et sociétés

Spécialités maison LA FONDUE CHINOISE Farn. R. Dévaud Tél. 22 3219

Rue de Lausanne 25 1700 Fribourg

Le guide gastronomique de Fribourg-lllustré vous recommande

Les vins FENDANT

Il y a le pain quotidien. Il y a aussi le vin quotidien, le Fendant: un vin frais, franc et racé, à la fois délicieusement fruité et tendrement violent.

Un vin plein de soleil, de rythme, d'harmonie et de tem¬

pérament. Un vin qui convient à chaque repas, qui est à l'aise partout et toujours. Il crée la bonne humeur. Il capte l'atten¬

tion. Il noue des amitiés du¬

rables. C'est le vin de la jeu¬

nesse, mais aussi le vin des noces d'or. Il s'accorde à mer¬

veille avec la raclette, la fondue et tous mets au fromage, la viande séchée, la choucroute et les escargots. Fendant à l'apéritif. Fendant aux veillées familiales. Fendant à la table d'hôte.

Notre suggestion: Une ré¬

serve de Fendant dans votre cave vous permet de parer à maintes situations imprévues, à des visites impromptues. Ser¬

vez-le bien frais. Mieux vaut trop frais...

Cépage: Le Fendant est issu de la famille des Chasselas. Il a été introduit en Valais au XVIIIe siècle. Le nom Fendant est une appellation réservée exclusivement au Valais.

Production (moyenne des dix dernières années): 20 977 200 I.

Rendement moyen par 100 m2 de surface viticole: 90-120 I.

Degré moyen d'alcool en volume pour-cent: 10,5-11,5°.

Caractéristiques: Vin blanc sec et fruité.

Régions de production: L'en¬

semble du vignoble valaisan.

Ses régions de prédilection sont constituées par les terrasses de Martigny, Fully, Saillon, Ley- ton, Ardon, Vétroz, Conthey, Sion et Saint-Léonard. On dit

Hôtel de la

Menu du jour JAMBON A L'OS Entrecôtes aux morilles Fondue moitié-moitié Salle pour sociétés et banquets CHAMBRES CONFORT Sa bonne cave Famille

M. Pythoud-Sdboz Tél. 029 8 5142

Croix Fédérale

1699 LE CRET / Fr Rte Bulle-Oron

Cofé du Chamois

tfr<>

Villars-sur-Glâne

NOS SPÉCIALITÉS:

PIZZA

Fabrication maison FONDUES

CROUTES AU FROMAGE SAUCISSES AU FOIE Petite restauration Menu du jour

Salles pour réunions et banquets Fam. Roger Dousse

Tél. 037 24 34 80

Fermé le mercredi 0

(9)

Auberge de Ganniswil près de Guin Tél. 037 43 11 23

Menu, carte, spécialités Terrasse d'été

Jeux d'enfants

Jeux de quilles Fermé le lundi Fam. Jungo-Mulhauser

ces restaurants où vous trouverez bonne table et bons vins

Les

vins valaisans

que Sion est deux fois capitale:

du canton et du Fendant.

Le vignoble valaisan Le vignoble valaisan s'étend pour l'essentiel entre Loèche et Martigny, sur la rive droite du Rhône. (La rive gauche, notamment la région de Saxon, produit également d'excellents crus.) Il garnit les abords de la montagne en formant une ban¬

de quasi continue, parcelles contre parcelles, sur une dis¬

tance de 50 km.

La surface viticole valaisanne mesure actuellement plus de 4200 ha, soit 30% de la surface viticole suisse. En Valais, le

vignoble représente 12% de la surface agricole utile (forêts et pâturages non compris) ou 1,6%

de la surface productive totale, forêts et pâturages compris.

La route du vignoble En 1970, le Valais a inauguré sa route du vignoble. Elle relie Martigny à Loèche ou vice versa, sur la rive droite du Rhône, à travers les magnifiques par- chets de vigne. Elle est balisée distinctement dans les deux sens. Son but est de familiariser tous les amis du Valais avec son vignoble et ses spécialités culi¬

naires et vineuses.

Les visites de cave sont orga¬

nisées par l'OPAV, avenue de la Gare 5, 1950 Sion. Quiconque s'intéresse à une telle visite est prié de s'annoncer deux ou trois jours à l'avance à cet office.

