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L'entreprise dans la crise italienne

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Academic year: 2022

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L'entreprise

dans la crise italienne

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Dans la même collection

L e b i l a n s o c i a l d e l ' e n t r e p r i s e , p a r A l a i n C h e v a l i e r , 2e é d i t i o n , 2 e t i r a g e , 1 9 7 9 , 1 6 8 p a g e s , 5 s c h é m a s .

D y n a m i q u e d e l ' a u t o - r é f o r m e d e l ' e n t r e p r i s e , c o o r d o n n a t e u r s F. D a l l e e t N. T h i é r y , 1 9 7 6 , 1 6 0 p a g e s , 2 s c h é m a s .

P o l i t i q u e i n d u s t r i e l l e et s t r a t é g i e d ' e n t r e p r i s e , J o u r n é e s d ' é t u d e s d e s 2 0 - 2 1 m a i 1 9 7 6 , 1 9 7 7 , 1 9 2 p a g e s , 11 s c h é m a s .

L a r e s p o n s a b i l i t é p é n a l e d u f a i t d e l ' e n t r e p r i s e , J o u r n é e s d ' é t u d e s d e s 1 4 - 1 5 o c t o b r e 1 9 7 6 , 1 9 7 7 , 1 9 2 p a g e s .

C o m p é t i t i o n i n t e r n a t i o n a l e et r e d é p l o i e m e n t g é o g r a p h i q u e , J o u r n é e s d ' é t u d e s d e s 28- 2 9 a v r i l 1 9 7 7 , 1 9 7 8 , 1 4 4 p a g e s .

L ' i n v e s t i s s e m e n t et le p r o g r è s , p a r J . P l a s s a r d e t J . - M . B o u s s e m a r t , 1 9 7 8 , 1 6 0 p a g e s , 2 9 f i g u r e s .

A u t o g e s t i o n et c a p i t a l i s m e , p a r H e n r i L e p a g e , 1 9 7 8 , 3 6 0 p a g e s , 2 2 s c h é m a s .

R e l a t i o n s e n t r e E t a t et e n t r e p r i s e s p r i v é e s d a n s l a C E E . I n f o r m a t i o n e t c o n t r ô l e , J o u r n é e s d ' é t u d e s d e s 1 2 - 1 3 j a n v i e r 1 9 7 8 , 1 9 7 9 , 2 0 8 p a g e s .

A n a l y s e s o c i a l e d e l a ville, p a r H . R e i c h e r t e t J . - D . R e m o n d , 1 9 8 0 , 2 3 2 p a g e s . S t r a t é g i e s d e l ' e n t r e p r i s e c o m p é t i t i v e , p a r A . B i e n a y m é , 1 9 8 1 , 1 8 0 p a g e s . L ' h o r a i r e m o d u l a i r e , p a r J . L . M i c h a u , 1 9 8 1 , 1 7 6 p a g e s , 3 3 f i g u r e s .

M u l t i n a t i o n a l e s et d é v e l o p p e m e n t , E n t r e p r i s e s é t r a n g è r e s d a n s les p a y s e n d é v e l o p - p e m e n t : u n e é t u d e d u C o m m i t t e e f o r E c o n o m i c D e v e l o p m e n t ( N e w Y o r k ) , p a r I. F r a n k , 2 1 6 p a g e s .

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I n s t i t u t de l'Entreprise

L ' e n t r e p r i s e d a n s l a c r i s e

i t a l i e n n e

par

Jacquelinel Ternier-David

M A S S O N

Paris New York Barcelone Milan Mexico Rio de Janeiro

1982

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Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par tous procédés réservés pour tous pays.

La loi du 11 mars 1957 n'autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l'article 41, d'une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » et, d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d'exemple et d'illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale, ou partielle, faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite » (alinéa 1 de l'article 40).

Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal

© Masson, Paris, 1981.

ISBN : 2-225-75988-X ISSN : 0338-1463

MASSON S.A. 120, Bd Saint-Germain, 75280 Paris Cedex 06

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Introduction

L'entreprise italienne est prise au milieu d'un champ de tensions diverses et parfois contradictoires. D'un côté, ses objectifs propres lui commandent de produire et d'être rentable, de l'autre ceux dont elle est le cadre de vie, souhaitent en faire un lieu où leur personnalité s'épanouisse.

Certes, tous les pays connaissent ce jeu de forces inconciliables qui font que les relations qui unissent les protagonistes de l'Entreprise - les relations industrielles - sont un facteur essentiel de la vie économique d'un pays. Ce qui fait la spécificité de l'Italie, et pour tout dire son intérêt, c'est que des relations industrielles d'un genre nouveau aient pu s'y établir.

