initel est la réunion de trois techniques.
Le téléphone ordinateur la télévision
Le téléphone permet de «parler & distance>, Vordinateur permet de «stocker des informations et de faire des calculs trés rapides avec elles>, enfin la télévision permet de «recevoir des images provenant de loin».
Ainsi le posseaseur d’un appareil Minitel bran- ché sur une ligne de téléphone peut recevoir des
informations instantanées et extrémement variées sur eon écran et méme procéder & toute
sorte de calculs.L’outil francais Minitel n’a pas son équivalent
dans le monde, depuis que le projet Prestel n’apas été mené a son terme.
AVANT-PROPOS
Faisant appel a une technique nouvelle, le Minitel a été la source de tout un vocabulaire permettant aux spécialis-
tes d’échanger entre eux des notions précises. En revan-
che, il a rendu le discours de ces techniciens parfaite- ment incompréhensible a tout un chacun.Nous avons ici choisi le parti de ne pas utiliser ce voca- bulaire nouveau au risque d’étre moins précis. voire de paraitre quelque peu enfantin. De plus, nous avons émaillé nos explications d’exemples vécus, espérant ainsi une meilleure compréhension au risque de paraitre un peu long
Pour étre clair, je vais prendre un exemple, le mien. Mon nom est : CAMBESSEDES, mes ancétres sont originaires du Gard et notamment d'une commune, Aveze. J'habite Paris et ne retourne jamais dans mon village d'origine. Je veux s’avoir s'il reste des CAMBESSEDES dans ce village Ceve- nol, je demande par téléphone a l'ordinateur de faire cette recherche (ce calcul) et d’écrire sa réponse sur mon écran Minitel.
Jappelle alors le 11 au téléphone et je suis branché sur Yannuaire téléphonique, je précise ma demande : CAM- BESSEDES, département GARD, commune Aveze. En quel- ques secondes l'ordinateur a recherché la page du village d'Aveze et a l'intérieur de celui-ci a parcouru l'ensemble des noms des abonnés de la commune puis a affiché sur mon écran, tous mes homonymes habitant Aveze. Il y en avait six, je p’en connaissais pas un seul.
a) Histoire du Minitel
1963 : est l'année oi les ingénieurs anglais et francais ont créé cette synthése entre les trois techniques du télé- phone, de l'informatique et de la télévision.
1976 : l'Angleterre lance son Minitel appelé «Prestel».
1978 : le rapport de Simon Nora et d'Alain Minc en France sur ]'informatisation de la société fait grand bruit.
Le défi informatique va-t-il créér une distance infranchissa- 158
LE MINITEL
ble entre d'une part, les pays modernes de plus de 100 mil-
lions d’habitants, d’autre part, les Etats européens de
moins de 70 millions d’habitants.«Si la France ne trouve pas de répouses correctes A ces défis graves et neufs, ses tensions intérieures lui teront la capacité de maftriser son destin» affirment ses auteurs.
1978 A 1980 : c'est la période de gestation de l’opéra- tion les principaux protagonistes sont, Gérard Thery, directeur général des télécommunications au ministére des PTT, Jean-Pierre Souviron et Alain Bernard pour ne citer que les plus importants.
Juin 1981 a Décembre 1982. C'est l'opération Velizy, commune proche de Versailles de 2 500 foyers, ot les appareils Minitel sont donnés aux ménages tandis que con- jointement, en fle-et-Vilaine, 3000 abonnés au téléphone vont découvrir I‘annuaire électronique (celui dont parle Y'exemple du début sur la recherche de mes homonymes).
De 1982 a aujourd’hui : c'est l'explosion des distribu- tions gratuites, du nombre des appels enregistrés, du nom- bre d’heures passées a interroger les ordinateurs au ser- vice des Minitels. Le gouvernement en place : le ministre M. Mexandeau, le responsable des télécom M. Dondoux poursuivent avec succés et sans désemparer, les orienta- tions fixées par le pouvoir précédent.
lb) Les différents numéros d’appel du Minite
Il existe quatre numéros d’appel qui correspondent a des tarifications différentes.
eLlen® ll:
il sert & obtenir I'sannuaire électronique», c’est-d-dire Yannuaire de toute la France, alors qu’aujourd’hui un abonné ne recoit que «l'annuaire papier» de son départe- ment. De plus cet annuaire électronique est mis réguliére- ment 4 jour, l'utilisation du vocable annuaire n'est donc plus justifiée.
La tarification, en juillet 1985, est gratuite pour les deux premieres minutes. au dela la facturation varie selon le type de demande
En exclusivité sur votre minitel
36 15 91 77 puis MIMI, MIMI I.
MIMI 2 ou MIM# 3.
—— MINITEL
eo Le 613 91 5S.
C'est le service professionnel, par exemple celui per- mettant aux succursales d’un établissement bancaire, dis- eéminées dans toute la France, de centraliser leurs écritu- res en fin de mois.
La tarfication, en juillet 1985, est celle d'une taxe de base (0.75 i]
quelles que soient la durée et la distance.
@ 12614 91 66.
C'est le service grand public permettant de faire corres- pondre les possesseurs de Minitel avec des entreprises, par exemple les 3 Suisses, la BNP, la SNCF, Air France...
_ La tanification. en juillet 1985, est celle d'une taxe de base toutes Jes deux minutes. soit 22.50 F par heure pour les Télécom.
e Le 6185 91 77.
C'est la grande nouveauté en matié¢re de téléphone car d'une part Ja communication est facturée 60 F de l'heure, d'autre part les télécommunications reversent une partie
‘de cette somme aux éditeurs et jouent le réle de percep- teur au profit du secteur privé. Par exemple on trouve sur le 615 : Atlaséco, Mylwatel, le Nouvel Observateur, Libé- ration etc...
