• Aucun résultat trouvé

Angèle Richard et Cyrus Gallant reçoivent I Odre du mérite acadien

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Angèle Richard et Cyrus Gallant reçoivent I Odre du mérite acadien"

Copied!
35
0
0

Texte intégral

(1)

’ ANNÉE LE MERCREDI 8 MAI 1991 30 CENTS

. . . . .

: ; : .

$ . : : .

; ; ; : : : : : : : : : : : ; : : ‘ i i j $ : I i . . ; : , . . : - . - . . : : : . : : ...,.

. . . . . . . . : j j

j

Merci à foutes /es Mamans de la terre à l’occasion de la Fête des Mères.

Lors du banquet de clôture de la réunion annuelle de la SSTA

Angèle Richard et Cyrus Gallant reçoivent I’Odre du mérite acadien

Au centre de la photo, on voit Mme Darlene Arsenault, présidente sortante de la SSTA, avec à sa gauche, Mme Angèle Richard, de Miscouche et à sa droite M. Cyrus J. Gallant diacre. On voit aussi à l'extrême droite le père Chartes Gallant, qui a présenté M. Cyrus Galant, et à l'extrême gauche, Mme Alice Richard, qui a présenté Mme Angèle Richard.

P a r Jacinthe LAFOREST M m e Angèle Richard de Miscouche et M. Cyrus J. Gallant diacre, de Summerside sont les récipiendaires de la médaille de 1’Ordre du mérite acadien, déco- ration décernée annuellement par la Société Saint-Thomas d’Aquin.

Les assises annuelles de la SSTA ayant lieu cette année à Summer- side, ce sont deux personnes de cette région qui ont été choisies, sur recommandation du Comité régional (SSTA) La Belle Alliance.

Mme Angèle Richard a surtout fait sa marque au sein de plusieurs associations, comme l’Association du Musée acadien, 1’Écomusée acadien, le Comité de liturgie de Miscouche, le Mardi gras acadien de Summerside, le Centre d’édu- cation chrétienne, le Festival du homard de Summerside, le Comité régional (SSTA) La Belle Alliance et le groupe Alliance pour la vie.

En plus de toutes ces activités, elle trouve le temps d’enseigner la catéchèse, de garder ses petits-

enfants et de piquer des couvertures pour les pauvres.

Sa langue maternelle française a pour elle beaucoup de valeur et ces deux dernières années, elle a profité des cours d’alphabétisa- tion offerts par la Société Saint- Thomas d’Aquin pour améliorer sa connaissance de la langue française. Elle a été nommée ré- cemment comme représentante de la province au sein de la Fédéra- tion canadienne pour l’alphabé- tisation en français.

En recevant la médaille des

mains de la présidente sortante de la SSTA, Mme Darlene Arsenault, Mme Richard s’est dite très fière de sa culture acadienne. «Si je n’étais pas fière d’être Acadienne, ça reviendrait à dire au bon Dieu qu’il a fait une grosse erreur en me créant Acadienne». Elle s’est dite très heureuse que grâce à la Société Saint-Thomas d’Aquin, ses petits-enfants ont la chance d’aller à l’école en français, chance que ses enfants n’ont pas eue.

(suite en page 5)

(2)

cmnaut$s acadknner.

Pur Jacinthe LAFOREST Apres plus d’un an d’attente, de lobbying et de representations ciblées, la F&ration culturelle de l’Île-du-Prince-Édouard a vu l’aboutissement de l’un des dossiers qui lui tenait à coeur, lors de sa réunion annuelle, vendredi soir dernier à Summerside.

Mme Florence Hardy, presidente du Conseil consultatif des commu- nautés acadiennes, est venue an- noncer que les lignes directrices du

Programme de développement culturel acadien, communément appeléleprogrammede Jean-Louis, avaient et6 acceptées et qu’elles

&aient maintenant en vigueur.

On se souviendra qu’au prin- temps 1990, la Fédération avait pr6senté un memoire à M. Léonce Bernard, dans lequel le president de la Federation, M. Paul D.

Gallant, demandait que des lignes directrices plus précises soient etablies et que le processus d’evaluation des demandes soit

ministre Bernard la consulte prochainement pour nommer la personne.

Le ministère a aussi accepte le concept de I’aideau nkau, en vertu duquel il sera plus facile pour des groupes de pr&enter des spectacles

&ant donné que le risque d’encourir un déficit sera moins grand.

M. Paul D. Gal)ant, président de la Fédération culturelle, s’est dit très heureux que le gouvernement ait accepte «95 pour 100 de ce qu’on a demandé». Les membres de la Fédération se sont parti- culierment réjouis de l’aide au reseau. *

Ordre de mérite,..

(suite de la page 1)

Accédant au diaconat en 1977, M. Cyrus J. Gallant devenait ainsi le premier diacre acadien des Pro- vinces maritimes. M. Gallant exerce efficacement son ministère aux foyers pour personnes âgées Wedgewood et Summerset, à Summerside. Soucieux de donner aux aînés acadiens et acadiennes un peu de vie en français, M. Gallant leur apporte chaque semaine un exemplaire de La Voix acadienne, qu’il leur distribue gratuitement.

Il passe aussi beaucoup de temps à l’hôpital Prince County de Summerside, à la prison et au centre de désintoxication.

On décrit M. Gallant comme «un chef de file des premières heures».

Il a oeuvre comme gérant et secré taire de la Caisse populaire de Saint- Jacques, Baie-Egmont. A ce titre, il donnait le rapport financier en français? une première à l’Île-du- Prince-Edouard.

Au c o u r s de sa carrière dominée dans une large mesure par l’action bénévole, il s’est intéressé à la Coopérative des fermiers acadiens et à l’Exposition agricole de Baie- Egmont et de Mont-Carmel. 11 a été chef et leader du club 4-H et secrétaire de la succursale de la SSTA à Baie-Egmont, avant la création des comités régionaux.

Il a été président et vice-président du Comid régional Summerside- Miscouche, devenu plus tard La Belle Alliance et il a également

occupe le poste de vice-président de la SSTA.

En recevant sa médaille de l’Or- dre du mérite acadien, M. Cyrus J.

Gallant a dit : «C’est vrai que j’en ai fait des choses mais y en d’autres aussi qui en ont faites». Et plus tard il conclut en disant : «Cette médaille va me donner l’élan dont j’ai besoin pour faire encore plus et mieux».

La Sociét Saint-Thomas d’Aquin a donc, une fois encore, su choisir des personnes très dévouées qui, quoique travaillant le plus souvent dans l’ombre, n’en méritent pas moins le respect de tous les Acadiens, comme en fait foi la médaille de l’ordre du mérite acadien qui leur est décernée.*

acres de 1828. Il Comme I l’argent, d’avoine Qui ét;

dire en eC (Handral c’&aient fason de t de Cascun trois ou ql aurait falh aller A che voyage au1 absent de c

A

14

2

*C Nom

Adresse _ Code postal Vt

Tél.: (902) 4

(3)

- ---

IA VOIX ACADIENNE/ LE MERCREDI 8 MAI 199 1

PES

:Iles projets ou services ) et administration des P. 4600, Edifice 301, PC 5T2, seront reçues e. On peut se procurer ismentionnée.

le c&i&re canadienne, I des installations de lace, St. Mary’s District ,abrador)

f9) 772-6066

: Les sous-traitants de platetage en acier),

leurs soumissions au )uve, C.P. 8008, édifice tuve) Al B 3M7 au plus rt aux dispositions du cernant les pratiques rprojetsdeconstruction

‘ate du 7 août 1981.

wmission aux bureaux ohn’s, Gander, Grand I Halifax et Sydney I-Prince-Édouard); de (Nouveau-Brunswick).

