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Déchets de chantier de bâtiment. Les actions de la Fédération nationale du bâtiment

La. Fnb

To cite this version:

La. Fnb. Déchets de chantier de bâtiment. Les actions de la Fédération nationale du bâtiment.

Environnement, Ingénierie & Développement, Episciences, 1997, N°6 - 2ème Trimestre 1997, pp.31-

34. �10.4267/dechets-sciences-techniques.769�. �hal-03220145�

(2)

LES ACTIONS DE LA FÉDÉRATION NATIONALE DU BÂTIMENT

Département Environnement de la FNB*

La gestion des déchets, de leur production à leur élimi­

nation, est devenue pour nos sociétés modernes une pré­

occupation majeure. La réglementation relative à l'éli­

mination des déchets est cependant ancienne : la loi du 15 juillet 1975 stipulait« toute personne qui produit ou détient des déchets( ... ) est tenue d'en assurer ou d'en faire assu­

rer l'élimination ».

L'action des pouvoirs publics s'est orientée dans un pre­

mier temps vers l'élimination des déchets des ménages, puis vers celle des déchets dangereux de l'industrie.

De par leur spécificité, les déchets de chantier du bâti­

ment, évalués à 25 millions de tonnes par an, ne s'inscri­

vant dans aucune de ces catégories ont été trop souvent oubliés, mettant les entreprises de bâtiment dans des situations inconfortables : fermeture de décharges com­

munales, problèmes pour trouver des lieux d'élimination, mais aussi et surtout risques d'augmentation importante des coûts d'élimination pouvant atteindre 1 à 6 % du chiffre d'affaires selon les professions.

Dans ce contexte défavorable, les professionnels du bâti­

ment et leur organisation se mobilisent pour permettre la réalisation de structures de gestion afin d'éliminer les déchets du bâtiment à un coût optimisé.

For our modern society, waste management becomes more and more a priority. Meanwhile, the legal fra­

mework is old : law of July 15, 1975 -anybody produ­

cing or keeping waste ( ... ) has to manage the waste dis­

posai.

ln a first step, the public Authorities action was orien­

ted towards domestic waste disposai and in a second time aimed to dangerous waste of the industrial acti­

vities.

Due to their own specificity, construction and demo­

lition waste (about 25 millions tuns a year) couldnt take place among the above categories, leaving alone the building firms : closing down of the dumping waste, difficulties to find places to get rid of and as well, grow­

th of elimination costs reaching about 1 to 6 % of the turnover construction.

ln this downward trend, building contractors and their professional Organization are involved to set up a management in order to eliminate construction and demolition waste at the best price.

DÉCHETS -SCIENCES ET TECHNIQUES -N° 6- 2- trimestre 1997 -Reproduction interdite

LE CONTEXTE

La réglementation évolue entraînant avec elle des modifi­

cations importantes dans la pratique des entreprises du sec­

teur bâtiment : l'élimination de tous les déchets est régle­

mentée, les contrôles seront plus nombreux et assortis de sanctions en cas d'infractions. Le coût de l'élimination, de négligeable, devient important et l'entrepreneur doit l'inté­

grer dans ses coûts et donc dans ses devis. Les habitudes et la nature des produits utilisés sur le chantier seront modi­

fiées. L'élimination réglementée des déchets de chantier va induire l'obligation de les valoriser au maximum.

Depuis 1975, la loi précise :

- Le brûlage à l'air libre est interdit sur le chantier (Art. 7 - loi n°75-633 du 15 juillet 1975),

- L'entreprise est responsable de l'élimination de ses déchets de chantier par la loi n 75-633 du 15 juillet 1975 donc de la collecte, du transport, du stockage, du tri, puis de la valo­

risation par réemploi, recyclage ou transformation en éner­

gie.

Jusqu'à ce jour et particulièrement en zone rurale, l'élimi­

nation des déchets de chantier était encore quasiment gra­

tuite pour les entreprises, car les coûts étaient mutualisés via les collectivités.

La période s'étendant de 1992 à aujourd'hui est caractéri­

sée par les évolutions suivantes :

- L'élimination des déchets industriels spéciaux est planifiée via les plans régionaux,

- L'élimination des déchets municipaux est planifiée via les plans départementaux entraînant pour les entreprises de bâti­

ment, dont les besoins n'ont pas été pris en compte, des dif­

ficultés importantes : fermeture des décharges municipales, déchetteries inaccessibles.

