• Aucun résultat trouvé

Séminaire Équations aux dérivées partielles – École Polytechnique

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2023

Partager "Séminaire Équations aux dérivées partielles – École Polytechnique"

Copied!
17
0
0

Texte intégral

(1)

partielles – École Polytechnique

K. T AIRA

Sur les problèmes aux limites non-coercifs pour le laplacien

Séminaire Équations aux dérivées partielles (Polytechnique) (1976-1977), exp. no11, p. 1-14

<http://www.numdam.org/item?id=SEDP_1976-1977____A10_0>

© Séminaire Équations aux dérivées partielles (Polytechnique) (École Polytechnique), 1976-1977, tous droits réservés.

L’accès aux archives du séminaire Équations aux dérivées partielles (http://sedp.cedram.org) im- plique l’accord avec les conditions générales d’utilisation (http://www.numdam.org/conditions).

Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d’une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente mention de copyright.

Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques

http://www.numdam.org/

(2)

SEMINAIRE GOULAOUIC-SCHWARTZ 1976-1977

SUR LES PROBLEMES AUX LIMITES

NON-COERCIFS

POUR LE

LAPLACIEN

par K. TAIRA CENTRE DE

MATHÉMATIQUES

PIATEAU DE PALAISEAU 91128 PALAISEAU CEDEX

Téléphone ~ Poste N-

Télex ECOLEX 691 596 F

Exposé n°

XI 11 Janvier 1977

(3)
(4)

Dans cet

exposé

nous étudierons les résolvantes et les

spectres

de

problèmes

aux limites non-coercifs pour le

laplacien

et

donnerons un

exemple

de

semi-groupes analytiques

et un de

semi-groupes

de distributions. Nous pouvons aussi donner un

exemple

de

semi-groupes

de classe

(C ) (voir’(13), Corollary 1). Grâce à

la théorie des semi-

o

groupes, on

peut

donc

appliquer

ces résultats aux

problèmes

mixtes

pour

l’équation

de la chaleur ou bien aux

problèmes

mixtes

auto-adjoints

pour

l’équation

des ondes

(voir

par

exemple (11)).

En utilisant le noyau de Poisson et le noyau de Green du

problème

de Dirichlet, on

ramène

l’étude de ces

problèmes

aux limites

à

celle

d’opérateurs pseudo-différentiels à paramètre complexe,

sur

le bord. Pour étudier ces

opérateurs pseudo-différentiels,

nous

introduisons une variante d’une méthode de

Agmon

et

Nirenberg (voir (fi)) qui

nous

permet

d’utiliser un résultat de Melin

(10)

ou un

résultat de

Trèves (16).

Utilisant aussi une forme

originale

d’une méthode de

Agmon

et

Nirenberg (voir (1), (2), (9)),

on

peut

obtenir

des

théorèmes

de

régularité,

d’existence et d’unicité des solutions des

problèmes

aux limites

non-homogènes

et

puis quelques

résultats sur

la distribution

angulaire

et

asymptotique

des valeurs propres, sur les estimations des résolvantes et sur le

développement

en fonctions

propres.

Cet

exposé

est un résumé de

(12), (13)

et

(14).

(5)

~

1. INTRODUCTION.

Soi t

J1

un domaine born é d’un espace euclidien

Rn , JL

étant

une

variété compacte

à

bord r’

de classe

C 00 ,

de dimension n.

Le

problème

aux limites oue l’on

considère

ici est de la forme suivante:

où h

est un nomble

complexe,

+

3

a et b sont des fonctions à valeurs

réelles

et

C ’0

sur

r )

n est une normale unitaire extérieure à

F

et

01..

est un

champ

de vecteurs sur

p

On introduit un

opérateur linéaire non-borné JT.

de

L2( JL )

dans

lui-même

de la

manière

suivante

a)

Le domaine de définition de

Dans le cas

c rcif, c’est à-dire,

dans le cas la fonction

a ne s’annule pas sur

r,

les

résultats

suivants sont connus

(voir

(1), (’) :

0) L’opérateur

1 )

Le

spectre

de

(R

est discret et les valeurs propres sont de

multidlicité finie.