)~US basse ni aucune

=

e

Attention

Institut féminin dl 1t.

immuniquez iminin.

nement étails.

POSSIBILITÉ DE FORMATION

PROVINCE DE L’ÎLE-DU-PRINCE-ÉDOUARD PROGRAMME DE RECRUTEMENT D’ÉTUDIANTS EN

SCIENCES POLICIÈRES

On accepte maintenant les demandes de ceux et celles qui s’intéres- sent à poursuivre une carriere,dans le service policier municipal. La Province de l’Île-du-Prince-Edouard prévoit de quatre à six places disponibles dans le cadre du PROGRAMME DE SCIENCES POLICIERES qui devrait débuter en janvier 1992. Le programme aura lieu à la ATLANTIC POLICE ACADEMY, une division du collège Xolland, située à Charlottetown @-P.-É.).

Les candidats devront avoir terminé leur douzième année et suivi des cours connexes au niveau universitaire ou collégial. Une année d’expérience dans un domaine connexe (payée ou bénévole) sera considérée comme un atout. Les candidats doivent posséder un permis de conduire valide et passer des examens médicaux et physiques tels que précisés par la Atlantic Police Academy. On demande des gens tri% motives, qui possèdent de t& bonnes campé- tentes de communication &rite et orale. Les candidats devront signer une autorisation pour permettre la vérification des références et de .&urité.

À

NOTER : Pour être acceptes à la Atlantic Police-Academy, les candidats reçus devront remplir les conditions préalables suivantes : RCR, premiers soins, cours de conduite défensive du Conseil cana- dien de la sécurid, cours de natation de survie de la Croix-Rouge ainsi que des compétences en sauvetage et en dactylographie.

EXIGENCES PARTICULIÈRES : En vertu de la Police Acr (Loi SUT la police) de l’Île-du-Prince-Édouard, un agent de la paix doit être âgé d’au moins 19 ans et être citoyen canadien. Les personnes intéressées peuvent obtenir des formulaires de demande de la Commjssion de la Fonction publique, C.P. 2000, Charlottetown (I.-P.-E.) CIA 7N8 ou en composant le 3684080.

Les demandes pour les formulaires doivent être rques d’ici le 13 mai 1991.

APPEL D’OFFRES

DES SOUMISSIONS CACHETEES, visant les projets ou services énumérés ci-après, adressées au gestionnaire de district, Direction du contrôleur, Travaux publics Canada, 6e étage, Edifice Dominion, 97, rue Queen, C.P. 1268, Charlottetown (île-du-Prince-Édouard) ClA 7M8, seront reçues jusqu’à 15 h à la date limite déterminée.

On peut se procurer les documents de soumission par l’entremise du bureau de distribution des plans, à l’adresse ci-dessus (téléphone : (902) 566-7502).

SERVICE 670703 - TRANSPORTS CANADA Offre permanente, entretien de quai,

Terminus maritime et les quais Holman et Queen, Comté de Prince, iledu-Prince-Édouard.

Acompte : NUL

Date de fermeture : le 22 mai 1991

Pour recevoir l’expose technique, communiquer avec Bill Stanley au (902) 566-7537.

IL EST AUSSI POSSIBLE DE CONSULTER LES DOCUMENTS FOURNIS AUX SOUMISSIONNAIRES A L’ASSOCIATION DE LA CONSTRUCTION D E L’îLE-DU-PRINCE-ÉDOUARD, A

CHARLOTTETOWN (î.-P.-É.).

INSTRUCTIONS

LE MINISTÈRE NE S’ENGAGE A ACCEPTER NI LA PLUS BASSE NI AUCUNE DES SOUMISSIONS.

Conseils sur l’achat

d’un lit

Il vaut parfois lapeinede s’allon- ger au travail, surtout quand il s’agit de choisir un matelas et un sommier. Quelle occasion d’amé- liorer votre confort à longueur de nuits!

Votre lit date de 8 à 10 ans? 11

est temps de le remplacer. Un nouveau lit vous procure un meilleur sommeil: au réveil, vous êtes frais et dispos et débor- dant d’énergie, selon un commu- niqué.

En outre, la technologie moderne offre au consommateur de nou-

veaux matériaux de rembourrage moelleux, de même que des tissus de recouvrement confortables et solides; ainsi, les ensembles matelas-sommier allient confort et support.

L’achat d’un nouveau lit, c’est simple comme bonne nuit. Voici quelques conseils du Better Sleep Council, organisme à but non lucratif qui renseigne le public sur le sommeil et les produits con- nexes.

Le matelas et le sommier doivent soutenir chaque partie du corps; à défaut, vous exposez à un mal de dos. Par contre, vous risquez de sentir trop de pression si le matelas est excessivement ferme.

Ne vous fiez pas exclusivement à l’étiquette : le matelas «ferme»

d’un fabricant peut être le matelas

«extra ferme» d’un autre. Allongez- vous : essayez-les!

Le matelas et le sommier doivent paraître de bonne fabrication, épais et solides. Méfiez-vous de ceux qui ont moins de six pouces d’épaisseur.

Les coins des matelas doivent avoir poids et consistance, et les rebords êtreàlafois solides et élastiques. Le matelas ne doit pas grincer, craquer ou trembler tandis que vous vous retournez sur le lit.

L’intérieur d’un matelas à ressorts de mille ordinaire doit contenir plus de 3OO ressorts (plus de 375 pour un ht grand format).

Si le matelas recherché est en caoutchouc-mousse, veillez à ce que la densité de celui-ci soit d’au moins 2,0 livres le pied cube; en règle générale, la qualité de la mousseestfonctiondel’importance de ce chiffre.

Pour plus de durabilité, achetez le sommier qui va avec le matelas.

Jetez votre ancienne literie quand vous recevez le nouvel en- semble. Ne faites pas «profiter»

vos enfants ou invites de vos mau- vaises nuits!

Pour obtenir un exemplaire gratuit du livret intitulé «A Guide to Better Sleep/Un Guide pour Mieux Dormir», s’adresser au Better Sleep Council, C.P. 1277, Station B, Downsview, Ontario M3H 5V6. *

(4)

L'équipe des Pin-Heads malgré son nom drôle, a prouvé que ces membres avaient la tête bien pleine en remportant te championnat de ta série éliminatoire de ta Ligue acadienne des quilles. On voit les équipiers (en avant), Claude Gallant et Andréa Kemp; (debout dans l’ordre habituel) Bemke Arsenault, Alvin Gallant, Michel Gallant Claudette Arsenault et Edith Gallant.

(5)

Mangez des croustilles Olde Barrell et gagnez un voyage à-Montréal

(J.L.) Le Comité régional de l’Île Le grand prix consiste en un vo- une fin de semaine est fourni par le des Jeux de l ’Acadie organise un yage à Montréal, gracieusete de Comité régional.

tirage afin de recueillir des fonds. Air Nova. L’hébergement pour Prochainement, des membres du Comité régional et des athlètes installeront des kiosques de vente à différents endroits dans la région Évangtline, à Charlottetown et dans la région Prince ouest. Pour chaque boîte de croustilles Olde Barre1 vendue au montant de 3 $, le Comid reçoit 2 $. Deux boîtes de petits sacs de croustilles ne coûtent que 5 $ au lieu de 6 $. Le tirage aura lieu dans le cadre des Jeux régio- naux, la dernière fin de semaine du mois de mai, dans la région Évangéline Le Comité régional vise la vente de 2 500 boîtes de chips, ce qui lui procurerait un revenu de 5 000 $ . Cette campagne se limite à l’Île-du-Prince-Édouard et n ’a aucun rapport avec la cam- pagne «Des p’tits deux pour les Jeux» organisée par la Société des Jeux de l’Acadie. En participant aux deux campagnes, les gens contribuent encore plus au Comité régional de l ’île et ils multiplient leurs chances de gagner.*

M. . Léonce Bernard ministre responsable , du sport t amateur àr l‘IIe-du- Prince-Édouard, a acheté la premièere batte de croustilles Olde Barrell des mains. de Mlle Lynn Arsenault, athlète de la région Évangéline qui avait remporté l'épreuve du 100 mètres, l,année passée lors de la finale des Jeux. Mlle Arsenault s'entraîne et elle participera encore cette année aux Jeux.

