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1966 Fernand Nathan-Paris.

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ISRAEL

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© 1966 Fernand Nathan-Paris.

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I S R A E L CLAUDE GANDELMAN

Commentaires des illustrations et maquette de LYONEL SCANTÉYÉ

FERNAND NATHAN

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A la lisière de la ligne de démarcation démilitarisée qui coupe Jéru- salem en deux, les drapeaux d'Israël, bleu et blanc avec l'étoile de David (Magen David), marquent la partie israélienne de la ville.

Derrière un terrain vague, se détache le moulin de Montefiore, qui s'élève au milieu du quartier du même nom, bâti dans la deuxième moitié du siècle dernier.

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JÉRUSALEM, LA SAINTE

L

ES nuages sont si bas que la ville semble toucher le ciel. Hors des murailles de la vieille ville, interdite aux Juifs, Israël a planté ses tentes, pierres et béton, avec des balcons pareils à des tiroirs qu'on aurait oublié de refermer. Les rues, entre elles, portent les noms des prophètes.

La Jérusalem moderne s'agrandit, s'étire vers l'ouest, se répand entre les collines rondes et sur leurs cimes rocailleuses détruites à coups de dyna- mite. Jérusalem est faite de ces collines de Judée, qui sont des champs de pierres, très belles et tourmentées par le vent et la pluie. Aucune culture n'y pousse et les seules tentatives agricoles sem- blent avoir été faites, il y a des siècles, par le village arabe à demi vide qui marque l'entrée de la ville, au-dessous de la grand'route, avec ses terrasses livrées aux broussailles et aux cactus. Les autres villages des crêtes aperçus dans le lointain sont en Jordanie : « des prisons de pierre enfermées dans un paysage de pierre », a dit Chateaubriand, et la frontière invisible et meurtrière est à mi-chemin des crêtes. Jérusalem, « El-Kuds », la Sainte, comme l'appellent les Arabes, est coupée en deux moitiés qui se haïssent.

Elle apparut d'abord, dans la Bible, sous le nom de Salem. Quand les Israélites, sous le commandement de Josué, conquirent le pays de Canaan après l'exode d'Égypte, elle s'appelait Jébus, du nom de ses habitants, une tribu cana- néenne. Puis ce fut la conquête de David.

« Cependant David prit la place forte de Sion...

Et David y logea et l'appela « Cité de David »...

Et Hiram, roi de Tyr, envoya des messagers à David et des troncs de cèdres et des charpentiers et des maçons ; et ils bâtirent à David un palais. » (II Samuel 5/6-12.)

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Vue de la Citadelle de David dans la vieille ville de Jéru- salem. A gauche, dans la muraille, c'est l'ancienne porte de Jaffa aujourd'hui fermée. Au centre, la tour ronde de David. A l'horizon, en Jordanie, sur le mont des Oliviers, on aperçoit les blanches coupoles de la mosquée d'Omar et le clo- cher de l'église de l'Ascen- sion.

Une des innombrables légendes de la Agadah, section poétique du Talmud, raconte que le roi David mettait sa harpe magique au-dessus de sa tête chaque soir en s'endormant. A l'aube, les premiers vents du matin couraient dans les cordes, lui jouant de merveilleuses mélodies ; ainsi s'éveil- lait chaque jour le roi David.

Ensuite, le roi Salomon, fils de David, se pro- cura lui aussi du bois du même Hiram, roi des Phéniciens, pour la construction de son temple.

Des détails pittoresques, nous relèverons que

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Salomon garnit les murs intérieurement de boiseries de chêne et les recouvrit d'or pur et de sculptures de cèdre. Il y avait aussi un « oracle » en or pur, à l'intérieur duquel étaient sculptés des « chérubins » en bois d'olivier. Ces « chérubins » étaient très grands et leurs ailes touchaient les murs opposés et se rencontraient au milieu de la salle de l'oracle.

Salomon mit sept ans à construire ce temple.

Quant à sa « maison » personnelle, comme dit la Bible, son palais, il mit treize années à le bâtir et les innovations principales en furent « un portique pour le trône où il rendait jugement », ainsi qu'une

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Les rédacteurs du Talmud, au IV siècle, ont rendu public et mis à la portée des masses qui partaient en exil le calendrier hébraïque (Louah). A cette occasion, ils établirent l'ère hébraïque, correspondant à la Création du Monde, en 3760 avant notre ère. En ajoutant donc à ce chiffre l'année grégo- rienne, on peut connaître l'année juive. Les actes officiels et privés, ainsi que les journaux d'Israël, men- tionnent les deux dates : hébraïque et grégorienne.

maison pour la fille du Pharaon, « car il l'avait prise pour femme ». Mais la plus belle partie du palais et du temple devait être la « grande cour » qui les entourait, renfermant une gigantesque cuvette, ou

« mer fondue dans le métal », pour les ablutions rituelles, à laquelle était adjoint un autel monumen- tal pour les sacrifices.