Dancing:

Tous les soirs,

orchestre-attractions-danse Restaurant:

Spécialités à la carte Tournedos aux morilles fr. 14.-

service compris Scampis à l'Indienne fr. 14.-

service compris et toute une gamme d'autres mets.

i€üRSEMF¥

Si cost dans les vieilles marmites que l'on fait la meilleure soupe...

C'est dans la cadre ancien et ro¬

mantique de ce vieux moulin de¬

venu

Hôtel-Rôtisserie que vous trouverez l'atmosphère chaude et tranquille, complément agréable pour savourer l'excellence de notre cuisine.

HOTEL rustique, 20 lits, eau courante, douche, bain ROTISSERIE, avec ses spécialités au feu de bois

SALLE DE BANQUET, dans un cadre unique, 120-130 places BAR-CARNOTZET, avec sa cave voûtée, et son service sur assiettes

RELAIS DU VIEUX MOULIN 1751 Corserey-prôs-Frl bourg Tél. 30 14 44

Restaurant GRUYERIEN Bulle Fam. A. Santarossa-Vallélian Tél. 029 2 75 75

Menu du jour et assiettes Spécialités:

Jambon et saucissons de la borne et toute une gamme de mets à la carte

Toute l'année:

Filets de perches En saison:

Cuisses de grenouilles fraîches

Spécialités de flambés

Hôtel-Restaurant Pizzeria

Bellevue

Dans un cadre complètement rénové et intime vous apprécierez:

Notre grand choix de PIZZA Nos spécialités à la carte Notre menu du jour

Salle agréable et idéale pour noces, banquets et sociétés

Famille Sciotto-Seydoux 1636 BROC Tél. (029) 6 15 18 Fermé le lundi

(Le

Hôtel Restaurant Bar

Dancing 1630 Bulle Tél. 029/2 84 98

NOS PLATS DU JOUR A FR. 7.50 (CAFÉ COMPRIS) TOUS LES JOURS CUISINE CHAUDE

Jusqu'à 23 HEURES:

Spécialités: COUSCOUS / PAELLA / GOULACHE / PIZZA

(10)

10

Hôtel de la Grappe Cheyres

Fam.

H. Monney-Rapo Tél. 037/63 11 66

Spécialités:

Filets de perches Jambon à l'os et chaque jour la CHARBONNADE Salle pour sociétés et banquets

Le guide gastronomique de Fribourg-lllustré

vous recommande ces restaurants

L'art

de composer

Vous l'avez certainement compris. L'art de composer un plateau de fromages n'obéit pas à des règles absolues. Nos sug¬

gestions ont pour objet de vous éviter des écueils, d'aiguiller vos initiatives personnelles et de solliciter votre fantaisie.

En suivant les principes énon¬

cés aux pages suivantes, vous ne commettrez pas d'erreurs et mettrez en valeur vos ta¬

lents gastronomiques innés.

L'abondance:

Un plateau de fromage varié est des plus séduisants. Mais encore ne faut-il pas sacrifier la diversité aux proportions. Ex¬

pliquons-nous. Mieux vaut sou¬

ligner l'impression d'opulence

par la taille d'un morceau de gruyère, d'emmental ou de sbrinz assortis de quelques pâtes molles, plutôt que de présenter une multitude de petites por¬

tions de fromages hétéroclites.

Cette remarque a un aspect économique. Les fromages à pâte dure se conservent bien.

Ce n'est donc pas un luxe d'en garnir abondamment un pla¬

teau puisque vous n'en perdrez pas une bouchée.

La simplicité:

Prenez un plat ordinaire ou une planchette. Recouvrez-le de feuilles bien vertes sur les¬

quelles vous disposerez un beau morceau de gruyère et une pâte molle puis une tomate, pour le coup d'œil. Servez avec du beurre frais et, si vous êtes avides de vitamines, couronnez ce menu avec une salade cro¬

quante.

Hôtel de la Belle-Croix

1680 Romont Tél. 037/52 23 41

Famille Dorthe-Ecoffey Restauration soignée Truites de rivière Cave réputée Jardin ombragé Chambres tout confort Et chaque jour, le jambon de campa¬

gne à l'os fermé le jeudi

le Caste!