(6)

IA VOIX ACADIENNE/ LE MERCREDI 8 MAI 199 1

nnaissance e.

Anonyme

-bleu 11,95 $ Ces plats comprennent un a,95 $ petitpainfrais, Iégume,choix 11,95 $ de patate, dessert, thé ou café.

Dulet et breuvage

435 $ Rôti de boeuf $95 $

cetau @wi4t

m854-2266

5 l a Fête des Mères

!r votre affection.

EES ET EN SOIE, PLANTES, COURONNES, ETC.

Le Cart&mr recoit des hres

4

(J.L.) La présidente sorfanfe de /a Société Saint-Thomas d’Aquin, Mme Du&ne Arsenaulf, a remis récemment au présidenf du conseil communautaire du Canefour de f’lsle-Saint-Jean des livres de bandes dessinées pour une valeur de 300 $. Ces livres proviennent de /a France par f’enfremise d’un grand ami acadien, M. Jean- Yves Aufexier, député à /‘Assemblée nationale, française. Ils seront mis à /a disposition des utilisateurs de /a bibliothèque du Carrefour de /We-Saint-Jean, dès son ouverfure en septembre.

Remise des diplômes de la maternelle

de Saint-Louis

La maternelle d’immersion française de Saint-louis tenaif récem- ment une cérémonie de remise des diplômes, pour les jeunes élèves. Sur la photo, on voit Ricky Jones qui accepte fièrement son certificat des mains de l'éducatrice, Mme Rita Doucette (Photo : Debbie Home)

(7)

L A V O I X A C A D I E N N E / L E M E R C R E D I 8 M A I 1 9 9 1

joie.

Bçonnée d’un moule original.

R occasion

otre reconnai88ance ige,

bns un va8e.

Anonyme

mulet c o r d o n - b l e u 1 1 , 9 5 $ C e s p la t s c o m p r e n n e n t u n iti d e b o e u f 8 , 9 5 $ p e t i t p a i n f r a i s , Ié g u m e , c h o i x S t o n c l e s frits 1 1 , g 5 $ d e p a t a t e , d e s s e r t , t h é o u c a f é . P * U % En

f

a&5

e r c e a u x d e p o u l e t $ 9 5 $ Rôti d e b o e u f 4 3 . 5 $ c lw n t d e s s e r t e t b r e u v a g e

eurs à la Fête des Mères bontrer votre affection.

E U R S C O U P E E S E T E N S O I E , P L A N T E S , C O U R O N N E S , E T C .

Le Carrefour recoit des livres

(J.L.) La présidente sortante de la Société Suint-Thomas d’Aquin.

Mme Darlene Arsenault, a remis récemment a u président du conseil communautaire du Carrefour de l’lsle-Saint-Jean des /ivres de bandes dessinées pour une valeur de 300 $. Ces livres proviennent de la France pur t’entremise d’un grand umi acadien, M. Jean- Yves Autexier, député à l ' A s s e m b l é e nationale française. Ils seront mis à l a disposition des utilisateurs de lu bibliothèque du Carretour de l'Isle-Saint-Jean, dès son ouverture en septembre.

Remise des diplômes de la maternelle

de Saint-Louis

Lu maternelle d’immersion frunçuise de Suint-louis tenait récem- ment une cérémonie de remise des diplômes, pour les jeunes élèves. Sur lu photo, on voit Ricky Jones qui uccepte fièrement son certificat des muins de t’educutrice, Mme Rita Doucette.

(Photo : Debbie Home)

(8)

L A V O IX A C A D IE N N E / L E M E R C R E D I 8 M A I 1 9 9 1

. -

Serv&e canadien des parcs

;$z: P r o d u c t i o n d ’u n livret

N o u v e u u

directeur de district

b I’î-P .-É .

W.C. Tumbull, directeur gént- ral, Service canadien des parcs, région de l’Atlantique, a annoncé récemment la nomination par intérim de David McCreery au poste de directeur de district pour l’Iledu-Prince-Édouard. Sa nomi- nation entre en vigueur immkliate- ment, selon un communiqué.

David McCreery a commencé sa carrière au Service canadien des parcs en 1970. Il a occupé divers postes en Ontario, et durant les seize demiks années, il travaillait dans la région de l’Atlantique, à Halifax, comme chef, Planification de la politique. Il a également été directeur intérimaire du lieu historique national de la Citadelle- d’Ha.lifax.

À titre de directeur intérimaire du district de l’Île-du-Prince- Édouard, Service canadien des parcs, M. McCreery supervisera l’exploitation, l’aménagement et l’entretien du parc national de l’Île-du-Prince-Edouard, y compris de la maison Green Gables, de Province Ho&, de Fort-Amherst- Port-La-Joyeetd’Ardgowan. Parmi tous les parcs nationaux du Canada, 1~ parc national de l’île-du-Rince- Edouard obtient le troisi&me rang au chapitre du nombre de visiteurs, après Banff et Jasper.

David McCreery detient une maîtrise ès sciences, parcs et loisirs (Park ami Recreation Resources), de la Michigan State University.

Il remplace de façon intéri- maire Edna Hall qui a accepté le poste de directrice de district, Service canadien des parcs, pour Terre-Neuve et le Labrador. *

l’origine de l’ozone

L e s hydrocarbures et les oxydes d’azote proviennent de deux sources :

l Les véhicules, comme les voi- tures et les camions, qui produisent 52 pour 100 des émissions totales d’oxydes d’azote et 41 pour 100 des émissions d’hydrocarbures.

l Les sources fixes, comme les centrales d’énergie, les chaudières commerciales et autres installa- tions industrielles, qui produisent 33 pour 100 des Cmissions d’oxydes d’azote et 20 pour 100 des émissions d’hydrocarbures.

. .

netgbkpue s u r l e c h a u f f a g e u r b a i n

L e ministbre d e I ’É n e r g ie e l d e s F o r ê t s in v ite d e s s o u m is s io n s p o u r la c o n c e p t io n , l e m o n t a g e e t l a p r o - d u c t i o n d ’u n liv r e t e n f r a n ç a i s s u r l e c h a u f f a g e u r b a i n . L e p r o je t c o m p r e n d r a l a c o n c e p t i o n , l e m o n t a g e , l a p h o t o c o m p o s itio n , l ’im p r e s s i o n e t l a l i v r a i s o n d e c e liv r e t .

O n p e u t o b t e n i r d e p l u s a m p le s r e n s e ig n e m e n t s d u m in is - t 8 r e d e I ’É n e r g ie e t d e s F o r ê t s à l ’a d r e s s e c i- d e s s o u s .

L e s s o u m is s io n n a i r e s d o i e n t ê t r e p r ê t s à f o u r n i r d e s r b f é r e n c e s e t d e s e x e m p l e s d e l e u r t r a v a il. N i la p l u s b a s s e n i a u c u n e d e s s o u m is s io n s n e s e r a n k e s s a i r e m e n t r e t e n u e .

