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Viser l excellence 1

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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ous prions mal, et nous le savons bien. Mais il y a mieux à faire que de nous en lamenter ou de culpabiliser à mort. Je vous propose d’étudier ensemble une prière qui donne envie. C’est une prière de la part d’un grand maître, qui peut nous mettre le pied à l’étrier : l’apôtre Paul. Lisons ensemble le début de sa lettre aux Philippiens, les onze premiers versets du premier chapitre.

1 Paul et Timothée, esclaves de Jésus-Christ, à tous les saints en Jésus-Christ qui sont à Philippes, aux responsables et aux diacres : 2 Grâce à vous et paix de la part de Dieu, notre Père, et du Seigneur Jésus-Christ ! 3 Je rends grâce à mon Dieu pour tout le souvenir [que je garde] de vous ; 4 chaque fois, dans chacune de mes prières en faveur de vous tous, je prie avec joie, 5 à cause de la part que vous prenez à la bonne nouvelle, depuis le premier jour jusqu’à maintenant. 6 Je suis convaincu que celui qui a commencé en vous une œuvre bonne l’achèvera jusqu’au jour du Christ Jésus. 7 Il est juste que j’aie de telles pensées en votre faveur, parce que je vous porte dans mon cœur, vous tous qui, dans mes chaînes comme dans la défense et la confirmation de la bonne nouvelle, prenez part à la même grâce que moi.

8 Dieu m’est témoin, en effet, que je vous chéris tous, avec la tendresse même de Jésus-Christ.

9 Je prie [pour] cela : que votre amour abonde de plus en plus en connaissance et en profonde sensibilité ; 10 pour que vous puissiez discerner ce qui fait la différence, afin que vous soyez purs et irréprochables pour le jour du Christ 11 et que vous soyez remplis du fruit de la justice [que vous porterez] par Jésus-Christ, à la gloire et à la louange de Dieu.

Paul a vécu des choses à Philippes. C’est la première ville d’Europe qu’il a évangélisée. Il y a rencontré Lydie, une femme d’affaires qui s’est ouverte à l’Evangile et qui est devenue un pilier de l’Eglise locale par la suite2. Il y a délivré de son « don » une voyante, et ça lui a valu des ennuis avec ceux à qui elle faisait gagner beaucoup d’argent3. Il y a été roué de coups et jeté en prison. Il y a vécu un tremblement de terre4 qui l’a miraculeusement libéré, lui et ses compagnons. Enfin, il y a assisté à la conversion du directeur de la maison d’arrêt, et il l’a baptisé sur le champ5. Puis il est reparti de la ville, quelques jours seulement après y être arrivé, avec les excuses des autorités6. Si je n’avais vécu que la dixième part de tout cela, j’aurais gardé un souvenir durable de cette ville ! Maintenant, Paul écrit aux gens de l’Eglise de Philippe. Il a des sentiments forts pour eux. Je vous porte dans mon cœur, leur dit-il, et je vous chéris tous, avec la tendresse même – littéralement : les tripes – de Jésus-Christ. Et puis il leur dit ce pour quoi il prie. Sa prière ressemble à un oignon ou à l’une de ces poupées russes : il y a plusieurs niveaux qui apparaissent au fur et au mesure qu’on y avance.

Je prie pour cela : que votre amour abonde de plus en plus …

Bof , me direz-vous, c’est classique. Même si c’est plutôt sympathique. L’amour a la côte, et ça ne changera pas de sitôt. Aimer plus, ça ne peut pas faire de mal. Quoique … L’amour est une sacré fourre-tout … J’ai entendu un homme justifier son adultère par l’amour

1 Suite de ma série de prédications inspirée de l’ouvrage de Donald A. CARSON, A Call to Spiritual Reformation, Grand Rapids, Baker Books, 1992, 230 p., désormais disponible en langue française : Donald A. CARSON, La prière renouvelée, Cléon d’Andran, Excelsis, 2005, 267 p.

2 Ac 16.14s ; 16.40

3 Ac 16.16-23

4 Ac 16.26

5 Ac 16.27-34

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qu’exprimait sa relation. L’amour a bon dos. La langue du NT distingue plus finement entre certaines choses pour qui le français n’a que ce seul mot : l’amour. L’amour dont il est question ici, ce n’est pas l’amitié, ni l’amour-désir, mais c’est l’amour proprement chrétien, l’amour qui coûte, l’amour engagé, l’amour notamment de ce qui n’est pas aimable, le genre d’amour qui a fait que Jésus a quitté le ciel pour mourir pour des rebelles.