Le schéma est Je suivant en juillet-adut ot nous écrivons ces lignes :
~ Le Miniteliste usager paye 60 F de l'heure.
~ Les Télécom gardent pour eux 22,50 F de lheure et reversent a la société possédant I’ ordinateur : 37,50 F de
Vheure.
~La société possédant |'ordinateur conserve entre 17,50F 4 22,50 F et reverse a I'éditeur qui a créé le ser- vice, par exemple ATLASECO, entre 15 et 20F.
NB. : en réalité ces sommes sont TTC et la sociéte d'ordinateur peroit entre 15 F et 19 F HT et éditeur entre 13 et 17-F HT. en chiffres arrondis.
Ensuite i faut préciser que le cout horaire de 60 F pour I'usager est identique (réseau transpac) quel que sort le lieu d’appel, contrai- rement aux tants du réseau téléphonique habituel (réseau com- muté) qui varient avec la distance.
On assiste 4 une véritable explosion des appels sur le 618 91 77, ou fonction kiosque, depuis le début de
1985S.
U (en % et en millers d'appels) sept/oct /fev. (mars/avr.
NOMBRE D'APPELS EFFICACES PAR RESEAI
613 91 55 61491 66 615 0177
Total Total
Source différents documents de le OGT
NB oes chifires ne concernent pas le reseau 11 de fannuaire électronique
Cet accroissement est si fort qu'il rend hasardeux toute extrapolation. En effet, entre le trimestre sept-octobre 1984 et le trimestre mars-avril 1985, donc en six mois, le © nombre d'appels a doublé en général et il a été multiplié par 7 pour le seul service kiosque ou réseau 615. Corollai- -rement les services 613 et 614 perdent relativement de
leur importance.
Le service kiosque a rencontré un succes tel qu'on est en droit de le comparer 4 la promotion immobiliére des années 60 en tant que phénoméne économico-social.
Il est si spectaculaire qu'il serait mal venu de faire un procés de mauvaise gestion aux Telecom, en juillet 1985,
‘Tes réseaux téléphoniques véhiculant les appels sur Minitel (réseau Transpac) ont été saturés conduisant les minitelis- tes a obtenir difficilement les services qu' ils recherchaient.
c)Les parties prenantes de l'opération Minite
Il est possible de les classer en 5 catégories d‘interve- nants :
1) Les télécom
Ce sont les maitres-d’ oeuvre de toute l'opération comme nous Je disions au début de cet article. C’est-d-eux, et natu- rellement au ministére qui les abrite, que reviendront les mérites de I'affaire ou les critiques acerbes si cela devait mal finir, nous ne le pensons pas 4 Faits et Chiffres.
2) Les Fabricants de matériel
Ce sont les entreprises industrielles qui fabriquent les matériels. Ceux-ci sont nombreux et !'on doit citer les appa- reils minitels, les ordinateurs. les impnmantes permettant de reproduire sur un papier le contenu d'un écran,les enregis- treurs permettant de conserver les informations sur l'écran sans rester en ligne donc sans continuer 4 étre taxé... Les entreprises a citer sont nombreuses : Alcatel, Matra. ..
3) Les services d’ordinateurs ou «serveurs»
Ce sont des entreprises de services qui d'une part, gérent leurs propres informations et d'autre part, louent des temps d’ ordinateurs pour les éditeurs, tel Atlaséco, qui
n‘ont pas d'‘ordinateurs. :
Par exemple le serveur d’ ATLASECO est celui des NMPP appelé NOVAPRESSE. Ce serveur loue des heures d’ordi- nateurs et posséde également ses propres éditions, par exemple le jeu de la boule.
4) Les sociétés de conseil
Elles permettent de passer d’une écriture papier a celle de I'écran minitel. Les spécialités sont nombreuses et variées. En premier lieu, citons les informaticiens qui créent des logiciels», ensuite les secrétaires clavistes qui composent les textes dactylographiés en texte minitel enfin, les dessinateurs, par exemple celui qui a réalisé la tate du Joker de Funitel.
5) Les éditeurs de Minitel
¢ Ce sont des entreprises qui désirent s'adresser aux mini- telistes. Certains ont intégré le réle d'éditeur et de service
d’ordinateur (c'est le cas de la SNCF, des banques...) d'autres non et ils en sous-traitent la réalisation technique (c'est le cas d’Atlaséco ou de Mylwatel).
Les informations fournies par les éditeurs sont trés variées ; elles.sont soit internes aux entreprises, c’est le cas sur le 613, soit elles sont une transposition du support papier, c’est le cas pour le 614 des horaires de la SNCF des relevés de banques ou encore du catalogue des 3 Suisses, soit elles sont une création nouvelle, c’est le cas le plus fré- quent pour le 615 et c’est toujours le cas des services qui fonctionnent bien.
Les informations rencontrées sur le 615 sont trés nom- breuses ; on peut les classer ainsi :
~ des informations. Flash d‘information politi- que, petites annonces, ventes de l'Hotel Drouot...
-des jeux. Par exemple le pendu d‘Atlaséco appelé le «Crocomot» ou le «poker» de Mylwatel ou tous les jeux de Funitel.
- des tests, par exemple les tests de connais- sance d’Atlaséco ou ceux du Nouvel Observateur. A ces tests on peut rattacher les horoscopes, la numérologie, la graphologie...