L a d a t e lim ite p o u r le s p r o p o s itio n s e s t le m a r d i 1 4 m a i 1 9 9 1 à 1 2 h ( m id i ) .

E n v o y e r le s s o u m is s io n s a u : M in is t & r e d e I’É n e r g ie e l d e s F o r ê t s

* L i v r e t s u r l e c h a u f f a g e u r b a i n ( v e r s i o n f r a n ç a i s e ) * C .P . 2 0 0 0

C h a r lo t t e t o w n ( j . - P . - É . )

Canada

L

C e camp s’adre ,comprennent et

p

L Y lw o ip t i o n a u n situé au 340, ru 12 mai entre 13 f Premier arrlué.

50 jeunes sera doit être présenr 50 $ par enfant.

Assistez

. , R É lJ N I O N G É N É R A L E A

à

la S A L L E A C A D I E N N E

DU

C E N T R E J.-HENI

340, rue Court, Summerside

T O U S L E S A B O N N É S S O N T I N V I T É S

Un goûter sera servi.

(9)

1 2 .

- -

I A V O I X A C A D I E N N E / L E M E R C R E D I 8 M A 1 9 9 1I

Service canadien des parcs

Nouveau directeur de district

à l'Î.-P.-É

W.C. Tumbull, directeur géné- ral, Service canadien des parcs, région de l’Atlantique, a annoncé récemment la nomination par intérim de David McCreery au poste de directeur de district pour l’Ile-du-Prince-Edouard. Sa nomi- nation entre en vigueur immédiate- ment, selon un communiqué.

David McCreery a commencé sa carrière au Service canadien des parcs en 1970. Il a occupé divers postes en Ontario, et durant les seize dernières années, il travaillait dans la région de l’Atlantique, à Halifax, comme chef, Planification de la politique. Il a également été directeur intérimaire du lieu historique national de la Citadelle- d’Halifax.

À t i t r e de directeur intérimaire du district de l’Île-du-Prince- Édouard, Service canadien des parcs, M. McCreery supervisera l’exploitation, l’aménagement et l’entretien du parc national de l’Île-du-Prince-Edouard, y compris de la maison Green Gables, de Province House de Fort-Amherst- Port-La-Joye et d’Ardgowan. Parmi tous les parcs nationaux du Canada, l e parc national de l’Île-du-Rince- Edouard obtient le troisième rang au chapitre du nombre de visiteurs, après Banff et Jasper.

David McCreery détient une maîtrise ès sciences, parcs et loisirs (Park and Recreation Resources), de la Michigan State University.

Il remplace de façon intéri- maire Edna Hall qui a accepte le poste de directrice de district, Service canadien des parcs, pour Terre-Neuve et le Labrador. *

l’origine de l’ozone

Les hydrocarbures et les oxydes d’azote proviennent de deux sources :

l Les véhicules, comme les voi- tures et les camions, qui produisent 52 pour 100 des émissions totales d’oxydes d’azote et 41 pour 100 des émissions d’hydrocarbures.

. Les sources fixes, comme les centrales d’énergie, les chaudière-s commerciales et autres installa- tions industrielles, qui produisent 33 pour 100 des Cmissions d’oxydes d’azote et 20 pour 100 des émissions d’hydrocarbures.

..>>lI. ,< . . ,.b*..L..‘r,.,_J

-.< . . ,. ,

;$zc Production d’un livret klcrgMqJ~

sur le chauffage urbain

L e m in is t 8 r e d e I ’É n e r g ie e t d e s F o r ê t s in v i t e d e s s o u m is s io n s p o u r l a c o n c e p tio n , le m o n t a g e e t la p r o - d u c t io n d ’u n liv r e t e n f r a n ç a is s u r le c h a u f f a g e u r b a in . L e p r o je t c o m p r e n d r a la c o n c e p t io n , l e m o n t a g e , l a p h o t o c o m p o s i t i o n , l ’im p r e s s io n e t l a liv r a is o n d e c e liv r e t .

O n p e u t o b t e n i r d e p lu s a m p le s r e n s e ig n e m e n t s d u m in is - t & e d e I ’É n e r g ie e t d e s F o r ê t s à l’a d r e s s e c i- d e s s o u s .

L e s s o u m is s io n n a i r e s d o ie n t ê t r e p r ê t s à f o u r n i r d e s r d f é r e n c e s e t d e s e x e m p l e s d e l e u r t r a v a il. N i la p l u s b a s s e n i a u c u n e d e s s o u m is s io n s n e s e r a n k e s s a i r e m e n t r e t e n u e .

L a d a t e lim ite p o u r le s p r o p o s itio n s e s t le m a r d i 1 4 m a i 1 9 9 1 à 1 2 h ( m id i ) .

E n v o y e r le s s o u m is s io n s a u : M in is t & r e d e I ’É n e r g ie e t d e s F o r ê t s

a L i v r e t s u r le c h a u f f a g e u r b a in ( v e r s io n f r a n ç a is e ) . C . P . 2 0 0 0

C h a r l o t t e t o w n & - P . - É . )

Canada

L a B e l c

Ce camp s’adre:

,comprennent e t p L ’in s c r ip t f o n a u r c s itu é a u 340, u 12 mai entre 13 h Premier arrivé, 50 jeunes sero doit être présent 50 $ par enfant. t

Assistez à

‘1 a R É U iill0 N G É N É R A L E A

d e

à

la S A L L E

ACADIENNE DU

C E N T R E J.-HENF

340, rue Court, Summerside

T O U S L E S A B O N N É S S O N T I N V I T É S

Un goûter sera servi.

(10)

PAGE/ 12 LA VOIX AC

De l’activité aux Entreprises J. Aubin Gallant

(J.l.) Bien que la saison de /a p&che ne suit pas encore commenc&, il y a pas mal d’activitt8 au quai de Cap-Egmont, i où sont &Mies les Entwprise s J. Aubin Galant. Après une premi+&e saison de tonctionnement dMcite, t’année dernière, te président de t’entreprbe, M. Paul D.

Ga/lant, a indiqub qu’on avait reçu du nouvel équipement qui fonctionne ù meweitte. On peut d’aikws vo;V une partie de cet equipement, avec, en atière-plan, t’usine, qui doit ouvrir ses portes d’ici un mois environ.

Mme Edith sera h

Mme Edith Eldhaw a PM choisie rd Ceriitkat dv mbite civique de 199 1 I Wwto : Debbie Home)

M m e E d i t h E l d e r s h a w d e Tignish recevra le Certificat pour le mérite civique du ministre f&lC- ral du Multiculturaiisme et de la Citoyennet& Gerry Weiner, au cours #une cérémonie ?î Ottawa.

Mme Eldershaw est la deuxième r&lante de Tignish A recevoir cet honneur, la première ayant été

Le pari quasi impossible de M. Clark

On serait enclin à qualifier ainsi la tâche qu’il vient d’accepter, en devenant le grand responsable des affaires constitutionnelles au pays en cette période trouble.

On ne peut toutefois pas oublier sa sincère attitude envers la francophonie canadienne, non seulement durant son court séjour à la tête du pays, mais aussi lors de la campagne à la chefferie du Parti conservateur.

M. Clark a rempli avec dignité et avec succès ses responsabilités au Secréta- riat des Affaires extérieures.. Il a démontré qu’il était un excellent négociateur.

au point qu’un grand nombre de ses opposants à l'époque sont devenus ses partisans. et que même M. Mulroney lui a fait confiance en lui confiant un poste très important.

La tâche fut lourde au poste qu’il occupait. 11 a réussi. 11 est cependant à se demander si ses nouveaux amis ne lui offrent pas un défi quasi insurmontable.