Restaurant-Rôtisserie-Hôtel 1661 Le Pâquier (Gruyère) Cuisine française

Spécialités à la carte et de saison Au café service sur assiette Site idéal pour vacances F. Freiburghaus, chef de cuisine Téléphone 029 2 72 31

E

Spécialités à la carte En saison:

Chasse

Cuisses de grenouilles Pl.. Michel 021 93 80 75 Auberge Restaurant 1699 Ecoteaux

M. Mme R. Skoric-Rothenbühler Tél. 037 61 26 79

Hôtel-Restaurant Scotch-Bar - Dancing Restaurant français

Cuisine soignée A la carte et sur assiette Spécialiités de saison

Salles pour noces et réceptions de 10 à 250 personnes Chambres avec confort

HOTEL DU LION D'OR Relais routier

ST-MARTIN-ORON Michel Schrago Balocchi

Tél. 021 937198

SPECIALITES

Jambon à l'os - Charbonnade Salles pour sociétés

2 jeux de quilles automatiques

Pour les lecteurs de

Fribourg- lllustré

Code postal : Nationalité:

Tél. professionnel:

Renseignements nécessaires pour établir le bulletin d'inscription

Nom: Prénom:

Adresse complète:

Ville:

Profession : Tél. privé:

Si, en âge d'AVS No de carte ou date de naissance:

Date: Signature:

Je participerai à la croisière du Tss ELLINIS du 19 au 26 septembre 1975 Veuillez me réserver une cabine type

pont

au prix de par personne Pour obtenir tous les renseignements, veuillez envoyer ce bulle¬

tin à Fribourg-lllustré, Service des voyages, 35, rte de la Glane,

1701 Fribourg.

(11)

Croisière en Méditerannée pour les lecteurs

de Fribourg-lllustré Vendredi 19 septembre

FRIBOURG 06.04 — BERNE 06.28 — 06.52 — BRIGUE 08.27 — 08 .44 — MILAN 11.15 —

Départ en train 2e classe à destination de:

Arrivée

Continuation pour:

Arrivée

Continuation-pour:

Arrivée (paniers-repas distribués dans le train)

12.00 — Continuation pour:

GENES 13.48 — Arrivée

— Transfert en autocars spéciaux à la gare maritime

— Formalités d'enregistrement de police et douane

— Embarquement à bord du Paquebot

«Tss ELLINIS»

— Répartition des cabines - Repas à bord

— Dans la soirée, départ de la croisière Samedi 20 septembre

CANNES

Dimanche 21 septembre BARCELONE

Lundi 22 septembre PALMA DE MAJORQUE — Mardi 23 septembre BIZERTE

Mercredi 24 septembre PALERME

Jeudi 25 septembre NAPLES

NAPLES

Vendredi 26 septembre GENES

13.00

Arrivée le matin, excursion facultative d'une demi-journée

— Arrivée le matin, excursion facultative Arrivée le matin, excursion facultative

— Arrivée le matin, excursion facultative Arrivée le matin, excursion facultative d'une demi-journée

Arrivée dans la soirée le matin, excursion facultative Matinée à bord

MILAN BRIGUE LAUSANNE

16.00 18.05 18.45 21.10 21.25 23.01 23.06 23.50 FRIBOURG

Fin de nos services

Repas de midi à bord

Débarquement des participants Transfert à la gare

Départ du train 2e classe à destination de:

Arrivée

Continuation pour : Arrivée

Continuation pour:

Arrivée

Continuation pour:

Arrivée

Tss. ELLINIS — PRIX FORFAITAIRE DE LA CROISIERE (Choix de cabines sélectionnées pour les lecteurs du Journal) (Prix par personne)

Prix forfaitaires Pont et types de cabines

Catégorie - Prix de revient to >

<

C.

A.

M.

U.