Je prie pour cela : que votre amour abonde de plus en plus en connaissance et en profonde sensibilité …

Ce n’est pas une croissance « sauvage » de leur amour que demande l’apôtre, mais une croissance selon deux dimensions. On pourrait comparer cet amour à une plante. Si cette plante pousse comme ça vient, ça peut donner un résultat décevant. Pour que sa croissance la rende plus belle, elle a besoin de tuteurs. En l’occurrence, il y en a deux. L’amour doit croître en connaissance d’abord, puis en profonde sensibilité 7.

La connaissance permet de mettre en œuvre l’amour de la bonne façon. Elle s’acquiert notamment par l’écoute de la parole de Dieu, par exemple par l’observation du comportement du Seigneur Jésus qui nous est raconté dans les Evangiles. Savoir comment lui, qui est la personnification de l’amour, a aimé, nous permet d’aimer comme il faut.

Le terme sensibilité peut également se traduire par perspicacité8 ou encore par discernement9. C’est la capacité à savoir quel comportement adapter dans une situation donnée. Elle se nourrit notamment d’expérience. La connaissance à elle seule est un peu théorique ; le discernement est résolument orienté vers la pratique.

Il y a là un équilibre fragile à maintenir. Si la connaissance et le discernement ne s’enracinent pas dans l’amour, ils peuvent facilement dégénérer en orgueil ou en domination. En revanche, si l’amour croît sans le tuteur que constituent connaissance et discernement, il risque fort de devenir une caricature, une parodie de lui-même. Un amour qui abonde en connaissance et en sensibilité, c’est un amour qui croit en étant soutenu par l’enseignement de la parole de Dieu et par la pratique.

Je prie pour cela : que votre amour abonde de plus en plus en connaissance et en profonde sensibilité ; pour que vous puissiez discerner ce qui fait la différence … Dans des traductions un peu moins littérales10, ce qui fait la différence est parfois traduit comme ce qui est important. La croissance en amour n’est pas un but en soi. Le but que retient Paul, dans un premier temps, c’est que les Philippiens deviennent capables de faire les bons choix.

Trois observations à ce sujet :

Premièrement, ces choses ne se discernent pas facilement. Pour les discerner, il faut que l’amour des chrétiens abonde de plus en plus en connaissance et en profonde sensibilité. Quel serait le contraire ? Ce serait que leur amour abonde « en ignorance et en indifférence, ou en stupidité et en maladresse, ou encore en sensiblerie et en nostalgie »11 Non, leur amour doit être perspicace. Sans cette connaissance ou ce discernement, l’amour risque de dégénérer en sentimentalisme bon marché ou en complaisance. Il est vrai que le monde mélange souvent les deux, et même dans l’Eglise ce n’est pas rare. Mais un tel amour mal encadré ne nous permet pas de discerner ce qui est important.

7 Littéralement : en toute sensibilité.

8 Alternative proposée en note dans la NBS

9 Semeur 2000

10 Ainsi NBS et Semeur 2000

11 CARSON, Prière, p. 145

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Deuxièmement, Paul semble penser à tous ces choix que la vie nous amène à faire. Et en général, ce ne sont pas des choix entre le vrai et le faux, entre le bien et le mal. Souvent, il s’agit de faire un choix entre deux choses qui ont chacune une certaine valeur. Il faut alors faire le meilleur choix possible. Et ce choix ne coule pas de source.

Enfin, nous avons lu, au verset 6, que Paul est convaincu que celui qui a commencé en vous une œuvre bonne l’achèvera jusqu’au jour du Christ Jésus. Cela ne veut pas dire qu’ils sont dispensés de s’engager en vue de progresser. Deux chapitres plus loin, Paul écrit, en parlant de lui-même12 :

Il s’agit maintenant de le connaître, [Jésus], ainsi que la puissance de sa résurrection et la communion de ses souffrances, en étant configurés à lui dans la mort, pour parvenir, si possible, à la résurrection d’entre les morts. Ce n’est pas que j’aie déjà obtenu tout cela ni que je sois déjà parvenu à l’accomplissement ; mais je le poursuis, tâchant de le saisir, pour autant que moi-même j’ai été saisi par Jésus-Christ. En ce qui me concerne, mes frères, je n’estime pas moi-même l’avoir déjà saisi ; mais une seule chose compte : oubliant ce qui est en arrière et tendant vers ce qui est en avant, je cours vers le but pour obtenir le prix de l’appel céleste de Dieu en Jésus-Christ.

Une seule chose compte … courir vers le but. Les choses excellentes dont Paul souhaite que les Philippiens les saisissent, ce sont finalement les éléments d’une vie chrétienne mature.

Puissance et souffrance, pour reprendre les termes de Paul, mais surtout, avant tout, la connaissance de Jésus-Christ. Ce qui fait la différence, ce qui est important, c’est tout ce qui nous fait avancer sur ce chemin.