Personne ne doute qu’il le sera, à moins que le Canada anglais change son attitu de revancharde et anti-française.

Pour que Joe Clark réussisse, il faudra que cessent les jérémiades des Anglo-Québécois ayant à leur tête les Robert Libman du Parti égalité et Alliance-Québec. tous membres de la minorité la mieux traitée au monde. Il faudra que œ s derniers acceptent le statut distinct de la province dans laquelle ils vivent, et s’en fassent les promoteurs, tout en acceptant leur condition de minoritaire.

Il faudra que cesse cette éternelle référence à la Loi 178 sur la langue d’affichage, dont on se sert partout au Canada pour refuser sustématiquement d’améliorer le sort des Canadiens français de la diaspora. Quand réslidera-t-on que les minorités francophones seraient aux oiseaux si elles partageaient le même sort que la minorité anglophone du Québec! Si les Anglo-Canadiens avaient respect6 les ententes conclues en 1867. nous aurions sans doute moins de raisons d’être presque constamment en conflit les uns envers les autres.

Pour que M. Clark réussisse sa mission de sauver le Canada, il faudra que le

Canada anglais et les néo-canadiens représentés par le gouvernement fédéral acceptent de transiger de bonne foi avec un Québec nouveau, beaucoup plus sûr de lui-même, et que cesse cette attitude de supériorité insultante envers le Québec. Une attitude qui est encore plu s insultante pour l a minorité canadienne- française hors Québec. Ne sommes-nous pas les descendants de ceux qui ont signé le contrat wnstitutionnel de 1867 céant le Canada!

Pour que M. Clark réussisse, il faudra que cesse cette lutte acharnée contre le bilinguisme officiel.

Il faudra aussi que les médias cessent leur campagne de désinformation, en particulier la presse anglophone, et que les propriétaires de œ s journaux exigent de la part de leurs journalistes, éditorialistes et courriéristes davantage d’ouverture et de compréhension. I l faudra que cessent ces écrits menaçants de part et d’autre. qui servent plus à détruire qu’a construire.

Pour aider M. Clark à atteindre ce noble objectif de sauver le Canada il nous faudra, nous de la francophonie canadienne, être prêts à l’appuyer certes, mais en se tenant debout, la tête haute, sans pour autant céder notre droit à être respectés au Québec et au Canada.

Le Québec a respecté sa minorité, quoi qu’on en dise. Le même traitement nous fut refusé à l'extérieur du Québec. Si nous sommes encore présents aujourd’hui dans toutes les provinces, ce n’est certes pas à cause d’une surabondance de compréhension du Canada anglais.

M. Clark a mérité beaucoup de respect partout au pays. Il mérite notre appui et quelle que soit notre allégeanœ politique, nous lui devons un dia- logue ferme, franc et honnête, et d’être prêts à accepter la tête haute la décision finale à la fin de cette crise nationale. Bonne chance M. Clark et je souhaite que M. Mulroney vous accorde une liberté d’action nécessaire à votre mandat.*

UN PINSON RÉALISTE

c T

1’ a PIa1

Q fa SPa Di a CO ac Ml daz

COI

Gu El1 Mi mi qm

(11)

s e r a honorée

Par E. Elizabeth CRAN Mme Anne-Marie Perry. Mme Eldershaw est la seule résidante. de Mme Edith Eldershaw de l’Île à recevoir ce certificat en 1991.

Tignish recevra le Certificat pour Mme Eldershaw a passé presque le mérite civique du ministre fédé- toute sa vie à Tignish. Depuis les ral du Multiculturalisme et de la années 1940 elle est connue pour Citoyenneté, Gerry Weiner, au son travail de bénévole, surtout avec cours d’une cérémonie à Ottawa. la Croix-Rouge. C’est elle, par Mme Eldershaw est la deuxième exemple, qui a joué le rôle principal résidante de Tignish à recevoir cet dans le projet d’organiser des cours honneur, la première ayant été de natation. Afm de promouvoir l’extension du programme de nata- tion local du village de Tignish. elle a livré pas moins, de 1 800 lettres à ce sujet aux résidants des districts scolaires. Avec leur appui, la Croix-Rouge a pu obtenir l’aide du gouvernement pour étendre le pro- gramme. Plus tard Mme Eldershaw a réussi à obtenir permission - et des fonds du gouvernement - pour transporter les enfants aux plages dans des autobus scolaires au lieu de camions. Elle a travaillé également avec succès pour établir des postes de premiers soins à Tignish, dont l’un se trouve chez elle depuis 1950.

Et ce ne sont que deux de ses réus- sites les mieux connues dans son travail pour la Croix-Rouge.

Mme Edith Eldershaw a été choisie récemment comme récipiendaire d’un Certificat du mérite civique de 1991pour sa contricution hors du commun (Photo) : Debbie Home)

Mme Eldershaw a eté engagée aussi dans l’organisation de la Coopérative du centre de santé de Tignish la première de son genre à l'Ile Au cours des années 1950 elle est devenue membre-fondatrice et première présidente des dames auxiliaires de la Légion royale canadienne à Tignish. Dans le d o m a i n e des sports, elle est membre- fondatrice de l’Association des sports et loisirs de Tignish. dont elle a été secrétaire pendant neuf ans.

Dans l’exercicede ses fonctions elle a travaillé avec succès pour la construction du centre de récréation actuel, en 1964.

À part son travail de bénévole, Mme Eldershaw est très bien connue dans la région. de Tignish comme correspondante du journal «The Guardian» et du «Journal-Pioneer».

Elle a pris sa retraite il y a deux ans.

Mariée à un ancien officier du ministère des Pêches, elle a quatre enfants et dix petits-enfants.*

(12)

PAGE/20 __ . . -._ _. _

__ .._- -... -

PAGE/ 12 L

De l’activité aux Entreprises J. Aubin Gallant

(J.L.) Bien que la saison de la pêche ne soit pas encore commencée, il y a pas mai d’activité au quai de Cap-Egmont, où sont établies les Entreprises J. Aubin Gallant Après une première saison de fonctionnement difficile l‘année dernière, le président de l'entreprise M. Paul D.

Gallant, a indiqué qu’on avait reçu du nouvel équipement qui fonctionne à merveille On peut d'ailleurs voir une partie de cet équipement, avec, en arrière-plan l‘usine, qui doit ouvrir ses portes d’ici un mois environ.

Mme E ser

Mme Edith EIdershaw 1 CetfirIcat du mdrife ch ( P h o t o : Debbie Horn

Par E. Elizabeth I M m e E d i t h Elc Tignish recevra le C le mérite civique du 1 rai du Multiculturali Citoyenneté, Gerry cours d’une c&t?mor Mme Eldershaw est kidante de Tignish honneur, la premiè

Le pari quasi impossible de M. Clark

On serait enclin B qualifier ainsi la tiiche qu’il vient d’accepter, en devenant le grand responsable des affaires constitutionnelles au pays en cette p&iode trouble.

On ne peut toutefois pas oublier sa sin&m attitude envers la francophonie canadienne, non seulement durant son court séjour à la tête du pays, mais aussi lors de la campagne B la chefferie du Parti conservateur.

Canada anglais et les néo-canadiens représentés par le gouvert acceptent de transiger de bonne foi avec un Québec nouveau, bea de lui-même, et que cesse cette attitude de superiorité insult Québec. Une attitude qui est encore plus insultante pour la minori française hors Québec. Ne sommes-nous pas les descendants d signé le contrat 4XXlStitUtiOMel de 1867 céant le Canada!