30 V) L?

c w D 4) U

3 O

Pont C. : C) .Si G

Cabine intérieure, 2 couchettes

avec lavabo 1060 925 850

Pont B. :

Cabine intérieure, 2 couchettes

avec lavabo 1195 1060 975

Cabine extérieure, 2 couchettes

avec lavabo 1295 1160 1070

Pont A.:

Cabine intérieure, 2 couchettes

avec douche et toilette 1395 1260 1155 Cabine intérieure, 2 lits bas

avec douche et toilette 1465 1335 1215 Cabine extérieure, 2 lits bas

avec douche et toilette 1665 1535 1400 Pont Principal :

Cabine intérieure, 2 lits bas

avec douche et toilette 1665 1535 1400 Cabine extérieure, 2 lits bas

avec douche et toilette 1800 1675 1525 Pont Supérieur:

Cabine extérieure, 2 couchettes

avec douche et toilette 1665 1535 1400 Cabine intérieure, 2 lits bas

avec douche et toilette 1700 1535 1435 Cabine extérieure, 2 lits bas

avec douche et toilette 1930 1805 1645

Rubrique du 3e fige Pensons

à nos aînés Un brin de causette avec des personnes âgées

(Bd) Dans une maison pour personnes âgées, on entend tou¬

jours de petits bruits. Il y a le craquement du fil à coudre qu'on casse avec les dents, le grince¬

ment d'une pendule vieille de quelques dizaines d'années et, au fond de la salle à manger, le cliquetis de petites cuillers que l'ont sort pour le thé, servi à quatre heures. De nuit comme de jour, nos aînés, qui ont un sommeil très léger, perçoivent sans cesse de petits bruits. Cer¬

taines personnes n'y prêtent pas attention, tandis que d'autres se demandent toujours ce qui se passe dans la maison. Une gen¬

tille dame tremblotante regarde, de la fenêtre de sa chambre, des bambins qui s'amusent dans le jardin du home. La joie de vivre de ces enfants lui rappelle son jeune âge, quand elle était une gosse bruyante. En clignant de l'œil, elle me dit: «Je trouve que les jeunes, aujourd'hui, ont trop de liberté, on ne les tient plus.»

Une autre dame assise sur une simple chaise, tournant le dos au jardin de la maison, cons¬

tate: «Il faudrait des gardiens dans ce quartier. Les enfants ne sont pas responsables par eux- mêmes, c'est les parents qu'il faudrait punir.»

Un brave homme s'approche:

«Le personnel est charmant et les pensionnaires sont gentils.»

Il occupe un studio qui comprend une petite cuisine, une salle de bains, un modeste salon et une chambre à coucher. «Chez moi, dit-il, c'est d'un calme parfait, excellent pour les nerfs.»

Dans le couloir du premier étage, je rencontre une dame qui s'en va au marché à Bulle.

Je lui demande pourquoi ce n'est pas la directrice du home qui lui achète ce qu'il lui faut.

Elle me répond: «Tant que je pourrai...» Et puis elle en pro¬

fite pour choisir des romans dans une bibliothèque ou des livres de poche dans une librairie.

Pour cette femme, la lecture est ce qu'il y a de plus passion¬

nant.

Un pensionnaire âgé de no- nante ans me serre la main et m'invite à boire une «pomme»

avec lui. J'y suis allé pour lui faire plaisir. Et j'ai réussi. Il était enchanté de ma visite dans son petit appartement qui do¬

mine la campagne fribourgeoise.

«Il y a admet-il, des gens plus malheureux.» Je me suis rendu compte que les visites apportent beaucoup de joie à nos aînés.

«Vous savez, dit la directrice du foyer, si des pensionnaires râlent, c'est qu'ils sont en for¬

me.» C'est vrai, la plupart d'en¬

tre eux avaient bonne mine.

«Vous ne changerez pas les gens et il y aura toujours des grincheux», dit en trempant un morceau de gâteau dans sa tasse de lait, une petite vieille qui en est à sa troisième maison de retraite.

Il y a des endroits dans notre monde où la vie s'écoule sans heurts, où l'on papote autour des beloteurs, où l'on se plaint de sa santé déficiente, où l'on attend paisiblement une saison nouvelle: le printemps.

Trois personnes âgées sur le bateau Ellinis ▼

NOS PRESTATIONS COMPRENNENT:

— le transport en chemin de fer 2e classe, places réservées, de Fribourg à Fribourg,

— les transferts en autocars de la gare de Gènes à la gare maritime à l'aller et au retour,

— la cabine selon la catégorie choisie, en pension complète,

— le déjeuner à Milan, dans le train à l'aller,

— les taxes d'embarquement portuaires,

— l'assurance annulation obligatoire,

— une documentation complète avec programme horaire, pros¬

pectus, plans, étiquettes bagages.