3)

Pour tout

£

&#x3E;

0,

il existe une constante 0

dépendant de E

telle que l’ensemble résolvant contienne

~~

Remarquons

oue, °°Ur tout u

e L 2 vérifiant .6 u é L 2 ( ),

on

peut

définir

à3

u dans

H- 3/2 (voir

par

exemple (7) , Chap. I, théorème

3.2).

(6)

l’ ensemble

. .

a : r ? r et _ - et

l’ensemble

t À = re’o

: _

r( é )

et

6 2-

et

que la

-1

résolvante

(À l -

satisfasse à l’ e stimation:

Go ( E)

est une constante

positive dépendant de ~ .

En

particulier,

il y a seulement un nombre fini des valeurs propres en dehors du secteur

t ; 1 arg À 1 ~ .

3)

L’ axe

positif

est une direction de condensation des valeurs propres,

c’est-à-dire,

il y a un nombre infini des valeurs propres

près

de l’axe

eo sitif .

4 )

Les fonctions propre s

généralisées engendrent 1 e spac e L

5)

On a la formule suivante pour le

comportement asymptotique

des valeurs propres :

lorsoue t tend vers

+00 ,

on

rédète chaque

valeur propre

ae j

de

J

fl

conformément a sa

multiplicité

et est le volume de

JL .

L’o-pérateur -P engendre

un

semi-groupe analytique U(z)

dans le secteur

i z

= t + is :

z~ 0, larg z 1 ~}

pour tout

0

TT/2

tel nue

e

au

~o

et

cu~

sont des

constantes Dositives

dépendant due (voir

par

exemple (8)).

(7)

ç / / /

S

2 . ENONCE DES RESULTATS .

On étudie le cas

non-coercif, c’est-à-dire,

le cas

la fonction a s’ annule aux

points de ) . Rappelons

que si a

change

de

signe

sur

~’ ,

le

problème (1f)

n’est pas

uniquement

résolu en

général (voir

par

exemple ( 5~ , (15)).

On suppose alors que la fonction a ne

change

pas de

signe

sur

r Il

,

Nous avons les

théorèmes

suivants.

Théorème

1 : On suppose oue

(B)

il existe une constante C &#x3E; 0 telle que

(x, 0 ) = (x~ ,x~ ,

...

,xn-1 ’ J 1 ’ ! ~ ’

...

,:r n-1 )

sont des coordonnées locales du

fibre cotangent

et

(1 ~

i

___ n-1 ~

est une

composante

du

champ

de

vecteurs o( sur r;

On a alors:

0)’ l’opérateur 11l : L J1 &#x3E;

2013~ est fermé et

~ ( 01. )

1)

voir le

résultat 1)

mentionné ci-dessus.

Remarque 1 : Utilisant le

principe

du maxhmun au

bord

en

peut démontrer

Que, pour il

existe

une résolvante

(AI - 61.) -1

de

, .

Théorème 5 :

On suppose que

(A) a (x)

0 sur

T~ ;

(B) ’

il existe un

champ

de

vecteurs y

sur

r

tel que

(8)

On a alors les ré sultats

0) - l~)

mentionné s ci-dessus.

En

plus

des conditions

(A) , ~B) ~

et

(C ) ,

on suppose que

(D)

div

Y(x)

= 0 sur

r,

où est la

divergence

du

champ

de vecteurs

Y sur 7

par

rapport

à la

métrique

riemannienne

de ~’

induite par la mé-tricue

naturelle de

Rn.

On a alors le

résultat 5)

mentionné ci-dessus.

Remarque 2 : Sous les conditions

~A), ~B)’

et

~C), l’opérateur - al engendre

le

même semi-groupe analytique

que celui

mentionné

dans

4v

Remaraue 0.

Théorème :

On suppose que

(A)’ a(x) 2~~:

0 sur

~’

et l’ensemble

a(x)

=

0

est une

sous-variété non-singulière de ’

de dimension

(n - 2) ; (B)"

le

champ

de vecteurs

c~

est

transversal à r 0 ’ et,

le

long

de la courbe

intégrale x( t,xo)

de

c~ passant

par

Xo

E

0

ouand

t = 0,

la fonction t 20132013~

a(x(t,x ))

a un zéro d’ordre 2k

à t = 0.