~ des messageries. Il s’agit de permettre a plu- sieurs minitelistes de faire connaissance, et, s'ils le dési- rent, de se parler sans que les autres minitelistes puissent lire ce qu’ils s’écrivent. Par exemple la messagerie de Joy
«aime moi mimi» ou celle d’«Alinen.
ya fort 4 penser que d'autres idées vont bientét surgir, méme auront déja une existence lors de la parution de l'article. Nous pensons notamment a des jeux entre Minite- listes, 4 des jeux d’enfants o4 chaque jeune miniteliste pourra dessiner ]'animal de son choix sur son écran, enfin 4 des concours simultanés entre cent voire cing cents per- sonnes...
d) La progression de l'implantation des appareils Minitel en France
La mesure de la progression de Minitel en France peut
&tre effectuée de plusieurs facons. Nous avons pensé que la meilleure, car assez fiable, était celle relative au nombre d'appareils distribués aux familles et aux entreprises a laquelle il faudrait ajouter d'une part la capacité d’accés au réseau (nombre de personnes pouvant appeler simulta- nément), d’autre part le nombre d'éditeurs de services (par exemple ATLASECO).
EVOLUTION DU PARC, DU NOMBRE REFERENCE DE D'ACCES, DU NOMBRE
MINITEL DES EDITEURS DE MINITEL
{en nombre d'unités)
juin 84 | déc. a Juin 85 | Odc. 85
Parc de Minitel 285 000 | 530 000} 900 000 | 1450000 Nore d'accés -| 5000] 13000! 20000 Nore d'éditeurs 500 850] Got 200| -
(a) reference de mars 1985
Source différentes publications de ‘a DGT
MINITEL——
La progression du Minitel est saisissante. Pour garder des chiffres simples en mémoire; disons: S00 000 appareils ont été installés en 84, un million d’ appareils Yont été a la mi 85 et un million et demi d'appareils seront distribués fin 85.
Une autre facon de garder en mémoire cette implanta- tion de Minitel, en France, est de dire :
4 Ja mi 85, il y a un million d’appareils chez les particu- liers ou les entreprises et les 23 millions d'abonnés au télé- phone ont été saisis en mémoire dans Fannuaire électroni-
que.
Ainsi en juillet 1985, au moment ot nous écrivons ces lignes, I'expérience de Minitel commence en grandeur
nature.
e) Coat et rentabilité de l'opération Minitel
Il est nécéssaire de répondre a la question & plusieurs niveaux correspondant aux cing parties prenantes' de Y'opération comme elles ont été répertoriées au paragra-
phe (c). ?
Cependant, nous pensons qu'il faille se contenter de l'analyse du cott et de la rentabilité de trois de ce#cing intervenants qui sont les Telecom, les serveurs et les édi-
teurs.
1) Le coiit et la rentabilité pour les Telecom
On estime que le développement global de Teletel, depuis huit ans environ, a coité 3,4 milliards de francs aux Telecom jusqu’a la mi 85. Cette estimation est naturelle- ment difficile 4 calculer car la définition du développe- ment est floue.Cette somme représente les commandes des appareils pour 3 milliards de francs ; les aides a la création de logi- ciel pour 300 millions de francs et enfin les expériences et les aides diverses pour 100 millions de francs.
Ce chiffre de 3,4 milliards de francs sur 8 ans, soit envi- ron 500 millions de francs par an est 4 mettre en paralléle avec les déficits ou les profits des entreprises nationali- sées.
Ainsi Renault a perdu 12 milliards de francs en 1964, EDF a perdu 1,7 milliard de francs en 1984 mais avait perdu 5,7 milliards de francs en 1983. En revanche, Elf Aquitaine a été bénéficiaire de 3,7 milliards de francs em
1983
16
Les frais de développement, en clair le risque engagé, sont donc relativement faibles. 0 est sans commune mesure avec le risque du «Concordes ou celui du
«Nucléaires.
Pour évaluer, non plus te risque mais la rentabilité pour les Telecom de ]'opération Minitel, il faut choisir pour base de raisonnement !’exploitation de ! appareil du Miniteliste moyen, l'amortissement de l'appareil étant prévu par Yadministration pour &tre effectué sur 10 ans.
Cott d'une installation d'un poste minitel er
Coit du terminal = 1 200 F
Colt du réseau = 400 F
Divers, entretien = 400 F
Economie sur annuaire = ~ 200 F
1 800 F Dépense reelle =
soit un coit annuel moyen de 180 F
Chiffre d affaires des Telecom pour 30 minutes par mois
180 F
Redevance des télécom =
Location d' appareils = mémoire
Total = 180 F
NB ces chiffres font référence a la tanhcation en juillet/aout 1985
JEUX
MINITEL ——
Ainsi, en chiffres tras simplitiés, les Telecom ont un compte d'exploitation neutre si les béndficiaires du termi- nal minitel l'utilisent en moyenne 30 minutes par mois, c'est-a-dire dépensent en moyenne 30 francs de minitel par mois.
Les premiers mois d'exploitation permettent de savoir si Y objectif est atteint en divisant le nombre d’heures de con- nection obtenu par le nombre de terminaux mis en place : Sept-oct 1984 : 867.000 zl
400.000 2
= 42 minutes/ mois
Nov-déc 1984 : 686.000 x 1 800.000 2
41 minutes/ mois
Jan/fév 1985 : 935.000 x 1 ~ 47 minutes/mois
600.000 2
La réponse est aujourd'hui claire. Le temps moyen passé par chaque titulaire d’un terminal rend |‘opération renta- ble pour les Telecom puisque le seuil de rentabilité est inférieur au temps moyen de connexion mensuel. Ce der- nier étant de 30 Minutes par mois. De plus ces calculs ne tiennent pas compte des recettes en provenance de la con- sultation de l'annuaire électronique.