Aucune preuve archéologique ne subsiste du temple de Salomon, les pierres qui restaient d'une destruction étant toujours utilisées pour la recons- truction du temple que s'offraient les nouveaux vainqueurs, ceci jusqu'à la Jérusalem actuelle.

Cependant la tradition juive qui, semblable aux autres traditions, s'embarrasse peu de preuves fournies par l'archéologie, veut que le fameux « Mur des Lamentations », en hébreu « mur de l'ouest », soit un reste éternel du mur ouest du Temple construit par Salomon. Il se trouve dans la vieille ville, inaccessible, et la légende veut qu'il pleure, tout seul, de grosses larmes d'humidité nocturne, puisque ses pleureurs barbus de la ville juive ne peuvent l'approcher au jour annuel de la repen- tance et du pardon.

Sur la colline dominant la rue Jaffo se dresse l'église éthiopienne circulaire, construite au dix- neuvième siècle, sur le portail de laquelle est sculpté le lion de Judée, car les Éthiopiens croient que la reine de Saba fut leur première souveraine et reçut de Salomon cet animal en cadeau.

Cependant, les historiens modernes pensent plutôt que cette reine serait venue du Yémen, où se trouve effectivement la ville de Sa'aba.

En 587 avant notre ère, Nabuchodonosor, roi de Babylone, détruisit Jérusalem et emmena une grande partie de sa noblesse en captivité. Après quarante années d'exil, la cité fut restaurée par Nehémia, puis, au troisième siècle avant notre ère, capturée sans combat, par Alexandre de Macédoine.

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Une vue de Jérusalem prise du mont Sion avec, en arrière-plan, l'hôtel King David et l'immeuble de l'Y.M.C.A. (initiales en anglais de « l'Association des jeunes gens chrétiens »). Dans le cadre de l'Y.M.C.A. se déroulent d'importantes et réputées activités sociales, culturelles et sportives. Du sommet de la tour carrée de l'Y.M.C.A., on peut apercevoir de tous les côtés la Ville Sainte, s'estompant dans l'espace : jusqu'à Bethléem, jusqu'au mont Scopus et plus loin encore, jusqu'à le vallée de Hinon et la vallée du Cédron, là où le Prophète avait entendu les paroles de Yahvé : « ...je vais te faire remonter de tes tombeaux, mon peuple, et je te recon- duirai sur le sol d'Israël. » (Ezéchiel 37-12).

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Alexandre se montra très tolérant à l'égard des habitants et de leur étrange religion, et de nombreux enfants juifs nés un samedi, jour de son arrivée, reçurent un nouveau prénom, « Sabbatai », en l'hon- neur du conquérant.

Ce fut contre les hellénisateurs et l'hellénisme, qui imprégnait et corrompait les mœurs, qu'eut lieu la révolte des Macchabées. La légende raconte que les Macchabées trouvèrent, dans les débris du temple démoli par Antiochus de Syrie, une petite lampe à huile du type qu'on voit dans tous les musées d'Israël et qu'on peut acheter chez certains antiquaires, lampe qui les éclaira, sans que fût renouvelée son huile, pendant huit nuits entières.

C'est pour la fête de Hanukah, célébrée en Israël à la date du Noël chrétien, qu'ont été créés les chan- deliers à sept branches, symboles d'Israël. La première nuit de Hanukah, les familles allument la bougie de la première branche, puis une autre chacune des nuits suivantes.

Cette dynastie des Macchabées fut finalement remplacée, après les conquêtes romaines, par Hérode, ami personnel d'Antoine. Après les déboires de ce dernier avec Cléopâtre, sa défaite finale et sa mort, Hérode, assurant de sa fidélité les nouveaux Césars, fit de la Palestine une vassale docile de Rome.