On a alors:

0 n l’opérateur 01521 : Lz i ~ ~

20132013~

L2 (A)

est fermé et

£ ( ()1 ) C ( a ), 1 ( 1

+

~k ) ~ 1 )

voir le rn’sutat

1 )

mentionné

ci-dessus ;

?1 ’

oour

09

il existe une constante

E ) &#x3E;

0 d’nendant

de £

telle oue l’ensemble résolvant contienne

l’ensemble

nue la résolvante

(Jl

satisfasse à l ’estimation:

(9)

C1( E)

est une constante

positive dépendant de E ; en particulier,

~ 1 y a seulement un nombre fini des valeurs propres en dehors du secteur

( 1’ :

:

1 arg À 1 e) ;

3)

voir le

résultat 3)

mentionné

ci-dessus ; l~j

voir le

résultat 4)

mentionné ci-dessus.

Remarque 3 : Lo-,oérateur - 01 engendre

un

semi-groupe

de distributions exmonentiel

analytique U(z)

dans le secteur

(

z = t + is :

z / 0,

1

arg

z 1

pour tout 0

S «W/2

tel -

e ú) 1 t t ( _ ’ 1 ’/2 ,

M 1

et

Gu 1

sont des constantes

positives dépendant de § (voir (4)).

Remarouons que, comme 0

S 1,

le

sem i -groupe U(z)

est

non-bornp en t = 0.

(10)

le /

3. IDEE DES DEMONSTRATIONS.

Soit

À = re ie

avec r &#x3E; 0 et 0

6 2 -M .

Pour tout

f e

Hs-2 ( ,rL ),

on a alors une seule solution v dans du

mroblème:

On définit

l’opérateur

de Green

~

De

même.,

pour tout

T

e

HS-1/2( f’ ),

on a une seule solution

v dans du

problème:

dans

sur

On définit

i’opérateur

de Poisson

On en déduit alors que u E

Ht

avec t s est une

solution

du

problème (~) :

si et seulement si

à )

est une solution du

problème:

et donc Que U E est une solution du

problème (*)

si et

seulement si

~

~

H ( f7 )

est une solution de

1 équation :

On se

ramène

alors à l’étude de l’

’oprateur 0 7 %, )

sur

(11)

le

bord r .

Il est connu que

T( ; )

=

13p( À)

est un onérateur

pseudo-différentiel

du

premier

ordre sur

~ . Remarquons

que si u est

l’unique

solution du

problème (’~~,

u

peut

s’écrire de la

manière

suivante :

Les

comportements

des

opérateurs ) ( h )

et

’P ( À) lorsque

1 k 1

= r tend vers + M sont connus

(voir (3)).

Nous allons alors

étudier

le

comdortement

de

l’opérateur T( §l ) lorsque )At l

= r

tend vers + 00 . Pour

cela,

nous utilisons une variante d’une méthode

de

Agmon

et

Nirenberg

introduite par

Fujiwara (6), puis développée

par

l’auteur dans

(12), (13)

et

(1~.).

Soit S

le.cercle unité,

y E S.

Ramarqunns

d’abord que, pour

0 Ù 2]T l’opérateur ( A - eie

est

elliptique

sur

Pour

tout

~

H "# ( 7 X S),

on a alors une seule

solution ’w’-’

dans

X

S)

du

problème :

dans

sur

On définit

l’opérateur

de

Poisson ( à ) :

X

S)

2013&#x3E;

s

X

S)

par

Rappelons

que

~O )-==: B ~(9)

est un onôrateur

pseudo-différentiel

du

premier

ordre

sur

X S.

-

La relation entre les

opérateurs T( n &#x3E;

et

T( 6 )

est

donnée par le

. / /B IJ

Lemme 1 :

Soit

=

e119

avec

1 é Z

et

0 e STT.

Alors:

(12)

?( 6 )~

et

T( ~, )

sont les

adj oints

formels de

$i( 8 )

et

T( ~/ ) respectivement.