NE SONT PAS COMPRIS:

— les dépenses de caractère personnel,

— les boissons à bord,

— les frais éventuels de blanchisserie,

— les excursions facultatives,

— les pourboires au personnel du bord.

Bulletin d'inscription au bas de la page 10

(12)

12

Vuisternens - devonf - Romont

Assemblée annuelle des musiciens

fribourgeois

(Bd) Importante institution qui fait hon¬

neur à notre canton, la Société cantonale des musiques fribourgeoises compte actuel¬

lement 3700 membres. Nonante-deux sec¬

tions sur nonante-cinq étaient représentées par 190 délégués à l'assemblée annuelle qui eut lieu dans une salle du Cercle catholique, où l'on ne vit jaillir aucune étincelle. Dans son exposé, M. René Pillonel, président cantonal, précisa que l'activité en 1974 a été consacrée surtout à la préparation de la prochaine fête cantonale qui aura lieu les 24 et 25 mai à Romont. Il adressa de vives félicitations aux 132 musiciens qui reçoivent en 1975 une distinction d'ancienneté. Les rapports des cours de formation, de la caisse, de la commission de musique et des vétérans ont été présentés par MM. Gabriel Rosset, Marcel Zaugg, Oscar Moret et Hermann Bruder. Ils furent tous acceptés avec applaudissements.

Une excursion en Singine

Sur proposition du comité cantonal, l'assemblée a attribué l'organisation de la prochaine assemblée à la fanfare d'Alterswil.

La société de musique de Chevrilles (Giffers) a été nommée vérificatrice des comptes pour 1975. La fanfare de Porsel, qui fut fondée en 1970 et compte quarante et un musiciens, a été admise au sein de la canto¬

nale.

Art, histoire et vie de nos districts Me Claude Fasel, avocat, président du comité d'organisation de la fête cantonale, renseigna les délégués des sections sur la préparation de cette grandiose manifesta¬

tion. Septante sociétés de musique réunis¬

sant 3185 musiciens y participeront. Les festivités débuteront déjà le vendredi soir 23 mai par un spectacle folklorique. La journée de samedi comprendra des concours, l'émission le «Kiosque à musique» animée par Roger Volet et la réception de la ban¬

nière cantonale avec des allocutions de MM. Max Jeckelmann, président de la fête cantonale de Guin, et Claude Fasel, de Romont. Le dimanche est réservé aux concours d'exécution et de marche, ainsi qu'au cortège conçu sur le thème «Art, histoire et vie de nos districts». Une can¬

tine pouvant contenir 3000 places sera aménagée dans le quartier de la Condémine.

Cet exposé très complet de Me Fasel nous a donné une image haute en couleur de ce que sera la fête cantonale des musiques fribourgeoises de Romont. Souhaitons qu'elle soit baignée de soleil.

Un vibrant hommage fut rendu à M.

Moritz Schmutz, membre de la commission de musique depuis quarante ans. Précisons que cette rencontre musicale était honorée par la présence de M. Pierre Glasson et Mme Anne-Marie Rohrbasser, parrain et marraine de la bannière cantonale.

Un succulent menu gastronomique fut ensuite servi aux participants dans la grande salle de l'Hôtel Saint-Jacques, par M. et Mme Gérard Dumas-Menoud et leur dis¬

tingué personnel. Prirent alors la parole, MM. René Pillonel, président cantonal;

Fernand Aebischer, deuxième vice-président du Grand Conseil; Pierre Glasson, parrain de la bannière; Fridolin Aeby, ancien pré¬

sident central; André Menoud, syndic de Vuisternens-devant-Romont. Ces allocutions furent entrecoupées par les belles produc¬

tions de la fanfare du village que dirige M. Joseph Donzallaz et que préside M.

Alexis Gobet, de Villariaz.