Cependant, il était décidé à flatter les masses religieuses juives, facteur politique non négligeable, et leur fit reconstruire le temple de Jérusalem avec magnificence. De ce temple reste, sur la col- line portant l'église éthiopienne mentionnée plus haut, une énorme colonne, à peine dégagée de sa gangue de pierre, et couchée dans un creux de la colline, en face de l'église russe. Ce pilier, non terminé, marque certainement l'emplacement d'une carrière où l'on taillait les colonnes du temple d'Hérode, et donne une idée de sa grandeur. La

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Lampe à huile du type de celles qui éclairèrent les Macchabées pendant une semaine, dans les ruines du Temple détruit, et grâce auxquelles ils le délivrèrent des mains d'Antiochus de Syrie, en 165 av. J.-C. Ce fut la victoire des lumières éternelles, ou Hanoukah, qu'on fête, depuis lors, tous les ans, en allumant les bougies d'un chandelier à sept branches.

légende l'appelle « le doigt d'Og », du nom du roi géant de Bashan, contemporain de Moïse.

A l'emplacement du palais d'Hérode, le voya- geur peut voir aujourd'hui une tour effilée, avec un chapeau pointu, qui est un minaret, sortant d'une partie crénelée, reste bien conservé de la citadelle, construite au seizième siècle par les pachas turcs.

Le mur d'enceinte de la vieille ville est turc lui aussi.

Si l'on suit la frontière en partant du nord, on trouve d'abord le « Zoo biblique », où sont réunis la plupart des animaux mentionnés dans la Bible, à l'exception peut-être du « poisson » qui avala Jonas et dont l'identité reste obscure. Il y a en tout cas un fort joli petit âne, un éléphant et un cha- meau et les cages sont pourvues de citations de

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la Bible où figurent ces créatures de Dieu. Ce

« Zoo biblique » se trouve non loin des tombes du

« Sanhédrin » de Jérusalem et de Judée.

Le « Sanhédrin » était une cour suprême, une sorte de Sénat chargé des affaires administratives, politiques et juridiques de la communauté juive, et instauré après les conquêtes d'Alexandre. Son existence finit avec la destruction du temple par Titus, et à l'époque des persécutions romaines son importance était négligeable. Ce fut probablement le Sanhédrin de Jérusalem, et surtout son président, le grand prêtre Caïphe, qui fit conduire Jésus devant Ponce Pilate, sur l'ordre duquel il fut, comme beaucoup d'autres Juifs accusés de sédition poli- tique, crucifié par la police romaine.

Ponce Pilate fut l'un des « procurateurs » les plus iniques de Rome, battu cependant sur ce ter- rain quelques décennies plus tard par Florus, qui déclencha la « guerre des Juifs ». Contrairement à ses prédécesseurs, Pilate ordonnait à ses légion- naires de porter leurs aigles et insignes païens dans le Temple, qu'il pilla d'ailleurs pour construire un aqueduc. Il s'efforça également de faire du Sanhé- drin un appendice superflu de son administration, en lui enlevant tout pouvoir juridique dans les cas graves. En même temps, il le rendit responsable du bon maintien de l'ordre et de la soumission à Rome, ainsi que de la poursuite des suspects de « subver- sion ». Ce fut devant ce Sanhédrin fantoche que Jésus fut d'abord traduit, sous l'accusation « poli- tique » d'avoir essayé de devenir le « Roi des Juifs ».

Sa mort sur la croix mit fin aux espoirs poli- tiques et nationaux que beaucoup de Juifs avaient mis en lui.

Quant aux Pharisiens, l'une des trois principales sectes juives de l'époque, leur hostilité à Jésus était uniquement religieuse. En conséquence, il semble qu'aucun Pharisien n'ait participé au juge- ment et il est sans doute certain que leur inimitié

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plus grande encore envers les païens romains, sans parler de considérations morales, les eût empêchés, eux qui représentent dans la suite de l'histoire des Juifs le courant pacifiste, de le livrer à Pilate. Quant aux premiers Chrétiens, ils conti- nuèrent d'abord à fréquenter la Synagogue et à ne différer formellement des « Juifs » en rien. Ce fut seulement plus tard, sans doute sous l'influence de Paul, que fut clairement exprimée l'idée que le Christ était « Roi des Juifs » parce qu'il était Dieu.

A Jérusalem, dans une petite catacombe, se trouve le caveau du Sanhédrin, là probablement fut aussi enterré le « Grand Prêtre » Caïphe, prési- dent de la cour et les autres membres de celle-ci.

On y entre par un très beau portail au fronton rectan- gulaire, orné de grenades, de citrons et de feuilles d'acanthe.

L'intérieur de la Nécropole du Sanhédrin à Jérusalem.