- La gestion des centres de stockage (classe 1 - Il - Ill) évo­

lue notamment dans les domaines de leur exploitation et de leur contrôle,

- Les emballages doivent être valorisés depuis septembre 1995,

- Certains déchets industriels spéciaux doivent être traités avant leur stockage en centre de classe 1.

L'élimination des déchets de chantier a un coût évalué

31

(3)

Déchets de bâtiments

aujourd'hui en moyenne environ à 0,5 % du chiffre d'affaires du secteur bâtiment.

Ce qui va changer demain : 2002 est la dernière chance des évolutions régle­

mentaires en matière d'élimination des déchets (en référence à la Loi du 13 juillet 1992). Les décharges traditionnelles seront fermées et remplacées par des centres de stockage contrôlés ou seuls les déchets ultimes (déchets qui ne sont plus suscep- tibles d'être valorisés dans des conditions économiques viables) pourront y être stockés. Il existera trois classes de centres, en fonction de la perméabilité de leur sous-sol et de leur mode de gestion : clas- se 1 pour les déchets ultimes dangereux, classe Il pour les déchets ultimes ménagers et assimilés, classe Ill pour les déchets ultimes inertes.

- les plans territoriaux vont se mettre en place,

Produit inerte mélangés:

8 791 400 t

Autres 440 000 t

Produits associés avec du plâtre

3 271 000 t

Produits à base de ciment, mortier 3 056 140 t

Produits associés à des isolants 2 560 500 t

- des plans volontaires d'élimination des déchets bâtiment vont y être associés,

Quantification des déchets de chantier de bâtiment par nature de pro­

duits - tous les déchets seront réglementaire­

ment classés,

- le transport de tous les déchets sera réglementé,

Emballages 1% DIS

Quantification des déchets de chantier de bâtiment par type de chantier et par nature de déchets

32

- à partir de 1998, les déchets industriels spéciaux devront être traités avant leur stockage en classe 1,

- la préparation et l'organisation de chantier seront modi­

fiées pour tenir compte de ces contraintes environnemen­

tales.

Le secteur du bâtiment doit s'organiser afin d'optimiser les coûts d'élimination de ses déchets.

Les quantités et la nature de ces déchets Les catégories de déchets pouvant être rencontrées sur un chantier sont les suivantes :

- déchets inertes : pierre naturelle, terre et matériaux de terrassement, plâtre, cramique, verre ordinaire, laines miné­

rales ...

- déchets ménagers et assimilés : emballages non souillés, bois, plastiques, métaux, quincaillerie, accessoires pour pein­

ture et matériels souillés secs, produits mélangés issus du chantier de réhabilitation ...

- déchets dangereux ou industriels spéciaux : peinture, bois traités avec des oxydes de métaux lourds, amiante, pro­

duits chimiques, emballages souillés ...

Une étude financée et menée par l'Ademe et la FNB a per­

mis d'évaluer les quantités moyennes annuelles et la nature des déchets générés par le secteur du bâtiment.

Les pratiques des entreprises de bâtiment Les déchets de chantier du bâtiment sont très hétérogènes en qualité (mélange de matériaux, granulométrie très variée) et en quantité suivant les régions et les types de chantier (on estime le tonnage moyen de déchets par habitant/an entre de 0,24 et 0,68 tonne).

La complexité de leur nature rend l'élimination des déchets

DÉCHETS -SCIENCES ET TECHNIQUES -N° 6 -2_, trimestre 1997 -Reproduction interdite

(4)

Répartition régionale des déchets de chantier de bâtiment (en tonne par habitant/an)

palettes, papiers-cartons et emballages) et la mise en décharges brutes (terres, déchets inertes, plâtre, bidons vides).

0,68

0,6 -

0,5 ...

0,46

0,41 0,41 0,43

0,4 - 0,39

0,36 0,33 0,33

0 30,31 0,3 -

0,26

0,31 0,29 0,3

0,28 0,29

0,27

0,24 0,24

0,2 -

0,1 -

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du bâtiment de plus en plus difficile. Ils sont parfois refusés dans certaines décharges pour des problèmes de classifica­

tion : contrôle de toxicité mal adapté aux déchets mélan­

gés dans les bennes, problème d'élimination de certains déchets particuliers comme le bois, le plâtre ou bien l'amian­

te-ciment, difficulté de tri en phase de réhabilitation ou de démolition.