Médaille cantonale pour 25 ans d'activité 1. Paul Rappo, Alterswil

2. Johann Rappo, Alterswil 3. Erwin Vaucher, Alterswil

4. Narcisse Dupraz, Avry-devant-Pont 5. René Rossier, Avry-Rosé

6. Alexandre Julmy, Courtepin 7. Marcel Colliard, Belfaux 8. Josef Kessler, Bösingen 9. Laurent Dematraz, Broc 10. Gilbert Gachet, Bulle 11. Pierre Tercier, Bulle 12. Frédy Walker, Bulle

13. Roger Chardonnens, Châtel-St-Denis 14. Guy Cotting, Châtonnaye

15. Gaston Mondoux, Châtonnaye 16. Marcel Debieux, Châtonnaye 17. Charles Missy, Cottens 18. Gérard Nicolet, Cottens 19. Emmanuel Michel, Cottens 20. Norbert Vonlanthen, Cottens 21. André Monney, Corpataux 22. Modeste Bersier, Cugy-Vesin 23. Roland Bersier, Cugy-Vesin 24. Felix Jeckelmann, Guin 25. Bruno Schaller, Guin 26. Arthur Schwaller, Guin 27. Josef Zurkinden, Guin 28. Paul Deschenaux, Echarlens 29. René Leva, Echarlens

30. Claude Jemmely, Estavayer-le-Lac 31. Roger Eltschinger, Farvagny 32. Robert Meyer, Farvagny

33. Joseph Baechler, Fribourg-Concordia 34. Charles Gobet, Fribourg-Concordia 35. Raphaël Mauron, Fribourg-Union 36. Marcel Rossalet, Fribourg-Union 37. Fridolin Cotting, Giffers 38. Gérard Currat, Grandvillard 39. Maurice Musy, Grandvillard 40. Maurice Bussard, Gruyères 41. Linus Fontana, Gurmels 42. Ernst Gutknecht, Chiètres

43. Maurice Dunand, La Tour-de-Trême 44. Noël Mauron, La Tour-de-Trême 45. Hubert Andrey, Le Châtelard 46. Maurice Andrey, Le Châtelard 47. Marcel Roulin, Le Mouret 48. Edouard Horner, Le Mouret 49. Léonard Egger, Prez-vers-Noréaz 50. Gérald Ducrest, Rössens

51. Héribert Zosso, St.Ursen 52. Paul Kaeser, Schmitten 53. Theodor Oberson, Tavel 54. Gilbert Papaux, Tjreyvaux 55. Elmar Böschung, Uberstorf

56. Jean Dumas, Vuisternens-dt-Romont 57. Bernard Rohrbasser, Vuisternens-dt-Rt 58. Jean-Joseph Ding, Villarepos

Me Claude Fasel, président du comité d'organisation de la fête de Romont, pendant son exposé. A Médaille fédérale pour 35 ans d'activité

1. Albert Rossier, Autigny 2. Edmond Francey, Courtepin 3. Hans Jungo, Bösingen 4. Jean Pilloud, Châtel-St-Denis 5. Linus Tossy, Cressier 6. André Marion, Domdidier 7. Aloys Chardonnens, Domdidier 8. Meinrad Geinoz, Enney 9. Aimé Pugin, Echarlens

10. Ferdinand Ruegg, Fribourg-Landwehr 11. Félix Borcard, Grandvillard

12. André Borcard, Grandvillard 13. Casimir Raboud, Grandvillard 14. Oscar Sonney, La Tour-de-Trême 15. Hilaire Pidoux, Léchelles

16. Louis Maradan, Montagny-Cousset 17. Georges Grangier, Montbovon 18. Noël Berger, Prez-vers-Noréaz 19. Déglise Charles, Remaufens 20. Rodolphe Cornu, Romont 21. Pius Brulhart, St. Antoni 22. Alfons Gauderon, St. Antoni 23. Henri Verdon, St. Aubin 24. Aloys Brügger, St. Sylvester 25. Marcel Böschung, Schmitten 26. François Rossier, Schmitten 27. Roger Marthe, Le Mouret 28. Arsène Schornoz, Le Mouret 29. André Vonlanthen, Le Mouret 30. Georges Tinguely, Villarepos