Pour résumer tout cela, pendant que nous sommes en chemin, il s’agit, non pas tant de discerner entre le bien et le mal. Ce peut être relativement facile (même si la mise en pratique ne l’est pas forcément). Il s’agit surtout de choisir entre le bien et le meilleur. Entre l’accessoire et l’important. Nos choix dans ce domaine reflètent nos valeurs et nos priorités, notre cœur et notre esprit.

Qu’est-ce que je fais de mon temps ? Est-ce que mes choix reflètent ce qui est important ? Quelles sont mes lectures ? Comment est-ce que je passe mon temps libre ? Qu’est-ce que je fais pour renforcer les liens familiaux ou conjugaux ? Quelle place est-ce que j’accorde à la prière ? Ou encore : Qu’est-ce que je fais de mon argent, de mes ressources ? Ce sont de bonnes questions. Et très souvent, le choix ici n’est pas entre le bien et le mal, mais entre le bien et le meilleur.

Encore une fois, il ne s’agit pas de culpabiliser. Ce n’est pas le sentiment de culpabilité qui nous aidera à faire les bons choix dans l’avenir. Il a plutôt tendance à ajouter à notre stress et à notre ressentiment. Mais si notre amour abonde de plus en plus en connaissance et en profonde sensibilité, nous aurons à cœur de faire ces choix, et de bien les faire.

Soit dit en passant, ces choix dépendront beaucoup des circonstances et des personnes. Par exemple, quand il s’agit de13 racheter le temps, parce que les jours sont mauvais, pour reprendre un mot d’ordre de Paul aux Ephésiens, cela peut signifier différentes choses pour différents chrétiens. Rien que le nombre d’heures de sommeil dont nous avons besoin pour être en forme peut jouer. J’ai lu que notre premier ministre ne dort que quatre heures par jour (et ces temps-ci, peut-être un peu moins) ; or je connais pas mal de gens qui sont mal lunés s’ils n’ont pas eu le double. Nous ne sommes pas logés à la même enseigne. Utiliser son temps avec discernement, cela peut vouloir dire pour une sœur portée vers l’activisme de ralentir un peu et de prendre le temps de prier. Pour un frère contemplatif, cela peut constituer

12 Ph 3.10-14

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un appel à participer d’une manière ou d’une autre à l’évangélisation et au travail social.

Quand il s’agit de relaxer un peu, un chrétien mature lira peut-être un journal chrétien ou une autre lecture édifiante, qui le fait avancer, un autre ressentira peut-être le besoin de déconnecter et de se plonger dans un roman policier ou un film d’aventures. Il emploie son temps de façon moins profitable, mais qui oserait l’accuser de faute ?

Mais justement, la prière de Paul ne nous situe pas sur le plan de la culpabilité. Paul ne dit pas aux Philippiens : « Vous pouvez mieux faire, faites un effort supplémentaire ! » Non, il prie pour que Dieu augmente leur amour pour qu’ils puissent faire les choix les meilleurs. Ces choix « sont le fruit d’un cœur transformé par la grâce de Dieu. »14

Mes frères et sœurs, posons-nous la question : Est-ce que je prie vraiment pour ce qui est excellent et important ? Pour ce qui l’est aux yeux de Dieu ? A la fois pour moi-même et les autres ? Est-ce que je demande à Dieu que mon amour abonde de plus en plus en connaissance et en sensibilité ? Pour que je puisse distinguer l’essentiel de l’accessoire ? L’excellent de l’acceptable ? Est-ce que je prie de cette manière pour mon Eglise ? Ou est-ce que je préfère qu’on s’installe dans la médiocrité ?

Je prie pour cela : … que vous soyez purs et irréprochables pour le jour du Christ …

Même le discernement de ce qui est important n’est pas un but en soi. Il doit s’incarner, se transformer en vie vécue. Paul prie pour que vous soyez purs – le terme suggère la transparence – et irréprochables. La barre est assez haute, c’est le moins qu’on puisse dire.

Paul vise l’excellence. Il n’est pas question de viser moins haut. Comme il en a l’habitude, l’apôtre pense à la fin quand il prie pour les frères, au jour du Christ, jour de jugement. Nous avons déjà vu cette préoccupation constante de l’apôtre, ce regard vers la fin. Il ne peut se contenter de l’état actuel de ses frères. Il sait qu’ils sont destinés à la perfection. Et il a hâte de les voir se rapprocher de cet idéal. C’est pourquoi il prie.