M. Clark a rempli avec dignité et avec succès ses responsabilites au Secréta- riat des Affaires exterieures. Il a démontré qu’il était un excellent négociateur.

au point qu’un grand nombre de ses opposants a l’époque sont devenus ses partisans, et que même M. Mulroney lui a fait confiance en lui confiant un poste très important.

Pour que M. Clarkréussisse, il faudra que cesse cette lutte ach bilinguisme officiel.

La tâche fut lourde au poste qu’il occupait. Il a reussi. Il est cependant à se demander si ses nouveaux amis ne lui offrent pas un défi quasi insurmontable.

Personne ne doute qu’il le sera, a moins que le Canada anglais change son attitu de revancharde et ami-française.

Il faudra aussi que les médias cessent leur campagne de d en particulier la presse anglophone, et que les propriétaires d exigent de la part de leurs journalistes, éditorialiites et courriér d’ouverture et de compréhension. Il faudra que cessent ces éc de part et d’autre, qui servent plus à détruire qu’à construire.

Pour que Joe Clark réussisse, il faudra que cessent les jér&niades des Ang1o-Québécoi.s ayant a leur tête les Robert Libman du Parti égalité et Alliance-Québec, tous membres de la minorite la mieux trait& au monde. Il faudra que ces derniers acceptent le statut distinct de la province dans laquelle ils vivent, et s’en fassent les promoteurs, tout en acceptant leur condition de minoritaire.

Pour aider M. Clark à atteindre ce noble objectif de sauve nous faudra, nous de la~francophonie canadienne, être prêts à 1’

mais en se tenant debout, la tête haute, sans pour autant céder n#

respectés au Québec et au Canada.

Le Québec a respect6 sa minorité, quoi qu’on en dise. Le m nous fut refusé à l’ext&ieur du Québec. Si nous sommes t aujourd’hui dans toutes les provinces, ce n’est certes pas surabondance de compréhension du Canada anglais.

Il faudra que cesse cette éternelle n?f6rence a la Loi 178 sur la langue M. Clark a ménté beaucoup de respect partout au pays.

d’affichage, dont on se sert partout au Canada pour refuser systématiquemt:nt appui et quelle que soit notre allégeimce politique, nous lui d’améliorer le sort des Canadiens français de la diaspora Quand réalisera-t-on logue ferme, franc et honnête, et d’être prêts à accepter la tête h que les minorit& francophones seraient aux oiseaux si elles partageaient le finale à la fin de cette crise nationale. Bonne chance M. Clar même sort que la minorité anglophone du Québec! Si les Anglo-Canadiens que M. Mulroney vous accorde une liberté d’action nécc --*-z-r ---+A t- ant~ntm emw-l~us en 1867. nous aurions sans doute moins mandat.*

(13)

MESSAGE DU PRÉSIDENT

Ça me fait grand plaisir de vous inviter tous à participer au Festival culturel jeunesse, qui se tiendra les 10,Z 2 et 12 mai dans le cadre de la 15e assemblée annuelle de leunesse Acadienne Me.

Nous espérons que vous viendrez en grand nombre participer à cet événement historique. Ça s’annonce fort interessant et fort amusant, donc assurez-vous d’y assis ter. Ça s e r a à ne pas manquer!

Depuis 15 ans, nous travaillons afin de permettre aux jeunes de devenir plus autonomes et pour leur donner l’occasion d’apprécier et de valoriser davantage leur belle langue et culture acadienne/

francophone. Je pense qu’on peut réellement dire qu’on réussit à accomplir notre mission.

II faut de temps en temps s’arrêter pour voir tout ce qu’on a accompli au cours des années. Mais, il ne faut surtout pas croire que notre travail est terminé après 15 belles années; certainement pas. Tant qu’il y aura des adolescents qui parlent le français, il y aura un besoin pour Jeunesse Acadienne.

Cependant, l’existence même de Jeunesse Acadienne dépend de vous, les jeunes! N’hésitez pas h vous embarquer de plein coeur dans v o t r e a s s o c i a t i o n pour assurer un bon leadership jeunesse et pour assurer que les jeunes puissent prendre leur place dans la commu- nauté.

On se verra donc au Festival!

Ricky Hitchcock

CONFÉRENCIERS

Paul D. Gallant - Vous connais- sez PANOU, Toxyne, la Troupe de théâtre Le Soleil Oublié, La Cuisine à Mémé et la Grange à Fidèle? Tous ces groupes artis- tiques ont subi l’influence puis- sante de ce grand artiste de Mont-Carmel. Il a été une des personnes clés dans le développe- ment artistique de la région Evangéline depuis bon nombre d’années. M. Gallant, qui est présentement directeur de la firme PDG Consultants, a été directeur général de Jeunesse Acadienne de 1978 à 1984 et en a été le premier président, soit dans l’année 1976-1977 Il nous parlera à propos des jeunes d’hier et d’aujourd’hui et partagera

avec nous ses aspirations pour la jeunesse de demain.

--------- _

Danny Caissie - Ce natif de Saint-Antoine (N.-B.), est engage’ avec le Comite des jeunes de Saint-Antoine depuis sa fondation en octobre 1985. Au cours des années, il a travaillé énormément avec le comité afin d’aider à organiser des colloques, des camps de leadership, des soirées sociales et culturelles, des t!vénements sportifs ou encore des ateliers de tous genres. Le comité, avec beaucoup de travail de la part de M. Car%ie, a réussi à établir la Maison des jeunes de Saint- Antoine en janvier 1990. Cétait en effet la première maison du genre au Nouveau-Brunswick. Cet animateur jeunesse dynamique nous parlera de ce qu’est une matson de jeunes, du projet de son comité et de ce qu’on devrait faire si on veut établir une telle maison ici.

NOTE : Jeunesse Acadienne a entrepris récemment une étude des maisons des jeunes; la recommandation principale des participants a été qu’on en établisse une dans la région Evangéline.

LE VENDREDI 10 MA[

(&ole) 18 h 00 - (école) 18 h 30 -

i n s c r i p t i o n ( e n t r e e d e I ’e c o l e )

m o t d e b i e n v e n u e ( s a ll e d e c o n f e r e e x p lic a ti o n d e I’h o r a i r e e t d e s regler j e u b r i s e - g l a c e

r e u n i o n d ’a f f a i r e s : P a r t i e 1

p i e c e d e t h e â t r e dHEZ JOEl> d e 1;

s p e c t a c l e d u g r o u p e T o x y n e ( g r a n d c o u c h e r ( s a l l e s d e c l a s s e )

(centre) 19 h 30 - (école) 22 h 00 - (&ote) 23 h 30 - LE SAMFDI 11 MAI (école) 08 h 00 - (kole) 09 h 00 - (école) 10 h 30 -

(hwle) 12 h 00 - (école) 13 h 00 - (école) 14 h 00 - (centre) 14 h 30 - (école) 17 h 00 -

18h30 - 19h30 - (école) 21 h 00 - (tkole) 24 h 00 -

d é j e u n e r ( c a f e t é r i a )

r e u n i o n d ’a f f a i r e s : P a r t i e 2 (salle dc s p e c t a c l e d e v a r i e t é s j e u n e s s e J e u n e s d a n s e u s e s a c a d i e n n e s D a n s e u s e s E v a n g e li n e

g r o u p e m e t a l T h u n d e r a n d L i g h t n i n g P a t s y R i c h a r d e t a m i s

c h a n s o n s , m u s i q u e , li p s y n c , e t c . M . C . : A d a m P e r r y