Mais ces heures de branchement sont le fait, en grande partie, des nouveaux bénéficiaires de I'appareil.
FUNITEL
6158.91.77 + FUNI
Modifier tout @ loisir un personnage sort d'un 61591.77 + FUNI
61S91.77 + FUNI
Augmente: votre capital de départ en obtenant le gagnanies.
bon
Plus possible de combinaisons FUNITEL
le ext
61891.77 + FUN) 61891.77 + FUNI
Si vous révez d'étre !Argene Lupin de [ere informatique, ouvrez le coffre-fort, mais rouve:
Gabord ta combinaison magique.
61591 77 + FUNI Larousse.
61591.77 +.FUNI unt mot nouveau,
FUNITEL des ett 6159.77 + FUNI
Le but du jeu est d'augmener son capital en misant sur le bon numéro. Bonne chance !
61591.77 + FUNI
Vous choisissez un mer de 4, 5.6 ou 7 lettres. Vous devez former un mot nouveau en ne changeant qu une seule lettre
61591.77 + FUNI
J niveaux de Jifficulsé (5, 7 ou 9 erreurs), FUNITEL
Le carré i
61591 77 + FUNI
Un jeu a deux contre ordinateur. Le premier qui Parvient d aligner ses.3 pions honzontalement,
verticalement
Le jeu d' Armand Jammon arbitré par le Petit FUNITEL Mot a mot
Vous choisissez un mot de 3 lenres. Tour d tour d Taide dune letre supplémentaire, vous devez créer
16 allumenes sont rangées par ranges de 7, $, Jet 1.
A suffis de prendre, ¢ votre tour, cusani d'allumenes 6158.91.77 + FUNI
Jeu de cartes. Votre principal partenaure : la banque. re
162
que vous le désirez. Mais aention vous jouez contre
‘ordinateur.
(0
Aguanbas4
aud, pue asing j2IQ :O
xipueddy
.
“Wweibeig
oer
euoydas
| uk/NPOW
ig
xXipuaddy JUBWUDISSY
Uig
JO}ZUUCD
QZET-SH
2W
xipueddy uonesdg
ZE
suonouny
|e
uoljeJadQ
pue
suoloUNnY
3g
4adeyd
‘sjuawubssy
Uld
DZE~SH
VIF OF
ssajyowiesed
AQuanbai4
67%
spuepuels
Asjsnpu]
BZ
soepsajus
WaIsAS
{°7
anbiuysa]
uoiejnpoy-
OZ
uolez|uosysUAS
GZ sapop
uoned{uNUiO)
7°Z sajey
uorssiusuel{,
B1eq €°Z
sanobale)
ZZ
wepow
esi leu LT Asay]
Wwapoy-
*Z
4aldeyg uonewsoyu;
Buapag
Eb
OOH OM
@ uoleayloads
Z|
ae
se uoijonpow|
bob
C) uoleolloadg
pue
uOLoNpoU]
+1)
waIdeyD
sa1488 OOOL-OM
&
SiNALNOO
9
(e}
Be DEC SY
:
ELS,
AdLI
A
JG
UVAL
“sOLAL|
“ert.
“ywous
“OVAL
andu) weMog
“wap Cy
:
(SUAS BANBS2 YY
sauossaace
papnhyauy aponey WUUSURLL
“wading 1iny
$dq GOT
LIE
ZA
Ld
“xgjdnp yey sdg Zt ETA LASS . np ny
sdq QUE
TE
ATA A LIOD
“xajdnp
ny $a9 QUEL FE VEE
VS
“xajdnp
jin}
sdq QOL He EOL 1138
Ip
3S1Nd
26
ANOL
rBuyje1p euoyda|a.
“ype!
eynpGus
t b-fd
woRpeul
auoydejai
we
GOH
SEZ
Su
seaepsazui
awyndwod oA
Qnediwos
WapoW
“40430
“siy GOs J 3u 1B
ppo
‘sq
eiep
g 40 2
shOUssyoUAse
"]
sxajdnp
4184
JO
xajdNp
iM) suq GOZt
‘xajdnp
110}
$dg OE
©} 0
10221 B3eQ
yewid;
880 ssuopeoiyssads
= Z°L
“wapow
41199
Wa
BIQNedWOD
S!
BUdYyd-wepow
Sut
“aa uad uo eUo;U!
ase EILP
OF
/eUIGT
PUe Ysou
oy
jeuiWsed
“JeU{WIe}
OQ}
jeuluuG,
ssuoneaijdde
yo
sadAr
ye ul
pasn
aG
ued
34
“SisylO
+
pue D0
“NOVHS
O1OVe
“31ddV
WEI epnjour
pasn
oq
ues
‘
yey) sszindwod
jeuossad
ays
“SB9ep181U1
D ZETSY
VIZ aney ey)
;
ssayngwos
jeuosiad
pue 310 wim saiejado
Wepow
oy]
goad wuo jewsou
& sc pasn
eq
ued auoyd-Wapo
Ud
¥ JO
WaPOW
SB149S 13H
4
A
yOu
Ss
WSPOW
BY.