Des enquêtes ont été effectuées entre

1994

et

1996

auprès

des artisans et PME, soit

à

l'échelle nationale, soit dans les régions et départements afin de connaître les pratiques cou­

rantes des entrepreneurs en matière d'élimination des déchets de chantier {tableau

1

). Il ressort que :

- Les entreprises utilisent les moyens d'élimination des col­

lectivités, les décharges communales {déchetterie, collec­

te, ... )

: 25 à 30

% y ont recours pour tout ce qui est car­

tons et emballages.

- Des pratiques non réglementaires sont employées comme le brûlage

(35 à 40

% l'utilisent pour les déchets de bois,

Tableau 1 : Les pratiques des entreprises de bâtiment (Enquête Nationale 1994 Artisans et PME) CENTRES DE STOCKAGE DE CLASSE 2

Plâtre (21 % des entreprises), emballages autres que papier cartons ( 17 %) Déchets de construction mélangés (22 %)

CENTRES DE STOCKAGE DE CLASSE 3

Déchets inertes autres que terre (24 %), plâtre ( 14 %)

RAMASSAGE PAR COLLECTIVITÉS

Bidons vides (22 %), papiers cartons (20 %), autres emballages (28 %)

SOCIÉTÉS SPÉCIALISÉES

Plâtres (24 %), déchets spéciaux (60 %)

Déchets de construction mélangés (36 %)

DÉCHETS -SCIENCES ET TECHNIQUES -N° 6 - 2..., trimestre 1997 -Reproduction interdite

8

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- Un tiers des entreprises est aujourd'hui confronté

à

des problèmes d'élimination, la moitié en prévoit notamment en raison de la fermeture des décharges et surtout pour des problèmes de coûts.

- Il est difficile de sensibiliser la maîtrise d'ouvrage aux coûts supplémentaires consécutifs

à

l'élimination des déchets. Ce point est pourtant fondamental pour permettre notamment une saine concurrence entre les entreprises.

L'évolution des coûts

Les coûts d'élimination des déchets ont explosé ces dernières années et continueront

à

croître dans les années

à

venir. Ils représenteront demain environ

2

%

du chiffre d'affaires du secteur bâtiment.

a. Au début des années

1990,

les coûts d'élimination étaient insignifiants parce que mutualisés via les ser­

vices offerts par les collectivités. Depuis

1992,

on

constate une flambée des coûts (tableau

2)

parce que

les collectivités ont orienté leurs efforts d'investisse­

ment vers l'élimination des seuls déchets des ménages,

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laissant le traitement des autres déchets aux filières concernées.

On constate également une évolution considérable des taxes auxquelles sont et seront soumis les déchets de chan­

tier

(80

millions en

1996

et

330

MF pour

1997).

Une simulation globale sur l'ensemble des déchets du sec­

teur de la réhabilitation des bâtiments a montré qu'il était possible de réduire les coûts d'élimination des déchets par des opérations de tri. Toutefois, les économies obtenues de l'ordre de

56

% grâce au tri ne s'appliquent pas

à

tous les

chantiers de réhabilitation, pour deux raisons essentielles : des problèmes d'espace etlou de séparabilité des matériaux (plâtre, polystyrène, ... ).

Hier:

Tableau 2 : Évolution des coûts d'élimination des déchets

• 20 F/t X 24 Mt

•Total

Aujourd'hui :

• 400 F/t (décharge de classe 2) x (entre 2,6 et 3,8 Mt) 1,2 GF dont 80 MF de taxes ( 1996)

• 40 F/t (décharge de classe 3) x 20 Mt

•Total

Demain (avec tri):

• 2000 F/t (décharge de classe 1) x 1,5 Mt

• 400 F/t (décharge de classe 2) x 6,4 Mt

• 0 F/t (décharge de classe 3) x 15 Mt Total dont 330 MF de taxes ( 1997)

Écart:

6,3 GF rapporter au chiffre d'affaires du bâtiment ( 1995)

• soit 1,5 % du chiffre d'affaires

0,48 GF 0,48 GF

O,SOGF 2,0 GF

3,0 GF 2,6 GF 1,2 GF 6,8 GF 443 GF

33

(5)

Déchets de bâtiments

LES OBJECTIFS COLLECTIFS DES ENTREPRISES

Face au contexte réglementaire et à la situation économique difficile du bâtiment, le secteur se doit de maîtriser les coûts d'élimination de ses déchets. Pour atteindre ce but, il s'est fixé des objectifs intervenant en amont du chantier, sur le chantier lui-même et en aval de celui-ci.