Une partie des cellules infé- rieures servait de « cime- tière » aux livres de prières hors d'usage ; une autre partie, à inhumer provisoi- rement les dépouilles des morts. Suivant le cérémo- nial religieux, celles-ci étaient ensuite transférées dans des sarcophages qu'on emmurait définitivement dans les chambres mor- tuaires creusées dans la partie supérieure.

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Vers 64, commença la « Guerre des Juifs », provoquée par les exactions romaines, et Titus entreprit le très long siège de Jérusalem.

Quand les Romains pénétrèrent dans ses murs pour s'emparer des derniers défenseurs, au milieu de la puanteur et des cadavres, ils mirent le feu à la ville et détruisirent le temple. Jérusalem fut alors interdite aux Juifs et leur centre spirituel devint Yavneh, près de Tel-Aviv; après la deuxième révolte juive de Bar Kochba (fils de l'étoile), égale- ment noyée dans le sang par Hadrien, le centre de gravité de la littérature juive se déplaça en Galilée où le Talmud, codex des lois civiles et religieuses, fut écrit par les rabbins quelques siècles plus tard.

Après l'échec de cette dernière rébellion, Jéru- salem devint une ville romaine et perdit son nom hébreu, pour s'appeler « Aelia Capitolina ». Elle fut alors reconstruite à la romaine, et des temples aux dieux antiques y furent édifiés, une rue entourée de colonnes la traversant de part en part.

Mise à sac une fois de plus lors des invasions arabes, elle passa sous la juridiction des Califes jusqu'à Godefroy de Bouillon, le premier roi (sans le titre) de Jérusalem, qui y bâtit la très belle église du Saint-Sépulcre, dont on peut apercevoir le dôme par-dessus le mur de la vieille ville.

Là aussi, à sa prise par les Croisés, ce fut un nouvel et effroyable massacre de la population...

Enfin, vint le long règne des pachas turcs, lequel dura jusqu'à la conquête de la Palestine par le général anglais Allenby et les bandes de Bédouins du colonel Lawrence.

Les Turcs achevèrent de mettre le pays à feu et à sang, le laissant dans l'état de déboisement presque total où le trouvèrent les pionniers juifs des premières colonies collectives, dont les descendants sont presque parvenus à rendre au pays sa physio- nomie première.

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Vue sur le quartier résidentiel Rehavia, à Jérusalem. Au loin, les monts de Judée.

Les dissensions héréditaires sont, dans l'Israël moderne, définitivement supprimées par la pro- priété collective du sol. Quant à la loi de Moïse, elle régit principalement la partie religieuse de la population et le voyageur n'a pas à subir sa rigueur.

La partie religieuse-à-l'extrême de la popula- tion s'est massée dans une « ville dans la ville », située non loin du Sanhédrin. En y pénétrant, on arrive très vite aux « cent portes », les cent portes menant au ciel. Il faut chercher ici, à Méa Shéarim, l'univers mystérieux des Juifs, monde antique qui s'efface à mesure que grandit Israël moderne, fière de ses machines et de sa flotte commerciale.

Le visage encadré de longues nattes, voici les zélo- tes, portant des chapeaux de prière semblables à

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◀ Le quartier Méa-Shéarim est l'un des plus anciens construits en dehors de la vieille ville de Jérusalem. Il doit surtout sa répu- tation à l'extrême piété d'une partie de ses habitants. On dit : « Méa-Shéarim », et l'on songe tout de suite à ces mystiques, formant la secte Netouré-Karta, en hébreu « gardiens des ancêtres », pensant, priant et vivant dans la tradition de leurs lointains aïeux. Ils sont inébranlables dans leur croyance et ne re- connaissent point l'État laïque d'Israël. Seul, le Messie aurait le privilège de le constituer, Et le Messie, qui, pour tous les autres, est le souffle de la libération et de la renaissance du pays, demeure pour eux un être de chair et de sang, qu'ils attendent toujours.

Les gens de Méa-Shéarim n'aiment pas l'appareil photographique car dans le Déca- loque il est écrit : « Tu ne te feras aucune image... »

de noires auréoles et des redingotes polonaises d'un autre âge, les « kapotes » (terme sans doute emprunté aux soldats de Napoléon), flottant sur leurs jambes maigres tendues de bas blancs jus- qu'aux genoux. Ils font sourire lorsque, sortant des Jéshivas, au soleil de la rue, soûls de Bible, ils trébuchent sur le trottoir comme des intellectuels grisés de lecture.

Un petit garçon de Méa-Shéarim.

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PAYS ET CITÉS D'ART

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