Quand Paul parle du jour de Jésus-Christ, il ne le fait pas sous forme de menace, du genre :

« Si vous n’êtes pas sages, il viendra avec son martinet ! » Vivre en vue de ce jour, c’est vivre d’une manière qui traduit notre attente de ce jour, c’est laisser cette rencontre façonner notre vie, par anticipation.

Je prie pour cela : … que vous soyez remplis du fruit de la justice [que vous porterez] par Jésus-Christ … Il ne s’agit pas seulement de se garder pur et sans reproche. Non, il s’agit de porter du fruit15. « Etre rempli du fruit de justice c’est avoir une conduite – en pensées, en paroles et en actes – que Dieu lui-même considère comme juste. »16

Paul s’empresse d’ajouter qu’ils jouissent de ce fruit par Jésus-Christ. Ils – et nous avec eux – sont appelés à s’atteler à la tâche, mais ils ne doivent jamais oublier que ce fruit de la croissance spirituelle est rendu possible par Jésus-Christ. Une vie juste est toujours, toujours, toujours le fruit de la grâce de Dieu.

Voyez-vous, la prière de Paul va au fond des choses. Nous avons dit qu’il vise l’excellence, mais regardez bien comment il s’y prend. Il ne demande pas d’abord que les Philippiens s’engagent davantage, donnent davantage, prient davantage, etc. Il prie pour que Dieu fasse abonder leur amour. Il prie que connaissance et discernement augmentent, ayant toujours à l’esprit que c’est Dieu qui doit donner tout cela. Ainsi il évite les faux semblants. Il est relativement facile, pour un prédicateur qui a du charisme, de « chauffer la salle » et de

14 CARSON, Prière, p. 149

15 NB : On trouve l’expression fruit de la justice ailleurs dans l’Ecriture : Pr 11.30 ; Am 6.12 ; cf. Jc 3.18. Dans Es 32.17, l’expression désigne les conséquences d’une vie juste.

16 CARSON, Prière, p. 154

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pousser les fidèles à prendre des engagements, surtout en jouant sur la culpabilité. On a tous vu ou vécu cela, on s’est tous fait avoir une fois, et on a vu aussi que la plupart du temps, ce sont des feux de paille, incapables de durer. Or Paul va au fond des choses. Si leur amour abondant vient de Dieu, s’ils portent leur fruit par Jésus-Christ, ça pourra durer, car ce réservoir-là est inépuisable. « Si nous avons le devoir de faire fructifier notre salut avec crainte et [tremblement], nous devons aussi reconnaître que tous nos efforts, nous les devons à l’œuvre de Dieu en nous, qui produit à la fois le vouloir et le faire17. Il est donc urgent que nous demandions à Dieu d’agir en nous ; il est vital que nous apprenions à faire nôtre cette prière de Paul. »18.

Le professeur CARSON écrit : « Ce dont l’Eglise occidentale a le plus urgemment besoin, c’est que les chrétiens se rassemblent discrètement, librement, informellement, fidèlement, sans publicité ni fanfare, pour chercher la face de Dieu, pour lui demander « le meilleur », dans la perspective du jour de Jésus-Christ. … Qu’est-ce que cela donnerait ? Dieu est souverain et plein de compassion ; qui sait ce qu’il pourrait faire en réponse à ces prières ? »19

Je prie pour cela : … que vous soyez remplis du fruit de la justice [que vous porterez] par Jésus-Christ, à la gloire et à la louange de Dieu. J’ai dit et redit que Paul vise l’excellence, mais ce n’est pas l’excellence pour l’excellence. Le bout du bout, c’est la gloire et la louange de Dieu. C’est ce qui importe par-dessus tout. Si nous visons l’excellence par simple perfectionnisme ou désir de nous épanouir, nous sommes encore sur une fausse piste, celle que fréquentent les idolâtres, car ça revient à mettre autre chose que Dieu au centre.

Nous sommes arrivés au cœur de la prière de Paul. Cette prière m’humilie, mais en même temps elle me donne envie d’aller plus loin. Avez-vous envie que l’on prie comme ça pour vous ? Moi, oui ! Il faudra donc prier selon ces lignes pour les autres. Lisons la prière de Paul une dernière fois, en nous unissant à l’apôtre dans sa demande.

Je prie pour cela : que votre amour abonde de plus en plus en connaissance et en profonde sensibilité ; pour que vous puissiez discerner ce qui fait la différence, afin que vous soyez purs et irréprochables pour le jour du Christ et que vous soyez remplis du fruit de la justice que vous porterez par Jésus-Christ, à la gloire et à la louange de Dieu.

Amen.

EEB Clermont-Ferrand 19/3/2006

Cantique : « Toi qui disposes » (JEM 63)

17 Ph 2.12s

18 CARSON, Prière, p. 157. Nous avons quelque peu retouché la traduction.

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