- En amont du chantier : faire prendre en compte les spé­

cificités du secteur dans la réglementation déchet. Éviter la concurrence déloyale entre ceux qui respectent la régle­

mentation et les autres, en proposant des solutions non discriminantes en fonction de la taille des entreprises ou de leur situation géographique. Faire prendre en compte les prestations d'élimination des déchets par la maîtrise d'ouvrage en prévoyant explicitement ce poste dans les offres.

- Sur le chantier lui-même : améliorer la qualité et la dis­

ponibilité des déchets de chantier par la promotion du non mélange des déchets (chantier propre).

- En aval du chantier : développer des partenariats pour la mise en place de structures d'élimination de proximité, c'est-à-dire la création de plates-formes de regroupement et de tri des déchets (structures de relais). Participer à la mise en place de la gestion territoriale des déchets de chantier.

LES ACTIONS D'ACCOMPAGNEMENT DES ENTREPRISES

Les actions d'accompagnement à engager ont été orientées vers six directions :

L'ensemble de la filière

- Modifications des documents administratifs : audits des bâti­

ments avant démolition ou réhabilitation, index de prix concernant l'élimination des déchets de chantier, proposi­

tions de modifications de la norme P 03.001 et du code des marchés publics intégrant les prescriptions particulières relatives à l'élimination des déchets.

- Réalisation d'un guide déchets de chantier avec la FNB, l'Ademe, les ministres du Logement et de !'Environnement, le CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment) et l'Uned (Union nationale des exploitants de déchets). Une ver­

sion actualisée sera disponible au cours du premier semestre 1997.

Les chantiers

- Réalisation d'un guide de conduite de chantiers propres (réalisé et expérimenté par la fédération du BTP des Côtes d'Armor).

- Formation associée à la conduite de chantier propre et l'en­

vironnement en général (en liaison avec la qualité).

- Élaboration d'un logiciel d'estimation prédictive des déchets (quantité et coûts) avec la FNB, l'Ademe et le ministère du Logement.

- Création d'une charte graphique et d'outils de communi­

cation (logos, dépliants, affiches de chantiers ... ).

34

Les structures relais et l'élimination finale - Guide de mise en place des plates-formes de regroupement et de tri,

- Guide de mise en place des centres de stockage de clas­

se Ill (réalisé et expérimenté par la fédération du BTP des Côtes d'Armor).

Les partenariats pour le financement des plates-formes relais

Des accords cadres ont été signés avec l'Ademe, les ministres du Logement et de !'Environnement, la Caisse des dépôts et consignations, et avec L'Anact (Association nationale pour l'amélioration des conditions de travail).

Une déclinaison régionale de ces actions est engagée

- Méthodologie pour le développement d'infrastructures d'élimination des déchets de chantier, quantification et qua­

lification des déchets de la région, recensement des filières locales, proposition d'organisation de l'élimination ...

- Montage de Sociétés d'économie mixte, réalisations de par­

tenariats avec les professionnels du déchet.

- Promotion d'initiatives privées (diversification d'entre­

prises du bâtiment).

- Mise en place d'une charte avec les maîtres d'ouvrage et les collectivités.

Les actions régionales et départementales Parmi les régions et départements ayant pris des initiatives significatives, on peut citer :

- Régions : Alsace, Auvergne, Champagne-Ardenne, lie-de­

France, Midi-Pyrénées, Nord Pas-de-Calais, Pays de la Loire.

- Départements : Landes, Saône et Loire, Côtes d'Armor, Ille et Vilaine, Eure et Loire, Aube, Eure, Seine-Maritime (Le Havre), Deux Sèvres, Drome Ardèche.

CO-SENSIBILISATION DE TOUS LES ACTEURS DU BÂTIMENT

Face aux enjeux financiers considérables rencontrés par les entreprises du bâtiment, la FNB a lancé des opérations visant à positionner la gestion des déchets du bâtiment dans un cadre réglementaire et contractuel adapté aux spécifici­

tés du secteur, les faire inclure dans les plans départemen­

taux et régionaux. Avec plusieurs partenaires, elle a engagé des actions afin de diminuer les coûts, optimiser la gestion des déchets et permettre aux entreprises du secteur de s'adapter la fois techniquement et économiquement. Les entrepreneurs et artisans du bâtiment sont certes les acteurs clés pour incorporer dans leur comportement la gestion des déchets ; mais toute la filière, et plus particulièrement les donneurs d'ordre et maîtres d'ouvrage, doit néanmoins avoir conscience de l'enjeu pour la protection de notre environnement.

DÉCHETS -SCIENCES ET TECHNIQUES -N° 6 -2""'" trimestre 1997 -Repr-oduction interdite

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