BayM
SUC
weoydde
uj
“uoloeU uoydaa
B42 Joy BUOYS
LuepOw
ay qin, poysiuiny
$!
ep
aeyepcia
uid y YY
“euGydaya)
Gul) Ong paBpuels
&
YM auoud
ay Aq
paivuibue
ait
Sed
seul) auoydela,
AseuIpso
aang sdq
+
00Zi/sdG
DOE
oO dn
spaads
ye
Wepour
sr
susyaUAsE
xeldNp
WN}
€ pue
avoydala;
© Se
sapesado
yf
“Wepou
PUe auoydajal
jes6ai u!
we
saumjeay
eur yonposd
|S]
ve St
auoyd-wapow
aut p 3S1Ng
20
ANOL
‘Bunem auoydatal
pue
“AOZZ
49
ATL
‘aBeyjoa
samod
Ay1oads
asesid
“ON
<
uononposywuy
Lb
“auoyguapowy
2Z/LZ'A
LitD3
200E1-GM
ISPOW
“Py
sauoyguapow
VZIZ/E04
1198
s00ZL-GM
ISPOW
'E
“auoygwapow uooauUuadsIP
OFM UTM ez/lIZA
LLI99
19001 1-OM 18POW
“7
-auoyguapoy)
EZ/1ZA
LLIOD
200L1-GM
ISPOW
“LE
SNOILVOIdIOadS
GNV NOILONGOYLNI suoneuUuosu
BuyiepsO
E71
‘L
HALdWHO
fa]
INQ 'SuONDa4sIP OMA) U? UOISSWUSUeL SapIAOJd UOLPIIUnWIWOD xajinNp -}IEH “baS UOUSIAaI3} BWOY INOA St UONedIUNWWOD xa|duS jo aldluexe
uty Buipuodsas jo Aem OU YIM A[UO UOI}DaNIP BUO Ur UOISSILUSUE.}
40 S]UIOd OM) UsaMjaq UONedUNUWOS AeM-wUO BuIpiacid “ydeoidde Asejuawala 1s0W ay) S! xaidwiIsg (Z aunhi-4) xajdnp jin} pue ‘xa\dnp
HEY “xajGuuis “sapous suOneduNWWOD juss} Gast aie Biay)
sapow uonesunuwoD 97
43)S8; Pue sag ¥Z HE PUed apim Pue “SAG YOi Ol OUQE wepouw pass uyb'y SdQ OOpZ 91 OOZL ‘wapouw paads uinipew ‘saq QOg O} dn ales liq
‘SuuapOWW PAAUS MO") SMO{IO} SE St UONeZUOBs LS ay) (SAG) Puddas 3d SQ Ul BIEP PastWsuel yO ajes saySUBsl PN} ay AG PaulUelap Bie sujes aSayy “Luas si jeuBis ay) yor Je paads ays 10 aes UoISSIWSLEs) Biep Heyl Ol l9adsas ylim pazuohales Ajjezeuab ose swapoy
$ayey
uolssimsues,
BEG FZ
aoepalur OZE2-SY WIG aul AQ pasodul voNetui) 1OO}-G 8y) puddAsG
(4a)
NdWwod-iulw
& pue yeutuisa 149 $e YyoNs) MAaP
jUslUdINDS
peulwiadd
e]eP OMI UsEMjaq BdULISIP 8yGed ayi PUalxd O) Pasn ale Pue “SUBpPOUl
[PUI UBAUGI 1O4
SBINLISQNS
PHIG-MO)
Ge
SIGLEUIWNS
WUPOYY
suONed|dde
ajqeed
sy pusr
Ayjeasuad
we
s.ajdn0d
DuSNODY
SBUNPSUUAL
uA, PUB Ja] WSUE dL I4SNOIE
$48/CNGI
ays
Pe|pHd $1 yorysr
‘laspuey
sUdYdalal
jLUOMUBAUOS
L eA
Peluswadusl
$1
WON aud
DSHOVE
BY,
YOMJeu
suUoYdajsi
vyL OF
JUdWIGITIDS
[Lule
BIEP
;IBUUOD
AJPISNOIe
IBYyL
SWaPOW
ave
Ssaj}dDNOD
d1,sNoIV
Su, QO Og Ajed1dA} Ss! Pue Paads
LOrssiUsUBst
ayt AG
Pulliu-| Si sURYSIP
UOISsIWSUs
| “SaLI|
AuRdLUOD
BUOYda|al
B]EAuc JAC
AG GOSH GO
PA|JEISU!
SAUIEL
PAUMO
A[B]eAUG
AO SSN 104
paubisap
vit
SWBPOUW
GOURLSP
PAW SE Ui
Pasazds
OSe
“SWEPOUs
(NEY LGUs
“yJomjau
suoYdalal
PaYydIMs
I1gGnd
BY) UO aSN JO}
Wapow
ney Guo} e $s!