Vétérans honoraires - 40 ans d'activité 1. Anton Kaeser, Alterswil

2. Hilaire Cottet, Attalens 3. Oscar Ruffieux, Courtepin 4. Louis Gachet, Bulle

5. Louis Millasson, Châtel-St-Denis 6. Charles Magne, Corpataux 7. Joseph Schüler, Corpataux 8. Joseph Clerc, Corpataux 9. Rémi Clerc, Corpataux 10. Georges Biolley, Corpataux 11. Rodolphe Sahli, Cressier 12. Robert Pasquier, Echarlens 13. Amédée Galley, Ecuvillens 14. Henri Chavaillaz, Ecuvillens 15. Auguste Doutaz, Enney

Concert par la fanfare de Vuisternens-

devant-Romont. ▼

(13)

Assemblée annuelle des musiciens fribourgeois

16. Louis Beaud, Fribourg-Union 17. Alphonse Heimoz, Fribourg-Union 18. Raymond Jemmely, Fribourg-Union 19. Josef Scherwey, Giffers

20. Jean-Marie Borcard, Grandviliard 21. Eugène Borcard, Grandvillard 22. Louis Morand, Le Pâquier 23. Louis Pidoud, Montagny-Cousset 2U. Emile Genoud, Remaufens 25. Louis Vauthey, Remaufens 26. Ernest Vauthey, Remaufens 27. Fernand Bourqui, Romont 28. Ernest Ramuz, Treyvaux 30. Felix Schneuwly, Überstorf

Médaille d'or pour 50 ans d'activité 1. Joseph Bertschy, Belfaux

2. Antonin Bertin, Bulle

3. Germain Chaperon, Châtel-St-Denis U. Léon Rotzetter, Courtion

5. Charles Lottaz, Domdidier 6. Pierre Gremaud, Echarlens

7. Alfred Schorro, Fribourg-Concordia 8. Auguste Pilloud, Remaufens 9. Albin Egger, Heitenried 10. Felix Falk, Heitenried 11. Robert Jungo, St.Ursen 12. Peter Gauch, Tavel 13. Josef Schmutz, Tavel 14-, Pierre Ducry, Domdidier

Photo G. Bd/Fl M. Moritz Schmutz, de Guin, membre de la commission de musique depuis quarante ans.

K*

1

M:

Gaby Marchand

Entre la poésie et l'humour...

Gaby Marchand, jeune chanteur fribour¬

geois bien connu, est parti au début du mois de janvier pour le Canada, afin d'y rencontrer diverses personnalités en vue d'organiser une tournée. Il y retournera cet automne pour participer en même temps à quelques émissions de radio et de télévision. Nous l'avons rencontré pour qu'il nous confie ses impressions..

Pourquoi avez-vous choisi le Canada?

Le Canada est un pays francophone où l'on diffuse les chansons françaises. L'im¬

portant est d'y aller voir, de faire quelque chose. Henri Dès, Michel Buhler et Pierre Dudan (qui est actuellement peut-être plus canadien que suisse) y sont allés avant moi.

J'ai essayé à mon tour de tenter l'expérience et j'ai réussi à me faire entendre.

En Suisse, au début de ma carrière, après

«La grande chance», j'ai senti que la majorité du public ne savait pas ce que je faisais. Les gens aiment avoir des idoles, des gens re¬

présentatifs du canton. J'écris des chansons et je suis fribourgeois, sans pour autant me sentir le porte-drapeau du public fribour¬

geois. D'ailleurs, je n'ai jamais fait une chan¬

son sur Fribourg.

Les Québéquois, pour qui je chanterai, sont eux très nationalistes. Ils font avant tout de la chanson québéquoise, politique, de libération par rapport aux Anglais, ce que l'on ne trouve pas en Suisse.

Mais les Jurassiens?

Ils ont peut-être quelques chansons ré¬

volutionnaires, mais moins que les Québé¬

quois.

Quel sera le programme de votre tournée ?

Je chanterai d'abord à Montréal, au

«Patriote», qui est un théâtre à chansons où passe régulièrement Pauline Julien, puis au Québec. J'ai laissé là-bas mon disque

«La gueule dans les étoiles» pour présenter les poètes suisses. Je pense également chanter des textes en patois gruérien pour parler de cette région. Comme je suis suisse, le public voudra m'identifier. Il voudra savoir d'où je viens, quelles choses me touchent.