( g r a n d g y m n a s e )

d î n e r ( p o u l e t K e n t u c k y ) - (cafetéria) a t e li e r : C ’E S T Q U O I U N G R O U P E 1 p l e n i e r e d e s a t e li e r s ( s a l l e d e c o n f e r e p i è c e d e t h e â t r e < < L A P O R T E ? Q U E L 1 d e W e s tisl e

s o u p e r ( b u f f e t f r o i d , c h e e s e c a k e ) i n v it e s p é c i a l : D a n n y C a i s s i e , di r e c e t f o n d a t e u r d e l a M a i s o n d e s j e u n e s t d e p a r t p o u r l a m e s s e à B a i e - E g m o n t I j e u d e b a ll o n - v o l a n t ( p e t i t g y m n a s e ) j e u d e b a s k e t - b a ll ( p e tit g y m n a s e ) d a n s e a v e c d i s c - j o c k e y N i g h t l i f eU n li n ( s e r v i c e d e c a n t i n e )

c o u c h e r

12 MAI ( & o l e ) 0 8 h 00 - (école) 09 h 00 -

(école) 11 h 00 - (école) 12 h 00 - (école) 12 h 30 - (centre) 14 h 00 - (kole) 17 h 00 -

19h30 -

d e j e u n e r ( c a f e t e r i a )

r e u n i o n d ’a ff a ir e s : P a r t i e 3 ( s a l l e d e U p r o p o s iti o n s

Q l e c t i o n s a u t r e s

s o n d a g e p o u r c a m p a r t isti q u e

s p e c t a c l e c c A L B E R T A R S E N A U L T E T t ( s a l l e d e c o n f e r e n c e )

d î n e r ( p i z z a - c a f é t e r i a )

v i s i o n n e m e n t d e s v i d e o c l i p s d e s g r o u p e ( s a l l e d e c o n f e r e n c e )

p i e c e d e t h é â t r e « L E S M É S A V E N T U d u g r o u p e J e u n e s e n m a r c h e d e l a régit b a n q u e t a v e c s a l a d e , d i n d e r ô t i , Ié g u m p e t i t s p a i n s ; t e n u e a p p r o p r i é e

a ) conférencier : Paul D. Gallant, premier président de Jeunesse Ac b) commentaires du président c) commentaires des invit&

d) prhsentation de la Bourse d’&udez e) prhentation du Prix de contributioi

r) coupe du gateau

9) e v a l u a t i o n de la fin de semaine r e t o u r à l a m a i s o n

(14)

LA VOIX ACADIENNE/ LE MERCREDI 8 MAI 1991

MESSAGE DU PRÉSIDENT

Ça me fait grand plaisir de vous inviter tous à participer au Festival culturel jeunesse, qui se tiendra les 10, 11 et 12 mai dans le cadre de la 15e assemblée annuelle de Jeunesse Acadienne Ltée.

Nous espérons que vous viendrez en grand nombre participer à cet événement historique. Ça s’annonce fort intéressant et fort

amusant, donc assurez-vous d’y assister. Ça sera à ne pas manquer!

Depuis 15 ans, nous travaillons afin de permettre aux jeunes de devenir plus autonomes et pour leur donner l‘occasion d’apprécier et de valoriser davantage leur belle langue et culture acadienne/

francophone. Je pense qu’on peut réellement dire qu’on réussit à accomplir notre mission.

Il faut de temps en temps s’arrêter pour voir tout ce qu’on a accompli au cours des années. Mais, il ne faut surtout pas croire que notre travail est terminé après 15 belles années; certainement pas. Tant qu’il y aura des adolescents qui parlent le français, il y aura un besoin pour Jeunesse Acadienne.

Cependant, l’existence même de Jeunesse Acadienne dépend de vous, les jeunes! N’hésitez pas à vous embarquer de plein coeur dans votre association pour assurer un bon leadership jeunesse et pour assurer que les jeunes puissent prendre leur place dans la commu- nauté.

On se verra donc au Festival!

Ricky Hitchcock

CONFÉRENCIERS

Paul D. Gallant - Vous connais- sez PANOU, Toxyne, la Troupe de théâtre Le Soleil Oublié, Lu Cuisine à M&é et la Grange à Fidèle? Tous ces groupes artis- tiques ont subi I’influence puis- sante de ce grand artiste de Mont-Carmel. Il a été une des personnes clés dans le développe- ment artistique de la région Evangéline depuis bon nombre d‘années. M. Gallant, qui est présentement directeur de la firme PDG Consultants, a été directeur général de Jeunesse Acadienne de 1978 à 1984 et en a été le premier président, soit dans l’année 1976-1977. Il nous parlera à propos des jeunes d’hier et d’aujourd’hui et partagera

avec nous ses aspirations pour la jeunesse de demain.

Danny Caissie - Ce natif de Saint-Antoine (N.-B.), est engagé avec’

le Comité des jeunes de Saint-Antoine depuis sa fondation en octobre 1985. Au cours des années, il a travaillé énormément avec le comité afin d’aider à organiser des colloques, des camps de leadership, des soirées sociales et culturelles, des événements sportifs ou encore des ateliers de tous genres. Le comité, avec beaucoup de travail de la part de M. Caissie, a réussi à établir la Maison des jeunes de Saint- Antoine en janvier 1990. C’était en effet la première maison du genre au Nouveau-Brunswick. Cet animateur jeunesse dynamique nous parlera de ce qu’est une maison de jeunes, du projet de son comité et de ce qu‘on devrait faire si on veut établir une telle maison ici.

NOTE : leunesse Acadienne a entrepris récemment une étude des maisons des jeunes: la recommandatio~~*ncipale des participan ts a été qu‘on en établisse une dans la région Evangéline.

(&ole) 18 h 00 - (&ole) 18 h 30 - bE VENDREDI 10 MAI

(centre) 19 h 30 - (bwle) 22 h 00 - (école) 23 h 30 -

inscription (entrée de I%cole)

mot de bienvenue (salle de confRrenc explication de I’horaire et des règlemi jeu brise-glace

&Union d’affaires : Partie 1

piece de th&tre <<CHEZ JOE,, de la 1 spectacle du groupe Toxyne (grand g:

coucher (salles de classe)

4.E SAMEDI 11 MAl (École) 08 h 00 - (École) 09 h 00 - (école) 10 h 30 -

(école) 12 h 00 - (École) 13 h 00 - (école) 14 h 00 - (centre) 14 h 30 - (école) 17 h 00 -

18h30 - 19h30 - (école) 21 h 00 - (école) 24 h 00 -

dkjeuner (cafétbria)

r&nion d’affaires : Partie 2 (salle de c spectacle de vari&és jeunesse Jeunes dans,euses acadiennes Danseuses Evangéline

groupe m&al Thunder and Lightning Patsy Richard et amis

chansons, musique, lip sync, etc.