Wapoud
jeuosiad/aucydwapoui
YL
SUONBS|TGE
PaedIIpPap
PUE
PAYIMS
YING 10;
s/QelIeAe
Ge S1dYiO
ILS PuR ‘vUl,
BUOYdajal
Pasea; @ UO ASN
PaleaPap
104
AjLIIs
peubissp Que SuaylO B/IYAW
'YOMJsU
BUOYdaTal
Pays
I/;GQnd Syl UO BSN 4Oy BUULIIEAE
Ase
SUONEIIUNWUOD
PUegadIOA
10}
SWPOUL
(Ney GUO}
@Qeo jBIxeG9 sO BNO swQiy e JaAO VO
Ned1UnWWOS
104 SWIGPOUWL
Puke "{sseApP au)
SIOFeUIUGa
WaPOW ‘s.ajdhv2 diysNoDe “swapou Inky Geys Pue Bud) spnjoul
sauOBawo
vy, Poplars aie AgYyr YUM JO) UOURI de By} Od
Bulpso3de
BoUeW
IO ped puke sua ese Dur lied
Ur dy YOIYM “SaUGbEES Luddy pp (LL ey
sauobayeg UIA
ZZ
2 |
Cee
Pe ee
hole {eee}
is Lon
iv
saeleuilied
oud DOU BAG EYLP .Lybrp, Gere oss pe
anit anna i25
2 di wes wer epeubis b: Pas NALLY ay WU ay 9jEL Ave BBE Ca, be GopeuL parwuysiyius
t APHIS ot goue
ub WUPOW wy, 1d. teh Lop pu peedsp Ub fapow yo ur sslOd Luspota val ays SE sty ELkp UaiAs sol! uy OA | ubs bojeul ty puUbisdp, SUM qa ier Se NA ty SU GSE BY) SEM EYEp ps Guise ae ap Wasos UIA Jats Buu Wd, ute] LUOS
Paglia]
LON Paluisula
ay ug pRy uo SAS aap tidias, ea Mu) hao] Suu aigh Enuye ryt ay
jlaaadenibes GABA cd tps
SUE:
WO] ore
2B Gdul byep BALAG Wat vy Wudly Pa} seal xo st abe ssolu
i puus Byi UO UOTE EPOMeC]
jeub.s
1
oy lh . JO ssuoted uywAGs Jyb SE Puky ale
qUpbip petnbr i aig pUaSantaa OL Pp POUL Sr vadls be ogi 1A au CSUR; (Oy POLINS sazeaQ) aoe Sunduud wsOyw GAuAA Jarl E TSIYL p Jab Oy
“sjauubyd
IsshuSutay STOUUA Gy) 1wAU pues Aj}QaeP AG IOUUED z Situbis anes 18 FUE, GyL sr asneawd) pus se uw IP LOWE
powep
Puy vor
eynpow
sp AA BY) yO GUL IEG Eos! uiupOus BULU dy]
Ewopow esi3seUM
LZ
AYOAHL
WIGOW 7
YALdVHO
tel
BIQNedwoOs
AjjeyG}
Ajessaoeu
Ou @uB
SUIBISAS
OM]
ays
‘sdads ag aud yO
Aves O} | esed uns pL 1D JO
SPaepuels
AY
SYM
Ing
“‘SuoedUNUWOD
BIEP
104
SPsepuess
41E1189 spuswwoaes
(11199) gayiwuWo0r)
aaneiinsuod
euoydasy,
pue
yderbaja)
[BUN EUIOLU]
au)
‘jana,
jeyoneusayul
ayl IW
sousiszaiQeseyd
aouewOjysed
Bunutud Jalap
104
spaepuers
ewodey
wey siuaWdiNba
$,11 40
Auew
1eyl
Yyons Aujsnpul
uoHediuNUWWOd
“Sf aus
Paleulwop
Ajjeuo ped sey’
104
“WalSAS
|}9G ay} 18S
Use aney spsepuels
Aasnpur
“ayQussodu!
UG!)
esiunwwo2
Bulyew
snyr
‘suaisAs
ajquedwoour
Ajjeyor
ul
1/Nses
3,40p
ea
yey asnsus
Of
\dwiexd
“GRy SMys
Passnasip:
Suajausesed
Buy Ul
SUOH
spsepueys
Aysnpul
3°Z
“aul paleaipap
Jo
“‘pasea|
“alealid
"4,0Anau
YI)IMS
40
Jelp apntout
saul]
auoydeja;
ey}
02
sadejJalut
uowwo)
“OZEz-SY¥
VIS aul YIM
s!
jeulwiay
JO
say;Ndwiod
ey)
OF
aoeplalus
uoWWOD
1S0tU By
“suone(nbes
QD4 pue suogediyloeds
yallied
UOWWOS
But
AQ
pauiwla) -ap
ue
sudl}auuc?
asey}
4O
sjuawasjnbas
jenjoe ay,
“spoyjew
vd Bulsn peyQauuoa
aq
Ued Pue 82e}
43}!
lel6p ajgnedwos
y1a
&
Seprroud wapow
jeuosiad/euoydwapow
ay
| “se
yeads PUe BUCYdOJIIW
&
yBnoiud 14433
|e Ayjeausnose
10
‘(vv¥)
juawabueswe
ssaove
erep
e
ybno.y
A
“‘spoyiaw
UOWWUIOD
OMI Ase
B18Y
Apaucud
alesado
G4
13ps0
Ut
Jauuew
AWOS
UI
4-OMou
BUOYA,a}
BYyL OF PalsauUGE
ag
isn WEPOW
VY
aoepsajuy
wsaIsAS
2°Z
serojuures
veiduiis Aoidua
Wed
suMpoW paads-mo)
sauEU>s UOHFINROUW Snieados eynber speoas vorsyustven
ube
era
Ned
py
Prg
Nous InuoN
wagow
aon
indiane
LAS
AA
SO
SSats assure
eSIE S22 SET SY Nol
TAQGNW LSA
OAL
“SNanOS
ES
TVWNDIS
AOA
DOTVNY
lL.
Jwnais TW1I910 sates sdySURsy
2aYyd.Y
BAUIYIL
Gy
ELEP
yO sa1G
Guus DUMgoHU
%
“elep 40 $1Q aid)
epoous
oO} YO!
eNPOUW
aseyd pue apnitjdwe
yioq
SAQ|dusa
i]
“UONe|NpOW
apnyijdwe
aamespend
payed
s!