La

démonstration

du lemme est

évidente, compte

tenu de la

f ormule suivante:

La relation entre les normes

pour t

&#x3E;

0

(quand M = r

ou bien M=

J1)

est donnée par

Soit l-

E Z et t ? 0. Il existe ilne constante

C2&#x3E;

0

dtnendant de t telle que

où R =

f~

ou bien M==

JL .

Pour

simplifier,

nous

esquissons

la démonstration du

point

»’

du

théorème

3. Pour

plus ample s détails,

voir

(12), (13)

et

(14).

Esquisse de la

démonstration

du

théorème 1 : i) D’après

les

N

conditions

(A)’

et

(B)" ,

on voit d’abord que les

opérateurs T( 9 )

et

T( 0 )~’

sont

sous-elliptiques sur

X S On a

alors la

Proposition 1 :

Soit

o 8 2fi

et s

&#x3E;_ 3/?.

Alors:

(13)

C (6 )

et

C 3(e )*

sont des constantes

positives dépendant

de

a

et s.

-1,

Appliauant

l’estimation

(I) (respectivement (I) )

à

"’"V

avec

1. E Z (respectivement r =

avec ’

E C

’0,(r»

et utilisant le lemme 1 et le lemme ?

avec M

= r ,

on obtient la

Proposition

2 : Soit ~

= avec

JEZ

et

et s ~

3/2.

il existe une constante

r2 (à) &#x3E;

0

dépendant

de

0

et s telle que si

1 X B

=

1.:2::&#x3E; r2(t»,

on ait:

(14)

c 4

et C

,( 0 )*

sont des constantes

positives dépendant

de

E

et s.

il

rp’sulte

de

(i)

et

(i)

que si

7

=

2 e

avec

et 0

6 21r

et si

1 2 r~ ( 8 ) ,

pour tout f E

(u’L)~

il existe une seule solution u dans

H s-1+ à (JL)

du

problème

(*),

d’où

l’opérateur (x. - (J1 ) :

2013~

L2

est à indice

de 0.

D’aorès

la

perturbation compactep

on en déduit alors que, pour tout

X re

avec r ~ 0 et 0

B 2- U e l’opérateur

( - ( ) : 12.( JL )

2013

L2( est à

indice de 0.

/

ii)

De l’estimation

(I),

on déduit en outre le

Soit

0 e 2fi

et s ’&#x3E; 2. Il existe une constante

C5( a) ~&#x3E;

0

dépendant

de

0

et s telle que, pour tout

1r E

X

S)

vérifiant

( 4à - e i e d 2. la S)

et

-5 u 0,

on ait :

Nous utilisons une forme

originale

d’une méthode de

Agmon

et

Mirenberg (voir (l), (2), (9)).

Soit

u~ vérifiant

u E U. s - 2(-JI )

et

15

u = 0. On pose

s’annule

identiquement

dans un

voisinage

(15)

Appliquant

l’estimation

(II)

à

U =

u

(¿9

et utilisant le lemme 2 avec V = on obtient la

Proposition 3 :

Soit re i e

avec r 0 et 0 e

2]T et

r &#x3E; 7.. il existe une constante

r 3 ( e) &#x3E;

0

dépendant

de

e

et s

telle eue si

1 À 1

= r &#x3E;

r3(9)1

pour tout u

~ (J~)

vérifiant

et

?6 u = 0,

on ait:

ou (9 )

est une constante

positive dépendant de f)

et s.

Dans la

1ère étape,

nous avons dér.1ontré oue, pour tout

~À. =

8

avec r

&#x3E; _

0 et C

? t , l’opérateur (&#x3E;L - (H. ) :

o

L (uL)

est d’indice 0. On déduit donc de l’ estimation

avec s = 2. oue si

1 À B =

r ? r

( 6 ) , À appartient

a l’ ensemble

résolvant

de

6-~,

et la

résolvante ( /B.1 - tJl )-1

de

CI

sat4-sfait Il

l’estimation:

est une constante positive

dépendant de 9

et s.

Remarquons

rue, Dour chaoue s &#x3E;

2,

les constantes

r3 (e)

et

C7(é) ) dépendent

continuement

de

e.