M.C. : Adam Perry (grand gymnase)

dîner (poulet Kentucky) - (cafetéria)

atelier : C’EST QUOI UN GROUPE LC

pl&i&e des ateliers (salle de conf&enl piece de théâtre «LA PORTE? QUELLE de Westisle

souper (buffet froid, cheesecake) invite spécial : Danny Caissie, directs et fondateur de la Maison des jeunes df départ pour la messe à Baie-Egmont (f:

jeu de ballon-volant (petit gymnase) jeu de basket-ball (petit gymnase) danse avec disc-jockey Nightlife Unlimit (service de cantine)

coucher

DIMANCHE 12 MAC (&o/e) 08 h 00 - (&ole) 09 h 00 -

(école) 11 h 00 - (&wle) 12 h 00 - (école) 12 h 30 - (centre) 14 h 00 - (École) 17 h 00 -

19h30 -

dbjeuner (caf&&ia)

&Union d’affaires : Partie 3 (salle de Col propositions

6lections autres

sondage pour camp artistique

spectacle <<ALBERT ARSENAULT ET HI (salle de conférence)

dîner (pizza - caf&&ia)

visionnement des vid&oclips des groupes (salle de conference)

pièce de théâtre «LES M É S A V E N T U F du groupe Jeunes en marche de la regior banquet avec salade, dinde rôti, légume petits pains; tenue appropriee

a) confhrencier : Paul D. Gal/ant, premier président de Jeunesse Aca b) commentaires du président

c) commentaires des invi&

d) pr&entation de la Bourse d’études e) prhentation du Prix de contribution

fj coupe du gâteau

g) 4valuation de la fin de semaine

retour a la maison

(15)

1OOe anniversaire de l’encyclique papale

Le comité d’action sociale du Carmichael et d’autres talents, en La première encyclique papale amples informations, communi- diocèse de Charlottetown célébrera anglais et en français, qui seront a été publiée le 15 mai 1891 par quer avec le diocèse de Char- le 15 mai son 1OOe anniversaire confirmés plus tard. le pape Léo XIII. Pour de plus lottetown.*

d’éducation sociale et pastorale.

M. Tony Clarke, Ph. D., directeur du département des Affaires so- ciales de la Conférence canadienne des évèques, sera le conférencier invité lors de la célébration, au centre de la Basilique.

La soirée comprendra un pro- gramme musical mettant en vedette entre autres, des membres de la famille Rankin du Cap Breton, Brigid & Cecily, Urban

(16)

C’est le temps de commencer votre compost

Par Jacinthe LAFOREST De plus en plus, les gens se préoc- cupent de leur environnement et cherchent des moyens faciles de le sauvegarder. L’un de ces moyens, c’est le compostage de déchets or- ganiques provenant de la cuisine, du jardin et de la cour a r r i è r e . Ces déchets sont places dans un endroit précis et mélangés à la terre. Les micro-organismes qui vivent dans le sol les décomposent en des formes utilisables dans le sol.

La matière ainsi produite est foncée, n’a pas d’odeur et a un peu la substance de la tourbe. Comme cette dernière, le compost peut améliorer la texture et la fertilité du sol de votre jardin.

Cela prend à peu près un an avant que les déchets soient assez dé- composés pour être utilisés en compost. Pour enrichir votre jardin le printemps prochain, il est donc i m p o r t a n t d e c o m m e n c e r d è s maintenant à «sauver» vos déchets.

M m e M o n a Arsenault d’Abram- Village a commence son compost l’automne dernier. «Vraiment, les déchets ne sont pas encore assez décomposés mais on s’en servira quand même ce printemps dans le jardin. Qn va étendre le produit sur le jardin et le râteauculteur fera le reste.»

Plusieurs membres de la famille de Mme Arsenault sont soit biolo- gistes, soit écologistes ou autres professions en «iste». Elle a donc été sensibilisée à l’importance de faim un compost. De plus, elle est atteinte de plusieurs allergies reliées à l’utilisation des produits chimiques. L’utilisation du com- post au lieu de l’engrais chimique est donc apparue comme une bonne solution.

M . et M m e Arsenault ont trois enfants et tous trois parti- cipent activement au compostage.

Ils savent d é j à ce qui peut être composte et ce qui ne peut pas l’être. On ne met pas de viande, d’os ou de graisse, car cela sentirait mauvais et attirerait les petits ani- maux. Pratiquement tous les autres déchets de cuisine y passent, comme les épluchures de fruits

et

de légumes, les écales d’oeufs, le marc de café et les sachets de thé, les restes de gruau et de céréales cuites, à peu près tout.

Dans la maison des Arsenault, le système est bien établi. Les déchets d’une journée sont placés dans un

Les enfants d e Claude et Mona Arsenault d'Abram-Village participent ave c enthousiasme à l'activitactivité «compost». iis vident6 présentement les déchets compostables dans un tro u à ce t effet. . De gauch e à droite,

petit contenant de plastique.

À

la fin de la journée ou quand le contenant est plein, on le vide dans un plus grand contenant, situé à la cave. Quand ce contenant est plein, on va le vider dans le compost, en le mélangeant à la terre. La fabri- cation d’un compost peut réduire de 3O pour 100 1a quanté de déchets domestiques.

Que vous viviez dans un apparte- ment en pleine ville ou sur une ferme, vous pouvez aisément produire et utiliser un compost. Il y a cependant deux importants principes de base : le compost doit être bien a é r é et un certain niveau d’humidité doit être maintenu.

Un compost est produit en alternant des couches de déchets domestiques ou de jardins avec des couches de terre. Les couches de substances compactes, comme l’herbe coupée. ne doivent pas dépasser 5 centimètres d’épaisseur sans être mélangées avec une substance qui laisse passer plus d’air. À tous les 15 à 20 centimètres d ' é p a i s s e u r étendre quelques pel- letées de terre sur la surface. Si le

sol est riche, il fournira les micro- o r g a n i s m e s n é c e s s a i r e s à la décomposition. Si vous utilisez du sol pauvre ou que vous voulez hâter la décomposition, vous pou- vez ajouter un catalyseur commer- cial.

Arrosez le compost durant les périodes de sécheresse, et à peu près toutes les quatre semaines, du- rant la saison d'été, parsemez d’une couple de poignées de fertilisant à forte teneur en nitrogène (premier chiffre sur la formule) comme le lO- 6-4 ou le 16-8-8.

On peut mettre les déchets direc- tement dans un trou dans la terre, ou fabriquer ou acheter un contenant conçu spécialement à cet effet. Il doit être a é r é

Selon M m e Arsenault, durant l’hiver, le compost ne gèle pas ou peu car «il travaille». «Cet hiver, quand nos contenants de déchets étaient pleins, on n’avait qu’à enlever la neige, à vider nos déchets. à les mélanger un peu avec le sol, et on mettait ensuite une couche de cendre pour empêcher les oiseaux de venir manger ce qu’on mettait».

En plus des déchets d é j à mention- nes, on peut composter les cheveux, les contenus des sacs d’aspirateurs, les mauvaises herbes sans graines, les feuilles d’arbres et les balayures de plancher. De plus amples r e n s e i g n e m e n t s p e u v e n t ê t r e obtenus en communiquant avec l e m i n i s t b r e p r o v i n c i a l d e l’Environnement*

Références

Documents relatifs

ré-/r- et associés », Revue de Sémantique et Pragmatique [En ligne], 41-42 | 2017, mis en ligne le 01 décembre 2018, consulté le 30

Dans l'entretien avec Madeleine Chapsal de L'Express du 12 janvier 1960, Simon rappelle que Sartre a déclaré à Claude Sarraute pour Le Monde renoncer à l'écriture des romans

Mais cela ne nous donne pas une idée précise de la manière dont vivent les gens dans les différents pays…... Où vivent-ils très proches les uns des

- La prise de conscience de la réalité dans laquelle ont est plongé, l'amorce d'une analyse de l'école, et tout ça sans discours magistral, sans morale

Il est également possible de modifier l'expression de la masse volumique pour pouvoir calculer le volume.. VI) Evolution de la masse volumique de l’eau avec la température. Plus

La technologie s'intéresse à tout ce que construit l'homme, en particulier les nombreux objets techniques qui nous entourent et dont nous nous servons tous les jours..

a) Il se fait prendre en otage. b) Il brûle dans un incendie. c) Il disparaît dans la nature. b) Le professeur de Samuel. Quelle est la première chose que Samuel doit faire pour

Les valeurs de la République sont contenues dans sa devise : « liberté-égalité- fraternité » et doivent se retrouver les principes de la République, garantis par la