“suapow
paads zaybiy
ul
padaidua
pue pareoysiydos
aiow
Lard
S;
YIM
‘anbiuyaal UONBINPOUW
Pslyi BYL
“Bes
4IO}D samo]
e Ie 40
sus]
Soy UI
palin
-subi]
aQ Uk
UOIewWuOyur
asOW
Ay)
SUG
yorum
Burposue
eyep [sAa}
saybry
Stimad
anbiuyoad
siyt uolewsoyur
AuanBas;
yO
pss!
udly
-euOpu!
abueYyr-aseyd
se
elep
ay)
Syusueds
“~HSd}
Burda»
2y1US aseud
‘andiuyoa
UOHe|NPOW
YOWWOD
puosas
ay Ayaanioadses
“Saovds
pur
syseus paljeo osje
“$0Jaz
10
sauo 3/604
OF
puodsesio3
yaiym salouenb
-ely OM) Je
pa}iwsue?
S|
elep
“AwWa4S
S\4I UI
“smapow
pasds-™0|
ay) AQ tug ipias Aouatib.
|
pedAvdus
st ys
Wuasis
By
(Bey
edS) pur
rascydey
Oud
satus
youd aarsul
Oo}
pawnbyus
vnb.yos,
woe
UWL vy “deb! vtusieal ge
paads Sys Puk dul UG YU} ESO. TUES CLEP yo ab aul Sy
sanbiuyde]
uoneinpoW
9'Z
sir] aG.>
od
yO
GWoISsHUISUEA)
DUI:
uEU
Sry. sun: ZO SPO std Zia
QUAS SadABP
wey]
UUs Sub Yous 50
Beruenbog
UG WeZ 10, J 20 924, 0bue
SUAS
YONGY)
PRdGHfIE
y:
sTIiAEG|
fur,
ulsuty UaaMlag
UORBZ.uOsyoUAS
“ARNOUG
UAL Ge.d2
StvepOla
“UO Bud
yay 130 ,U! JO
SALNOWE
sAB sey BU pues
“Spesds
49h
foes
YL
j UOIS pue Is BYL HQ dols ay)
Buralw2es
203 jU sesto2
ELE yO ue
Pusu.
RIL Ud, [ea PaAWISs
SLIG IX8U dys
SMOUA
.sAiGoG-
eda Ap aS BU Pa ti ee
@71UOIYyIUAS
O1 aa
PLsEK:
pr
edie
3 due Adee GOLLY sa]Deskyd
BY)
BUieay JAYS S31 UorSs
BL
juas
JARVes@yd
UONHBWIEG;-
YRS |
ual.
-SuBay SNOUOAQUASE
BSN
ULE
Bat 1
stuepu
ts Ue rete dees AAD]
ISOYY
“AIO[D
8 eA!
Sui
“sa
ZlUOIQUAS
EIEP Pus sasut
uoneZuGiysUAs sop
GZ TUONRSSIUGES
URS
47
PAG
puke
sUONEd
doe
ped.
eh ty cea
Norssimsnvar
. .
me
nvm
aenan
gs
snoanws
inns BJ
aweiviva
awl
iv aM
Series
Py OD
NG ANG IRE a vr v aS
NOISSHASNWG2
TWN da bedi s
Wie
J UME
wutwive
Lo
aNe e — v
NoissisNves
Tenia
3h TUN dL
eames AwACL
NIT WivG
XB,UNP:
[Ay WG XB gly Ar gkuE
Sapte
assy) @uO Aue ul pasn aq veo
Wapour
Ey] tet]
JO) Pasn ae ey
SEPOUs VONCsaMGUIES
40
SSNOISIP IGU [IAA BAR
“AYSMIUAUES
NULLS
SULT
1 : vad
“SUes) BBYM VOLESUNWWGCA
,O
BPG
diy St
Xap
Aytae
ly
jouueys
ajBurs e uo
Ase
WS JOU PONG BAW I. PGE
poalburta
+ ar
APAIPU!
YIOG waeYyAe ODEs t TAL re ete
Au
:
[6] :
uaa Sey 4912489 ple |e ey
SHedIPU)
+ | suG seD
LILG):QQ
-g JBuB!s 18430 ai 104
aduaiajas
Jd
udwwOo)
ipunag
{ Sep puas OF sybuje sii) deya
saleoipu;
(puas oy seal) “S19 -g
“WapOU
ay) GA Puss O1 eyep sey
;eulus,
BY)
StusGyu!
BIG ay) dey) jeuBis ayy (pou Siu op ALG aus Ol
pasajsuen
sr
wapow
ays AQ
psleynpowsp
yaad Sey 4By) elep
parades
YOIYM AG Yikd (elk
Parse}
GY EF
“UOSSILUSUB4)
JO} BlEP aYyl
ale;npow
ues
wapow
ay dey) OS 310 34) Aq
palesauab
si jeubis ay) eleg
peliussues!;
-Gi 2
#t Nid
juawiubisse
uid
10)9aUU0D
QZEzZ-SH_
Oe
[8]
Suv ZA 111909 610 ZA $1199 | Suv ¥ZiZ 1188 50 WZ iZ Hea
\
(asda) Pawpurs
ébe | 0 £86 ie) a a } 49eg ZOZ Wee o6e | Osv | O6e Osy <= Sé 4?FE EZ A L119 O0Z1}; OO@Z | COZ} O0zz 0zt
Pazenb3
Z0Z leg O0Z1| O02 | COZ] OOzz 0071 COZ Wea O0Et} GO1Z j OOE1} OGIZ oozt NDZ % POW EZ'A 11199) OUEL} GOLZ | OoeL} OOLz o0z1 Z Pow EZ A 121199] ooel} ooze O0Ls og Lepow £2 A LL19D C86 | OBiL - oss. oot Suv IZA LLIDD 0991} OS: | Ga6 | O81: oor biG IZA 11199 421] GZO1 | s2ze} szoz OO suy E01 1 G22Z] SZO2 | O71} GLO1 oor G0 £0 27H | 2H | 7H | 7H {Sd8} (xS4} z bers | yew) evedg | yey! soeds | xejdng! sey
evo,
#—L__f
|
| pneg
purpuais
aemsuy]
Aauenbsiy
|
Aauenbesg
r ered
onwoay
muse
| | i
SHALSWVEVd
ADNANDAYA
67
Spuepuels
(8)
14199
Pue (Y) 18g
JeINdog
xed
eH Sa COUPE é
audigy
gies} to
| ang
Es url hate kU is AusPa
ee ue asd we i ASG ns Set i wS4 . pis
ANDINHD3AL
NOlLVaesa0
Gass
UYVUNV
is
SNIGOON]
a
seeeperes
|
cas
2SMOj|O}
se aie
10]98UU09
BYI
jO
SUOMIUaP
Ud By]
“BIGed DZETSH
© BIA
[eUl
-4a)
40 Jo}
NdWeD
ay}
O}
Wapow
@y}
$}98ULGI
10]39eUU09
ays
‘sapndwod
pue wapow
au) uaaMjag
eoe}1alu!