L'Italie de l'après-guerre, l'Italie du Miracle, s'émerveille elle-même de son propre développement. Les grandes entreprises qui en sont le moteur, la Fiat notamment, deviennent vite les symboles de la modernité. Aussi le grand mouvement de contestation qui, à la fin des années soixante, ébranle le monde occidental, la touche-t-il particulièrement. Un nouveau pouvoir s'établit : le pouvoir syndical qui devient plus puissant qu'ailleurs et impose au travers de ses normes, une certaine image du travail ouvrier, faite d'égalité et de responsabilité. De nouvelles relations s'établissent et, sous l'effet de la crise, tendent à évoluer vers une sorte de cogestion du conflit.

Mais la grande entreprise n'est pas seule. La crise économique et sociale des années soixante-dix qui frappe profondément le pays, stimule l'esprit, l'imagination d'entreprise. Par la décentralisation, la création de coopératives, l'organisation nouvelle de petites et moyennes entreprises, le dynamisme industriel fait éclore de nouvelles vitalités. Là encore, des relations industriel- les d'un autre type se mettent en place : de petites unités permettent des consensus aux motivations parfois différentes, mais très souvent porteurs de solidarité ou d'efficacité.

L'Italie serait-elle donc un laboratoire pour les entreprises de ces temps difficiles ? Seule la prudence interdit de l'affirmer. Vue de France, l'Italie est un pays à la fois proche et différent : proche par sa sociabilité et son histoire, différent par son immaturité administrative et son génie des solutions inven- tives. Il donne à apprendre à qui veut l'examiner sans préjugé et avec curiosité. Ce livre n'a pas d'autre but que d'être ce panorama de solutions humaines de crises industrielles.

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I

A dix ans de l'automne chaud

Mythes et réalité

de l'aventure italienne

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A dix ans des événements qui ont bouleversé une grande partie des pays occidentaux et de la vague de contestation qui s'est répandue sur l'Europe et a remis en cause des valeurs apparemment inébranlables, un grand nombre d'études ont été consacrées à ces fauteurs de trouble, à cette jeunesse contes- tataire, issue du « baby-boom » qui refusait en bloc, la société de consomma- tion, l'aliénation du travail, l'autorité et la hiérarchie, et puisait bien souvent dans une idéologie de gauche des éléments qui lui permettaient d'envisager la transformation de la société. Si ce type d'analyse s'applique assez bien aux événements qui se sont déroulés au sein des universités et dont le Mai français est un parfait exemple, il ne suffit pas à expliquer le cas italien où les événements s'installèrent dans une plus longue durée et se déroulèrent suivant un tout autre ordre.

En effet, à la différence de la France où l'ensemble du mouvement de contestation prit naissance en milieu étudiant avant d'être repris en charge par les forces politiques et syndicales, c'est de l'Entreprise que partit le mouvement italien qui en tira du même coup, un caractère moins idéologique et culturel et beaucoup plus politique et syndical.

« L'automne 69 en Italie est sans nul doute, l'ouverture d'un cycle plus dur d'insubordination ouvrière que l'Occident ait jamais connu depuis la fin de la guerre. La reprise de la combativité ouvrière est essentiellement due à l'émer- gence, en opposition à la figure du vieil ouvrier de métier, d'un nouveau sujet politique, l'ouvrier masse, qui est le véritable protagoniste de l'automne chaud et des luttes successives. Son profil est rapidement défini : il est jeune, méridional, déraciné et non qualifié, attaché à la chaîne de montage (Aldo Forbice, p. 11, n. 6) ».

Cette définition d'une « nouvelle classe de travailleurs » a souvent été avancée pour expliquer à la fois l'ampleur et la spontanéité du mouvement de contestation qui avait éclaté certes un peu partout, mais surtout dans la grande entreprise. Car l'automne chaud est aussi le résultat d'un immense phénomène de concentration qui s'est opéré en Italie du Nord et en particulier dans le secteur de la mécanique et de l'électromécanique. A la fin des années soixante, la Fiat, à elle seule, occupait 43 % des ouvriers de ce secteur (Note e informazioni, CRES, n° 2, 1970), et la seule usine de Mirafiori employait plus de 60 000 travailleurs. Cette unité de production « monstrueuse », hors échelle humaine, et fortement remise en cause aujourd'hui pour son ingouver- nabilité et son incontrôlabilité, a été bien évidemment, l'un des foyers princi- paux de la contestation ouvrière. La « citta-fabbrica », la ville-usine, comme se sont complus à la qualifier certains journalistes italiens, monde à la fois clos sur lui-même et débordant sur la ville, peut permettre d'expliquer aujourd'hui un grand nombre des secousses qui ont parcouru le monde industriel dans les dix dernières années.

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Mais, peut-on réellement faire de cette « nouvelle classe de travailleurs, les protagonistes des conflits des années 68-69. En étudiant les événements (cf.