Lorsque je fais une tournée au dehors du canton, j'explique dans quel contexte j'écris mes chansons.

Cela correspond alors à un certain besoin d'exotisme?

Oui. Les chansons de la Gruyère peuvent intéresser les autres, car elles parlent d'une région sans concerner les Gruyériens di¬

rectement, par conséquent pas uniquement eux.

Et ensuite? Quels sont vos projets?

Je suis en train de réunir chaque semaine des enfants de l'école des Neigles pour former un chœur. Nous travaillerons des chansons soit composées par moi, soit par les enfants eux-mêmes, ou des comptines de Jean Cuttat, Vio Martin ou Jacques Urbin, que j'ai mises en musique. J'ai déjà fait des émissions de télévision avec des enfants et j'envisage un album illustré par eux, avec leurs textes. Je prépa¬

rerai peut-être un disque sur la Gruyère et un autre avec des textes de René Fallet (l'auteur de «Paris au mois d'août») qui, à partir de son roman «Comment fais-tu l'a¬

mour, Cerise?» a écrit un recueil «Dix- neuf poèmes pour Cerise», et peut-être un autre sur les poètes suisses.

En résumé beaucoup de travail?

Oui et malgré certains ennuis, je continue un combat, car je n'ai jamais visé le vedet¬

tariat. Ma vie est une sorte de courbe qui monte lentement, mais sûrement.

Propos recueillis par F.J.

Châtonnaye Noces de rubis

M. et Mme Louis Conus- Monney ont fêté récemment leurs quarante ans de mariage dans la joie de leur famille. Ils furent complimentés par leurs enfants et leurs petits-enfants.

A son tour, Fribourg-lllustré adresse à ce couple sympathique, ses félicitations et ses vœux de santé et de bonheur.

Mérite sportif fribourgeois 1974

De droite à gauche, Michel Kuhn, Marie-Berthe

Guisolan, Martin Jaggi, Daniel Bongard.

(14)

Des fiançailles

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(15)

Des fiançailles

AU MARIAGE

MARIAGE

Union de deux êtres humains de sexe opposé et consécration sociale de cette union, légiti¬

mant sa descendance et inté¬

grant le couple dans la vie de la communauté.

Aspect ethnologique

Cette notion de couple (mo¬

nogamie), qui nous paraît insé¬

parable de l'idée de mariage, n'exclut pas, dans nombre de sociétés, l'association matrimo¬

niale de plus de deux sujets (polygamie). Dans ce cas, il s'agit généralement de plusieurs femmes (polygynie admise par le Coran). Mais l'inverse (poly¬

andrie) a pu se produire: au Tibet, dans le sud de l'Inde ou aux îles Marquises, par exem¬

ple. Enfin, on connaît des ma¬

riages en groupe, notamment dans la région himalayenne:

plusieurs hommes (générale¬

ment des frères) sont en rela¬

tion sexuelle régulière avec plu¬

sieurs femmes (parfois sœurs entre elles). Il ne s'agit pourtant pas d'un «communisme sexuel», car les droits et les devoirs de tous ces conjoints envers tels

ou tels d'entre eux, comme en¬

vers les enfants sont nettement définis.

Dans toutes les sociétés, il est évident que le mariage, sous quelque forme que ce soit, peut ne pas correspondre à toutes les relations sexuelles de quicon¬

que est marié. On ne peut donc le définir que par rapport à la progéniture. Son but universel est en effet de créer un centre stable qui permette d'identifier socialement les enfants, de les nourrir et de les élever jusqu'à l'âge adulte. Le mariage est donc caractérisé aussi par le lieu où les participants devront vivre. Plu¬

sieurs cas sont possibles. En Europe, les adolescents vivent, en général, chez leurs parents respectifs (famille nucléaire), et le mariage suscite la constitu¬

tion d'un nouveau domicile. Au Moyen-Age, et chez beaucoup de peuples, les nouveaux mariés continuaient à vivre en com¬

munauté familiale dans la mai¬

son et sous l'autorité de l'ancê¬

tre commun, masculin (patriar¬

cat) ou féminin (matriarcat);

c'est la «grande famille», ou famille étendue. Enfin, chez beaucoup de peuples d'Afrique,

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