ay)
se
sansas JOIDAUUOD
Si4L 0j98UU09
OZEZSH
“umoys
se
adaid BuoYd
O}
S}9aUU0I
uy
:yoef adeld eucud
“aul
auoyd -aja) ayy
OF
BUOYD-WaPoW
syt
sydauUdd
31
'@|qeO Hryjd-o}-Bnjd
uid-y ayr Guisn Ag ‘aui}
auoYda|a}
ay)
OF
Wapowd
ay) saoejia}ul
yoel sty
sypef eur eudyd
“yuaWasiNbas
ay} 10}
a{Gelins
S| oldepe
samod papnpul
Sul
“yndut yamod
Wis 00S
‘OV AQ sez!nbe.
1}
“yoef indul damod
© Si
Sty) :oel 1aM0g
sasn
,,auoyd,,
2ut
suajua
Aeoiewoine
sudyduieapou
64} pug
,,440.,
Paws
St
Jamod
aul
‘uonssod
,,440.,
0} 188 NOA
uayAA
“Pasn Ss)
suvydsjal
out Ajuo pug auly ay} WiGs,
PA}DBUOISIP
S$}
WSEPOW
Su) ‘Sast
BUOYd
JO}
auoydiuepous
all
jas NOA
uayM
“UORDUNY
OU Sey PUL
PAlIaUoISIP
St
auoyd
pue
wapow
@
Se pasn $s!
audYdWepoly
Btyt ‘ssn
Wapoud
Oyduapous
ay? 19s OA usu
‘suo4deja)
pue Wepoui
tsasn OM)
Sey
sUOyTWepPoud
oY
t
suepow
sauoyd/HO SUG JR dub
suiuplous OM] ays
AlUG
fy]
“BPOL AMSUE
YE
Gs
wiapous
bul [fed BY) 1S OF
Aupssaaau
A
jas aq f/IM BuO
JayjO
UY)
MOS pou JeAsu tuupuus
Burpyed
ay
“Apes3
Ye
jas
$I
Wiupow
pal|2o
pue
spo sleuO
4e
suas) BPOU!
JaMSUE
Pe aS
ISM WUPOUs
s4IVUE
Bi
“gpow gyeulblo
4e
jas SE
WEPOW
BUC 4]
“BPOW 34A49;,!P
& Je Jes
{snus wapow
ysey
seule YORE YM BIBIUNWUWIGS
OF
PePwsu
B4e
SWUISPOUW
OAL
“WapOUs
Bit Bu IAS SLL
ryapims
sue
/6t40 jesado
vay
‘@POW
swMSUB
JO
BPOUs
@EuIbIUO
Sidujas
y “puepuers
Asjsnpul
"Z
saydeya
0}
Jazas aseald
“paiepio
pey Nod yeu, Wapow
jo
|epouw
aut
uc
spuadap
pado|dwa
{xaydnp
|jny
JO
xajdnp
yey) yoreinpow
Sd
30
yonenpow
WSJ 4eyi!e
*ajea eyep sdq OOZ|
&
eum
“yanamopy
‘Wuunweds ayy ul jauueYyd
iUaleysIP
e
Sa}dngo0
yes ybnoyye
‘upImpueg
eu) auoydaja
yo
JUNOWe!
ewes
ay} ASI
[|BULEY?
BA1V994
pue ywusued
e4r
ylog
AynouaiyouAse
xajdnp
J Se
WOWSnUsues)
CLP sdqy OO€
peads
sao]
“ules BLP SAY OTE
20
Bes Eiep SUq UGE
$199195
LD
}iAAs Sty) syoatms OOZL/OOE
foul
PUPAE
gd wey doy
pgm
e
es
a
,@
©3
4 asda 4eM Od 3
1 © ; 3
©
i eee
J Mes
Lewd Det oa ei
ari o
HONIG
1Ued PRIS VauGug
amd
ie ee) Ce
WePOW 8UCUd HHO dU suy OOZT OOF noe]
aoa auoyd
——————
s0;¥21pul
QT ~
ouz1/00€
bud su wapow/eucud/HO
Apoquiew noel
1aMOg—:
y2ef
auj)
@UCud——
40498UU0D
D-ZEe-SY———-
save)d
aucud
uy;
Duinbuids
AG
putas
VY UL
SAE
OM) BUL
viqes
uid-p
B Aq
soysabor
py
deuUOd
8
Sava
OM ayj
APOQGuleu
pur
sadvid
BUOY
Sy ©
SaduId
Blesedles
OMI Sof buy auc
depo
Sq
suondioseg
jaueg
Lf