Pizzorno..., p. 8 sq.), on se rend compte, en fait, que bien souvent les luttes furent déclenchées par des ouvriers qualifiés qui possédaient déjà une expé- rience syndicale ou politique. Les jeunes méridionaux, eux, le plus souvent d'origine rurale, et d'émigration récente, n'avaient aucune familiarité avec la tradition industrielle et syndicale. Malgré tout, à la différence des générations précédentes qui gardaient en arrivant un comportement beaucoup plus indivi- dualiste, leur plus grand nombre et leur niveau de scolarité bien supérieur, leur donnaient une plus grande cohésion et faisaient peut-être apparaître ce qu'Alessandro Pizzorno appelle une « nouvelle identité collective ». Cette cons- cience d'une unité s'est formée certes, dans les campagnes revendicatives menées en commun, mais elle en a été aussi parfois le point de départ. La présence constante sur le lieu de travail, la « centralità della fabbrica » qui se manifestait par des grèves, des cortèges internes, l'occupation des locaux, toutes formes d'« assembléarisme », de participation à des réunions, d'actions revendicatives diverses, etc., donnaient à l'individu un sentiment d'apparte- nance au groupe et la sensation de détenir une nouvelle forme de pouvoir tant au moment du déclenchement d'un conflit qu'à celui de la conduite des négociations. Et d'ailleurs - conséquence logique de cette cohésion de groupe - , des grèves se poursuivaient alors même que des négociations étaient engagées entre les directions et les représentants des travailleurs.

Un des faits les plus marquants du cas italien, est la place importante que réussissent à prendre dans le pays les forces syndicales. En donnant une homogénéité au mouvement, en s'appuyant sur l'enthousiasme collectif, en uniformisant les revendications et en saisissant à la fois les occasions que leur offraient le vide politique et l'attitude purement défensive des milieux patro- naux, ils devinrent les principaux médiateurs des conflits entre partenaires sociaux.

Alors qu'en France les accords de Grenelle aboutirent surtout à une forte augmentation des salaires, en Italie, l'ampleur et l'unité du mouvement conduit par les syndicats, aboutirent à une transformation complète des structures et des institutions existantes, et entraînèrent une modification complète du système des relations industrielles.

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Chapitre 1

Les signes avant-coureurs de la crise

1. L ' h é r i t a g e d e s a n n é e s s o i x a n t e

L'image de l'entreprise

Les années du miracle économique avaient transformé le visage de l'Italie.

L'Italie du Nord surtout, avait connu le développement d'une industrie mo- derne grâce à un taux d'expansion rapide (plus de 8 % par an de 1953 à 1958), accompagné de l'accroissement des investissements, de la disponibilité d'une main-d'œuvre abondante et bon marché et d'une production tournée essentiellement vers l'exportation. Surtout, cette expansion résultait des forts accroissements de la productivité et des profits, en bénéficiant d'une période de stabilité monétaire et salariale. De 1953 à 1962, la production doubla dans le secteur mécanique et textile et tripla dans le secteur de la chimie, de la construction et des moyens de transport.

Or ceci ne fut possible que grâce à un contexte social particulier où les relations industrielles comptaient peu. Pour illustrer mon propos, je prendrai l'exemple de l'entreprise Marzotto. Elle correspond assez bien à l'image de l'entreprise telle qu'on la rencontrait dans les années soixante, régnant sur une région entière et drainant la quasi totalité de la main-d'œuvre disponible.

C'est ce genre d'entreprise qui explique l'explosion de mécontentement des années 1968-1970 et le raidissement patronal face aux nouvelles revendica- tions (G. Bolaffi, p. 117-134).

L'usine textile Marzotto fut fondée en 1912 par Gaetano Marzotto dans la commune de Valdagno, une vallée de la Vénétie où l'existence d'une rivière, l'Agno, confluent de plusieurs petits torrents descendant de la montagne, rendait possible l'implantation d'une industrie lainière. Valdagno, simple bourg rural à l'origine, était en 1967, une ville active de près de 30 000 habitants. L'industrie textile occupait très largement la population active puisque près d'un tiers de la population totale y était employée : 5 000 personnes environ travaillaient dans l'industrie lainière et plus de 4 500 étaient occupées dans l'industrie du vêtement et le commerce.

En grandissant l'entreprise Marzotto était devenue une société par actions disposant de plusieurs unités de production un peu partout en Italie. L'usine principale restait pourtant celle de Valdagno où la famille Marzotto bénéficiait

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Sur la loi du statut des travailleurs

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MAZZAMUTO S. e t a l . , I G i o v a n i e il l a v o r o , S i n d a c a t i , m o v i m e n t o g i o v a n i l e , i s t i t u z i o n i e legge 2 8 5 , De D o n a t o , B a r i , 1 9 7 8 .

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