Nous pouvons alors en déduire le

point

t du

théorème

3.

(16)

3TBLIOGRP.?HTE

(1)

S.

Agmon :

On the

eigenfunctions

and on the

eigenvalues

of

general

elliptic

boundary

value

problems.

Comm. Pure

Appl. Math.,

15

(1962),

119-147.

(2) S. Agmon :

Lectures on

elliptic boundary

value

problems.

Van

Nostrand Mathematical

Studies, Princeton, 1965.

(3)

M.S.

Agranovi010D

et M.I.

Visik : Elliptic problems

with a

parameter

and

parabolic problems

of

general type.

Russian Math.

Surveys,

19

(1964), 53-157.

(4)

G. Da Prato et U. Mosco :

Regolarizzazione

dei

semigruppi

distribuzioni analitici. Ann. Sc. Norm.

Sup. Pisa,

19

(1965),

563-576.

(5)

Ju. V.

Egorov

et V.A. Kondrat’ev : The

oblique

derivative

problem.

Math. USSR

Sb., 7 (1969), 139-169.

(6)

D.

Fujiwara :

On some

homogeneous boundary

value

problems

bounded

below. J. Fac. Sci. Univ.

Tokyo,

Sec. IA 17

(1970),

123-152.

(7)

G. Grubb : A characterization of the non-local

boundary

value

problems associated with an elliptic

operator. Ann.

Sc. Norm.

Sup.

Pisa,

22

(1968), 425-513.

(8)

S.G.

Kre~n : Équations

aux dérivées linéaires dans un espace de Panach.

Moscou, 1967 (en russe).

(9)

J.L. Lions et 5.

Magenes : Problèmes

aux limites

non-homogènes

et

applications. Vol. 2, Paris, 1968.

(10)

A. Melin : Lover bounds for

pseudo-differential operators.

Ark.

för

Mat.,

9

(1971),

117-140.

(11)

S. Mizohata : Théorie des équations aux dérivées

partielles.

Iwanami, Tokyo, 1965 (en japonais).

(12)

K. Taira : On some

degenerate oblique

derivative problems. J.

Fac. Sci. Univ.

Tokyo,

Sec. IA 23

(1976), 259-287.

(17)

(13)

K. Taira : On some non-coercive

boundary

value

problems

for the

Laplacian.

J. Fac. Sci. Univ.

Tokyo,

Sec. IA 23

(1976), 343-367.

(14)

K. Taira : On a

degenerate oblique

derivative

problem

of

Egorov

and Kondrat’ev. J. Fac. Sci. Univ.

Tokyo,

Sec. IA

(1976), 383-391.

(15)

K. Taira : On a

degenerate

oblique derivative

problem

with

interior

boundary

conditions. Proc.

Japan Acad.,

52

(1976), 484-487.

(16)

F. Treves : A new method of

proof

of the

subelliptic

estimates.

Comm. Pure

Appl. Math., 24 (1971), 71-115.

Références

Documents relatifs

the wave fronts, nonlinear transport equations along rays yield nonlinear geometric optics optics approximations valid gloablly in time (see [Go]).. Formulating the

Evans, Classical solutions of fully nonlinear convex second order elliptic equa-. tions,

of the Green function hold. Such estimates were obtained in [M-S] for uniformly elliptic operators on unimodular Lie groups and in [Kor 1,2] on general manifolds

of a (possibly new) proof of the classical Wiener lemma, which makes no use of Fourier transform or of abstract theory, and which might apply to other classes of

© Séminaire Équations aux dérivées partielles (Polytechnique) (École Polytechnique), 1970-1971, tous droits réservés.. L’accès aux archives du séminaire Équations aux

la construction du paragraphe 3) que toutes les ondelettes que l’on obtient à partir des analyses graduées en fonctions splines ont une

RUSSELL dans (Ru~, où il est prouvé qu’un résultat de contrôle exact pour l’équation des ondes entraîne le contrôle exact de l’équation de.. la chaleur ; or le

Solutions de viscosité des équations de Hamilton-Jacobi du premier ordre et applications.. Séminaire Équations aux dérivées partielles (Polytechnique)